Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire

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s.n. 1914, 08 April. Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire. Geraadpleegd op 03 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/db7vm43t4s/
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MercrecH 8 Avril 1914 ÜN NUMERO.CINO CENTIMES Mercre'di 8 Avril 1914 Franco en Beigique Un an 5 Ï5 w, » ,» 6 mois s 8 fr „ »» 3 mois: 4 fr. Franco en Hcllande Un an : 22 fr. » Union-postaie » 32 fr. 0/2 s'abonne au bureau du Journal et dans tous les bureaux de poste, ADMINISTSATION TELEPHONE 56? FEÜHlLE F0LITï§üEbLITTERAIRE ET CÖWMERCÏALE. - FOHDÊf El 084 iJÉökcTIOW ET ABMNfSTïiATÏÖÏ^ § flOULEVAB® DE LA SAIJYENIÈIIE,'25 _'2l Oi »: Annonces. ;ö a lalïgnjé,USesai Reclames. ; o- o ■ • »40 cent, Faits divers. . ° o »1 franc Reparations judieiaires *3 francs Informations financières »3 francs Avis de sociétés ia peats ugss30 cent. Emissions. . D. » »1 franc REDACTION TELEPHONE 91? Salle du Journal cio Liëg-e EXPOSITION DART Gravures Meubles et Tableaux (ancien, moderne, reconstitution) OEUVRES EXPOSEES : •GBAVORES ! Originaux .- die Millière, Gil-soul, Lüigiai, Coppens, B.aertsoen, Jourdain, Praipont, de Latonay.-. Simon, Robbe, etc. Estampès d'après Demarteau, Huet, .Xubifir» Bartiholl-ozzl, BonnetT JTnCtcïmes • AvriLAu-. dr.an, Dospl-aces, 'Salvaitor Rosa. 'MEU-BLES : Bois-natu-rul V Époque Louis XV. Dorés •'Styles Louis XIV, Louis XV, Louis XVI. Lti'StPëSÏ^ÖÏ&sTScluptés, etc. TABLEAUX. ANCIENS ET REPRODUCTIONS : de Laiiësse-et autres. —O— EXPOSITION DE Copies Artistiques de Toiles 'Je Maïfres anciens et modernes obtenues a Paide du procédé.* 2'H£MOP£iNTURE Principaux ar Us Les figurant a cette Exposition : ANCIENS. — iBoilIy, Fragonard, Greuze, Jordaens, Lawrence, Lépicié, Leonard de Vinci, ïtembi'anaU, Reynolds, -Ruysdael, Le Titien, Vestier, Watteau. MODERNES. — Bouguereau, Calame, Chabas, --Dctaille, Deïaro'che, Lerapoel, Meis-sonior, Montïcelli, Muiénier, Regnault, Rundel, Robi^uêt?*W^y3öfc. °* L'Exposition sera ou verte tous les jours de 10 heures a 1 heure et de 2 heures a 6iieures du soir. ENTREE LIBRE Nous avöns dit que M. Poincaré, Président de la 1-vépubl'iquc. avait été interrogé p'aJ'M. Foriehon, ju1 ge d'instruction. -eliyj Nous aye-ns dit ég-aleinent que la deposition da chef de l'Etat avait été précé-dée- et iriGÜvée'par une deposition de l'ancic-n ministre des finances devant- M. B-oucai"cLcai"cL..'.^V'.^'' . yoici la teneur, des deux .dépositioais ^signées par MM. Poincaré et Caillaux/teJIesi qu'ellês ont été rédigées après leur'témcf*' gnage verbal ! SU. (( Je vous demande de réserver pour une date mtêrdeure ia déoosition plus complete que je serai amene a vous. faire.. Je vouwais, des jftrj ourd'hui, relater un fóït'uNra^ïe^témoignage de M. le président de la .Uépu'tliqüfi, s'il vent 'bien le donner, iflüffitmera Pcxactitude. et öüqruéï sans doute le premier magistrat de la Républl-, que ajoutera. *" Le lundi 16 mars, j'étais convcqué.par M. le président de la République, pour mraï^lïëirrês et quart, aux fins de np entre-. ttenir 'dtffetPM. le président du conseil et lui des affaires de l'Etat. Lorsqfiïe l^riïfr%t] iea'! rut terminé,. je demandiai a M. Is présiüent de la Rëpufcli-' qiie la permission de rèrftrètenir seul, ce qu'il vótrlüt. b:'.e;-i ra'afccordK' ;sur-le-champ., J'indiqua ï" alors a 'M. le n resident de la RépH)lsi.*.rir uie que nous ipp/Ö^ienaions. ma femme et mol, la publication de lettr&s privées a 'Mne Rainouard,'devenue depuis" Mme Caillaux et déjS, divorcee aioró. L'une, tres courtc. était xédigée sur d'u napier a en-tSte ft Conseil General de la :Sarthe » et l'autre sur papier a en-tête « Cbombre des Deputes ». Dans cette dernière lettre, longue de seize pages, M. Caillaux exposait sa vie intime deouis pmsieurs années. « Je dévelóppais dit-il, les raisons, dont les principales étaient déduites de ma i situation politique, qui m'interdisaient de mo dégager immédiatement des liens créés en 1^6. » Lorsque M. Caillaux eut constaté que les deux lettres lui avaient été prises, il proposa a sa femme, soit Ie divorce, soit une reconciliation, mais en mettant a Tune et a l'autre de ces solutions une condition : la restitution des lettres. Mme Gueydan opta peur la reconciliation et comme gage, le 5 novembre 1909, a son domicile, 22, rue Pierre Charron, les deux lettres furent ibrftlées en presence de M. PrivatDescba-nel, secretaire general du ministère des finances. Avant de brüler les lettres en .presence de M. Privat-Deschanel', M. CaülauXj demanda a sa femme d'attester qu'elle n'en avait garde ni photographic ni copie. Mme Gueydan' affirma solennellement qu'elle n'avait rien garde. M. Caillaux continue alors, en proie a une vive emotion .- «■;M. Privat-Deschianel, qui a été le témoin de cette période critique de ma vie, vous dira que, confiant dans Ia parole de ma femme, ie m'étais complètement réconcilïó avec elle. J'écartais alors de ma vie tout souci intime. Ma quietude devait être |dtecourte durée et mes resolutions se mo; 'dijfifcrent- q/ueïques mois après lorsqu'il im-'apparut que je nc pouvais pas ne pas introduire une 'demande en divorce. G'rst ■C rt ]nfue'e^ aucommencement de juüieÉ 1910. Le divorce fut prononcé le 9. mars [1911', 'après'*a.ccord entre les' époux. Quelques mois anrès le divorce, en octobre 1911, alors que M. Caillaux était président du Conseil, son chef du cabinet, M. Desclos, eiui'a un jour dans son cabinet pour l'infornier que M. Vervoort, alors rédacteur au Gil Bias,, avait 'eté invite par Mine Gueydan de publier des lettres sur lesquelles il donna a M. Caillaux des détails qui se référaient exactement aux lettres qui avaient été soustraites a la lettre parue dans le Figaro le 13 mars. ' M. " Caiilauix indique que dans son esprit les trois lettres faisaient bloc. M. Caillaux se souvient tres nettement d'avoir répondu a M. Desclos ■ Ce sont les lettres qu'on m'a volées, ajoutant: Leur publication me serait fort péni'ble è, cause de leur caractère intime, mais uniquement a cause de cela. Je ne puis croire qu'il se trouverait un journal..ayant quelquc sentmxent de son devoir et de sa dignité et quelque respect de sa profession pour user de parodies armes. M. Desclos répondit qu'en tous cas ni M. Vervoort ni Pierre Martin, qui était incönnu de M. Caillaiux a cette époque, ne cpnsbntiraient a ce qu'on leur demandait. Queliques semaines après eet incident, M. Caillaux se remaria et épousa Mme Rai.nouard.. Par ce deuxième mar-ïage, il trouva le bOjQdieur con\pJ.et. Ma femme, dit-il, fut la compagne la pjus aimante, la plus attentive qui se put^voir ; en même temps qiue l'associéc la plus' vigüante et la miewx. ïnforméo. Nous vivions dans une étï'oite en-tentede cceur et d'esprit. Je sais les bruits qui ont ctmru sur ia^pretenduie désünion ds" notre ménage. Périodiquement nous en revenaient des échos. Nous comprenions bien, ma femme] et moi, que ces échos iai£aientnpartie intégrante de Ia campagne que cea*tains org;a.nes',de la presse, et en tets le Figaro, menaient -contre moi depuis deux ans et demi. Aussi n'v attaohi ons-nous null e imPflgj,ance. "Comibien die lois, eet hiver, ne nous somm-es-iious -pas amuses ensemble .des 'ra-^l cqntars qui me représentaient comme le riwtltde SlV*Salmette auprète d'une femme. En cet-endroit, Ia dépositï&n de M. Caillaux est intérfom'pue pour quelques instants. ■ M. pcüncarê sur la Cöte d'Azur Nice, 7. — Les dames de la Halle ont voulu, élies aussi, fêter l'arrivée du présiaéuit de la Re'publique et de Mme Pomcaró. Revêtuts du traditionnel costume nicois, olies se sont rendues a la villa.pré. sSdentiielle et ofCrirent a Mmq Poïncaré' une fairfc jolic gerbe de .fieurs. Mme Poiucaré, acconiï'aguée des colonels Poneionjot Adcibert, jys remercia vivement de leur aimable attention. Le President et Mme Poincaré sont partis ce matin a pied pour visiter le vil|a§,e d'Eze et les hauteurs environnantes. ALLE.5LAGNE Wotaeil encidoiTi't: a Saver«© Saverne, 7.-^11^' aVjuielque'teaips, p'lusieurs sousofficie is du I32e. regiment ji'iu^1 -fanteriéi^ui'f^aient partie du détacheih%-ïtt rcsté_;a.' Sa^errié, avaient organise un. feSp^ife'fiecturjie devant ia maison-du bourgL rnéstre.' Or, selon les nouvellës'd-onnées par VEVsdsser, les sous-officieris se sont excuses -auprèk du bourgmestre en djs'abt qu'ils arvaiafet éüè' tui peu ivres et qu'ils n'avaient pas eu la moindtf'e1-intention de l'offenser. L'affaïre de ia cavs du Pandoer Strasbourg, 7. — Le tribunal de Saverme s'est ciccupé ce matin des> deanandesi en dcmmagos-intérêts déposées; par les 27 hati'itants de 'Savcrne qui passèrent la nuit du 24 novembrc;dernier dans la cave du Pandour. Le tril:JjAucun détail n'a été.Jr-e^u^sauÉ qu'il y a de nombre ux lues et blesses, qui ont été _apportés a Tampico. INBES HOJiLASTBAISES Un a.ssas8inat dans un train Batavia/ 7. — Un, caissier chinois qiii portait a la vüle-un sac contenant M.000 dollars, a été tué dans un train express pres dn tunnel de Bandöapjr (Batavia). Le conps a été jeté. par la fenêtre au wagon. Les assassins ont Stë arrêtés. Paris, 7. — Le 'üemps annonce que M. Herbauxf conseiller 'a la cour de cassation, a accepté en principe le poste de procureur general que M. Bienvenai-Majrtïn • jut , ai'offert ce matin. En ce qui 'concerne la nouvelle situation de M. Faibre, le ministre de Ia justice n'a pas encore pris do decision. Il semble, dit le Temps, que le garde, des sceaux a renonce a la mise a Ia reteaite, mesure a laquell e le gouverneiriént' avait" d'abord songé. M. Fabre recevrait une compensation qui consisterait dians Pattribution d'un poste a la Cour de cassation. M. Bien venu-Martin a, en outre, decide de faire comparaïtre devant le Conseilvj^ périeur de la magistrature, M. Bidaulfew l'Isle. * Londres, 7. — La Triple Entente a éla», : borë un projet de réponse a la dernièr.ej note grecque et les- tröis puissances qui w ' composent ont voulu avant tout maintenii' l'unanimité des grandes puissances. L'e" projet de réponse est done sur le point 1 d'etre communiqué-aux rpmissances dë "lai Triplo Alliance afin de se mettre d'accord avec''ellês• süir la teneur de cette réponse nnanime a faire a la Grèce. Il sejiait prómabarë .de donner le sens de 'cette réponse avant q«e l'accord soit accompli, d'autant alus que le projet de la Triple Entente peut encore recevoir des modifications, bien que les trois puissances se soient faspirées en grande partie des principes déja accectés par les plus intéressées des puissances de la Triple A> li'atieê. Les négociations prendront quelque temps avantiqiie'la'réponsë puisse être remise a la GrèGeS.' ' '.Vienne. 7. — Ón mande de Durazzo a la Nouvelle Presse Libre : Les rèbelles, qui avaient pris part au soulèvement d© Coritza, sësont complètement soumis et ont èt-é tiéstmiés'. '"-'- Le métropolite de Corifza, cönsidóré comme Tauteur de ce soulèvémèrt, a été arröté. Saint-Pétersbourg, 7. — La Novoie Vre- mja annonce que M. Poincaré arriveia le 9^2 juillet procbain a Cronstadt ét lei-al en Russie' uh-séjoxir dë 4 jours. * Athèncs, 7. — Les troupes greoques se trauiyanit~- óncore en Epirë ont recu des ordrós dlaigiï de telle 'facon que l'évacuation ouisse avoir lieu en quelques heures, dans "le cas,oü une communication dans ce sens serait' faïie par les puissances au gouvernement gfec. L-P e "radicale Le scandal e nui vient de disloquer le miniïïtère r'adicalsocialisVe francais a,^'sF vèrement jutgé par la presse beige de tous les partis. Pour queïqüies journaux, cependant, les aclês de tim. .Caillaux, Monis et rïium'er-^UÊ ■cliant l'iaffsj'-e F.cc.o.ette d:>u-:..m;, dJans'le„[d.&at oui a suivi la m'ört de M 'Calmette ensuite Ane sont que des psecadilles. Les vrais coupables ce sont' MM. Briand et Barthou qui ont permis de découvrir le pot aux roses. Qu'on ne se récrie pas; yoici ce que VExpress■ix^Qxim.e sous la signature G. L. (Georges Lqi*and) : « La Commission' a constaté des chosesinfcöntestables, toutes les choses' qui ré'sultaient'- de son enquête, et- les seulcs qui en sont résul'fcées : olie, a blaroé Mftl Cail.laux. et Monis pour leur intervention enfaveur :de -la-remise de raffaire-RocbettP';; ello a fiétri Pempressement des magistratsa .se prötér. è. .ceüte.remise ;. elle^a blamé M.Briand et surtouit M. Barthou pour l'usiagöisingulier qu'ils ont fait du document deM;f Eabrenx:-ffifÜmBtfl n> Elle a distribue1le t»3ame -avec_ justice. » EUe ne pauvait évidemment aller audelia et mettre en accusation des. ïpinistreo qui se sont rendus coupables, parcamara-derie enr&rs un avocat, d'une intrursion abiusiye d'ans 1'administration- de la justice, mais contre lesquels on n'a pas mè-. me relevé une apparence de forfaiture ou de concussion. o) La Chambrë ne pouvait faire que cela, >) Quiant au gouvernement, il s'est absten,u de teute intervention et il y a lieu de Pen louer./ '. » L'attitudo de M. Doumergue a été d'une correction parfaite. » N'en dépUiise a M. Lorand, nous ne pensons pas que 1 opinion liberale le suive dans sa tentative de 'blanclrir les mi-nistres qui ont agi sur les magistrats, non .r^ar camauaderie pour un avocat, cela résulte a toute evidence de la deposition de ce dernier et de Paffirmation de son cliënt Rochette, mais 'a l'iriitervention de ce dernier. Quiant ai In correction de M. Doumergue, affirmant è. la Ghambre avoir Ignore l'existence d'un document dont il avait.eu parfaitement connaissance, elle se rév6Ie encore par sa bate a tirer de M. Falb-re une . vengeance qui acbè-vei*ait de disqualifier le cabinet qu'il preside. On ne peut que se railier, sur ce point, a ces conclusions! du Temps ; a Toute mesure brutale, lésant, dians son honnömr de magistrat et dans ses inifei'ètsM. Victor Fabre, serait ia juste Utre considére'e commeun acte de représailles émanant du 'ministère actuel. lljaiitesterait, en dépit des demissions, .la surviviance d'une solid'ari'té ctroite entre lui et les collègues qui durent,Palléger de leurs responsabilités . personnel!esi. Il centinueraifc Paffaire scandaleuse dont nous espérions av.pir en- (rjegjistré la, fin. A. défaut d'autres sentï- jnients, l'habilete' devrait conseiller au oabinet Doumergue de ne pas sure-barrier sa iresponsabilité et de s'en .remettre .loy^Xöiment au conseil supérieur de la magi&tna^ 'ture pour prononcer le mot définitif, qui clorait ce debat deplorable. » La Soï seculaire Dans le discours qu'il a prononcé a Tongrès'j M. Paul Hymans, tres acclanie, s'est Occupé de la loi scolaire. « Avec cette loi, a-t-il dit, ils ont cl'fé une equivoque nouT veile. Nous serions, nous. les ennemis de la liberie de l'énseignement et du. pè-re.'de familie. Gorimient,' avec tant d'impudénce, modifier les situations. On veut rechris.tyyaiser. la Beigique, revenir au.monopole de'^lé'glise. Nous avons combattu sans rclachë' dés mois durant. Et, pourtant, on nous a tout röfQÈé*-* Nous allons payer des écoles sans pouvoir y pénétrer, sans savoir ce qui s'y i passé. ».i- Voilfa qui donne lieu ia bien des reflexions. L'Etat n'aura, domain, aucun pou-voir sur les écoles qu'il va combler tout , particulièrement de subsides et il sera le ! maïtre de celles qu'il subsidiera le moins ' généreusement. ■ N'est-ce pas un comble ! Dans quel pays l'Etatjoue-t-il un röle aussi... naïf pour ne pos dire plus. Quel est l'étiage móral de ces écolesi ? ■ Hier; .aü Sénat, M. CoullieE-aïffinnait qu'en IFlsndre leur niveau était bien bas, Leur personnel étant beaucoup plus préoccupé de propagande electorale que de l'énseignement des enfants. !';. L'Etat capendant ne veut rien en savoir ; : il paie, cela lui suffit. j ' .vCje' régime, évidemment. ne pourra du.i. rei*' que tant que les cléricaux seront au ]-ppuvoir, majfi .dans un pays comme le nöJ-trè, devraitil être implanté, un pays de !Ibón sens et de ïogiqüe...Or )il est d'un illojgisme tel qiu-ü ne s'eoBpliqjue que par la ■ passion politique poussée a Pextrême^ ;, J ^Gomme l'a dit si bien M. Paul Hymans, nous allons payer des écoles sans savoir j-qö.Totei^s'y passé. Pas de controle ! Il n'y a rien de comparable dans la soci^té -et, 'cela vaut les protestations indigné&s du j Sénat.. MM. Peten et Neven Le voeu. de tous les Hbéraux du Limbourg c'est de voir MM. Peten ét Neven se representor et venger leur échec du 2 juin 1912. Après ce qui s'est produit au congres ' provincial dë Tongres, on peut l1 e sparer. M. Peten a-été élu pendant deux législa- 'tures, M. Neven dunant Pespace d'une. Pourquoi ne retrouveraient-ils pas leurs premiers électeurs ? La corruption s'exercera encore, c'est cer- itajn.. mais on ne pourra acheter tous les mécontents dont le nombre grandit sans cesse dans le Limbourg comme dians les autres provinces. f^MMf 'Peten et Neven incarnent en quelque sorte 'Ta bourgeoisie liberale du Lim- ■bourjgv-Ce sont.les.phefs qu'il faut pour la mener a la revanche. Une Siciuroustj decision Les sénateurs' l'fcénaux ont pris une heurëiise • resolution en décidant d'appliquer a la discussion de la loi scolaire la nième methode que celle adoptée par Popposiübn dcda-Chambre, C'est-a-dire qu'ils donner ont è. la discussion générale, toute I'ampleur voulüe etexamincront les larti'oles avec le pluis grandsoin. iC'estrleur droit.' ! .Si on le méconnaïl-, ce sera l'obstruc-tion-, mais -'dans cette éventualitè seule-, ment Plusieurs droitiers participeront a la discussion générale, notamment MM. Ligy, Devolder et V^ndenpeerefboonh Programme firjancier cdenial Le comité chargé de preparer la reorganisation financière de la colonie, se réuiiira plusieurs fois au cours de Pété, sous la présidence de M. jiLiÖbiaert, Il devra avoir terminé sa tache en octobre M. Renkin devant sounrettre a la Clhambre, a la rentree de novembre, le nouveau plan financier avec le budget de ia colonie. Ce plan englobera, paraït-il, Ia question des chernins de fer. Les cömpartimonts do tro-seïeme

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