Informations belges

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23 October 1917
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s.n. 1917, 23 October. Informations belges. Seen on 04 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/js9h41kg8g/
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N° 494 23 Octobre 1917 Informations Belges Otoservation, importante Les difficultés inhérentes à l'état de guerre rendent actuellement impraticable le contrôle régulier des nouvelles de presse concernant la Belgique occupée ; lorsqu'il s'agit de nouvelles indirectes, il est seulement possible, en certains cas, de s'assurer de l'exactitude de leur texte ou de leur substance, par un contrôle de leur source première de publication. On aura donc égard aux classifications ci-après : (x) signifie : Information indirecte et qui, tout en présentant des caractères suffisants de vérité. n'a pu être contrôlée sur source. (xx) signifie : Information indirecte qui a pu être contrôlée sur source. (xxx) signifie : Information de source officieuse ou officielle belge. Les notes d'information directe et personnelle ne sont précédées d'aucun signe Adresser les oommunioations de service : 29, rue Jacques-Louer, LB HA.VR.E (Seiue-lnférieure) France Les dépenses de guerre du gouvernement belge. — La Gazet van Brussel, organe paraissant en Belgique occupée avec privilège de la censure, allemande se basant sur de prétendues indications officieuses qu'elle aurait trouvées dans la presse hollandaise, évalue, dans son supplément financier du 16 septembre 1917, à douze milliards le chiffre de la dette publique belge, alors qu'avant la guerre il était de cinq milliards. « Par conséquent, le Havre a dépensé sept milliards en trois ans », conclut-il ; « la guerre nous coûte au moins deux cents millions par mois ». Il résulte de renseignements recueillis au Havre auprès de l'autorité belge compétente, que ces chif• fres sont foncièrement inexacts. Cette autorité déclare officiellement que les dépenses totales du Gouvernement belge ne vont pas à la moitié du montant indiqué. A la date même de l'article, 16 septembre 1917, ces dépenses, exclusivement assurées par les avances des puissances alliées, s'élevaient exactement à trois milliards trois cent trente millions deux cent mille francs. Encore importe-t-il de noter que près du tiers de ce total répond à des dépenses qui ne sont pas de guerre à proprement parler : il comprend, en effet, neuf cent quatre-vingt-sept et demi millions de subsides versés à la Commission Américaine pour le ravitaillement de la Belgique occupée. Il faudrait tenir compte d'autres éléments encore pour établir la part propre aux dépenses purement militaires : ainsi, le Gouvernement belge a tenu à honneur d'assurer, en pays alliés, le service de la dette publique — -tel l'emprunt émis à Londres au début de 1914 — alors que les Allemands ont d'emblée et radicalement supprimé ce service dans le pays occupé, bien qu'ils détiennent les chemins de fer et les autres régies d'Etat dont le revenu constitue, ou peu s'en faut, l'équivalent des charges de cette dette. Mais ce qui vient d'être dit suffira pour remettre les choses au point et dissiper la fantasmagorie des deux cents millions par mois. En marge du communiqué. — Comment une reconnaissance belge a capturé des prisonniers. — C'était au nord de Dixmude, dans la nuit du 20 au 21 octobre, ainsi que l'a signalé le dernier communiqué belge. La lutte d'artillerie avait fait rage tout le jour. Les batteries belges, canonnant les travaux • ennemis avec une précision magnifique, y avaient causé de graves dommages. Les pionniers avaient poursuivi stoïquement leur travail, sous le feu violent des Allemands. La situation paraissait donc favorable pour aller fouiller la rive ennemie de l'Yser, explorer les organisations démolies et ramener quelques prisonniers L'entreprise fut confiée à un parti de volontaires sous les ordres du lieutenant Kervyn de Mérendré. Après avoir franchi l'Yser, cette poignée d'hommes résolus s'enfonce dans la nuit noire. Rampant à même la terre boueuse, les braves progressent lentement, parmi les fondrières et les trous d'obus pleins d'eau, à travers la bande de terrain découverte que balaye un tir régulier de mitrailleuses allemandes. Les voici devant les travaux ennemis. Mais la reconnaissance a dû être aperçue, car elle peut voir des ombres grises prendre la fuite, tandis qu'un furieux tir d'artillerie ennemie se déclanche sur la longue tranchée à explorer. Il semble impossible de pousser plus loin à travers ce barrage de feu. Mais les hommes ne se sont pas avancés jusqu'à portée même du but convoité, pour se retirer sans avoir accompli leur mission. Une voix héroïque s'élève : « En avant, dans le feu ». C'est le sergent Shoder qui s'élance. Avec un mépris splendide du danger et de la mort, malgré la pluie de fer qui s'abat de toutes parts, il fouille les abris, ne laisse pas un coin inexploré jusqu'à ce qu'il ait enfin trouvé ce qu'il cherche : deux Allemands blottis dans un abri presque intact. En vain tentent-ils de résister. Se débarrasser d'un des adversaires, empoigner le deuxième et le désarmer, sont l'affaire d'un instant. Alors, sous les obus qui martèlent sans relâche la tranchée à présent vide, le sergent Shoder ramène sa capture, tremblante et affolée. La petite troupe maintenant, s'est ralliée. Encouragé par ce premier succès, son chef décide de poursuivre plus loin les recherches, quand brusquement une volée de grenades s'abat autour des hommes. Une patrouille allemande est là, toute proche. La lutte s'engage immédiatement, ardente et brève. Accueillis à coups de fusil, assaillis de grenades qui éclatent avec fracas, menacés par l'artillerie belge qui s'est mise de la partie, les Allemands se décident à fuir. Les Belges aussitôt s'élancent à leurs trousses. Et la poursuite commence, de trou d'obus en trou d'obus, dans la boue épaisse et profonde. Un Allemand s'enlise dans la vase en poussant des cris d'effroi. Un de nos hommes l'en retire pour le ramener, prisonnier déconfit et gluant de fange, sur la rive gauche de l'Yser.

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This item is a publication of the title Informations belges belonging to the category Oorlogspers, published in Le Havre from 1916 to 1919.

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