La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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18 November 1917
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s.n. 1917, 18 November. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 27 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/901zc7sp29/
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LA MÉTROPOLE PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES f\Hier DCIUIUV iboiit: cinq centime» ABONNEMENTS (oiStiseht : Dix centime. Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.2 — Téléphoné : Holbora 212. 1 mois 3 sh. ; 3 mois, 9 sh. 24"» ANNEE DIMANCHE 18 ET LUNDI 19 NOVEMBRE 1917 Nos. 322-323 LA guerre L'armée italienne se reprend Le passage de la Piave frustré Le mystère russe Parlant de la situation militaire sur le [ front italien, l'expert français avait une note très optimiste, qui semble peu à peu se justifier par les événements subséquents. "La résistance italienne, disait-il, devient de jour en jour plus vigou-i reuse et si les Austro-Allemands ont fait de nouveaux progrès dans le val Suga-na, entre Asiago et Feltre, dans les montagnes, la retraite de nos alliés a été faite en bon ordre vers des positions préparées d'avance. Ainsi les nouvelles de , Rome montrent que les opérations que les Autrichiens comptaient exécuter dans : cette région en vue de menacer les li-• gnes de la Piave par'l'arrière, ont perdu la valeur de la surprise. Sur l'aile gauche de nos alliés, il se confirme que les groupes ennemies qui ont passé la Piave sont de plus en plus tenus en rës-pect dans le terrain marécageux au nord de Venise, entre la Piave et la Vieille-Piave. Dans la plaine, des tentatives hostiles de passer la Piave ne réussirent pas. Si donc l'armée italienne, qui est toujours soumise à une forte pression, peut, dans sa situation difficile, gagner un jour, elle augmente considérablement les chances de l'intervention victorieuse des armées de renforts." L'expert français ne s'est pas trompé et la meilleure preuve s'en trouve dans le succès que nos alliés italiens ont obtenu sur la Piave. Dans la plaine, entre les villages de Salettuol et San Andréa di Barbarano, l'ennemi, avec l'appui de forces considérables et sous la protection d'un violent barrage d'artillerie força le passage du fleuve et s'établit sur la rive droite à Folina et à Fagare. Malheureusement pour lui, les troupes débarquées à Folina furent prises sous une terrible rafale de l'artillerie italienne et sous la poussée d'une attaque par la brigade de Lècce, les survivants, au nombre de trois cents avec 10 officiers, furent capturés. Les autres qui se trouvaient sur la rive droite du fleuve à Fagare furent attaquées par la 54e division italienne et repoussées; à la fin de la ]ournée, le champ de bataille était cou-vert de cadavres ennemis et environ 600 hommes avec 20 officiers furent ramenés prisonniers. Ceux qui avaient pu s'échapper furent rejetés sur la rive où leur passage fut fortement entravé par l'artillerie.Sur la Piave inférieure, tenu ce respect par les monitors de la flotte, l'enne-m' n'a plus fait de tentative. Au coude de Zenson, les groupes ennemis se font entourer de plus en plus étroitement. Au plateau d'Asiago, où l'ennemi prétend avoir capturé Cismon, il y a eu des combats depuis le Mont Fiore jusqu'au Castelgoberto et sur la ligne défensive du San Marino, au Mont Prassolan et au nord de Quero, le long de la ligne Rocca Cisa, Mont Conella et Val Piave. En Palestine, une nouvelle avance a ete faite dans la direction de Ramleh, lui, comme on sait, est un nœud, important de routes pour la défense et le ravitaillement de Jérusalem. Le village d'El W fut également capturé. Les Turcs se retranchent, paraît-il, sur une ligne défensive qui s'appuie sur la côte de la Méditerranée, au nord de Jaffa. Aux dernières nouvelles, on annonce l'entrée ^ 'a cavalerie britannique dans Ramleh 'et Lvdda, où le butin serait considérais Ces d'eux villes formaient des n°yaux de ravitaillement entre la côte Jérusalem, et désormais la capitale e^t isolée. Les troupes britanniques \appuyeront probablement sur ces deux V|,|es pour faire une avance dans la direction de l'ouest et l'on peut s'attendre ? 'a capture prochaine de la Ville-Sainte, rf cavalerie ne se trouve plus qu'à huit ''omètres au sud de Jaffa. En Afrique orientale, toute la zone de jahenge a été nettoyée par l'occupa-10n de Miwti et de tout le terrain élevé au nord-est et à l'ouest de Chiwata, qui 1 eHe-même été occupée. Au total, les r°upes opérant dans cette région se "0r|t emparées de 473 Allemands et de 1.072 askaris et ont capturé deux ca nons navals, 33 mitrailleuses et uni grande quantité de matériel. De Russie, il n'y a pas de nouvelle: sûres et le chaos qui y règne se retrou ve dans les dépêches contradictoire: provenant des sources les plus diverses Les nouvelles semblent cependant con corder au point de vue de la défaîte d< Kerensky, qu'il faudrait attribuer ai concours donné aux Bolsheviks pa 30.000 soldats Lettis. Les mouvement: de Kerensky, dont, on a même annonci le suicide, sont enveloppés dans le plu: profond mystère. L'Amirauté n'a plus donné de détail: au sujet de l'opération navale dans 1; baie d'Heligoland, annoncé samedi soir o—o L'utilisation des compétences dans l'armée américaine Le président Wilson vient d'ordonné: la classification immédiate d'environ c millions d'hommes qui, soumis au ser vice militaire obligatoire, n'ont pas en core reçu leur affectation. En publiant ce nouveau règlement, 1< président a fait paraître les déclaration: suivantes L'heure est venue d'une organisation plu' parfaite de notre puissance en hommes, et 1< principe de sélection doit être poussé jusqu'i sa conclusion logique par l'établissemen d'un répertoire complet des diverses catégo ries où peuvent rentrer tous les hommes 'fi gurant sur les rôles de recrutement, de façor à déterminer pour chacun de ceux qui n'on pas encore été appelés sous les drapeaux, le; emplois militaires, industriels ou agricoles o£ leur expérience et leur sayoir peuvent 1< mieux être employés pour ïe bien du pays. M. Wilson fait appel spécialement ï tous les- avocats et docteurs en médecine, citoyens des Etats-Unis, pour aidei à ce classement de la jeunesse du pays, ajoutant dans sa proclamation que la tâche accomplie jusqu'ici n'est que le dixième de ce qui reste à faire. Il est probable que les pouvoirs conférés au président par la loi sur le service obligatoire seront utilisés, au besoin, pour combler les lacunes de la main-d'œuvre dans certaines industries essentielles et, par exemple, sur les chantiers de constructions maritimes, dans les usines de munitions et aux établissements travaillant pour la défense nationale. o—o La faillite du sous-marin Le capitaine Persius rapporte, dans le Berliner Tageblatt, qu'il reçoit quantité de lettres exprimant une impatience toujours croissante au sujet de la campagne sous-marine et répond en ces termes à ses correspondants : La question est de savoir si nous pouvons contraindre les Anglais à accepter l'idée de la paix dans un temps relativement prochain. 11 y a de bonnes raisons pour concevoir quelque espoir à cet égard ; mais il faut observer que les Anglais sont en possession de leur récolte et qu'ils ont ainsi quatre mois au moins devant eux où rien ne leur manquera. Si, de plus, nous tenons compte des blés et des autres produits alimentaires .venus d'outré-mer, on doit reconnaître que, pendant les six prochains mois, le défaut de nourriture ne peut guère être un motif pour l'Angleterre de demander la paix. Toute personne qui réfléchit doit convenir que nos sous-marins ont toujours une tâche considérable à accomplir et ne voudrait à aucun prix prédire quel temps il faudra pour la mener à bien. La Grande-Bretagne ne sera pas forcée de conclure la paix par suite de la disette, mais elle peut finir par reconnaître qu'il n'y a pas moyen de conquérir l'Allemagne militairement. ■■■■■■■■■■■■■■H La duplicité boche " Toutes les fois que l'Allemagne fait un pas vers la paix, elle en fait deux vers la guerre." Arbeiter Zeitung, (journal autrichien.) La politique argentine Le nouveau journal du Havre Si notre flair est bon, nous croyons que les histoires relatives au nouveau journal que l'on va créer au Havre sont autant de trompe-l'œil. Le journal en question se publie parce que la marchandise qu'il va débiter sous couvert de socialisme n'a pas été acceptée par des journaux catholiques et libéraux. Et Dieu sait, cependant, si elle était enveloppée dans du papier précieux...On a tenté, aussi, de publier ce journal ici et nous croyons qu'à Londres il aurait eu une couleur plutôt "catholique", de ce catholicisme accomodant qui unit catholique et socialiste dans une même" vénération... Surtout qu'on aille pas croire que l'union sacrée soit pour quoi que ce soit dans ces rapprochements. Le journal qui va paraître aura un programme et beaucoup d'argent. Du moins M. Gyl-sen (et sans doute aussi M. Kreglinger) l'affirme. A moins que toute cette histoire ne soit qu'un bateau de dimensions... o—o Le nouveau cabinet français Sous la présidence de M. Clemenceau, les portefeuilles du nouveau ministère français ont été répartis de la façon suivante : Président du Conseil et Guerre : M. Clemenceau ; Affaires étrangères: M. Pichon ; Justice : M. Nail; Finances : M. Klotz; Intérieur: M. Pams; Marine : M. Georges Leygues; Instruction publique: M. Lafferre; Munitions: M. Loucheur; Commerce: M. Clémentel; Travaux publics: M. Clavelle; Colonies : M. Simon; Blocus : M. Jonnart; Vivres : M. Boret; Agriculture : M. Collard. o—o L' " internationalisation de l'Afrique Sir O. Phillips a demandé jeudi aux Communes si l'attention du Foreign Office avait été attirée sur les inquiétudes qui se sont fait jour au Portugal à la suite de la proposition du Labour Party d'internationaliser l'Afrique centrale et si, en vue de calmer ces inquiétudes, il voudrait faire une déclaration nette que le gouvernement n'était d'aucune façon responsable pour une telle proposition? Lord Robert Cecil répondit : "Je suis au courant des sentiments du Portugal dans cette question et je suis heureux de déclarer que le gouvernement n'a et ne pourrait avoir aucune responsabilité dans des propositions ayant pour résultat de priver le Portugal d'aucune de ses colonies. La Grande-Bretagne a promis de défendre et de protéger les colonies portugaises contre tout ennemi."o—o Politique et religion Du XXe Siècle, à l'occasion de sa quatrième année de publication en France, ces lignes fort justes : "N'est-ce pas dégrader la religion que de la mêler à des questions qui dépendent autant d'elle que le taux du change ou le cours des raisons? Vous qui contestez, ainsi que c'est votre droit, nos opinions sur la neutralité, l'avenir de la Belgique, sur l'organisation de ce pauvre avorton d'Etat belge, sur les conditions que la nature, l'histoire et le tempérament de nos voisins imposent à notre pays, lequel des dogmes catholiques pouvez-vous légitimement ou raisonnablement invoquer contre nous? Au nom de notre foi commune, nous vous l'interdisons. Ou l'on nous a mal appris le catéchisme, l'Evangile et l'histoire, ou le Christ n'est pas venu sur la terre pour trancher sur ce point, en 1917, entre nos sophismes et nos convictions. Prenez plutôt garde que l'opinion, trompée par l'abus que vous faites du nom et de l'autorité de l'Eglise, n'en vienne peut-être un jour à regarder le catholicisme — le vôtre — comme un obstacle à la restauration nationale et au salut public. Ce ne serait pas la première passion infligée à l'Eglise innocente par la maladresse de quelques échauffées." L'installation du Conseil économique belge M. Hymans, ministre des Affaires économiques, a procédé mercredi à 10 heures dans les locaux du gouvernement belge à Paris à l'installation du Conseil économique.Il a rappelé en ouvrant la séance les raisons qui l'ont amené dès la création de son département à instituer ce conseil. Dans l'œuvre de la restauration économique qui lui a été confiée, il a tenu à s'assurer le concours du collège d'hommes versés dans les affaires et représentant, autant que cela est possible, hors du pays, les diverses formes d'activité belge. Il a exprimé l'espoir que des représentants du monde ouvrier donneront prochainement au Conseil la collaboration qui est indispensable. Rendant hommage à l'attitude des patrons et des ouvriers sous l'occupation ennemie, le ministre a déclaré que ses collaborateurs ef lui<-même s'efforceraient malgré les distances et les obstacles de s'inspirer des vœux des Belges demeurés au pays. Après quelques mots de réponse de M. Cooremàn, ministre d'Etat, vice-prési-dent du Conseil économique, M. Hymans, reprenant la parole, a esquissé le programme des travaux à poursuivre par le Conseil, puis, exprimant son inébranlable confiance dans l'avenir, il a terminé en ces termes : L'ennemi poursuit implacablement et comme en exécution d'un plan méthodiqufe son oeuvre de destruction. Les ruines s'accumulent. Mais dans les profondeurs de la nation les forces essentielles sont demeurées intactes. Eles résurgiront dès que le souffle de la liberté aura passé sur le pays. Toutes les énergies de la race s'associeront dans un immense effort collectif de réédification et de renouvellement. Elles seront soutenues et stimulées par les nobles amitiés que notre cause a groupée autour d'elle. L'esprit d'initiative de nos hommes d'affaire, la puissance de travail de nos ouvriers, les ressourcés de notre sol et de notre tempérament assureront le relèvement de la patrie. Un échange de vues a eu lieu ensuite au sujet du plan et de la méthode de travail du Conseil économique. Des commissions ont été désignées pour l'étude du réoutillage et du réapprovisionnement de l'industrie, de la réparation des dommages de guerre, des questions financières et des questions relatives à la reprise du travail industriel. o—o Rien pour les Belges ! Les Nouvelles de l'Agence internationale des prisonniers de guerre (Genève), publient sous la rubrique " Transmission de nouvelles en Belgique occupée ", le paragraphe ci-dessous, qui se passe de commentaires : Conformément à ses conclusions votées le 14 septembre dernier, tendant à autoriser et à faciliter la correspondance dans la mesure des exigences de la censure entre les habitants des pays occupés et leurs familles à l'étranger, la Conférence des Croix-Rouges neutres à Genève avait dbnné mandat au Comité international d'intervenir en son nom auprès des autorités allemandes aux fins d'obtenir l'extension à la Belgique du mode de transmission des nouvelles assuré par la Croix-Rouge de Francfort pour les régions occupées de la France et la Roumanie. En exécution de cette résolution, le Comité international a fait au nom des Croix-Rouges de Danemark, d'Espagne, de Norvège, de Suède et de Suisse, de nouvelles démarches auprès du gouverneur général de Belgique et des autorités à. Berlin; S. M. le roi d'Espagne «t S. S. le pape Benoît XV se sont associés à ses vues. Par lettres du 30 septembre et du 28 octobre, le gouverneur général de la Croix-Rouge de Berlin ont répondu qu'aucune modification ne peut être apportée au régime actuel établi par l'autorité militaire et que toute transmission de nouvelles mêmes indirectes entre les habitants de la Belgique et leurs parents domiciliés dans les pays ennemis de l'Allemagne demeure donc interdite. Le Comité international proteste avec énergie contre la situation d'exception qui est faite à la Belgique. Il ne peut comprendre qu'un régime appliqué dans les zones de guerre de France et de Roumanie soit jugé inapplicable à la Belgique, plus éloigné de la zone des opérations. Le Noël des petits pauvres d'Anvers Cinquième liste Report £ 42.13. 9 Fr. no MM. Kryn et Lahy, Letchworth 20. o. o Peur l'Union Patriotique des Partis dans sa sollicitude pour l'enfance malheureuse, anony- me • • • • •. .. 10. o. o Mme Magnin Broadstairs .. 1. o. o George Tytgat 2. 2. o Victor De Weerdt . . . . 2.2.0 Séverin Theelen . . . . . . 1. 1. o François Alexandre . . . . 1. o. o Maurice De Visscher . . . . 1. o. o R- Remy 10! o Henri Servais . . . . . . 10. o Louis Bollansee . . .. . . 5 0 Jack Freedman . . .. . . ^ 0 Edouard Van Vyve . . .. - 0 Gustave Rombauts . . .. ^ 0 Bernard Meussen . . . . 5 0 Gustave van Liebergen . . 10. o M. Maurice Ablay . . . . 10. o Rectification George et Yvonne, à Glasgow et non pas Georgette et Yvonne . . .... 2.0 Epse Van Cauwenbergs Wit- doeck . . . . . 40 Total .. £ 84. 9. 9 Fr. no En marge du communiqué Le raid de la ferme Terstille FRONT BELGE, 14 novembre. D'un témoin "oculaire" belge : La ferme Terstille est située avec la ferme Violette en avant de Mannekens-vere, entre la rive ouest de l'Yser et le canal du Nord. Le 12 novembre, à 3 heures du matin, le lieutenant Balteau s'est mis en route avec un groupe de volontaires et une poignée de volontaires du génie. 1 Avec un calme absolu, la petite troupe s'était rapprochée des lignes allemandes malgré tous les obstacles à travers l'inondation et la boue gluante. Au moment où nos braves franchissaient le dernier fossé, les mitrailleurs allemands de la ferme Violette mirent en attion leurs pièces. L'artillerie belge ouvrit un violent feu de barrage contre Terstille. Le lieutenant Balteau s'élance suivi de la troupe et franchit d'un élan les trente mètres qui le séparent d'un abri bétonné où l'on distinge des lumières. Ses quarante hommes sont à ses côtés. L'abri est assailli à coups de grenades- Les Allemands se défendent; deux sont capturés, quatre sont tués. Le lieutenant allemand accouru sur ces entrefaites est abattu d'un coup de pistolet. Le détachement d'assaut se sépare a-lors en groupes. Les uns nettoient trois postes d'écoute où cinq Allemands sont tués. Le restant de la garnison boche a eu le temps de fermer la lourde porte en fer et refuse de se rendre. On les fera sauter avec l'abri. Les hommes du génie préparent les charges d'explosifs; un autre groupe de fantassins attaque le troisième abri allemand. Un vif combat se livre à coups de grenades et de pistolets. Trois Boches sont faits prisonniers et six abattus. ' Le détachement attaque ensuite le quatrième abri où la lutte s'engage également violente. Entre temps, le génie a terminé les préparatifs pour faire sauter l'abri. Une explosion formidable retentit; tout saute avec quinze Allemands enfermés dans leur réduit blindé. Les nôtres reprennent le chemin des lignes belges emmenant cinq prisonniers après avoir occis une trentaine d'ennemis dont un officier, détruit des travaux et planté en signe de victoire le drapeau belge sur les ruines de Terstille. o—o Pour la résurrection de la Belgique On lit dans le Courrier de l'Armée (n. 497, 8 novembre 1917) : D'accord avec son collègue de l'Industrie et du Travail, le baron de Broqueville, ministre des Affaires étrangères et chef du Cabinet, organise en ce moment une mission industrielle aux Etats-Unis. Cette mission aura pour but d'étudier les moyens propres à introduire en Belgique après la guerre les méthodes de travail les plus scientifiques et l'outillage le plus perfectionné en vue d'une reconstitution immédiate de la Belgique et de sa résurrection dans le domaine industriel. Le chef de la mission sera M. Dejace, professeur à l'Université de Liège.

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