Dimanche 5 Mars 191 il B i K . «TQèfRÎifAÎ. rttTAWflTtW — T.a .WnmAri/1 Kifn -rranf?»1aa ra-ff ISI» A,"> B* LA BELGIQUE ¥&IX DES ABONNEMENTS Va œttsa (ffi&rg) ...... ,*-f Cf. S.23 Les demandes d'z&onnoznont sont r*ç*â# EXCLUSIVEMENT ^MtNISTRATîON ET RÉDACTION Si, 51on^a£ri3.6-a«-2:-£3B2<I>es^S=,oéàg-ôj1as, XSîVCJ2£3£LilïE3 BUREAUX s 0£ 9 à 17 HEURES — I *)es. MORESSÊE, Directeur r Petites annoEcos . . . . î . Ialign«, fr. 0.<O Réclame avant les annonces . — i.00 PRIX BES AMTQNCES ,< Corps du jo irnal ..... — 4.00 i Faits divers ....... — 3.00 vl Nécrologie— 2.00 Aujourd'hui . huit pages. LA GUERRE 680* jour d® guerra Ainsi qao le faisait prévoir la violence c feu d'à l'artillerie, l'infanterie a rocoxmajai" "*&ns l'Ouest son- action dans plusieurs ae teurs. Aii sud-est dfFptre©, lea Anglais ont r pm aux At^onaaofd» la position, <Ste I Bas Htm, qni leur avait été enlevée la I I ï vner. Ils se «ait mi&nô ftesaporsaremenib ci t^réa d'une petite partie sai&ama & la p sision allemande établie sur W caifi^^c & Gamines. Des caatre4iteuTo.es iaiïrréc^i toent ei^agéea prolcjagasii' la telte d*y cette rôgrjn. En Champagne, le bombardement îrfrnfle rompu c?b l'artillerie française s'est accru» -intensifié.Dans le secteur ir-ord de Verdun, l'art: Icrio aUemamSo est fccês active sur les eïai rives de la Usisse. A ga-ucko cfeu ffîctsve, ei a particulièrement- visé In hauteur 265, di Le Mort-Homme, à 3 kilomètres an oc*fi-e âe Bothincourt, ainsi que la côte ete Pôa à 2 kilomètres au siv£ de Forges, en f& de Samogneux. Sur la riva droite de : Meuse, les Allemands ont bombardé avi - .une extrême vioiauce le vËlage de Bobri mont et ses abords. Leur feu a obiigé b Français à F évacuer, et ils ont puj porlx leurs lignes en avant, à l'ouest et au su du village e£ du fort, jusqu'à des posiioi qu'ils estiment plus avantageuse. Au sud-est du fort de Doirairmont, dai la région de Vaux, les Allemands ont» pti noneé tfautee» attaques. Le long des C£t •Lorrames et- dans le sud-ouest des pl^îr-; «Se la Woëvre, aucuaae ^modification;' n'est s 4pialée. D&NS LES BALKANS Athènes, s maj-3 s ; Le g-ouramomaati groo a porté à. la (Soi naissance tfc srn reprdsanfeuits à l'étaang» «a décision suivant laquelle tous les m vires grecs, mviïnè ceux qui se trouvez dans des ports amtfri'-iiins, doivent <&ra rt Quisjci'Ofjn^s au profit de la Grèce. Pa cetto m<ysz*v, In gouvernement gi-e» vei arriver à cnrpêcte les nSvix&s &eàïe€frxz Mous pavillon, gïee, des transports ppu compte <jn£4»ta inasxger®. Rome, S mars : I& ,vCerriera d'Itolia" apprend ce qi ssait à'Athèaes : — Un navire dta gnoiro anglais a ftrr£ 'tm vapeur gree cjui se î-eiîâgii- en! CJrèie < qui avait 2£ù Bûl^?«res & bord. Les Bte3$orc ont été faits prisouaiia-s et ont été internî à Milo. _ La Grèce a adressé vjiQ note de prcfctsstf . tiou à la Q^dlre^^Eraiente, exigmnt la li b^ration des Bulgares axrcîiés, qui s<mi taui originaire» cio Macédoine et par suite suçjii ^recs. Prancfort-Sur-Meia, S mars D'après des nouvelles adressées à Athènei à la „Fraa}i.furter Zefcung,,f POSnteiite au rait adressé de nouvelles demandes au gou verne^aecit grec. Elle vendrait t»ou4 ^que les chemins de fer macédonietfis eoien «xclusiventent aux mains des puissances d< l'Entente; puis, que les troupes grecques qui se trouvent dans la région de CavaL' ©t de Floriua cki soient iiîirvcsnant refci téos-, enîin, que l'eiiir^e et la sortie du ca oal de Coriuthe soieut occupée» j^ar les troupes de l'Entente, qui y établiraient \m' «to€ion radiogx»phique. Plusieurs journaux d'Athènes ont reproduit cette nouvelle saijj 2a commenter. Bucarest, i mars t A la srate de te raort êz la raino-înèr Eliselreth, la Chambre et la Sénat ont Icv^ avant-hier leurs séances en signe de deuil Pans une chaleureuse allocation, M. lira-■tanu a fait l'éloge dû la souveraine qu vient de mourir. TIRANA X-cs oommumqiiéft i'O g^icirre annonçât Qa< Duraœo viwt d'ara oouupépar tos troupes «jstro-hoîigToii*». A voir la tourmiro qu< prœmeat les affairES en Serbie, attamn-f par les puissances centrales et la Bulcurie sous avons deviaé ce qui pourrait arriver ea Albanie, et cV.jà à ce monx^ non' «™B enft-etem ks Itotesrs do „La Uel-•£iqiw'' <kï9 princàpalai YiUes de ce pars & Duraszo notamment. Nous (Soyons a^oii «à suffisajiïnKïit œtfdicàta alora pour ptni voir noria Ssjeaeer Ai consacrer un u»u vta ftrtiaio aijécdal & cette ville antique e très iiitSresstsnls ca;:<iiidant. I.« prise de DnEazao a été prfcÇrlée «5< 1 occupaion de, Tirana, de „Tii-jna la Beiie'', ootnmo l'ajpeïient avee orgueil la patriotes alîa»»ig. Elle vaut la peina <k ■ y arrêter, ne ftffc-oe qno pour rap^eîsr, et passuiiti, que c'est la viSe dM^stsud Paciia. <}U1, RIUS (fonte, pressentant l-'oritr^e des Au-teidiicns à Diu'aazn, a prtîdenKiien't qui .î. a ville pour sa ireaifee A l'abri chca ses rS Piwtoaaira iîatiena» i KrisaBsi, rïflna a d'aaires (iùea à n-rtK ai. tentaon. L«i Altoaug n%cl pas tort da la fS VZ "Lalme"- est, belle, en cf. la *bSs' ou T" Se°r1~' pir , "Wiesee de se3 mon-au querella par lo 'lto âa':'s lo" ^ le cadre ipsi 1,'on- lo^UJ nat'^ Il fout voir Tirana i. distance, an d?c"jn <flmo belle jouraée d'été, quand U savji coacfeM l'rnoœfe de sa iLièZ, rose ll r^a5xe Bat™ les pins rcrt-Wœ et U-a aveke^ p^H&s drlferiie, !« co;iT«teî e4 loï-toure cka rrac'enne'; me^uOea ss profilant ®or im ciel de pourpre et- d'ooaV Devant la vîUe, le long des jardins an-baumés, nondiasisameat assis oa ofKiohfs, les Albanais fuœeat, joaent aux cort^ ou "« tohtxs, s'eirtœimimt à, im-i-obc, fciTirfif, J1U0 les enfante s'éttittoat et se battes K!lr verto peloixses, au milieu Aai oiaj. ds* et ica moutons. 1 Dans les rues «fer la vill^, le tnoruvemo . cret gônéralament sjSSUd intense. T&rana c la âernièere halte des caravanes venant < Monastir par Elbassan et eerenxiant àï>i 'raz2o. Aprèa avoir suivi une large ru rappelant un peu eeôiea do nos \iilag "■brabançons, voisines des é^lisea, on arri au bazar, portant biea; la cftsaoôéristiqi empreinte oiueûtale. Il occupa les deux c tés du checnin, qu'il bonne par des colo naderv desrrière lesqueilea oofnjnetrçan i - et les artisaus offi'ont leurs marchandis en, vente- L'on peut s'y procurer tout < , que l'ospirit pciït imaginer : de3 vôtemerrî des armes, <ks bijoux, faux et véritable de la viande, pain, dos fruita, etl que ^ fruits I du poisson frais ou séché, du tabs ^ «n fetCUes» coupé ou en cigares et» ei<r r^ttes; bref, Tiert n'y) manque... Pîus loi " toujours en. plc£n air assi3 «eus les Ar des Albanais, habillés à peu près j/' l'euEtapéen-no, sirotent leur càîô daiïs d tas»e« minuscules. Que&îJK» ^jolioiers, tg da rouga errcuîcsttt «stro las peal tablai elt se dosmestt» de l'importance. ^ Dans fcs rues lafcér^es, tes hôtelferio ks ,,hansf" abondent. L/hôteiier,^ gèn&vzû j_ ment un vieil Albanais, est assis &57&i te l'entrée, les jambes repliées cous ïp, [0 prend lo ordres qu'il t^oumst aux su je ^ oljs'é^uieux:. Ii porto tfrha.bitnde qudlqi vieille diEroque de soldat^ «errfe, ^reo < e iteiian^ ,>con\possiteT' parfois, et a fesdoig ^ cop'iciisemont garnis de ba^ûes étincelantei iï2) Ces ,,hâns" abritent commodément cinquan [q ohevauoe, une tteuaaine de chameaux et « jj. grzxxlesi quantités de marchandises de fcou! 55 nature. Lea jours do marché, ces auberg présentent une animation inaccoutainv'e. ~Ls P toonta^nand& ' deo environs so môlent alo 3 aux Tiraraens et aux étrangers oi) of?re en vente des ceufss, da la laine, du t&bo g des objets en bois. ï- ifctl^ré sos vieilles nwtaoïiS délabrées, 1 >s rana est une ville réellement intéressant }& sinon balle. Des neuf mosquées^ trois i i- quaUro sonb tombées en- ru mes ^eaque B*fis toutes gardent cocora-jôes trésors d'aï Wquitcfl et de curiosités. L'Albanais! air j. Tirana par-dessus las autres villes- Jam-d î il ne manquera do demander à l4éfcrange passant par là, s'il trouve Tirana bciLie. alors ou lui fait le plaisir de louer l'o jet de sa prédilection, d'un lent-mouverne du tâte il marque son approbation, en m-u murant des ,,mir ! mir I'' asimiraLfs sign lr fiant : „€>ui, c'est beau, c'est beau !" I , il se délecte... \ I ï » DÉPÉCHES DIVERSES Londres, 4 mars : a. la Chambre d^ ComrQtE>es, M. Snov ^ den a demandé au jîouvcsuiemerst si, âvfft signé le traité par lequeî les Alliv ^ fifangflgent à ne pas ociiclura c?e jwix s ^ pai"éo, il a établi quel était le but que cli; s Run d'eux pouisstù vait et que's éfeuri^t. 1 s a vantoges conwnercria-ax et les acquisition torricoriates qu'ils chercfe?isnç. M. LWyd George a r^pçmda qu'il n'éta: pas opijortun. do donner des renseignement j sar l'odiange de vues qui s'est produit eutr à les Alliés, au moment où ils ont pris lea gagemeat de no pas conotura do paix séparée M. Snomlen a damaed-â alors sil ^tai vrai qu'an ta^i^-eecr«t o,vai i-étsî concîJj, ave 1 KI#.ïiia, en vertu duquel/ cd^eci recevrait ■ comme prix de sa partieïpatioït à la guerrç ■ *tl'importantes parles de territoires auiri ^ ohiesis. Le speaîvcr a, répondu que, s'il existe ui 3 traité secret, il ne R'-r^ib plus secret si L 1 gouvernement répondait à la question d M. ânov^fifedi. Sâi- Joha Simon a déclaré que, contraire , ment à la promesse expresse du premic: , mjaés'TO, des fils umqxt^s de veuves son feeaxô^s ôané Facmée. I>1 autre part, la ma j ufôre dant les hommes saut jug>rs inajitei au service et traits par les tribunaux lo eaux est en coatrEw&o&fon Ragr.arito arvec le déclarations quo le seecéfcAÎra d'Etat à 1 5 guarro a Ciites an Parlement. 11 6eriri 1 temps que les auferit^j militores o'ommen . cent à comr/resï^ro la loi sur le service mi lîtasiro qu'ils ont eux-mêmes élaborée, i. M. Walfeer hong a regretté lo ten di disc'ouis de sir John Simon. M. Ilealy, nationalïste, a dé<^ar6 que si] John Simon n*'avait pas le droit d'attaque] le War-Office comme il L'a fait. On a dit a ajouté M. Eealy, qui si les Allemands > ré^e^issafeKit à-percer près de Verdun, Paris e Londres seraient an diinger, e-j c'cso à c< » moment, alors que cette formidable lutte f< ' poursuit, que la Chambra à<ss Communes doit écouter le discours d;un ancien minis tro qui a été en fonci-ivans penjàianî la guerre ' «t qui, à ce titre, est resp«3^%Î5ia du m au que dé jpréparation qui a été co^sUafeé. Bii J«rfm Siaaon aurait dû suivre l'exesn^e £( sur John Burns, qui a quitté la CisbiiKil poui' ue pas endosser la resjyatLsaMîite de lo ' guerre, et qui, d<^$is, ne s'est jpmais permis un mot da cwtlque contre sas anciens . collègues. .♦* Pans, 2 mors : , M. Viviani a exposé- à lffl Chambre urr pro k jet pesrmettant de retirer, dwis un certaiï noml>ie do cas fixés, la uaturaiisa'Tou fr.m çaise obtenue par m* ancien sujet d'une ûa , puiraîanjees en guerre avee la Franco. • • * Paris, 2 mars : Oa ma^de de SîadTid au • A V?v*m^0, la sitoatka e?t fv'rieaise ; 1< borir^meeiro a àanpé aa démission. * Ali Gon y <fes roLCOctres qrd ont ea> li-3^ vEiia?e let> gc&ïtëtes H la poîice, il y a eu des motiS et jîtrœieurs blessés. Ijcs maisonâ dé commerce et les usine* mské fcîmà^. Par suite du nis>r,^îe de c<^> ra»t, la ville estl plo^éa dans l'obscurité I^es journatte ne paraissent pas. A La Corogne, à Séria, à Barcelone, à Sévifiei, &*£>ia«> et dan? d'autees l»calito6s, i] y a eu deo manifestations provoquées par la cherté do la via., • * • Pains, S mars : A la smte &un accident qui s'est pwxlnit smr la li^ne Ôli IXvœc, î© service Paris Koatti se tait par SerQnigny. Deux trains ainsi d'jtouiroxt sont outrés eu collision hier prèa de îa fpïre da Sec-qc^y. Troisl per-£9imjQ ou^' été* tu^ee et dix-luût • •a dt Paris, 3 mars : at Lqs sûcialistca et une partla deS'Hadic!au: le ont dSfosê à la Chambre française ua pi'o i- jet da loi modifiant les prescriptions légale e, qui rôgjieîrt Penrôlement ..ooMinia aml^lancies es des prêtres catholique5?. tq Lotir projet de loi r» pour but, sauf inapt: 10 tuda physique, de forccr lea "intéressés ai service actif. a- • * , te Londres, 2 m,ars : ^ Par or^ro du ministre dns mtinitians, 1 e trafic des métaux est interdit, sauf celui d 8» l'étain. 3» A la ItOLcrse des métaux da Londres < la au marché sidérurgique dû Glasgow, le a affaires sont ^îpcBdifôs jusqu'au moment o 3- l'on connaîtra la réponse que le gouverne 3* ment donnera- dciniam, â^la^élégatio» qui-y?lS *7 a été envoyée. ri ^ î^ondr®, -S mars : La sis^étaâfe d^' la--Kédérafi6ir:^3S -ou vriec» dea tra®>ports .^'déclaxé que le gou veEîïemcnt asvaïti i'if^i'àoïc de :ib£rer d ^ service milifeârè à ^ouvrier pour faire face aux né^essîoés^ " t ' es * * * ts Pétrograd, ;.2 macs-: io Le Conseil de PBn^fire, par 90 voi: m contre 53, a ra?uS& de renvoyer à une com ^ mission spéciale la projôt da loi relatif i. pim|)C>fc sur le r avenu. Ce projpt avait ét te déposé par M. 8ohtscise}iovrâte\v et avaifcét lo d6jà adopté en première lecfcuro. e i-o président thi Conseil^ et les miaistirc 20 ont voté contre la renvoi, a • * • es I&xndres, S mars :■ at M. Lloyd George, ministre «5es munition! cs pj déeircré, mercraS, à la GRatmbre de» com munea, que la liste des Hommes qui ont ét i- tibérâa du service miliimre pour qu'ils fc.uis e, sent continuer à travailler sera révisée doix m la but d?arriver à limiter le3 e^iâptioïis. * > * • L" Londres, 3 mars : ier Le président du Coaseil des mimistrcQ d 3> la NouveUe-Gailes du Sud déposera un pro jet do Ici permettant d^ai^ulor la n^torali ^ sation accoi*déa à de sujet» de nations enne nies. at « .r" Komo, 3 mars : Un groupe do sénateurs, présidé par M f.îoknotci, a fait intcr^eFier le gouverncmen: iiur la politique étrangère de l'ILiAie- D'autre paît, lo lâco domOciatiqua a d'cîdc J"amer^r M. Attendra, par des interpellations à la dkaml;r6 " et au Sénat, à ^ dire pourquoi il n'a pas encore déclaré la guerre i\ l'Allemagne. Le ,rGit>rna'la d'Italia" d^îondi de façjon it '^aiHt'e La j>oliiique du président du Gon-s seil contra lus partisans de bi guerre à i. outrance. s Home, 3 mars : s Le 26 mars auîra Ii<nx à Borne un Ccm-Notoire au1.7u.4l les carcfenïwix Fruiîrwirtih. a t Scaj»nelb. jjrendipont également part, s * * * 3 Paris* 3 mars : Mtfimcè-Sully, doyen <7a îa Coiûécà-tv.Frrin. ças?e, est mort hier à l'âge de 7û ans. t après uu'e longiao maladie. <« 0 • • Par-s, 3 mars : Jeu^i, plus de 1,0^0 fiacrcsS-autûmoUlK ] ont du cîiânvgr par suite du manque dres soïroe. Celle ci a &é envoyée à Paris, mai: eîio nJes.!i pa.s encore arrivée. ï * * 4 5 Péèrog!ra<ï, 3 mars : 1 IL Cark, miiàstre dei finances,^ a déposé un projeè de tei autorisant ia Beinfyae de - à émettre 4 milliards do réunira dfe ' biilcis do banque au delà au» montant prévu b rpr la loi de 1913, en y mettant la- con*H- - Son que le m-o-itaiic do 1*encaisse-or reste î à son niveau actuel. , ♦ * * M a Stockholm, 3 mars : 1 b M. Frit&jof - 33erg, ancien minîftro £e 6 Fùistrucuion publique, vient do mourir. Saint-Gai!, 3 mars : L'exportation de broderies aux Etats-Unis 1 a augmenté, en f&vrier, do 1 million 7CRl,0Co francs, comparativement au même mois dq . l'année précédente. ©erîinv 2 mars : | Le gouvernement francs avait à?cîâ$ fa t retenir pendant dix jours, avant de les re. j mettro aux prisonniers, tous lea envois pss-s taux qui leur étaient destines. Aujourd'hui. ; on annonce de source ofiicicilo qtro, désormais, toutes les lettres et cartes postales , arrivant- en Fi-^nee pour les prka^niers de . guerre a^eSKuid» seroat tTOîKfâiises immé;4ia, temeut à leurs dc^iatïMi-r.s après avoir été , etamkrés par la censure. Par contre, les envois postaux que les prisonniers de guerre avp^Kenè daas leur pays seront toujours retenus pendant dix jours pour des molifs nrilitairas. ^ SUR MER 1 CBorcBeaux, 3 mars : Lo vapeur français „LnJnné" a été coulé ' le 29 février dans l'océan Atlantique, sur les côtes françaises, près de Pile dï' Yeuj. Ls navire so rer^jkit à Dusikeiquc. Six £>er-sonnès ont disparu. Paris, 3 mars : > D'axes le „MaUn", un crens^ur auxiliaire iUleinan^, venant du Nord, arrra-it ?6ussâ à entrer daaa l'Atîaatiçuc. Plos'etïrs ovines de guerre s'ajypr^tent à lui donner la chasse. D'autre part, îa „Pe&t Parisisn1" apprend ia «Boulogne qu^on a constat, (kuis ^ la SJain&c, la proseuco d'un navire suspect lui pourrait bien 6tre un. autre „.Môwo''. Le vira aurait fait routo, avec une grande rapuUbé, dans la direction de l'Ouest. On «.lirait pris diverses mesures da précaution. Londres, 3 mars : Dans la mer (Blanche, le vapeur anglais ,.Sapha" a été pris dans les glaces. lJ)r8-4ue les vivres fuient consommés, l'équipage, composé de 27 personnes, a quitte le navire pour regagner îa terra ferme à travers les champs de glace. -Trois hommes seulement; ^>nt j>u se sauver. , îî«w-York, 3 mars t f - f Lo ^W^rki" croit savoir que le ,-Movrô' - a est autre que la „Peajav, àz Hambourg 5 qui, au moment où la guerre éclata, ctai s au Cameroun es réussit à échapper aiu croiseurs anglais. La „Puch,a", un navir« - da m^ne type, sa serait également échappé 1 Mais on manque da nouvelles à son sujet Les deux navires sont connus comme tr& rapdc&s. 0 Amsteidam, 3 mars : „ La oouiTior du ,,Mwklicnburg^ ', da 1 ^ ii^ne Zœland, «st complètement perdu. ^ Amsterdam, 3 mars : 5 L'„Algemeen Ilandelsblad" apprend qu 1 dans les cercles d'armateitra niécrlandays - on ciwisage sérieusement l'éventualité d i ^niro prendre à l'avenir, tant aux navire ren .partance qu'à ceux revenant aui pay^, h 'roi.vo par l'Ecosse, et ce, en eonsid&ratàct rVtes dlDisï^ers de mines existant dians les pa -. -rrigfe3 du batoaur-phare „Gallopper". l.es in r «tarasses sont d'avis qaa la ixrolon.^ationi dh 1 voyage et l'augmentatiicn des frais qui ei 5 r^s>^téat valent mieux que les risques cou rcs par les navires qui suivent l'ancienne route. <S'usqït*à présent, aueune décision n'est in ter venue. On fait, en effet, valoir qwoi c ignore tout de l'état do la nouvelle rou& " précaniséo et l'on craint que là cgalcmen ^ exista le danger des mines. : Un autre argument en faveur du main - tte'ï (I« 6tatu quo, c'est qu'on a pu fair l'expérience quo, daiv» la Manche, l'assis 3 tance ne se fait généralement pas attendri en cas d'accident, tandis (pie dans la mec du Nord on serait entièrement abandonné i ses propres moyens. Il n'est donc pas eneora certain que l'an • ©ieime route sera délaissée. é Pans, 4 mars : j Le „Journal" annonce que les dernières nouvelles reçues au sujet ce la ]erte di „Provence" disent qu'en y oompreaaut Vé fluipage, le croiseur auxiliaire avait 1,S0C hommes à borà, dont S70 ont été eau^'.s 2 Neuf cent trente auraient péri; on espère * cependant que ce dernier chiffre se réduira " encore, car on pense oii'un certain nombre da naufragés ont été pris à bord d'autres ; Le Réveil intsllsstiîsi (la h Gtë$ La retvUe améric^îo „The Inîand Printer' n -us" domie daîia son dernier numéro ur déposa très intéressant d«ci ce que nous polir. ' rions appeler le rérveil intellectuel de> h Chine. Il nous décrit notamment, l'origine le fonctionnement et la. formidable extensio: de l'institution ehirueisia dont le no^n corre» pond à la dénomination anglaise de „Com nvjrolal Press-". Née diins une bicoque, créée par des Chitiois chrétiens, qui eu sont encore les. directeurs à l'heure ^-ésecato, la „Cç«n mercial Press" s'est donné pour tâche de prf>pa.ger riastruotion générale en; Chine. Loi feêbuts cri 1897, si modestes, récompensèreni si bien las efforts des travailleurs, qu'er 1905, une- société anonyme fat- fondée au (îa-pic«l do six millions de francs et l'institu febn occupa en ce momeait. le plus bel im uiewble de Shang?tï:vi. Eu 1914, elle occupait 1,4-Cr) ouvriers et 4&Q ouvrières. iJmibée toui d'abord à l'imprimerie et à la librairies son ; activité s'est <iôvelojç)ée si bien que la ' „ Commercial Pre^ô" est devenue le centre - le plus important de la vie infeilec&ieile, C'cv.t par centaines de mille que ses publications sooiairesi et littéraires inondent le «wrsfeé, -du Céleste Jia^ire. Son . département Sttâraire, placé bous Ll direction do l'éani-nent puMicistie Ch-ang- Yan-Chi, comprend trn. dîâxLma-jbr da plus de cent savants qui traduisent tous les lesxkjues, les romans, les . œuvres se ten t'iftquea curop éxsis ci ont grand'-pe»esatisfaire aux demandes toujours croissantes d'un ptifeîic devenu avide de con-oaissanceg. A côté ck» livrés et des publications générales, 1" institution édite un ma-gamine populaire, une revue pédagogique, un a revua mondaeilo consacrée aux lettres et aux arts, un journal d'enfants. I^e goût de la looiure s'esi si bien propagé -jue la civilisation européenne n'a plus aucun secret pour les- nombreux lecteurs, et la demande d^études politique est si grande que lo quart des publications est consacré aux séances politiques ,et administratives. I^a plupart eles Chinois, initiés aux bienfaits de l'instruction s'étaient mis résolûmes à l'élude 3e la lan-<??o- japonaise, convaincus que c'était la snocLloiue manière de s'initier h la civilisation occitotalo ; depuis l'extension, prise par la „Cainçaapcarl Pfess", exz^tte étude a îXd abandonnée par le pins grand nombre et c'est dans leur langue maternelle maintenaat, qu'ils développent leur intelligence et étu-àeafc les grands problèmes de la via. Les tribulations peîitiqTKS des dernières années ur'vHià & été sans influence sur l'action de cotte in,3thafcîon mr>ùài&. Depuis la chute de la djmrïstie des Tsing, il a follu retiier de la circulation tous les manuels scolaires où était ehantie la gloire de la dynastie ré-gn ^te comme il ooirriemt à une entreprise qui a besoin d'encouragement en baot lieu. Après ce fut le tour des héros révolutionnaires Sun Yat Sen et lî^ang-llsin^ d'être placés sur le pavois, mais la fortusie subite et graniàisscsaÉa de l; as-pi rant empereur YsUBnSlii-Kaï 5ii] pSir l'étoile naissante de ces gloires de second oi-drc, et depuis, le mifrisààre do rin^trsietion psWique a interdis d-J clvanter -les éloges conquérante di":ts les^>ma«!tels scoîâwrcs. Le sucoàa «te }ft „ Commercial Press1" est dû en grande partie au bon marché fafonleuK do ses proàao-tirHis. Ponr qus^rpies d4aâï«s par an les 6ièvcé? de© éey&es et éto^êants ofetienneat un abonyjjCffiieat. qui leur fourîwfc tous les livxss cîpsësi^Mes dont ils peuvent avoir be-sein. Par alîtecr», journaux et revues sont livrés, à un prix te&eânenfc déA'isairo quo toits les Cbinefcs s&c^ant lira auraient terrt vraiment de s'en priver. Les bas sa-la»» (tes rééactoiTrs et des ouvrisss y sont p;>ar qice&fcue cko^e, etejuaast au prix du papier, les éditeurs n'ont pas à envisager la cmse qui cause tant de veilles à leurs con-frèras européens. Ajoutons, pour terminer, nue la ,,Commereiûl Press" vient de fonder ! des succursales non seulement en Amérique mais rn^sne en Europe. Et, dans un avenir prochain, otest pent-ctra de la Chine quû nous viendra la lu-! flâèrô - { COMMUNIQUÉS OFFICIELS i IWfi W%T\J â à CommisBiqués allomancis ■ l Berlin, 4 mars. — Officiel de midi î ! î Théâtre da la guerre à l'Ouest. <■ Aa sud-esst d'Ypres, l'action subid leoi^js (farrôft provisoire. La position cj &.0U3 ocoapiona avant 1e 14 février, 1 trouve bien en notre pouvoir; le Basion resta à l'ennemi. En Champagne-, les deux artillsi-'ics a 3 hiar dicôro, continué à ee contire-baitco Tef-nenfi. ' En Argçone, une attaque ennemie da p . d^imporSanca a échoué. b J>ea deux côtés de 1a Meuse, les 'Fr v çnis emt aosru l'activité de leur artillei . Après avoir oonsùnMrafc-iemoîit accéléré L . feu, ils ont attaqué la village de Pou; j, mont et nos ligues y aboutissant. Us L é-sa rd^uc^s, a la suite d'une luîb f . par endroits, fut un combat corps» à cor ■y Leurs portes sanglantes furent lounks; outre, ils ont laissa plus ùa l,CsX> pris niors nonrbessés eLifcce nos mains, j En tféWayant t^s champs de btetaS ; nous avoni3 ceyatiaRié le relevé du butin j sultant des combats livrés depuis le 22 vrier ; ca bat'n a augmenté de ii7 canc et 75 mitrailleuses, soit-, à- l'heure p1 , sente, un ^toHt de 115 canons et 161 1 i trailleu^cs. ^ l*rès drOfocrsopt, an noreJ-oucsfc da Po ~ l'ennemi" a vameme.it tenté do racontai• t la position qui lui fut enlevée te 10 vrier. D'une première poussée, qurlqt groupes eanemis réussirent à pén^-trer dia nos tranohéàs, mais nos eontre-attaques en orJi délogés imiméâfateanent; nos femx barrage ont ensuite empêché une nouve ; tentative de 33 déployer complètement- -L'; vers-tire a été obligé de se retirer sur s ancienne position, en abandonnant be: 1 coup de marte et dû blessés et pluis S'J prisonniers. Théâtre de la guerre à l'Est. A la suite d'au engagement peu- imp-! tant, las Russes ont été délogés de îol positions près d^Alssavifcsohi (au noj ouc^t de Baranovitsoai). Dans les Balkans. Bien de changé. * * * , • r- Vicsine,- 4 mars . — Officiel de ce mua : Front russe. Dans 1a région de Durmo, les «Busses < tenlé, hier matin, de gagi\iar la rive gau« de L'flnro. Ils ont été lepoussés. Lcu- presse esmesnie ne se Lasse pas publier des nou-verias signalant tuie grar ttffens^i'e runse qui progresserait avec si eès am* les; Ixrrds du L>7rjc35t** et près. G/X»movitz. D va sans dire que c'est nfo h: ment inexact. Sur les points en quettic notre ligne dé front n'a pas du tout' chan depuis sdx mois. Front italien. Pas d'événements particuliers. Front du Sud-Est. Calme invariable. D'âpres le dernier : levé, 1a butin capturé i\ Durazzo, coînpre 34 canons italiens et 11,400 fàsils. • XT-' * * ' Vienne, 5 mars. — Officiel d'hier midi Le calme coeWnue à régner sur tous 1 théiltres de la guerre. o Coansai22îiqué3 des aj:mées alliées Paris, 3 mars. — Officiel de 15-heures Dans la région :xi nord de Veixlu-n, l a tillerie ennemie s'est momtée extrcjnecne active et violente sur les datux rives da Meuse. Dans le secteur de Douaumont, d atiiqtjes cfiiUaisfeea-ie eememic se BO-at reno velcos pan-Jsaik toute la soirée d'hief av-une violence redaublée. Après de noi brenses tentatives infroctueuses, l'ennemi pu entrer eians le volage ; lo casnÉat co. tiriuo. Le village de Yaurs, à l'est de bôuu mont, a été en môme ternes l'objet d a sauts furieux venant du nord et du nor est. Çea assauts ont tous été brisés. L'a nemi a du so rabattre en arrière. En WVivre, bombardement intense ton la ntfft. Woci tirs de barrage ont emp£ci les attaques do déboucher. A l'ouest de la Meuse, activité de l'a tilloiie de l'cnnomi dans la région de M lanequrt et do ïlaucourt. ""îîi' Ijotraine, dans la région au sud t la forSt do Parroy, une fuible attuqc.ie été (ïispôrsco" par nos tirs ot. au moyen ( grenades à main. * * «» Pai'is, 3 mars. — Ofl'ieiol de 23 hcurca Eu Bfi'jgi'jiïïe, nous avons bombartïé 1-oanteancaîieii^ enneiois de la région t Ut^geroflrk- Àu nord de l'Aisno, r.no forte patrouill quii avait attaqué un de nos postes, a é reiXHJAsée avec dûs partes. KA>tro ar-iiHlerie a exécuté des fe-3 ( desiraefeion sur les ouvrages egignaig l'e.t de NeuvIUe-su<J de Berry-au-IBao. j)rt Ariane, notre artiîicrio s'est moi trée teès active. Fie a bomtarcfê lia îigm ennemies à ia lriUejJiorte et au bois c CliC5S5'. îxVï.-^; avons fait sauter avec succ;j3 u canKKsflet à SanaUinbert. Dana la région au nord do Yerfun, ! lutte a été très c&itf» près (lu viSng-o d Doi»ua:v>nt. No^w tetioois la pariie luvul dn Ttreseloîi, sur la pesste nord dufpiel se trouve. IJ'H- vivo coatrô-uttaque tiéclar, ehfa par nous, notes a permis de rega^or d tei-raàiî ans; aJtorAj inmK'iàiats du viliage. Ij9 lwrnfcfinî«sueKt s'est mam'ejiu tri k et à l'ouest de Li MenSt aiiï-si ga'cn Wo'vre. NoSre artillerie a erc ea« «as cnBâsr.trf'.tions do foai sur de pahits de iasè^nwamentjs de l'ennemi, ne (CAnmant à prosiffidtâ de. Beanmont, où on cokraao en marche a été disrparsée. En llROte-Ataee, noua avooa exécuté un at^qoe à T«rt de Sept et nous avons e; lové plusieurs <sl«neat« de trancliéea ecot mias sitr Li rive droite do ta grande Leug One oonti-o-aita^ue de l'mneimi a été impuis saute à non» tHoger du terrain oonquis. L'adjutout Navarre a abattu hier, dan la région ée Douaimiont, un smteie avio emtatni du typo Albatros, qui cet tccit dana nos lignes; les oooeçanté, bleasJs, oc lait prisoumers. jrrsMË. Londres, 2 mars, — Officiel du grand quartier généré britajinique : Aujourd'hui, dans la malinéq, nous avons aSÂaqué et reconquis les tranchées epie nous avions jKudîlêc» 14 février sud le canal an d'Tpros- Co;nmcc. Korrs nous semâmes can-ue parés en mémo temps dJun petit sail'lant sa de la ligne alteamud® primitive. Quelques ^ ^sû heures plus tarcî, l'ennemi a entrepris une eontre-attique, suais ii a été repoussé. JCous at,* avons^ fait 1SQ, j^isojiiiiers, panni les ,u^*is n- 4. «ffiei^s. Las boyauix * eie mines déixnv cîiant dans les tranchées oonqudsas ont été eu détruite. Aujourd'hui, l'arlillerie a été très activa m- da part et d'autre witra Yierstraat et Boe-■ia. singhe. ïur # * * tu- Ivomlree, 4 mars. — Officiel de l'Ami- >nt rauté : 1/j dragueur de mines anglais ,,Prin:rîàa" i?s. a été torpillé et eoidé le 1er mars du. ) i la on Méditerranée alors qurii était on service cte m- patrouille. L'équipage, a l'axception d'o trois homenas, a été eiiéfearqué à Port-Sa'd. te, i Kome, 2 mars. — OiYiciel du gran*| qupr* k- Cier général : us près de Marier, daus la vallée do Su-:e" |^ntï, uns petite attaqias ennemio a été re-i-i- Ifoiissée. i^Tocre artillerie da gros calibre a boin-i't, bai-'ié avec »acccs 1a gara de Toblach. fir Sur tout le front cie l'isonzo, dans lea t'é- parties montagneiuses-, le mauvais temps «ï ■os les chutes de neige continuant. A carmins ns endroit^ nos patrouilles ont fait montra 'os d'activité et ont harceié l'ennemi, en eîiri-jîe geant sur ses tranchées des f.nsiilades et en -le y jetant des grenades à main. '-'i- Notre artillerie a réussi à bombarder sa quelfircU points importants, parmi lesquels la gtîro de Seuifca-Lucia (Toinnino). 0:0 U^e da nos battei-ies a hareiiment occupé line position favoiable, a ouvert le fera a l'improviste et a «efficacement bomîxiidé des >r- frarar:Uemefi-ts et des abris do l'ennemi éta-blir» sur les versants situés à l'aiTière da la Podgora. » * O Pétrognad, 2 mars. — Officiel du] grand quartier général : _ Sur le lac de Ranger, nos canons de marine ont bomljardé les villages alieitïanc&s de Lxpemescli et de Bigaun. Dans le. secteur do l\iga, de nombrentx avions allemands ont lancé des . bombes. ^nt Sur la Dwina, entie Uxiciill et Ïli&enhof, iiic à 18 Siiomètifes au sud-est d'Uxkfill, efeïa avions ennemis ont également jeté quelques eo bombes. c-° Dans la secteur da Pwinek, Ics Alîé-mands, au moyen do minenwerfcrs, ont bombardé nos positions pi-ès e^'l'Uurct et ;o- celles établies dans les environs du cbonïiD de fer de Pomawiez; ils se sont servis do gé lourtles mines pesant 4"pouds, soit G5 1/2 kilogrammes environ. \J arti'lorie ennemie da gros calibre a bombante la région du lac do Swecten. Notre artillerie a eîéveloppé une e2;'icace activité contre Ivowe>-Alexaudro-«.vsk et coa-tre la gvire <h Trrmon, située à 21 kilo» mèties aw sutï de I>win.sk. F>n Galicio. sur la Strypa moyenne, les Allemands ont- teîtfé A deux reprises d'ap-: proeber de no9 tranchées, niais ils ont é-té ^ chaque fois repennssés par notre feu. Dépêche* Divarjsï : Washington, 4 mars : r- Le Sénat a voté, par 63 voix centre 14, ut l\ajournament. ,,&me die" da la eliscu^ûon U sur^ la nu/tiun ue M. Gore. Co dernier îs avait proposé d'interdire aux a- voyager ;\. y : - iuyIecs marchands je afcui^T bdugein-nts. r . g, * ^ a Ijondres, 4 mars : x. Lioyds apprend do Bombay que le dra-x. peau portiu*is a été lii^é sur tous le3 s- vapeurs. altemancls'qui sa trouvenii dans la I- baie de Mûrinagèo. ^ « * • Berne, 4 mars : te Les Commissions de neutralité du Conseil Lé des cantons ont décidé, le 3 mars, à l'unanimité, do proposer au gouvernement fédé-r- ral d'approuver le deuxième rapport du Con-x- s ail fédéral dat^ du 10 février et relatif aux mesures extraordinairea ]-riscs peur le te maintien de la neutralité du pays. ? - * * ^ ' vo Innsbruck, 3 m^rs : Au sujet d'un nouvel accident causé dians îa nuit du' 3 ra^rs par tnio a va lundi e dans : lo Tyrol mérrîiorrAi, les journaujx elle-;S manda ra-pporîant qu'il a coûté la vie à ie pix hommes ; trente autres personnes ont été entraînées dfcns les tm^sses de r.eigo, où ï, elles oîrt dû passer six heures avant d'ôfcra /i secourues. ♦ * * & Paris, 3 mars : à Le ministre français de la marine a pris des mesuras pottr. ot*vier au manqug da i- tonnage et à la hausse des frets. U a cons^ s tifcné une coœim^wâon ete régi Or le e traf;c transccéaniquo. Les importations est les exportations l-.- v^ont r tison n des besoins; ensuite une gtirvoîllanee sévère sera exercée «mr l'emploi des navires, a I^a commission a été invt^îie dos pouvoirs o les plus étendus. ? 11 Copf-mlwe^ie, 2 mars : L'exiloifei'ion des clmlutners à vapeur da-u nois eTonne toujours de gros bénéfices. 'J/att-r./a dernière, chaque l^t«ati a produit) no s bénéfice net de 1$0,&# à *200,^> couronneçi. , La flotte dfe plcita de l'Islande a éè6 *- aûjjmacftte pcir l'aahat «.b navires htollan-, s dais. Pencfeut ces dç^leas mois, la plua grasrde partie d?i pre*isst de cette Tjêcho a Q été expfo&ée à n^'ood, sur la côte ceci-dj^tewo d'Angleterre, oa\ les prix étaient o eonstitia^ucn.4 en haiis^e. Récemment oneorç, l- ia c^^aison tFuai ofcfch&or rapportait do >- '^39,000 à 60/X0 couronnes. » • • - Rome, 3 mars : Un décret du régent règ'îe le» payements s en or. à l'intérieur du pays. Il interdit lea a payements ou las remboursements à l'étron^ é ger faits à l'aide d'o Concis publies ou <2ei t leurs ooupons. Les infraotâoiMs eeront sévà-^renient punies.

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