Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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13 January 1915
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s.n. 1915, 13 January. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Seen on 03 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/8k74t6jd5t/
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Mercredi 13 janvier Ii)I3 ±o centimes le numéro S9rne année - N° 13 JOURNAL DE GAND ABONNEMENTS : BELGIQUE : i 5 fr. par an ; T-50 fr. pour six mois ; \ fr. pour trois mois Pour l'étranger, le port en sus RÉDACTION & ADMINISTRATION : 3, RUE IDE FLANDRE, 3, GA.3STE TÉLÉPHONE 665 ANNONCES : Voir le tarif au bas de la dernière page du journal. la victoire de Botha Lorsque, dit la « Belgique », les première nouvelles d'une rébellion des Boers arrivërei en Europe, personne ne fut plus étonné que 1< Holandais et les Allemands, eux qui connai sent et qui aiment cet élément sympathique i l'Afrique du Sud. On savait qu'il existait pa mi eux beaucoup de mécontents, mais on s vait aussi que leur mécontentement avait bie moins pour cause la domination anglaise qi le régime de Botha. Pourquoi une révolte co tre l'Angleterre qui leur laisse faire ce qu'i veulent? Pourquoi une révolte dans cette p riode de la guerre mondiale où la puissant de l'Angleterre n'est pas encore affaiblie? Au début on haussa les épaules et on atte dit; puis arrivèrent les premiers détails, 1< premiers noms. On nous parla de Dewet, i Beyers, de beaucoup d'autres; mais pas c tout d'un personnage que l'on considéra comme prépondérant : on ne nous dit jama rien de précis touchant le général Hertzog.P; le fait même, pour ceux qui sont tant soit pv au courant des dessous de la politique actuel dans l'Afrique du Sud, la croyance en la réu site d'une révolte des Boers s'évanouit compl tement. Une révolte contre Botha, que le g néral Hertzog ne daignait même pas appuyé ne pouvait rencontrer aucune chance de su cès. Et, de fait, aujourd'hui la révolte sud-afi caine est définitivement matée : Dewet e prisonnier, Beyers s'est noyé dans le Va* leurs commandos sont désarmés et dispersé On se fait en Europe beaucoup d'idées fau ses relativement à la situation des Boers dai l'Union Sud-Africaine. Tout d'abord, il ne pe plus être question spécifiquement des «Boen que nous avons connus il y a vingt ans. Quar on parle des Boers, on se les représente avi ces figures de trappeurs romantiques, que b journaux illustrés, à l'occasion de la révol açjuelle, oiu exhumées vUe*leurs vieuAs-carion Ce type du Boer existe toujours, il est vr£ mais il ne joue plus aucun rôle, ni politique, numérique. Tous ceux qui se faisaient rema quer économiquement et politiquement £ fransvaal et dans l'Etat Libre d'Orange ; sont réunis, après la fondation de l'Union Su Africaine, avec les Afrikanders du Transva et de la Colonie du Cap pour former le Grai South African Party. Ce parti, dominant a jourd hui, et qui a comme adversaire les Uni nistes anglais et le parti ouvrier, n'est pas t parti boer. L'expression de Boer n'est plus J heure actuelle une caractéristique politiqui elle est une caractéristique purement social Le parti sud-africain traverse en ce momei une forte crise intérieure. Les Bothaïsthes « les Hertzogistes se combattent dans les me tings, les journaux et au Parlement, mais c n a qu à observer la force numérique des dei groupes en présence pour reconnaître combie est faible désormais la chance d'une r bellion réellement anti-anglaise dans l'Afriqt du Sud. Jusqu'il y a peu de temps, Louis Botha éta le chef incontesté de la poitique boer sud-afr çaine. Le vainqueur de Colenso et de Spion kop ne s'est jamais affirmé comme le repn sentant d'une politique anti-anglaise. On n pas non plus réfuté l'accusation portée contr lui peu avant qu'il devînt ministre, le 31 m 1910, d'avoir entamé des négociations directe avec Jameson, pour l'entrée éventuelle de c< ennemi acharné des Boers dans un ministèr de coalition. Les idées de Botha étaient certa nement empreintes de loyalisme et cet homm a jusqu'à présent mené à sa remorque, la trè grande majorité de son parti. La politique d race (au fond il est absurde de considérer le Anglais et les Boers comme représentant deu races sud-africaines), cette politique que Lou: Botha a défendue depuis qu'il est premier m nistre, a une tendance manifeste au compn mis. Il prévoyait pour l'avenir — ce qu'il n' évidemment jamais pu déclarer de façon off cielle — une fusion organique des deux parti de population blanche de l'Afrique du Sud, savoir l'élément anglo-boer et l'élément ar glais. Cette fusion, dans laquelle il ne faut pa négliger de comprendre le parti important de Français huguenots du Cap, s'achève rapide ment aujourd'hui sous l'influence du clima de la situation économique et de l'oppositio continue de la race noire. On peut parler, san crainte de se tromper, de la naissance d'un race nouvelle, d'une race propre sud-africaine L'opposition latente des sud-africains contre le Européens s'efface comme l'opposition de Boers contre les Anglais. Déjà l'Anglais qc immigre dans l'Afrique du Sud ne reste plu longtemps anglais. A ce propos on discut beaucoup en Afrique du Sud sur le point d savoir si ce sont les Boers qui s'anglicisent o bien les Anglais qui prennent des allure ;s boers. En réalité, tous deux se concentrent e ^ un seul : l'Africain du Sud de l'avenir ne sei :s ni le vieux Boçr campagnard du temps de l'or s" cle Paul, ni l'Uitlander greffé sur la civilisa 'e tion sud-africaine. r" Favoriser la production de ce nouveau type a_ tel a été l'unique but de Louis Botha dans s 11 politique, et l'opposition — tant des Unioniste ie que du parti ouvrier — l'y soutient par la fore des choses. Mais, même dans son propre pai ls ti, on est assez convaincu du sort futur réserv à l'Afrique du Sud pour lui permettre d'exei :t cer à loisir sa politique de méditation et d compromis. Il n'y a pas longtemps que l'oppc 1_ sition a pris dans les propres rangs de so :s parti des formes plus prononcées, et le fa 'e que cette opposition était dirigée par l'ancie u commandant Hertzog a seul pu faire croir 11 aux non-initiés que la rébellion actuelle ava ,s quelque chance de succès. ir Le petit groupe parlementaire dont Hertzo u est le chef et qui s'était, peu avant la guerre le séparé publiquement de Botha et de son part s" combat pour un dualisme bien limité dans toi tes les branches de la politique, notammer 5" en ce qui concerne la question des langues. r' Il envisage — ce qu'il ne reconnaîtra év c_ demment jamais ouvertement — la prédom 1_ nance future de la civilisation boer-hollandais st sur la civilisation anglaise. En défendant théc riquement le dualisme légalement garanti, il s- jusqu'ici empêché l'établissement, projeté de s" puis longtemps, d'une grande université. Ave ls une ténacité infatigable, ce groupe s'oppose Jl tous les essais du gouvernement qui tendent favoriser l'immigration, dans la conviction qu lc* chaque nouvel immigrant signifie renforce :c ment de l'élément anglais et augmentation d la concurrence. Notons que certains Boers s livrent encore à une agriculture fort primitive s- alors que res immigrants 'se montrent dan '• l'Afrique du Sud, comme partout ailleurs,beai 11 coup plus agissants au point de vue économ r~ que. u Les exigences extrêmes au point de vue d ie la langue et les autres particularités du pre ■*' gramme de Hertzog sont appuyées par tout ^ une série de Boers intellectuels. Ce sont géne a ralement des théologiens d'observance orthe J" doxe, formés dans les séminaires, où on eu tive le vieux piétisme boer si souvent décri 11 Quoi qu'il en soit, tout ce qui se remu a comme anti-anglais dans l'Afrique du Sud v dans le petit parti de Hertzog. C'est à eux sut tout que pensèrent en Hollande les amis de Boers, lorsque les premières nouvelles d'u mouvement anti-anglais arrivèrent en Europe Mais on nVntendi. rien dire d'une participa 11 tion quelconque de Hertzog lui-même à cett x rébellion. Il s'était prononcé, il est vrai, a n Parlement contre une partic'pation active à 1 î_ guerre des troupes de l'Union (laquelle d e reste n'a aucun droit de décision pour les trou pes impériales et la flotte), Il n'a pas renié 1 1 premier rebelle Marits, mais a essayé de joue le médiateur entre lui et Botha. En tout éta de cause, malgré sa haine pour l'Angleterre il ne croyait pas le moment venu de tirer d« a cette haine des conséquences révolutionnaires e Pour autant qu'on puisse en juger en Europe 1 cette révolte n'avait pas été organisée; elli S n'était que la mise en scène de mouvement A sporadiques et dispersés de quelques mécon . tents. ÉCHOS s x Trop de zèle s Dans leur zèle pour la protection des animaux i- quelques propagandistes anglais étaient allé: >- jusqu'à faire dire des prières publiques pour qui chevaux et chiens aient le moins possible i a souffrir des horreurs de la guerre. L'évêque d'Oxford s'en est ému. Dans uni s lettre pastorale aux prêtres de son diocèse, i interdit de mêler les bêtes aux litanies. « Il es a suffisant, dit-il, de prier pour que les homme: soient bons envers les animaux. » s LA GUERRE Sur le M occidental 5 Bulletin allemand affiché à Gand s Grand quartier général. 10 janv. — Sur U i ligne Nieuport-Ypres et plus îu sud, des com s bats d'artillerie. ; L'attaque française à La Bois (nord-est - d'Albert) a échoué complètement. i Au nord de Soissons le combat continue, s A l'est de Perthss, les Français se sont vu i enlever de nouveau, avec, de grandes pertes à en soldats, une partie de leurs retranchements. Dans l'Argonne, l'avancqj continue. Communiqué officiel allemand. Grand quartier général. 10 janv. — Le s mauvais temps continua hier encore. La Lys a inondé les champs voisins, sur une largeur de 800 mètres parfois. Les tentatives enne-^ mies de nous chasser de nos positions dans les dunes, près de Nieuport, échouèrent. e Au nord-est de Soissons^ les Français répé-tèrent leurs attaques, qui avaient été repous-h sées hier avec de fortes pertes. Plus de 100 t prisonniers restèrent dans nos mains. Les com-n bats se poursuivent encore. g A l'ouest et à l'est de Perthes (nord-est c' t Chàlons) les Français ont attaqué de nouveau avec violence. Les attaques échouèrent avec g de grandes pertes pour les Français. Nous avons fait à peu près 150 prisonniers. Dans l'Argonne nous aVons gagné du ter-, rain. Ici. de même que dans les environs d'A-|t premont (au nord de Toull les combats continuent.j Le 8 janvier, les Français essayèrent de re-j prendre Ober-Burnhaupt pendant la nuit. L'at-e taque échoua complètement. Nos troupes ont K fait prisonniers 230 Français et se sont empa-rées d'une mitrailleuse, de sorte que le butin fait à Ober-Burnhaupt est de 2 officiers, 420 c soldats et une mitrailleuse. ^ Les Français eurent ici de grandes pertes: ^ un grand nombre de blessés et de morts se e trouvent devant le front et dans les forêts. Dans la Haute-Alsace, il ny eut que de pe-tits combats. A minuit nos soldats repoussè-e rent à Nieder-Aspach une attaque française. s La situât i- Berne, 10 janv. (Wolff). — Le « Bund » écrit i- au sujet de la situation : Peu à peu 4 positions du front allemand nous furent notifiées. Lom-e bartzyde-Ypres — Lens-Albert-Pertes — Les-mesnil-Flirey-Cirey — et enfin Steinbach-Senn-e heim (Cernay), cette dernière ligne plus excentrique et où les faits demandent, pour pouvoir être suivis, une grande attention. En traçant un ligne passant par les villages cités, on voit que le front n'a pas subi de grands changements depuis bien du temps. Communiqués officiels français s Paris. 7 ianv., 23 h.— De violentes attaques n ennemies sont signalées dans la région de ^as-signy, en Argonne, au croisement de la roiite de Four de Paris à Varennes et du chemin de ; la Haute-Chevauchée, dans la région de Ver-j dun et sur une colline qui domine Stainbach. a Paris, 8 janv., 15 h. — L'artillerie ennemie t pendant toute la journée d'hier, a déployé - beaucoup d'activité en Belgique et dans la ré-3 gion d'Arras. L'artillerie française a répondu r Dans le secteur d'Arras, dans le bois de t Berthonval, nous avons été obligés, sans avoir été attaqués, d'évacuer une certaine partie de ; nos tranchées, où nos hommes se trouvaient dans la boue jusqu'aux épaules. A la gauche de La Boiselle, notre ligne de tranchées a avancé et nous avons occupé la ' route de La Boisellle à Aveluy. Dans la vallée de l'Aisne, le duel d': -tillerie a été. très vif. Les « Minenwerfer » ennemis nous ont infligé des pertes; mais, l'après-midi, nous avons réduit le feu allemand au silence. L'engagement d'infanterie entre Bétheny et Prunay a été extrêmement violent. En Argonne, à l'ouest de Haute-Chevau-, chée, l'ennemi a fait sauter notre première ! ligne de tranchées, qui a été complètement détruite. Une violente attaque que l'ennemi a : aussitôt effectué, a été repoussée. I Sur lis Hauts de Meuse, ainsi qu'entre la t Meuse et la Moselle, il n'y a rien à signaler. 1 Un ouragan n soufflé pendant toute la journée.*>. .cf 1 Sur le front oriental Bulletin allemand affiché à Gand Grand quartier général, 10 jan.— En Prusse orientale et au nord de la Pologne, pas de changements.A l'ouest de la Vistule, à cause du mauvais temps, nous n'avançons que lentement. Communiqués officiels allemands Grand quartier général, 10 janv. — Le temps ne s'est pas amélioré, sur tout le fronl la situation ne changes pas. De petites attaques russes au sud de Mlawa furent repoussées. Berlin, 11 janv. (Wolff). — Le communiqué officiel russe du 7 janvier dit que les Russes ont pris le village Brozowo entre Prasnysz e Mlawa, ont repoussé en même temps nos troupes et ont fait prisonniers un grand nombre de nos soldats. Cette nouvelle est de pure invention ; le village de Brzozowo ne fut jamâis occupé par nos troupes. Au contraire, dans la nuit du 5 ai 6 janvier, trois compagnies russes qui s'avan çaient sur la chaussée de Grudusk ont atlaqut le village de Borzisie-Rodzwori. L'attaque fut repoussée sans difficulté, ur homme fut blessé et aucun ne fut pris. Le; pertes des Russes ne purent être évaluées i cause de la tempête de neige qui dura toute 1; nuit. La situation Bern, 10 janv. (Wolff). — Le « Bund » croi que les attaques allemandes dans la contrée dt Sucha mèneront à un combat décisif de grandi importance. Chaque combat qui refoule un peu les ligne: ennemies, rend de plus en plus faible cette aile de l'armée russe, qui en se retirant, mettra au) mains des Allemands la capitale Varsovie. Communiqué officiel autrichien Vienne, 11 janv. (Wolff). — La situation gé nérale ne changea en rien. Au sud de la Vistule les Russes bombardèren nos positions sans résultat. Ils dirigèrent leu: feu contre la hauteur du nord-est de Zaklizyn qui est occupée par nous. Au nord de la Vistule, de violents combat: d'artillerie. La tentative de l'ennemi de passer la Nid: échoua totalement. Tout est calme dans les Carpathes. Deux détachements d'éclaireurs, qui arrivé rent trop près de positions en Bukowine, furen dispersés par le feu de notre artillerie et de no: mitrailleuses. Communiqués officiels russes Pétrcgrade, 7 janv. Du grand état-majo général. — Sur la rive gauche de la Vistule le calme a régné toute la journée, sauf sur h front Sucha-Bolimow où de petits combats on eu lieu. Les Allemands s'efforcent de se rapprochei le plus possible de nos positions; ils se serven de tunnels et de boucliers d'acier. Aucun changement dans la situation en Ga licie. Nous continuons notre offensive dans In Bu kovine. Petersbourg, 10 janv. (Wolff). — Le grant quartier général russe annonce que sur le fron en Pologne il n'arriva rien d'important depuis le 8 janvier, si ce n'est dans la contrée d( Meierei Moghely où une lutte opiniâlre continue encore. Le « Journal de Gand » esl en veille dans les locali'és suivantes A Gand A Anvers A Audenarde A Bruges A Bruxelles A Lessines A Mouscron A Ostende A Tournai avi S Les personnes qui désirent se charger de la vente du JOURNAL DE GAND soit à Gand, soit dans d'autres localités du pays, sont invitées à se présenter au bureau du Journal, rue de Flandre, 3, ENTRE 8 et 10 HEURES du matin. En France Paris, 10 janv. (Wolff). — Dans un article au sujet du développement de la guerre, le « Temps » écrit ce qui suit : « La guerre a pris un caractère tout a fait spécial, auquel on ne s'est pas attendu. On a affaire maintenant à une guerre d'épuisement: c'est pourquoi l'impatience, si dan-j gereuse en semblable occurence, est à éviter. . L'Allemagne peut, en dépit de ses grandes ; pertes en soldats, amener encore une grande réserve. Les Alliés ne peuvent l'emporter qu'au prix des plus grands sacrifices. L'Allemagne n'est pas encore à bout de ses forces, ne l'oublions pas. Les plus grandes difficultés commenceront au Printemps, bien entendu si les pays neutres ne changent pas de politique. La guerre que la France mène en ce mo-^ ment est une dure épreuve pour le désir de voir la fin de ces opérations, mais il faut de la patience. En Angleterre Une conférence socialiste Berlin, 9 janv. — Le «• Berliner Lokal I Anzeiger » apprend d'Amsterdam qu'aujour-d'hui se réunira à Londres une conférence socialiste. Douze leaders des socialistes belges, français et anglais y prendront la parole. La situation de guerre y sera longuement discutée. >t>. — En Suisse Le nouveau Président t Le président de la Confédération Suisse pour l'année 1915 est le plus jeune des 7 membres du Conseil fédéral, M. G. Motta, Motta est né en 1871 à Airolo (au pied du Sf-Gothard), dans le province Tessin. Sa langue maternelle est donc l'italien ; son prédécesseur, Hoffman, était n'en Suisse allemande.Motta a fait ses études universitaires en Allemagne, à Munich et Heidelberg. On peut s'attendre à voire suivre par Molta la politique de Hoffman au sujet de la neutralité suisse. t». En Mer Encore la perte du « Formidable » Londres. 9 janv. (Wolff). — l'Amirauté publie une liste ' - marins qui se sont noyés lors de la perte du « Formidable ». Elle comprend plus de 500 noms. Sur le front Austro-Serbe Communiqué officiel autrichien Vienne, 11 janv. (Wolff). — Sur le théâtre de la guerre il y eut un combat d'artillerie à l'est de Trebinje; nos troupes avancèrent jusqu'à la frontière. Au Transvaal Communiqué officiel Pretoria. 8 janv. — Les troupes de l'Union ont occupé Schuitdrift le 5 de ce mois. Elles ont eu cinq blessés. L'ennemi après avoir détruit tous les ponts et moyens de communication s'est retiré sur la rive nord de la rivière Orange.

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