La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

1137 0
close

Why do you want to report this item?

Remarks

Send
s.n. 1917, 15 March. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 27 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/804xg9g461/
Show text

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

LA MÉTROPOLE IoNE PENNY W"" [JJ8| DIX CEHTIM1I PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux : 43, Chaneery Lane, W.C.2 — Téléphoné : Holhorn 212. ABONNEMENT 1 moi», 3 sh. ; 3 moi», 9 sb. Etranger : 1 moi», 4 «h. ; 3 moi», 12 ah. p»1' JEUDI 15 MARS 1917 No. 74 LA GRANDE GUERRE I La retraite allemande s'accentue IpAUME A LA VEILLE" DE TOMBER I Nouvelle expédition contre l'Italie ? |;s journaux ont publié, il y a quel-jours une dépêche de Rome disant sur le front italien règne l'impres-que les Empires centraux projet-contre l'Italie une nouvelle expé-n punitive. autre part un correspondant du s qui a visité récemment les lignes ;„nes dans le Trentin déclare que les jratifs que les Auttrichiens y ont depuis l'été dernier — en parti-r dans le val Lagarina, le val d'Asie plateau d'Asiago et des Sette uni — donnent matière à réflexion, lis leur retraite du 29 juin^ 1916 les ichiens ont construit ou réparé en-ron 3.200 kilomètres de routes militai-s entre la vallée de l'Adige et Cadore, isi que des centaines de kilomètres de blss pour le transport aérien qui avant guerre étaient presque inconnus en itriche. Des sommes énormes ont été dépen-ts pour ces câbles et il y en a actuel-nent plusieurs en usage d'une lon-leur de 40 à 70 kilomètres. Outre cela is Autrichiens ont construit des caseriez et des dépôts de munitions et ont cumulé de vastes quantités d'approvi-innements.D'ailleurs les visites répétées à ce int du général baron Conrad von Hôt-idorff, de Ludendorf, de von Mac-isen, de von Hindenburg et de bipereur Charles peuvent avoir une nification sur laquelle il y a peut-e lieu d'insister. Qu'y a-t-il de vrai dans ces bruits et s suppositions de prochaine offensive? [Dans les milieux militaires compé-nts, les avis sont très partagés. De ultiples raisons sans doute semblent iliter en faveur de cette offensive au-ichienne. L'état-major autrichien a entre sur le cœur l'échec de sa tentative k l'été dernier et il est très possible fi'il aspire à recommencer sur de noueux frais sa Strafe-,expédition contre Italie. Un succès sur ce front présen-pait de grands avantages pour les em-ps du centre. Sans compter que la vic-[ire remettrait en leur possession les F territoires qu'ils aient perdus défis le commencement de la guerre, elle F permettrait aussi d'occuper des ré-Ions extraordinairement riches en restées naturelles. Les plaines fertiles Ha Vénétie ont toujours exercé, on le ut. une espèce d'attraction sur les ra-ls<iuNord; elles furent, pendant des le point de mire de l'invasion et champ de bataille de l'Europe. Rien de surprenant si l'Austro-Allema-lei paralysée aujourd'hui sur tous les )n's, tentait de ce côté un colossal ef-rt' dont la réussite lui assurerait des otages naturels de premier ordre et lèverait le moral, toujours plus dépri- de ses populations. D autre part, cependant, des raisons 1 moins fortes tendent à faire exclu-cette hypothèse. En premier lieu, "e grande offensive autrichienne ne yrrait guère se produire que vers le le|J ou la fin du printemps. L'année 'mère, elle avait commencé vers le 15 " Cette année-ci, par suite des chutes ^ abondantes de neige et du froid ex-qui a atteint dans certaines ré-)ns du Trentin 29 degrés au-dessous z"0, 'elle devrait certainement être ^re retardée, car les conditions cliniques actuelles ne se prêtent guère ' grandioses préparatifs militaires, e larges mouvements d'hommes et Matériel. C'est précisément parce que 'nee'dernière, par suite des difficultés Présentent, durant l'hiver, ces ré-ns montagneuses l'Autriche avait dû I ses opérations militaires contre ,'"e qu'elle fut surprise le 4 juin par 01 midable offensive russe et. la contre-'^e italienne qui firent échouer mi-1 ement son plan de campagne. Or, î' Peu probable que cette année les rs attendent le milieu de mai pour j^encer leur offensive sur tous les 1 s- L'Autriche et l'Allemagne auront donc du fil à retordre avant de mettre à exécution leurs plans'contre l'Italie, si tant est que ces plans existent réellement.La seule partie du front italien qui, avant la fin du printemps, se prêterait à des opérations de grand style est celle qui s'étend des hauteurs de Goritz jus-qu'à la mer; mais qui ne sait que l'effort autrichien se heurterait sur ce point aux formidables défenses établies par l'Italie aussi bien qu'à ses capacités d'attaque et de contre-offensive dont lès Autrichiens viennent de faire ces tout derniers jours la douloureuse expérience ? L'armée autrichienne a tenté, il y a deux semaines, une grande offensive contre Goritz, soit pour essayer de reprendre cette ville, soit pour y tâter les points faibles du front italien. Eh bien, cette offensive a complètement échoué. Partout les. Autrichiens ont été repoussés en subissant des pertes considérables. On ne saurait exclure sans doute absolument que Hindenburg et Conrad méditent un gros effort sur le bas Ison-zo, mais ce qu'on peut affirmer, c'est que cet effort, s'il se produit, peut être envisagé ici sans trop d'inquiétudes. L'Italie est pleinement en mesure de faire face aux attaques combinées de ses ennemis. N'oublions pas non plus qu'il est difficile à l'Austro-Allemagne de procéder sur le front italien avec de grosses accumulations de troupes et de matériel sans affaiblir les autres fronts, et cela dans un moment où les Alliés préparent au vu et au su de tout le monde des attaques simultanées sur tous les fronts. Nous n'avons envisagé ici que l'hypothèse d'une offensive autrichienne. On pourrait avec autant de raison examiner l'hypothèse contraire, c'est-à-dire l'éventualité d'une offensive italienne. Mais > on comprend que nous nous abstenions de traiter ce sujet délicat. Tout ce qu'on peut dire, c'est que la situation militaire italienne se présente actuellement dans les conditions les plus favorables et légitime tous les espoirs. Offensive ou défensive, l'armée italienne est prête à tout événement et on peut être sûr qu'elle ne trompera pas la confiance de ses chefs et du pays.' Sur le front britannique les Allemands ont commencé une nouvelle étape de leur retraite de leurs lignes d'Arras vers des positions situées plus à l'est, en évacuant le bois de Loupart, et se rejetant par Grevillers se sont établis sur les dernières lignes de défense sur la crête de Bapaume. Après un bombardement continu, les troupes du général Gough avancèrent jusqu'au bois de Loupart, dont les tranchées étaient vides, et, continuant leur progrès à travers le bois et le long des deux côtés entrèrent mardi dans le village de Grevillers qui avait été abandonné malgré que de formidables défenses en eussent fait un véritable bastion de Bapaume qui n'en est distante que d'un peu plus de deux kilomètres. La ligne britannique actuelle s'étend ainsi du sud de Bucquoy, en passant légèrement au sud d'Achi$t-le-Petit et a quelques centaines de mètres au sud d'Achiet-le-Grand (à cinq kilomètres au nord-ouest de Bapaume), et en passant par Grevillers va rejoindre le village de Beaulencourt. Le maintien de Grevillers était devenu impossible à la suite de la chute d'Irles et la retraite fut probablement décidée par le terrifiant bombardement britannique. Sans aucun doute Bapaume tombera avant la fin de la semaine, et une fois cette forteresse en leur possession les troupes britanniques auront devant elles un terrain relativement plat et pratiquement peu endommagé. Bapaume, en effet, se trouve au sommet d'une crête qui domine tout le pays environnant et l'on ne voit pas très bien comment les Allemands pourraient offrir une sérieuse résistance dans une plaine immense qui n'est plus brisée par aucune élévation. Encore un navire du Relief coulé Que signifie ? Une dépêche de Copenhague à l'Ex-change Telegraph Company en date du 13 mars dit : • La Gazette de la Marine marchande norvégienne apprend qu'un grand et nouveau steamer norvégien, le Lcvys-Fastenaes, qui a été coulé en dehors de la zone du blocus, allait d'Amérique à Rotterdam avec une cargaison de grain pour l'American Relief Committee. Il fut coulé sans avertissement.Le Lars-Fastenaes est le quatrième navire du Relief coulé par les pirates allemands ; les autres sont : l'Euphrates, le Lars-Kruse et le Storstad. Comme ces deux derniers, le Lars-Fastenaes était porteur d'un sauf-conduit allemand ; en outre, il suivait la route du Nord, qui passe en dehors de la " zone dangereuse ". On peut se demander vraiment si les Allemands veulent, malgré toutes leurs promesses, empêcher systématiquement le ravitaillement de la Belgique et du Nord de la France ? La dépêche suivante fst caractéristique à cet égard : New-York, 13 mars.— M. Herbert Hoover, président du Relief américain en Belgique, s'est embarqué subitement pour l'Espagne. On révèle que les Allemands ont protesté non officiellement contre la continuation du Relief américain en Belgique et en France et demandent qu'il soit remplacé par une commission de secours hollandaise. D'après la Daily Chronicle, l'ambassadeur américain à Londres déclare qu'il ne sait rien d'une telle protestation et que les .Américains continuent leurs efforts. o—o Des garanties A propos des colonies allemandes Commentant les déclarations du général Smuts au sujet de l'impossibilité absolue de retrocéder à l'Allemagne ses colonies perdues, la Daily Chronicle, organe libéral fort modéré, écrit (14 mars) : Les Allemands veulent ravoir l'Afrique Orientale comme acquêt de guerre. Elle a été poui'' elle, dans cette guerre, un très grand acqiêt, et son importance ne pourra être connue par le public que. quand le voile sgra levé sur les immenses diversions d'hommes, de munitions et de navires que nous avons été forcés de faire pour sauvegarder l'Afrique britannique, belge et portugaise de la menace de sa formidable armée noire. Elle aurait une valeur plus grande encore dans une guerre qui commencerait (comme la présente guerre ne commença heureusement pas) par une tactique sous-marine à outrance, car sa côte constitue une base sous-mariné idéale pour des coups de main dans l'océan Indien. Nous ne pouvons pas permettre que l'Allemagne retrouve un acquêt militaire et naval aussi considérable pour l'employer contre nous dans une future guerre. Il est évident, par sa demande de " liberté des» mers ", que le gouvernement allemand s'attend à une telle guerre; car la seule signification que cette phrase possède pour la marine allemande est la liberté pendant une guerre avec l'Angleterre; en temps de paix elle est parfaitement libre. L'expérience nous apprend que l'Allemagne ne pourra pas être dissuadée d'une attaque par des concessions gracieuses. La seule façon d'en empêcher une à l'avance est de lui enlever, partout où nous le pouvons, les moyens et les tremplins dont elle se servirait pour s'assurer le succès. Nous nous permettons d'ajouter que cette doctrine ne s'applique pas seulement aux colonies allemandes. Sur le continent aussi, l'Allemagne possède des " moyens et tremplins " territoriaux qui invitent l'attaque contre ses voisins et avant tout contre la Belgique et la France. Il faut les lui enlever. Il faut l'expulser de la rive gauche du Rhin. o—o Les traîtres flamands à Berlin Bâle, 6 mars.— Les journaux allemands font connaître que le chancelier von Beth-mann a donné une soirée le 3 en l'honneur des membres de la " Délégation flamande " venue à Berlin pour solliciter l'autonomie administrative des Flandres. La délégation a été invitée également à une réception chez M. Helfferich. Les journaux citent le nom des ministres et des hauts fonctionnaires allemands qui ont assisté à ces diverses réceptions mondaines, mais il est à remarquer qu'ils ne donnent le nom d'aucun des membres de la Délégation flamande. VERS LE PARTI NATIONAL SUS AUX BOCHES PARTOUT ET TOUJOURS! Si notre vigoureuse campagne anti-allemandç nous a valu l'honneur de très hautes et très puissantes rancunes, en revanche, elle nous a conquis d'innombrables sympathies, 'qui se traduisent, fort heureusement, autremènt que fiar des mots. Nous n'avons aucune gêne à avouer qu'en effet, le problème de la publication de la Métropole constitue pour nous une préoccupation constante et pénible. Aussi, est-ce avec reconnaissance que nous acceptons les dons que veulent bien nous ^envoyer ceux de nos lecteurs qui savent que la publication d'un journal est loin d'être une affaire par les temps qui courent. Nous avons encore reçu £15 avec la lettre ci-dessous : Monsieur le Directeur, Le " Belge patriote " dont vous publiez la lettre dans votre numéro du 9 mars exprime tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Méfions-nous aussi de ces personnages que, dès maintenant, on essaie de nous faire considérer comme indispensables pour les maintenir plus tard à la tête de nos entreprises commerciales et industrielles, tout en fermant les yeux sur leurs origines et sur leurs tendances. Ce n'est pas de ces indispensables-là que notre pays doit attendre son relèvement : nous voulons de véritables Belges à la tête des affaires belges, tant en Belgique qu'à l'étranger. Groupez-nous donc, vous et vos confrères de Londres, du Havre, de Paris et de Hollande ; groiipez sans distinction de partis tous les catholiques, les libéraux et les socialistes dont le mot d'ordre est : " Sus aux Boches, partout et toujours ! " Que ce groupement sans couleur politique encourage le Gouvernement dans le travail d'épuration dont la nécessité se fait de plus en plus sentir, qu'il lui montre les nids de serpents couvés dans certaines administrations ; qu'il l'aide à les détruire de suite. Et, au moment de la rentrée en Belgique, ce groupement verra ses rangs se grossir de tous ceux qui ont combattu ; de tous ceux qui ont subi le joug de l'oppresseur; de tous ceux dont la haine de l'Allemand passe avant les préoccupations de l'intérêt ; de tous ceux, enfin, qui veulent la Belgique aux Belges et non pas aux simili-Belges.Je joins à ma lettre £15 pour votre propagande anti-boche. , Veuillez agréer, Monsieur le Directeur, l'assurance de ma considération distinguée.Un autre Belge Patriote. Londres, le 10 mars 1917. * * * Une lettre éloquente sur le même sujet nous arrive par le même courrier. Cher Monsieur Claes, Tout d'abord, pour obéir à la recommandation du Postmaster-général, mon adresse nouvelle forme : 8, Elgin Avenue, W.9. J'ai lu hier et lundi, avec un vif plaisir, -vos deux articulets contre les "sirènes " pro-boohes ; j'applaudis à la clairvoyance patriotique de vos généreux correspondants et, à titre documentaire, pour prouver combien votre campagne doit s'étendre non seulement en France, en Angleterre, mais même au front belge, voici 'un fait personnel : J'ai rencontré, cette année, à Londres, une de ces " sirènes " portant l'uniforme kaki d'offici&r belge, qui a émis devant une dizaine de Belges, dont j'étais, les incroyables assertions suivantes : i° La guerre finira cette année, mais... en queue de poisson, car jamais les Alliés ne seront capables de battre les Allemands ! 2° Les Allemands ont commis des crimes et des atrocités en Belgique, mais c'est la guerre et d'ailleurs les Russes en ont fait dix fois autant en Prusse orientale ! 30 Les Allemands seuls savent faire la guerre ; tout ce que les Alliés ont fait de bon, ils l'ont copié sur les Allemands ! 40 Commercialement, la Belgique ne pourra jamais se passer des Allemands. Comme je protestais violemment, la " sirène " me dit : Combien croyez- vous qu'il .faudra d'années pour la reprise des relations commerciales avec l'Allemagne, comme avant la guerre ? ! 5° Les Allemands ont violé les traités et renié leur signature ; mais l'Histoire (!) prouve que les autres peuples en ont fait autant chaque fois que leur intérêt a été en jeu ! ! En cas de guerre, les traités n'ont aucune valeur et nécessité ne connaît pas de loi ! ! Si, après trente mois de guerre, on peut encore entendre ce langage, c'est que le mal est bien plus profond qu'on ne se l'imagine généralement. De cette éffarante mentalité, je ne trouve qu'une explication : Dans leur snobisme bochophile, les parents de cette " sirène " lui ont fait faire ses classes à la Deutsche Schule " d'Anvers ! ! ! Espérons que ce foyer d'infection pan-germaniste sera détruit pour toujours, lors de la libération de la Belgique. Bien cordialement vôtre, D. Feltesse. Londres, 10 mars 19x7. Les Huns et les autres La Fédération new-yorkaise des églises vient de voter une déclaration énergique attribuant nettement à l'Allemagne la responsabilité de la guerre. Cette déclaration assure à M. Wilson "tous les services dont, individuellement et collective -ment, nous sommes capables", approuve pleinement la rupture des relations diplomatiques avec 1 Allemagne et engage le Président et le Congrès américain à prendre d'urgence " les mesures les plus e -trêmes qui peuvent être jugées nécessaires pour protéger la vie, la liberté et les propriétés " des sujets américains ; enfin, elle approuve avec enthousiasme le service , général pour la Patrie. Ce manifeste a été voté par 158 églises contre 52. Il est intéressant d'exâminer d une façon un peu détaillée le résultat du vote. Par ces temps-ci, il est bon — pour l'avenir — de connaître ses amis et ses ennemis. Voici ce détail' : Eglises Pour Contre Baptistes .. . . 16 1 Presbytériens .. . . 27 20 Congrégationalistes .. 10 o Protestants épiscopaux 27 3 Méthodistes épiscopaux 23 4 Eglise réformée . . 19 Un groupe composé de : Association évangélique, Société des Amis (Quakers), Synode évangélique allemand, Synode luthérien, Synode danois, Synode de l'Ohio Synode général, Eglise réformée episcopale, Eglise universaliste, a émis un vote adverse par 11 voix contre 2. On sait que les catholiques américains se trouvent sous l'influence prononcée des catholiques allemands et irlandais et opposés, en général, à la cause de l'Entente. On se rappelle à cet égard le rôle du cardinal O'Cônnell et du P. J6hn Murphy, S.J., ainsi que le cas de Mgr Maes, évêque belge de Covington, mort de chagrin par le fait de son entourage germanophile [La Métropole, 25 janvier 1917). Aussi attend-on toujours vainement un geste des catholiques américains en faveur de M. Wilson. La Belgique a observé la neutralité Pour jeter le trouble dans les esprits au sujet de la violation de la neutralité belge, la presse allemande donne la plus large publicité à des " arguments " dont les uns sont rusés et les autres... pas. Rentrent, entre autres, dans cette dernière catégorie ceux qui font état de mouvements de troupes belges en Belgique avant la mobilisation belge du ier août 1914- En effet, toutes les puissances savent que la Belgique, avant de mobiliser, a mis son armée " sur îe pied de paix renforcé ". Et elles le savent parce que la Belgique tes en a officiellement informées 1e 29 juillet 1914.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
This item is a publication of the title La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres belonging to the category Oorlogspers, published in Londres from 1914 to 1919.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Add to collection

Location

Subjects

Periods