Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire

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s.n. 1914, 08 April. Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire. Seen on 03 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/db7vm43t4s/
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MercrecH 8 Avril 1914 ÜN NUMERO.CINO CENTIMES Mercre'di 8 Avril 1914 Franco en Beigique Un an 5 Ï5 w, » ,» 6 mois s 8 fr „ »» 3 mois: 4 fr. Franco en Hcllande Un an : 22 fr. » Union-postaie » 32 fr. 0/2 s'abonne au bureau du Journal et dans tous les bureaux de poste, ADMINISTSATION TELEPHONE 56? FEÜHlLE F0LITï§üEbLITTERAIRE ET CÖWMERCÏALE. - FOHDÊf El 084 iJÉökcTIOW ET ABMNfSTïiATÏÖÏ^ § flOULEVAB® DE LA SAIJYENIÈIIE,'25 _'2l Oi »: Annonces. ;ö a lalïgnjé,USesai Reclames. ; o- o ■ • »40 cent, Faits divers. . ° o »1 franc Reparations judieiaires *3 francs Informations financières »3 francs Avis de sociétés ia peats ugss30 cent. Emissions. . D. » »1 franc REDACTION TELEPHONE 91? Salle du Journal cio Liëg-e EXPOSITION DART Gravures Meubles et Tableaux (ancien, moderne, reconstitution) OEUVRES EXPOSEES : •GBAVORES ! Originaux .- die Millière, Gil-soul, Lüigiai, Coppens, B.aertsoen, Jourdain, Praipont, de Latonay.-. Simon, Robbe, etc. Estampès d'après Demarteau, Huet, .Xubifir» Bartiholl-ozzl, BonnetT JTnCtcïmes • AvriLAu-. dr.an, Dospl-aces, 'Salvaitor Rosa. 'MEU-BLES : Bois-natu-rul V Époque Louis XV. Dorés •'Styles Louis XIV, Louis XV, Louis XVI. Lti'StPëSÏ^ÖÏ&sTScluptés, etc. TABLEAUX. ANCIENS ET REPRODUCTIONS : de Laiiësse-et autres. —O— EXPOSITION DE Copies Artistiques de Toiles 'Je Maïfres anciens et modernes obtenues a Paide du procédé.* 2'H£MOP£iNTURE Principaux ar Us Les figurant a cette Exposition : ANCIENS. — iBoilIy, Fragonard, Greuze, Jordaens, Lawrence, Lépicié, Leonard de Vinci, ïtembi'anaU, Reynolds, -Ruysdael, Le Titien, Vestier, Watteau. MODERNES. — Bouguereau, Calame, Chabas, --Dctaille, Deïaro'che, Lerapoel, Meis-sonior, Montïcelli, Muiénier, Regnault, Rundel, Robi^uêt?*W^y3öfc. °* L'Exposition sera ou verte tous les jours de 10 heures a 1 heure et de 2 heures a 6iieures du soir. ENTREE LIBRE Nous avöns dit que M. Poincaré, Président de la 1-vépubl'iquc. avait été interrogé p'aJ'M. Foriehon, ju1 ge d'instruction. -eliyj Nous aye-ns dit ég-aleinent que la deposition da chef de l'Etat avait été précé-dée- et iriGÜvée'par une deposition de l'ancic-n ministre des finances devant- M. B-oucai"cLcai"cL..'.^V'.^'' . yoici la teneur, des deux .dépositioais ^signées par MM. Poincaré et Caillaux/teJIesi qu'ellês ont été rédigées après leur'témcf*' gnage verbal ! SU. (( Je vous demande de réserver pour une date mtêrdeure ia déoosition plus complete que je serai amene a vous. faire.. Je vouwais, des jftrj ourd'hui, relater un fóït'uNra^ïe^témoignage de M. le président de la .Uépu'tliqüfi, s'il vent 'bien le donner, iflüffitmera Pcxactitude. et öüqruéï sans doute le premier magistrat de la Républl-, que ajoutera. *" Le lundi 16 mars, j'étais convcqué.par M. le président de la République, pour mraï^lïëirrês et quart, aux fins de np entre-. ttenir 'dtffetPM. le président du conseil et lui des affaires de l'Etat. Lorsqfiïe l^riïfr%t] iea'! rut terminé,. je demandiai a M. Is présiüent de la Rëpufcli-' qiie la permission de rèrftrètenir seul, ce qu'il vótrlüt. b:'.e;-i ra'afccordK' ;sur-le-champ., J'indiqua ï" alors a 'M. le n resident de la RépH)lsi.*.rir uie que nous ipp/Ö^ienaions. ma femme et mol, la publication de lettr&s privées , Caillaux était a Maaiers avec Mme Gueydan, un pacruet de lettres lui fut dérobé la nuit dans le tiroir de son bureau. Toutes ces lettres étaient écrites par M. Caillaux >a 'Mne Rainouard,'devenue depuis" Mme Caillaux et déjS, divorcee aioró. L'une, tres courtc. était xédigée sur d'u napier a en-tSte ft Conseil General de la :Sarthe » et l'autre sur papier a en-tête « Cbombre des Deputes ». Dans cette dernière lettre, longue de seize pages, M. Caillaux exposait sa vie intime deouis pmsieurs années. « Je dévelóppais dit-il, les raisons, dont les principales étaient déduites de ma i situation politique, qui m'interdisaient de mo dégager immédiatement des liens créés en 1^6. » Lorsque M. Caillaux eut constaté que les deux lettres lui avaient été prises, il proposa a sa femme, soit Ie divorce, soit une reconciliation, mais en mettant a Tune et a l'autre de ces solutions une condition : la restitution des lettres. Mme Gueydan opta peur la reconciliation et comme gage, le 5 novembre 1909, a son domicile, 22, rue Pierre Charron, les deux lettres furent ibrftlées en presence de M. PrivatDescba-nel, secretaire general du ministère des finances. Avant de brüler les lettres en .presence de M. Privat-Deschanel', M. CaülauXj demanda a sa femme d'attester qu'elle n'en avait garde ni photographic ni copie. Mme Gueydan' affirma solennellement qu'elle n'avait rien garde. M. Caillaux continue alors, en proie a une vive emotion .- «■;M. Privat-Deschianel, qui a été le témoin de cette période critique de ma vie, vous dira que, confiant dans Ia parole de ma femme, ie m'étais complètement réconcilïó avec elle. J'écartais alors de ma vie tout souci intime. Ma quietude devait être |dtecourte durée et mes resolutions se mo; 'dijfifcrent- q/ueïques mois après lorsqu'il im-'apparut que je nc pouvais pas ne pas introduire une 'demande en divorce. G'rst ■C rt ]nfue'e^ aucommencement de juüieÉ 1910. Le divorce fut prononcé le 9. mars [1911', 'après'*a.ccord entre les' époux. Quelques mois anrès le divorce, en octobre 1911, alors que M. Caillaux était président du Conseil, son chef du cabinet, M. Desclos, eiui'a un jour dans son cabinet pour l'infornier que M. Vervoort, alors rédacteur au Gil Bias,, avait 'eté invite par Mine Gueydan de publier des lettres sur lesquelles il donna a M. Caillaux des détails qui se référaient exactement aux lettres qui avaient été soustraites a la lettre parue dans le Figaro le 13 mars. ' M. " Caiilauix indique que dans son esprit les trois lettres faisaient bloc. M. Caillaux se souvient tres nettement d'avoir répondu a M. Desclos ■ Ce sont les lettres qu'on m'a volées, ajoutant: Leur publication me serait fort péni'ble è, cause de leur caractère intime, mais uniquement a cause de cela. Je ne puis croire qu'il se trouverait un journal..ayant quelquc sentmxent de son devoir et de sa dignité et quelque respect de sa profession pour user de parodies armes. M. Desclos répondit qu'en tous cas ni M. Vervoort ni Pierre Martin, qui était incönnu de M. Caillaiux a cette époque, ne cpnsbntiraient a ce qu'on leur demandait. Queliques semaines après eet incident, M. Caillaux se remaria et épousa Mme Rai.nouard.. Par ce deuxième mar-ïage, il trouva le bOjQdieur con\pJ.et. Ma femme, dit-il, fut la compagne la pjus aimante, la plus attentive qui se put^voir ; en même temps qiue l'associéc la plus' vigüante et la miewx. ïnforméo. Nous vivions dans une étï'oite en-tentede cceur et d'esprit. Je sais les bruits qui ont ctmru sur ia^pretenduie désünion ds" notre ménage. Périodiquement nous en revenaient des échos. Nous comprenions bien, ma femme] et moi, que ces échos iai£aientnpartie intégrante de Ia campagne que cea*tains org;a.nes',de la presse, et en tets le Figaro, menaient -contre moi depuis deux ans et demi. Aussi n'v attaohi ons-nous null e imPflgj,ance. "Comibien die lois, eet hiver, ne nous somm-es-iious -pas amuses ensemble .des 'ra-^l cqntars qui me représentaient comme le riwtltde SlV*Salmette auprète d'une femme. En cet-endroit, Ia dépositï&n de M. Caillaux est intérfom'pue pour quelques instants. ■ M. pcüncarê sur la Cöte d'Azur Nice, 7. — Les dames de la Halle ont voulu, élies aussi, fêter l'arrivée du présiaéuit de la Re'publique et de Mme Pomcaró. Revêtuts du traditionnel costume nicois, olies se sont rendues a la villa.pré. sSdentiielle et ofCrirent a Mmq Poïncaré' une fairfc jolic gerbe de .fieurs. Mme Poiucaré, acconiï'aguée des colonels Poneionjot Adcibert, jys remercia vivement de leur aimable attention. Le President et Mme Poincaré sont partis ce matin a pied pour visiter le vil|a§,e d'Eze et les hauteurs environnantes. ALLE.5LAGNE Wotaeil encidoiTi't: a Saver«© Saverne, 7.-^11^' aVjuielque'teaips, p'lusieurs sousofficie is du I32e. regiment ji'iu^1 -fanteriéi^ui'f^aient partie du détacheih%-ïtt rcsté_;a.' Sa^errié, avaient organise un. feSp^ife'fiecturjie devant ia maison-du bourgL rnéstre.' Or, selon les nouvellës'd-onnées par VEVsdsser, les sous-officieris se sont excuses -auprèk du bourgmestre en djs'abt qu'ils arvaiafet éüè' tui peu ivres et qu'ils n'avaient pas eu la moindtf'e1-intention de l'offenser. L'affaïre de ia cavs du Pandoer Strasbourg, 7. — Le tribunal de Saverme s'est ciccupé ce matin des> deanandesi en dcmmagos-intérêts déposées; par les 27 hati'itants de 'Savcrne qui passèrent la nuit du 24 novembrc;dernier dans la cave du Pandour. Le tril:olution, elles trouvent aussi les deux parti'si divisés sur le point suivant : le goufvernement veut que le bill soit tout d'a1bord; pranJuTgué : (c Nouis n'avons plus^ Si : demander au pays d'approuver Ie bill, dijsent leg miniêtres ■; nous n'avons qu'a lui I demander de nous autoriser a recourir éventuellement a la force. » L'opposMion répond V « Le 'dfytinguo n'est pas admissible. En réalité, le gou-: vernement cherche a mettre l'cpposition 1dans -le plu.*- grand embarras au cas oü 1elle l'emporterait aux- elections); Ie nouveau gouvernement conservateur devrait alors arraoher a I'lrlande nationoliste une -loiidéja bien vivante. » Le bill a été adopté en deuxième lecture ; piar 355 voirx contre 275. Le gouvernement ne le soumettra a la Cifoambre des lords que dans quelque temps, afin de permettre encore a des négociations de se nouer. Une fois que ia ' GhamfÖre des lord's 'aura repoussé l'srwfllj celui-ci, ayant été vote, par les Communes dans trois sessions successiveg, pourra devenir loi automatiquement. Une conférence du Labour party Londres, 7. — Une conférence du Labour ' Pfasrty a eu» lieu mardi a Londres. Une ré-'; solution a été votée conseillant aux membres du parlement de repousser la clause ;caucernant la deportation, dans le bill sudafricain d'indemnité, qui a dü être déposé lundi et qui prévoit la deportation! en cas de haute trahison, de sedition, de violences publiques, complot ou incitation a com\ mettre les dits crimes. ' La grève frfjnïère Londres, 7. — Un milliër-.de mineurs ont cessé le travail aujourdlhui au puits de i Nowborough dans le Nor^pmJjerland. La [grèVe provient de ce que la direction, veut pay ei" dorénavant les travailléurs -aps.' pièi ces; tandis que les ouvriers réclament le I paicmeni; a la jo-urnée. RTJSSÏE La crise ouvriere Saint-Pétersbourg, 7. — Une certaine' ef' fervescence s'est maiijfest(SBS4sr parmi les é.üudiants de quelques éifaiblissements scolaires provoquée paf la situation de la classe ouvrièrë a ia suite -de l'épidénij.^, d'un caractère' encore mal défini, qui s'est déclarée ,dans plusieurs usrnes. Les mesu-, res .prises par la police ont empêéhé 1'extension de ce mouvement. Les journaux annoncenjt que, de leur cóté, les ouvriars^. atteints .piar le -lock-put, ont tenu une reunion au cours de laquella la question de la grève générale a été agitée et rejetée ensuite pour raison d'iiiop: portunité. La Gazette de la Bourse enregistre Ie bruit d'une conférence entre les représentants de la Douma, du Coi'SBeil'd&H'Enipil'e: et de quelques groupements ouvriers dans le but d'étudier de.concert la solution qu'il est possible d'appbrter aux problèmes ouvriers. Il est a remarquer que, jus qu'a présent,: les groupements ouvriers avaient été ignores dans les spheres gouvernementales et: que ce serait la première fois, par conséquent, qu'on les admettrait a émettre leur opinion. AXTTEÏirin^ ■La santé de E'empereur Vienne, 7. — D'après desvijenseignements de source süre, TEmpereur Frangois-Jose/ph. qui avait soünert' passagèrement d'un léger rhume, . est a nouveau en parfaitè santé. L'Empereur a -recu -aujourd'hui en.audience particuliere, le prince Francois de ■Baïièrc, ainsi que Ie ministre des finances austrohongYóis M. vonj^riös)ky et d'autres dïgnitaires. TITKÜUIE La révolte Kurde < Constantinop-Ie,- 7. — D'après les dernièrës nouvelks, l'ordre a été rétablï ia Bitlis et de nonï'breux Arméniens se sont joints aas .soldats. contre les ,Kurae9i-r-,, " Bien1 que los balies' frappassont sans ces-, se le bureau du tejegxapjj'é, i^iïï^e?JtfljM graphiste a^c'ontinué a tran'smettrè les messages du jbuvöineür 'a la Por te. Tout indique qtue le mouvement était pré. pare depuis quelque temps et quïl',^aitt Girigié contre le'gouvernement parce qu'il ^ï'fïftéhföön d'introduire des réformes. Dans les. cercles fai*méniens on loue le l&Uvernement pour son attitude nette~*eij érierglque et 'on.' exprime l'espoir qu'avec Papiplication des *réforincs on inaugui'era une ère de tranquillité et de pröspériié póui* l'Arménie. _; '"Jl--s_éibbJc que les récentst é-vénements| aierit* eu pour -éffèt de hater la communication^ Ui,Porte de ia liste contenant les noms des Imuts fonctionnaires étrangers parmi lesquels 1-a- -Porte aura a choisir les dieux inspecteurs généraux pour l'Anatolie oriëntale. La -liste a été ecmmuniqnée au grand^*i-zir^* eet après-midi. sénarément par les am^assii^eurs^ des grander! ■ (puisa,a,nces ; elle coufient les nonis de deux fonctionnaires bëïgés, deux Ï-Iollandais et un Norvégien. SUEDE Le rcj va être opérë Stockholm., 7. — Les médecins qui soignent le Rol et au nombre desquels se trouve le conseiller intime Dr (FAeiner de Heidelberg ont rédigé aujourd'hui au sujet de Pétat de santé diu Roi Gustave le (bulletin suivant j Les examens médicaux qui ont eu lieu au cours des dernières -semaines pt qui sont maintenant'teaninés ont révélé a notre avis que le Roi souff re d: un ulcere a Pestomac. Le mal a empire au cours des derniers mois, de telle sorte que nous conlUdérons une jópératïon .comme \& seul moyen qui noufi permette d'espérer ö, coup sür que la santé du Roi puisse se rétablir. Le Roi a donnó son consentement a nos avis et a exprimé le voeu que l'öpération soit . fait e lo plus tot possible. MEXIOÜE On se bat a Tampico La Vera Cruz, 7. — Selon un radiotélégra.mirao recu" par le consul amérioain, un oombat sérieux a commence dimanche dans les faubourgs de Tampico et a continue pendant touto la jouTn;ée- de^lundi>JjAucun détail n'a été.Jr-e^u^sauÉ qu'il y a de nombre ux lues et blesses, qui ont été _apportés a Tampico. INBES HOJiLASTBAISES Un a.ssas8inat dans un train Batavia/ 7. — Un, caissier chinois qiii portait a la vüle-un sac contenant M.000 dollars, a été tué dans un train express pres dn tunnel de Bandöapjr (Batavia). Le conps a été jeté. par la fenêtre au wagon. Les assassins ont Stë arrêtés. Paris, 7. — Le 'üemps annonce que M. Herbauxf conseiller 'a la cour de cassation, a accepté en principe le poste de procureur general que M. Bienvenai-Majrtïn • jut , ai'offert ce matin. En ce qui 'concerne la nouvelle situation de M. Faibre, le ministre de Ia justice n'a pas encore pris do decision. Il semble, dit le Temps, que le garde, des sceaux a renonce a la mise a Ia reteaite, mesure a laquell e le gouverneiriént' avait" d'abord songé. M. Fabre recevrait une compensation qui consisterait dians Pattribution d'un poste a la Cour de cassation. M. Bien venu-Martin a, en outre, decide de faire comparaïtre devant le Conseilvj^ périeur de la magistrature, M. Bidaulfew l'Isle. * Londres, 7. — La Triple Entente a éla», : borë un projet de réponse a la dernièr.ej note grecque et les- tröis puissances qui w ' composent ont voulu avant tout maintenii' l'unanimité des grandes puissances. L'e" projet de réponse est done sur le point 1 d'etre communiqué-aux rpmissances dë "lai Triplo Alliance afin de se mettre d'accord avec''ellês• süir la teneur de cette réponse nnanime a faire a la Grèce. Il sejiait prómabarë .de donner le sens de 'cette réponse avant q«e l'accord soit accompli, d'autant alus que le projet de la Triple Entente peut encore recevoir des modifications, bien que les trois puissances se soient faspirées en grande partie des principes déja accectés par les plus intéressées des puissances de la Triple A> li'atieê. Les négociations prendront quelque temps avantiqiie'la'réponsë puisse être remise a la GrèGeS.' ' '.Vienne. 7. — Ón mande de Durazzo a la Nouvelle Presse Libre : Les rèbelles, qui avaient pris part au soulèvement d© Coritza, sësont complètement soumis et ont èt-é tiéstmiés'. '"-'- Le métropolite de Corifza, cönsidóré comme Tauteur de ce soulèvémèrt, a été arröté. Saint-Pétersbourg, 7. — La Novoie Vre- mja annonce que M. Poincaré arriveia le 9^2 juillet procbain a Cronstadt ét lei-al en Russie' uh-séjoxir dë 4 jours. * Athèncs, 7. — Les troupes greoques se trauiyanit~- óncore en Epirë ont recu des ordrós dlaigiï de telle 'facon que l'évacuation ouisse avoir lieu en quelques heures, dans "le cas,oü une communication dans ce sens serait' faïie par les puissances au gouvernement gfec. L-P e "radicale Le scandal e nui vient de disloquer le miniïïtère r'adicalsocialisVe francais a,^'sF vèrement jutgé par la presse beige de tous les partis. Pour queïqüies journaux, cependant, les aclês de tim. .Caillaux, Monis et rïium'er-^UÊ ■cliant l'iaffsj'-e F.cc.o.ette d:>u-:..m;, dJans'le„[d.&at oui a suivi la m'ört de M 'Calmette ensuite Ane sont que des psecadilles. Les vrais coupables ce sont' MM. Briand et Barthou qui ont permis de découvrir le pot aux roses. Qu'on ne se récrie pas; yoici ce que VExpress■ix^Qxim.e sous la signature G. L. (Georges Lqi*and) : « La Commission' a constaté des chosesinfcöntestables, toutes les choses' qui ré'sultaient'- de son enquête, et- les seulcs qui en sont résul'fcées : olie, a blaroé Mftl Cail.laux. et Monis pour leur intervention enfaveur :de -la-remise de raffaire-RocbettP';; ello a fiétri Pempressement des magistratsa .se prötér. è. .ceüte.remise ;. elle^a blamé M.Briand et surtouit M. Barthou pour l'usiagöisingulier qu'ils ont fait du document deM;f Eabrenx:-ffifÜmBtfl n> Elle a distribue1le t»3ame -avec_ justice. » EUe ne pauvait évidemment aller audelia et mettre en accusation des. ïpinistreo qui se sont rendus coupables, parcamara-derie enr&rs un avocat, d'une intrursion abiusiye d'ans 1'administration- de la justice, mais contre lesquels on n'a pas mè-. me relevé une apparence de forfaiture ou de concussion. o) La Chambrë ne pouvait faire que cela, >) Quiant au gouvernement, il s'est absten,u de teute intervention et il y a lieu de Pen louer./ '. » L'attitudo de M. Doumergue a été d'une correction parfaite. » N'en dépUiise a M. Lorand, nous ne pensons pas que 1 opinion liberale le suive dans sa tentative de 'blanclrir les mi-nistres qui ont agi sur les magistrats, non .r^ar camauaderie pour un avocat, cela résulte a toute evidence de la deposition de ce dernier et de Paffirmation de son cliënt Rochette, mais 'a l'iriitervention de ce dernier. Quiant ai In correction de M. Doumergue, affirmant è. la Ghambre avoir Ignore l'existence d'un document dont il avait.eu parfaitement connaissance, elle se rév6Ie encore par sa bate a tirer de M. Falb-re une . vengeance qui acbè-vei*ait de disqualifier le cabinet qu'il preside. On ne peut que se railier, sur ce point, a ces conclusions! du Temps ; a Toute mesure brutale, lésant, dians son honnömr de magistrat et dans ses inifei'ètsM. Victor Fabre, serait ia juste Utre considére'e commeun acte de représailles émanant du 'ministère actuel. lljaiitesterait, en dépit des demissions, .la surviviance d'une solid'ari'té ctroite entre lui et les collègues qui durent,Palléger de leurs responsabilités . personnel!esi. Il centinueraifc Paffaire scandaleuse dont nous espérions av.pir en- (rjegjistré la, fin. A. défaut d'autres sentï- jnients, l'habilete' devrait conseiller au oabinet Doumergue de ne pas sure-barrier sa iresponsabilité et de s'en .remettre .loy^Xöiment au conseil supérieur de la magi&tna^ 'ture pour prononcer le mot définitif, qui clorait ce debat deplorable. » La Soï seculaire Dans le discours qu'il a prononcé a Tongrès'j M. Paul Hymans, tres acclanie, s'est Occupé de la loi scolaire. « Avec cette loi, a-t-il dit, ils ont cl'fé une equivoque nouT veile. Nous serions, nous. les ennemis de la liberie de l'énseignement et du. pè-re.'de familie. Gorimient,' avec tant d'impudénce, modifier les situations. On veut rechris.tyyaiser. la Beigique, revenir au.monopole de'^lé'glise. Nous avons combattu sans rclachë' dés mois durant. Et, pourtant, on nous a tout röfQÈé*-* Nous allons payer des écoles sans pouvoir y pénétrer, sans savoir ce qui s'y i passé. ».i- Voilfa qui donne lieu ia bien des reflexions. L'Etat n'aura, domain, aucun pou-voir sur les écoles qu'il va combler tout , particulièrement de subsides et il sera le ! maïtre de celles qu'il subsidiera le moins ' généreusement. ■ N'est-ce pas un comble ! Dans quel pays l'Etatjoue-t-il un röle aussi... naïf pour ne pos dire plus. Quel est l'étiage móral de ces écolesi ? ■ Hier; .aü Sénat, M. CoullieE-aïffinnait qu'en IFlsndre leur niveau était bien bas, Leur personnel étant beaucoup plus préoccupé de propagande electorale que de l'énseignement des enfants. !';. L'Etat capendant ne veut rien en savoir ; : il paie, cela lui suffit. j ' .vCje' régime, évidemment. ne pourra du.i. rei*' que tant que les cléricaux seront au ]-ppuvoir, majfi .dans un pays comme le nöJ-trè, devraitil être implanté, un pays de !Ibón sens et de ïogiqüe...Or )il est d'un illojgisme tel qiu-ü ne s'eoBpliqjue que par la ■ passion politique poussée a Pextrême^ ;, J ^Gomme l'a dit si bien M. Paul Hymans, nous allons payer des écoles sans savoir j-qö.Totei^s'y passé. Pas de controle ! Il n'y a rien de comparable dans la soci^té -et, 'cela vaut les protestations indigné&s du j Sénat.. MM. Peten et Neven Le voeu. de tous les Hbéraux du Limbourg c'est de voir MM. Peten ét Neven se representor et venger leur échec du 2 juin 1912. Après ce qui s'est produit au congres ' provincial dë Tongres, on peut l1 e sparer. M. Peten a-été élu pendant deux législa- 'tures, M. Neven dunant Pespace d'une. Pourquoi ne retrouveraient-ils pas leurs premiers électeurs ? La corruption s'exercera encore, c'est cer- itajn.. mais on ne pourra acheter tous les mécontents dont le nombre grandit sans cesse dans le Limbourg comme dians les autres provinces. f^MMf 'Peten et Neven incarnent en quelque sorte 'Ta bourgeoisie liberale du Lim- ■bourjgv-Ce sont.les.phefs qu'il faut pour la mener a la revanche. Une Siciuroustj decision Les sénateurs' l'fcénaux ont pris une heurëiise • resolution en décidant d'appliquer a la discussion de la loi scolaire la nième methode que celle adoptée par Popposiübn dcda-Chambre, C'est-a-dire qu'ils donner ont è. la discussion générale, toute I'ampleur voulüe etexamincront les larti'oles avec le pluis grandsoin. iC'estrleur droit.' ! .Si on le méconnaïl-, ce sera l'obstruc-tion-, mais -'dans cette éventualitè seule-, ment Plusieurs droitiers participeront a la discussion générale, notamment MM. Ligy, Devolder et V^ndenpeerefboonh Programme firjancier cdenial Le comité chargé de preparer la reorganisation financière de la colonie, se réuiiira plusieurs fois au cours de Pété, sous la présidence de M. jiLiÖbiaert, Il devra avoir terminé sa tache en octobre M. Renkin devant sounrettre a la Clhambre, a la rentree de novembre, le nouveau plan financier avec le budget de ia colonie. Ce plan englobera, paraït-il, Ia question des chernins de fer. Les cömpartimonts do tro-seïeme << Si M. Ie ministre des chernins de fei avait lUngénïeusc idéé de visiter les' wagons de 3e classe qui circulent sur le railway • national il se~rendrait vite compta de l'état maipropre de -ces vditures ; l'aérage y'esi "insuiffisa.nt.' les mesurés d?iiygi'£në' aibsolument nulles, la surveillance... absente. » Qui parle des oompartiments de troisiènie avec tant de vérité. Sans doute un organe de l'opposition, se faisant Pécho des plaintcs de.milliers ,de voyageurs. Nullement, c'est le Patriate' cjui s'exprime ainsi. On ne peut done dire qu'il s'agit la d'une critique de parti. Chacun la ratifiera et il y_..a beau,ïtenips que les wagons de 3e au.raient. dü étre pourvus d'un système d'aérage plus commode et plus saluibre. Et être plus conförtables. La formation du personnel colonial M: Renkin a installs, hier après-mldi, a 2 heures, la conunission chargé e d'étudierles meilleures methodes de recrutement et de formation du personnel colonial et de soumettre au gouvernement un programme pomplett id'études préparatoires iaux carrières coloniales dans la colonie beige. Cette commission sera présidée par M. Galopin, professeur a PUniversité de Liége. M. Renkin, dans son discours, a constaté Pimportance capitale d'une bonne formatï&Wl du personnel colonial. Le gout des carrières cdloni ales', «a-t-il dit, doit être favorisé dès Pécole primaire et moyenne. C'est pourquoi l'examen du programme d'enseigrièment a «ous les degrés retiendra sans doute Pattention de la commission ayant qu'il n'entame Pélaboration du prograramë des études spéciales destinées aux dandidats fonctionnaires. Le ministre a invite a rechercher les methodes capables de développer chez les future, agents les qu'alités supérieures qui font Phomme d'action. Dans les pays qui ont une longue experience de la colonisation, a-t-il ajouté, le chpix du personnel supérieur est soumis £i" cèrtaines régies, a' une selection constante qui vise a ne courSearver- dans les cadres que les fonctionnaires les plus qualifies. La commission appréciera dans quelles mesures il convient de nous inspirer de ces enseignements pour proposer des dispositions compatibles avec nos institutions et avec les besoins de la colonisation. Il serait desirable que ïa commission ne se dé- ■ sintéresse pas de Ia formation complémentaire du personnel en activité de service. L'Anniversaire du Roi Une revue des troupes A Poccasion du 39e anniversaire de la naissance du Roi, le lieutenant general Leman passefa, ce mercredi, a, 11 heures, la revue dies troupes de la.garnison. j Les troupes seront en tenue de moblli-:, sation -d'hiver et seront place es sous le com-' mandement du';général-major Vermeulen. Le göriéralmaior Deguise aura le commajudement- de l'artillerie de forteresse et du génie. Les troupes seront-gtablies, face a l'Ouest (l'artillerie montée face au Nord), sur les jt'eiTe-pIeins du'iboulevard d'Avroy, de l'avenue Blonden et du^quai de Fragnée ; 'a i dirqité (a'la hauteür de la rue Bertholet, dans l'ordre suivant, de la droite a la gauche. 12e -brigaJde mixte ; 14e brig-ade mixte ; ! 3eU'artillerie ^aHiileiie de forteresse, troupes du génie ; 2e lanciers. La 12e B. M. s'étendra de la rue Bertholet è la. Trinck-Hall ; Ia 14e, suivie du 3 A, de la Trinck-Hall a, Pextrémité sud de ;l'avénué Blonden ; l'E.-M. du general-major Deguise ; l'artillerie de forteresse. Je génie et le 2e lanciers, au truai de Fragnée ■, ■ ces trois derniers corps disposant respectivement de 175, 75 et 175 m. environ en front. Le 12e regiment de ligne sera formé 'a2 bataillons de 3 compagnies g 3 pelotons. La compagnie universitaire sera répartie entre les unites ; lë Uïe^ ü 4 bataillons de 3 com; pagnies a 3 pelotons ; Pnrmlerie de forteresse, a 2 bataillons de 3 compagnies ó. 3 pelotons ; le génie de forteresse formera 2 compagnies de 2 pelotons ; le 'génie divïsionnaire, 1 compagnie ia, 2 pelotons ; ces trois compagnies seront réunies en un* ba-taillon sous les opdr.e du cap it ain e-commandant Simohét ; les group es d'artillerie des 12e et 1de B. 31, 'ainsi que le 3e d'artillerie' seront \k 2 batteries de "4 pieces et 4 cais-' sons ; Ie 2e lanciers sera foiïné' a 4 escadrons de 3 pelotons. Les troupes seront en place a 10 h'. 50. Après la revue, les troupes défileront sur front de peloton sur le terre-plein du boulevard ;4'Avroy, entre' les rues Bertholet et Hazinelle. Après le défilé, elles suivront le boulevard' de la Sauvenlè're, jusqu'a Ia place du ,Théa-" tre, oü se fera la dislocation. Lamusique du 14e continuera è, jouei pendant le défilé de l'artillerie de forteresse et du génie. Retraite militaire Une retraite militaire aura lieu aujourd'hui. A eet effet, les corps ci-après fourniront : 1") 12e et 14e de ligne : la musique et tous les clairons disponibles ; 2°) 2e regiment de lanciers : tous les trompettes disponibles. Ces détachements. en tenue du jour, seront rendus a la date précitée, a 20 heures, ala' casernie des Ecoliers. La retraite, formée dans l'ordre sui;A1ant; : trompettes du 2e lanciers, clairons et musique du 12e de ligne, clairons et' ïmusique du 14e de ligne, parcourra l'itlnéraire ciaprès : ; Caserne des Ecoliers, Boulevard de la Constitution, pont 'MagtMn, rue Féronstrée, place StLarobert, place Verte, place du Theatre, rue de la Casquette, boulevard de la Sauvenière, rues du Pont d'Avroy, de La Cathédrale, de PUniversité, places du Theatre, Verte et St-LamrJert. he plus ancien chef de musique aura ladirection du cortege et prendra ses dispositions pour arriver place St-Lambert a 9 heures précises. A ce moment, les trompettes et clairons sonneront successivement la retraite, après quoi les 2 nlusiques réunies exécuteront la Brabanconne. ÜlïL ilIIL DE Lil •Séanee du mardi 7 avril 1914. Présidence de M. Gust, Kleyer, bourgmestre. Le Conseil a tenu une séanee a buis-clos, au cours de laquëlle il a pris les decisions' reprises ci-après : è'ètes. — Le Conseil a statue sur les nombre us es demandes de subsides introduites pour l'organisation de iètes pendant eet été. Les allocations suivantes out été votées -. 2.503 francs au Royal Sport Nautiqrae de la.Méuse, pour les negates ; 500 francs a 1'Association Liégeois'e des Sociétés féde--. " rees dë gymnastique, pour sa i'ètc annuelle; •* aCO» irai'jcs ia TUnion dès sociétés de Gym-.'" nastiquo du Bassin, de Liége, pour l'orga' nisation Idle la 28e fête régionale de l'Est de la Beigique ; 150 francs a la Société des Amateurs du ieui de balie, pour des concours la organiser place de Bavière et place Jehanle-B'el ; 500 francs a la Féderation des Anciens mUitaires de la province de Liége, oour l'organisation du cortege' 'traditionnel ala Tcmbè des Cómbatlants de'1830 ; 3.0IO francs a la Section LiégéLuxembouirg-, de l'Association de la Presse Beige, pour l'organisatioa d'un Congres ; 5.000 frames & la Société Franklin, a l'occasion de .son cinqiuantenaire ; 1.000 francs è, ïa Société mutuelliste des SouïdsMuets de I'arrondissement de Liége, ia l'occasion de son 50e anniversaire ; 500 fr. a la Société générale de tir ia l'arme nationale beige,' pour l'organisation d'un concours i 3.000 fr. pour l'organisation de concerts publics par des sociétés d*.armonie et de fanfares a designer par l'admi-' nistration cömm^iaiale. Dejfiapiïes réservées. — Les d'emaiides' de LiégeAttractions pour fêtes diverses et des Amities Francaises pour l'organisation d'une semaine d'amitié wallonne, ont été réservées. Beavx-Arts. —| Un subside de 3.000 francs est alloué a l'Association pour l'Encouragoment des beaux-arfs. Écoles primaires. — Sont nommés : is instituteur, M. Henri Charpentier ; 5e instituteür, M. -Ferfiand Bonhomme ; 5e instituteur a titre provisoire, M. Gaston Vara Damme ; 3e institutrice, Mme Ma-tnil'de . Uol'yLegros ; 14e instituftrice, Mile Julie Bellefroid ; 5e institutrice, Mile Alpbonsine Moyaerts ; 5e'institutrice a titre provisoire Mile Jeanne Delrez: professeur d'allemamd Mile Jeanne Zangerlé. Jardins d'enfants. — Sont nommées : lre maïtresse, Mme Edile Torfs-Gomrée ; 2e maitressc . Mme Fanny Llioest-Tnéate ; 3e maïtresse. Mile Marie bebain. Crèches. — Mmes Carlier-Brolet et Dighaye-Ladsous ont été nommées directrices de crèches. MM. les docieurs Lenger f ils et Delmotte ont été nommés médecins-inspecteurs des Crèches. M. Léon Beco est nommé médecin honoraire. EcSles prof Rue de VOfficial. — Le Conseil a modifié l'alignement de Ia rue de I'Offlcial en portant a dix metres la' largeur de cette artère entre la place du Theatre et ia rue StMichel. Le Ier mai. — Congé a été vote au personnel de la -ville et des écoles. Hospices. — Le nouvel administrateur, nommé lunoi. est M. Albert Lacroix, avo' cat, et non M. Henri 'Lacröix, comme le ■■ portait notre compte-rondu. JKópital. — A été approuvée la nomination de M. le docteur Paul Leieune en . qualité de chirurgien titulaire a" l'hópital 1des Anglais. La Propaganda Liberale FEDERATION DES JEUNES GARDES LI- BERALES ET P-ROiGRE-SSISTES DE L'ARRONDiiSSEMENT DE LIEGE A l'occasion du Congres annuel des Jeunes Gardes libérales et prdgressistes de Beigique', , qui a lieu dimanche et lundi prochain, a -Namur, la Federation de I'arrondissement de Liége organise une excursion a Namur, a prix réduits. Les membres des groupes' fédérés peuvent ainsi obtenir au prix de un franc seu? Ument, un coupon Liégë^aïnur, aller et retOuT 3e classe ; faire conriciitre en s'inscrivant si Pon désire revenir le dimanche soir, ou le lundi soir. Les inscriptions sont recues jusquë jeudi soir, dernier délai, chez M. Wathelet, rue StPierre, 28.

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