La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

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23 November 1917
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s.n. 1917, 23 November. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Seen on 20 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/8s4jm24s93/
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^ A,e -frjggr prix des abonnements 1 mois (décembre), tr. 3.80. Tas demande* d'abonnement sont reçue* exolvH» 9ement par tes bureaux et les facteurs des postes. — Les réclamations concernant les abonnements doivent êtrg adressées exclusivement aux bureaux de poste* ADMINISTRATION ET RÉDACTION: £11, Bloniagne-aux-Herbos-Potagèros, Bruxelles. LA BELGIQUE prix des annonces Petites annoncesf la ligne, ir. Û.7S, — Réclama avant les annonoes, la ligne, tr. 1.75.— Corps dm journal, la ligne, tr. 7.50.—- Faite divers, la lign% ir. 5.03. — Nécrologie, la ligne, ir. 3.50. — Ccùi des Eleveurs, la ligne, lr. 1.50. Bureaux de 9 à 17 Heures. Direction et Administration : ls ,Wiitc-" JOS. MORESSÈE, DIRECTEUR LA GUERRE p 1,208* jour de guerre; —— f Les OQiamuiniqu'Ga officiels de Berlin et de Vienne retlatiis au théâtre de la gnerre en Italie amas apportent depuis doua jour£ un laconique : ,,1-ûbn de nouveau". Il n en;, faut pas conclure que !ea opérations offensives des Austro-Allemands j ont pris fin. Voiej& eu effet co que, d accord avec les informa»; tiens récentes du ,, Comere délia Sera" et* du ,,Secolo" reproduites ici moine, 1 Agence.-officielle Stefeini écrit à œ sujet : — Les masses ennemies deviennent plusji compactes siur plusieurs points dans la" mont igné, entre la Lronta et le Piave, et* l'on signale dans diverses! directions des/ mouvements d'artillerie et do oolonnes en. marche. La phase de préparation est ter-^ mime : nous sommes à la veille d'une nou-; veilo j>lia^e d'action. Quel plan l'ennemi a-i b-il oouyu 1 11 est possible qu il veuille teu., ter rapidement sî r-'-« ^luinent une grar.de opération stratégique pour dél. *rd-r nos ailes et nous cerner ensuite ; ii ,J<st possible aussi qu'il cherche à briser lentement et méthodiquement notre résistance ; il est possible enfin qu'il arrête s,,n choix à une succession d'attaques énergiques suivaint le système qu'il a suivi devant Verdun. [ Quoi qu'il fasse, il se tromperait s/ii oomp-tait que l'armée italienne lâchera pied. La nation, unanime dans sa volonté de résister, est prête à accepter la bateille imminente."» « » L'Agence Stofani croit donc que les Aua-tro-Aliema-ntis, après avoir, sur l'isonzo et le Tagliaineuto, porté à la puissance militaire italienne un coup terrible, se préparent à l'achever et à la réduire à merci. Il est manifeste que c'est pour contribuer à écarter un tel dtésastre que les Anglais ont décidé de reprendre dans 1 Ouest leur offensive, dont l'énergie avait notablement décru après plus de trois mois db vaitis efforts en Flandre. Dans cette région* la canonnade sévit depuis plusieurs jouis avec une violence croissante : les positions aile, mandes des secteurs de Nieugort, de Dix-mudo et du lao de Blankaeit, celles qui vont du sud d'u bois d Houtaulst au nord de Pâsscliendaele, celles enfin du secteur de ÎJecelaere, sont prises successivement sous lui feu violent. » , Mais co n e=>t plus seulement en Flandre que des Anglais se remuent : nous disions ajbs 'hier qu ils devaient avoir obtenu un avantage serieuye au sud-est d'Arias. Le pi$-nuer communiqué relatif à cette affaire ru$u de Loudres s© borne à constater que lés troupes anglaises antj fait des progrès satisfaisants, sans préciser l'avance qu'elles ont réalisée ni le butin quelles ont fait 5 mais la dépêche de Berlin du 21 permet de se faire - une idée exacte des événements survenus. Elle montre que l'attaque des An-»' glais s'esii développée sur le front allant de ■Foutaine-les-Croisa lies, qui est à dix kilo^ mètres au sud-e«& d'Amas, au sud de Von. diiliilie. qui est à di.v-se(pt kilomètres au nord de oaiut-Quentin. Jintre Fontaine-les-Croisillos et llienoouxt, à 5 kilomètres au sud-est de Fontaine, do': m(hne qui au sud de Veudhuiilla, l'attaque a été enrajee dans les premières lignes allemandes. Mais sur le front de bataille pria-."; ci pal, depuis Ilieaoourt jusqu'à V endlauiiUe, • les Allemands ont été refoulés d'ans des positions établies à l'arrière. Plusieurs villages sont tombes aux mains des Anglais, qui se sont emparé» en outre d'une partie du matériel encastré dans la maçonnerie des7 positions conquises. Au nombre des villages abandonnés aux " assaillants, les Allemands citent Graincourt, et Marcoing : le premier est situé à 9 kilo-1 mètres à l'ouest, le second à 7 kilomètres' au sud-ouest de Cambrai. Par comparaison} avec la ligne Boursics-Havrincourt, sur laquelle se sont arrêtés en avril dernier les, grands combats engagés par les Anglais au sud-ést d'Arras, la ligne Grainoourt-Majr-" coing fait ressortir une avance de 5 kilomètres. Les prochains communiqués nous fixeront du reste à cet égard, de mi*me que sur le résultat de nouvelles attaques que les Anglais viennent d'entreprendre dans le secteur de Riencouri. Tandis que les Anglais attaquaient ainsi les Allemands sur un large front au sud-est d Ar^as, les Francis, aux dernières' nouvelles, prenaient l'offensive au nord-ouost de Reims, depuis Craonno jusque, Borry-au-Bac. Par ces attaques simujltané^s, les Alliés' espèrent, sinon enfoncer, du littoral à la; Champagne, le front des Allemands, à tout* le mo^ns les obliger à y faire accourir une l partie des forces . considérables qu'ils ont ; jetées en Italie. 11 n'est pas douteux, en tout • cas, que la suito des opérations de la guerre 3 mondiale doive se ressentir d'une manière essentielle cîru plus ou moins de succès dff ces attaques ^ _ ... * m Chambre Française '; La déclaration mlnlstérielia et les Interpellations Paris, 20 novembre : Voici le texte de la déclaration ministérielle lue à la Chambre mardi après-midi (1) : — Nous avons consenti à nous charger ilu gouvernement pour continuer la guerre, redoubler d'efforts et mieux utiliser les forces àu pays. Nous nous présentons devant vous ivec la,,.Perspective d'une guerre illimitée. Nous"~"vbn/lt-ïons"1 que isT'ffdniTan^è -CfGg-'ndus vous demandons fût la confiance en vous-mêmes et le rappel des vertus historiques qui ont fait de nous des Français. Jamais la Franco ma ressenti ni us vivement le besoin de vivre avec l'idéal de la force mise lu service de la conscience humaine, avec la résolution do fortifier de plus en plus es droits des citoyens et des peuples maires d'eux-mêmes qui marchent aana la voie le la justice. Ce programme, qui a été celui le tous nos gouvernements depuis le début le la guerre, nous le faisons nôtre. Les soldats do notre armée sont des héros d'é-)opéo, conduits par des chefs expérimentés ît animés de 1 esprit do rigoureuse disci-)line qui a fait la gloire de leurs pères. Ces Français que nous avons été obligés le jeter dans la mêlée ont le droit d'exiger juc nous n'ayons aucune préoccupation dont 1s ne soient l'objet, que noua ne posions lucun acte qui ne les concerne. C'est à eux [ue nous devons nous consacrer tout en-iers et sans réserve, h la France qui saigne dans sa gloire, à l'apothéose du Droit riomphant. Nous n'avons qu'un devoir, uni-[ue et simple : vivre en communion javec tos soldats, souffrir et combattre avoo eux, enoncer à tout ce qui n'appartient pas à , a Patrie. L'heure est venue de n'être plus j |ue des Français, d'avofr la fierté de nous I ire que cela nous suffit. Il faut que l'on , omprenne que les droits du front oi les evoirs de l'arrière se confondent aujour- ; (1) Le début de la déclaration e3t reproduit de < une de3 dépêches diverses pnblécs dans notre uiïïéro d'hio- d'hui complètement, et^ que le pays tout entier est la zone de l'armée. Tous les peuples civilisés prennent part à une mémo bataille, livrée a la forme moderne de l'antique barbarie : nous uous battons coude à coude, nos alliés et nous, formant un roc inébranlable, un rempart qu'on ne franchira pas. Sur le front do l'Entente, règne seule et partout une solidarité fraternelle qui est la pierre angulaire du monde de l'avenir. Notre France a souffert pour affranchir toute l'humanité : elle montrera ce qu'elle est capable de souffrir pour affranchir le sol de ses grands ancêtres. Sa force d'âme anime tous ses enfants, ceux qui travaillent à l'arrière aussi bien que ceux qui se battent au front : ouvriers peinant dans les usines où ils ferment l'oreille à toùtes les excitations, vieillards penchés à la campa gne sur leur lopin de terre, femmes inlassables au travail, enfants qui portent à leurs mères le secours de leurs faibles bras, toufl sont des combattants qui pourront un jouif, . lorsqu'ils songeront à la grande œuvre accomplie, dire tout comme ceux qui soi^t pdans les tranchées : "Nous étions là, imijs : aussi 1 „ Persister avec eux à tout faire pour la Patrie, peut-il y avoir un plus beau programme de gouvernement ? Des fautes ont été commises : nous ^e voulons songer qu'à les réparer. Des crimes ont été commis, des crimes contre la France qui réclament un prompt châtiment . nous prenons devant vous, devant tout le 'pays, l'engagement que la justice commande do les châtier en leur appliquant toute la Sévérité des lois : nous ferons notre devqir sans égard pour personne, mais sans passion. Trop d'attentats déjà ont été payés '.par un surcroit de sang français versé sur je front do bataille; toute faiblesse serait une complicité. Soyons sans faiblesse comme sans violence : tous les coupables devant le conseil de guerre, plus de campagnes pacifistes, plus d'intrigues allemandes, ni trahison ni semi-trahison 1 La guerre ne tue ^ue la guerre. 11 ne faut pas que nos armées soient prises entre deux feux : quand fa justice suivra son cours, le pays reconnaîtra qu'il est défendu dans une Fraàce libro à jamais. La censure sera maintenue pour les informations diplomatiques et militaires comme abusai, dans les limites du respect dû à l'opinion publique, pour les écrits de nature à doubler la Ipaix civique. En temps do g-uerre comme en temps de paix, la liberté pour l'écrivain sous sa responsabilité p'er-sounello : hors do cette' règle, il n'y a Qu'arbitraire et tyrannie. Il ne nous parait pas nécessaire d'en dire davantage pour vous faire connaître notre programme de gouvernement. Nous nous soumettons à votre contrôle : c'est vous dire que la question de confiance sera toujours posée. Préparons-nous à entrer dans la voie d'une économie des vivres dont l'Angleterre, f Italie et l'Amérique nous ont donné l'exemple. Nous voulons aue tous les citoyens prennent leur part de la défense nationale et que leur part de sacrifice ne se borne pas au simple consentement de recevoir moins. Quand on 60 prive à l'armée, il faut qu'on se prive dans tout le pays. Si le vote qui doit terminer cette séance nous est favorable, nous émettons l'espoir qu'il soit consacré par un brillant succès de notre emprunt de guerre. La France se doit à elle-même, après avoir fait la preuve suprême de sa confiance en donnant son sang, d'en faire une nouvelle en donnant son argent, auquel la victoire servira dç^ garantie. Le jour luira où des acclamations^ dèpuis Paris jusqu'aux pins modestes villages, salueront no3 étendards victorieux il est en notre pouvoir de hâter co jour, dont la gloire offaceru eello d<» toua Itt autres. „ • * * Après lecture de la déclaration ministérielle, M. Deschanol a énuméré les diffc# rentes demandes d'interpellation déposées! s|œ lé bureau. •M. Clemenceau déclare qu'il est disjJolÇ répondre séance tenante aux interpqlla-tèjirs.f M. Delahayô est d'avis, d'accord en cela avec M. Clemenceau, qu'il y a lieu de ljfii3-sjbr à la justice le soin de poursuivre ^les Coupables s'il y en a. y M. Baudry d Asson, avant do prendre bo-âition, attendra le gouvernement aux actes. i M. Varenne, socialiste, restera, lui au^si, |an8 l'expectative : sa confiance sera Ihu Ôiveau des mesures que prendra M. Clemenceau. \ î Après de courtes explications do MM. Compère-Morel et Jean Hennessy, M. Fdr-s*eot déclare que la Justice est non pas lâi iBoyen, mais le but même do la guerre. |l demande à M. Clemenceau de porter le bis-tfeuri dans l'abcès dont souffre le pays oi Injure le gouvernement de dire la vérité eïà ce qui regarde les accusations portées par Ni. Daudet contre MM. Malvy et Caillauxb Rassànt à un autre ordre d'idées, l'orateur vaudrait qu'on s'occupât des préliminaire^ la paix et de la recherche des condition» auxquelles elle_ pourrait se faire. On peut y açriver de trois manières : en forçant l'ennemi à rétrocéder l'Alsace-Lorraine à la jfrance, en l'obligeant à payer les dégâts qu'il a commis et en constituant une Société des Nations. ; — Le jour viendra, dit-il, où l'Allemagne £n aura assez et priera pour avoir la paix. _ M. Forgeot termine en disant que l'on [doit faire front partout et se battre partout.1' t MM. Ossola, î.îayeraa et Josse invitent Mj Clemenceau à s'expliquer aussi tôt que posij sible sur les différents points soulevés ait cours de cette discussion. M. Clemenceau, cédant à cette invitations prend la parole : — Je n'ai pas, dit-il, recherché le poiiË voir. Si la Chambre n'a pas confiance oif moi. au'elle le dise. Ma vie touche à sa fini mais je veux donner au pays, pour le biotf commun, les quelques années qui peut-êtr(y-me restent. On trouvera dans le texte mémffi le la déclaration ministérielle la réponse ff la question posée par certains membres d$" cette Chambre eu ce qui regarde les buts djf guerre et la Société des Nations, dont s'ocV cupe d'ailleurs une commission nommée par*' M. Ribot. On m'a reproché de n'être pasj partisan d'un tribunal d'arbitrage. Or, lor^ 3e l'incident de Casablanca, c'est moi qui| ai proposé l'institution d'un tribunal d'arbitrage dont alors ni l'Allemagne ni l'Au-î triche n'ont voulu entendre parler. Je ne: crois pas que la. Société des Nations doives sortir de cette guerre, et pour ma part je? ae pourrais approuver l'entrée de l'Allemagne dans une pareille Société. Demandez lonc aux Belges ce que vaut la signature [le l'Allemagne ! Le fait terrible est que l'Allemagne n'entend pas briser le militarisme prussien. Nous no pouvons, dès lors, prendre aucun engagement en ce qui regarde cette Société des Nations. Le3 soldats' lui sont dans les tranchées se battent pour1 obtenir une paix qui leur assure une vioi ligne. Vous me demandez quels sont mes' 3uts de guerre? Je réponds : "Mea- but ss<: d'être vainqueur 1„ ~*M. Ck-rrrent-cniT èè tourne ensuite vers les socialistes et dit : — Il y a sans doute quelque chose de : Qoble dans votre manière de penser. Les. ?ens qui se battent veulent la paix, mnia pendant qu'ils se battent, vous organisez ' les réunions, vous nommez des délégués de partis et^ de pa}'s qui s'en vont répétant que ! on espère pour demain des pourparlers de paix et ^ qu'après-demain la paix sera chose aite. C'est ainsi que l'on arrive à désar-ner un peuple...„ M. Clemenceau donne à la Chambre i'as-rarance qu'a l'avenir il n'y aura plus de liplomatie secrète, mais il veut une guerre lîimitée. Il ajoute : — Ce qui importe avant tout, c'est d'être mis !„ Puis, ayant déclaré, en co qui regarde les scandales, que la justice suivrait son cours . ^u,e . 8 (jugements prononcés1 seraient,' ixecutés, il termine ainsi : — Je me sépare de ceux oui veulent dès . mil maintenant mettre en pratique un idcalism qui n'est do mise qu'en temps de paix. Nçu gouvernerons humainement, républieainenift. et socialement, et nous consacrerons tou nos instants aux travaux de la guerre, fc vous voulez résolument et avant tout 1 prospérité de la France, vous nous dount rez votre confiance. Nous nous efforoeron de la mériter.„ Après quelques observations de M. The mas, la discussion est close. M. Clemencea se rallie à l'ordre du jour Morin, dont voie le texte : — La Chambre, confiante dans l'ênergi et la vigilance du gouvernement, aporouv ses déclarations en ce qui regarde la m: nièro d'envisager la direction de la gugift et .de punir ceux cpiL-QWt^con .,wf3 . des erufflir coôtrë- "--la-'et j-ass Ins ISlÉco ¥pGrrG atoire I Londres, 2o novem'bre : Ce matin a eu lieu, au domicile du pu mior ministre, une conférence de guerre, laquelle ont assistj les cneXs des princi i pauix d; 'paitemeutâ gouvernementaux et que jquea meiabies de la miàsion spéciale dt . Lcats-b'rus. j^îuis son discours do bieuv nue, le premier ministre a déclaré que 1 ^conférence avait pour but d'examinei' que] seraient pour les Etats-Unis les meilleur •moyens d assurer à la Gr;indeH.breui^ne ' aux autres alliés une coilabor-'tion activa .Les deaix xiuestions suivantes appellent siu .tout une réponse urgente : * la question df forces armées américaines à envoyer a iront et la question du tonnage. 11 y ai rait le plus g and 'ntàrêt à savoir quan ies Etats-Un^-s pourront envoyer leur p^ mier million d'Hommes en France. La ni vigation britannique est complètement a seini^e de la direetion de l'armée. L'ai i ^emeni, de la positon des Alii. s dépen ^complètement du pomt de savoir quand J . programme des Etais-Unis relatif auix cozu icuCf-ions navales sera réalisé. Quand don Seront termines les 6 millions de tonnag qui avait été promis pour llJl6 V Le p"t vmier ministre ne doute piis que l'Ami--tijiu 'disposant de ressources indus tr cil.a inoi mes et de chantiers navals ou travailler des ouvriei-s experimeutes, étonnera J 'monde. Il insiste sur 1 imiportanco cousidt êable qui s'attache à la domination a'éi'ieanf 'et est d'avis qu-il se reaooiitrera parmi i, 'population américaiiMa des éléments qui pei mettront de créer des corps d aviateurs d première force. En ce qui regarde la quos'îion do l'aii meatition-, M. Lloyd George a donné au. dôlôgu s qui assistent à la conférence l'ai surance que les, privations les plus écergà ques seront imposées à la population br; :• tan-nique : ainsi arrivera-t-ou à aider pli» efficacement encore les Alii- 8 en augm&i: tant le tonnage réservé au transport oie troupes et des munitions sur les champs d bataille. 11 croit uu une CîjUaboralaon plu intime entre les Etats-Unis et ie3 puissai cûs> de l'ouest de l'Europe resserrera le blc eus et pouri'a exercer une press.on pis grande encore sur la vie économique dç Puissances Centrales. L J Dans sa réponse l'amiral Belson a dôcl^ nis sont fermement ' r#§| " ^lus à faire tout leur possible pour que tou lf« hommes puissant jouir de leur droit la vie, à la li :er£é et au bonheur. Le vEtatjs-Unis se soiat ralliés corps et âme à i guerre. Ils sont complètement d;accord ave f premier ministre britannique : ni leur Ressources, ni leurs navires, ni leurs hoco rA*:s, nî'Te'us en'ort^ ne f'orout méiiagés o vue (Tu "but à atteindre. L'amiral Bélson a donné ensuite des cj^ fails sur les travaux extraordinaires dôj Réalisés par les Etats-Unis et &ur ce qu'il eomptant faire encore nou sealement eu Oe qi (iioiicerne l'Instruction de 1 armée, la coh ■sjtruotiou des iui-vires et la fabrication de' munitions, mais encore pour ce qu' regara lès économies à réaliser sur les vivres et le :'îie5ure3 à prendre en vue d'assrarer liii ftrge développaient des services de l'avife t$on. | Après le discours de M. Belson, la C<% flrence a abordé la discussion des question l'ordre du jour. # * * Bruxelles, 21 novembre : Le ' Belgischer Kurier„ fait suivre cet ex posé du commentaire suivant : — Maints discours â tapage semblables celui de Lloyd George nous ont dès long , temps appris que les Alliés fondent des es pérances exagérées sur l'aide américaine. C que les Etats-Unis leur ont promis à oe égard ne s'est jamais réalisé jusqu'ici. Mêm les efforts que, contrairement au droit de gens, ils ont fait pour entraîner le tonnag neutre â se mettre à leur service et à corn hier les lacunes que les Alliés étaient inca pables de combler eux-mêmes, ont échoiu • '*râce à la résistance des neutres et à l'ex tension du barrage maritime allemand. Ni nous laissons pas émouvoir par ce nouveai bluff et attendons avec la plus entière tranquillité de voir si cette fois l'espoir dé mesuré de l'Entente se réalisera., Eitei; As m mp pm Berlin, 21 novembre. —- □fficief^:^ ' I>a comaMiuitcation suivante a été tro.ns mise aux gouvernements des puissances coalisés, des Etals neutres et des pays enno mis : Complément à la déclaration du 31 jnnviei I9l7 relative aux 1 zones navales barr es : I. — La zone barrée sera étendue, à du 22 novembre 1917, aux limites oi-aprè* indiquées : 1* Zone barrée autour de P Angleterre : (Suit la délimitation précisé du tracé d< cette zone.) 2• Nouvelle zone barrée autour du poini d"'appui ennemi des 5Jes Açores : (Suit la délimitation t-récise du tracé df [ cette zone.) - 3e Zone barrée dans la Médîterran-'e : [ Le canal ouvert tracé jusqu'à présent dant ' la Méditerranée efît englobé dans la zon< f barrée. II. — Lia sécurité contre les mesures militaires décret-es dans la zone barr e ne peui • être garantie qu'à partir du 1er'janvier 1918 ; dans les parages ci-après désignés en détail : 1* et 2° (Suit la topographie des dits pa. rages.) 3° Le? navitcs neutres et les navires du ; Comité de secours pour la Belgique qui, au (moment de la publication de la présent•> dé-: claration, se trouvent dams les portis rit-ég l'intérieur de la nouvelle zen^ tracée au-[tour des. îSes Açores et dans les- ports grecs. Isont autorisés à quitter ces régions, à con-îdition qu'Us partant avant le 2$ novem'r€ Set prennent la voie la* plus courte pour ga ^;uer la zone libre. Des mesures sont prises |>our que les navires neutres et les_navires du Comité de secours pour la Belgique qui « engagent dans les parties nouvelles des §îOnes barrées ccîiappent aux mesures militaires s'il est établi qu'il ne leur a pas ét^ ^possible d avoir oodnadssance des extensions ■décrétées. T^u'.efcis, il est conseillé 'in&feam. fment de prévenir d'urgence, par tous moyens, "les navires neutres et de Ioj faire changer 'de route. * u 3 la déclaratiaa ci-dessus d'un mémoire où il cm notamment : ^ — Les violences exercées par nos enne-£ mis à l'égard des neutres d'Europe 6e sont : Aggravées. Non conteuts de faire servir les s f navires neutres qu'ils ont pu saisir dans leurs ports ou en haute mer à combler les - J lacunes produites dans leur flotte marchande ] par nos so>us-marins et à alléger les risques 1 -■ de leur propre pavillon, les gouvernements 0; ennemis usent eu ce moment de nombreux moyens de pression, entre autres l'aggravation du blocus par lequel i-S exposent les e \ neutres à la famine, pour forcer ceux-ci à '• leur céder et à mettre à leur service les R navires restés jusqu'ici à l'ancre dans leurs ''"ports. La guerre que nous faisons en haute ' nier vise les .arrivages maritimes à destina- ■ ? • tion des pays ennemis et vise par consé-; ^quent aussi bien le tonnage de l'ennemi que: le tonnage qui travaille à son profit, Ce) -dernier étant oompiété grâce à l'emploi de; 'moyens violents, le gouvernement allemand,j a .voulant s'opposer à l'oppression que l'An-j gleterre exerce, au mépris de toute considé-^ ' ' : tion, pour les droits d'Cfl nations et surtout'. ° des peu tes, se voit forcé d'élargir le champs J d'opérations de ses sous-marins. Une extension est donnée principalement à la zone.. ij1 qui barre l'Angleterre vers l'ouest, en vue, s- d'atteindre le trafic de jour en jour plus 1 ' important de l'Angleterre vers cette dilrec-. '' tion; une nouvelle zone de barrage egt. tra-Icée autour dés îles Açores dont l'ennemi a ° : fait u'iie des bases économiques et militiiresr. u importan.^s de son trafic transatlanttiqme-. |Une autre extension enfin comjwrbe la feaf- 1 me îre, dans la Médiiterrant, du canal qna avait ^té laissé libre jusqu'ici pour b?s b^t soins de La Grèce, ce canal étant utilisé j***- u le. gouvernement vén^zéliste non pas pour ravitaillement en vivres de la population groeq-ue, ma;s plutôt pour des expéditions u (faibies et de munitions. JLa g-uerTQ navale '» Berlin., 22 novembre : îr On transmet de Londres viâ ^Rotterdam; -l au „Beriiner Lokal Anzeiger'' une dépêche e de New-"Yoxilx disant qu'un vapeur norvc-w giea, dont le nom est tenu secret, serait parti d'un port die l'Atlantique qu'on ne A nomme pas pour la Norvège,' emportant parmi passagers soixante-dix diplomates et 2 employés consulaires' allemands et autrichiens de l'Afrique du Sud et de l'Asie, v - compris un ambassadeur et un ministre plé-' nipotoatiaire dont les autorités américaines ■* ne font i?as conuaître les noms. - 9 * # Washington, 20 novembre : s Le département de la marine f^t savoir ■ que le contre-torpilleur américain „Chau-" coy" a coulé la ouït dernière à la suite b d'une collision dans la zone barrée.On croit K que vingt et un hommes ont péri S ù Londres, 20 novembre : s U Agence londonienne de la „Nippt»n ^ YuSfcçni KaMia" annonce que, le 6 novenu ■i- bre, le vapeur japonais ,,0saka ûlaru", chargé de tôles, a été coulé dams l'océan Indien par un croiseur auxiliaire ennemi. » L'équipage a tté sauvé. On croit que l'„Os.ika Maru" a été détruit par le navire s sur lequel se sont embarqués les marins du * „Seadler''. 5\ , —^ : W EM AMERIQUE ^ Washington, 21 novembre : ~ Le gouvernement a suspendu tons les Con- ? trats clo fournitures de guerre conclus avec j la llusoie, jusqu'à ce qu un gouvernement stable soit rétabli dans ce paye. * 3 * * New-York, 21 novembre : Le tribunal vient d'ordonner la saisie des ^ propriétés que l'ancien tsar Nicolas possède __ à New-YoiJi. Ce jugement a été rendu en faveur d^une comp.ignie américaine qui a cite le tsar ea justice eu qualité de repré-, sentant de la Russie;-ed le lui réclame 2 m illions SGO-.O0O doLars d'indemnité 6uus prête;-: te q,ue le contrat d© livraison qu'elle a conclu en l9l5 aveo lo gouvernem^it russe - a éfeô rompu sans motif. ♦ i Genève, 21 novembre : On mande de New- York : —■ La guerre civile s étant rallumée au f Mexique, M. Wilson a envoyé des renforts , à la frontière mexicaine. Les troupes de la } fédération mexicaine ont passé la frontière 3 et se sont rendues aux autorités américaines-** * ; Buenos-Ayres, 20 novembre : ' 1^ Président a décidé do convoquer un " Congrès dias Etats neutre? de l'Amérique ' latine. i L'offensive austre-allemande en Italie Paris, 22 novembre : On mande de Lugano à la ,tTaglichen Rundscha-u' ; — Une masse de réfugiés italiens ne cessent d'arriver des zones d'opérations dans riarérieur du p>ays. Sous menace de punition, le général Diaz a ordonne aux fonctionnaires civils de l'Etat et des oommunee de rester à leur poste aussi longtemps qu'ils n'ont pas reçu d'instructions formelles.« * » Milan, 22 novembre : Du „Corricre délia Sera" : — Depuis Asia-go jusqu'à la mer, la bataille devient de plus en plus violente. Les comtois commencent aussi à s'etendro à * l'ouest du lac de Garde. L'ennemi disposa ! d'impartants renforts qui attaquent sans relâche les points faibles du front italien. La [Ve armée résiste à cet assaut formidable, tandis que la lro armée défend le haut ] la- ' teau d' Asiago et que la II le barre la ligne du Piave. * ❖ * Milan, 20 novembre : Du ,,Corriere délia Sera"' : — Si les troupes des Puissances centrales parvenaient à faire une brèche dans nos ^ positions étn.blies entre la Brenta et le. Piave, les conséquences en seraient très gra-. ves pour le front italien." Le ,,Giornale d'Italia" écrit qu'il faut* .an-'ïer la marche en avant des troupes coa-| iisée? non seulement pour éviter de nom-# velle? pertes . te ritoriiles à l'Italie, mais! encore pour eu faire échouer les projets. 4 L„Idea Nazionale" estime que les ItflÉg lions doivent résister à tout p>rix., sinon ifrf seront condamnés à la décadence et à M misère pour un Siéc'e." * "* * tiJi Berne, 21 novembre : IjS On mande de Bome aux journaux: a|| Tessin : || ] -- Dans les couloirs de( la Chambre,!' bruit aourt que le Pape aurait proposé gouvernement italien de déclarer Veçfa : ville neutre. Le gouvernement italien se ; rait refusé à prendre cette proposition considération." COMMUNIQUÉS OFFICIELS Communiqués des Puissances Centrales* 04 011 .faîsa,°t avan<xr .des IV ^rvos exuaordinaiw. ^ iû«t* nnportaiiteS mass-'-cs en- oolonnc profondée, qui nou6 out refoulij dans tru« positiotu état>U<i Berlin, 22 novembre. —« Officiel de oe plus à l'crrièr© et où dos r'eerv«s ont paro l'af midi : X; fonsive d^e maffses britainiiiquas. nu / Théâtre rie la mierre à l'Ouest v p!i8 r T,68i à J« mania» suocès initial , . ., , . , . ûi\k« n olj0eilu et il a payé de p'-rtts extraivdimair*. . Armees du feld-maréchal prince héritier oxtm <lovJes. PJ-us, au sud, une forte eitt&qu# 3^upprecht de Bavière : ^ partielle ennemie, localement ILmifo a étô neit®, f.t En Flandre, le combat d'artillerie s'est meuit repouss © près do la ferni« te Guilleanoat;.. L borné à un feu de diversion, qui est de- le* Anglais i.ut lai^é 50 pris-mnâ-ïs oiiitro noa . venu plus violent le soir seulement enire mains. Une forte aitaque pardJl® ennemie, dirif^ il^oelcapelle et Passchendaele. à 6 h. 1/2 du soir # sur l'Oise, comr- nos poei. "i Au nord de Lens et au sud de la Scarpe, lion3 >tal>!ies pri-e d'Alainoourt, a subi 1© nrôtod I nous avons repoussé des attaques pronon- fc0rt î ede u est ocax>alée d'une maniiiro sau^liaisu cées par des détachements anglais. ^itlades et sous le fou de notre ojp- Près de Ri encourt, la forte recrudescence le reste du Iront à toueet, 1 ar.illerit du feu de l'artillerie, hier matin, n'a été a ;lQttve au nord de Soissons et à J'c« suivie que de faibles attaques anglaises qui anW u j i ^ i . se sont .écroulées sous notre feu l J» SU ^°,k 1B"' le? °"t Au sud-ouest de Cambrai, la bataille eoni MUvert iJ ^ S tinue En mei'ant en ligne des masses d'au-:- l6 uoveujLi» ' [wt allusion à ar*a dT°joS tomobiles blindées et de troupes d infanterie i du ftl l-marokal vau Hiudonburg plaiif aux C» et en lançant sa cavalerie à 1 attaque, 1 en- ;hernisa^ions sur 1© front- U est exact rue nemi a tenté de percer nos lignes à tout'1 ont plant:- des drapeau* blanos prè« à* prix, résultat que la. première journée de» leui* lignes et e0 sont approché de nos troa* son offensive ne lui avait pas donné. Il n.a ? oh' es en groupes. A esue occ&a«m, nos troupe* pas réussi. Il est vrai qu'il a pu gagner:': ont efSeOtivemeia donni aua liu^ses' d^s infoiœa». un peu de terrain au delà de noa lignes ] uon* sur la fâtuaaoni intérieure de la ltussie, qtal les plus avancées, mais il n'a pas atteint? caoliéa av©o 1© plue grand soin à larax# de résultat plus important. La contre-atta-russe. que de notre vaillante infanterie a atteint!; " " ®*~ - les formations ennemies alors qu'elles avaient^ Communiqués des armées alliées. été elficacement prises sous le feu de notre, A artillerie et de nos mitrailleuses et que leurslr t cj/n^i t> • rangs étaient largement éclaircis. Sur lai parf%u9 m™iqués de Pan3 n0 80nl P4" ? rive occidentale de l'Escaut, l'ennemi ni , / ' « battu en retraite sur Anneux et Fontaine, : V , * * tandis que, sur la rive orientale, nous lo,^ /"Onares, ^1 novembre. — Officiel ; i*ejetions dans ses positions de départ auf I Hier matin, notre II le armee, sous lea sud de Rummilly. Devant et derrière nos; ordres du général sir Julien Byng, a pro. lignes, les débris des automobiles blindées/ /honcé quelques attaques ontre Saint- Quenta* détruites par la canonnade parsèment tout; f et la Scarpe. Ces attaque^ ont ttô di^olait. le champ de bataille. Nos aviateurs et nos, oJlfes ^ p^paratiOT d'artiUerio CiuwoB automobiles armées de canons ont eu unej ,• .. ^ 1 , , v-uia/qu« part prépondérante à leur destruction. Aœ ' a été complètement ^urp.i*. crépuscule, les opérations se sont ralentie# - . 1111 j&rg* iront et sur une profonde®» sur le champ de bataille. Au sud de VencR variant de 4 à 5 mille3t nos troupes oe$ huile, l'ennemi n'a pas renouvelé ses at- pénétré dians les ^xysitions ennemies et owj ta^es- , . ■ fait quelques milliers de prisonniers ; ea Dans le secteur, du front situé au sud de outre, elles se sont emparées d uu certain Samt-Quentin, un important dctachement fran- uomluTA de onnmna MnD çais a pénétré dans notre première ligne5 il en a été expulsé par une contre-attaque* t . , . attaque sur le front d« v Armées du prince héritier allemand: ! on* n r^n^fA11^ « ^ &raû^ nombre de tank<( ?4^îi connexion avec l'attaque anglaise, les . ^ marc^e en avant de liufaun Français ont commencé à diriger de fortes ^ ont traversé les obstacles en fil attaques contre nos positions établies entre e er l^'belé do 1 ennemi établis »..>iida-Craonne et Berry-au-Bac; elles ont été pré- ment Mir une très grandie largeur. Passai cédées d'un violent combat d'artillerie qui a fians les brèohes ainsi faites nar les t&ni • sévi depuis l'aube tout le long de la joui- des rég-imenta anglais, écossais et .rliiidiuî née, avec de courtes interruptions. Au noiîl- OI1t mflîfncA w est do la Ville-au-Bois, les^ Français soht avant-post^ ennemis et ^ restés nichés sur un point. Dana les autres . ^ pares, sur tout le iront, uje toute Ifc secteurs, nous avons repoussé l'ennemi par pream^re position die défense de la iiginj notre feu et l'avons expulsé par des corps 'Imdenburg. à corps des endroits où il avait réussi à Conformément au plan établi, notre infaa* pénétrer dans nos positions. terie et nos tanks om conduit à avanctafc. Nos troupes ont exécuté des opérations ,1b ont oonquis la deuxième position de ci aPrd'=u un avion ^ ennemi, remportant ainsi sa vingt-deuxième 1 cube position constitue u& victoire aérienne. point d. appui de la ligne Hinctenburgi, An Sur le théâtre de la guerre à l'Est et pur °°tlrs de ieur marche ea avant, des troupes le front en Macédoine, rien de particulier à (le l'est de l'Angleterre se sont emparées, signaler. Le lieutenant von Eschwege a après un combat acharné, de Bonavis et tSa vife.t.lème ^tobB aérienne «n plaœau boisé qui s'étend à provimitj. Dn. descendant un ballon captll. , ^ents de tirailleurs et d iXtorielég,^ iront italien. s »e sont emparai de la Vacquerie et des oi». i Entre la Brenta et le Piave, dos tiraîl- vrages de défense établis sur l'éperon cona» leurs impériaux du Tyrol et des troupes du sous le nom de „Welsohe Kam". D'ai tues Wurtemberg ont pris d'assaut le sommet du troupes anglaises ont. conoiûs le village da Succia0 a ^ " CelUi dU m°nle Rlb6murt ^ «» passade t travers le Ixûa de Coutiet. Des bata*Uoog Berlinr 22 novembre. — 'Officiel a'hiër territoriau? ^ highlandei-» ont franchi ua soir : large ravin et pén^tri dans Flesquièrcs, où Sur 1e champ de bataille a.u sud-ouest <je 88 J^Vrent ^ violents combate. Cambrai, d'importantes forces anglaises ont territoriaux du West-Riding se sool attaqué de nouveau, à partir de midi. Lfes d Havrincourt et des tranchées allô, combats ne sont pas encore terminés. Au ,aa ?s au nord, du village, landag cours de l'après-midi, de vigoureuses a$'a- ?ue ^ }>ataillons de 1 Ulster, couvrant leur ques françaises se sont déclanchées sur la u0 fauc^6' . avançaient vers le nord l« ligne de front entre Craoune et Beriysàu- ,ô nvo occidentale du canal d=a " Bac. Dans l'Est, rien de nartioaJier. D'ka- ^0rd* i lnS tard dans la matinée, .notre mas. ' lie, rien do nouveau. " ' c ^^^nt a continué sur tous les points» m # aous avons rapidement progressé. Des batasl. ' Berlin, 21 novembre. — Officiel: Ions anglais, écossais, irlandais et duPay* Sur la oôto occidentale de l'Angleterre, :'e, ^aiie3 OQt franchi le canal près ua Ma«- un de nos sous-mai-ms a mrmvelleraent cjjuié lUiire8 ^ ®e sont emparés de Marcoing et <ia 12,000 tonnes de .jauge- Parmi les narres Nooiveau-Bois. détruite, il y avait le vapeur armé an^ais es. trOUPeS. West-Iliding, après avoip ,,The Marquis" ainsi que le vapeur fran- oon<lai8 Havrincourt, ont fortement avanoé : çais ,,Long\vy", armé et profondément chariré. a cailâ,l du Nord. Llles se son! + , ÎÇ emparées des villages de Grainçourt Vienne, 22 novembre. — Officiel de ce d'AnPc-LLX et ont conquis, en collaboration midi : a(v©a des troupes de l'Ulster qui op raient 4 A l'ouest du monte MeJetta., le» attaques ^ ouest du canal, toute la ligne allemand^ ? italiennes ont été ropoussôes par des contie- v^x6 no jusqu à la route Bapaume- attaques. cambrai. Entre la Brenta et le Piave, des tirail- r Des troni^es territoriales de l'ouest As. leurs impériaux du 1er régiment et de" trou- noas r® ont pénétré dan» les pos ti^na pes v?nrtembergeoises ont pris d assaut • le établie» à 1 est. Epi;hy. Iùntii monte Fontana Becca et îe monte Spiniic- Bullecourt et Fontaiue-les-CroisiilGS, de* cia. Sur le monte Fontana Secca, 1 n«6us trOUP€s irlandaises se sont emparées d'iia- avons fait prisonniers 20o aloins. portantes parues de la ligne Ki.idenburg. i fr'nir le théâtre de la guerre à l'Est et en , nombre prisonniers, des canins es,-Albanie, rien de nouveau à signaler. . ^ffnûl de guerre tombés entre nos + * + mains n a pu encore être établi. Sofia, 21 novembre. — Officiel : ' , U temps .}*** et caline a favori^ -rp . _ /1 • le® préparatifs de nos attaques s'est tranà- A i' cf > ?rî . îormé hier matin. La mat,, il a plu à verw A l'ouest de Bitolia et sur les deux rives eu Cft mnm«nt 1a vmit c^,r i * A , £Fl du Vanter, grande activité intermittente de% 6 moment' lô ^ eoufde en tempête. l'artil erie. ^ * ,f Entre la Czerna et le Tardar, trois avions nOTOal':,l'e' Officiel de i Àmi. ennemis ont été dssoondua au cours de coin. tt™ .3» bats aé.noi.s ; un quairitoe est tombé soue ^lSn0S f8 » fi le f,™ de notre artillerie dans la vallée de ™a} lo }8 no,e^bro' dan.a ^ M«'tcrrao^«, la strouma ' un sous-mann ennemi. Quatre officeo* ' Sur le front- do la Dobroixîacha, prés do * ^ homm® 0nt frt" [ Tulcea, feu de diversion habit!tel. i ♦ * | ^ \ Ilome, 21 novembre. — Officiel : .. . ri Hier, sur tout le front, grande activité d# / U l'artillerie. Noire marine S des mon^ du 20 novembre a ■ t'• suivi, te tiiatin, dans anglais ont efiicacement appuyâ nos op'ra-i r pion de Pfi.sschendn<lo rt au nord de ce vfl. Mens dans lo Secteur de la côte. |l.ige, d'un fcii roulnjnt qui a durà une h«uje ; L'après-midi, l'ennemi a dirigé trois ai. fniv.une attnfjùo A'infBijlerie lui a snco-Srfé. Simttl. .toques acharnées contre le monte Fortifia* tanéœent, les parties du front att«nain€B à co T!rw5 ,r,, n , „ secteur, au noixl de l' feng de BlAuJcaart et au fj10 au n^rd^Uest ^u. m<m®° Gracia, il « [sud jusqu'à la route Ypr-s-Moniu, oit t'!- prises repoussé chaque fois aveo do fortes ^>ep» Uous ur, vidant fôu j;ar Vitmiemî- La cnniarma e tcô. L'infant^ie ennemie na pas repria lit Fa ensuite diminii>6 dCintenshé jusque midi ; elle combat, sur le monté Tomba et sur le moalg t n'est rec»?venue intense que l'après-midi, couiro Fenara r.JT'SSUrïï.t M l'i* Nos aviateuis ont o^ttté d=s |(Mîjaer • 1-e -reu de Partillor.o eimon.ic a >ti «ur- efficaces. De nombreux combats né- violn it contre nos tranohéca t ittlies cn<re riens se sont livrés, au cours desquels nous iPodlcapelk et Passchendaele. avons descendu deux avions ennemis. - : '.n- Artois, npr 6 une intense pr '-paradiœn d'ar- |liijpj-ie, d'impoliants dr'tachomentfl c^rvmifl ont pris " *~ h'offekn eoortro -no«s positions établies A l'cet e; "• r r. 1 S19 •°n [au su«T de Me: eliy ; ils onlt> M réponds par. * a-côS ilifISSI0 '§ tout et ont ?ubi de îarès fortes pertc«. Le? pa. itroiwlloS onceoiie8 qui tâtaieni nos IjgfrteS euir ?es;? deux rives du canal de I-a e. au nor3 Ce ' Londres j -2^ novembre '• | Ijpnf, ont eu la même sort. La nuit, la canon-, J)e l'Agence JtteUter • nado est rast e violente et Un raddot^iégrammé ' russs «fllnmce qa» I ?,l novembre, à 1-atôS par de fortes aua,iu®ji , ,, • , ,/v j i ? d'arùîlejio. En rotinie temps qu'il prononçait ds gouvei, :emcnt maxinial^Hf a donné l attaques rti<,lt 6 dans la réfidoo de tonehy , ur® au Commandant rieur ue 1 arinésdsî 1 c . o.aîl lanj'ûit le 20 noverahye. à 7 beiarce du i se mettre en ràpprtfir a-/ee ies chefs mili-X nr t i, d'importantes foices à l'assaut de nos po j taires ennemi^ «t de Téltr-^frir la concl®»? sijious f't vUica im» Fontome-lM-CroisUies sion d'™,^iaùce dflM le VgOcW lvicsncourt; u a (t' g'n-Taletuicnt epoues> et r. , . - • " subi de très fortes pertes. A certain» endroits iXUX. ^ seulement il a réussi A oomper nos pr^mEres - » * Irainch'os. Simultan^imcint. sur le secteur du front Stockholm, 20 nov«nubre : qui 's'étend du nord d'Havtrinconit jusque Ban- D'après (JgS èilormatioins 5e source fiai, ta:^ mie foiinida-bia aîta^we mi - .ii e a été dé- .^«ndaise M. Lénine a déclaré mercredi £3 ctach» cr. tre noejMifane ; ell a Jtf mxHottx Ï^Tt qu'ii facj q n^uveUe ère ina» par de fortes musses de troupes ;-cheion.Ti' es er. , 1 , x [coloimeo profondes. Mettant Tn ligw de nem- ^ ^ Prolétariat russe aboutisse à 1* Jbreuix tanks et des masses extraordinairement ira- ^^lOtOire du socialisme dans Je monde 6D» ÈpoTlnnCes d'biomniCB et de mat 'trial, fenjifemâ a '«ier- jftent'j do ppreer nos ligne» dans la direction t^e ® — Sans cette victoire, a-t-il dit, les QU'OS. <pMnbr-ai. Nofcre feu do défense a fauché ac-s pro ®tions suscitées par la guerre ne peuvent êtrs wnfâres coIoan.es' d'attaqu» ; es Anglais oist eu. 1o £, Suite, «ue f. spucior de kn» perM. oonAK-, i... fr&ohMS. XI sera impo-ssible dompta te Knormeg vide? creu-^s dans leurs rangs par notre ,-f re*Our uC la guerre tant que le capitoluîm# Ion, d'u envoyant à l'attaque de? troupes Fraîches i ne sera pas terrassé. La révolution doit

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This item is a publication of the title La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie belonging to the category Gecensureerde pers, published in Bruxelles from 1914 to 1918.

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