La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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02 February 1917
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s.n. 1917, 02 February. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Seen on 01 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/vd6nz8289w/
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PRIX DES ABONNEMENTS ADMINISTRATION ET RÉDACTION Petto» to ligne, fr. o.s» .. . . f « ce o tfx • \ t c ar\ *^1-9 Moilta9ne-aux-IIerl>es-F>otaffères, 23FITJ2S1ETj7/ES f Réclame avant les annonces . f 23 1 mois (février), fr. 2.55 - 2 mois (févner-mars), fr. 5.10. BUREAUX, DE 9 * 17 HEURES l Corps du jomnal . . . . . ! _ 1R5 DEMANDES D'ABVXNEMENT SONT liEÇUÏS LES RECLAMATIONS CONCERNANT I.ES ABQN- DIRECTION ET ADMINISTRATION , Z>a tO 1/e A 1B 1/fi et d» 1G IJa à 1? heures. FRIX DES ANNONCES < Faiti divers — 3,75 EXCLUSIVEMENT PAIR LES KEMENTS DOIVENT ETRE ADRESSEES 1 ( Nécrologie ...... . . 2 e0 BUREAUX liT LES FACTEURS DES POSTES. EXCLUSIVEMENT AUX BUREAUX DE POSTE. J0S. MORESSÉE, DIRECTEUR l Coin des Eleveurs — l|00 LA GUERRE 914° jour de gueïT© Les rigueurs de l'hiver entravent le-= opérations sur tous les fronts. Discours dî! Ghancelier de i'Empîre iBorlin, 81 janvier : A la séance d'aujourd'hui co la Commission principale du Reichstag, M. Betlimann-Ilollwcg a prononcé le discours suivant : — Le 12 décembre 1916, j'ai exposé au Ileichstag l0^ considérations qui nous avaient amenés à faire une offre do pailx. Dans la réponse qu'ils y ont faite, nos ennemis ont dit sans ambages qu'ils déclinaient tous pourparlers de paix aveo nous et qu'ils ne voulaient rien savoir d une pfiix qu'ils ne pourraient dicter eux-mêmes. La question de savoir qui port® devant le monde la ro3-ponsabilHô de la continuation de la guerre est donc tranchée. Elle retombe tout entière sur nos ennemis. Notre devoir est tout tracé. Nous ne pouvons discuter les conditions do pailx de nos ennemis; seul un peuple compliquent vaincu pourrait les accepter. Il s'agit donc de continuer à combattre.Le message du président Wilson au Congrès américain est empreint d'un vif diésir de ramener la paix. Nombre des déclarations qu'il contient «'accordent avec nos propres vues : li' erté des mors, éliminât on du système de la Balance of Power de l'équilibre des forces qui doit fatai'.^ai,_;it faire naître oie nouvelles complications, éga-lit A des droits des nations, politique de la porto ouverte. Quelles sont les conditions do paix de l'Entente ? Il faut que la force armée de l'Allemagne soit détruite, que nous perdions l'Als^cc-Tjorriiae et nos frontières de l'Est; que la Bulgarie de nouveau leurrée perde son unité nationale; que la Turquie soit chas-s e tî'Europe et morceKe en Asie. Il était impossible à nos adversaires d!'exprimer d'une manière plus forte leurs projets de destruction. On nous défie à une bataille sans m^rci. Nous relevons le défi. Nous mettrons ea l'co o ton t--- ims ressources et nour va«u. crons. "Etant donné cetto situation, nous avons décidé de faire entrer la guerre dey sous-marins dans sa phase ultime, dans s-phase la plus aiguë. Comme vou^ le savez, Messieurs, cette question de la guerre des sous-marins a fait par trois fois, aux mois de mars, de mai et (V septembre de l'an dernier, l'objet de nos débats au sein de cotte commission. Chaque fois, dans un exposé détoiilé, je Vous en ai fait ressortir le pour et le contre. J'ai souligné chaque fois avec insistance le fait que j'en perlais ,,pro tem-poro'* non pas en partisan ou om adversaire de _ parti pris d'un emploi illimité detJ sous-marins, mais en tenant compte de in situation militaire, politique et économique d'ensemble et avec la volonté dje la sulx>r-donner à la question de savoir si l'usage sans limite des sous-marins nous raipprocbe. rait ou non de la victoire et de la paix. La méthode la plus humaine ept celle qui est de nature à abréger la guerre — vous disais-,io au mois de mars —; s'il en est une qui, totalement dépourvue do pitié, est capable do nous conduire à, la victoire, à une prompte victoire, nous avons le devoir de l'employer." Le chancelier de l'Empire expose ensuit? pourquoi il était, en mars et en mai dernier, adversaire d'une guerre illimitée des sojUs-marins et poiii-quoi la question n'était pas encore en septembre, do l'avis concordant des dirigeants de la politique et de l'armée, mûre pour une décision. Il rappeQl* ses déclarations antérieures dans cet orbre d'idées, où notamment il a dit : . — Aussitôt que, d'accord avec la direction supérieure de l'armée, j'aurai la conviction qu'une guerre sans merci dessous-marins doit nexus rapprocher de la paix par la victoire, oe jour-là. cette gtuerre sera, faite." — Ce jour est venu, continue-t-il. En automne dernier, le fruit n'était pas m Or; mais aujourd'hui a sonné l'heure où nous ^pouvons tenter l'entreprise avec le plus de chance do succès. Nous ne devons donc p.-. l'ajourner. Quelles sont les modifications intervenues] Tout d'abord, et c'est la plus importante, le nombre de nos sous-marins s'est essentiellement augmenté depuis le printemps Une deu.xi'vme circonstance également pi'é-pon;lisante, c'est la mauvaise récoite mondiale des oéréa/les qui, dès maintenant, met l'Angleterre, la France «t l'Italie en face 69 sérieuse difficultés. Nous avens le forme espoir do Voir la tfuene illimitée des sous-marins accroître ces difficultés au point de 1er? ronrlYo insupportable#. Cela déji constitue une base solide de notre succès. La question charbon aussi est. imo question vifcale en temps de guerre. Elle e*t entrée dès maintenant, en France et en Italie, comme vous le «avez, dans une phase critique* Nos sous-marins la rendrons plus critique encore. Il faut tenir compte en outre do la nécessité, notamment pour l'Angleterre, die l'arrivage des minerais pioair la fabrication) des munitions ©t des bois de mines pour F exploitation d'os eha^booinagee. Les diftioultés or'-é-es à nos ennemis sur ce terraita s'augmentent encore do la pénurie froissante du tannage mnritime. A e? point cjo vue, le temps et les sofas-marirs ont préparé un coup décisif. 1/Entente souffre dans tous ses membres du manque do tonnage, qui ne fait pas moins de t -rt à la France et à l'Italie qu'à l'Angleterre. Par sni^e, non seulement il noius est pos-bi le d'esitimer beaucoup plus grands au-jourrl hv.i qu'au printemps dernier les avan-, tP-'0' positifs à retirer par nous d'une ©ierr3 illimitée des sous-marins, majsi encore les risques auxquels elle nous expose so trouvent notablement restreints."' ^ chancelier fait ensuite un exposé détaillé de la situation1 politique générale. 1 •=- Le feldmaréclial von Hindenburg, dit- il, m'a il y a peu de jours exposé la si tuation comme suit : — Notre front se dresse solide do toute* parts. Nous avons partout les réserve» né cessaires. Le moral des troupes est bon ■& rassuirant. La situation militaire d'ensemble nous autorise à prendre la responsali iité de toutes les conséquences que pourra entraîner une guerre illimitée des sous-marins. Cotise guerre oetnsfitue, en touft «Ito-t do cause, uu moyen die causer les plus grandis dommages à nos ennemis, il faut l'entreprendre. L/état-taajor Aï l'Ain$cfltobé et la flot'e de haute-mer ont la ferme conviction — conviction pratiquement appuyée par les etspériences de ta guerre des Croiseurs sous-marins — que cette arme forcera l'Angleterre à faire la poix." Nos alliés approuvent oçtto manière de voir. I/Autriohe^Hongrie se joint pratiquement. à nous. En même temps que nous dé- • limitons ^ autour dô VAiigleferre et de la côte occidentale de la France une zone do blocus dans laquelle nous nous efforcerons d'arrêter toute navigation vers les pays ennemis, de mâme l'Autriche-Hongrie délimito une 7/yi13 de blocus autour de l'Italie. En dehors de ces zones de blôcus, le trafic reste libre pour tous les neutres. Ainsi que nous l'avons fait cJéjà en 1915, nous offrons à l'Amérique, à dos conditions déterminées, im trafic assuré de voyageurs, même à destination des ports anglais indiqués." Le chancelier de l'Empire a (Jonné ensuite lecture de la note adressée aux Etats-Unis et annoncé que des notes identiques ont été adressées aux autres pays neutres. Le chancelier de l'Etmpire a terminé aiVisi son discours : — IL n'est personne ici qui ne saisisse La gravité de La décision que nous prenons. Tout le monde sait, depuis le 4 août 1914, que c'est notre existence qui est en jqu, et le refus de notre offre de paix l'a souligné eu lettres de sang. Lorsque, en 1914, la mobilisation générale russe nous a obligés à tirer la glaive, notas l'avons fait avec le sentiment de l'énorme responsabilité que nous assumions vis-à-vis de la nation et la conviction d'une force résolue disant : „Nous devons, (Donc nous pouvons". D'intarissables flots die sang ont coulé depuis lors, mais ils n'ont pas anéanti ce que nous devons et cte qiue nous pouvons faire. En décidant aujourd'hui l'em-î I n de nos armes les meilleures et les plus AC'V'eS nous ne sommes guidés que par un j fi-oni examen des circonstances qui nous y oblige: t, par la ferme volonté d'éviter à rv tre pays la d'tresse et la honte diont 1103 • nnemis prétendent l'acoabler. La su'-cès d,'nend de la volonté divine, mais, soyez assurés, Messieurs, que rien dans le domaine du pouvoir humain ne sera négligé pour l'obtenir." K©T£ DE L'ALLEMAGNE AUX ETATS-^SESiS - Le gouvernement allemand a transmis au gouvernement des Etats-Unis d'Amérique la note suivante : Berlin, 31 janvieir. Votre Excellence" a eu l'a bonté de nous 1 donner communication, le 22 courant, du message adressé le même jour au Sénat américain par M. le Président des Etats-Unis d'Amérique. Le gouvernement impérial en a pris connaissance avec la scrupuleuse attention diie à des déclarations inspirées à M. le Président par un haut sentiment de sa responsabilité.Ce nous est une grande satisfaction dô oontfSater que les grandes lignes die cet important manifeste concordent dans une large mesure avec les principes et les vœux auxquels l'Allemagne donne bon adhésion. I armi eux se trouve en premier lieu le droit pour toutes les nations do décider die leur propre sort et die jouir de droits égaux. Conformément à ce principe, l'Allemagne saluerait sincèrement le jour où des peuples tels que l'Irlande et les Indles, qui ne jouissent pas de la' faveur d'être des Etai's in-d-j* nclants, recevraient enfin leur liberté. L'Allemagne, d'autre part, dlésapprouve les alliances qui incitent les peuples: à rivaliser pour la oonquôte du pouvoir et les impliquent dans un filet d'intrigues égoïstes. En revanche, elle assure die son active collaboration tous les efforts faits ©n vue dfuviter des guerres futures. La liberté dfcs mers assurée à tous les peuples comme la condition préalable do leur libre existence et du commerce pacitfique, comme austsi le régime do la porte ouverte au conimeice de toutes les nations, font partie dos principes dirigeants de la politique allemande. D;autant plus profond est io regret du gouvernement impérial d'avoir à constater que par suite de l'attitude hostile à la paix do ses ennemis, le monde est dans l'impossibilité de travailler dès à présent à la réalisation de ces nobles tâches. L'Allemagne et ses alliés, disposai h en-è -ger au plus tôt des pourparlers do paix, avaient fait entendre que la base en devait être La garantie de l'existence, de l'honneur et du libre développement d!e leurs peuples. Ainsi qu'ils l'ont Expressément fait resàoj\. tir dims leur note du 12 décembre 1016, leurs projets ng visaient pas l'écrasemeait 00 la destruction die leurs enneaniè, mais 1 i rj, selon eux, très conoiliables ftveo les dix>ita des autres nations» En ce qui ooncerne spécialement la Bel-giquç, qui est aux Etats-Unis l'objet (Vune cc-rddale Sympathie, le chancelier avait dô-olatré, peu de lemainew auparavant, que l'iinnoxloii de la Belgique n'avait jojnaaa été daai^ Tes intentions de V Allemagne. Concernant la paix à conclure aveu la Lel- fiqtie, l'Allemagne voulail; «bnpîement pren-re certaines mesures do précaution pour empOcher que co peys, avee lequel !e gouver-nement _ impérial désire vivtro eo terme" de lx>n voisinage, pût ètro utilisé pan- l'ennemi a favoriser ses tentatives hostiles. Une teî'o précaution s'împoae aveo d'autant plus d'urgence que les dirigeants des pays ennemis ont exprimé sans réticences, dans f s discours réitérée, et notamment dans les décisions de la Conférence économique de Paris, l'initention de no pas reconnaître h l'iVllemagne, après le rétablisseiment de la paix, les m "mes droits qu'aux autres nations, do continuer au contraire à la combattre systématiquement. La tentative faite en faveur, de la paix par les quatre Puissances coalisées a échoué ■ devant les visées conquérantes de leurs en nemis, qui entendent (îicter la paix. Bou^ le couvert du principe des natioulalités, ils ■ ont dévoilé leurs buts de guerre, qui consistent à morceler et à déshonorer FAllo-magne,^ l'AutrioheJIongrie, la Turquie et la Bulgarie. A une tentative de conciliation, ils ont oppose leur volonté djo destruction. Ils veulent pousser la guene jusqu'au bout De là est né un nouvel état de choses qui force l'Allemagne à son tour à de nouvelles décisions. Depuis deux ans et demi, l'Angleterre met sa puissance sur mer ait service de la criminelle tentative qu'elle fait de forcer par la famine l'Allemagne à se soumettre. Avec lo mépris le plus brutal du dîrtoit des gens1, le groupement des puissances dirigées par l'Angleterre ne so borne pas à suspendre la commerce légitime de ses adversaires; en exerçant sur les neutres une pression dépourvue de tous égards, il les force à cesser tout trafio commercial qui n'a pas son approbation ou à limiter leur eommeroe d'après «es prescriptions arbitraires.Le peuple américain sait quels effort'? ont été faits en vue de ramener l'Angleterre et ses alliés au respect du diroit des gens et fie la liberté des mers. Le gouvernement anglais persiste dans sa ^ueirc de famine, alors qu'en réalité <fllo iratteint pas la force armée de son ennemi, mils oblige des femmes et dfcs or.fontg, des malades et des vieillards à subir pour leur patrie des privations douloureuses qui mettent, en danger la force de La nation. La soif de domination de l'Angleterre accable ainsi do maux le monde de san^-froid, sans égard pour tout sentiment (Thuma-nfl.té pour les protestations des neutres gravement éprouvés, sans égard' môme pour lo diésir tacite des populations eTes pays qui sont ses propres alliés et aspirent à la paix. Chaque jour nouveau do cette lutte formidable amène de nouvelles ruines, de nouvelles détresses, de nouveaux meurtres. Chaque ;our dont la guerre viendrait à être abrégée sauverait la vis à des milliers cte vaillants soldats des deux partis et serait utn bienfait pour l'humanité mise à la torture. Le gouvernement impérial ne pourrait prendre vis-à-vis de sa conscience, vis-à-vi3 du peuple allemand et devant l'histoire la responsabilité de laisser sans le tonter un moyen quelconqfue de hâtev la fin de la guerre. Tout comme M. le Président des États-Unis, il avait espéré y arriver en en-i^sjeant défi pour;.ar'ers. Denuis qu'à Sa tentative de conciliation on a répondu par l'annonce d'un renforoement de la. l|ut'e, le gouvernement impérial a VobiUgcuïcn, s"il veut servir l'humanité dans un sens élevé, et ne veut pas faillir à ses devoirs envers ses compatriotes, de continuer le1 combrt pour l'existence auquel de nouveiau on le force et d'y affecter l'emploi de toutes les, armes dont il dispose. Il se voit donc forcé de renoncer aurx restrictions qu'il s'était imposées jusqu'ici dans l'usage de ses moyens de combat sur mer. Le gouvernement impérial a ia confiance ; que le peuple américain et son gouverne- j ment ne se refuseront pas à comprendre 1 les raisons et la nécessité de oeto décision: il espère que les Etats-Unis apprécieeonfc, du point do vue élevé de l'impartialité, le non veil état de ohoses et qu'ils contribuer-mi: pour leur part à empêcher do nouvelles mi-s--rrts et dos sacrifices qu'il est possible d'éviter. En me reportant, pour le détail d<es mesures projetées pour la guerre sur mer, au mémoire ci-joint, j'ose exprimer l'espoir que le gouvernement américain mettra en garele les sujets de son pavs contre le danger confier à des navires naviguant dans les ports des zones bloquées décrites dans l'annexe des passagers ou dos marchandises. Je profite de cette occasion pour renouveler à Votre Exrellonce l'expression de ma considération distinguée. (s) Zimmennann. Le blocus de l'Angleterre, de la France et de l'Italie Berlin, 81 janvier 1917. Voici la teneur du mémoire dont il est question dans la note do l'Allemagne at& États-Ùnis : — A partir du 1er février 1917 on s'eq> posera purement et simplement par leo armes à tout trafic maritime dans les zones ci-après délimitées autour de la Crandè-Bretagne, de la. France et de l'Itaîfe et dans la Méditerranée orientale. Ces zones bloquées sont : A. Au nord, une zone maritime délimitée autour do l'Angleterre et de la Franco par une ligne distante de 20 milles marins le long de la oôto néerlandaise jusqu'au ba-teau-_plif.ro de Terscheling ; par le deçrré do longitude du bateau'-phare de Terscheling Jost^u'à XJdajiro; de Là par ipe ligne touchant le poiîit S23 nordV 0J de longitude à 60° nord, &° ouœt plus loin vers un point 8 milles marins ftu sud de la pointe mé ri'Iionale des tlos Faxo5; de là p;.f le point 62» nord, 10* ouest, à Cl# nord: ouest, puis 61° nord, 20° ouest Jusqu'à & noid, 30' ouest plus loin vers 63° nord, 13« ouenb; puis sur les degrés de latitude 43* nord allant jusqu'à 20 nulles marins du oap FinUtèra et *20 milles marins la long (îe la côte Septentrionale espagnole jusqu'à la frontière française. B. Au sud de la Méditerranée. Besto ouverte A la navigation neutre fo tone maritime à Vm-est de la %ne r.oint de VEepiquettO jusqu'à të4 20* nor-î et & pt ainsi qu'au nord et h l'ouest d'une bande Large de 60 milles marins le long de la oôto Septentrionale d'Afrique commet çact à 2* de longitude ouesfr. Pour rclîetn eettw eone marîtiinq à la Grteo, une bende large de 80 milles Dua-rîns est eonstitnéo au nord fit respectivement à l'fBt par les ligne* suivant ? 8S<» nord et fc est, à 86° nord et à 10» , es^, à 87» mord et 11 «SO* ©st, à 84' et ll*ôj est, à SP nord efc 2W «st. Do là. une bandie large de 20 milles mariné à l'ouest de 22°3o' de longitude est, conétaib dans ies ea-uix tarriiboriaJes greeque-y. ÎJes navires neutres qui se risquent dian s la zjonc bloquée lo font à leurs propres ris-quos et pér'ls. Bien que des mesures soient prises pour que les navires neutres faisant route le 1er février à destination des ports ëlo La zone bloquée soient ménagés pendant ufl. temps raisonnable, on leur con seille toutefois d'urgence d'être sur leu gardes et de changer leur cUrection dans mesure du possible. Des navires neutres se trouvant dans 1 ports des zones bloquées peuvent «nco quitter aveo sécurité ces zones, s'ils 1 quittent avant le 5 février et s'ils prenne la voie la plus courte vers la zone libre. Le trafio des paquebots réguliers améi oaias perut continuer sans ètro inquiéoé, la condition 1 a) Que oes paquebots prennent Falmoui comme port de destination ; b) Qu à l'aller et au retour ils navigue vers Scilîy, ainsi que vera un point siti à 50* nord! el 20° ouest. Sur cet;e voie, c ne placera pas de mines allemandes. o) Qu'ils montrent les insignes spéciau qui leur sont permis à eux seuls dans 1< ports américains, à savoir : peinture si le corps du navire et les suprastructure d'une bande verticale, largo do 3 mètre alternativement blanche et ronge; un dr« peau blanc à carrés rouges dans cliaqu mAt; à l'avant le drapeau national amér oain. Dans l'obscurité, le drapeau nations et le badigeonnage du navire doivent êtr< dans la mesure du possible, rendus recoi naissahles do loin et- le navire doit fti pleinement éclairé; d) Qu'un seul vapeur par semaine fas le voyage dans chaque direction, l'arrivé à Falmouth s'effectuant le dimanche et ] depa.rt le mercredi; 0) Que le gouvernement américain ga rantisso quo ses vapcïurs n'ont pas à bor de marchandises de controbnre (d'après 1 lisf.e do contrebaneTo allemande). Dejs^ cartes indiquant les zones 1 loquée sont jointes en deux exemplaires. Des note identiques onrt été transmises aux gou .'e^ne mont des autres Etats neutres. LE BLOCUS' ALLEMAND Berlin, 1er février : Au sujet do la guerre Sans limi'.es de sous-marii: s, le ,,Berlinec Lokal Anzeiger' écrit : — Si elles pejsaédaient une arme auss terrible quo nos sous-marins, d'autres na tioiis n'admettraient pas que son emplc 6oit limité et, l'Angleterre; en toute pre rnièro ligne, enverrait au diable l'humaiiii od !e Droit des geus aussitôt que ses int.é rôts seraient en jeu." Ia ,,Gazeî'e de la Croix" écrit : -- Aujourd'hui, le ^ouvernenient allé maa al a tiré 1a demièro conséquence tb ^ ciiûrtLe de notre offro do paix. S; décision sera acoueillie aveo soulagenie.it e approuvée sans restriction par lo peupî allemand tout entier." Le „Deutsche Ta^>es Zdtung" écrit : --- II esfl indispensable de sui\ro cetti voie pour que La guerro soit couronnéi d'un plein succès Nous devons djnc nouj y engager, advionno que pourra." La „Gazette do Voss" ccrit : — Cela devait arriver. La guejro entri dt\n> une nouvelle phase; esp.'rjns qu/elU sera décisive !" Le „Tiig!iohe Rundschau" ce it : — La mo?ure q,ue vient û'c prendre h gouveraement allemand est gr. s-:o de cou-séquences. Noiw ne savons pas cn-mmen elle sera accueflllio per le; neutres et par ticuii pânoaft par les Elats- Unis; nxa's quel'< quo S'i, leur attitude, nenjs ne recuLfroni pa«." I^a ,,OazeCte Populaire" écrit : — Quelles que unissent ôtre les consè-quedees de la décision elo notre gouverne ment, nous de-von^ 'ow Supporter, car c'esi do ^exipîence do l'Allemagne et do ce'lo de nos alliés qu'il s'agit. Ce que nous osons faire sera anpuyé par la volonté unanime du pentple allemand. Toutes nos divergences de vues au sujet de La guerro elejs sons-marins so sont évanouies. Le coup que nous portons actuel lemont à l'Angleterre sera, espt'roas-le, un couî) mortel. T^a mesure prend l'Allemagne aujourd'hui prouvo au monde entier qu'elle veut La vi'ctoiro, non pas pour la victoire olle-m'>rae, mais parce qu'elle a reconnu que la paix mondiale no peut ûtre assurée que par une victoire allemande." Le „Ve>nvarfs" dit : — Tout le peuple allemand exprime l'es-P?ir quo les décisions ^ des cihefs de f Empire amèneront une fin plus rapide de la guère. L'immense majorité du peuple allemand est aussi eï*acoord avec son gOuvar-nemctnt pour maintenir les bonnes relations de l'Allemagne aveo les Etats-Unis. T.e grand ràlo hîstorwue de l'Amérique ûe consiste pas à ôtre l'alliée d'un des partis belligérant^, mais d'être l'alliée do tous les a,mis de >a paix; do ce oôté comme de l'autre côté do l'Ooéan»" ^ * La Haye, 1er février : Fier soir, le ministre des affaires ^tran-f?èr«.vrî a rCT'Ot successivement les ministre? Allemagne et d/' Autriche-flongïicj, qui lui ont remis uîno note relative au blocus dé-cr-ré par l'es Puissances Centrales et déli-mîN nt la nouvelle zone maritime où il en- tre êo. viguélir auj^ ird^hni même. >* Jmulto, îçr février : êiir onîro & gouV(?tti6mcnt, 1<SS antorite mar^'limos ont interdit mis vapeiiva nAiri-'n. dais-z4Ian^ai« „Y-Stroom" et do lultler le por{. Catta intOKÎiction attend b frius k-3 TaneuH» ot cèaluHerei nfelan-(Viis <jnJ agirent sortir des aara toTilio-riafcs nêerlantîr.tso3 ) alla ost mcttvto rxir la piarra rcnf<>tc»Sa cftys goua-marihS a,Uo-ma: 'b, qnf entra en vigueur la 1er Mvrler. IiçiS navirca "îtrangera eqront mfa oa gartfc contre les dangers qu'as courent en prû.;-Hrt ta me*. On attand ta dfliiaititloB d<B ront«s ma-Mfe'iw qui rcisteuont Ilbrtt). omsu^BKïmNs > 1 . Eîî ÛStCS r3T1U?. 31 jM.vîar i : . ; l'Agença Xéligrapliiqug apprend iVAiitaw qua les «out'ranw» 3a la. i)opnm. tî<x : (rreoqua dbvieiment 3a plus enl' plus ïrapar «uita du WcCUî. Par.s lca tou-lan^crîes, on so bat pour obtenir uu padn pres'Tuo immang'oatilB. Da plusieurs oûWs lo ministre des États-Unis a <tô prié d'inter-W). auprès do l'Entente pour obtenir l'au-roriiatioa de décharger quelques navires chargea de blé d'Amérique. . i iix.1 • COMMUNIQU e3 1 — —• 10 Communiqués des Puissances Centrales es ^ Berlin, 1er février. — Officiel de c mieli ; ^ Théâtre de la guerre à l'Ouest. Sur dé nombreux points du fiont, ces at jx taques do reconnais.^ !nco nous ont permi do faire do précieuses constatations. Théâtre de la guerre à l'Es*. Front du feldmar'chal j>rince I^éopold el n Bavière : Par un froid très rigoureux, les opéra x tions n'ont é;ê actives qu'à peu d'endroits ® Sur la Narajowka, 6u sudl-est de J-ip r n.ca-Dulna-, des détachements dfun régimen 5 saxon ont pénétré dans la position russe e en ont ramoné 60 prisonniers et 1 mitrail L" louse. 0 Sur lo front du général-colonel archidu< l" Joseph et près des armées da feVïmaréc'a V ^ von Maclrensctn, petits combats d'avant, gardes et canonnades isolées. i1- 0 Front macédonien. Au sud-ouest du lac de Doiran, des dota, e chements ennemis emt pciss^ à l'attaque e «après une violente canonnade; ils ont été 0 repoussés. * * * Berlin, 31 janvier. — Officiel : 1 Le 29 janviei, les vaillants aviateurs al i lemands ont été acti.'s sur tout le front il l'Ouest. Favorisés par un temps clair e s froid, ils ont entrepris des vols à longue s distance jusqu'à La mer; leurs observations - ont ek>nn() el'lmportants résultats. Dans le ! orts de Calais, de Boulogne et d'Etapl- s, ils ont constaté la présence de nombreux navires et un trafic intense. I^e trafic etu remi a étJ aussi observé sur les voies ferrées situées à l'arrière du front anglais el 3 français. De nombreuses et importances pho-, tograpLies ont été prises. Un grand nombre de bombardements ont été effectués, on j in 'mo temps que les observations a rien: .c étaient faites. Nous avons lancé e^icacamenl I 50o kilos do biornl es sur la gare d'Albe rt, imjx)rtante [X)ur l'envoi des r nforbs an-j glais, et 550 kil s de proj:ctiVs sur ur camp do troupes établi A l'un elo Pérenne. Un millier de kilos d'explosifs au tot.il oai été Lancés par une at.fcic escadrille sur de-usines fabriquant du matériel do guerro et x situées à Dombaslr, au sud-est do Nanc . ■b Des attaques aériennes ennemies, ••'irig'e t contre Moryest, Bapnurre et la région d; Saint Quentin, ont fpit plusieurs victimes parmi les habitants français et ont ICessé quelques chevaux. Tl n'y a pas ou d'autre3 dégâts. « i BerLn, 1er février. — Officiel : Le 30 janvier, l'activité dans les airs a été entravée sur tout lo fronr à l'ouest par > les tempêtes do neige. Néanmoins, nos avia-; tours ont erfectué <!o nombreux vols à lon-guo distance. Pendant la nuit du '39 an janvier, ils ont lancé 3,000 kilos de , bombes sur la garo d'Albert et sur les ^amps impoitvnts eTe Wiencourt, do Cappy et do Bray, sur la Somme. Pendant la nuit du 30 au 31 janvier,, 300 kilos do . bombes ont <"0 jetées sur les gares do Gn l-t lanîourt et do Marlevil'e. L'ennemi a je'o sans résultat des bombes dans :a région d'Athis, près de Ham et ce Nesle. Sur le fr,ont à l'rsr, nos aviateurs oj.t e'fioaœment apptuyé les mouvements d'atta-. taquo dts tromies alle.nandes sur l'Aa. Par un temp> clair et froid, ils ont effectué, le , iJO janvier, sur ce front peu largo, plus do cinquante vols à longue distance; ils ont repéré, aveo un succès visible, le tir «le nombreuses batteries alUmaniles et ont dé-terminé Ls points qid servaient de cibles à l ennemi. Quoiqu'un froid rigoureux — le thermomètre marquait jusque-40 degrés sous ; ro — sévissait dans les régions supérieures ele l'atm'ousphère, nos aviateurs ont successivement lancé au total 900 kilos de bombes sur l'usine à gaz de Ripa, ainsi que sur des gares et ces camps do troupes ennemis. D'autre part, une batterie da défense ennemie a été réduite an silence par l'attaque harlio d'un de nos aviateurs- Su,r tout !e front, d aux avions russes seulement se sont montrés au cours eio la journée et encore se sont-ils tenus loin derrière leurs propres lignes. « « * Sofia-, 81 janvier. — Off:ciel du grand étafr-major : Front macédonien. Sur tout le front, activité très mocL'réo de l'artillerie. Sur certains points, faibles fusillades et feu de mitrailleuses entre postes do campagne. Dans la L-oucle de la Czernia, des patrouilles allemandes ont réussi ^ pén'itrer dans les tranchées ennemies, à infliger des pertes à r ennemi et à ramener de* prisonniers.Nos détachements de reconnaissance ont efficacement opéré au nord-est du lac do Doiran; ils ont ramené de* prisonniers, des fusils et d'autre matériel de guerre. Front roumain. Canonnades réciproques efc intermittentes sur ïe Ûanube, autour d'Isacoéa. Sur le canal do Sulima, deé niçnitors ennemis ont bombardé sans efficacité nos positions établies à l'est de ^ulceû. * ♦ * Coptantlnople, 31 Janvier. — Offieieildu grandi quartier général j Sur io t l'ont art tigre, le 20 janvier, après avoir pris #ous le 'eu de sk batteries la position d'uni de nos bataillon^ sur la rive méridionale du fleuve, l'ennemi a prononcé une attaque. Son infanterie a été Complètement anéantie, tV V«xc«pt)ion de* hommes qui ont réussi à s'enPuU'. un régiment de cavalerie, renforcé par «eux coin-pagnieS drinranterie» a tenté as nous cerner j cetjte «eatativ^ a échoué sous le fefti de notr3 artillerie. Le 8o janvier, l'ennemi a pris epus lo feti de ion artillerie, pendant pïti^'eurs heures, noai positions établi^ pi"è« cîo Fe-lahle eu celle établie au Sud <îti (Wgre. Nous avons violemment répondu ara feu ennemi.Sur les autres fronts, pas d'événements essentiels à signaler* ÉS OFFICIELS Communiqués dcj> armées alliées 3 Paris, 31 janvier. — Officiel do 3 heure* t Eu Woévre, nos batterie? ont effectué des tirs ei'iicaces sur les organisations enne-. mies de la région d l ix-Abaucourt. Une re-i coimais^ineo ennemio a été dispeisée par noire feu prés eFAbaucourt. En lorraine, un de nos détachements a pénétiô, au sud ete Leiutiq\', dans les pre-3 mières et deuxièmes tranchées ennemies, dont les défenseurs ont été mis hors do - combat. Nous avons ramené une quinzaine . de prisonniers. Un coup de main sur un ■ poste ennemi de la région do Moncel a t également réussi. Dans cette région, ainsi t que dans les Vosges, à la Chapdotte et au Beiofasûeketrkopf, on signale do nono-breuscs rencontix» do patrouilles. Paris, 31 janvier. — Officiel de 11 heures r Au cours do la journée, acliewis d'artillerie assez violentes en divers points front, notamment dans le secteur à l'est d| Ileims et sur la rive droite de la Meuse Pas d'action d'infanterie. » 1 * ♦ Londres, 31 janvier. — Ofticiel du soir : Aujourd'hui, au lever du jeur, l'ennemi a tei! tô de surprendre nos postes avancés pixs de l'eau court et à l'ouest do Sorro ; il a été immécJintemept repoussé. L'artillerie ennemie a été très aefi e près e!e Morva ; notre artillerie a énergiquemect répondu à son feu. * * » Rome, 31 janvier. — Officiel du grand quartier général : Dans Io Trentin et en Carinthié, canonnades iv'e;proques à divers endroits, notamment à l'extrémité do la vallée e;o Carno-nica, dans la r gicn montagnouso située à , l'ouest du lac de Garde et élans le But su-I>éi' •• ur, entre lo petit ' Pal et la 'Zel.en-kef. 1. Dans le 'vusleuland, l'artillerie ennemio a < t- plus ac ive que d'habitude. Hier, sur lo Karst, notro artillerie a énergiquement répondu ru feu ele l'ennemi et a entravé dr3 mouvements de troupes qui s effectua ici.t à l'arrière du front autrichien.Un froid rigoureux s'v t sur tout lo théâtre de la guerre ; à certains endroits, lo thermomètre est descendu à 283 sous o. Pétroera*, 31 janvier. — Officiel du gran' i ét 't-ma jor général : Tr 'S (!e Gaenach. sur la côte du golfe de Kâgn,* un zeppelin a volé hier soir dans la direction du nord-est; il éclairait le terrain à l'aide d'un projecteur. Après un violent bombardement, des colonnes allemandes or t dirigé une atiaxyie ^onti*o nos postions établies à l'extrémité du marécage tfu I irul ci le lon^ do la rivo gaucho do 1 Aa. Cette attaque a été enrayée par notro tea de barrage. Après avoir bombardé nos ligr.es,surtout au moyen do praïades à gaz. les Allemands on*1 attaqué nos positions longeant la route ïvajn.sten-^clilriok : ils ont été repoussas par notre feu d'e barrage. Dans un sec. teur seulement près de là route do KaLn-ten-?d)locI , nos troupes ont été retirées de 1 vc 5 e dans la direction du uord. Les Allemands ont ensuite renouvelé leurs attaques acharnées, ^ui emt été toutes repousses p^r notre fou et par nos contro-atki-qiiCS. Dans u i petit- secteur de nos retran-caement3- seulement, à l'est do la rem te éle Kalnsto < les Allemands ont réussi à prendre i < !. Au cours de nos contre-attaques, n xis avons fait d. s prisonniers et nous nous •• 'mmos emparés de mitrail'euses. Les colonels Pimenow| et Ba.;enow dirigeaient le bombât. T.e ( ramier a été tué, le seconel a dispara. \ l'ouest do -t d'inv, au nord-est de KiSclin, d<~s tentatives d'attaques ememics ont té repousse es. Après uno forie canonnade, nos troupes ont traversé des obstacles en fil de fer barbelé et. après avoir escaladé dans la n.-nge do for'.' > e t r 1 s ont pris eVassant • la. î)ai'onnctî deux hauteurs situées à fî versfrs - à l'o?t de .Tacol.cni, an sud^-est do Kimpolung. Nous avons fait elos. prisonniers et. nous iîous sommes emparés eî"un matériel do guerre qui n'est pas encore inventorié.SURMER 01iristiiinia} 31 janvier : I.o u'i'crct royai tlu 13 octobre 1910 coa-cernaut lL.s sous-marius qui entrera en vi-fftiaur le 6 février courant., est conçu commo — L'acos et lo séjour dans lea aaus tn-ritorialea norvogionnea sont interdits aus. sous-marins équipas en guerro et appartenant :Y des puisMneos belligérantes. En violant co to inltTdiction, ils coureut lo qua d'être arrêtés par la force amnéa snhs avertK-omtint préaJftbdo. Ij'interdiction no s'appliquo paa aux sous-marins se réfugiant clans les oaux norivtfg-iennes par «uito de raauraù temps ou d'avarie, ou encore fîaji. le but de sauver des vies hamaiiiee. Ea pareil oas, le sons-marin doit se tenir à la surface son pavillon hissé ou pourvu d'un signal intern ationnl indiquant la motif do sa présence. I/obligaiou lui est faite S quitter les eaux territoriales norvégiennes iùs quo lo motif qui y justifiait sa présence a disparu. IVaccès do ces eaux est intercJi| do mOjno aux sous^marlns équipés en gu*rre et n'appartejiact pas à une puissance belligérant» étrangère, sont par temps clair, ea plein jour, à la surface et la pavillon national liissé. _ • Çluistiania, SU janvier : t< ^ ..Tito"» îgf." apjwenneMt ea qui soit de Hamer??st au sujet d\t *aavetai?e de l'équipage du sousomaim allemand i — tfn petit sous-niafrin norvégien a prendra la mer i différentes reprises pour sauver les naufragés; la plupart des AHo-mancts ont été obflgés do so A la mer et ont &5 hiseis bord du navire. Au cours de la dernière phase dw sauvetage, la sous-marin a coulé ot; lo submersâblo n'a éohappé qu';\ graud'peinc au danger d'Ptre lui-mftnc englou ti. Les Allemanls ont été internés i Hamer- ^^e^ndreidl 7 ;JQTTRNAti QUOTIDIEN ~ ^ro * Centimes A* Année. N° 797

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This item is a publication of the title La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie belonging to the category Gecensureerde pers, published in Bruxelles from 1914 to 1918.

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