La Flandre libérale

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s.n. 1914, 16 August. La Flandre libérale. Seen on 29 March 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/v69862d871/
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LA FLANDRE LIBÉRALE I^SOIVIVEMEIVTS RÉDACTION, ADMINISTRATION ET IMPRIMERIE ANNONCES BELGIQUE ? Fr, 2.00 ïw" wf iè.06 SAND, I, RUE DU NOUVEAU BOIS, 1,8ANB Poffif la ville eî ïes Flandres, s'adresser au bare&œ é& UNION POSTALE i Fr» 3.75 9.00 18.00 86«00 ABONNEMENTS ET ANNONCES > Il " RÉDA6TI0N ■■= îonrnaL — Pour le reste dn pays et 1 étranger, s airssMî à 9n t'ikinni aa fcumu du Journal et dans (oui in sureaux dt poaia Téléphone 322 11 Téléphone 13 ' Office de Publicité, rne Neuve, 36, à Bruxelles» T*y > LE GÉNÉRAI, LEMAN le glorieux défenseur de la plaoe de Liège Comment distinguer les aéroplanes militaires Types d'aéroplanes français et belges 1, 2 et 4 vtis de dessus. 3 et 5 vus de dessous. Tous les biplans français ou belges ont les ailes rectangulaires, ainsi que les petits plans de l'arrière. Les monoplans français ou belges ont les ailes rectangulaires ou légèrement arrondies. Types d'aéroplanes allemands 7,. 8 et 9 vus de dessus. 10 vu de dessous. Tous les biplans allemands ont les ailes en avant en forme de Y, c'est-à-dire c rejetées vers l'arrière aux extrémités. c Tous les biplans allemands ont les plans arrière en forme de cœur. Les monoplans allemands ont les ailes et la queue de la forme de celles d'un Pigeon. ' t LA GUERRE EUROPEENNE Que vont faire les Allemands? Reprenant une information du Soir, noua avons annoncé hier que les Allemands exécuteraient " un mouvement général vers Anvers et Bruxelles ". Le Soir déduisait cette nouvelle du fait que l'infanterie allemande s'avancerait de la Meuse vers Tongres et St-Trond, vers Diest et Aerschot, dans une direction très septentrionale au-dessus de Wa-remme.A ce propos, un confrère fait remarquer qu'il se peut que de petits corps d'avant-garde explorent la région en ce sens, mais rien ne permet d'affirmer que les Allemands commettraient la folie de se buter aux forts d'Anvers et de se faire prendie de flanc par notre armée de campagne.EN TOUT CAS, LE DEPARTEMENT DE LA GUERRE DEMENT LA NOUVELLE CATEGORIQUEMENT ET OFFICIELLEMENT.INTERVIEW DU LIEUTENANT GENERAL DEJARDIN Le lieutenant général Dejardin, le distingué écrivain militaire, interviewé par un rédacteur de 1' "Indépendance", sur 1 objectif des opérations allemandes dans notre paya depuis lundi dernier, lui a dit : " Les Allemands ont dessiné un mouvement tournant, en l'accentuant dans les journées de mercredi et jeudi, afin d'amener une retraite prématurée de l'ar-giée sur Anvers. " Grâce à l'énergie de nos troupes, à 1a valeur des soldats, à la tactique des chefs, ce plan a échoué. C'est pourquoi les combats livrés lundi, mardi, mercredi et jeudi ont beaucoup plus d'importance qu'on ne pourrait le supposer généralement." La, feinte allemande a été déjouée, la nation -rr'a, "été prise d'aucune peur, et les troupiers engagés se sont conduits avec une vaillance extraordinaire. " En menaçant nos lignes sur Anvers, l'état-major allemand voulait voir se rouvrir la ligne de la Meuse et permettre à ce qu'il appelle " l'armée de la Meuse " de reprendre sa marche en avant. " Tel a été le but de leurs opérations en Belgique depuis lundi, mais ils ont eu beau menacer notre ligne de retraite en , tournant ou plutôt en essayant de tourner notre gauche, leur tactique a avorté. C'est une démonstration stratégique ratée." La situation générale, ajoute le lieu- ■ tenant général Dejardin, est épineuse 1 pour les Allemands et continuera à l'être tant que leur armée du Nord sera sépa- 1 rée de l'armée de Metz. Il n'y a plus ac- 1 tuellement aucune liaison directe entre -elles, et ce développement de leurs rela- 1 tions stratégiques est "une cause de faiblesse". " ] LA TACTIQUE ALLEMANDE Le "Daily Telegraph" estime que la masse des troupes allemandes est corn centrée entre Liège et Luxembourg. 11 est d'avis que les mouvements de cavalerie au nord de Liège ont pour but de détourner l'attention des forces françaises et belges et, en menaçant Bruxelles, d'obliger ses défenseurs à consacrer de nombreux effectifs à sa. protection. L'ENNEMI SE REPLIE LES BELGES REOCCUPENT DIEST. La nuit de jeudi à vendredi a été calme a.u camp belge. Les Allemands n'ont tenté aucune attaque contre nos troupes. Des alertes se 6ont produites à Oirbeke, la nuit avant-dernière, à 11 h. 30, 12 h. 30 et 1 heure, les sentinelles ont tiré sur deux uhlans probablement égarés, mais ceux-ci n'ont pas été atteints. La situation des troupes belges est excellente. Les reconnaissances faites à longue distance des camps par les estafettes n'ont découvert aucune troupe ennemie. L'ennemi s'est replié, croit-on, sur le gros de l'armée. Les troupes allemandes qui avaient occupé Diest se sont retirées et vendredi matin nos troupes ont réoccupé la ville. LA SITUATION L'état-major général a communiqué, vendredi soir, à 6 heures, à la presse les renseignements suivants : " Aucune opération militaire n'a eu lieu aujourd'hui. Des patrouilles de cavalerie allemande battent les régions situées sur une ligne allant de Beverloo à Huy. " UNE BONNE MESURE Le département de la guerre nous a adressé ce communiqué officiel : " Etant données les dispositions actuelles des armées françaises, anglaises ot belges, le ministre de la guerre a décidé que l'intérêt supérieur du pays commande de ne plus faire le moindre communiqué qùant aux mouvements des trois armées." Le gouvernement compte sur le pa-^ triotisme de toute la presse, sans excep tion, pour que le silence le plus absolu soit observé, en ce qui concerne les opé-I rations militaires. " ENGAGEMENTS Un engagement s'est produit, vendredi, vers 10 h. 30 du matin, à Vessenac-ken, au nord-est da Cumptioh. Deux compagnies cyclistes allemande», 1 soit 250 hommes, furent aperçues. Une - compagnie de ligne, en se dissimulant, se porta à la rencontre de l'ennemi. [ Lorsque celui-ci arriva à peu de distance de nos troupes, le feu fut commandé. Les cyclistes allemands battirent immédiatement enl retraiteL L'ennemi a eu une cinquantaine de tués. Nous n'avons eu aucune perte. , A Borst, près de Tirlemont, la nuit j avant-dernière, le deuxième ban de la 1 garde civique tirlemontoisa était de garde lorsqu'une centaine de uhlans s'ap-5 prochèrent. La garde civique tira sur l'ennemi qui battit en retraite. : LES ALLEMANDS AURAIENT EU 3000 TUES AU COMBAT DE HAE- LEN. S'il faut en- croire des renseignements parvenus à l'état-major — mais que ce lui-ci n'a pas contrôlés officiellement — les pertes des Allemands à Haelen ont " été terribles. Us auraient eu 3,000 morts. ^ Il y a autant de chevaux tués. On essaie ^ d'enterrer tous ces cadavres au plus vite. 3 Comme la putréfaction des corps est ra-1 pide par les chaleurs que nous traversons, il est probable qu'on devra faire " des bûchers. \ LA GROSSE ARTILLERIE ALLEMANDE DEVANT LIEGE i 3 Les Allemands étaient parvenus à in-i staller devant les forts de la rive droite - de la Meuse, à Liège, quelques pièces de leur lourde artillerie de siège. Le tir extrêmement précis de nos artilleurs est parvenu à détruire successivement toutes le ;>ièces avant Qu'elles aient pu nuvijs le feu. Les coupoles et les défenses des forts sont absolument intactes. LE ROLE DES UHLANS. Un da nos confrères vient de retrouver fort opportunément un passage d'une histoire de la guerre de 1870, expliquant la ruse des Prussiens dana l'utilisation des uhlans : " Le célèbre chef allemand de Moltke avait envoyé en reconnaissance et dispersé un millier de ces cavaliers. Il les jugeait perdus ou à peu près, et, de fait, ces soldats étaient égarés dans le pays. Mais on oomprend combien leur présence, signalée à la fois dans une multitude d'endroits, devait épouvanter les populations françaises, entraver l'organisation de la défense et, enfin, tromper les généraux de Napoléon III sur les mouvements réels des armées allemandes. " Il n'en est plus de même aujourd'hui. Nous connaissons la tactique, nos troupes abattent les uhlans avec sang-froid et s il devait être question de panique, I ce seraient les cavaliers allemands qui la ressentiraient bien plutôt que les petits Belges. A PROPOS DU GENERAL LEMAN. SOUVENIRS. Le hasard nous fait tomber sous les yeux, dit l'"Even.tail", un palmarès de , l'Athénée Royal de Bruxelles, de 1866, l'année de la guerre austro-prussienne, i Nous y relevons en seconde scientifi-que le nom de "Georges Léman, de Liège", qui obtient le prix de langue fran-, çaise, le 1er accessit d'anglais, le 2e ) accessit d'histoire et de géographie, le : 1er prix de mathématiques, le 2e prix de dessin, le 1er accessit d'application, et enfin le 1er prix général. C'était le futur défenseur de Liège. Un de ses condisciples d'alors nous 5 dit: "Il révélait alors déjà de remarquables facultés en mathématiques, et ) 1 on disait de Léman qu'il eût pu renouveler le tour de force de Pascal, qui, ; seul, à douze ans, avait trouvé les pre-i miers théorèmes de géométrie. C'était un fort garçon, taciturne, un peu brusque, qui, lorsqu'on l'ennuyait, tapait duir sur ses camarades qui le gênaient. Il était tenace et rien ne faisait faiblir une , volonté indomptable". On voit que l'homme n'a pas démenti l'adolescent et que les qualités en germe 5 se sont logiquement développées. LE VAILLANT DEFENSEUR DE LIEGE " La général Léman, l'héroïque chef i de la défense de Liège, a déjà conquis pour lui-même une place parmi les soldats les plus éminents de l'Europe. Il , sera pour l'Histoire l'homme qui arrêta l'empereur qui pensait que rien ne pour-3 rait l'empêcher de faire rouler son puissant char triomphal, sa triomphale machine de guerre, droit vers Paris. Le kaiser avait compté sans le patriotisme d'une des plus petites parmi les nations. ' ' C'est ainsi que le "Reynold's Paper" - parle du général Léman. Le martyre des habitants de Linsmeau Voici la copie d'un rapport officiel: " C'est en proie à une violente émotion que je vous transmets les détails atroces d'une scène d'une sauvagerie inouïe dont les soldats allemands furent les auteurs, le 11 août, lors de leur passage à Linsmeau, petite localité qui se trouve sur la grand'route de Tirlemont à Hannut, à quelques kilomètres de Landen. " Quelques hussards allemands se trouvant en reconnaissance dans la contrée avaient été surpris par une patrouille de soldats belges qui leur avaient tué un officier et fait prisonnier un soldat. Nos soldats ayant reçu l'ordre de se replier sur Tirlemont, un détachement de 300 à 400 uhlans se présenta alors à Linsmeau avec trois mitrailleuses. Ils accusèrent les habitants du meurtre de leur officier. Or, il est établi de la manière la plus formelle qu'il n'y a eu aucune manifestation hostile de la part des habitants. " Le premier habitant qu'ils virent était un jeuine homme, ils le passèrent immédiatement par les armes, sous prétexte qu'il était un espion. Un voisin subit peu après le même sort. Dans une autre maison, ils ont égorgé l'homme et la femme et, mettant le feu à l'habitation, lancèrent les deux cadavres dans les flammes. Détail horrible: le fils assistait à cette scène atroce, mais ils ne lui firent aucun mal. " Les brutes, continuant leurs exploits, incendièrent dix fermes, tuant encore deux personnes. Dans les autres maisons, ils détruisirent tout, prirent les provisions et emportèrent les mobiliers dans la campagne. " Us rassemblèrent alor- ce qui restait de la population masculine et firent aller prêter serment sur le corps de l'officier tué qui se trouvait en pleine campagne. Durant ce trajet, les officiers allemands commandaient à nos pauvres compatriotes de se coucher à terre, de se mettre à genoux, recommençant ce manège bien souvent. Ceux qui n'étaient pas assez agiles pour obéir, les soldats teutons les piquaient avec leurs baïonnettes. Un des nôtres qui avait voulu se sauver au cours de ce véritable calvaire fut frappé de deux balles et vient tfy snceraqber. L^ TTaTVîtâ'n'ïs Turcn1- '(romis prÎF' liftiers pendant une bonne partie de la nuit. Les Allemands firent preuve d'un cynisme épouvantable. Us demandaient aux habitants s'ils avaient déjà été en aéroplane et, les faisant passer devant la gueule des mitrailleuses, ils leur disaient que dans un instant ils allaipnt s'envoler en morceaux dans l'e^aoe. Us les mettaient en joue avec leurs revolvers et tiraient de façon à ce que la balle n'effleurât que les oreilles et emportât oelles-ci. Pendant toute cette scène ignoble, un officier répétait continuellement en français : "Il faut les fusiller tous, c'est la loi." " Ils lâchèrent enfin ces malheureux, sauf fune dizaine d'habitants, dont le garde champêtre. Ils attelèrent ces derniers à leurs mitrailleuses, les mains en croix. Quelques-uns ne pouvant suivre, furent attachés par les pieds, leur tête heurtant le pavé. Inutile de dire les souffrances atroces qu'ont dû supporter ces martyrs de la sauvagerie germanique. " Le bilan de cet affreux carnage se résume donc en huit morts et dix dont on ignore le sort. " Dans un village voisin, les Allemands ont fusillé trois hommes. Pourtant dans la contrée les habitants 'eur donnaient tout ce qu'ils demandaient. Le bourgmestre, (signé) MINSART. " p. S. — Les dix personnes dont on ignorait le sort ont été retrouvées, jeudi matin, deux jours après Vagression ; elles avaient succombé à la suite des mauvais traitements dont elles avaient été l'objet. Le corps du garde champêtre n était qu'une véritable bouillie." Aux civils Le ministre de l'intérieur recommande aux civils, si l'ennemi se montre dans leur région : De ne pas combattre ; De ne proférer ni injures ni menaces ; De se tenir à l'intérieur et de fermer les fenêtres, afin qu'on ne puisse dire qu'il y a eu provocation ; Si les soldats occupent, pour se déïen-dre, une maison ou un hameau isolé, de l'évacuer, afin qu'on ne puisse dire que les civils ont tiré ; L'acte de violence commis par un seul civil, serait un véritable crime que la loi punit d'arrestation et condamne, car il pourrait servir de prétexte à une répression sanglante, au pillage et au massacre de la population innocente, des femmes et des enfants. LES COLLECTIONS DE NOS MUSEES La commission des Mu s royaux a 1"; ;t mettre en sûreté, à Biix\;les, les princ' pales toiles de la galerie ancienne. Les plus précieuses, telles que 1' "Adam" et 1' " Eve "j de Van Eyck, le " Martyre de St-Liévin ", et d'autres chefs-d'œuvre de Rubens, sont déposées dans des caves à double voûte, à l'abri de toute surprise et de tout coup de main. ! LE ROI ET LES MEDAILLES MILITAIRES FRANÇAIS M. Poilpot, président général de la Société des médaillés militaires de France, a adressé à S. M. le roi 'les Bel-ion Kee> par l'intermédiaire de la légation >ceB de Belgique, le message suivant : ont « ^ ga Majesté Albert 1er, lTS> Roi des Belges, ns- . • la " Pénétrée de la plu» cordiale admi-, à ration pour l'héroïsme la glorieuse armée belge et pour 1 • prit martial ou_ dont Votre Majesté avi '<• encore son ,r£e courage, la Société des médaillés militaire res de France sollicite comme une fa-of. veur dont elle serait éminemment fière, tfos l'autorisation d'inscrire S. M. Albert 1er fier parmi ses membres d'honneur, tous jus- 0 à qu'ici généraux ou amiraux français. eau Elle le prie d'agréer l'assurance de sa les profonde gratitude avec l'hommage de ier. ses plus respectueux et plus dévoués senior- timents. " A l'étranger îm- W xte LIEBKNECHT ET ROSA LUXEMBURG peu iai- FUSILLES ? ^"1® Le " Daily Citizen " affirme que Lieb-knecht et Rosa Luxemburg ont été fu-,. ' aillés à Berlin la semaine passée. *nn (N- D- L. R. ). — Nous reproduisons cette nouvelle pour ce qu'elle vaut. ïts AVIATEURS ALLEMANDS orè FAITS PRISONNIERS iai- On mande de l'île de Schiermonnikoog les au "Handelsblad" que deux officiers de u-rs la marine allemande partis vendredi matin en aéroplane de l'île de Borkum, ont ait dû atterrir sur la plage de Schiermon- al- nikoog à cause d'une panne. Les officiera ffi- °nl- été désarmés et conduits au village. fit — îet- a gnerre franco-allemande dans l'Est ons Un «j» au opé DEUX CORPS D'ARMEE ^ DE TROUPES D'AFRIQUE Les Les opération; de concentration des sme troupes d .ilgéW'fe et leur transport en ibi- France sont complètement, # *>minées. Le &ne bombardement de Bône et de Philippe- ,ule ville par 8 croiseurs allemands n'a eu :jue aucun effet et la mobilisation, la concen- en tration, le transport et le débarquement ent en France se sont effectués avec le même ent ordre, la même méthode et la même ré- :|ue gularité que pour les corps d'armée de ant la métropole. ré- Actuellement, les troupes d'Afrique, "Il composées en majeure partie de tirailleurs indigènes, sont réunies dans la ré-ux, gion de Belfort. Elles forment environ le deux corps d'armée et sont prêtes à parler- ticiper aux opérations formidables qui en vont commencer. ?®' ADRESSES DE SYMPATHIE DES ;uf. CONSEILS D'ARRONDISSEMENT ces FRANÇAIS Tous les conseils d'arrondissement, réunis actuellement en session ordinaire, t>n*; ont voté à l'unanimité des adresses exprimant leur admiration pour les vail-ads lantes troupes françaises et leur vive ms sympathie pour les armées des nations ent alliées. LES ITALIENS RAPATRIES ' ACCLAMENT LA FRANCE on 2,500 Italiens rapatriés sont passés à [UU Laroche-sur-Yon, jeudi, venant de Nan-ijos tes. A la gare, des aliments leur ont été a,s distribués et les enfants malades ont été ;et. soignés par des médecins et des infir-aj^ miers de la Croix-Rouge. Les Italiens ont quitté la gare en acclare' :.t tous la France et en criant: "A bas l'Autriche!" ^ La guerre austro-russe ide uns • NOUVELLE VICTOIRE DES TROUPES RUSSES EN GALICIE. 4 régiments autrichiens mis en déroute es ' Pertes importantes. — Un régi-ner ment de lanciers anéanti. 're L'état-major général russe publie le communiqué suivant : en- " Dans le combat de Sokal, la cavale-jje rie russe a débusqué, d'une position forme tifiée, les régiments du 5e lanciers, 3e 1 hussards et une partie du 15e dragons, et deux bataillons du 55e d'infanterie. Les eul soldats de la Landsturm, qui défendaient la la forêt de Sokal, ont pris la fuite, sans car attendre l'issue du combat. Les troupes russes continuent la poursuite de l'en-re° nemi. ias- " Le même jour, les Russes, tout en maintenant le contact avec les Autrichiens, ont anéanti à Hignat, le lie régiment de lanciers, entre Sboraz et Sinia-ILS govka. " La cavalerie russe, ayant constaté un :t mouvement de six compagnies et de deux escadrons autrichiens, les a attaqués Les immédiatement et a sabré une compagnie et du 35e régiment de la Landwehr. yre " Les tentatives autrichiennes, faites eu- pour approcher du camp russe au Sud de des Sboraz, ont été repoussées par l'artille-ute rie russe, qui a causé à l'ennemi des pertes importantes. 40* innée — Dimanche 16 Août 1914 QUOTIDIEN. -10 CENT. I. 228 — Dimanche 16 Août 1914 &

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This item is a publication of the title La Flandre libérale belonging to the category Culturele bladen, published in Gand from 1874 to 1974.

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