La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

2370 0
18 October 1916
close

Why do you want to report this item?

Remarks

Send
s.n. 1916, 18 October. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Seen on 16 June 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/cf9j38mw5n/6
Show text

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Il I 1 L JUUUJJBH ' ■■ ■ I I f-.ia-.i-". -1 -j ux__. . jmuMUHJJII III. ..Il I Il egar PRIX DES ABONNEMENTS AnMINISTBATinv ft ^nirn™ HHT ""T ' ' ' ' ' ' U ^ *' °S9 ADMINISTRATION ET REDACTION Réclame avant les annonças . — 1.25 3 mois (oct., nov., diâ.), fr. 6.93 | 2 mois (03t., nov.), 4.63 | 1 mois (oot.), 2.30 SI, Montagne-aux-IIerbes-Potagères, 13HUXELLJ23 PRIX DES ANNONCES Cor(« du journal . ..... — t.00 Les dtniindea d'abonnement «ont reçues BUREAUX . DE S É 17 HEURES 1 ra.ts d.vert « 8.75 Nesrologje ...•»•••* •-» 2.50 _ _ . Jos. MORESSE£, Directeur Coin dôi Eleveurs « « i.00 (ux guichets des bureaux de po&tib Aujourd'hui : SIX pages. LA GUERRE 607* jour de gusrra La journée a été plus calme dans lo ba eiii Je la boinuio. La t*ata*llo 6 est com pl, temeuU açai» fur le Karst. Les Kusses continuent leurs fortes at$ que» à l'ouest (le bock, dans le seofceur < brody et sur la Narajowka. Ils se heurte: à irtK) résistou.ce toujours auSdû obstiniée d Austro-A îlemands. Ces deruia* se montreojt depuis quelnu< jours entreprenante dans le» Carpfltbes. I ont pris 1 avantage dans les» monts Li do va, à 1 est «ie KàrUbewba et au sud-oue de Dorae^Watra. La lutte e»t vive tout le long de front» ère romano-hongroise. 11 ri est rien survenu d'important sur Danube, ni dans la Dobroiufcelia, ni long du front macédonien. DANS LES BALKANS EN ROUMANIE Zurich, 15 octobre : Le ,,'i'ages An*£ei0er'' annonce qu'en/ vi d'alunir le» oouuiuinijations des Kouinaii et des Busses, une graucje partie du tieiT VÀire de la. Roumaine entre la Traiiîsylvun et le Danuble mf. rieur, y compile Bues reet, sera évacuée. Paris 16 octobre ï Les journaux apprennent de Bucarest qi le sénateur Phiiipposcu est mort. EN GRÈCE Milan, 16 octx>bre ; L>ôs à présent, les troupes jîe l'Entent Burvalleut toute les voies ferrées grecque» Lt* ;ouruaux itaLens apprennent que oan îitiU|ue gare de la Compagnie Pir © Lar g se trouvent deux o£.iciers aillés. Iran* porte de troupes grecques, de matériel d guérie et de vivres sont interdits enti Athènes et Larissa. Le trafic du port du Pirée est contre i par des officiers et des marins anglais français. Londres. 15 octobre : On mande d'AUiesies à l'„Etxobange T< iegtunll ' : — Le journal „Patris ' apprend» d© sourc bien informée ffuo, m.iigTé ut note ue 1 la\ tec te, le» ""transporte thî inilifciir©s et d vivres pour la 'lhessale continue. Un d-ticheuient de macelo s français oc supera la station de Dieiorta. Paris, 16 octobre : Le „Tem/ps ' apprend] d'Athènes que Ta Italiens out occupe LesKoviki. Les trci quarts dl* provinces allionaisies dont 1; Grèce revendique la possession sont actuel leoieut etiue les mains d)es Italiens. Pans, 16 octobre : La nouvelle publiée pnr les 'ournam italiens que le nouveau caliiet. Laml<roe t été reconnu par 1 Lut eu te vient 1 <lie coi» fiimée par une dépêche envoyée d Athèue au ,,1'e.dt Parisien*. l^a reconnaissance aurait eu lieu à l intervention de Al. EJJ;ot ministre g'Angleterre. Athènes, 16 octobre • • Les réservistes, mêlés à la foule réuni* à 1 endroit ou le Roi devait passer en revu< les- uff.ii >rs et les hommes de La flotte, oni molesté les vénizélisfea»; un de ces oorniers a été transporté à 1 hôpital. Par suite d* cet incident, la revue a été remise au lendemain.Athènes, 15 octobre •. M. rin>piiios. irofcsgeur de d*roH cri^i ned à 1 Univettsitô de Timoléoo, devient mi-. Bistre de la jusUse. SUR MER Bjtterdam, 16 octibre : Ou aprpresid dans les mflieux maritimes qu'une collision s'est produite dans le de-tïot de Messine entre un navire de guerre italien et usi croiSeuiMMiirassé anglais* Ce deinatr, sériensemenit avariô, a été remorqué à Naples. 1 es d^tiils manquent encore â l'heure actuelle- Stockholm, 16 octobre : Les tempêtes excessivement violentes qui regnc.it depuis quelques i »urs dans le sud uu la Suéde ont i terrompu les communications sur plusieurs lignes télégraphiques et causé pl. sâMirs sinistrés maritimes. A Goie'^erg, la marée haute a endommagé lo poi*t ainsi que plusieurs bâtiments. Budapest, 16 octobre j L/\,Az Etf>t" annonce : Le bruit court, que le vaisseau de ita]ieo *,J'e^ina Margherita" a s\uté dajis le fx^rt de La Sfiezzia. Cotte nouvelle n est pas axnfirmé© jusqu'à présent. Malmo, 16 octobre : 1-e leprésen'innt à Pétrograd du LJoyds annif*rice que l'activité des sons-mariais en-n«nis n'a |«s cessé au large de la eAte de JMiutnan. Jusqu'au 11 ootobie, ^ 6 heures /du soir, tiente-quatre vajienrs faisant roif ■ pour Alexandrowsk <ni Ar<h.inî.el ont 't coulas au total. D'aul res navires sont • sigiuil|(Ss crinime ''mnt en retard. Une partie seulement dos navires coulas a <t^ assurée par le T.lovds. Neuf d'entre eue i.ranfi]>ortaient des munitions pour compte du gouvernement russe. En ce mo-nervt, 1 importation pour Ar-khangel est presque oompl temen* -suiAneti. ^"e. En AnirlcteiTe, des transports drainés à la côte de Murman et à la mer 7^1a<ehp été pwtieîlement r^teanns. trans- ports les pjnpt importants sont convoyés par des navires de gueiTe. Christian fia-, Ï6 octobre : On mande d'Honningvaag que Te vnjenir norvégien ,,Finnmarken" a débarqué l'éqrni-du vapeur anglais ff'Astnria", inn-fe^nt 7,000 tonnes, cojilé le 10 pepfem' re do Nonfvvii. A î''-st d> efÈ*e d'M-n.V-ro ^He, un autre Tapeur anglais, le ,,Bar. relby", a été couié par un sous-marin aile-'* manid. Fredrilcsstiadt, 16 octobre : Le capitaine du schooner norvégien „No-ren-", arrivé à Frediivsstadt. raonte que s»on navire, qui se re!idtiit chargé de bois en AngUnerre, a été coulé le 2U septembre 3 par un sous-marin allemand à 1 aile de grenades incendiaire®, lorsque réqudjia^ie eut té transféré k lx>itl du sous-murin où il est resté pendant dix-sept heures avant d'être recueilli par le vapeur norvégien lt5M3 oIlaAj^a^arre''. Ce dernier vajeitr, transpor-lanit diu lïois à Hnaitlepool, avait été lui-^ mâme capturé et avait à boixl un équipage e de prises .rilleanand. Il avait recueilli les marins du vafjesrr suédo:8 , Jionguela" et du schooner norvCg-Mïi „DnmanuQl"y couiea le mâme jour par un sou*-marin. ne* H, Paris, 17 octobre : Lu- l e ,,Peut Journal" annonce quelevar>enr „Ma#uxkha ', \e*ait ù AL er, e-*> arrive avasa llier h Marsc lie avart à bord *i igt ^ snr^ivajits du vajieur fyeo ,,S«.mosrécem-me t coihlô dans la Méditerranée. Pétrog**:uî, 15 octobre ; ^ Le journal ,,Krymsiii Vj^ïtaîk" annorcc en gros c*raotères qu'on ^i«t d'ape cevo'r d>s «Mis-marins ennemis de trie grandes C dimensions flans la mer Noire. Un submer-sii»ie oie cette oatéiîorie a bloqué le p°i"t (ie I^a*ottm poiidiuit huit jours et a e>ul5 un grfiwd nombre de voi':ers. P0« CTrpisle«*s ont é^> 'le la côte arméiii «uie à Banonm pour doui.er la chasse 41,6 an monstre sous-marin. 1 Tl IA9i aruKiteflïrs des hgnes de 1> mer No'ie nie sont inquiets, car un o«rtr>in nombre « e car- navire» i«irtis de Sébastopol et d'Ode si pour la côte du Caucase ne sont pas encore arrivés à des"in«tâ)n. ^Uo I>cb op^rniions à s soiifi-marWî» alNema>Mde dans la mer Noire s-wyt cki uut re a e*ci-<vir une influence d f.Lvomble sur marc'.ie «le< opérions miliiaircs dans laDouiroad^cha et e) Arménie. nte Paris, 17 octobre : D'açir^s une information reçue de New- ms York par le ,,Journal", un ra/i otélégrnnime .ga annonce que le ,,U-ô3" a été aper.u sur Ufc>_ medti matin au large de la côte du Mas-*a- <ie ohusett. Le submoi«ib4e poursuivait uu va- tre peur néerlandais. Cologne, 16 octobre : vl On mande de Coj)euhague à la „Gaiette €l ue Cologne" : — La navigation régulière a compl'<)-v ment ce«aô sur la côte de Mourman, les é<jutpa#^e.s tefumuèt de s'eanbanfuer à cau^e du danger qu'offre la présence des soub-r-Q marins. Ai- • ^ Ce que la guerre ccûte à !a France Ci-dessous nous publions un extrait, dont la valeur documeutaire est indéniable, d un diiscours que vient de prononcer à 1/a ras Chambre française M. le député social.a„c >is Brizon : la — Caiculons froidement le coût de cette ol- terrib.e guerre- Jmi cm fies ronus, je pu.s évaluer à ôo' milliards it>s sommes «ju , ue-puis 1e commencement de la guerre, en août l'J 14, jusque fit décembre lillU, au-a root été jetées dans 1 abin*;. Ce sono là .&> dépenses »ie l'Lt't. Ma.s 1 aviste deux au-^ Lres postes : 1° le travail perdu pendant u_ la 2° La valeur des hommes à ja ^ mais d.sj rirus, on ue tenant pas moiie ' compte des invalides. Faisons d alxiTd le calcul du travail perdu. Six mil ions et demi d'hommes se I,0 br>nuveinKi sous k# drapeaux. Sur ce nom-ue i/ro, il faut en Oompter cor ta moment cd.iq nt millions de nullement produCLifs. Ln eosup-rs tant à 10 finucs en moyenne la va.eur so-de , i t!e du travail quo<idien de chacun d|3 ©es n- hommes et à 300 jours 1 ann-^ de t avai 1, nous arrivons à fr. 10 x SOOx_5,t> K) (} <>— 15,000,000,000. Di es quin^*e m 11 arda d»j fr.incs, eu une année ! La politique aouelle du gouvernement devant fure durer la guerre au mnikis un an encore, noue pou-»vrns compter avec une dur ce to.aie de trois ans. Donc, la France aura jierdu en 'rancs 15 milliards x S =45 mÊ l.aidis de 'rancs en valeur de travail social. Voici le second po>te : 45 milliards ''e puie p<Tfe 1 as Le troisiVne poste e^t le plus d>> ,1 »u-^ reinx. Il concerne La valeur économique des re liomm<iS tnnbég sur les champs de batii^e. "e le laisse de côté la valeur inorale; la va-r- eur morale d'un homme, au sens incimo :e lu mot, éian-t, inappréciai le. Quel immense capital, en sentiments, instincts, initiatives, talents, esprit inventif, science, voir même 1 en génie, représentent nos morts ? Nul être " humain ne pourrait le calculer, m<\ne l é-vaj-ier avec quelque nrécision. Combien u i/'htmimes aurons-nous perdus à la fn de î8 la guerre 1 Aibnettons, sans aucune extigé- 1 " ration, la chiifre de 1 % uii'lion de morts. liln comptant années de travail par 1 homme à 3,'KX) francs l'an, on arrive à 'r, 3.000 x H?»—00,00*), en chi fr^s ron»?8, ' fr.lO(>.MK), h multiplier par 1 % million, ^ ég-'le 150 milliards de francs que la France s aura pmïu en travail social de ses enfants-st Rém.prft lions le^ trois portes. t D1 abord 50 milliards de c/t enses visfU-'s jusqu'à La fin de cette ann^-e, auou'il il '■ faudra certainement ajouter miliurds • 's pour atteindre la fin de la guerre. Au to- | tal 80 milliards. Je ne ero:s pr.s ewagArer l P >'n portant à 5 milliards la chiffre ds dé. I s dommagemente à payer. A ces 85 milliards, 1 il fv t ajouter notre aneienoo dette, qu'on n'oublie que tr *n en ce moment, et rvuis t t. arrivons au cliiffre de 115 n-illia^ds ! Voili ' l'ali<îmo à combler. i s Le sooond r>o«t» est conftfi ué par Ipr I p 45 milli.ir<ls de trava 1 perdu drtfi actuelle ^ € ments qui seront devenus 60 milliards à la fin de la jurrre. ' T.e troisième poste comprend Les 150 mil- f liarf^ «vtscvelis avec nos morts. a B Additions ; s 115-MVH-150-325 mi'Hards ! r Voilà lo résultat do la guerre en chif- r L. Près. s Je répète one je laisse intact le côté ma- q ral du problème. (i La guerre conspue une affaire. A notre d r époque capitaliste, tou-tes le^ gnerrf^.cnmme c» - Ja guerre actuelle, ne sont) <jne 'Ire afPaii-res. l?t l'on dot traiter une nfjire comme n > il convient de traiter une affaire : inte'li- o j «r^mmenu, pruchouimoat et eu avant eu vue r - l'avenir... j COMMUNIQUÉS OFFICIELS Xî-y l«D 19 V S ^ ■ "'t "T. 5 Communiqués des Puissauces Centrales* s e (Berlin, 17 octobie. — Officiel de co mdui: ^ Théâtre de la guérie à 1 Oue^t. j Armée du feldmareonal duo Alluocht de t W urve-ubeng : ti Sur ue nombreux points du front, grande ■- activité ueg p^tiouiLeb et de l'aruuccio. ^ Années du faldinareCUal prince luuauer s Ru|>piT3Ctit de Bavière : ,j l^s pot^i i jus aliemiuides établies des d<*Lx e Cc"'t s do la touune ont eue piiscs, au cauji-s <ie la jounn-e, sous un vioiein ieu d ait l-lerie aïKju^l nous avons enoi-giquemeUL îe-jKMidu. Nos avwieurs de rwxwuu.i.s^anoe ont r itanuu de précieux \ Vx-b pemfc*iit la lu-vie R coutie les baUeiLs euntti.ics. A la soirée, de» atta<iues ont été dirigées par I euuenu au unuxi de la rivûre coutre la ligne de jonCWon comprise enue Gueudeoourt et Saiilyj au sud, e.U* ont c-t' B exécutées contre nos positions établies au r noi-d de Prebnes-Ataaancou'rt. s Près de Gi.e-ideoouit, 'es assauts se sont _ écroules sous m>s feux de barrage. Près ue 9 SaUly et de Fresnes, ils ont échoiué au 1 cours de corps a corps qui oooLuiu<"iit ea> core pour la poeseeseiou d)u petits éléments 0 de tranchées. 2 Nos avions de combat ont descendu six avions, ckwit trois sont tomués derrière les 1 lignes ennem is. s l>e cjipiMii.ie aviateur iBoelke a encore i mis deux adversaires hors de combat-Amnes du prmee-héritier allemand : 5 Dans la. diumpwigne, une attaque fran-. ç.'iise a ropau*ssee au nord' de Le j Mcsudl. i Dans l'Argon ne et dans La région de la Meuse, le duel d artillerie a été violjut sur certriius points. Théârje de la guerre à l'Est. 3 FVont du fOidimairc had prince Léopold ■ de Bavière : A l ouost de Luck, le front dos armées du général von Lilusingeu et, s..r la Nara-jowka, odu'i dos armées du gené^rul von Boekm-Emu»vli, ont été le théùtie de puis-i sants assauts v asiuneusentent repo. stf s.; b* Russes om. exécute oes tuâeÀnis suis o< t ~ . nir lo moindre suoc(« et m sacuPiant do ; nouveau des rnar^s d houuiuss. t o t a< si . <i«o, d«'s le lever du jour, des effec<i.t> frai-chonvurw aineiês en Lign« et des donrt les vi.ies out été co*u{jiét«s, ont ^ lé vauihemeait lancés à l as«ut, à dix repaie , cwitre les positions tenues sous le feu ' le plus intense de l'artillerie, que les trou-c& diij Ila.10.r3 et du Hraoswiok d feuleni entr<? Siniawka et Zul i'no et> contre celles ' que des troupes austro-hongroises défendent au suc-oaie^t c!e Zaturcy. A la s irée, après une violente poépara-tioni d'arfiLerie, de fortes at>ac|ues d.ri^<e3 1 tro s reprises eoniTre le secteur Pusum.» tvv Bubuow, ont f-ga-iemej.t échoué avec île | fortes ]>eites pour 1 ennemi. Le iea d artillerie ennemi di igé oontre les positons de l armée du gioiu'tral comte t von Botfimer a atteint le maximum d in- «' te«isiîé à midi et a ensuite continué jus ; qu'à la tomiiée c.e la nu t, ini.rr*«npià scu» : lement pnr les attaques r» i.ér^es de l'ennemi. ' Ton.es I:*» attaijuéis de l inf.Uit* rie hisse ont 1 égalemefit été repoussees à ot eruh^tit' ei ( l'ennemi a subi une grave défaite. Des fa- l sil ers de la garde et dos grenadiers po- f mOmniens ont poursuivi l'ennemi en Te' traite et ont conquis, sur un front do deux 1 kilomiti-es, les tranchées russes les pins g avancées: ils or t fait prisonniers ÎV» offi- , «•iers et 1,900 sm'da's et se soai.t cn^par's, en ;i outre, de 10 mrrail.euses. r Front du géniénil de cavalerie aiobiduc ^ Cliarles : t Une attaque i^rononcée le 15 octobre par * des bsitaillons russes prés de Jamnios, au F nord de .StanisJau, n'a pas en pl; s de suc- c cés que des' attribues di ij/'es contre le som- n met du D. Colman, dans les Car pu tb es. Au sud de Dorna-Watra, nos tioup< s ont s ga^ié dkïs hauteurs situées à 1 est du tor- s rent do Nfeagra. Théâtre de la guerre en Trana lvonie. n Sur le front oriental, les Roumains op- s posent de la d*'*feuse dans les delilés de» '1 montagnes. |< A sud et à l'ouest du bassin ae 'vron- n stadt (Brasso), la bi.uauon est eu général f< inchangée. r: Théâtre de la guérie dans les Balkans. a Dans la Dobroudscha, rien do nouveau à sighaler. Sur le fiont macédonien, des attaques lo-cak» ont été' repousséos près de (Jralc-suioa, au sud de Mouastir, sur la Czerna et au nord de la Nidze-Plnnina. • • • B3rlin, 16 octobre- — Officiel : Le communiqué o ficiel a loin and dfu 8 oc- ' ' f>bre .annonce qu'une nouvil.e tcaiiative , .Lngto française, faite le 7 oc.obre <sn vue ,f (te percer noire front entre 1 Ancre et la Somme, a échoué. L'ennemi est parvenu à , ) pénétrer seulement à Le Sais et dais le-parties de notre position au nord-ouest de Leebœufs, c*ost-^-diire entre Morval et le Ikùs de Saint-Pierre Va»st. \m communiqué off.éiel français du S^oc-tobre sign.-'b que l in^uiteiie fran.oise a , brWIammem aeompli tontes ses tâches, mais e >1 |>fisse oomplô'enient sous s.lr-noe l'écnm-lemeit de fores attaques frança'Sr-e près de Vor^uKidovillers, au sud de la Somme. IAi 8 et le 9 octobre, do nouvel es et for- ta mtrîables attnques ont ét' 1 vn^es Kur t > t le frr>nt de bataille entre l'Ancre et la Somme, m ainsi que prv's de ve>rmandoviI ers t'iut >s se a so^it écTOi léeS avec de très fmrtes pertes [toi-r .a nos ennemis. Or, le communiqué français la ne trouve à signaler, pour 1rs journées dn -u 8 et du 0, que l'échec de dem contrrwafta- o ques allemandes et une entri^nase de po- 'o trouille. Il parle, en outre, de notre Tei de harra^re et de grenades près de Dénié- ^ court et de Lihons. eommnufiqué français dn 9 et ita io 'h ne fait pas mention des attaques françaises <-.1? qui ont échoué avec de tés forties pertes re Rien plus, dans son j!ufcotél/.;.rnmme du 'a. 13 octobre, Paris prétend mùne ex pressé- co nnaiit qu'il n'y a pas eu d'attaque dans l région de la Somme le dimaMîiie b ocwxu( ut que l affirmation coutraice du commun: que allemand e t un mensonge qui 8 hu[K sa:t à Ludond rf comme une nuœsa**; * «pu a tr »uve un f.icle eoho dans la ptresfi aJltmamie. ( Le radiotélégrainme du 14 octobre pr< touo de mène que le 0 octobie il n'y l>as eu d'attaque française. Toi t ao«ru est le tableau d^ednt par lo communiqués eu&emis ooncernanti la joiu née du 10 ooobie. On y lit que ce Jeuf4i aussi qu il rwsul^ en e fet du couiaLwunâifu allemand du 11, les ennesnis ostf., au com d u«e atDSque proimoeée outre la Somme c - l Arvvre, oUoitu de pe.tiw avania^scp» p«i ties, et qu'au soi de la Somme ils se son anoures un gain c&a tirmun relati vemer. coïKàiJvrable, ayant réussi, apr^s ur.e pi'sjsa ration d'artil loi- e quia duré plued nrs jour* \ pSn« #rer dans l'arc de nonre jiosition q,u forme r;,'ant veis Viermandovillers et l ''niie f nos trxnipes sur la ligne pr€ pArée d<v . uar.t la. ccrde de cet arc. Don la position abandonnée, se trouvent les fcj n.e-j de Gencrmont et de Bovent. Pari^, naturelleinenti, emiKmc'ae l'i-dcssu à pied -s [>oumous la lromyx*tte de la ré , clame en disant : ,,Notre infanterie a vi goureuseurveut enlevé la [jo^i-ion eiin'o-aii» « ui constituait son objectif ot l'a sensible ment déptissée en certains points."' Le 11 ociobre, il y a eu d© nouveau de 1 8traques, très vi 1 u'cs mai* infructueuses au noi-d de la Somme; les attaques sur 1 secte''r enlevé la veille au sud de 1« fe/imme ont été également continuées avec u très grand acharner-ent; mais ce ta foi % San si -ccfts et m<Tne avec dos Cchccs pour le Franea-s. Immédiatement, lo communiqu fram «i» rodevie--t muet. Le 12 octobre. : l he»re du matin, il annonce : ^Borobar 'iemeat réciproque sur pr^s-aue tout le fron démit* Morval jusqu'à Cbaulues et atbaqu all^m-ïnde r-erpons^e". l o 12 octobre, l'ennemi a fain, en vue d nos Ji ;nc«, une tentative do ^randv onve.rrnre qui a de nouveau oomplètemen fo "inié après une lutte formido.' J»ment s°n gle-nre. Ce qi p le oomim«»Ni'^»é, ajlesn^vnd a dit i ce sujet est. encore prs^nt à toutes l<s me mrires : mise en avant de masses d'arfUo r e er d'infanterie renforcée par -des divi s''>os fra/ehes; a^t/viue principale c^utre 1' fron^i rVrw §j CourceJotfo j'iS'in au. I n's de Sad'\i-Pierre-Vaa«t: oorns à corr s mnJtlIpPei aViarnés avec l'adversaire qui avait pé é-, m/mi6niîaniikmont dans nos l'gnos; as s iitt échoué sir fois dans la journée: non-ve'le nrtaque )«ndan»t la nuit rononKs»<e. Ai: sud de ln Somme, dos at4aqn-»s françaises ont été Continué es mais ont déjà pour la rdir^rb échoué sans |P feu de barrage. T^n fahri lue de suere de Genermont. et la partie nriicin-'le d'Ab^iincourt est restée en notre pouvoir» Comment cette Journée sauvage est-^lle présentée dans le communiqué français 1 L* 12, à 4 h. 30 de l'après-midi, il écrit : ,, Activité r'<c'proq.ue d'art lier e". Lo 1:'» oc-u»l»re, à 2 h. 2 du m tin, il d&t : „Nous avons i-Vil'^é quelques progrès à l'ouest de SailK'^aillisel ; au sud de la Somme, grand* .'ictivifé des deux art. 1 • ios; pas d ror vit ■ de l'infanterie." I-Xî oommuniqu»1 of ici 1 du 13 apr'-^-mi-li ; „Nuit assez agit e sur les deux rives (le la Somme: escarmouches et IwwnHardenients récirironurs ayant atleint parfois une grande vûJence". Ttwt ccl.a i-st fort, clair. Poussas par l'id<^e de démence et de d^se^poir qu'il leur sera finalement) pfxnsil le de ré issir quand môme à percer notre front et de faire lui e à tf>!-t le uioL-iS l es{xîrance 1 iint<iue d une modiP c'fcion de li ,,carie de la guerre" dans l'Ouest, les Angla's et les Français tentant un ex. r-ane et dernier effort sur le front de la Somme. Dès que le moindre fa-agrès y est réalisé par eux, i s le proclament avec des cris sauvages de triomphe; en revanche, las échecs qui vienneni-, irré-parai les et entraînant des peite3 inou es, s'in-fVrrcaler entre ces petits succès, sont soiemmert et opiniâtrement cachés anix po-pi'laflonR haletantes des |»avs d1!» rEnten',e. Tl ne faut pas que ces malheureux paaoles omissent apprendre comment leurs dâr'-ireants, rpie la folie aveugle, versent le sang de leurs 'ils }V>ur conquérir qucloues vil-la^rnft réduits |vir les carions en décombres m<Vonnaissal>les, oh quo'qnes terrains traiis-formés en déserts sauvages, bref de misera Hl -s lambeaux d'une .France complètement anéantie. e » * Vienne, 17 octobre.— Officiel d'hier midi : Frant de l'Est. Front ces arm'es du général do la cava-verie archiduc Charles : Sur la frontière magvaro-roumaine, aucun changement essentiel de la situation. On continue à So battre- Au carrefour des trois frontières, au sud 'e Doma-Vatra, nous avons r< foulé les Rus«ei au delà de NegraUick ett ca.pturé 1 ofi ier, 217 hommes et 2 m-itraà leus^. Dans les derniers combats livras aux environs de Kirli'Ki/ha, ils on.t nerdu 5 cfliciers, 1,007 hommes et 5 mil raille, ses. Si r le -Ninritrocv, 3 officiers et 38l soldats ri ss^g ont étv- amenés comme prisonniers. Piler, les cuvre-'ttnques russes ont échoué dans 'es derx secteurs. Des bataillons bavarois se sont eminr'fi d'une portion ennemie dans le secteur de la Lucova. 'Front des armées du feld-marécha-g)énéral pri ice Léojiold de Bavière : Les arm es» groupées sous le commandement dn colonel-général von Bohm "Er-uu>ili ont dû re^Kiusser de vigoureuses at-'oqres sur les bords de la N.'trajovka, dans la r'gion des sources du Ser-eth et au sud-ouest- ce Brôdy. Partout, rennemi a été ro;etA, es^iyan t des pertes exitr<îm ornent louHie®. L'armée du colone.l-général Terszjvanski a ^té, toute la journée, violemment ainonn^e nur l'artillerie russe. Des <leux côt-Ss de Zatirvw, I infanterie ennemie a aussi d»'-clanché une attaque, renouvelée A plusieurs reprises fa à grand renfort d'effectifs, ruo. tammeut au nord de ladite localité. Là encore, l'ennemi a essuyé un grave éohoo. Front italien. Dans les combats li▼ x «1s prés de Sobor, nos trou\M2fi on< o^.t.ré 2 officiers, 21 hom-■ mes et 3 mitrailleuses. ^ Front du Sud-Est. ' Rion à signaler. • * ' Sofia 16 octobre. — Officiel de l'état-major s , P^ont de Macédoine. Des rapports comptlemonpwixs constatent i que c'e*t a*e« des por.es énormes pour lob l'^itMiçiiis que 1 attaque ennemie te» tée, le 14 ooiobre, des deux a.tws do la voie ferrie ce Bitoiia (Mouostix> Lorin (Floriua), fut repoussée. Riun (jue devant le fixait , d un seul de nos I«taillons, nous avons eru» terré 4<^5 tués, dont 4 ot iciers. y Dans lo courent de co» deux, dernfiers joars. les 14 et 15 ociolsro, les Serties ont fait des efforts inouïs peur rewnpre notie . !i<mo de frrwH sur ies liord» do la Tacherna. (ffltre les villa^os de Brod et (te SkMchi%ir, mais tontes le^irs tontstivos furenit inutiles ? D«*s Ha nuit du 15 au 16 octobre, les J Sorbes ont tenté, toujours dans le même secteur, huit aWteoucs oossécutives qui, en dépit dé' l«ir acharnement, furent repoussa «s avec de giosse* f^tes pour io& ass;iil-lants. Aprfa los avoir laissé arriver jus-qii'ajyx ot^itacles en fil de ier, no'rc- infao-teiàe repoiusa, inébranlable, tonu-s les at-taones, pour ;>o.sser ensuite à la eonire-" attaque et re^e-sç les S#wb<?« flams V>urs anciennes positions. Nous avrms capturé une Lanoe-bnmHes et une mit^aiJileiw>«. Sur le front de la Moglenitza. l'artiUerie ' s'est montrée très active. Au nord de Gzu-^iso-'u'e l'infnrte.'ic ennemie a tenté ivne 3 poussée, assez faiMe du resio, qui fut en-1 rayée par notre feu. 1 A l'ouest :t à l'est du Vardar et j'«-' qu'au lao Doiran, canonnade peu iniense 5 f^eS avions ©anemis ont. sons tweete, lancé 5 des Ixv^^os sur la £r«re de IVmir Ka—n 1 Au rivl de la B*l*sitza Plaiki«xa, ennon-nade réeiniroque et aux environs r^i villace ' de Bm«uk, rencontre entre patrouilles, tor-: misée h nofe-e avantae-e. Sur le frort- de la Stronnia, eomhats on-1 tre '''-t-cJiements d'éclaireura et canonnades locli^'es. 1 c calme a r^^né sur la c^te de Ij» mer F.T^e Prèf. 'te Te.hatwja, no«iq avons aKntu nn hvdroDlsjie qui ensuite dé truit par notre ar+il'erie. Front roumain. Bien do changé• journée calme. « • Consf-aotinoolc, 16 octobre. — 0ficiel du t;r* rvi quartier cén-Aial ; Sur le front du Caucase, escarmouches qui se sont Wmiu^es en notre faveur. Sur les autres fivints, pas d'événements imjiortanis à signaler- Communiqués ries armées alliées Paris, ]6 octobre. — Officiel do 3 heures: Au nord de la Somme, nous avons i*é-n^t>ô hier s>ir dans le vp.lage de Sailly-Sadlial et occuj^é les maisons ei bordure de la îoivte de Bapaume jusqu'au can^^our central. L'ennemi a réagi très violemment. Le ooml>at continue Au 8:id de la Somme, nous avons repoussé une attaque ennemie au bons Saint-Eloi.CaJme relatif snr le reste du front. Avintio«n. — ^talirré le mauvais temps, nos avions ont livré sept combats au ours desquels un appareil ennemi a été abattu. * * * Paris, 16 octobre. — Officiel de 11 heures : Sur -topit le front do la >omuie, gronde activé réciproq^ie d'artillerie. Au nom, nous nous sommes oos«o!id»Vs (Vins la p r lie conquise de bailW-Saillisel, malrré un vif bf/mbardemeilt ennemi. Au sud, nous avons repoussé une violente cou t re -aj&a/ |i e à 1 esf de Bernrv-en-Saii'vrne, enlevé un pe-t?t bois et pris doux pi ces de 2U0 et une de 77 mm. eretro Geoomiont et Ablain-court. Au cours de ces actions, ont été faits 1 110 pr'somiiers, dont 4 off c'ers. Dan® le secteur de LAssiuriv, un avion ' eninerui. atteâ'H po>r notre arfllerie, est tombé ' en flammes dnrvs nos liqncs. 1 iRien à signaler sur le reste du front. • f * * i Paris, 16 octobre. — Officiel de l'aamée t d'Orient : i Aucun événement important à signaler. j * * • i Londres, 15 octobre. — Officiel do l'après-midi : Les» opérations entreprises hier près des redoutes Stuff et Schwaben ont été tiés d fructueuses. Au nord dt> la redoute Stuff, «J de^nx lignes de tranchées ennemies ont étô nettoyées sur une largeur de 200 yards ; près de la redoute Schwaben, notre gaiu a été plus grand encore. Nous avons in- 1 Higé do fortes pertes a L ennemi. Au cours I de ces deux 0{»érations, nous avons f.iit, (| prisonniers 2 ofFicier." et 303 hommes. v La ni lût. cernièi^. nous avous jénétré dans | ot*» tranchées ennemios etaA>lies à l'ouest de u la Sarre, au nord de Boclincourt, ainsi a qu'au nord»-est de Festubcrt et au non!' «le Neuve-Chapelle ; nous avons ramené des orisonmers. * * « r1 Londîres, 15 octobre. — Officiel du soir : d Grâce à de fructueux combats loe iu>x livrés'ce matin, notre ligne a été lcgèro-ment avancée au no»d-est ce Gueiutecourt.. L'artillerie ennemie a été active entre p Lesibrrufs et Courcel ite, ainsi que dans les <) environs de la redoute Schwabeu et de la p vallée de l'Ancre. U Air matin, rennemi a fait sauter une o mine au nord de Neuve^ChapcTe, sans occasionner de -dJègnts. |} Penrîant les dernières vingt-quatre heures, H nous avons fait prisonnier» 47 hommes, <-■ parmi lesquels 2 officier». • * * Londres, 15 octobre. — Officiel de l'armée d Orie*it : T Sur le front de la Strouma, les gares c de Aristos-Heres et do Baraklii-Dschuma n ont été bom'»srd:»e8 par notre artillerie. p Sur le front de T>omin, les communications de l'ennemi ont été violemment bombardées pondant la nuit du 14 octobre. e * s r* Borne, 15 octobre. — Officiel du grand quartier général : Sur les versants du Pasubio, de nou-« voiles attaques ennemies ont été rep«ru&séea [Kir nos troupes qui, grâce a uaie énergique oontre-attaque, ont encore fuit des progrès vers le Bo te. Dans la région cfu Cosmagon, une batte-rie ennemie de quatre canons de montagne est tombée entre nos mauib avec uuo grande quantité de munitious. Dans la vallée de la Posma, des forces ennemies eut surpris uu de nos avanfl-pos*©s a l'ouest, de Tovo. Après l'arrivée do reu/orts, l'ennemi a été complekiment repoussé. Sur le reste du front, activité de l'artillerie. Nbs batteries ont. bombardé di s lus- " Libations militaires établi cm près db Pre-dazzo (Avisio).. Les Autrichien» ont lancé quelques grenades sur Gorz. • * • Bucarest, 15 octobre. — Officiel du gran^ état-major : Sur les fronts nord et nord-ouesti, nos troupes ont été rqpiiées dca monts Calimaa vers la frontière. Au sud de Fulghes (Gyorgyé Folges), l'infanterie ennemie a été forcée de se retirer en débandade soiw le feu .de notre artillerie. Dans la vallée supérieure de Chcaz, à l'ouest de la frontière, ducis d art llerio. Près de Pallanca (Chuues), petits oom« bats. Dans la vallée do Lucul, violents cora-bats à la frontière. Dans la vallée de Ixiitiyz^ noue avons rajKiussé d1 une manière sanglante toutes les attaques ennemies prononcées sur la frontière.Dans la vaJ15e de Buoeu, violents coma-bws à la frontière, 'l'outes les atrjiques cu-nemies ont étré rej>oussees; nous avons fait prisonniers 04 hommes appartenaut à une seule compagnie ennemi©. Près de Brateooa et de Preolus, petits com buts. Près do Predoal, violents combats. Pendant la nuiit, nous avou* lepousso des attaques ennemies, et, prenant 1 offensive, nous avons rejeté nos adversaires hoas die la vallée do Polistoca. Très violents combat^ à proximité de Rucar, oà nos troupe» ont maintenu) leurs positions. Dans la vallée de l'Ait, duels df'artillerifl et petites rencontre.'? sui tout le front. Dans la val lé© de Sehui'l, nous avons [>i is d'assaut la cr^te d«i mont N^qgTu e^ Zanoaga ; nous avons fait prisonniers un officier et 40 soldats. Près d'Orsova, duels d'artillerie. Sur le front méridional, tout le Ioîjv,' dlq Danube, combats d'artillerie et (FinfiLi'i rie. Dans la Dobroudsoiia, rieu de particulier à signaler. e * * Pétrograd, 15 octobre. — Officiel.du' grand état-major général : Lo 13 au soir, dans la région de Stero-th/w, après avoir bombardé nos cantonnements, l'ennemi a effectué une attaque contre nos tranchées avancées ; il a été re-poussé avec do fortes pertes par une con* tro-aitaque à la ba onnette. l'ans la région situé© au nord do Ko-rytnitza, apris un combat acharné, noS troupes se sont emparées die tranchées ennemies et ont ramené deux mitraiHleu'fcs et <ks prisonniers. Cinq contreratta<|iies exécutées successivement à la tiaionnerte ont été r "poussées avec d'e fortes pcries poua: l'ennemi. Dans la région de Mjoezyszozo'w, urne tentative d'attaque ennemie a été enrayée par notre feu. Des d îtaohfments ennemis qui ont tenté à diverses ro. ri ses d'attaquer nos positions établies dans la région de Kirlibaba et <!e Doma-Vatra., ainsi que dans la Dobroad-soha, ont été repoussées. DEPÊCHESJUVERSES New-York, 15 octobre (retardé en trana» mibsiou) : — Dans le „New-York World", un haut fonctiouna.ii e anglais déclare qu 'on s attend a la putdicution d'un décret de l'Amirauté ordonnai ut que tous les navires marchands si*Uyit armés de canons de gros calibre, qui *eniraie t uni.piement à leur défense. En. «Mitre, le décret inviterait tous les capitaines de navire» marchands à veMbr à ce que leur éipiipa.ge soit exercé, do manière à |K>uvoir (h-ifcndre efficacement leur navire en cas d'attaque. * * 0 Londres, 16 octobre : i Des prescriptions [>.lus sévères en matière d'éclairage public sont inuses en vigueur dès ce jour. • • * • Londres, 16 octobre : I>e ,,Daily Chronicle" préconise l^instal-larion d'ambulances^ dans les ambassades et les légations des pays ennemis.. Il estime qu'un accord pourrait intervenir à \ intervention des Etçts neutres, suivant lequel les gouvernements allemand et austro-hoa-irrois se serviraient dans le même but des ambassades anglaises à Vienne et à Berlin. * * • Londres, 16 octobre : Tans un éditorial, le ,,Morninig PosV' se prononce contre le projet d'établ'sbemeut d'un tunnel sous la Manche. o » * * Paris, 16 octobre : Le „New-York Herald" sienale que d'e-imi8 1ï 1er octobre, le bu i eau météorologique anglais a su Institué le mil'imètre au |x»uce comme unité adoptée pour mesurer les hauteurs de pluie* Le journal ajou.e ce commeutaiie : — C'est un nouveau pas dans la voie oiY la Grande-Bretagne s'avance insensiblement qui abou'ira a la langue à l'usage oflSk nel du syst-me métrique." * ; *• * Tendres, 17 octobre : T^e iroiivornement anglais a pib'iiô un Livre Bleu qui établit, entre autres que fronvfmemanit a forcé les fabriques de muni ions à réduire considérablement leur* prix de vente. • * * Stockholm, 15 octobre : l>e ravitaillement d© la Suède dovin>, d\c plus en plus diifioile. La réçolte n'e-t- pa* Wercredî 18 Octobre 1916 —1 —L -L1 J-1 "L» ■-■L- .1 ■ n I ■■ II JOURNAL QTTOTÏDTEÏtf Z,e Numéro : iO (Jenttmea 3* Année. — N° <59^ UU-u.iLjq.j. M , at

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
This item is a publication of the title La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie belonging to the category Gecensureerde pers, published in Bruxelles from 1914 to 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Add to collection

Location

Periods