La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1916, 12 August. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 18 June 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/9p2w37mq1w/2
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LA MÉTROPOLE IONE^PENNY FBOW: CV'5|SIME j «^/enI: DIX CENTIME! PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRTli Bureaux: 43, Chancery Lane, W.C.—Téléphone : Holborn 212 ABONNEMENTS : 1 mois, 3 sh. ; 3 mois, 9 sh. Etranger 1 mois. 4 sh • S mnis 19. ah 23ME ANNE] SAMEDI 19, AOTTT IQI« * sn. ; à mois, 12 s No. 224 LA GRANDE GUERRE CALME DANS L'OUES ■fADORNÀ CONTINUE LA POURSUIT I f\ h#itaillp dp Stariiclfli ■ Après la chute de Gorizia (Gôrz), bu Bje quinze mois d'efl'orts et de perséve ■Lee héroïque, l'armée italienne pour Huit l'ennemi au delà de la forteresse. L Sombre total des prisonniers renseign ■ jusqu'ici est de 12.330 et l'on s'atten* ■à ce que le total monte jusque 15.000 Ke nouveaux points solidement fortifié ■ont été capturés sur le plateau du Carsi Eus au sud, et de cette façon le généra ■Cadorna approche de plus en plus d ■ Les hauteurs de Monfalcone, que no; Hmis italiens ont capturées depuis plu Sieurs jours, sont au nombre des posi ■ions les plus fortes qui défendent, ai ■ud-ouest, ce terrible plateau du Carso ■la plaine âpre et nue qui s'étend, coupéi ■d'innombrables gorges et comme seméi ■de masses rocheuses, depuis Gorizia jus Hqu'à Fiume. ■ 11 faut se figurer le Carso comme ur Bmmense camp retranché en arrière d< ■Trieste, rectangle allongé dont l'Isonzc Mforme le côté occidental, et le golfe d< Rnume, l'oriental1: Au sud, la mer et h Kéninsule d'Istrie; au nord, les contre-■forts des montagnes de Carniole et des HfUpes Juliennes, dont les pentes oppo-^Kées descendent vers la vallée de k ■ Le bastion du sud-ouest, c'est Mon-Hilcone, bastion à plusieurs tours, cote-■jet 121; d'autres encore, en avant de ■la montagne des Six-Bœufs (Sei Buoi). Hoii resplendit, comme un bijou dans ur Hkrin ouvert, le petit lac de Doberdo. ■ On rencontre de ces lacs minuscules Bdans les sierras d'Andalousie; on les y Hppelle " les yeux de la montagne ■ La ville de Monfalcone est une sta-Hion sur la voie ferrée d'Udine à Tries-■e, la dernière avant d'arriver au golfe ■le Fanzano, renfoncement du golfe Hje Trieste, au nord de la pointe fameuse ■ Le résultat des opérations de ce der-■uer mois a été de reprendre la grande ■artie de territoire italien temporaire-■nent perdu, de sauvegarder les troupes ■ontre un nouveau coup du général von ■loetzendorf, de menacer les Autrichiens ■eut le long de leur front et de les obli-■pr à retenir dans le Trentin des forces B'us considérables qu'ils ne pouvaient ■r retirer du front de Russie ou du ■Trentin. De façon vraiment remarquable Italiens ont gardé l'initiative pendant ■out ce mois, sans perdre un pouce du ■wain repris en dépit des efforts les plus ■considérables des Autrichiens. I Pendant la première semaine de juil-■et ! avance italienne rencontra une ligne ■principale de défense entre l'Adige et la ■jrenîa solidement fortifiée et protégée ■;r 'le nombreuses batteries; les Ita- ■ occupaient la ligne de Valmorbia Kl 'j1 î®te sud du Monte Spil, dans le Sa I '"S s ernPar^rent de Griso, sur ■ "Sie de Posina et arrivèrent ainsi Kr" les pentes méridionales de Monte Br"0' Dans la vallée de Sugana l'ar-1,5 f'e Cadorna occupait les pentes de B °nte Civarota, au nord de Caldiera et ■ans le But supérieur elle s'empara du ■(je""1161 Zellonkopel et en resta maî- Depuis ce moment l'avance continua répit et elle s'est terminée voici e ques jours par l'éclatante victoire |u®1 °n connaît. j Ur 'e front britannique, dans l'ouest ■'tuation n'a subi que très peu de montions. Dans la région de Pozières 1 combats acharnés ontinuent, et les |i„ ens y ont avancé à la pointe de bonnette leurs lignes sur une dis-®ce de 200 mètres. |(U|Ute, cette région n'est plus qu'un ou V tranchées et de petits postes LW ne peuvent qu'être très Lu 'l a f°is et où l'ennemi contre-at-I Aut S°UVent et énergiquement-■Pas nt?!Ir i6 Guillemont la situation n'a an§'é, et les troupes ne font qu'y t pousser des pointes au delà de la lign générale d'avance. Au nord de la Somme et dans le sec s teur de Thiaumont la journée a été ca é me, le mauvais temps continuant à er i traver les opérations. Au nord de Her les Français ont fait une nouvelle avanc s et ont ramené une centaine de prison } niers, tout en capturant une demi-dot j zaine de mitrailleuses. L'avance sur Stanislau, en Galicie continue avec rapidité et au momen d'écrire, les armées du général Letchis ' ky ne se trouvent plus qu'à un bon kilo mètre de cette importante jonction d voies ferrées. Une bataille décisive doi 1 y avoir commencé. Il n'y a plus que 1 > cours du fleuve Bystrzyca qui sépare le : deux armées et l'ennemi a établi ses po i sitions le long de la rive occidentale su une distance de trente kilomètres au sut de Stanislau. 1 Cette ville occupe la même situatioi i dans le sud par rapport à Lemberg qui > Kovel dans le nord, et constitue le cen : tre stratégique principal de cette parti* l du front. A une vingtaine de kilomètre: au delà se trouve le grand pont sur 1< ; Dniester, à Halicz, qui donne accès i l'arrière de l'armée de von Bothmer e que les Autrichiens ont déjà détruit, il 3 a deux ans. Tous les ponts sur le Bystrzyca on été détruits dans l'attente de l'attaque russe et les Russes se sont emparés di nœud de voies ferrées secondaire de Chryplin, tout près de Stanislau qui contrôle les trois lignes de chemin de fei qui viennent de l'est. En vue de se préparer a la retraite au sud du Dniestei l'ennemi a dû se rejeter de huit kilomètres au nord de la Zlota Lipa, une ligne de défense solide sur laquelle les Russes ont résisté à l'avance en Galicie, l'année dernière. Mais cela ne l'a pas aidé de beaucoup, les Russes ayant traversé à gué la rivière à de nombreux points et tous les ponts ayant été détruits. Dans la Galicie du Nord le général Sakharoff a repris son attaque sur le front de Brody, et il a fait jusqu'ici i.ioo prisonniers. Ce qui se passe au Monténégro Un Monténégrin écrit au Journal de Ge-nève : Le gouvernement austro-hongrois a marqué un certain nombre de personnalités influentes qu il fallait a tout prix interner. Il y a déjà un mois il avait commencé son œuvre par le général Véchovitch, mais celui-ci lui a échappé en s'enfuyant dans les massifs montagneux de l'Albanie. La fuite du général Véchovitch a eu pour conclusion comme vous l'avez déjà annoncé, la pendaison d'une innocente victime. La vengeance est tombée-sur son frère. Le jeune étudiant en droit V laïko Véchovitch est allé grossir le grand cortège des martyrs serbes, et sa mort devait servir d'exemple terrifiant à la masse populaire de ces contrées, qui ne connaissent pas encore la mort sur l'échafaud qu'elle considère comme ignoble et indigne! " Un brave ne peut mourir que d'une balle " dit le dicton populaire. Apres quoi les autorités austro-hongroises ont convoqué à une réunion les représentants populaires les plus en vue et les ont expédiés sous la garde d'un bataillon, jusqu'à la forteresse de Cattaro et de là en Hongrie. Suivant les brèves nouvelles du télégraphe, parmi les internés se trouvent 280 officiers, trois généraux et deux anciens ministres. Ceux qui connaissent la vie patriarcale du Monténégro et l'amour qui unit les familles et les tribus à leurs chefs et représentants, peuvent seuls concevoir la blessure mortelle que 1 ' Autriche-Hongrie a, de ce chef, faite à ce pauvre peuple, dénué de tout. Ses chefs, ses soutiens sont emmenés en captivité, pour l'unique raison qu'il puisse, lui, paisiblement mourir de la plus horrible mort,—la faim. Et ces chefs et représentants se sont laissé emmener uniquement pour épargner à leurs cadets la mort sur l'échafaud. Ce peuple, à l'héroïsme et à la chevalerie duquel, naguère encore, le monde entier adressait des odes, tombe, meurt et n'est plus mentionné dans la presse européenne. 1 Les secours pour laBelgiqm La question des secours pour la Belgi que a fait une nouvelle fois l'obje d'une interpellation à la Chambre de: > Communes. M. E. Cecil (Unioniste ( député d'Aston Manor) demanda si 1< gouvernement avait la garantie que le: fonds du " National Committee for Relie: in Belgium " étaient réellement employé: à secourir des Belges loyaux dans la partie occupée du pays et non des Allemands ou des Belges travaillant pour l'armée allemande. Lord Robert Cecil (ministre du blocus) répondit ce qui suit : La réponse aux deux parties de la question est dans l'affirmative. L'œuvre fonctionne à présent avec des garanties satisfaisantes, couvrant tous les produits alimentaires domestiques, dans la " zone d'occupation " sous le gouvernement civil qui comprend la plus grande partie du territoire. A certains points de vue se présentent encore des violations par les Allemands, mais les représentants des Etats-Unis, de l'Espagne et des Pays-Bas à Bruxelles, en leur qualité de membres protecteurs de la " Commission for Relief prennent des mesures énergiques, et les Allemands se rendent bien compte que la continuation de ces violations mettra toute l'œuvre en danger. Dans la zone militaire d'étapes comprenant la Flandre Orientale et la Flandre Occidentale et dans les provinces françaises la question de 1 approvisionnement domestique a été mise sur une base nette par la demande faite par les gouvernements alliés que le produit de la prochaine récolte soit réservé à la la population civile. Cette demande se fait, et se fera, avec une pression énergique. Dans tout le territoire, le gouvernement de Sa Majesté a la garantie que les vivres importés par la " Relief Commission " ne courent aucun risque de mainmise par l'ennemi. M. Pringle (Radical, Lanarkshire, N.W.). La Commission ne dégage-t-elle pas indirectement des approvisionnements qui peuvent être à 1 avantage des Allemands ? Loicl R. Cecil. Je ne voudrais pas dire que cela n'arrive jamais, parce qu'il est imprudent de parler de? façon absolue, mais je crois fermement qu'en général la Chambre peut accepter l'assurance que les précautions prises sont satisfaisantes. M. Wardle (Travailliste, Stockhort). N est-il pas un fait que les Allemands déportent des femmes de Belgique ? Lord R. Cecil. J'ignore jusqu'à quel point ce procédé a été appliqué à la Belgique. Il a été appliqué dans la partie occupée de la France et il en est résulté un état de choses terrible et scandaleux. M. A. S. Benn (Unionist, Plymouth). Pouvons-nous admettre que le gouvernement a toujours ses apaisements quant à la remise des fonds recueillis par la " Relief Commission " à une commission neutre pour être distribués ? Lord R. Cecil. Le gouvernement a 1 assurance que cela peut se faire. Nouvelles menaces pour la Belgique Dans un article approuvant (naturellement) les procédés criminels employés contre les habitants du Nord, les Hamburger Nachrichten ajoutent : "On peut avoir des idées aussi humanitaires que possible, cela n'empêche pas d estimer absurde de dire que nous avons le devoir de nourrir les populations abandonnées par leur gouvernement. Au contraire, maintenant que l'Angleterre prohibe l'importation des matières alimentaires dans les territoires occupés par nous, nous avons non seulement le droit, mais le devoir de chasser les populations ennemies de leur pays. En réalité, nous avons fait preuve non seulement d'humanité, mais d esprit de sacrifice en permettant aux Belges et aux Serbes de vivre dans leur pays, pendant que leurs armées combattaient contre nous et après que leur gouvernement les avait abandonnés... Si nous avons réellement appris à faire abstraction de tout sentimentalisme, il faut espérer qu'une politique résolue et unanimement approuvée, en ce qui regarde le ravitaillement des Serbes et des Belges, nous rapprochera de cette paix que nous désirons." On mande de Kiel que le Kaiser a conféré l'ordre pour le Mérite au prince Henri de Prusse, son frère, qui commande la flotte. 1 La journée verte ou l'ombrelle de Liselotl Une dame boche, qui signe Liselot dans la Gazette de Francfort, s'en est ail 5 faire un petit tour à Bruxelles. Elle y ; eu une aventure charmante. C était la fameuse " journée verte > ce jour de la fête nationale où il éta convenu, entre Bruxellois, d'arboré • sous quelque forme que ce fût, la coulei de 1 espérance. Mme Liselot te, en quali de Boche et de voyageuse de passage, ign< rait la convention. Elle possède une on brelle verte ; et, comme le soleil éclaira radieusement ce jour d'espoir et de colèn elle sortit dès le matin munie ele son par£ sol. Dans la rue elle aperçut des dames qi clignaient de 1 œil en la regardant ave une douceur dont les visages belges h semblaient avoir perdu le souvenir. Dan le tramway, des messieurs fort bien h lancèrent des œillades qui la mirent trè mal à 1 aise, car Mme Liselotte paraît êtr une dame vertueuse. Enfin les petits si gnes d intimité et de complicité devinren si nombreux, si pressants, que la dame : 1 ombrelle verte, ahurie, demanda de explications. j Horreur ' Elle avait manifesté pour L déliviance du sol belge ! Elle avait pri parti contre 1 administration, contre l'ar mée, contre 1 Empereur, contre le diei allemands ! L'aventure a beaucoup amusé les Bru xellois. Les Allemands l'ont trouvée moin: drôle. Quant à Liselotte, on dit qu'à soi prochain voyage elle surveillera sa toi lette et se tiendra dans les tons neutres. Mftximilien Harden donne des signes de détresse Il écrit dans la Zukunft : Sur tous les fronts fait fureur une bataille telle que jamais aucune ne secoua l'humanité Chaque minute, le blême moissonneur fauche un . s nôtres. Chaque heure détruit ic millions ^ de fortune allemande. Et l'enne mi ne veut pas la paix ! Pas une voix ne 1e reclama au Sénat de la République française Fendant six jours, temps qu'il fallut ar Createur pour faire le monde, les vénérables, dans la salle close où jadis trôna Marie de Médias, ont délibéré et soulevé tous les voiles. Et le soir du sixième jour, ils exprimèrent leur confiance... La France croit de nouveau à la victoire. Et croire que sa foi chancellerait, si Verdun, d un côté de la Meuse, ou la ville entière, était pris, est un conte agréable mais faux. ... Si Lloyd George s'est laissé convaincre et a accepté la lourde charge, dont Kit-chener lui-même sentit le poids, c'est que la certitude de la victoire est enracinée chez lui, la certitude que son pays, même si l'offensive actuelle devait ne pas produire de grands effets, s armera plus formidablement encore de mortiers, de longs canons, de corps entiers de mitrailleuses, de gaz, de bombes, poussera la guerre industrielle à un point inouï et ne s arrêtera que lorsque lui ou l'ennemi râlera. ... Nous n'aurions la paix cet été que si nous étions prêts à avouer notre culpabilité et à faire pénitence. Pour la Quintuple Alliance, l'empire allemand est un joueur qui, favorisé par la chance, a entassé un tas de banknotes et voudrait arrêter le jeu et rentrer avant que les autres joueurs aient eu leur revanche. C'est que les Alliés ne veulent pas que le Kaiser fasse " Charlemagne ". L'Allemagne ennemie de la civilisation Trois cent cinquante députés et autres personnalités japonaises ont tenu une réunion pour fêter la conclusion de la convention russo-japonaise. Les membres de la réunion ont félicité le comte Okuma, président du Conseil, et les autres ministres sur leur heureuse administration des affaires du pays qui assure le prestige du Japon et favorise le développement paisible et continu de l'Extrême-Orient.Le comte Okuma les a remerciés et a assuré que le gouvernement continuera à suivre la même politique ; il les a priés d'accorder leur appui aux entreprises diplomatiques et financières du gouvernement. Le vicomte Kato, ancien ministre des Affaires étrangères, a affirme avec son énergie caractéristique son adhésion inébranlable à 1 alliance anglo-japonaise ; il s'est loué de la conclusion de la convention russo-japo-naise, parce qu'elle est le complément de 1 alliance et la renforce. Il a ajouté que 1 Allemagne est 1 ennemie de la civilisation et elle comprend maintenant que toutes les sympathies du Japon sont assurées à l'Angleterre, à la Prance et à la Russie que le Japon soutiendra de la façon la plus complète. Comment les Allemant écrivent l'histoire te L'élément essentiel de la Kultur est l'or! a msation. Les télégrammes allemands sa ni, confectionnés à l'usage des neutres foi , nissent des exemples pris sur le vif des pro. des de la Kultur : r, Premier procédé.—Pour décrire une or ir , 10IÎ ."«htaire ayant eu diverses fluctuatio ;é +e radlotelegramme allemand décrit l'opéi )_ tion jusqu'au point où se présente la flu tuation favorable aux armes allemande Le radlotelegramme est donc véridique m£ il ?, anS Nombre la fin de l'opération d favorable aux Allemands, de sorte que 1 l- neutres croient y voir le compte rendu cor P d une opération victorieuse pour l'A Lj lemagne. r c nrPAr,nSIfqilandJdeS troupes britanniqu. :i * au nord de Pozières une tranche S nent^t PU'S la perdent et enfin la reprei nent, le communiqué allemand arrête s IpTT 1r6n de r°Pératiori au moment o ! ® „ ^flai® ont Perdu la tranchée, tout con " ™ > troupes anglaises n'étaient pas ri venues a la charge. t Le radiotélégramme affirme ainsi, ave ; ^s:Soué.devérité'quei'atta^- Deuxième procédé.—Pour décrire une opé 1 îatlon dans laquelle les troupes br 5 nmques ont obtenu un succès continu 1 _ radlotelegramme allemand arrête la descrir tion au point où le succès ne s'est pas encor a firme. 11 cree ainsi une équivoque qui pei mettra toujours à l'auteur? prisonXran - délit d inexactitude, d'alléguer qu'une efreu ; vemelle a pu etre commise, mais qu'elle n'es L pas aussi grave qu'elle a pu le paraître lor<- ' sa*totalité.6111611' " ^ C0MU Plus tard da» Troisième procédé.—Il consiste à affirme comme un fait réel une simple espérance Ainsi, le 26 juillet, un sans-fil allemand an su°rnLecqanaTde'Ylne a fait saut" sur le canal d Ypres a Comines un gros ba-tion anglais avec toute sa garnison alor . que Ia mine n'a causé en réalité aux Ànglai que des pertes legères et que, loin d'encfom • mager leurs défenses, elle les a améliorée • d une façon indirecte, car les Anglais se son ; empares de la totalité de l'entonnoir où , se sont maintenus et consolidés. Le communiqué allemand déclare don chadfaienrf h/ésultat <îue les Allemand: obtenu obtenir, mais qu'ils n'ont pa. nImfét-°rième pr0CJédé a été notamment em ployé a 1 occasion de la bataille du Jutlanel L Amirauté allemande a annoncé la des nZTn de^Certains vai^eaux britannique: parce que, dans son opinion, ces vaisseam auraient dû périr à la suite des efforts de: marins allemands pour les couler. Quand des informations sûres établissem que les esperances allemandes n'ont pas été réalisées, les communiqués allemands passent ces informations sous silence. C'est aussi au moyen de ce troisième procédé qu un sans-fil allemand a déclaré k 1er août que, pendant le mois de juillet 1 armee britannique avait perdu dans la ré- et°mte i rme a n m°inS 23° °oo hommes et que les lignes allemandes n'avaient été ebranlees en aucun point L'emploi simultané de ces trois procédés de Kultur finit par constituer un total d'inexactitudes de détail qui, ajoutées bout à bout conduisent les neutres à cette conclusion fantastique que l'offensive anglo-française n a eu aucun succès. Voilà comment le sans-fil allemand quotidien envoye dans le monde durant les douze derniers jours de juillet, a abouti à n'a-vouer que trois points : 1) que le 20 juillet les Anglais ont occupé une partie du village de Longueva le et une partie du bois dIi-yille ; 2) que le 24 juillet les Anglais ont pénétre de force dans quelques maisons de Po-zieres ; 3) cjue le 26 juillet les Anglais on occupe Pozieres après un violent combat Le gouvernement allemand demande à univers de croire que douze jours de combat n ont apporté que ce seul changement à la situation. Or, pendant cette période, les Anglais ont pris en réalité tout le village de Longuevalle tout le bois Delville, tout Pozières un secteur de mille yards de longueur de tranchées allemandes au nord de la ligne partant de Pozieres à Longuevalle et se sont avancés à 1est de la ferme de Watterlot et du bois des I roenes. Le sans-fil allemand cache tous ces faits excepté la« prise de Pozières £ C'est au moyen de l'addition de ces inexactitudes quotidiennes que les Allemands aboutissent a presenter£aux neutres des conclusions mensongères. C'est ainsi qu'est organisée, conformément aux principes fondamentaux de la Kultur, la radiotélégraphie allemande a_l usagejdesjneutres. La Badische Landes Zeitung du ? annonce que le député national-libéral au Landtag de Prusse Dumrath a été tué sur le front russe.

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