La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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24 January 1915
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s.n. 1915, 24 January. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Seen on 27 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/9s1kh0gb30/
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Dimanche 24 Janvier 1915 Nf° Dimanche 24 Janvier iyio LA BELGIQUE ADMINISTRATION ET RÉDACTION tt, Rue Monlagne-de-SSoii, JS, BRUXELLES Bureaux : ë,e iO à i? et de iS à i? heures JOURNAL QUOTIDIEN LEN-0MÉRO i IO CENTIMES • £• petite Hgn«. % - » - » » . » .tt. 0.40 Réclame «Tant ta MMBWI . } . . , 1 .CO ANNONCES Corp* 4a jaurcil , . , , ; i ; ; î 4.00 nu ditars e.oo Kècrologis ftaOQ LA GUERRE 174m" jour û® fgu&rrs —i 'Après l'i répression profonde qxt'avait provoquée & bataille livrée il y a huit jours autour de Sofcsoas, Ht s'attendait à voir surgir cette semaine d'autres tv^neœents sensationnels. Il n'en a rien été, et l'on se nous a depuis lois annoncé, sur le front dans l'Ouest, que des engagements d'ordre plutôt secen■ 3ai.re. De la mer du Nord à la Lys et de la Lys à l'Oisj^ | la Somme et à l'Aisne jusqu'à l'ouest de Reims/la parole n'a guère été qu'au canon et d'ailleurs sans grand résultat. L'état du sol a :::is l'infanterie pouf Ainsi dire dans l'impossibilité d'intervenir se: icu.se-»crft. Exceptionnellement toutefois, son action a Été assez suivie près d'Arras, aux abords d-<r pdiiyt dénommé dans les dépêches Notre-DamÇMÏè-Lorette. C'est une chapelle bâtie sur une cré-% qui domine: là foute d'Arras à Béthune, à 12 kilomètres d'Art» : en. raison rùèiâS de cettç îftaation, la possession en est convoitée par le& îielligérâiits qùi n'ont pli j'is-fltt'ici; malgté Içu-rs èffôrfe répétés^ S'en ëtnpâréi- : «tix dèttlic'rès nouvelles, eh ëf fét, ils sdiit îihilérâéht testés sur leurs positions. Par ailleurs, un petit feombat d'infanterie a,permis te SI aux Allemands d'oèçuper deux tranchées dont l'une a été depuis évacuée par eux. L'aifau'é a eu lieu au sud-ouest de Berry-att-Baé. Lé nojÉn <3t cette localité a été cité soaverit déjà dans lés annakt guerriëfeS et notâmifièrit à l'oceàsion dé la cSnipa-giié dé 1814. Bèr'ry-à'u-Bat: {irê son iîhportance Itiàté gicjue particulière du voisinage du p'ôint préjis Où la grari.d'roùtë de Reims à Làon traverse 1 A&he et le canal de la Marne. C'est un peu au-delà « .cette «>ate que la ligne de eojfcbât actuelle passe ffù'tin'c rive de l'Aisne à l'autre. La moindre nvodifiîatioh ides fronts en cet endroit est par suite fe'âstobii&k de revêtir une intéressante signification. A partir dé Reims, eu tes positions à)feto|ndë= décrivent depuis quatre mois du nord à l'i^t Uii sic de cercle allant de Cour-cy à Praïay par le: hauteurs de Briment, Ftesnes, Berru et NogentS'Ab besee, la. région boisée et au fur à mesure plus jnon tagneuse rend toujours possible, en dépit du jnau-vais temps, une activité militaire assez suivie. C'est pourquoi les combats se succèdent pour ainsi jdirc sans répit aux environs de Perthes, du Mesnifi de Beauséjour et de Massiges, où les Français Sot# vin effort opiniâtre en vue de l'amélioration de -lem front. En Argonne aussi "offensive allemande est gioui ainsi dire incessante, et de même autour de Verdun les belligérants sont fréquemment aux prises. Ils se sont notamment battus avec acharnement dptte semaine au nord-ouest de Pont-à-Mousson, sur 1s lisière du bois Le Prêtre. Les Français sont parvenu' à s'y emparer de plusieurs centaines <fc mètres «i< tranchées, puis en ont reperdu une partie à la sifite d'une contre attaque. Après avoir dit que la parti< reconquise des tranchées évacuées a été maintenue malgré jes efforts de l'adversaire, Berlin répète que le combat cçntinuç pour la reprise totale des positions en jeu. L'importance de celles-ci s'explique paj le fait qu'elles contribuent à assurer les eoaimuni cations avec Metz des troup«s allemandes qui se son' avancées depuis plusieurs mois du nord de Pant-à-Mousson jusqu'à Saint-Mihiel. En Haute-Âlsace enfin, est sort; de la pésiçdt de calme qui avait succédé 4«pvis au ©oins deuj ^arnçiincs aux combats kiinfcsrrompu-;; qui s'étaient ■iéroiijés pendant de hmgs jours aux environs & ^teinbaeli. Des engagements assez sérieux recommencent à s'y livrer au nord de ja vallée de la T.bur, sui ~c front en demi-cercle qui va de TV. a SE, par Vw :rhann, Steinbach, Uffclz, Watïwçïïer' et Har-t-^a-nnsweiler, jusqu'au sM-ci du TiefeSbach. Le coai A'ifl!niqï!e 'de "Paris dit que les attaquas des Français .progressent lentement sor ce terrain particulière^ *aent difficile; à iVacontre, la dernière dépêche d| Berlin assure qu'ils ont été rejetés de la hauteur d« ';î-irt:n r.U)sweiler, qui, à 953 ipètrps d'altitude, cc.ri-•nande le pays sur une assez grande étendue. Ass»§ grande, disons-nous : l'al titude de Hartjnannswei>eS en '. ffet, est dépassée au sud par celle do 1,016 iffà terdît îïivf.enstem, récemment enleyé par les Aik>-ma?î*,s, fX dépassée encore à 5'est par le îïfolkenr^i^ haut vie l,i"8 mètres, occupé par les Friiaçais qyi I •ont f.srtciuei-.t retranchés. * * « D'une extrémité à S'aurte du front presque inip-terroiçpu de 800 kilomètres qui, dans 1 Est de j'EuS repe, va des marais, de 1?, P.usse Orieiïtale jusqu'à j'ektrérnité des Çarpftt'His, les dépêches reçjies a;^ jourd'hui ne signaient aucun fait de guerre qui vaille la peina qu'on s'y arrête. Avs.-.i ausrras-nous terminé uo-tre t^che quotidîençje lorsque nous" aurons souligiié l'insistance que les qf-(icteiix- de Visnne mettent à seporésen-ter cûisme pro-:ha».ne itae neasvello ex;>éd;ition contre la Serbie, < ; iigEialé les cWx dépêches — celle d'hier de Coî^ antmoplc et celle d'aujourd'hui de Pétrograd -r- re ati.ves. à la gu«4re îussft-turquo. Ljt première affir ne l'arrêt de l'offensive russe sas te Sisat du, Cau-ase. La seconde signale aoèaisaasalf ha réo-^up-atios l'Ardaœoteck. la ville russe qui a oonstii-ué la base l'opération des divisions turques, opérant dans k 'al'iée de la t scrLar^clv il nous a f^.ltl'j, naguère nou^ iéiigoec à, r«pss5g^a: nos- lecte.;-rs de façon trop in UiCii-saii.te: sur tes.' dsraièjies. opérations dans te Cau ase pour prétendre- dès maintenant- entourer ces, d3 itV hcs de coœnient-aires ntiles. Nous atten4K«»s.poai - faire eue ta nouyefa situât,"™ d-^1 s^-irçraSeoît Oi.f-jeisikment mieux él-abue. P. S./PotB> pbliger un groupe de recteurs, situais ne '<&- encore Ta .fijont (fe, faat^fe dan^l'^st.| JJ te e l'tef de ta Prusse Orientai.e à Stalluponeu- et $e irige pur Safflbisnen, Angerbutg et le long' dts ics Kfestipesi vers la frontière sud dfe cette provii-s, qu'elle traverse entre Sol'dau et Neidenburg:.D;l|s : no;-J' de la Pologne-, elle suit urne direction stid-swst pour aller de R-adfeanow et Bjeshufl vers h ?gien Je Sifrpt» et descendre le foug de là Skrv?a • lîqu'à' la Viftfnle à l'est de Pl.:x:k. De' l'autre côté de la Vistule, les belligérants se4 ont faee le lo>ng de la Bzura et de la Rawka ; tus an surf, leurs positions fratithiSsent la Pilica" à oow'-Lodz, à l'est de Toma^zow. La ligne nord-sud : poursuit alors sur OpOzno, Konskie, Lopuzno (à l'ouest de Kielce) çt longe enfin la Nida depuis J.lL-•c.goscz jusqu'à son confluait avec la Vistule à l'fst d'Opatowicz. De ©..Ue localité, te front s'éta'jtit dans l'ouest galicien le long de la Dunajec m£éri'^-re, qu'il quitte près de Zakiiczyn pour aboutir an sud-ctuest dans la région d« Gorlice. A partir de là et jusqu'à l'extrémité de la Bucovine, c'est depuis le coi de Dukla — à propos duquel un lecteur nous à aujourd'hui communiqué des renseignements dont nous devons nous contenter de dire que nous avons tout lieu de les croire exacts — la crête des CaTpa-thes qui peut être considérée comme la ligne médiane du terrain dgs.liosfrlitéa. - U pli en 00018 pïte m Mhb l le vm La fitaiistigue no» perd jâàlais ses dfoit-s. Eilô n-e r es-pécbs rk-ïL. G'eH 1& cas de îèf irépétex si l'on que dêpuu <le nbinb^Mùgçs arui-ées des iaàtiiéiiiiiticiGSs oiit consacré feîif temps a rechercher toutes les données eXac-tes permettant de caleulea* ce qu'il avait fallu dé-peaiser, daré ies guerres môçbfiffflÇOj pour tuer im soldat-; Koùs dison-s : ies donaé-es exa-c4>ec. Évidemment. l'eXèetitude rte peut être qiie forcérhe-ïr.t relative, ca/r il n'eat poèsibîe» à personne d'évaluer d;iteé façon abso-hle lo coût d'une guerre moderne et de ses suites. Un journal américain^ il y a quelques mois, prétezir dàit que pour tlier uâ horriti-e, dans li giierre modetrnev il fallait dépeiifeer 7.3,090 francs environ. jomt-3 à pciiié, JugnwrC' comcidsneé, avant la d-éeîa-rîition d» là piètrè ëcfuiellc^ mi général frauçaîs reptenait les calôuiiS du jotirâaî iun&néâaii et d^meM'Pàaï que eon évaluation était â-u-dessouc de la vérité. La déte-rirjiuéiivèiL du piix de la vie d'un homme à là guerre, se fait eh divisant le coût total de la guerre poai Un dès &ëfiigéïà5i4â pdr le ndmbrë d?'hommes tues dé l'autre côté. Mais tout d'a-lîord feSBfi r.e v-c^îès admettre dans le prix Wta.î que lès frais de guerre proprement dits t$ eëux ftîîëé't^ alîx secours des viciait es et à là réfâisc en état du maténei.Lés dépènsëfl de là France ne se soirt éh^.rlréesi éîi î'570'-71 que' par trois bîilliardfi j en fail ab:ri fc-etieii des 5 jr\iilia.rds d'indemnitëj dfs 2 aiïilHffirdî pour les intérêts et les frais de cet emprunt, les contrl bùfcieriB imposées par l'êiiiTeinïj lJèîitreèieii de î'aa%méc d^-ceeïïpà'Koh, etc., etc. On fixe de même à 2 milliards les dépenses des Turei en 1577-78 et celles des Elises à 6 milliards pour la guer re .russo-japonaise de 1905. Les nombre© d'hommes .adversaires tués on moîts d< leurs blessures ©ont dvalué.5 à : Allemands (1870) Î2S,C00 lusses <1877) 16,600 ; Japonais (1*X>3) 56,600. Le prix de revient dî'un licmmo tué & donc été e<r ÎS70 de 105,000 francs; en 1S77 do 75,000 francs et «sr 1Ô05 do 102,000 francs. On aurait pu e/attendre à d®s résnÎ5tats en pTogresatei croissante de 1S70 à 1905. D'une part, en effet, les es gins £-c< sont perfectionné, lenvr rvrïv n'ont. 4Wvé. D' pa.rt, les progrès de iJart de se défendre dépassant ceu? de l'art de tuer, 2a proportion des hommes tués 'Ju bles sés en unie he.ui-e de combat a sans cesse diminrA Oeitt( pwpoî-tâosi était sous Fréd éric le Grand de 6 c., soep NapoMon â& 3 p. c., en 1S70 de 2 p. c. cife an Mftuchour^ de 0.5 p. c- Mais em 1S70, îl n'y eut que deuze ou ^uiatoe. grandes batailles, tandis qu'en Mandehourie on se bal&ait près qne tcnis lea jours : 15 jours à Moukd.cn, 12- jer.rs à Gha : Ho, 8 joars à Liae-Yang. L'augîmenfeatien de la durée des ba/taâîles «compensai îa diminution des hommes tombés paa- besna-e de eom bat, c'est peurqu>oi le prix d'un kmme tué n'était p=a plaie élevé en 1905 qu'en 1^570. Nous ne poesééons natoreTI pbi ent aueuoe donnée fia le conflit actuel qui nous permet d'ébaix^ier même m cal«eu! quelconque. Tout, en effet, est digèrent des an ■ ciennes guerres : nombre de eombattaîjte. tactique moyens d'atta-q^s et do défense. Jitablir des statisti qu/:s dans caç conditions est donc impossible et tS&z d'ailîtvjT's point notre fait, Dcnteîîto.ns-îïous d'exprime u.T) vc&u : que l'en, dépe^nse et quo l'on tuç le moins siblet l ■** PJ FW JHJλ t»rd^ Psffis i( Mouvement Paediiste »3 M. H. La Foîi-tarne, eénate^ir de Eedgiqae, lauréat <èu prix No-bel. ; piibiifi OfeG (.xl/Taiis du programme que la. iroisièîne eon-iereç^o de la Paix aura à «^ébattre... et à faire a<dop ter par les puiseasiefa : — 1° Nous avons affirmé et noue affirmons plus éner giqueffii-ent que jamais qu'us statut juridique doit, cti-t-re i ce- Etats, comme cela a ei.c reuiinéecuiro les'indivi-'j;,s à rintérieîir d=3s Eta-te, ee substit«»er à j'anarcdiie qui préside toujours encore, depuis i'ori^ç'des tciâps, à 'IçiîiS"r-exations intersiaï-iona-ks... P-éteat!. pfltK^easi jynjr &ji soit sj, que t let3 Kt^ts diront parti-cdper à la conclus?.-ru :c la paix prôichfiae ci à la rcdiaction de i'inctrumeat qui la. coc.-sacrera...3°"Le preblème qui s'offrira logiquemeat à l-atten-taon. r^pv-ée^ntante des Etais, aorès qu'ils aurons consenti à rétci'b'iiasement" (î'une juridiction. internationale, sera ediîi <i\i désarmement cenventionaiel... <iq \j0 droit des peuples de -tlûsposer librement d'eux-m-ijtnro &era soie^ncilémen.t pseonrau... 6° Le,,1; sié^tuciaiior^ dip-l-omatlquce entre leç Etat9 no pourront, phis «is poursuivre en seoiret et à i'incu dea r-c-f>irrsent-auts. "d»f« 'peuoles... tV Les #i.at« reuon-ceront à, tout jamais à conclure des alliances de guerre ofrevive ou <kifensive... ' ^ -fiti, de mettre un liC-rme aux r.i,v>akt.éG écenomi" quçs, causi «3 pre.ppniiérantes dvs c&.nfiyts in'te-matio-ipiix, les Etats Rengageront, à adopter le régime du libre éd}i,an^e- pour toutes les relations commerciales entre leurs métropoles et leurs co-Lonirs r^speetives. 6° Les populations minenres seront placées eous la saurvegarde colleotive^ Etats, qui s'engageront à un ifier Je régime administratif dauo les protectorats et li's c!.1 • e-n.eç» qui ne jouK^sen.t pas de leur au-tocomie, tant au p^>rnr- de viw du déve-Ioppernent matériel et in-fcefâectueJ •àes peuplades- «utcchtonec q?.i'à oefui des ; rapports- celles-ci et les citoyens do tous les ; Kft'ifîs. 9° Les mc-Enr-m <r<^a.eiG!u«t,7oa, n^eessaires pou? a^purer la pflWï'pte anplicatio?!- de« priscipp» qui seront à la ba»e dar traité qui mettra, frn h la guerre, seront con-frées à. la troisdèma cen?é.Ten@e de la pa«, qai en réiwi-ra rmimédiatsœeiit après. La ooccluôion définitive do la : » C'-st un. programme pour p^ua tard, Monsieur W Sé-, TVK3-P- beaucoup- plue tard : la p^ro-le aiîjonr- n>'©st qu'au canon. LES 'FAÎTS' DU JOUR j Une dépêche de Bucarest au' joirmaf russe « Rjèttoh n /^ar.de qne d^ aviatcy^ surroUyrtt Ene©, devenu poiim ? for r-if5é, «fit loaus»o pîî» dt' râgtj^ôEes, occasionnant dédale?. XJo aursaent %al«nont bombardé â'ndHï.optô. Finuor est sitîiée <fesv« la mSfir Egée, dans le goîfe du : mêitW» ik»m, à l'^mbouchuire de la iîairftwi. C'étaft le peint de dépeint de la. fameuoe ligne Enœ-Midia; aliï^t de la mer ttçée à la mer Noire,- et qui arroit, été d'a&oSà vprop>rtée (»rarae fTvf^n-tre la TNirqude et U Bu4-Ww, après la prine é> AîKirÙK>pJe par km P>ulgssrea îàk.premaèrre guerre b&lfcaniique. \ \ Beîon îa « Ga&otte de l'Allemagne dui Nord », iesjju>-_, torités ioca^kc allctmandes vont recevoir (jntîgîîonr caire <îesïîSê' à flft^mïnèr d'une manière précise quels egat lee approvisionnements en grains de tout l'Ena- Éu présence de la nombreuse corjrt1 spondasqe de soldats internés, îe cblRBFIÎe:. riïu^ies belges d# Middel-bourg fait» savoir quo con &'ï vice "pul<A«il •.-«*1 ttes encom-il informe ks intérêt", qu'ils ne doivent pas abuser ckt sa complaisance — et. de n'écrire qu'en oas d'ab-feolue nécessité. 11 y a en Hollande 35,000 internés et si chacun treux écrit une lettre, comment le^ comité va-tria les faire parvenir à destination — le trafic ds> la cor-re^>ondan.ee offrant d'énormes difficultés^ Ajoutons que chaque lettre coûte la foi'te^ somme de fr. Cl 75 : où donc trouver les moyens pécuniaires 1 Suivant la « Be-rliner Tagcbla-tt >t cinq officiers an-^Jais, q'iii étaient prisonniers de guerre dans la forte-reswer de Magdebourg ont été envoj'és sous escorte à la prison civile dé cette ville. Ils ont été condamnés à huit j jours d'enprisoiinemcnt, déciare-t-où, pouf avoir joué j fiu football " avè^ en ginse de ballon, une « boule de j son » de pain noir fabriqué pour l'armée allemande. j On annonce de Pétrogfad lîi mort du général SfcweSof, 1 qiti fut le défenseur de Port-Arthur. Le générai Steesèèl -était né en 1848 et était entré au service en 1864. On se rappelle son rôle dans la guerre russo-japonaise et on se souvient que la défense de Port-Arthur aboutît à la reddition de cette place forte dé premier ordre. Cela vaiut# â, Stoess«l de passer en jugement. Il fut condamné à l'emprisonn-ement^et subit sâ peiiié à là forteresse Pierre et Paul. Le Tsar fit grâce à Stcesael, le 10 mai 180D, à l'occasion de son anniversaire. Depuis lors, l'ancien -commandant de Port-Arthur vivait dans lo plus complet isolement. Il avait à deux reprises déjà, été Ifappé d'attaques d© paralysie. L-o Conseil fédéral suisse ayant signalé il y a quelque temps au gouverne mén rf r an ça is l'insuffisance de 1'a«he-mineinert du blé par Saiîtt-Nazairo ëtTBordeaux. a ob-frtâiï l ouverSm^ de ilarssîîlë'à eo trafic. Dans les milieux officiels on se montre très satisfait do cette solution qui permettra, s'il est nécessaire, de transporter à Marseille les navires bloqués depuis des semaines dans le port de G fines, qui est absolument engorgé. Tous les Tiàvifê's charges de céréales pou? là Suisse et en cours de route d'Amérique sur Gênes ont été ou seront dirl-g>.8 sui1 Marseille, où deux de ces navire® sont arrivés • lundi. I/t inmîstr^ riisse -des finances â introduit ail conseil dç£ rmniétr<es un projet d'impôt de guerre. . Selon le projet do M. Bark. ee>b impôt frapperait îee ^ personnes exemptées de service militaire. Ces personnes seraient divisées en deux catégories. Celles qui ont été exemptées pour incapacité physique ne gaveraient , l'impôt quo ei leurs revenus eîmueîs excétlaient 1,000 L roïtblea. Les autres sont soumises à l'imoôt quels qtte soient leurs revenus annuels. ÎjO ministre prévoit un : revenu, du fait de cet impôt, de 14 millions do roubles. [ La «onl&^ence. internaitionalc «ociaîi&W r de Copen-) lpguvï, "v'ù Wc*uJs^ êRiît^tLt loo o«mdi- jiav-ea et la Hollandie, a été close mardL Elle a acî bpté à [ yi'iinaiiimî'té troie'rSsoîutions. J ' Lsj première déclare que c'ect «m devoir» peur toue -Iss J partis socialistes <ôe travailler au réii&îbllssemeat de la : paix le plus vite possible avec de© eonditio«cs poaivant J servir de base au désarmement international et à la 1 démoeratisation do la politique étrangère» ; ©11» doiaa»-1 è) au bureau c«eialiste inteiTLational «le Bem© -de eon-j ^qu^r lee pa?tia_.aogialistea an plus tard au eoanacaîr { -cc;meii'fc d^ne^eiati-cns de paix, en- vue d^uiî© d^jéra-1 ^OB-AïOtlfdmufieHia^iés afâman®^ qu'il convient de formu-A1 lei- à la eosiekesion de la paix J t La cce-opde résolution remet aux partis eocialistes dtes , i pays raeSEres Té soin de demsander à lesa-rs gonTerne-iments i^espeotifs de d&ihérer. seuls ou en oerumun avec 1 waTit:*ec «œr l'op-portuaité qu'il y aiu- ^çdt ii ofnrr leur médiation, aux pudfffliQ.nées belîdgéiàabee ' p^irr obtenir nne pabr àarsfoie. ^ ^>ai troisième proteste eonître Farrestaition <S® cinq „ • membre® d© la Douma rv^'-e, qni s'étaient réunis p&ht rédiger \m -rapport destisé à la conférence do ©opan-hague'.i ,Un discours du leader socialiste suédois, M, H^alnaar jBraating. a provoqué daEs la dernière séanee du e«agcfès §j!ne très vive .discussion, M. Brantiaag s'es.i viveœa^stt kyp.pceé à La conclusion d'une paix qai ne gawî«AMe&5î fS^s la Hlie-r^é de l'Europe et q-.ui ne i»ar«gérait pas îa ûn^H^iiiltarisïac égaleoiî^ait ruineux p*ur to»s les paye. Le cotîs>s£1 municipal de Lyon éœreî prix Nobér& la natien belge, î lie jurisconsulte italien &icerdoDi^meu>bre de fbuit de droit international, a écrit : «Le 'JfJTUt attribué à uine inst-ifcu^ior ou à une asc^^iaAôen ». La iKfctian belge est une institution, car tous les Etats neutres le sont ; elle est ihîo 5^sociation, car tesut Ktarf; eet rane ûjesocja^ataçi politique. \ Des lettres <Lc> Qyn,e, datées d'il 1er janvier, eomfirment que tous les eu'jçtg angli^s et Îi^uiçms ont été iv.-nv r.yé-dee villes de 14 côte & Da^aas, aa comçiencemf'ni de déoepi.bre. Es jï'ont pas été maltraités et ils ont été autorisés à se loger à leur convenance ; ils avaient, en outre-, la permission- de circuley librement dans les tucq de Hamas. Les lettres dirent que la tranquillité règne à Beyrouth.Les autorités iggg&s ont déferait ia ligne de chemin <le fer ejitçve Jaiïa e^ L^Î-cta. Cette dernière localité ce trouve au 20e kilométré die la ligne Jaffa-Jérusalem qui ■en comprend 87. Cette mesure a été p<mo dans le biit d'embarrasser une expédition sur Jérusalem. ; Des armes ©fc des munitions ont été également distri-bîiées aux porteiaix, et aux bateliers de Ja'Jfc, a donné trente barques. Voici la première guerre dont l'aspect « exact ». sera transmis à La postérité. Si nous ne conservons des guerres do Mariborough que deux mauvaises petites lithographies, si h# guerres napoléonniennes ont été graphiquement illustrées « de souvenir », notre moderne pho-; îographie nous laissera, de La plus terrible guerre l'image la phifl complète. St c'esfc une étrange chose, en vérité, quo nous ayons si bien perfectionné le® Ênstru-' m^nts, qui donnent la mort, en même temps que ceux-qui, après nous, doivent laisser, vivante cacorc, Fimage . de ce qui fut no tire vie» : _ Dca. troupes ^tralieiuies et aa<giiises campent an- • • jc«S8xk'îiin- pur'ce désert où Bonaparte, devant h-o Pyramidtw; 'êWtfuzt pour sn& «scJdats quara»^ siéeks d- hifîtoire. Comme au'tanîi do- pyramides mân-tîîe-uîes Jtog .tartes «n-tour^ut leurs grandes soaura de piea-re, et eo fnt, r autre matin, un spectacle bien curieux que ceJijî • Fon vit sortir de l©o.rs aiîris toys les wnVfols ds Sa iÎAjecté briterfiniq.uo^ pour écouter, ooTnpagnie par oom-^auwie; uîi rapport où J^. a;îtorités arec un îrsr-fi parfait.; rappelaient les temps îoitfifowr.s, ftt, ^ ïfcant la mémoire d^uu grand-ehef-, léadisptviienf î;:j. beÙe rt^étaphor© aux circonstances aefcucsKes; Mais le^ Aus-t/^liens, gerça exacts, ont modifié ]&• parole napoléon--tï-Vtfie, Ib disent : < De là-haut,, quarante un g&dèx o-ou» contemplent. » Le portt de HuU détient ■ depuis rju^lqueg" j o*ntfs « uff" norv-v"-3.u record': cekii d'avoir vu débarquer la plus forte v pAeh© connue. Le chahîtier gaàrt>-Mï4o; lr f lawde,y a abordé ave etine telle quantité de poissons qii^ r^nte- a p^rxiuit 55,000 francs, e^iifÇre qui- n'avait? ;aHoais été atteint. COMMUNIQUÉS OFFICIELS Cammualqués aîlgmaadsj Berlin, 22 janvier (Officiel de te midi) 3 Théâtre de la guerre à l'Ouest. — La pluie 6cm-timielle a empêché toute grande activité des combats entre la côte et le canal de La Bassée. Ptès d'Arras, combats d'artillerie. Une des tranchées prises avant-hier au sud-ouest de Berry-au-Bac, étant donné qu'elle était partiellement ensevelie par les murs écroulés d'une fabrique, a été abandonnée par i nous après l'avoir fait sauter. Une attaque fançaise au nord de Verdun a été facilement repoussée après les combats d'avant-hier. Au sud de Saint-Mihiel, de petites divisions fran-Jçaises se maintenaient encore non loin de nos positions. Par une attaque, le terrain devant notre front fut nettoyé jusqu'à l'ancienne position des Français. Le combat autour de Croix des Carmes, au nord-ouest de Pont-à-Mousson, continue toujours. Une forte attaque française contre la partie reprise par nous de notre position, a été repoussée avec de fortes pertes pour l'ennemi. Dans les Vosges, au nord de Cernay, nos troupes ! ont rejeté l'ennemi des hauteurs de la crête de Hart-manrrsweiler et ont fait prisonniers deux officiers et 125 hommes. Théâtre de la guerre à l'Est. — Dans la Prusse Orientale, la situation est inchangée. Au secteur de Szucha, nos attaques ont continué lentement. Rien de nouveau à l'est de la Pilica. * * • Berlin, 23 janvier (Officiel de ce midi) ? Théâtre de la guerre à l'Ouest. — Les aviateurs ennemis ont jeté hier soir sans succès des bombes près de Gand et près de Zeebrugge. Entre Souatn et Perthes, au nord du Camp de Châlons, l'ennemi a attaqué hier après-midi, l'attaque s'est écroulée sous notre feu. L'ennemi s'est réfugié dans ses tranchées. Dans l'Argonne, nos troupes ont conquis une position ennemie à l'ouest de Fontaine-la-Midi. Elles ent fait prisonniers 3 officiers et 245 hommes et ont pris 5 mitrailleuses. Au nord-ofiest -de Pcnt-à-M-ousson, deux attaques françaises ont été repoussées avec de Portes portes pour l'ennemi. Dans les comhécts pour reprendre nos tranchées, nous avons pria à l'ennemi depuis te 21 janvier 7 canons et 1 mitrailleuse. Près de Wiesembach, dej chasseurs alpins ont été refouîés. Plusieurs fortes attaques de l'ennemi sU'i la crête de Hartmannswciler sont restées sans sus-cès.Th-éàfe de la guerre à l'Est. — Rien dé nouveau dans la Prusse Orientale. Au nord de la Pologne, dans la région de Przas-■nysz, une attaque peu importante russe a été repoussée. Les Russes ont été jetés hors de Blino et &- Gojsk ; de faibles divisions russes s'avançant sur &ital et Gomy ont été forcées à la retraite. Nos : -attaques contre le secteur de la Szucha ont avancé. Dans îa région de la Rawa, à l'ouest de Szenciny, il y a eu de violents ocuabats d'artillerie, »*. Vienne, 23 janvier (Officiel <Fhier) : Au nord de la Vistule, il y a eu hier un vif combat -d'artillerie. Notre artillerie a obtenu un succès, notamment dans le secteur tout au sud de la Nida -et près de Choincy, où par u:n tir efficace sur une station du chemin de fer, le trafic des chemins de fer des Russes a été fortement entravé. Au sud de la Vistule, sur divers parties du front, il y a eu des combats d'artillerie d'une violence variée,La situation dans les Carpathes est inchangée.; * * Constantinsple, 23 janvier (Officiel du quartier .général) : Les forces principales des Russes n'ayant pas réussi, comme nous l'avons annoncé, à encercler notre aile gauche, se sont retirées devant notre contre-offensive. Nos troupes poursuivent l'ennemi. Le 21 janvier, des forces anglaises ont essayé de protéger par des canonnières une offensive contre nos troupes qui stationnent près de Korma. Elles ont été complètement vaincues et forcées de se retirer avec de fortes pertes. Nos pertes sont peu im| portantes. ^ Communiqués des armées sSliées Paris, 20 janvier (Officiel du ministère de la marine) : Le sous-marin français Saphir, qui avait pris son poste de surveillance près du détroit des Dardanelles, dans la matinée du 15 janvier, n'a pas rejoint, depuis, notre force navale opérant dans cette région.La presse étrangère signale qu'il aurait été coulé et qu|une partie de son équipage aurait été recueillie par des embarcations turques. * K * Paris, 21 janvier (Communiqué officiel de 15 heures) : De la mer du NoTd à la Lys, ainsi qu'au sud de la Somme et à ï Aisne, il n'y a eu que des combats d'artillerie. En Champagne, à l'est de Reims, dans la région de Prosne-les-Marquises et Moronvilliers, nous avons diétruit des travaux de défense' allemands et avons forcé 1 ennemi a abandonner des tranchées. De plus, nous y avons fait sauter un dépôt de munitions. Au. nord-ouest de Beau-Séjour, nous avons avancé et par surprise, nous avons pris trois postes ennemis et nous nous y sommes installés. Notre aTtrlîeriç- a eu la supériorité sur l'artillerie allemande .lu nord' de Sfassjges, En Aigc-Sne, situation inchangée. Au sud-est de Saint-M il ne 1, nous avons pris 150 mètres- de tranchées1 dans le &ois> d'Apremoflt et repoussé une con-tPe-attâque- ennemie. Au nord-ouest de Ponf-Jr-NfcuSSon, PeWrtfefhi a repris, dans- fcr bois Le Prêtre, 20' mètres des tranchées que nous avons-- conquises ces dèrniers jours. Nbas nous" :riai;5î-?-f,';>ris dans* cette position. / Sur lê f ront près-de Thann, l'inUnterie est en action dans la région de Steinbach et de Hartmanns-i^eilerkopf.\Depuis la nuit du 10, nous orooTessons lentement îurce terrain particulièrement difficile. Paris, 21 janvier (Communiqué officiel de 23 keures) ; L'ennemi a dirigé on tir violent sur nos positions au nord de Notre-Dame-de-Lorette et a entrepris 16 matin à 6 heures une nouvelle attaque qui a arrêtée. En Champagne, deux petits points aa nord (ia Beau-Séjour ont été occupés par nous. Une contre-attaque ennemie est restée sans succès. En Argonne, les Allemands ont entrepris une attaque sérieuse sur l'angle avancé de notre ligne dan» les environs de Saint-Hubert. Après un feu très violent qui a détruit nos tranchées, ils ont livré un as» saut, mais ont été rejetés par le feu de notre in fa*» terie et de notre artillerie. r Dans le territoire de la crête d'Hartmannsweilef, le combat continue. • " • Pétrograd, 21 janvier (Communiqué officiel <££ grand état-major général) : Sur le front en Prusse Orientale, il n'y a rien ti* changé. Dans la direction de Mlawa nous restons en contact étroit avec l'ennemi. Ses tentatives pour peroci nos lignes ont échoué. Nous avons pris l'offensive à proximité de Skem-pe.A la Bzura et à la Rawka, les duels d'artillaV} continuent. Sur tout ce front notre artillerie s'est mesurée contre l'artillerie ennemie. Nos troupes oat réussi sur ce front à repousser quelques attaques partielles allemandes. Au sud de Pilica et en Galicie, on pe s'est pas battu. Seul, le canon s'est fait entendre des deaai côtés sur quelques points. En Bucovine, nous avons conquis Vorokhta. L'eo* nemi a fait une tentative pour passa- à l'offensive. • * # Capetown, 21 janvier (Officiel) : La ligne du fleuve Orange est actuellement <af tièrercent en notre possession. L'ennemi se trouva cependant encore sous les armes sur le territoire 4a l'Uçiôfi près de la frontière orientale du territoiw allemand. Dépêches diversas : < Ïf&w-Yort, SI j&nvity : N;- I>es «tportatioBs «fc® cuivre, Ûu 2 sui 0 jaaivier, s fiè« vont à 6,794 tonnes, ce qui porte à 86,009 toœee e-nviw* le cuivre exporté par lès Etats-Unis dua-aot les six defr ndèrea eejn-Mnes-. \ Presqu« toue les -chargements ont été adressés <m France, en Angtetérre et esn Italie., * * • New-York, Ô1 janvier : Selon des imfôrm&tioiiE reçues de Meixico, la Oonvcst tc-on a adopté une résolution enijoignanit au général Osrî> ' tieorez de fournir des explications sur les dix millier!» et demi d« pesos qui-se trouvaient dans lo Trésor qtiaiMÎ il prit la fuite. Le département d'Etat annonce que malgré la surveillance et la protection dont Mexico était l'objet, 3 y eat cependant quelques exécutions sous prétexte de révolte. Urne certaine inquiétude se manifeste dans la population. Borne, 21 janvier: _ On est trc-s inquiet, à Rome, eur te «ort de deux fonctionnaires italiens qui étaient partis do Smym®, le 3f oebobre de l'année dernière, pour l'Italie, eit dont oa n'a plus aucune nouvelle. Il s'agit du chevalier JosbsH, qui était directeur du bureau postal italien de Sinvra», et du contrôleur chevalier Maggiotto, frère du générai, * * » Prancfort-sur-Mein, 23 janvier : On mande d'Amsterdam à la « Francfurter Zeitung >t Mardi après-midi un biplan « Firrun >, de nationaKtS inconnue, a laissé tombé une bombe au lieu dit le Troai Anglais, à l'est de l'Escaut sur territoire hoilandaàt bombe a fait explosion, mais n'« causé aucun don», mage. »" m Hotterdam, _23-ja.nvier : / Le vapeiir anglais Durward, allant de j^eyth à Rotterdam, a été an-èté par ua. sous-marin ailleu">and qui kd a donné 10 minutes pour évacuer son équipa^ sur «a canots et le débarquor sur un bateau-phare voisin...Ocd fait-, le vapeur a été coulé. Plus tard, l'équipage? •&» Durward a été débarqué par un bateau-pilote à Ho^ van Hollaaid et transféré à Rotterdam. • * • Tienne, 21 janvier : On projette en Autriche ht constitution d'une sociéM analogue h celle constituée en Allemagne pour l'appro- râionnement en céréales pendant la durée de la guene, * * • Londres, 21 janvier : Les sociétés exploitant au Mexique l'industrie 4u pS. trole ont obtenu l'autorisation de continuer les o.-rr!<â-tations déjà existante, inais aucune nouvedle ezpioi-tation ne pourra être etitre^rise. 1^© gouverDemesal exige le paieaneiut d'mi knpôt spécial sur ie pétrole. # # • Londres, 21 janvier : . L» Chambré portugaise a accordé un crédit de 72 maliens de francs p9Sf l'achat de matériel de guerre. L« ministre de la guerre a dit qne la République ne pour-rait participer au conflit européen si elle ne disposait pas de plus de matériel de guerre et de troupes sériea-. sewents instruites. Plusieurs journaux de Lisbonne eut organisé dtm souscriptions en rue d'acheter des habillemente ehanida pour les soldats. • •• Paris, 20 janvier : Lorndd matin, deux avions aliemaïKÎs, edrvibtenrfc Moait. diddea- et Orépy-en-Valois, ont èbé arrêtée da^o leur toJ par cie« avions foadiçai» qui ie« oot ooligéa à. rebaxw»-eer chemin. • # • New-York, 20 janvier : Le bureau officiel américain c^a&mrttoee oomtre Ioê riaqu>gB^de guerre a déckvré vooiioàr aseurecr la corgai-Dacja qui <*st prêt à p«vrbir avec un charrgemcoà cie oot-Sîî destination ck* l'Alleïnagîie». Le bureau to-fuse assurer Je bateau hii-mème. Madnd, 20 janvier : C'est en distribuant des secours aux iwdigenis «te Madrid anunnts de socirtatme que )sa rt^ue dfEepagne « •oretràcté ce tte maladie, qui a frappé aussi ees eevfania ii»a Béatrice et don Jamie, airwi que T infante Béa-'rioe de Saoce-Cobourg l^a sotîvrrjûne1 n'est afc- u-mte que d'une fièvre bénigne, mais l'état de dona Béa» >rice est moins satisfaisant.

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