La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

1243 0
close

Why do you want to report this item?

Remarks

Send
s.n. 1917, 05 May. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 04 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/0v89g5h67p/
Show text

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

LA MÉTROPOLE ■ONE PENNY CIKQ CENTIME! ^■T. VIJF CEKT DIX CENTIME! PARAISSANT PROVISOIREMENT A LÔNDRES Bureaux : 43, Chancery Lane, W.C.2 — Telephone : Holborn 212. abonnement 1 moi* 3£sb. ; 3 mois, 9 sh. ■4MB AN N EE SAMEDI 5 MAI 1917 No. 125 LA GRANDE GUERRE u Reorise de la bataille d'Arras L buts de guerre de la Russie 1 LE CHILI ET L'ALLEMAGNE lr la quatrième fois depuis le début bataille d'Arras les troupes primes s'en prennent au fameux fos-lindenburg. Cette offensive s'étend ote la région d'Arras, sur- un front igt-quatre kilomètres. Cette région end les deux secteurs dont nous ,s il y a quelque temps, soit celui direction d'Arras-Lens, ou secteur vallée de Souchez, avec Loos à gauche et Vimy à l'aile droite, et iteur de la direction d'Arras-Douai. dernier est le secteur de la vallée fScarpe, avec Vimy à l'aile gauche, kection de" Drocourt, et Noreuil à [droite,en direction de Quéant. Les [les plus cités dans ce secteur ap-innent à cette aile droite, gui suit lée de la Sensée : à savoir, jalon -le front d'attaque du nord au sud, Je gauche à droite : Monchy, He-■ Croigille, Bullecourt, Noreuil. ce premier secteur — où à l'ai-Lche générale — les troupes cana-îes ont capturé Fresnoy, tandis que [le second les" Australiens se trou-dans la région de Bullecourt; le centre se trouvent les batail-janglais, écossais et irlandais. La re de Fresnoy par les Canadiens a piment frustré une attaque alle-le qui se prononçait contre Arleux, la matinée. * ? s troupes fraîches composées des :25e et 69e régiments d'infanterie deux sont des formations nouvel-ùvaient été mises en ligne à .cet ef-fcette attaque causa des pertes à |emi dès qu'il entra dans ses tran-S peu profondes de Douai ; quand Canadiens attaquèrent, les survivants endirent à une attaque de front,mais irent simplement entourés et le vil-;se rendit après une courte résistan- 1 sud de la" Scarpe la position alle-le fut encore affaiblie par la perte )o mètres du fossé Hindenburg qui iépassé au sud de la route d'Arras mbrai. Ici les troupes britanniques «it rapprochées du bois de Sart et )is Vert, occupant la crête peu éle-ffl face de ce dernier et quelques its boisés. Après une résistance lérable, Chérésy et le terrain interlire au sud de la Cojeul furent cap-et l'avance conduisit les troupes ises jusqu'à la fabrique de Saint-'t, à un kilomètre et demi de Vie-tois. H ■ " captures les plus remarquables i effectuées sur les flancs du front s long, tandis que vers le centre, i-diré jusquà la vallée de la Scar-s progrès ont été plus lents par le l'intensité du feu de mitrailleu-chées,contre-attaques, d'habitude effec-sur une échelle formidable, se dé-'èrent promptement à chaque point - avance avait été faite; à Gavrel-tre autres, l'ennemi reprit du ter-[u'il avait perdu. En général ces es furent brisées par l'artillerie laintint un feu terrifiant pendant la journée. La canonnade fut des Hense autour de Rœux, le point i que les Allemands défendent i dernière énergie. Autour de Bul-se livrent des combats tenaces .Australiens on réussi à s'établir 1 lisières extérieures du village. correspondance du Morning Post >us avons reproduite hier au sujet situation en Russie et dont le ca-optimiste n'aura échappé à perse trouve confirmée par une note • Miliukoff, ministre des Affaires !res de Russie, vient d'adresser "ésentants diplomatiques des pays journaux du soir de Pétrograde en outre que tout le gouverne-'rovlsoire est solidairement res-le des termes de cette note et que son action est appuyée par le comité exécutif de la Douma. ♦ Cette note est un complément du manifeste que le gouvernement russe a publié le 27 avril dernier au sujet des buts de guerre de la Russie. La Russie émancipée, dit ce document, peut employer un langage qui peut être compris par les démocraties modernes et se hâte d'ajouter sa voix à celle des Alliés. Les déclarations du gouvernement provisoire étant pénétrées du nouvel esprit de la démocratie libre ne peut donner le moindre prétexte pwur supposer que la démolition de l'ancienne structure a eu pour résultat un affaiblissement de la part de la Russie dans sa lutte commune avec tous les Alliés. Au contraire, la détermination du pays de finir"ia guerre mondiale par un victoire décisive a été accentuée par le sens de la responsabilité qui appartient à tous en général et à chacun en particulier. Cet esprit est devenu plus actif par le fait qu'il est concentré sur la tâche immédiate qui nous touche si étroitement, de repousser l'ennemi du territoire envahi. Il est entendu que le gouvernement provisoire en sauvegardant les droits acquis pour le pays maintiendra un strict égard pour les engagements conclus avec les alliés de Russie. La nouvelle — du reste assez improbable — d'une rupture diplomatique entre le Chili et l'Allemagne, vient d'être démentie par Berlin, qui affirme qu'il n'y a aucun fondement au bruit suivant lequel le ministre de Chili avait demandé ses passeports. En Grèce les ministres, de l'Entente ont présenté une nouvelle note au gouvernement grec demandant le "rétablissement du contrôle allié sur les douanes, les chemins de fer, les postes et les télégraphes et la police, en accord avec l'ultimatum que les Alliés ont présenté le 31 décembre dernier. o—o La dernière lettre du cardinal Mercier à von Bissing On reçoit d'Amsterdam, d'une souce dont nous n'avons pu contrôler la valeur, le /texte de la dernière lettre adressée par le cardinal Mercier, archevêque de Malines, au gouverneur von Bissing, à la fin du mois de février. Le Temps en publie le passage suivant : 11 v a, monsieur le gouverneur général, une barrière devant laquelle s'arrête la force militaire et derrière laquelle s'abrite in-violablement le droit. De ce côté de la barrière, c'est nous, les représentants de J'autorité morale, qui parlons en maîtres. Nous ne pouvons ni ne voulons laisser enchaîner la parole de Dieu. Je ne parle pas de notre revanche terrestre, nous l'avons déjà, car le régime d'occupation que vous nous faites subir est honni par tout ce qu'il y a d'honnête dans le monde entier. Mais je veux parler du jugement de l'histoire, de ce jugement inéluctable du Dieu de justice. Et à vous, qui êtes, si je suis bien renseigné, le fils de l'Eglise supérieure du Christ, à l'égal du plus humble de nos ouvriers, j'ose déclarer que vous chargez votre conscience d'un lourd verdict en couvrant de votre haute autorité une * justice militaire qui assimile à un délit un acte d'abnégation chrétienne et pastorale. o—o La lettre du cardinal Mercier au Pape La lettre du cardinal Mercier au Pape au sujet des .déportations belges a fait une profonde impression dans le monde catholique depuis qu'elle a été publiée dans l'Osservatore Romano. La Tribuna estime que devant cette accumulation d'atrocités le catholicisme allemand aura à se justifier devant le Saint-Siège, ou à défaut devant la conscience du monde catholique tout entier. La Conférence de Stockholm. Les internationalistes au service de l'Allemagne. M. Stauning, un des trois ministres sans portefeuille du cabinet danois où il représente les socialistes de son pays, s'est rendu l'autre jour à Stockholm, où il a eu une entrevue avec M. Branting, socialiste suédois. Ce dernier l'a autorisé à dire que la conférence socialiste internationale aura lieu même en cas d'abstention des socialistes anglais. Comme on l'interrogeait au sujet des conditions de paix, M. Stauning a répondu : " Nous pensons que la paix devrait être conclue sur la base d'un statu quo, mais nous estimons naturellement que les questions urgentes, telle que l'autonomie ou l'indépendance de la Pologne, doivent être réglées. Quanfc-à la question des indemnités de guerre, elle doit être ajournée jusqu'à la conclusion de la paix." C'est la preuve que le socialisme international fait fi du rétablissement de la Belgique, de la Serbie et du Monténégro, de la restitution des pays occupés en France, en Roumanie et en Russie et par conséquent qu'il se met au service des ambitions pangermaniques. Cet aveu de politique germanophile suivie par les organisateurs du congrès de Stockholm est si criant qu'il alarme la prudence de la Gazette de Francfort. » * * 15 mai et 10 juin Stockholm, 3 mai. — La délégation hollandaise de l'Internationale socialiste qui prit l'initiative de convoquer une conférence ici aux fins de préparer une action générale par les classes ouvrières en faveur de la conclusion d'une paix générale et durable s'est jointe à la délégation suédoise et, d'accord avec cette dernière, il a été décidé d'inviter aussi les partis socialistes en Norvège et au Danemark à nommer des délégués pour participer au travail qui aura un caractère permanent. En réponse à un télégramme d'un délégué français, il a été décidé que des conférences séparées du comité avec les différentes délégations d'autres parties auraient lieu à partir du 15 mai, mais que les délégations conserveraient liberté pleine et entière au sujet de leur participation à la conférence plénière, qui n'aura pas lieu avant le 10 juin, afin que les partis affiliés à l'Internationale puissent examiner leur situation et la situa-j tion internationale créée par de récents événements. — Reuter. * » * L'opposition française Paris, 4 mai. — Le comité administratif permanent du parti socialiste français adresse un appel à la Fédération du parti pour qu'elle évite de donner de la force au courant que certaines personnes imprudentes voudraient « créer et refuse de prendre aucune part à la conférence nationale des fédérations socialistes minoritaires annoncée pour prendre position quant à la conférence internationale organisée à Stockholm par la délégation hollandaise. — Reuter. * * * En Autriche Amsterdam, 4 mai. — D'après un télégramme de Vienne, les journaux du soir disent que des représentants des socialistes allemands en Autriche partiront le 12 mai pour Stockholm pour y assister à- la conférence socialiste internationale. Des délégués tchèques prendront également part à la conférence. —-Reuter. o—e Les annexionnistes allemands Amsterdam, 3 mai. — Les annexionnistes allemands deviennent de nouveau très actifs. Vingt-quatre, associations agricoles, commerciales et politiques ont signé un manifeste publié aujourd'hui, déclarant qué 'la seule paix admissible esit une paix qui accordera à l'Allemagne une indemnité, une puissance accrue et une extension territoriale. " Une victoire allemande, dit le manifeste, peut seule conduire à la paix allemande. Le Kaiser et les chefs de l'armée et de la marine nous la promettent et nous la garantissent." — Times. o—o Avions contre sous-marin Le 7 avril dernier, trois avions terrestres et deux hydro-avions français, attaquant un sous-marin à la mitrailleuse et au moyen de bombes, lancèrent un obus sur le kiosque et virent couler le pirate. L avenir de la Belgique Débat au comité, du Keichstag Amsterdam, 4 mai. — Un télégramme de Berlin dit que le comité central du Reichstag a discuté hier la question belge. Le représentant du Parti progressiste populaire déclara : "La question de l'annexion de la Belgique doit être considérée comme enterrée. Sa discussion est en outre indésirable au point de vue de l'unité nationale et de la Fédération impériale allemande qui est la source de notre puissance et de notre force. L'existence de la Belgique comme Etat semi-souverain signiherait une protestation permanente et une menace de guerre permanente, mais la restauration complète du statu quo comprendrait aussi les plus graves dangers. Le seul chemin conduisant au but désiré est la séparation d'Etat des Flamands et des Wallons. Nous pouvons partir du mouvement flamand qui est devenu très fort pendant la guerre. Le ministre de l'Intérieur rendit un chaleureux tribut à feu le gouverneur général von Bissing et dit : " Son œuvre sera poursuivie avec toute l'énergie en notre pouvoir. La séparation administrative se poursuit dans l'union la plus étroite avec le Conseil des Flandres et fait de bons progrès. ' ' Un orateur du Centre (catholique), dit qu'en tout cas une politique flamande prudente avec un but fixe en vue doit être poursuivie. Un membre de la fraction allemande (?) qui déclara qu'il avait été en communication constante avec les chefs intellectuels parmi le peuple flamand dit qu'il serait des plus dangereux pour les états-unis de Belgique de retourner sous l'ancienne dynastie. Un ordre du jour commun de toutes les sections demanda alors que les mesures nécessaires soient prises promptement pour la rapatriation immédiate d'ouvriers belges qui ont été déportés de force dans le ;iord de la France. Un orateur conservateur déclara : "Quelle que soit la forme que la Belgique puisse prendre, nous sommes confrontés avec là question de savoir si la côte des Flandres viendra'sous notre influence ou sous celle de l'Angleterre", et engagea ses amis à demander ^que cette côte reste sous l'influence militaire allemande. Le directeur ministériel, Dr. Lewald, fournit des informations au sujet de l'exécution de la séparation administrative. Pour ce qui concerne les autorités individuelles, dit-il, on peut s'attendre à ce que, malgré quelques difficultés, "la séparation serait complétée d'ici quelques semaines. Un membre du parti socialiste dit que ce n'est pas par une politique d'oppression mais seulement par une politique de compréhension mutuelle qu'une situation., pourrait être créée dans l'ouest qui assurerait l'avenir du peuple allemand. — Une lettre du cardinal au président Wilson Amsterdam, 3 mai. — L'Echo belge apprend que le cardinal Mercier a envoyé une lettre autographe au président Wilson. — Central News. A l'Université von Bissing Un truc machiavélique Les Allemands, on le sait, ont recours à des moyens extraordinaires pour arriver à donner au moins deux élèves à chacun de la cinquantaine de professeurs que compte l'Université pseudoflamande de Gand. L'un - des plus machiavéliques est, sans contredit, le suivant, rapporté par le correspondant particulier à Gand du Telegraaf, d'Amsterdam (12 avril 1917), et reproduit par les officieuses Informations belges (n. 322, 1er mai 1917). "Alors que la population de Gand ne reçoit que 90 grammes de viande par semaine et par tête, les étudiants de l'Université pseudo-flamande, bénéficient d'une ration de 100 grammes par jour ! Ce n'est pas mal. Ce pourrait être mieux, par exemple, en faisant servir à boire entre les cours. L'" uitzet " de Gand a de nombreux amateurs. Sans doute les Allemands craignent-ils le ridicule.. . Les annexions sont nécessaires. l\I. de Verneuil le montre très bien dans le Matin de Paris : Telle est la situation : sans annexion, ou plutôt sans restitution des territoires qui, historiquement et géographique-ment,, appartiennent à la France, nos frontières restent oûvertes pour une agression nouvelle; sans indemnité, nos finances risquent d'être gravement compromises ; sans réparation des dommages " en nature notre industrie nationale est à peu près ruinée ! Si, ce qu'à Dieu ne plaise et contre toute attente, les Alliés n'étaient pas en état de remporter une victoire assez complète pour dicter leurs conditions et assurer une paix de longue durée, il ne resterait qu'un moyen efficace pour venir à bout de l'Allemagne. On ne devra pas hésiter à l'employer. Il faudra,par une entente entre tous les pays qui se sont levés pour la défense du droit et de la liberté, soumettre les empires du centre à un rigoureux blocus économique en arrêtant tous leurs produits à la frontière, alors même que ces produits se présenteraient sous l'étiquette fallacieuse d'un pays soi-disant neutre.Ce blocus ne pourra évidemment être appliqué sans des accords préalables qui seront peut-être longs et difficiles, mais s'il est strictement appliqué, c'est une arme terrible et qui suffirait à réduire l'Allemagne. Elle le sait et elle s'en inquiète, car, épuisée par cette guerre dont la durée dépasse toutes ses prévisions, elle ne doit .compter, pour restaurer ses finances et son crédit, que sur ses exportations dont nous avons signalé toute l'importance. Si ces ressources indispensables se trouvaient réduites dans une large proportion par un blocus qui s'étendrait' aux deux tiers des pays civilisés et lui enlèverait ses plus riches clients, l'Allemagne se verrait obligée dfe mettre les pouces. Il faudra bien alors, qu'elle renonce de gré ou de force à ce régime autocratique et militariste qui, par la paix armée, tenait les peuples à la gorge : alors seulement elle pourra entrer dans„la " Société des nations ", où sa place est marquée ! Il ne faut pas se bercer d'illusions. C'est uniquement par la force, sous une forme ou sous une autre, que les Alliés pourront assurer la paix du monde. Il est désormais évident qu'aucune paix durable ne saurait reposer sur le libre engagement des empires du centre. Après ce que nous avons vu, que pèse au regard de l'humanité la conscience allemande? Que vaut l'honneur de l'Allemagne ? o—o La paix allemande Bethmann et les socialistes Amsterdam, J„mai. — Un télégramme de Berlin dit qu'au cours de la séance de ce jour au Reichstag les conservateurs présentèrent (annoncèrent ?) l'interpellation suivante : " La résolution du comité du parti socialiste demandant une paix commune sans annexions ou indemnités a produit du malaise dans des milieux étendus du peuple allemand, à cause du manque d'une décision claire du chancelier sur ce sujet. Une telle conclusion de la paix, tout en satisfaisant aux principes internationaux ne donne pas satisfaction aux besoins vitaux du-peuple allemand. Le chancelier est-il prêt à déclarer son attitude au regard de cette résolution ? " ' Les socialistes majoritaires introduisirent une interpellation demandant au gouvernement de déclarer son attitude au sujet de leur programme de paix. Les autres partis n'adhérerent ni à l'une, ni à l'autre de'ces interpellations. Reuter.Le problème de l'alimentation L'armée belge va cultiver 500 hectares de terre Afip de coopérer à l'alimentation de l'armée et de soulager ainsi le ravitaillement de l'arrière, le gouvernement belge a décidé que cinq cents hectares de terres vacantes en Belgique libre seront labourés et ensemencés par les soldats. Ces champs recevront, selon le cas, de l'avoine ou des pommes de terre.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
This item is a publication of the title La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres belonging to the category Oorlogspers, published in Londres from 1914 to 1919.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Add to collection

Location

Subjects

Periods