Informations belges

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25 October 1917
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s.n. 1917, 25 October. Informations belges. Seen on 30 June 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/1v5bc3tk56/
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N» 496 25 Octobre 1917 InformationsBelges Observatiou ±xra.ipo:r'tiee.:tt3Ll;e Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité, n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe. Adresser les communications de service : 29, rae Jacques-Louer, JL.B3 M iWStiE (Seine-Inférieure) France Dans l'Est africain allemand. — Nouvelle avance des troupes belges. — (Communiqué du ministère belge dos colonies du 24 octobre 1917). — Le 13 octobre, à l'aube, des forces allemandes comprenant plusieurs compagnies et quatre mitrailleuses, attaquèrent un détachement belge qui s'était retranché à cinq kilomètres au Nord-Est de Likazio, village situé à environ trente kilomètres au Sud-Est de Mahenge. Les Allemands livrèrent deux assauts; repoussés par nos feux d'infanterie et de mitrailleuses, ils se retirèrent en abandonnant les cadavres de deux Européens et de quinze soldats noirs. A Ligangas (environ trente kilomètres au Sud de Mahenge), une fraction avancée des colonnes belges captura, le 16 octobre, un convoi de vivres et mit en fuite la troupe allemande qui l'escortait. L'avance, dans cette région, de notre colonne d'aile droite fait espérer la prochaine jonction des forces britanniques et belges. En marge du Communiqué. — Au front belge. — Officiers et soldats. — Les Dévouements héroïques. — Un violent bombardement exécuté par l'artillerie belge, avec cette vigueur et cette précision qui font la joie des fantassins, avait complètement bouleversé une tranchée allemande toute proche de l'Yser. Une exploration attentive avait fait soupçonner déjà que l'ennemi devait l'avoir évacuée. Les Belges résolurent, cependant, de pousser plus à fond la reconnaissance de la rive droite du fleuve afin de rapporter des renseignements précis et détaillés. Dans la nuit du 20 au 21 octobre, le lieutenant Dedeker et quelques braves, sous la canonnade qui continuait de faire rage , s'en furent par delà l'Yser avec mission d'explorer les travaux allemands défoncés sur une longueur de 250 mètres au moins. Après une marche pénible dans un bourbier gluant et profond, parsemé de trous d'obus, les hommes se glissant à travers les brèches pratiquées par les défenses accessoires, avaient pénétré dans les ouvrages ennemis qu'ils trouvèrent , en eflet, inoccupés. L'œuvre de destruction opérée par l'artillerie belge était complète; seuls quelques abris, d'ailleurs vides, avaient plus ou moins résisté. Dans la nuit froide et noire, l'exploration se poursuivit, minutieuse et ardue, oarmi l'enchevêtrement inextricable des matériaux dispersés en tous sens, au milieu des éclatements d'obus se succédant sans relâche. Une telle lassitude pesait sur les patrouilleurs qu'ils eussent donné gros pour pouvoir, malgré le danger, se reposer pendant quelques instants dans la tranchée ennemie. Mais c'eût été folie. Le temps très bref assigné à leur mission était écoulé. Autour d'eux, le bombardement belge croissait déjà en violence. L'artillerie allemande, en même temps, commençait un tir furieux sur les travaux abandonnés. Il était temps de quitter cet enfer. Guidée par son chef, la patrouille se mit donc en devoir de regagner ses lignes, quand, tout à coup, un cri déchirant domina le vacarme ; nul doute, un homme resté en arrière de la patrouille venait d'être grièvement blessé. Ordonnant à sa troupe de poursuivre sa route, le lieutenant Dedeker, seul, retourne vers la tranchée bombardée à outrance où peut-être un de ses hommes agonise 11 veut le sauver à tout prix. La recherche est tragique et pénible dans l'obscurité profonde qu'éclairent seulement par intermittences les lueurs Si exténué qu'il soit, le lieutenant Dedeker parvint à soulever le malheureux et à le traîner pendant quelques mètres, de trou d'obus en trou d'obus, sous le feu infernal qui ne veut pas cesser. Mais il a trop présumé de ses forces ; il n'en peut plus et redoute de devoir abandonner son fardeau sanglant, quand une voix connue frappe soudain son oreille. C'est le sergent-fourrier Pullinckx, revenu spontanément sur ses pas lui aussi, pour apporter aide et secours à son chef et au soldat mutilé. Ce n'est pas de trop qu'ils unissent leurs courages pour venir à bout de leur tâche héroïque. Autour d'eux, le terrain n'est qu'un volcan en éruption. Les explosions se succèdent ; des poutres, des blocs de béton, des pierres, des rails tordus sont projetés de toutes parts. Il faut avancer quand même, si l'on veut sauver le blessé. Comme il n'est pas possible de se redresser sans s'exposera la mort, Dedeker et Pullinckx, après s'être débarrassés de tout ce qui pourrait les encombrer, s'étendent sur le dos et, plaçant entre eux. leur camarade râlant, ils le traînent,'avec des difficultés inouïes, mètre par mètre. Leurs vêtements s'accrochent et se déchirent aux fils barbelés dont

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