La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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24 February 1917
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s.n. 1917, 24 February. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 26 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/8p5v69964k/
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LA MÉTROPOLE P4PATS«ANT T>ï?n-rc-TSnrPTTMTr.TtfrT1 A TENDRES ONE PENNY JSORT: CIHQ CENTIME* P.Kttn/^tfpv ï ,îin/> W n Tol^nKrtnc ■ HûlbofH 212. ABONNEMENTS : mois, 3 sh. ; 3 mois, 9 sh. Buvez !a THÉ LIPTOR Si vous désirez le meilleur thé adressez-vous à ta firme qui le plante. LIPTON LTD- Agences et filiales da»î tout le Royaume-Uni I OOITIIBI SAMEDI 24 FEVRIER 1917 No. 55 LA GRANDE GUERRE {L'armee américaine cas du "Rochester" et de 1'"Orléans' i „ fliictrn-hnn(rrni<ie OL^a jvnuui I aurait tort de croire, en jugear ■_ l'absence d'événements sens £ HneLs, que la crise germano-amenca ■ a diminué d'intensité et qu'après un — Hrtprip de quelques semaines les rel£ 68 Bs diplomatiques entre les Etats-Uni *8 ■l'Allemagne seraient reprises d un automatique. Suivant une comrru H,i0n officieuse de Washington le Hmauc auraient créé inconsciemmer H ^■pression que la situation s'est teU. fi Ht améliorée que le président W ilso _ ■„rn plus besoin d'aller devant le Cor K pour demander les pouvoirs néce: ^■res pour agir. On fait ressortir tu a ■traire la situation est toujours ext/< Hwnt grave et selon toute probabilil ■président recevra l'autorisation dor ■juge avoir besoin. Personne "e sa ■que le président compte faire, mais ■a évidemment un désir de la part c X ^Hministration de ne pas permettre s ■s de croire que la crise est passee i j^Kgite de la réveiller de façon sens: ^K'nelle pour le mettre face à face avi B)ans ces conditions et étant dont ^B'onpeut s'attendre à tout,il n'est peu pas inutile d'examiner ici quelle s ■ éventuellement l'armée que 1< ^ftits-Unis pourraient mettre en lign Hfairée par les troupes qui se tro ■ actuellement sous les armes, l'a — ^H%américaine ne compterait pour rie (S ■ compose d'assez d'infanter ^Hurcomposer une demi-douzaine de c ^Bions européennes avec quelques cor; ^■cavalerie choisie divisés en détach Htrb qui opèrent sur la frontière i ^■exique ou dans les colonies indienne tentatives ont été faites pour co Hntrer périodiquement ces troupes da ^Bs camps d'instruction, mais on ne pe ■ qu'une instruction supérieure exisl ^Krrière ces forces régulières ,se trou milice d'Etat qui consiste nomina' ^Bent d'environ un million d'homm Hais qui n'a pas d'existence militai ^■d'instruction fixe. C'est un réserve ■tommes qui, dans le passé, a sei ^fcuement pour la défense locale I La force principale des armées amé Hani> dans le passé a consisté surto Wc volontaires qui ont été recrutés Hptruits après le début de la guéri Hw ces volontaires les Etats-Unis c Hait la guerre de Sécession contre I ■giais en 1775. et tentèrent d'enval ~~ ■ Canada en 1812. Au cours de la gu< a'nii H C'V''e 'es Etats du Sud et du No idon, ■ recruté, instruit et équipé de gra ■ armées de volontaires qui apprire lart de la guerre avec une rapidité si rr-^Brenante et livrèrent les batailles 1 ationB sang'antes et firent les campagn asse.H' P'us ardues de l'histoire militaire, une^fr^s des Américains a été si gra s depuis lors tant la Grande-Bretag r les^Bue les Etats-Unis se sont abandons retf"mProvisation militaire qui est pei é°eW* 3"^e Un ^CU tr°'3 '°'n" villeB..^s la plupart des Etats américai sur- existe des collèges militaires où 1' ,bre. ■feigne les professions d'ingénier °-,ettKaV0Cat et sont organisés sur c Jie"t Iases militaires et où l'art militaire 1 çan3 conséquence enseigné égaleme; sitesB , versité de West Point est reno Et H. ^ comme école de science militaire seul^Br'r,ri6 plus d'officiers qu'il n'en f£ des^B^r l'armée américaine. Ces homrr Hîr"ient donc des réserves potentiel ,E H' 0""c'ers et ce sont ceux qui ont je rôles les plus éclatants au cours guerre civile. •méeH Au cas où les Etats-Unis se jo DitH|ra'ent ,aux Puissances de l'Entente da actue' une nouveHe situati tiHe-Hr re se ferait jour qul serait be£ gaU-^B?.P,'us favorable à l'Entente, si 0rit« américaines consentaient à e ■5e,r leurs troupes de la façon la p] ■|ettive. Les régiments existants poi ■«ittit être remplacés dans leurs foi I "s d'abord par la milice et ensu — — o t par les volontaires. Ces régiments se raient ensuite concentrés et agrandis pa un nombre deux fois aussi grand de vo e lontaires qui apprendraient leur métie l— en même temps. s Cependant si l'Amérique intervient le e armes à la main elle rencontrera d 1- grosses difficultés sur son chemin ca s l'idée de la discipline est neuve et im 't populaire, et en outre les immense quantités de munitions dont il faudr; n pourvoir l'armée ne se trouveront pa 1- si facilement. Sur les différents fronts la situatioi u est inchangée. Les deux navires améri cains, le Rochester et l'Orléans, qui on e affronté la zone dangereuse malgré 1 !l défense allemande, sont attendus d'u; jour à l'autre à Bordeaux. Les journau allemands font ressortir que ces deu 'e navires doivent avoir échappé à la sut 11 veillance des sous-marins. Mais il es ;t plus que probable que les sous-marin ont reçu à leur sujet des instruction c précises. Quant à la position de l'Autriche-Hor 16 grie dans la question sous-marine 1 t_ Gazette populaire de Cologne fait re< e" sortir que l'alliée de l'Allemagne répor îs dra poliment à la note américaine mai e- rien ne distinguera sa conduite de cell a- de l'Allemagne. r- 0—o ? L'anéantissement du peuple i;1 arménien 3S " e_ Le journal de Moscou Russkoïe Sloi ju publie un appel qui dépeint sous les ph poignantes couleurs l'anéantissement auqu est voué la population arménienne dans ! n~ région d'occupation russe. Cet appel es 113 signé par le représentant du gouverneur d ut Caucase, Prieur Sawen ; le représentant d e- comité arménien de Moscou, Sogomonjanz ve le représentant du secteur des fugiti e- d'Erzeroum, Tersian ; le représentant dt es fugitifs du district de Bajburt, Sepuch. re Les Arméniens, dépouillés de leurs moyei ,jr de subsistance les plus essentiels, sont, si j le front du Caucase, voués en masse l'extinction. Par suite du froid intens femmes, vieillards et enfants passent leu: derniers jours dans des caves humides 1 ri- des granges glaciales. Ceux qui peuvei ut encore marcher vont ramasser dans 1< et rues des déchets de repas pour les porti aux leurs. Dix mille fugitifs endurent ain ' la faim et luttent désespérément contre mort. Le froid, la faim et les maladii infectieuses rendent plus misérable enco: ur la terrible situation des fugitifs. La mo -r" talité des enfants est extrêmement élevée r£l o—o nt Les sympathies américaines poi ir- les œuvres de guerre des Allie es L'agence Reuter apprend que M. Samu Le Insull, président du Comité financier e bazar de charité des Alliés, ouvert récer ne ment à Chicago, vient de publier quelqu és chiffres provisoires sur le résultat qu'il it- obtenu au point de vue financier. La somme totale recueillie est de 89.51 livres sterling environ qui seront remises ns différentes œuvres de guerre des Alliés. 1 on bazar a été organisé par des personnalit ir, éminentes de Chicago avec le concours d les gouvernements alliés, qui ont prêté au b ;st zar des objets destinés à mettre en relief -,t. nature de la guerre et les efforts faits p m_ les Alliés. et Les visiteurs ont été guidés à travers bazar par des officiers anglais blessés q leur ont montré, dans un terrain avoisina ,es l'exposition, des tranchées dressées sur , modèle de celles existant en France. ué Des bazars similaires ont été tenus de Boston et à New-York où ils ont rencont le même bon accueil de la part de la pop lation. On annonce, en outre, que d'autr ln" Etats de l'Union songent à en organis ns 3 aussi. on 0—0 iu- [es On annonce la mort de M. Jules Bossi André, industriel et agent consulaire France, décédé dans sa Ô4me année, apr us une courte maladie. ir~ Le défunt était officier de l'ordre de ic- Couronne, chevalier de l'ordre de Léopc ite et de la Légion d'honneur. La fin des Internationales La conférence <*e Zurich L'asrence Vas Diaz d'Amsterdam o disséminé la dépêche suivante que nou trouvons reproduite dans certains joui naux hollandais : Cologne, 15 février. — La Gazette popi laire de Cologne apprend de Zurich au si jet de la conférence de parlementaires 1 politiciens catholiques, que le but de la coi férence est de prendre des mesures pour reprise des relations entre les directions pi litiques, culturales et sociales catholique et entre les différents peuples après ! guerre. Des résolutions ont été prises et d< organisations préparatoires ont été établit dans ce but. Une discussion spéciale a eu lieu au si jet des mesures à prendre pour améliori la situation des prisonniers de guerre < pour mettre en liberté la population civil On a l'intention de fixer l'échange par d< accords internationaux. On a aussi spéci; lement parlé en rapport avec la protectic légale du travail. On a envoyé au Pape u manifeste qui sera publié sous peu. La conférence a aussi décidé d'inviti les chefs des catholiques non encore repr sentes à faire partie de l'Union. L'initiative de la conférence est venue d côté neutre. Quarante membres étaient r présentés. K Cette dépêche ne nous éclaire pas ei core sur le point de savoir quels cath< t liques ont pris part à cette conférene s et, en particulier, ne nous donne aucur s précision quant à une participatic belge, dont la Germania faisait ét: (voir la Métropole du 22 février). Tout indique cependant qu'il s'ag d'une manœuvre allemande, imaginée organisée par des Allemands. Le fa s seul que la Gazette populaire de Col e gne, organe du pangermanisme catho! que, endosse l'initiative de la confère ce aux neutres, est caractéristique à < point de vue. Notons aussi que le cor muniqué officieux dit que quarante mer bres " étaient représentés " mais ne que quarante personnes assistaient à " conférence ". Il est donc fort possit 1S qu'il ne s'agisse que d'un caucus d'u 31 demi-douzaine de catholiques prussier a bavarois et autrichiens, avec l'adjon >t tion de quelques religieux germanopl u les suisses-allemands. u La preuve que la " conférence " 1 ' rencontre qu'un succès limité, même a ,s près des catholiques neutres german philes, nous est fournie par l'organe d [S catholiques hollandais, De Tijd d'Aï [r sterdam, qui se fait envoyer de La Ha à (siège de la pro-nonciature) la note si 3, vante (16 février) : *s A la conférence pour discuter la déti mination de l'attitude des catholiques da ,s différents pays après la guerre et en rappe lr avec l'avènement éventuel de la paix, pi sj sonne n'était représenté de notre côté. C [a lui de notre pays qui était invité crut mie ;g faire en n'y allant pas. :e Après ce certificat, nous pourrions r~ rer l'échelle. Il nous convient cependant de dédar une fois de plus et de la façon la pl ir catégorique que ni en ce moment, ;s après la guerre, les catholiques belg ne sont disposés à entrer en relatio d'aucune manière, ni sur aucun terrai avec des catholiques allemands ou a trichieps, quels qu'ils soient et où qu' gs puissent être. a Les catholiques centraux nous ont ti his et vendus. Ils n'ont pas élevé )o moindre protestation contre l'assassir à prémédité de notre pays. Bien miei -e ils se sont identifiés avec le pire imj és rialisme et le pangermanisme le pl es agressif. ja Le sang de cinq mille Belges, lâcl ment fusillés, le sang de quarante sait prêtres, le sang innocent des martyrs le Louvain et de Geelr»de a creusé en ui nous et nos bourreaux un fossé qu's nt cun pont ne franchira jamais. le - 0-0 à Le Pape et la Lithuanie u" Dans une lettre adressée à l'évêque es Samogizia au nom du Pape, le cardi er Gasparri dit que le Pontife connaît le s douloureux des populations de Lithuar réduites à la détresse et à la ruine, gén jt_ sant dans les privations et la douleur, de Sensible aux pleurs de, ses enfants ès Lithuanie, le Pontife prie pour eux ; la let annonce 1 envoi de vingt mille francs la autorise les collectes dans toutes ,ld églises du monde. o—o— La signalisation electrique a MISE AU POINT ' s . Il est presque superflu, croyons-nous, d< dire que la campagne que mène la Métro j. pôle contre l'influence allemande en Belgi i- que est une campagne uniquement inspiréi »t par un principe, par des sentiments patrio 1- tiques et par le digne souci de ce que pen a serait l'étranger si nous tolérions la présen ). ce d'un Allemand ou le rétablissement di 5 l'influence boche en Belgique après I; a guerre. :s Nous ne songeons à mettre des personna :s lités en cause que quand nous constaton qu'en défi de l'opinion unanime ces person 1- nalités font des efforts pour rétablir dans 1; :r Belgique assassinée le pouvoir énorme d' ;t l'assassin. C'est pour montrer la puissance inquié >s tante et formidable que les Allemand 1_ avaient prise en Belgique -avant la guerre n c'est pour mettre et le public et le gou n vernement en garde contre le rétablisse ment de cette puissance que nous devon _'r définir celle-ci par des exemples, en recon naissant qu'il était parfaitement légitim d'accorder avant la guerre sa confiance au; u Allemands même si on ne les aimait pas Ce que nous voulons c'est qu'on ne l'àccor de plus. Cependant nous estimons qu'il faut êtr prudent en matière de personnalités et n'ac cusef des compatriotes authentiques qu'; bon escient, sans cela on s'expose à fair e plus de mal que de bien. II ne faut pas -n sous aucun prétexte —qu'on puisse se ser it vir d'une campagne dictée uniquement -nous le répétons — par des sentiment it patriotiques pour satisfaire des intérêt et des rancunes politiques ou privées. Au lieu de contribuer à l'union qui do 0_ faire notre force on sèmerait ainsi la dés affection entre Belges. Dans notre numéro du '25 janvier noc ~ avons cru devoir venir à la rescousse de :e articles du XXe Siècle contre la signalis; tion électrique. n- En voulant appuyer la thèse du XXe Si m cle, à savoir que désormais les commandi ta de l'Etat doivent être confiées à notre il ,je dustrie, nous avons écrit cette phrase : " U le collaborateur du XXe Siècle a fourni... di renseignements d'une précision qui a ei ' nuvé un ^rni du fonctionnaire responsab c~ de cette... maladresse." Et nous avions conclu que les intrigui actuelles des Boches au Havre existaiei ie autrement que dans l'imagination d u- XXe Siècle, contrairement à ce que pensa o- V Indépendance. es Le 31 janvier nous avions cru pouvoir il n_ sérer sous la rubrique "Correspondance" ur lettre du Dr. Clément Philippe faisant su . te à notre article et produisant cinq noi "" velles accusations contre le fonctionnaire v sé dans les articles du XXe Siècle. M. Pb lippe, dans deux autres lettres publiées p: ns la Métropole quelques jours après,le 3 et irt 10 février, a déclaré qu'après avoir lu ,r_ lettre très nette publiée dans l'Indépendant e_ du 1er février et signée par M. l'ingéniei Jx en chef Weissenbruch, il reconnaissait avo été induit en erreur par des propos calon nieux et il a prouvé, lui-même, l'inanité di ti- cinq accusations qu'il avait produites conti ce fonctionnaire. er Nous ne savions pas, avant sa lettre us Y Indépendance, qui était le fonctionnai; nj incriminé par le XXe Siècle. Evidemmei M. Weissenbruch est un Belge tout à fa es authentique. On ne songe pas à considér ns en Belgique son nom comme étranger. n> est celui d'une très ancienne famille q u- est bien connue dans les lettres français ils et l'industrie belge depuis le commenceme du XVIIIe siècle à Bouillon et à Bruxelle a_ dont des membres ont appartenu à la m , gistrature, à l'armée et à l'administrât» & et qui n'a jamais eu que des alliances fra a çaises ou belges. Le XXe Siècle dans ses articles du octobre 1916 et du 16 janvier 1917 accu us M. Wèissenbruch " d'avoir livré la sign lisation électrique des chemins de fer ai ie- Allemands " avant la guerre. " C'est lui )ts lui seul dit-il, " qui nous a fourré da je les griffes de Siemens et Halske " et " e sa tactique réussit", ajoute-t-il, " elle va ; lendemain de la guerre nous remett IU~ sous la coupe des Allemands Nous n'entendons pas nous solidaris avec notre confrère sur ce terrain-là et no nous bornons à regretter que, quell qu'aient été les circonstances, la signalis tion électrique ait dû être commandée de une maison allemande. ral II résulte d'une enquête de VIndépe dance dont elle rend compte dans son r ie, méro du 1er février, qu'au témoignage ds- fonctionnaires qui étaient en Belgique moment de l'invasion, les Allemands n'e de pu se servir ni des signaux le long des tre gnes ni des appareils de block system. et les ont remplacés par des signaux et c les appareils conformes aux règlements al mands, qui sont tout à fait différents c : nôtres. Ils ont détruit — et non utilisé en Allemagne—les appareils électriques des cabines des gares d'Anvers, de Louvain, d'Alost. de Hasselt, de St-Trond, pour ne par-1er que des stations sur lesquelles on a des informations certaines. M. Weissenbruch dans sa lettre signée, montre en outre que la_ maison Siemens a été introduite au chemin de fer à la suite de concours ouverts à l'industrie belge en même temps qu'à l'industrie étrangère, concours dont les pro-cès-verbaux ont été examinés et approuvés 5 par la direction générale et le ministère de " l'époque, à un moment où lui-même n'était pas encore chef du service des appareils d< sécurité. Enfin il explique que le service des signaux ne fait pas partie de la directior et n'a pas d'autorité — partant pas la res-5 ponsabilité qu'on lui attribue. " C'est, dit , il, un service extérieur d'exécution, un service subordonné et sa mission était étroi-tement limitée à l'initiative des études el s des propositions et à leur exécution après approbation. Aucune de ces propositions n'i été approuvée sans avoir été passée au criblt ; réétudiée par le bureau des signaux eh la Direction des voies et travaux." M. Weissenbruch répond encore: 1. Que la maison Siemens était si peL " propriétaire de la signalisation électrique des chemins de fer " et avait si peu " fai' * breveter à son profit les inventions des in génieurs de I Etat " que tous les brevets qu'elle possédait sur les appareils de signa lisation adoptés par les Chemins de fer d< 1 Etat belge sont tombés aujourd'hui dan: s le domaine public, sauf ceux des appareil: s de manœuvre électrique des aiguilles et de signaux. ^ s t 2. Ou'afin de favoriser l'industrie belge 'e chemin de fer avait, d'après son cahie des charges, fait étudier, 5 ans avant 1; s guerre, pour supplanter les appareils rie ma :s nœuvre électrique des aiguilles et des si 1- gnaux de la maison Siemens, des appareil équivalents, par la maison Dulait de Char leroi, qui faisait déjà de nombreuses fout s nitures d'appareils de signaux aux chemin 1- 1 de fer. n Comme nous l'avons rapporté plus haï 's le XXe Siècle concluait que " les propos tions de M. Weissenbruch doivent avoi le pour but de nous remettre sous la coup des Allemands après la guerre"; nou îs avons eu les propositions dont il s'agit sou it les yeux et nous avons constaté qu'elles n u sont pas formulées par M. Weissenbruc it seul. Elles portent les signatures de tout l'administration des chemins de fer d i- Havre. Leur but déclaré est de s'adresse te uniquement à l'industrie belge dans l'avi i- nir et le moyen proposé c'est de mettr i- deux ou trois usines alliées au courant d i- la construction des appareils de block-sy: i- tem qui sont adoptés sur le réseau depui ir plus de 20 ans et dont les brevets sont e> le pirés — et cela en attendant que l'industri a belge puisse les fournir. Ces propositions ont été approuvées pa |r le ministre à deux reprises différentes, le 1 ir et le 19 octobre, après délibérations et er 1_ quêtes. Nous avouons que nous ne parvf 's nons pas à y trouver matière à critiqut 'e M. Weissenbruch ayant prouvé par des n cherches faites au Patent Office que la ma à son Siemens -n'a plus aucun brevet à r< *e vendiquer sur ces appareils, on ne voit pa it comment il est possible de soutenir un ir it stant qu'il y a dans cette affaire —au fon ?r si simple et si anodine — "des intrigues a '1 lemandes ". 1,1 Nous considérons donc la cause comrr entendue pour notre part et nous pensor 1 que nous en avons suffisamment entrefer s' nos lecteurs. a- ,n 0—0 n" Leur manière 31 se Berne, 21 février. — Les Basler Nacl a- richten annoncent que le gouvernemei Jx allemand a placé un grand nombre d'o et ficiers anglais et français distingués dar un camps de concentration situé dar " une partie exposée de Karlsruhe con re me garantie contre tout futur bomba dement aérien.— Exchange. er Londres, 22 février. — A la Chambi Lls de Lords, Lord Newton a déclaré que es projet d'un échange général des pr ^ sonniers civils avec l'Allemagne a c être abandonné, les Allemands ayant ai n. noncé qu'ils étaient disposés à couler 1< u- navires transportant leurs nationaux in de valides tout aussi bien que ceux tran 2U portant les prisonniers civils anglais. j._ Les négociations avec le gouvern []s ment autrichien ont échoué parce qi es celui-ci prétendait échanger les 200 e le- vils anglais qu'il détient contre 1 les 11.000 Austro-Hongrois internés < Grande-Bretagne et dans ses colonie

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