La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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13 November 1917
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s.n. 1917, 13 November. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Seen on 12 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/r20rr1r466/
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prix oes abonnements 2 mois covemire. ^mbr.), ^ 7.60I 1 moi3 (novomhroj, tt. 3.SU. Us demande, tâtonnement «m •«-«' >«-«J 6ur!!^w" ap'UNISTRATIOH ET RtOAOTIOfi: -, «^îfnn^aux.H^os-Potagér... Bemeltaa. LA BELGIQUE PRIX DES ANNONCES Petites annonces, 1» ligne, ir. 0.75. — Réclamm avant la, annonces, la lign», u. t.75. — Corp» a» ,ournai, la ligna, Ir. 7.60 faits divers, U ljgM, jr. &.Q0. — Aécroloyie, la ligna. II. 3.59. — Coin des Eleveurs, la ligne, 'r. 1.ÔQ. Bureaux do 9 à 17 hsurei» Qlrect'.aa ei Administration : if iVVPï'"?" J09. K10RE3SÊE. DIRECTEUR B1» Montagne-»»- - - "LA GUERRE ~i 1,193" jour ds guerre lies Italie»» cherchent à bo ressaisir. Ils S3 sont formés ea ordre ne bataillé ma la rive droite du l'iave inférieur, ou la bataillo est Bans doute engagée. Après une lutte acharnée, les Austro-AUamaniw se *** emparés de la ti'.e de pont de Vidor, ou les Italiens avaiant tenu jusquiici. &ur rive gauche du fleuve, Vidor se trouve dans la partie méridionale de laro très vert quil décrit vers l'ouest entra Nervtwa. tut nord, de Trivi«i Bellune. . . BeiLome est tombée au* mains des Autr ehieos qui descendent des Dolomites orientales. En outre, les AuMro-llongrois pro-gressent. au sud du Tyrol, 1© long 11 Suguna. Enfin, au sud des Setie Oommunt, dans le secteur d'Asiagp où les avaient d abord arrêtés les contre-attaques de torce-. italiennes considérable» qui les avaieut mémo fait reculer sur un certain point, ils ont rôcommeaicô à marcher de A avaiui. L'ofîsnsivs austro-ailsmandG ea ItaliB Bâle, 11 novembre : On mande da (j^enèv» qn8 1« troup» de l'Entente opérant en Italie seront commandées par le géniiral français la^ol.e- ♦ * • Paris, 11 novembre : . . , Lo „ Temps" confirme la nomination «» général Fayol'.e au commandement on che des trompes franco-anglaises arrivées en Yé nétie. * • Berna, 11 novembre s D aprèô" un© dépêche du consulat suis°e i Milan, la Lombardia a et6 incorporée dan la zone d'opération. Cette mesure a eu pou conséquence de nouvelles restrictions pou les sujet® étrangers. * * » Lausanne, 11 novembre : On mandd de Rome a. la,, Galette do l^ai Banne" Que les autorités o;.t coinine-icA réquisitionner tous les hôtels pour y loge les soldats et les réfugies. Le» salles d Bpoctaeles et les cafés on* été fermés. ♦ • Zurich, 11 novembre : La „N'eue Zuricner Zeifcuag" apprend qy le vénérai do division italien, Gustave Ki bin°do Cervin, est tombé pendant^ les cou bais qui ont efcé livrée eu Italie septei trionale. • * • . -Berlin, 12 novembre : On mande do Lug&uo an: ,,Be?rliner lag, Watt" que l'offensive des Puissances ^ cei traies émeut énormément l'opuii m pubuqi eu Ita'ie. A Milan, tous los théâtres et et blissements de diivertaseemeuts pubnes o ferm >. Des gens riches eîi «rand nomo mettent burs villas à la gis,xsit,«>n ' gouvernement pour le service des arnbula ces. .La surexcitation d® la population < extrême : malgré toutes les belles plir.isi tïlos se rend compte que les Austro-AJ, mands, s'iis le veulent, fcxnt ^ miino pénétrer jusqu'au cœur dS 1 Italie-* « Eome, 12 novembre : Le Koi et lo gouvernement ont adre BÏ1 appel oomnmn au peup.e poui eiD ter à résister et à supporter les lourd» orifices que la situation actuelle imp^e tous les Italiens. Le Roi exprime iu ranoe que, mal0Té tout, 1» victoire rest à l'Entente. » • I Berlin, 12 novembre : On mande du quartier de la pr»9® Ber'iner Lo'-al An7&geF : ' — Dans peu d'hcui«5, nous f1™0™ les Italiens se décident à 4 lBnd£?„„ f ou s'ils se retireront derrière Nos troupes se trouvent à 45 kiK>m.-*rcs Venise et, dans le# lagunes, nos av. gardes en sont plus rapproché encore, puis plusieurs jours déjà, les autorités litaires ont ordonné l'évacuation do la v et elles ont disent® aveo la municipalité question do savoir s il "o s9rait opl ton do tran^f rer à Rome certains très aristiques particulièrement prxieux. Notre marche en avant et la reraite lionne se poursuivant dans de mauva conditions olimatériques. Dn violont sir« a anir-ué de fortes pluies qui trausfon rapidement les oours d'oau en torrents. ♦ ^ * Borne, 10 novembre : M. Giofitti est arrivé à Rome; il a re;u à la gar© par son fils et pa* M-lenzani, sous-s^crHair^ d'Etat. M. bic 87est l'Qndu à piecl à son domicile et a de nombreux députés et &Anatearf>, auwi le g in!>ral Eenaudi. Opinions de la presse BcrnO, 10 novembre : Dd ?.ï. Stegemann. critiqua militaire ,,Bund" : j^es Italiens n'ont pas autre cho» faire <îue de chercher à enra^Sr i av d'un ennemi qui, sans lâcher pi«d et tou les poursuivant, rend disponibles pour t très opérations à son ciioix celles de troupes qui ne lui sont plus néccssaire€ son front d'attaqué, dès maintenant courci, entre la mer et les Alpes de cenze- Or, $1 ne leur est galère possible réussir avant de s'être retranchés sui iigne de l'Adige. Les pertes qu'ils ont bies — jaertesa de posions stirafifcgi^ pertes de ioi-ccs vives et de mati'iriei — dès maintenant tellement élevées qu'on considérer qu'elles compensent en gr partie l'intervention américaine. mir.s de f^r franco-italiens ne pouvant g amener au front plus de dix divisions e que la dii-ection de l'armée austro-allem di'^cide «!e frapper un nouveau oouip, il impossible dù dii-e par quel moyeu pourra rétablir la situation stratégique mettre la Lombardie on péril. ♦ T * Berlin, 10 novembre : Le liant commandement de l'arme lierai e cherciio «à expliquer sa retraite la Livenza en prétextant, dans son muniqué du 7 novembre, que les eaus Tagùi amecto étaient très basses et ne stituaipnt donc qu'une faible ligne de fenss. Cette information est inexacte; esfc du reste contredite non seulement les constatations offici elles allemandes, aus.îi par les informations dfa journaux très favorables aux Italiens. C'est ains Je „Démocrate" écrit : — Le passage du Tagliamento doit cor.sid'r) comme une des opérations taires les plus remarquables qui aieçnl ex^CutiV^. Le fleuvo est transforme e. moment en un large et violent torrent submerge des rochers et des bancs de Il donne 1 impression de ne pouvoir franchi sous lo feu d'un ennemi ferm décidé à résister.' L-a guerre navale Copenhague, 11 novembre : La' ministère des affairai étrangères an-louaa qua la vapeur danois „h.»J . 'I1" te eaiilait de l'Afrique du. Nord eu. ^S'^Çe ituixgé Ue minerai de fer, a <-te coal. » novembre dans 1 ooean # Atlantique et 9^n équipage débarqué à Cadix. Lo vap-jur da-rois „Lindhait ' a été coulé dans U nn.r lu iNord et son équipage deoarqua il. Beryau. • * • Chicago, U novem .xe: Lo „ Chicago Uuuy New^ pubUo umc interview aooordvo à son correspondons a Lo«2res par M. Arcki.ald Umd, Ucrivata compétent eu matière uavale bien «wi'u • — Même Si l'Al.emagne, dit M. Hurd,ne ootilait que onze grands navues anglf »l«i semaine, nous ue serions pas a uioJie d aa-stuer nos services de navigation marenan^e si les chantiers navals dûs d>-UA rivages ue l'Atlantique ne construisaient jws, temeut at i toico, de nouveaux navu*«. L'AI emagne réussit progressi\ointœt à eu-traver le travail de notre marine, nos ain-vajioi et nus communiquons par mer. uiSuul on Ut atteûUvemout la dernier ii^ coius de M. Lloyd liaorge, on «wn»tu^ Lu il na pas dit que le danger ea fut des maintenant paré. Tout au contraire, ». avoué que nous ne sommes pas i mJme do o fflipeasar nos iiertes. On a géiiéra e-ment dis idées erromos on ce qui v}?***'* lo nombre 1« navires marchands dliponi-bles rcaïté, la G-ande-BreUgne, doot ,a marine marchande constitue la ^tié A •[onœgo mondial, dispwau au d^a <to h intT- pi pour ks servie^ d °'lTaSus de Cm tonnes et la moU a été réquisitionnée pour des buts mili ^Tne reste, vraisemblablement plus au d'hui de disponibles que 1,000 navire dont lo tonnagc et queemque ma,s pea uc Table Ce sont ces 1,000 navires que viser, tes sous-marins : si nous continuons i en pei rlr-20 i>ar semaina. il arrivera un moment o ! non! s*-ra îaipossiMc de ravitailler suffi Animent notre population, et ou, se rendar TZlu, que le prix qu'U lui faudrait paje rr.0r M U V«. eue e^a rca verture de pourparlers do paix. Lne tonn ■le charbon, par exemple, coûte aotuellemea m Italie 100 dollar : il i>ien ■ iiu'il simnose de mettre fm, avant llnvc L l'état de choses que ce pris révèle-c'rst ce que 1 Allemagne veut faire emp S» r«un prix par «« s ^maruis et fii»i elle réussira si les Ruts-Unis et 1 A Kleterre „e sont pas de taille à fai le écliou • son olan : or. le professeur Francis Cri j iç„r (îe i Uni verdté de Columlua, esftu: - quil esit vraisemblable que jamais an t saura battro les sous-manus. ; EN AIVÎÉRÎQUE d'économiser le charbon. * Le conflit anglo-hollandais a- » La position cnlro deu.x chnlls*,.on P»™ I 11- iivr plus axactis,.o:it. ei'» ''' uiartBau l-a "un* tapi,s o » la Hotuind. ,*ir le clali. fall couler beaucoup deuerfc B*w-.n* avaient rota» augur- une snlll!l0" ? ^ *'"® hl q^tion. «,,» torroo d» 0 lits Ue l'un ou de I autre cite do 1» barri i W Ù ehoew n» viendront blaueut. romie au c e ou les Etats Ui.» I 61 p, i.j,t toutes les rclaauuiB éoouoœltincs «e les pa>D via s par fcs. derniers >1 erelbi En fîîet ta pnase n erlaiwis ise satta. l e f d -montrer que la Hollande e t tributaire ,1e de te.atuii:e pour au touil tceueoiap p.us oons •t- rab? que de l'AngJct^r», eu ç° qui eomce,,,» e iinpvrt,lions, depuis le d-but de 1 ann « cour. t, V.v l le» chiffres, eu floit.s. pour le pro. [le el le io;'oud trimestre d» 1317, quant, ans ira Il t,llLlDS • icr trimestre. '2etriuv;s ir- D'Anrieter™. . , . Wi.884 wa 27 >R> D'S's» . • • 25.285.1W 4W Il appert de eea chltSrep que 1 tapor,., " d'ori-noe allemande, au cours du 2e t*iuiet|i i&i pr sque doublé tandis que oe'4© d origine XX) ff'aiso diminuait sei.aibl aaent. >ui ' Quani à ta smusiiqu® dea produits tropo voici qujclquea chiffoes totaux ex p mm-3 en non D'Anglet rr<j. D'Allem^! Charbons. é»S Fer 803.«0 » 7a. Aeler ■ Bol. de construction. — Produis thiuqque- . 581,^65 5'U Jfc'acliiiMifi agjjc., cto. l,4fcâ,o33 IUE Ciment - *'0'2^ Los impoit" lions anglaises so cwmroseiu poi pf iB grande parti© de tissus, «font au Ir.s.a Uollan.'o pouirût Se passer 3ans trop grand convil'uieats, Utndis que les produits |mp ^'AJleP.a^ne Sont m't^-€ltir«B h «a vle n du U apperi. en outre f?e* d cl^rations vFifwœeniîcles. oue la Hollande pou; rau, x trop do dit'irnit s. sujfii-e à sea propres be' encore que 1 -s engrai* a'a>!*ricalntJ o» ^ D( nCe ture pour lo bétail, venant à manquer, IM« ©a sul;ir-il d'assez gros u: o>iupted. Donc, vu au- locordfl cori< lus avec l'Alleinagne et 1 Aut] ses p°ur la fourniture de oharbons et autres R '"uf indispensablcô h l'ind» a:rte. i| œi t sijjj.Cf que la pref?ion e^era'e sur nos vc f9r du Korti. n'aura d'autre ellet quo de cr er Vl- troiseeuici'ts fcuifl grand profit pour porSoniU d" y —» —- la Les événements de Eus Berlin, 12 novembre ï j D après le „îierliner Lokal Anzei-'be- L^niue a fait savoir à l'ambass. .x d'Angleterre, M. Buchanan, qu'il lui 'ant dans sjn propre intérêt de s'; ^ air die toute intervendon dans la j>oii int -rieare du pays. M. Lénine aAtach dit-on, d autant plus d'importance à â restation de M- Kerenski que celui-ci tient par dcver3 lui nombre de docui précieux, entre autres les traités cc entre la Bussie ©t les Alliés, ita- * * • vers Paris. 12 novembre : ^orn- Le „Matin" annonce que Mine K° du et M. Milioukof ont été arrêtés, cou- » * * dé- Berlin, 12 novembro : edle De la „Oazette de Vossr'' : par — 17ex-ministre de la guerre russe nais ral Werchowski, qiu avait été e< ilô^ neu- ques jours avant la nouvelle rôvolutio que M. Kerenski, a ébé ramené à, Pétrogi a été rû;u triomphalement par les nou être gouvernants. Il a immédiatement repr nili- direction du ministère de la guerre été n'en pas impossible qu'il soit nomm ce ta tour militaire. On dit qu'il est parti qui Luga, où les nouveaux gouvernants \ble. concentré des l'orces importantes poui être rer la route de Pétrograd aux s°pt 1 aient ions dont disp^^e Kerenski. * * ... ~ •- -- - —.—-—•—— Stockholm, 11 nov3®fcre t Ou mande de Péitrograd quo, jusqii au moment où lo nouveau ininistè'e se'-a constitué, le géti ral- VVerchows'.ti sera muni de pouvoirs d'iotatoriaiux* » * • Vienne, 11 novembre s . r 1 Les proclamations suivantes, lancées uu caiiip~ de Jl- lierensiii, t-'moignont de la si- j tuattou tt'oub!' e qui régne en Russie, ou l'on peut croira que la. guerre civile a dljja éclaté . . , 1. — A toutes les troupes du district mi-litaii'e da Pctrograd. lin qualité de présidant du Conseil des mi iit.es du gouvernement pcovisjire et de i commàiejaut «A chef de la ïoroe armée oe la lié publique, je me suis mis aujouttf Uui à la t'-te des troupes restées tide.es a la patrie. J'orJamua à toutaj les troupe» du district mi.itaira do Pétrograd qui l>ar «u» je un malentendu ou sinus une quelconque uressi'on so sont ralliées à la Ixuiuo des traîtres qui mïneut la mi luveinent revolu-doninairo do ne [«s Ws ter à revenir un-media: oment à la causa du devoir- Lo présent ordre sera porté à la connaissance (le toutes los compagnies, des commandant» de bat.eriei, das escadrons et des sjtmas. Le président du Conseil de» min stres Ou gouvernaient provisoire et commandant eu chef (S) Kerenski." H. — Atrx troupes âa Pétrograrl, Les glorieuses troupes révolutionnai» resté» ÎUOes au paya sont arrivées, vcuou (lu fi-ont, aux portes de la caplile. Ppœ empêcher l'e'fusion du sang innocent, n ar r<Hez que ceux qui vous ont menacés, qu détruisent et trahissent le pays. Pour qu' l'on sache quels régiments restent tidulea : leur devoir, envoyez des d. l^aUonfl aut I troupes du front qui avancent. La Conseil du Comité pan russe pour 1 ! salut du pays et de la révolution. Le ocra ' miss tire du district militaire do Pétrograd 1 (S) Malowski." ,, 111 — Des troupes du pays rest es rxuï ieS à la ciMise do la révolution, /"fP1^ ment a'accord avec les Conwils do La l < ' dération de l'armée des ensarpies et avt 1 tous les organismes démocratiques, ont « " cui>é hier 1 sirlcoie-5él'> et se sont empi ' r.'es de la station principale da radtote! " nranhie. Les révoltés se retirent en masi 1 désordonnée vea« Pétrograd. On sjvira avi ' ta plus extrême énergie contre ceuK qui , 1 'ivrent à des pillages eî ^ dos actes < r violence. Ceux qui': seront arrfté» ayant s, ' 1 eux des biens volés seront îmmédiateme e fusillés sur le lieu même de lew crim " Ceux qui se seront rendus ooniiabie» rte i 1 tieUÎoin seront déférés aux tribunaux mu r, ! J y- Auat format,ions fia l'irmée et ai \ I commissaires à T ,'-tr ,/rnd : .... a I L indignflt.ion eon ré les bolcnevist^ sans cessa Oroissart Airourd'hui. des i 3r orésitiius ont é^ imbliqucment exercées cc re eus, des fusillades ont éclaté dws 10 i ininbrcuses rues, l^e t l'phone a été oou 3e pir les hobereau» et par le commandr ,vénéra! <}e l'irmée qui a refoulé 1rs gar< d&s boicheviste». A Moscou, la garde n est. buttue- Vers le s >ir, Ixeranski se t ! vcri aux porter de Pétrograd. Les cr munioations avec lui sont, r 'tabbes. Vne légation du Comit', du salut du pays s I rendue auprès de lui. La fin de l avent ue ics MchevisteS est une question de jo ou d'heures. Pour l'assurer par les mov — Ica plus sûrs, l'union de toutes les foi ! de la démocrate et dit Comité panin pnqir le saint de la patrie et de la révt I lion est. néceesaire. Le commissaire dn commandement en c 2: Sel,m toute apparence, des cornets s un I triants se livrent- à Pétroctrad et autaur eu la vilie, entre les partisans des deux par L. marine s'est tout entière ralliée : sti' bolchevsics et l'on peut en il'r^ autant d1 ^ très grande partie des armées de terrt yju. j * * •vec 1 jiei^ingfors. Il novembre s' J De 1 ,Jswesti.ia" : M _ événements qui so d<érwiïont lié] I Pétro -nad ont diormé le coup de grâce è bsk, I cnnlitiou qui e^'Stait entre la bourgeois! nte. 10 sochlisme. Si la contre-révolution vei nicr I fi triomphe»# le pouvoir passerait fa'alen iyOT~ I aux raaims d'un dictateur militaire I étoufferait la révolution dans le sang-'D tl ' »rc part, si la révolution reste victori© >6 I elle réglera ses comptes avec la bonrgoc J en imposant sans management les cln J misées et en partageant les biens for.c an j entre les paysans. L"-s trait/s secrets ! cltis par Kic'^-ias lo Sanglnnt avec ^ les r1'6 j rvérialis'es alliés doivent ôtre puNJi;s el BS ("lar'-s nuls et non avenus. T/appui le J puissant sur le iuel la nouvelle révo.i. lô 1 peut compter, c'ent celui nue lui donners J ,évolution mondiale dont elle dlonm* 7» signal. ^ DÉPÊCHES DIVERSES ir la 1 » a la I s tn Genève, 11 novembre : on S Ou mande de Paris qu'il se pourrait „lu& p, chaml.rei française tînt don 011 I séances secrètes. •um' Berlin, 12 novctnlire : vase La „Tribune de Genève" croit immi le» la ru.our do M. Cliuienecatt au pouvou ■tolio. j „ pr<> Londres, 12 novembra : • Parlant dans un meeting de chauf ' l'(v, volontaires d'automobiles, lord Fiench ,. claré : Nous no pouvons pas savoir si j ne nous rissffve pas pour jsentôt la „* prisa d'une invasion da l'Angleterri "*■ n'est pas un soldat (lui ne sache, e que tous ne le veuillent pas croire, ,, la guerre c'est presque toujours ce ( 'rir ' I n'a pas prévu qui arrive, et plus qu a iJetir ari!(re la, guerre pr-seate a vu se v, ouu- cetta vérité. Ella n'a ét'i, depuis août tbste. jusqu."ii y a deux jours, qu'une longt 1"<lue 1 rie 'o surprix. Vous conneissez la ïrf1'' uil'e, qui est peut-i'tre la plus étonnan ' jj-1" toutes : jï veux dire ce qui se passe lo nord de l'Italie. Or, ,;e vous dis uems I u-e$t p;is du Ènu impossible qu'une °°'as I nous soit réserv e sous la forme d'ui vasi oo. Je voudrais que vous vous 1 I la conviction qu'une invasion est tout du domaine des choses possibles et quo ttigki 0!1 infériez qu'il faut quo noua soyons à tout. * * « Berlin, 12 novembre : I On mande de .Stockholm à la „Ga» géné-1 Voss" : quel- La marche en avant victorieux i par troupes dles Pluistsanceis centrales eu ad et I et les évônemants qui se déroulant en veaux j aie ont provoqué hier umo hausse i is la i tante du mark, qui a monté die 30 ° et il haussa aussi forte est unique diana l'h i die- j du chaagp. pour I Les devises des puissancaa de l'I ont sont aus-i eu reprisa, mais dans dei bar- portion» beaucoup moindres. Quant ai <ita.ll- t..la, il est resté négligé à 33 «ou i pcrai 100 rouble». » * . Sofia, 10 novembre : La Scbrania s'est ajournée aprèa un discours dans lequel le président du ConsciL, 11. IVtdoslavof, a déclaré : _ Les buta de guerre de la Bulgarie 3ont connus : elle veut son unification dans des frontières telles que soit réparé la tort que lui ont causé la Congivs da l.e -in et 0 irri'i de Bucarest : nous voulons la Ma. oédoine, la Douroudcha et les territoire» que les i^erbeâ nous ont volo avant 1 instauration do l'Etat bulgare. Ces buts sont ju»n-liee twr les raisons que nous avons e. i*> S os aux Aillés et aux Nauireii et aux-quel.es personne n'aura neu a reprendre, étant donna qua nous ne voulous au fond que la réalisation de notre unité nationale et les satisfactions auxqueillcs tous avon» droit." « • Vienne, 12 novembre : L'emv«rear CliarU a mtord* la duel dans l'armée et dans la flotte. Stockholm et_ja Belgique M Troclstra, leader des socialistes hollandais," qui tut avec notre compatriote Camille Huysmaus l uu des promoteurs de la Conférence internationale de Stockholm, est retourné ces iours-ci dans sou pays et, Sau8 mie réunion des membres de son paru, I a est exprimé comme suit au suiet du uasco L do la Conférence de la paix : * — Je ne vous panerai pas de la méfiance témoignée à notre égard, ni do 1 op position provoquée contre noire œuvre. No ! ire ardent désir de mettre un ternie aux ' hontes et aux crimes que lait commettre la 1 irucrre méritait-il ces reproches el celle Ue-i trisouie ï La démocratie anglaise et Iran-o.iise qui, au début, nous était Bi op-e posée, est venue à résipiscence, sous l'empire des seutiments socialistes. Je ne veux aujourd'hui citer aucun nom. I our un ' seul cependant je veux faire exception, pour le nom notamment du président du bureau socialiste ialernational, Emile Vandervelde. - Ouclles que soient nos opinions person-^ nelles, que nos sympathies uillent a 1 Lu-c tente ou aux Puissances Centrales, c est v. avec un déchirement de cœur que nous L. avons vu Vandervelde s'élever contre la Conférence de Stockholm. Il fallait, avant qu'il consentit à se joindre à nous, que la l" démocratie fût triomphante en Allemagne. ^ Aussi longtemps que les socialistes allfr * mands s'abaisseraient h serrer la main de le Kaiser, il ne voudrait plus rien avoir d« ir commun avec eux. Ces paroles, je les ai nt entendues de sa propre bouche, boramen P veut-il que nous fassions triompher la dè à mocratie allemande ? En relusaul de rece voir ses délégués à Stockholm r N etait-C4 J" pas plutôt en les appelant à nous et ei leur inculquant notre manière de voir ( J' K vois distinctement ce qui s'est passé dam le cœur de Vandervelde. Son attitude lui • 7a été dictée par son ardent amour de la bel o- gique, sa malheureuse patrie. Mais, encor T1 une fois, était-ce là une raison pour s op il poser à 1a Conférence? Ah ! si cette Cor térence internationale de Stockholm avait p 1'-' ëe tenir, comme le monde socialiste reui nl là se serait levé, l'aine et le cœur animé d'un même sentiment, pour s'écrier : Non ige voulons une Belgique libre, une Belgiqu ,u- rétablie dans ses droits, une Belgique ayai m- reçu toutes les réparations !. Ce3 paroles, dit le journal officiel d parti ouvrier ttH«t Volk„, provoquèrent dar ^ l'assemblée un tonnerre d applaudissement £ Ligue pour la paix universelle sse lo" Noua recevons la communication suivante ief. — La population anversoise, réunie < an meetihg de protestation contre la guerre ■ seg horreurs, au théûtra Thaha, é Anvei t" a voté à l'unanimité l'ordre du jour si tux j Ligue remplit le triste devoir de s t a"® socier à l'immense douleur des familles i. cruellement éprouvées par l'abominable at que aerienne du 28 octobre dernier; Regrette infiniment que, dans sa Scar du Sitf octobre, lendemain du désastre, 1 Conseil communal d'Anvers n'ait pas ju , nécessaire d adresser uu mot de condoléai a ou do consolation aux malheureuses v -times; . . îa't ose espérer que l adinmistration conu ara nala d'Anvers réparera cette omission; qui So rend à nouveau compte, ci ce a a„. suite du misérable événement du 28 écoi ,sa que la continuation de la guerre ne p ■ • donner lieu qu'à uu nombre toujours cri ,'®18 sant d'atrocités; , 508 Exprime le vœu que tous les belligera iera comprendront l'horreur de tels actes et < îrrn- tous les partis, prenant en considération im- désir de paix universel, cessent immédn t]J>_ ment la guerre meurtrière et entament [in» négociations de paix. lion — — IVlouvsment ssparatïs M. L. Simone, publiciste hollandais, toujours fit preuve de sympathie envers tre pays, vient de passer eu Belgique q ques jours qu'il a mis à profit pour documenter sur notre situation politique térieure. Le mouvement séparatiste a ] que particulièrement attiré son attention, et j trois consacre une étude daua le "Nieuwe C r.ant„ de La Haye, dans laquelle il montre d'une grande largeur de vues d'un sens critique très avisé : .aefct — «J° me suis tenu exclusivement sur terrain objectif, écrii-il en manière de clusion. Des tendances séparatistes se jour dans le peuple, il n'y a pas à le i » Jo ne pourrais vous dire quelle est la \ sanee de ce mouvement, et en Belg 31 mémo on ignore . jusqu'à quelle profou il a poussé ses racines au sein de l'ai l'on à l'Yser, dans les camps de prisonniers sur- Allemagne et chez les internés en Holla >. Il Mais j emporte de mon enquête la coi oore tion sincère et profonde que si M. Asc nn-A ne parvient pas à conclure la paix a ..v,nn le 31 décembre prochain, il ne lui fa n « pia3 compter sur une Belgique urne. : formant qu'un seul bloc. 11 est incontes Tiiiôr e le mouvement gagne en hauteur 1934 profondeur et en étendue. Le Couseil e se- Flandre, qui ne comptait que cinquante i der- bres, en compte à présent' quatre-vingt: u de parmi les nouveaux venus il est des dans mes qui, il y a trois mois encore, s ci nn'ij liaient très éloignés. La longue durée c oiit guerre travaille pour lui. Le gouverne . belge, depuis si longtemps éloigné du i 0 ln" perd chaque jour un peu plus d autoritt issiez près des foules, avec lesquelles il n à lait plus en contact, encore qu il s^expose vous vives critiques. D'un autre côté, 1 au prêta nisme entre les classes privilégiées ï peuple s'accentue encore en l'iandre. mouvement a gagné la fraction la plu: tive et la plus remuante du parti ou-Qui s'est rangée aux côtés de la 00 bourgeoisie et du clergé inférieur. Au , prits échauffés de la première heure se 1 des joints les hommes d'etudo et les prati1 * ït?iiliô se3 tendances deviennent nettement soc liuS- et ses protagonistes sont descendus des mpor- teurs idéalistes pour inaugui'er une ^ .Une tiquo pratique. ^ Uni** Certes, il ne consent pas do surtas ^ valeur et la puissance de ce mouve a. _ mais on se tromperait certainement rMonte traitant par-dcssou3 la jambo et en oi i pro- gant autour de lui la conspiration c : rott- lenca. Quoiqu'il arrive, les situations L'orme» peetives en Belgiquo ne pourront dans nir demeurer ce au*elles étaient ant( n!uiiiw. COMMUNIQUÉS OFFICIELS r » vftT3-es par le tsu ro-ulant, les Allemands ConiïQUiiiQués de# Puissances Centrales. av<ac ieul6 aiii'e, entrepiis «u îtau* un» tonoâ. - d&bie offensive qui leur a valu ©n qiuny* ;e^« Berlin, 13 novtsnbie- Offidd d® co midi : Théâtre de la guerre à l'Ouest. uwa car*ô» fo* aattet». srsuïïss: - »■ a succ-dé à une courte canonnade; elle a dail^ le g^.^u, d'Asiago eei oomp-l«c. Avm été roooussoe. Dans la journée, 1-8 o^ra- uu (.jan iucojmpamUa. le.^ troupe» ûup* fions -si sont limitée? ea Flandre a dea ao- ^aLs oni e«.evi- d iniportautes P^Ulond iWij». t-ons da diversion des bSTï « les opérations sont de^6uues plu» acuvœ a.^ ^ euiumues avt.nt.iai sans arKi vci. la dan» le eeo.eur da l'user. , ^irtiô m vidiui^t. é» l'riwso. K'auiu». (in. u»»». Sur le 1-es.fi du front à l Ouest, pas (fève. ^ d.luS apcÈS avolr «,;««, lts^ nemant essentiel à signaler. Bom au delà du Piav. et f,«irui nna -tap» lieutenant MÛUer a rampor» s. trente- troisième victoire aérienne. ,los e. iu.s tr»up<js sont tap^bio*» Théâtre de la guerre à l'E«L j h l'injai.i»i\Te qu'ils adapteatc aux siliaa^4<«>® w , pJ„B itivtrsce a témolÈiiiciit d» lour incompaxsui» Bien d» particulier a signaler. i yaiUauco. Front macédonien. — ^ Dau» la bouele de la Czerna. la canoo- Communiqués aeâ armées alliée» nade est devenue bea,ucoup plu» violeuie le golr< Paris, 11 novembre. — Officiel de 3 h. » Théâtre da la guerre italien. ooujis da main ennemis au norit- Collaborant ônergiquoilient, des troupe» da ouest de Keims et au noid de Samogneu* montagne wurtembourgroises ot austro-lion- ont échoué sous noa feux- Su"" le front da ,Toises out coupé i» retraite, près de Lou- liois de Chaume, activité pei-si=.taate dea Surone. à l'ennemi qui reculait dans la deux artilleries. vall C Supérieure du l'iave. Uix miUa Ita- En Woevre, au norl d8 Flirety, non» liens oni éto foroés do sa rendre- Nous nous avons réussi une incursion dans les E-gru. sommes empares d un important maiériei ènnemi» et ramené un certain nombr. d. d'artil erie et de guerre. prisonniers. Celles de nos troupes qui avancent do Dans les vosger;, après une viv» pivp&< Bel ime, ei aval du Piave, 60 trouvent aux ration d'artillerie, l'ennemi a lancé une a». Dortes da Feltre. taquo sur nos tranchées de l llartman». Sur le Piave inférieur, rien da nouveau sweilerhopi. Apri» tm violent corps n ,x>rf«, à 6i naler. . nos troupe» ont entièrement rojata l'ennemi, ° . * » qui avait pris pied un instant dajis uu» Berlm, 12 novembre. — OffîcieJ d'hier lignes da surveilianot. Ona autre teut.».v« sojj. . yinemie am lieichsacker est restée saa» Au nord-ouest de Passcheudaela, une at- sutoi;S. toqua païuelle anglaise s est écroulée avec Nuu calma partout ailleurs. de» nertos oanglantea pour los assaillants. » * . ...... , sur le plateau des sept Communes ot dans Paris, 11 novembre. — u£iuci8i da 11 n. g la Val Su" aria, nous avons gagne du l«r- Aucune action d infant-na au oout» (k » raim ea combattant. Sur la rive orientale ;ournée. La lutte d'artiller.e a été a«*M du l'iave, nos troup» ont enlevé d'assaut vive en Belgique, dans le secieur de t apo-ta tu" ta da pont de Vidor, taaucomeiit detoa- goed, et, sur la riva droite de la Mata*, due par. l'ennemi. , dans la région côte 344-l>ois de Chaume. « _ Journée cilme sur le reste du front. Berlin. i2 novembre. — Officiel i .*. lin octubi-e, le» perles aérienne, da nce Paris, 10 novembre. — Officiai d» 1 at> ennemis sur les fronts allemands s'élèvent mée d Orrent : ■ à 9 ballons captifs et ?44 avions, dont iM Activité moyenne de l'artillerie sur 1 «o. srot tomjes à l'arrière de nos lignes; ir a semble du front. Quelques e-c.iruiouchea »u* été constaté que les autres sont tombé» der- la Strouina, sur le Dobropolje et dana ta | riira les ligne» «nuemie». Au cours be» région des lac». ^ , i ■ eom'iate aériens, nous avon» perdu Sï * * » . , avions et un ballon captif. Londres, 10 novemb-e. — Olf-cid , t 9 * m Ce matin, nos troupes ont aita/juié G&t Berlin, Il novembre. — Oflet©l : positions ennemies éttblies au nord et a>a 5 Dans la Manche anglaise, un de nos nord-ouest de Passchendaele- Les premier* " sous-marins a encore coide (juatre vt>peuç> rapports i^us annoncent que noua avûn« i:iu<reant plus de 1»,<K)U tonnes brut; trois fait de bons progrès. 1^- vent souille oa t d'entre eux étaient aimés et lo quatrième tempête et la pluie tombe abondamment. 4 « ressemblait au vai>eur angla:s „Welling- L'atiaque que nous avons exécutée co na-s ton-". Un autre, portant le nom de ,Cal- a été prononcée par des troupes an- e lia" ' était vraisemblablement do nationalité glaises ot canadiennes sur un front de plu» it .talienne. ■ I d un mil'e des deux côtés de la ro t i Pa». 9 # _ schendaeie-We^t-lioosebeke. Avant notre oife«»- a Sofia 11 novembre. — Officiel s* sive, la pluie est tombée à torrent et te * Sur tout le front en Macédoine, ^ 'ci de ruauVais temj^js a continué toute la journée. J" diversion, plus violent par intermittence à troupes ont néanmoins encore progressât l'ouest de Bitolia, sur la Moglena, au sud veri l'ouest à proximité de la ci<>ie priuc*. de la Belasitza et près de l'embouchure de Jjal0 ^ collines et fait un certain nombrt la Strouma. Des d'tachements de reconnais- , e prlS(Mln.ierS. Dans ce secteur d'attaque sance ennemis ont été mis en fuite par (Jr3 ^taillons canadiens ont continué i notre feu. » avancer 1e long de la crête principe <k* ; Sur le front de la DobroudiCha, a lest collines au nord de Passchendaeleî à 1 aube, m de^Galate, canonnades. jla out atteint l'objectif qui leur était as- et & — -signé. Sur notre aile gauche, de^ banulloo* e. , _ nficl-TM : anglais ont pris l'oifeusive le long de fe li" lot, uw-iil muiarom. dat'> ,> partie occideutule de la cr<1e pruicipala >% ^ namaj-vou. a noveuitirs. pr teud iiu'i'.s ont ^vaiian malgré le sol détrempé ct . obs ..oie qui coik-lIÎ pi an nnti. dans 1 (Sixue d« tr."s nuMS, 90 <nvv stituait le ruisseau de Paddebeek, ont réussi , aions alleruaudes, )» Angla^ ont r i atteindre leurs buts. veuille une uouvdta « do, Vers la fin de la matins, l'ennemi > ce fc™1! sans quVat dpvenn la diriga de violentes oontre-atiuque» contre la le rïuKt." .Lloiait fw aur&s l'autre, lnns dt- terrain qna nous avions conquis. Apres on Sé visions Leurs comammlqu s tentent vain en.eut de opiniâtre et acharné, qui a duré lû '.ce chanter victoire, pour donner le chfflujrç l(i~ plus grande partie de la journée, l'ennemi ic- co-jps teariblea porte au' {rou* ® fanlaii-oa- a réussi à reconquéiîr une des position* lu 'ir* tinoï ?lnnoxiw^«"<Sr W? Z avanc es dont nous nous étions emparé». omTame.,rdOTam 111 tatou» T'h-rotea» 'meoras,». mauvais temps continue. la ral-e de la QnadrUT>lico qui 'l'at t le an roow'.. . * . ,1^ nneaiuo tou» Londres, 10 novembre. — Otf.ciel da I ."as. eut La r'eion iW» «* translonnrt J» wo» m.;e d Orient : ,is_ noir» prr le feu r?"lan,1' ï'f'0 ' Borïlr Sur le front de la Strouma, nos troui*a ri^SÎSÏd«''hâtau!» qu'ils y ont livrte des ont pénétré, la nuit du 8 novembre, dias nt3 ™ts durant a un. rots encori. t. lo novembre, i» villages de Kalendra, do 1-rosau et ,ue VU s' crouler «n entraînant ,»■ pertoe exir iua- Kijpri; eUes ont ramené quelque» pnsoo ,le tnent Olev.w <* morts et bte.1 4» niers. \t®- r it rïw I«r cinq lois P«Jes » Anrï sur le front Doiran-Vardiir, la nuit da tuuioî fratolM «. S[jye Andais n'ouï pu 5 novembre, nous avons dirigé une attatiua ^oraœsir quelque peu.'au nord de Pa-wlran. contre des tranchée? ennemies établies au diiet, que jusqu'au moment où wri. comtriat». nord-est de Nalihouowo. nous avon» inf.i.<S ■ra que de nos baiaUlons (i* P«m rMii« et de Pi-u^bo ^ fortes pertes à l'ennemi. C^rieaiiAlo a répond, avec une nr SifiUoie im- ^ orobr^ nous avons fait 281 prison* nluoett- leurs values d'atÇiquo- D-Hail et cli«. . norsc. 1 ennaini a reculé, lauché par notre feu. ni..rS. _ (lul qui lui a coûté de ,J<"S [ortea perla*. D* nco-h°- tLiip* Htcinue^ réit à quatue repriec» par ael {ie,' troupes Iralchcs «e sout Iris es eo"e PETITES NOUVELLES çrOle de 1er do noe batteries. Avant va^e d ai- dûs S^e„ïr%Bgétaier,r«4"^ 1™^" ^ L* S1TU)IT!8S ÉCONOMIQUE CU OAMEMAM 1 y et de baïonnette. Nos troupes de Brsud bour* « — :ou- sorn élanc es i la pourfmt. âo lemiemi qui Du .TempSji . fait tuynt. lui ont er,3cv^ "'•cr^8 _J"™' , ,,. . _ La situation économique de ce pays et iranchfes d. sortie, ou elle es s'aggrave tous les jours, surtout à eu ,»» mal tau A<* prwwmMs. e ^ ^ di de ia disetto de charbon, de péuole et d es- du jour que la violeae. da la oanonnado a a ^ cherche à exploiter les tuur- 'On- qu'en Ftadre, les op^mtSoi» tn» bières et les toréts, mais te tooMI, font tWttf» d. nos tnoutpe», sur Soi an:«res perlas quelles donnent u est pus propre a tous lier du Iront Ouest, d mcmtrout quo 1rs information.- emploi. L exploitation ea est réglée par u -s ,uis- mensoncè'-es dans ieequcBea 1 m Anglais aiimon- l0j et s'opère sous le contrôle dos autorités, • e cent sans se las«0r, la la/Bittwîe et lo principalement pour assurer le chaufîa^S jra^en eni de nos troupes, sont autant do pbr jc3 maisons paraculicies. •mée creuses. Au cours d'une brillante attaque prom.n- 1/usage du gaz, Ue 1 électricité et des ni* Pn o e dans lo bols de ChaujiK>. noiis pyotjs v* tomobilcs est réduit au minimum; les ho- j prisonni rs fi ofli iers et plus •"« 230 soht i® maires des chemins de 1er sont également «<iis- Prfti du iilart.niannsvseiierKopt nuxs troupe^ ranienés au point où ils étaient il > » ; .i" d assaut ont p'n 'ar ' «'-ans trente ans. Les chemins de 1er de 1 Etat vant et en 01,1 ThmeTl ? » ^?ei7î?0 aitn.fiiifé n-onoit- out ioilè uu grand nombre do petits vol- T* :z ***** — .alile ""S, Tffirfù ÎS1 ™ Los fabriques et les usines ferment, et la en JSïtiï ui troupes coeli» os sont vietor:«is<. « chômage augmente dans des proportions de vont de succès ea succès. Au milieu d.-normes considérables, i^a fabrication si importants ncm- (3 CHeu3t6s e« d» combats contt^nuela, elles ont. de ciment manque de charbon ct, par con- ? ct dans l'espnc© de dix-huit jourv avancé de plus géquent, toutes les branches qui en dopen- hom de 100 kilomètre» n travers des montagnes, fie» dent, par exemple celle du bâtiment, dosent te- ranns, par-dossus. de larges fleuve* et des ma- s'arrêter, ce qui tombe d'autant plus mal 1 rai3, et on» atteint 10 Piave, dr.ns la' plaire d® qUG ia difficulté de trouver des logements mpnl puis Susegarua jusqu'à 1'\di*iatbque, & dans la esl très grande. av» irontagne jusQu'à Belluno. Sur lo Piive ml^ La récolte du blé et autres céréales, dont ' „ ' Heur, J'ennemi a acceptô le combat ; par eonire. ja moyenne est de 22 m U lions de tonnes, ' ^ il bat pr- cipitarascent en rrtraiio vers 1 issus a© n'atteindra cette -année que 19 millions, ï JL la Pla"'s- L® <6U d6 nos ,rou'l€* *1 PO*" Comme, d'autre part, l'imporiaUon dos tour- îî,o-n «aâv nt fait d™ ravagw dqira «J J»? rages e» des tourteaux est tout à fait insuf- ?"te FTÏÏUSh. Jlisante, , la eon-;evM-tion . iu troupeau, be. m Le SSTtS de pa ; ac- Î e-menti et dea approvisionnemonta ô« tous genres le Uoupeau porcin saa leaurt ûes trois ,'rier, que le» vahuiueurs trouvent dans e« riche i^ays. quarts, soit 5 un miluon t\ deiM i[e tCi.s. netite » Le troupeau bovin s accroissant plus le.ue- l es- ' Berlin, 10 novembre*- Officieux : ment, on en conservera autant quei possible • sont le sans-fil do Garnavon diu 9 Dk>vteim[bii®, dans 1 espoir d'une amélioration de la si- •iens 1 heure <U> m.stia, t«xtuiéllemien* î « Pendant tuation économique^ Lies' les trois derniers moia, nos Iroupes en* battu ©2 Les stocks de marchandises importées sont U * au'anti 9o divisions all^mandee >. On nous per- minimes ; beaucoup do sortes manquent d i; inctira de rappeler à oe sujet nue dès le mois do complètement, et les prix sont devenus " juin-, le saar chai Hai;gh s engageait à se foire énormes. cia-imatographier à Bruxelles en octobre, et que Les statistiques officielles démontrent que er * dis le début d'octobre lea communiqués anglais jQ coû|- ja vie ménagère a augmenté de m , ' aiuion^aient qu'il allait commencer d un jour a 55 p c depuis la guerre. Le }>rix des co- SÎLJi l'autr6 la guerre de manœuvires en l'iandre. Ut, mesti*jÂes a augmenté de 66 p. c., celui des f al" |M«H» «»• lcfl atiaaisœ conuiw^ Iwu- vêtements, chaussures, etc., do 90 p. c., eo- u si- para a selnjueor à travom le mij cage [ui deg combuBti|,les ct do l'éclairage de res- des Flandres,,à, 1 assaut des pesions 12o p. c. Urof, la situation économique dit b£ une » Danemark doit être considérée comme execs- ,'w* „inta« riœ r,-K.iona ktVntonnoJffl boni. . Hivernent grave.

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This item is a publication of the title La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie belonging to the category Gecensureerde pers, published in Bruxelles from 1914 to 1918.

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