La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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09 January 1915
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s.n. 1915, 09 January. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 27 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/125q815h0h/
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LA MÉTROPOLE D'ANVERS. PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES. 22mk ANNÉE. NO- 9. COMMUNIQUES OFFICIELS FRANÇAIS. BEAUX SUCCES EN ALSACE. PRISE DE BURNHAUPT. PARIS, 8 jaovi«r.—Communiqué officiel de I 15 heures: . Pondant toute la journée, d'hier, 1 artillerie I- Je l'ennemi a déployé une grande activité en I Belcioue et dans la région d'Arras. L artillerie | française répliqua, avec esprit et effectivement Notre infanterie fit quelque progTès près de I Lombaeruvde. A cinquante mètres devant nos I tranchées, nous enlevâmes une hutte occupe© ■ nar l'ennemi. I A l'est .ie Saint-Georges, nous avons gagne I nueinue terrain, et nous infligeâmes de seneux I Ste aux tranchées de l'enneim dans le voisi- ■ nairc de Steenstraete. t_ • _ j I Dans secteur d Arras. dans le bois de I Berthonval, nous fûmes obliges, sans etre I -ittaqués, d'évacuer certaines portions de nos I tranchées, où nos hommes se trouvaient I iusqu'aux épaules dans la boue. I \ la gauche de La Boasselle. notre ligne de | tranchées fut poussée en avant, et nous occu-I pin,os la route de La Boisselle a Aveluy. I Dans la vallée de l'Aisne, le duel d'artillerie I , ont' nua avec assez de vivaoïte. Notre artillerie I lourde obtint de bons résultats près de Blanc m Sablon. Ives lanceurs de mines allemands nous I dnflizp-rent des pertes, mais dans 1 apres-miqa I nous réduisîmes au silence le feu ennemi. Dans le secteur de Reims, a 1 ouest du Bois des ■ 'Zouaves nous fîmes sauter un blockhaus, et I nous occupâmes une nouvelle tranchée à 200 I mètres devant nos lignes. L'engagement d'infanterie entre Bethenv et prunay fut extrêmement obstiné. Les Allemand» I abandonnèrent de nombreux morts sur le terrain. I N'as pertes furent insignifiantes. Kntrc Jonchèry-eur-Suippe et Souain, nous re-| duisimes au silence, après des tentatives répétées, I l'artillerie de l'ennemi, nous démolîmes ses I tranchées et nous détruisîmes ses travaux de I brèche. „ „ Dans l'Argon ne, à l'ouest de Haute Chevau-■ chée, l'ennemi fit sauter à l'aide de mines notre I première ligne de tranchées, qui furent com-I nlètement démolies. I ' Une violente attaque que l'ennemi effectua I aussitôt fut iepoussee il la bayonnette. Nous I fîmes quelques prisonniers et maintînmes notre I front; excepté sur une distance de quatre-vingts ■< mètres, où la démolition des tranchées nous ■ obligea à établir notre ligne à vingt mètres en Sur les hauts de Meuse, et entre la Meuse et I la Moselle, il n'y a rien à signaler. Une k bourrasque souffla toute la journée. Noire offensive continua dans la région de ■ TJianu et d'AîtîcircIi, et nous avons atteint d^im- ■ portants résultats dans ce district. Vous recapturâmes les tranchées sur le flâne ■ oriental de la colline 425, où l'ennemi avait ■ réussi à se rétablir il y a deux jours. Nous ■ avons alors gagné quelque terrain à l'est d,e ces ■ tranchées. Plus au sud, nous capturâmes Burnhaupt-le- En même temps, nous avançâmes dans la ■ direction de Pont d'Anspach et du Kalilberg. L'artillerie ennemie. " qui avait essayé sans ■ succès d'atteindre nos batteries, abandonna cette ■ tentative pour bombarder exclusivement l'hôpital H de Thann, qui a été évacué. ATTAQUES REPOUSSEES. I ^ PARIS, 7 janvier.—Communiqué officiel de On signale ce soir de violentes attaques alle-I mandes dans la région de Lassigny, en Argonne ■ au croisement de Ta route du Four de .Paris à I Varennes et. d.e celle de la Haute Chevauchée^ I dans la région de Verdun, et suf la croupe qui ■ domine Steinbacli. Toutes ces attaques ont été repoussées. LA BATAILLE DE L'YSER. PAS DE RETRAITE ALLEMANDE. AMSTERDAM, 8 janvier.—Le "ïelegraaî" ■ jmbiit; la dépêche suivante, datée de l'Ecluse, le 7 Pendant la nuit de mercredi, une violente ■ canonnade fut de nouveau entendue dans la ■ direction de l'Yser. Kntre Lombaertzyde et Westende, ainsi que I près de Saint-Georges, la "bataille continue à faire I rage, malgré le mauvais temps. B i.c fait que des renforts allemands arrivent sut B la côte belge, et 'qu'un délai de six semaines a ■ lixc pour la fourniture des réquisitions dans ■ les villages du nord des Flandres, montre que les ■ Allemands ne prévoient pas une retraite I imminente. Cependant, l'armée franco-belge se trouve ■ près de Nieuport, et son moral est bon. Dixmudo même est entre les mains des Aile- ■ naads, et l'Yser sépare leurs lignes de celles des ■ Uiiés. Ces derniers occupent des positions sur ■ e côté ouest de Hoogebrug. dans le quartier du K "rt. Des deux côtéSj ou est fortement retranché ■ 'tans les ruines de maisons détruites. l.es fortes réquisitions continuent dans le ■ centre des Flandres.—Reutec. VERSION ALLEMANDE. HEB.LIN, 8 janvier.—Communiqué officiel du ■ grand état-major '•'ans le théâtre occidental de la guerre, les ■ î-luies continuelles rendent de plus en plus maré-I ageux le terrain en Flandres, et nos opérations H sont, eu conséquence, beaucoup plus retardées. I A l'est de Reims, les Français tentèrent pen-I lant la nuit de prendre une de nos tranchées ex-H éricures, mais ils furent refoulés dans leurs I iropres positions par une contre-attaque, perdant ■ nquante prisonniers. | ) Dans le centre et dans la partie orientale de [. 'Argonne, nous fîmes de nouveaux progrès. Une attaque nocturne par les Français contre ■ 108 positions sur le Buchenkopf (an sud d< ■ Diedolshausen), dans les Vosges, fut repoussée. Des attaques françaises répétées sur la hauteui I ' l'ouest de Cernay échouèrent sous notre fei: I 1 artillerie. Nous fîmes prisonniers deux officiers B -t plus de cent hommes. Les combats continuer). ■ pour le village- de Haut-Burnhaupt, au sud d( f Le temps est également défavorable dans h I !'oâtre oriental de la guerre. Sur la frontièr< I 1 rien taie et dans le nord de la Pologne, la situa ■ non reste inchangée. A l'est de la Rawka noi I attaques progressent. Mille six cents Russes I urent faits prisonniers, et nous prîmes cinq mi ^railleuses. ■ Il n'y a. que des batailles d'artillerie stir li ■ rive orientale de la PiLitza.—Wireless Press. B nouvelles dépressions arrivent constam ■ 'nent de l'Atlantique, et le Bureau anglais dx I ifuips provoit pour le week-end une températuri m Mouce, avec ondées et intervalles ensoleillés. L'ARRESTATION DU CARDINAL MERCIER. L'ALLEMAGNE DEMENT. AMSTERDAM, 7 janvier.—Un télégramme de Berlin dément que le cardinal Mercier soit gardé à vue dans son palais de Malines, et que des prêtres belges aient été emprisonnés pour avoir donné lecture du mandement épiscopal.—Reuter. Note.—On remarquera la prudence de ce démenti, qui ne démentit rien. Il contraste en tout cas vivement avec la note semi-officieuse que nous avons publiée hier. Les Allemands s'aperçoivent qu'ils ont fait la grosse gaffe et ils essaient de se tirer d'affaire en niant l'évidence. C'est ce qu'on appelle de la diplomatie teutonne! ILS JOUENT SUR LES MOTS ! AMSTERDAM, 8 janvier.—Le "Nieuws van den Dag," commentant le démenti berlinois de l'arrestation du cardinal belge, assure que les Allemands ne font une fois de plus que jouer sur les mots. Il est certain que le cardinal ne fut jamais " emprisonné." Tl est aussi possible que la garde du palais ait été relevée, mais le fait brutal existe que le palais archiépiscopal a été garde sévèrement par des sentinelles .pendant plusieurs jours. Ou s'attendait d'ailleurs à voir les Allemands rapporter l'odieuse mesure. "MIS A LA DISPOSITION" . . AMSTERDAM, 7 janvier.—Le correspondant du " Tijd " (catholique) à Berg-op-Zoom apprend que le palais archiépiscopal est gardé militairement depuis samedi. Pendant l'enquête du commandant allemand au palais, le cardinal Mercier accepta de se mettre à la disposition des autorités allemandes, mais revendiqua le droit de se rendre à Anvers le dimanche. Le Prussien refusa. , Plusieurs curés dans la région de Turnhout et Aerscliot, qui avaient donné lecture du mandement de l'archevêque, ont été emmenés par la soldatesque. . . , Dans l'entourage du, cardinal sa rapide^ libération est attendue avec confiance vu la fâcheuse impression déjà causée à l'étranger, par les ruas-sacres de prêtres belges, les destructions d'églises et d'établissements religieux, qui mettent 1 Allemagne au ban des nations et l'exposent a la réprobation universelle. Il paraît que .1.0,000 exemplaires de la lettre pastorale ont été expédiés à Bruxelles, et que deux mille en furent distribués aux fideles a Sainte-Gudule. . . Le doyen et tout le clergé de la cathédrale d'Anvers ont failli être arrêtés par le^ commandant. de la garnison, à propos du même document, mais le langage digne et ferme du vene-rable doyen déconcerta l'officier allemand, qui relâcha finalement les ecclésiastiques. AU VATICAN. ROME,, .7 janvier.—Le "Resto del Carlino" annonce que le cardinal Gaspari a eu ce jour un entretien .de trois quarts d'heure avec le prince de Bulow, ambassadeur allemand à Rome. La visite avait trait à la récente arrestation du cardinal Mercier.—Central News. A ANVERS. SUSPENSION D'UN JOURNAL. La "Nieuwe Gazet" d'Anvers, qui avait reparu soiis la censure allemande, en dépit de, la volonté de 'son directeur et de son rédacteur en chef, vient d'être interdite pour un mois par les autorités allemandes d'Anvers. HISTOIRE VRAIE. .Vous avons reçu au Standard la visite d'un A'nvereois retour d'Anvers, qui, ayant rencontré dans cette ville un Allemand de sa connaissance, fut interpellé par lui. Le petit et bref dialogue suivant s'engagea:— — Alors, mon cher Monsieur, nojis voilà Allemands tous les deux ? — Pas du tout, dit l'Anversois; je suis Belge, et je le resterai ! — C'est parfait! Demain vous aurez de mes nouvelles ! En effet, le lendemain notre Anversois était invité à passer à la " Kommandantur." Et s'il n'avait eu le bon esprit de prendre la poudre d'escampette il avait à choisir entre le désaveu de ce qu'il avait dit ou un mois de prison. A moins qu'il .n'aurait eu l'esprit du docker auquel un soldat "soutenait' que la Belgique était allemande désormais. —: Soit, dit le docker, "nous" sommes allemands si vous le voulez. Mais quelle Tâclée "nous" attrapons sur l'Yser, n'est-ce pas? SALUEZ ! A la fin du mois de décembre, les Allemands donnaient un concert tous les soirs à la place de la Gare. Dès le premier soir, au moment où la musique militaire entonnait la " Wacht am.Rhein" des coups de sifflet se firent entendre. Le quatrième soir, les Allemands, avèrtis, postèrent deci-delà des sentinelles et, au moment où on siffla de nouveau elles tirèrent quelques coups de feu en l'air, ce qui eut pour conséquence de faire cesser les protestations. Depuis lors, tous les passants qui éroisent une musique jouant la "Wacht am Rhein " doivent se découvrir respectueusement, s'ils ne veulent voir leur chapeau sauter sous un coup de sabre ! SUR LA COTE BELGE. LA PEUR DES ANGLAIS. AMSTERDAM, S janvier.—Le " Nieuwe Rotter-damsche Courant " apprend par un télégramme de l'Ecluse, en date d'hier, que des témoins dignes de foi déclarent que les Allemands continuent avec une activité fiévreuse l'établissement de leurs travaux de défense sur la côte de la mer du Nord, entre Knocke et Heyst, jusqu'à un point très proche de* la frontière hollandaise. Knocke est Occupé par une garnison de 1500 hommes. Jusqu'ici, quatre canons ont été placés sur la digue, derrière les dunes. Le commandant militaire allemand de Knocke a informé ses hommes qu'un débarquement de troupes anglaises peut être attendu, et qu'il y aurait, certainement alors une grave bataille le long de la côte entre Knocke, Heyst, Zeebrugge, et Blankenberghe. Heyst a une garnison d'environ 3000 hommes. Sur les courts de tennis de Duinbergen des canons-de 42 centimètres ont été placés, et une « très forte batterie domine la côte du haut des dunes. On confirme que huit villas de plus ont été : démolies à Duinbergen pour déblayer le champ de tir. La population a été complètement évacuée.Dans de nombreuses maisons, les fenêtres ont , été enilevées, et des mitrailleuses ont été placées dans les embrasures, qui sont fortifiées par des remblais de tourbe. Toutes les mitrailleuses sont essayées sur la route de Knocke à Heyst, oui est interdite au i trafic et coupée par du ni barbelé. : Les Allemands continuent à creuser de nom breuses tranchées dans cette région.—Reuter. AUX BELGES DE BELGIQUE PROTESTATION. MEFIEZ-VOUS ! La fourberie allemande à l'égard de notr malheureux pàys vient do se manifester un fois de plus par des procédés contre lesquels convient d'élever immédiatement une protes tation énergique. L'odieux envahisseur, parjure a la paroi donnée, n'a pas seulement, par la force d€ armes—un contre mille !—subjugué les corp: couvert notre patrie de ruines, détruit son ii dustrie, condamné par des réquisitions injuste les populations à la famine et à la misèr< il cherche aussi à asservir les esprits, et pot arriver à ses fins, tous les moyens lui sor bons. Sentant que devant sa trahison, devant le atrocités et les horreurs dont ses hordes ba: bares se sont rendu coupables, l'Allemagne r saurait jamais prétendre à la considération i à la fidélité des Belges, rhatériellement vainci. mais moralement triomphants, ses dirigeanl ont commencé à entreprendre un travail soi terrain de détachement, d'isolement et de d< chirement intérieur d'autant plus dangereu qu'il s'effectue non sans habileté, et sur leqin nous croyons devoir attirer l'attention trè sérieuse de l'immense majorité des Belge restés au pays. Comment isole-t-on moralement une popi lation?—En la coupant de toute communie; tion directe avec l'extérieur. Comment la détache-t-on de ses idéals?—E essayant de lui faire croire qu'elle a été trahi abandonnée et qu'elle est méprisée par ceu qui auraient dû l'assister. Gomment la déchire-t-on intérieurement?-En attisant par la calomnie et le mensong' armes germaniques par excellence, 1( moindres ferments de discorde qui pourraiei exister entre les citoyens d'un même pays. La vieille tactique: "Diviser pour régner se trouve ainsi réalisée. L'examen des faits montre que l'exécutic de ce programme a été entreprise avec activi par les Allemands, contre les Belges restés a pays. Ils ont commencé par défendre l'importatic des lettres non censurées et des journan venant de l'étranger; ils ont, en même temp non seulement appliqué la censure la pli sévère aux feuilles locales, mais ils les oi fournies d'informations et de " documen officiels " tendancieux. Ils ont ensuite répandu la fable de la <c tr hison " du gouvernement belge, qui aura violé sa neutralité avant la guerre, au prol des puissances de la Triple-Entente, et ils soi allés, comme nous l'avons montré, jusqu tronquer des pièces officielles pour tenti d'étayer leur démonstration. Ils ont clamé sur tous les toits que gouvernement belge, au lieu de resti "courageusement" à Bruxelles, avait " aba: donné " nos concitoyens en se réfugiant a Havre pour y entreprendre, selon la spirituel expression du " Berliner Tageblatt," ui existence de " bulle de savon." Ils ont excité par tous les moyens la pop lation de la Belgique envahie contre n< vaillants Alliés qui auraient, à les entendr abandonné sciemment les Belges à. leur soi Enfin, ils viennent d'essayer la tactique c ,cmépris" que professeraient les Belges r fugiés en Angleterre, en France, et en Hc lande pour le "patriotisme inférieur" d' Belges restés au pays ! Nous protestons de la façon la plus éne gique contre une semblable allégation, qui co stitue un faux, un mensonge éhonté et ui odieuse calomnie. ' Jamais, dans aucun journal belge paraissa; librement en dehors du territoire envahi, patriotisme des populations belges subissa: l'ignoble joug de l'envahisseur, n'a été su pecté d'aucune manière, et nous défions de façon la plus absolue les calomniateurs ail mands qui répandent ces horreurs de citer ui ligne, une phrase, un mot, qui puisse réflét une telle pensée. Certes, la presse rçon asservie du dehors pu émettre des critiques au sujet des actes p< nobles de tel homme public devant l'ennen comme elle a tressé des couronnes à d'autr hommes publics qui s'étaient particulièreme: distingués par leur courage civique. Ces d faillances devaient être relevées, dans l'intér même de la population belge. En plusieu cas, du reste, le fait seul qu'elles ont été re dues publiques a évité leur renouvellement. Mais de là à suspecter le patriotisme de population belge, à dire que ceux qui so restés au pays ont manqué à leur devoir et so des patriotes de " qualité inférieure " ; que 1 Belges du dehors ne cessent de les dénigre qu'ils veulent ainsi se " justifier " (?) d'avç quitté le pays, il y a un monde! Jamais les Belges exilés n'ont nourri ( semblables pensées, jamais, comme on semb malheureusement le croire en Belgique, da: certains milieux, il n'a été donné vent ici, p plus qu'en Hollande et en France, à d'au? criminelles erreurs. Les Belges du dehors comme ceux du deda ont fait, chacun de leur côté, leur devoir. Les premiers ont voulu conserver avant to ce qui leur a paru le bien le plus précieux, liberté; ils sont partis parce que le désir d Allemands était qu'ils restassent, parce qu': ont désiré continuer à gagner leur pain sa être à la merci de la charité publique—il y a l'étranger, en ce moment, des milliers Belges qui travaillent !—et parce qu^ils se fo des événements à venir une idée peut-être d férente des Belges qui sont restés au pays. Ceux-ci, à leur tour, ont fait preuve du pl noble patriotisme puisqu'ils ont subi av courage toutes les avanies de l'ennemi, qu': conservent malgré tout dans des circonstanc difficiles, la foi en l'avenir, et que leurs class dirigeantes se sont employées avec un déve ment qui force l'hommage à panser les plai de la guerre, grâce aux secours préparés l'étranger. Les Belges de l'extérieur ignorent c€ moins que personne. Si donc l'on pouvait faire le moindre ] proche aux Belges du dedans et leurs por ^ LE NOUVEL AN SUR LE FRONT. UN TELEGRAMME DU ROL Nous avons reçu la dépêche suivante, dont nous nous empressons de publier le texte : Secrétariat du Roi et de la Reine. Monsieur le Directeur. e Votre télégramme si amiable a été particu-e lièrement remarqué par nos souverains. 1 Leurs Majestés vous adressent Leurs meilleurs remercîments et vous prient d'être l'interprète de Leurs sentiments reconnais-e sants auprès de tous ceux dont Elles^ ont reçu, s par votre gracieuse démarchq, le témoignage '' d'attachement. l~ Recevez, Monsieur le Directeur, l'assurance s de ma considération distinguée. LE SECRETAIRE. r t LES HUNS EN FRANCE. ■ NOUVELLES ATROCITES. s PARIS, 8 janvier.—Le rapport officiel de la -s Commission d'Enquête française sur les viola-i- tions allemandes du droit des gens, dans les départements envahis, a paru aujourd'hui dans _ le "Journal Officiel." ^ Les faits cités sont tous absolument prouves, et aucun de ces attentats ne résulte de la guerre s proprement dite. Ils sont la conséquence d'exces s volontaires .de l'ennemi. Dans les districts ravagés par les hordes barbares, les souffrances endurées par la population dépassent tout ce que l'imagination pourrait con-l" cevoir. Rien que des dévastations. Des villes entières ne sont plus qu'un monceau de ruines, n Aucune guerre n'a jamais présenté le caractère s sauvage de celle-ci. Le pillage, le viol, l'incen-' d'ie, le meutre sont la pratique courante de notre implacable ennemi. Les attentats contre les femmes et jeunes filles sont d'une fréquence _ extraordinaire. î, Des milliers de crimes qui, en temps normal, ;3 seraient réprimés avec la dernière sévérité prouvent, l'abîme d'abjection morale de la mentalité tudesque. Les commandants de ces soudards criminels, même les plus élevés en grade, porteront une responsabilité écrasante envers l'humanité, n — ® LES COMMUNICATIONS POSTALES AVEC LA FLANDRE ORIENTALE, n x Le consul néerlandais à Gand, M. K. 3S Kuyk, 5, communique ce qui suit au sujet du service des ' postes consulaire pour la ville de Gand et la 7 Flandre Orientale. Toutes les lettres qui ne répondront pas strictement aux conditions sui-vantes seront détruites ou refusées et n'atteindront en aucun cas leurs destinataires, i- ï. La lettre ne peut avoir d'autres dimensions jr que celles d'un feuillet de 14 x 21 centimètres, .j. Eile doit être écrite lisiblement. Il n'est pas ^ permis d'écrire entre les lignes. Les lettres it commerciales ne sont pas tenues au format à 14 x 12. ît II. Les questions d'ordre militaire ou politique ne peuvent être abordées. I III. La lettre ne peut être contenue que dans une seule enveloppe. Cette dernière doit restei ;r ouverte. i- IV. L'adresse doit être rédigée ainsi: Consul u ' Kuyk, po9te restante, Sas van Gent, à de-[e livrer à... V. L'expéditeur doit mentionner son nom et son adresse au verso de l'enveloppe. Toutes les lettres sont soumises à une censure i- rigoureuse de la part du consulat et des autorités >s allemandes. e Les journaux, les imprimés et les colis postaux i.' sont refusés. On est prié de ne joindre aux lettres aucune formule de remercîments à u l'adresse du consulat, e- ïs —M. Poincaré a signé un décret prohibant la vente ou le débit de l'absinthe et des produits similaires dans toute la France, et interdisant r" l'ouverture de nouveaux débits de boissons alcoo-liques, exceptées celles dont la teneur en alcool ie est inférieure à 23 degrés. parole, c'est d'avoir accueilli avec une cer-taine crédulité, d'après des " on-dit" et des „ racontaTS, sans fondement ni preuves d'aucune sorte, les histoires à dormir deboul e_ inventées par l'ennemi dans le seul but de le diviser les Belges. Nous comprenons que, dans les circonstances actuelles, le patriotisme de nos frères a de Belgique soit particulièrement chatouil-,u leux, nous parlogeons leurs émois, mais nous j nous demandons vainement comment ils aient pu prendre pour argent comptant de pareilles sornettes, comment M. Arthur Ver-haegen par exemple, a pu écrire dans le g+ " Bien Public " du 15 décembre que la " men-rs talité imprévue " des Belges du dehors donl nous nions absolument l'existence " s'affirme nous assure-t-on, dans certaines publications ]a retentissantes." Quelles publications? Qui est cet "on" qui calomnie les Belges 53 d'Angleterre auprès de M. Arthur Verhaegen! r. "Il serait fort intéressante de le savoir, ir Pour l'amour de Dieu, que les Belges dt dedans se montrent plus circonspects ! Qu'ils le n'acceptent rien de ce qui leur arrive du de ]c hors, sous le contrôle allemand, que sous les ls plus expresses réserves, et avec des preuves as formelles! Qu'ils ne publient pas, sous k si censure allemande, des " réfutations " de publications imaginaires qui ne peuvent qu< 3S faire le plus grand tort aux populations di dedans. ut Que celles-ci sachent qu'elles ont, i la l'étranger, des frères fidèles, qui les défenden es par la plume et par la parole, qui travaillent 1s qui s'occupent à rendre leur sort moins amer et qui loin de leurs foyers délibérément aban à donnés en proie aux dures souffrances morale: Je de l'exil jouissent du nécessaire mais ne pas nt sent nullement leur temps dans les délice: if. de Capoue ! Qu'ils se méfient surtout, dans le miliei as où ils vivent, des influences tenaces d'ui ec ennemi qui connaît à fond l'art odieux de li ls calomnie et du mensonge. es Qu'ils songent qu'eu jetant la pierre à leur: es frères du dehors, ils font le jeu de l'Allemagne û- Qu'ils se souviennent toujours.de notre im es mortelle devise: "L'Union fait la Force!" à Et qu'en attendant le jour heureux oi l'envahisseur barbare soit honteusemen la chassé de la libre Belgique, ils s'occupent ave> nous a préparer V après-guerre," qui mettr; •e- définivement au ban des nations le nom aile ;e- raaneL COMMUNIQUES OFFICIELS RUSSES. « L'OFFENSIVE EN BUKOVINE. GUERRE DE TRANCHEES. FETROGRADE, 7 janvier.—Communiqué d< l'état-major du quartier-général:— Sur la rive gauche de la Vistule, hier, ur calme presqu'absolu a régné, excepté sur le fron Sukla-Bolimoff, où il y a eu une action isolée. Les Allemands ont tenté d'avanceT par des travaux de sape, en utilisant des bouclier: d'acier. La nuit dernière, dans le village de Sukla,_ il: se sont emparés d'une partie de nos tranchées mais ils furent délogés ce matin à la pointe d< la bayonîlette. Dans cet engagement nous avons captun quatre canons et un oertain nombre de prison niers. En Galicie il n'y a rien à signaler. En Bukovine notre offensive continue. NOUVEAU PLAN ALLEMAND. UN MILLION D'HOMMES CONTRE VARSOVIE ? COPENHAGUE, 7 janvier.—Un messag-privé de Berlin dit que l'opinion générale dam la capitale est que le maréchal von Hindenbur; effectue en ce moment ses derniers préparatif. pour une attaque décisive contre Varsovie. L'armée allemande rassemblée à cette fin es estimée à un million d'hommes.—^Central News. L'AUTRICHE AVOUE. AMSTERDAM, 8 janvier.—Le communiqm officiel publié hier après-midi à Vienne dit:— Sur le front de Galicie et de Hongrie, tout es calme. Dans les régions élevées, la neige est tombé et il y a une gelée légère. Sur la Dunajetz et en Pologne russe, de combats d'artillerie ont eu lieu sur divers points Dans les districts boisés des Carpatnes, e dans les positions méridionales les plus avancées des considérations relatives à la sûreté de no troups «'sic) rendirent nécessaire une retraite ver les passes principales devant la supériorit numérique des forces hostiles.—Reuter. INSUCCES AUTRICHIEN. NISCH. 8 janvier.—Le communiqué officie suivant est publié ici:— Le 3 janvier, l'ennemi occupa avec d'asse grandes forces la petite île Ada Tzigoulia, dans 1 Danube, près de Belgrade. Dans la nuit du 4 au 5 janvier, quelque faibles détachements de nos troupes surpriren l'ennemi et le mirent en déroute. Nous fîme prisonniers 45 soldats, un sergent-major, et deu seTgents. Nos pertes furent insignifiantes. En dehors de cet engagement, il ne s'est rie: passé d'important sur aucun point du front.— Reuter. LA BATAILLEJD'ARDAGAN. 1500 MORTS. PETROGRADE, 8 janvier.—Comimmiaué off ciel de l'état-major général de l'armée ou Cai case :— Dans les' combats d'Ardagan les Russes or défait et dispersé ceux des éléments de l'armé ottomane qui faisaient, partie du premier corp d'armée caser né à Çonstantinople. Nous avons pris une grande quantité de buti de guerre et de canons, et nous avons fait pr sonniers plusieurs douzaines d'officiers et d nombreux soldats. Nous avons enterré plus d 1500 morts de l'ennemi. On confirme que le neuvième corps de l'armé ottomane, fort de 30,000 hommeé, a été mis e déroute complète et a été complètement détru: près de Sarykamysli. La poursuite énergique des restants du dixièm corps d'armée turc continue. TRANSPORTS TURCS COULES. PARIS, 8 janvier.—On déclare officielleraer qu'un grand-transport turc a été coulé par lin mine le 2 janvier à l'entrée du Bosphore. Un autre transport convoyé par le croisei; turc " Medjidié " a été coulé le 5 janvier dans 1 mer Noire, entre Sinof>e et Trebizonde. Le croiseur protégé russe " Pamyat Merkuria et le contre-torpilleur rnsse " Gnyevnyi attaquèrent le " Medjidié," qui, quoique frapp par plusieurs obus, roussit à s'échapper.—Reute UNE MENACE CONTRE L'EGYPTE. COPENHAGUE, S janvier.— Un télégrainm de Cologne dit que les Turcs, qui avaient coi ; oentré leurs années principales à Jérusalem, pri parent une attaque contre l'Egypte. L'armée comprend 120,000 hommes de troupe régulières et 70,000 Bédouins.—Exchange. FERMETURE DES DARDANNELLES ? "ROME, 7 janvier.—Des dépêches reçues ; Salonique de Constantinople annoncent qu ' d'immenses quantités de rochers et de débr ■ sont accumulés le long des Dardannelles dai: i le but d'obstruer le détroit au cas où la flotl i des Alliés tenterait le passage. Vingt autorités allemandes, accompagné* d'hydrographes, viennent d'arriver pour dirig< • les travaux.—Ex change Spécial. L'ITALIE ET LA GUERRE. L UN INTERVIEW. ROME, 7 janvier. Le " Corriere délia Sera publie un interview de M. Sazonoff, le ministi russe des affaires étrangères, où il donne so approbation sur l'action italienne à Valona, i ajoute qu'il ne voit pas pourquoi le drapeau alb nais flotterait à côté du drapeau italien aus longtemps que le Russie ne reconnaîtrait pî l'existence ae l'état albanais. M. Sazonoff a exprimé la certitude que l'Ital se rangerait du côté de la Russie, dont les int rêts sont identiques aux siens. La Russie n pas demandé l'hégémonie balkanique. Le ministre russe a déclaré que les états ba kanique devaient se mettre d'accord pour ur organisation permanente. La Dalmatie pourra être partagée entre la Serbie et le Monténégr tandis que l'Italie serait maîtresse de l'Adriatiqi par la possession de Trieste, de l'Istrie et c Valona. En conclusion', M. Sazonoff déclara que la r union des souverains Scandinaves était considér< avec satisfaction en Russie, dont les relatioi " avec les pays Scandinaves sont excellenies.-Gentral News.. MONITEUR BELGE. DES 1, 2, 3, 4, 5 ET 6 JANVIER 1915. SITUATION DES OFFICIERS DE RESERVE ET DES OFFICIERS AUXILIAIRES HORS D'ETAT DE SERVIR. —11 est alloue aux officiera do réeerre. y compris cnux admis dans 'l'armée en cette qualité pour la dure- de la guonc, ain*i qu'aux officiers auxiliaires, mis hors d'état de eorrir pour cause de blessures ou d'infirmités provenant de# latigue.s accidents ou dangeis du serrice militaire, Aine indemnité annuelle dont le taux est fixé ci-après sarbir:— Lieutenant général et assimilés Ir. 8200 GénéraJ-major id ,, 6800 Colonel id. „ 5660 Lieutenant-Colonel id. „ 4700 .Major id. „ 3900 Capitaine commandant id. 3240 Capitaine en second id. 2880 > Lieutenant id. 2400 Sous-lieu tenant id. 2000 Art. 2. L'indemnité préruc par l'article 1er t*t réduite I le cas échéaiA d'une 6omme égale au chiffre de la. pension dont jouit l'officier qui, ayant cte pensionné ataut l'ouverture ' des hostilités, a repris du service pour la durée do la guerre. ARMEE. NOMINATIONS.—Par arrêté royal du 19 novembre 1914 > le capitaino commandant adjoint d'état-major Guflens, du 8e regixpent de ligne, est nommé major. ^ Pw arrêté royal du 26 décembre 1914, l'adjudant 'seerr-taire d'état-major Tielemaos, eet nomme eous-lieuienant payeur. i EMPLOIS SPECIAUX.—Par arrêté royal du 21 novembre 1914, le major d'état-major baron Greindl, sons-chef d'etat-major de la 6e division d'armée, c?t nommé chef d'etat-major Par arrêté royal du 21 novembre 1914. le major d'état major Termonia, faisant fonctions de chel d'état-major de la 5e division d'armée, est nommé chef d'ôtat-major. Par arrêté royal du 21 novembre 1914, sont commiasionné-en qualité de sous-chefs d'état-major respectivement des Ire, 2e et 6e divisions d'armée: — Les capitaines commandants d'ét-at-major : Neef.% l)e Callataij, (Ecuyer), et Swagers. F. PASSAGES.—Par arrêté royal du 23 decembrr 1914. 1< lieutenant d'administration Delvau.T, attaché k la colonn»-automobile de vivres de la 4e divisiou d'armée, pa*>so dau> , l'infanterie en son rang et ancienneté. Par arrêté royal du 23 droembre 1914, le sou6-lieutenaii! .Jooris, (Ecuyer),"du 1er régiment de ligne, passo dans la car;-lerie on son rang et ancienneté. DEMISSIONS.—Par arrêté royal du 23 décembre 1914. la i démission du grade qu'il occupe dans l'armée, oflerte par lf r lieutenant de réserve Kerrinckx, du 1er régiment de cara l biniérs, est acceptée. 5 Par arrêté royal du 23 décembre 1914, la démission du grade et de l'emploi qu'il occupe dans l'armée, oflerte par le l eous-llcutenarit Daniel, du 2e régiment de chasseurc à pied." est acceptée. OFFICIERS DE RESERVE.—Par arrêtés royaux du 24 décembre 1914. cessent, sur leur demande do faire partie du cadre de réserve: . . ; Le capitaine en second de réserve Fanqnel, du 6e régiment ; d'artillovie. et ' I^es lieutenants de réserve PhiJippot, V.-M.-J., du 6e régiment do ligne, et Benard, du régiment des grenadiers. DESTITUTION.—Par ajrêté royal du 22 décembre 1914. !• t sous-lieutenant Denil, de l'artillerie do forteresse, est destitui-do son grade. Par arrêté royal du 22 décembre 1914, le sous-lieutenant } Malfaieon, du corps des transports de, la 2e divisiou d'armée, est destitué de son grade. , CONVERSION DE L'EMPRUNT CHINOIS (NANKIN 8%). ? Le Gouvernement de la République Chinoise, suivant convention du 7 août 1914, régulièrement notifiée au gouvernement Belge le 8 aoûk 1914, a décidé :— De convertir les obligations Nankin 8 pour cent, i émises par la Banque de reports, de Fonds Publics et de Dépôts d'Anvers, sous forme de certificats provisoires suivant convention du 30 z décembre 1913, sur les bases suivantes: 5 Chaque certificat provisoire émis par la Banque de Reporte, de Fonds Publics et de Dépôts s d'Anvers (Belgique) et représentant une oblig't t t:on Nankin 8 pour cent, va'eur neuf livres ster d ling, jouissance 1er août 1914, sera échangée t contre une nouvelle obligation 5 pour cent., valeur- SLO livres sterling, jouissance 1er aoi'it 1914. i Les garanties, les dates d'échéance des coupons - et le remboursement sont les mêmes que celles des anciennes obligations Nankin 9 pour cent. En conséquence, la Banque de Reports, <le » Fonds Publics et de Dépôts d'Anvers (actuellement Crédit mobilier de Belgique), chargée par le gouvernement Chinois du service financier du nouvel emprunt de conversion,'invite les porteurs de certificats provisoires (obligations Nankin s pour cent.) à échanger leurs titres contre les . nouvelles obligations 5 pour cent.,' aux guichets _ de la Banque Italo-Belge, 6, Princes-street, Londres. e LE LIVRE D'ADRESSES DES EXILÉS. 1 j. 9 pence la ligne.—Joindra lo montant aux ordres, e.v.p. Famille brunbrouck-debooscherj. serait reconnaissante à porsonno qui pourrait donner renseignements caporal Joseph Brunbrouck. lOme ligne, Zr p batail, 3a Cie., 4o div. d'Armée, Namur.—Ecrire 7, boulevard Colmar, Roubaix. _ t /"^N cherche adresse Docteur van Bev<-r V./ d'Anvers.—Ecrire 22, Cajnpdon Hill-gardern-, Ken aington. e ÎÏIROT. RAOUL, 25e ligne III/4, 2e dh~ : Jl d'armée, est prié de donner nouvelle»: à M. Delmarcel, professeur à l'fluiversité de Louvain, G. Chai font- road, Oxford. AN DËR HEYDEN (Mlle. Marthe) de. Toncree, Belgique, et Van do Ryst Rubens, Madain.-t Virginie de Toncrrcs sont cherchée»» par leur amie Nanti-e Robert.-;, c ,o. Stanley's Li brary .56, Stamlord-hill, London, .N. AVIS AUX REFUGIES.—Si vous desiiéz correspondre, voiis rendre, faire veuir des bagages de-a personnee, envoyer ou faire venir sommes d'argent des payj occupés de Belgique, adressez vous ;'i ,. r» -« ■ - 1 Sers té et Cie, ' Referenoes 8) Little Snt. Andrew-6treet, I Horcau. " 5 •ga,_leS Upper Snt. iM.-.rtin's-lanc, d* 9 à 13 li Séi-ICIIKS. | London. W.C. I Prix modèle». Nous organisons un Toyage pour totrto la. Bolgkn» le 15 courant. Londree-Bruxelles, 6 L. Bruxelles-Lomircs. 7 I.. So faire inscrire d'avance, lo nombre des plaças e ; étant limité. ' i_ OELGES, soldats et réfugiés de Bruxelles et Xj environs peuveut envoyer des nottvollca à leurs familier, on adressant leurs lettres sous double enveloppe affranchie ou nom de M. Jacques Corin, poète restante, à Berçeu-op-S Zoom, Hollande. Pour soldats gratuit, pour réfugiée joindre manda* 5 francs. - ; _ . Y COMPAGNIE BELGE, MARITIME DU CONGO. a c La Compagnie reprenant son eerrico vers la eokmie par un de ses vapeurs, demande à son personnel <Je bord de so e présenter immédiatement en personne ou do faire une demande ,s écrite à son adresse: 4, St. Mary-axe, Londie*. !1* ONTREMAITRË belge demandé au courant \ y fabrication wagons culbuteurs et forgeage.—Ecrire 1719. bureau Métropole, 132-4, Fleet-st., E.C. CRITERION (Gerr. 3844).—Ce soir à Sli. 3<j" ' Pour deux semaines seulement. LA DEMOISELLE DE MAGASIN. Prix spéciaux réduits. Parterre, 1». MATINEES, MERCREDI ET SAMEDI à 2h. 30. 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High-etreet, MaryleboneL_No engagement, n® fee. 3 T A METROPOLE paraît chaque matin, sauf 'o ' 1 à dimanche, danô le " Standard." vendn chez tour, k-marchands do journaux au prix d'un penny. Nous consci: e Ions vivement à 1106 amis de s'abonner au prix de 3sb. ? par mois pour le Royaume-Un^ et 4sh 4 pour l'étranger, et <;■ 5 nou« adresser le prix de l'abonnement eu un mendat. Lo' tarif des annonces est de 9d. la ligne pour lo " Livie ^ d'adreeees des exilés." payable d'avance, et pour toute aulr-i IS publicité, le tarif du "Standard." Nous avons onvert un _ bureau dans l'immeuble du " Standard," FIcotr«troot, 132 <V E.C., onvert de 2 à 6 heures. En cas do demande par écrit, joindra deux timbres d'un pennj.

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This item is a publication of the title La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres belonging to the category Oorlogspers, published in Londres from 1914 to 1919.

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