La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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07 October 1916
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s.n. 1916, 07 October. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 20 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/1r6n010k29/
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LA MÉTROPOLE OIME PENNY /BO.tT . CINQ CENTIME» -I n.LAfiDE: VUf CENT CONTINENT : DIX CENTIME* PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux: 43, Chancery Lane, W.C.—Téléphoné : Holborn 212 ABONNEMENTS : 1 mois, 3 sh. ; 8 mois, 9 sh. Etranger : 1 mois, 4 sh ; 3 mois, 12 ifc Buvez le THÉ UPTON Si vous désirez le meillenr thé adressez-vous à la firme qui le plante. UPTON LTD Agences et filiales dans tout le Royaume-Uni. '3 A • -*« i -L SAMEDI 7 OCTOBRE 1916 i i No. 280 LA GRANDE GUERRE I Sur la route de Monastir Les Roumains repassent le Danube ■ SUCCES RUSSE EN CAUCASIE La marche victorieuse des Alliés en lacédoine continue. L'expédition bri-annique qui marche sur Seres s'est mparée des portions au nord et au sud lu village de Yenikeni, assurant la cap-ure du village en entier, situé à envi-on dix kilomètres au sud-ouest de Sets. Depuis le 4 octobre les troupes se ont consolidées sur leur nouvelle ligne ni va du pont d'Orljak le long de la oute de Seres jusqu'à Yenikeni et de à jusqu'à la Struma par les deux villages de Karazakoi. Au nord de Florina les Français avarient dans la direction de Kenali, au delà e la frontière serbe, tandis que nos al-és serbes sont arrivés dans la région e Dobroveni, où ils ont passé la Cer-a, et avancent, malgré les neiges et les [aces sur les deux pentes des monts iaba, et ont atteint Buf et Popli. Le illage de Popli se trouve à environ ingt-cinq kilomètres de Monastir, tan-is que le village de Buf se trouve à nviron seize kilomètres de la même ille. Les monts Baba forment une chaî-e importante, avec des hauteurs de ,100 mètres, dont les pentes orientales escendent jusqu'au lac Tresba, avec les laines de Monastir comme base occi-entale.Dans la Dobrudja du Sud les opéra-ions continuent en faveur des Russo-ï-oumavvvs; les détails au sujet de cette :ampagne manquent complètement. Une nouvelle sur laquelle il est diffi-ile de se prononcer c'est la retraite que :s Roumains ont opérée entre Roust- j houk et Turtukai. Aucun détail précis l'a été publié au sujet du succès de cette ntreprise qui, poussée à fond avec des 1 ifectifs suffisants, aurait pu avoir des onséquences considérables. Suivant le | ommuniqué officiel de Bucarest " la dé-lonstration entre Roustchouk et Tur-ukai étant terminée, nous nous som-les retirés sur la rive gauche du Da-lubePar suite de l'extrême discrétion des utorités militaires roumaines il est dif-icile de s'imaginer les résultats de .cette ( lémonstration ; si le but en était de listraire quelques bataillons de l'armée e Mackensen, l'armée roumaine ne emble pas avoir profité de l'affaiblisse-nent momentané de l'ennemi, et dans te conditions l'opération ressemble à ® double échec; si tel n'était pas le M on peut se demander dans quelle "tendon les troupes roumaines se sont volontairement exposées au risque d'un désastre sans aucun résultat pratique. Néanmoins la retraite opérée en bon ordre prouve de façon éclatante la men-facité des Bulgares qui avaient affirmé les monitors autrichiens avaient dé-rwt les pontons jetés sur le Danube par es Roumains et avaient, en coupant la etraite, menacé l'armée roumaine d'en-frclement. C'est dans ce même esprit 11 >1 faut accepter le communiqué bul-!arç qui donne un récit de la " défai-te roumaine. Les Roumains dit le bul-"m avaient occupé plusieurs villages 'Près avoir traversé le Danube à Rjaho-0 En vue de les repousser deux batail-°"s bulgares, l'un de Turtukai et l'au-re de Roustchouk, furent envoyés con-[eeux; le 3 octobre l'attaque se produî-S'1 et les Roumains furent obligés de nercher un refuge dans la direction du ®"t de bateaux, détruit par les Autri-"iens. Le champ de bataille était cou-ert de cadavres. Vers la soirée les Bul-ares occupèrent lés villages de Rahovo ' Babovo, et les Roumains se retirè-ltnt fen désordre vers l'est où ils rentrèrent les Bulgares enant de Tur-Skai.'es Roumains encerclés furent dispos dans toutes les directions et in f^truction fut complète. Malheureusement cette belle histoire j' c°ntredite par le bulletin allemand Mercredi qui dit que les Roumains j11 traversèrent le Danube, au sud de Urarest, évitèrent un mouvement en cerclant par les Germano-Bulgares, en prenant la fuite en désordre ! Dans la Transylvanie, après une bataille de trois jours les Roumains se sont emparés des fortifications ennemies dans la région de Parajd. dans le ndrd. Sur le reste de ce front il y a eu des engagements locaux. L'offensive du général Kaledine, en Volhynie, contre la base ennemie de Vladimir-Volynsky continue, mais elle n'a pas encore réussi à briser la résistance ennemie; à cfe sujet les Allemands trahissent une confiance inusitée. Pendant plus de quatre mois von Linsin-gen a eu le temps de se fortifier car depuis le mois de juin il n'y a plus eu d'attaque russe. De cette forte position les Russes n'ont pu, après trois jours de bataille, que capturer quelques tranchées, et cela au prix de grands efforts. Malgré cela les Allemands se tiennent prudemment sur la défensive et ils n'ont réussi à faire aucun prisonnier. En Caucasie le grand-duc Nicolas a pris une vigoureuse offensive et avec l'aide de la flotte dans la région de la côte, il a avancé sur un front étendu, capturant une forte position ennemie dans la région du Kara Burnu à 72 kilomètres à l'ouest de Trébizonde; à 40 kilomètres au nord d'Erzingan ï'avant-garde turque fut percée et l'ennemi souffrit des pertes considérables en hommes et en matériel. Sur les fronts de la Somme le calme règne, par suite du maivais temps. Le seul incident à signaler, c'est une attaque ennemie au nord de la redoute de Souabe, près de Thiepval; les Français ont capturé quelques canons dans le bois St-Vaast. Suivant un rapport ultérieur de Sir Douglas Haig, les captures faites par les troupes britanniques entre le 1er juillet et le 30 septembre se composent de vingt-neuf canons et obusiers lourds, quatre-vingt-douze canons et obusiers de campagne, cent trois pièces d'artillerie de tranchée et trois cent qua-tre-vingt-dix-sept mitrailleuses. Les relations intellectuelles franco-anglaises M. Edmond Gosse, le célèbre critique et poète anglais, publie dajis la Revue des Deux-Mondes une intéressante étude où il est traité de l'avenir des relations intellectuelles franco-anglaises. En voici quelques passages : Il y a bien eu, dans le passé, des alliances plus ou moins durables entre deux nations, des rapprochements plus ou moins sincères et cordiaux en face d'un ennemi commun. Mais jamais, jusqu'ici, deux grandes puissances n'ont marché ensemble vers un même objet d'un accord aussi profond et aussi spontané, sans être poussées aucunement par l'appât d'un profit matériel. L'ampleur de la lutte présente, le désintéressement des Alliés et la pureté de leurs intentions, la manière dont ils mêlent généreusement leurs efforts pour accomplir une œuvre de justice quasiment surhumaine, tout cela donne à l'Angleterre et à la France une grandeur morale qui ne saurait manquer d'affecter leurs relations réciproques de demain. Lorsque, donc, l'admirable effort des deux nations et de leurs alliées aura atteint son objet et que de nouveau la paix régnera en Europe, très certainement les deux grandes nations occidentales se trouveront liées d'une union plus intime que jamais elles ne l'ont été auparavant. Nous verrons alors se produire une solidarité fondée à la fois sur la connaissance mutuelle, sur la sympathie et sur l'impérissable souvenir de communes épreuves. De plus en plus les tendances intellectuelles des deux pays se sentiront entraînées dans la même direction et aucun esprit sérieux de chez nous ni de chez vous ne pourra se désintéresser de l'œuvre civilisatrice ainsi commencée la main dans la main. — A Calais, une femme de trente-cinq ans qui s'était fort effrayée de l'explosion de bombes, est tombée brusquement dans un sommeil profond, lequel a duré quarante-cinq jours. On l'a nourrie artificiellement et elle paraît aujourd'hui se porter très bien. Le mariage des Belges en Angleterre AVIS IMPORTANT La légation de Belgique désirant éviter aux intéressés belges des ennuis graves croit devoir rappeler qu'aux termes de l'article 170 du Code civil, les m'a ri âge s contractés en Angleterre, selon les formes locales, entre Belges ou entre Belges et étrangers sont valables en Belgique, à condition que les Belges ne contreviennent pas aux conditions prescrites sous peine de nullité au chapitre I, titre V, livre I du Code civil.Ces conditions sont : 1. Le libre consentement des parties. 2. La nécessité pour le futur époux d'avoir 18 ans révolus et pour la future épouse 15 ans révolus. * 3. L'absence de liens de parenté ou d'alliance aux degrés prohibés. 4. Le consentement des parents. 5. L'absence d'un précédent mariage non dissolu par divorce ou mort naturelle.A la suite d'un accord intervenu entre les gouvernements belge et anglais, il est stipulé que, à dater de ce jour tout Belge désirant se marier est tenu de produire aux autorités britanniques chargées de procéder à la célébration du mariage un certificat de non-empêchement.Ce certificat est délivré par la légation de Belgique, 59, Sloane Gardens, S.W. pour les mariages entre Belges et Anglais ; il est délivré par le consulat général de Belgique à Londres, 37, Bed-ford Square, W.C., pour les mariages de Belges entre eux ou de Belges avec des étrangers non sujets britanniques. Les pièces à produire seront indiquées aux intéressés. Londres, le 1er octobre 1916. Les Belges au Congo t Le général Smuts félicite le général Tombeur Londres, 5 octobre. — Communiqué officiel du Ministère belge des Colonies : Le général Tombeur, commandant les troupes belges dans l'Est-Africain, a reçu le télégramme suivant du général Smuts : " Je vous prie d'accepter mes plus cordiales félicitations pour les splendi-des hauts faits des troupes sous vos ordres dont le résultat a été la chute de Tabora et la libération de tant de nos compatriotes prisonniers. " J'apprécie hautement les énormes difficultés que vous avez eu à surmonter et vous suis sincèrement reconnaissant de votre cordiale coopération." L'Université de Gand et l'Université de Liège Le manifeste du Vlaamsche Hoogeschool-bond contre lequel nous invitons nos lecteurs à protester en signant la pétition que nous avons publiée hier invoque la nécessité pour les jeunes étudiants flamands de suivre les cours de l'Université boche de Gand. Cette nécessité n'est-elle donc pas la même pour les élèves des autres universités et notamment de l'autre université de l'Etat, celle de Liège? Pourquoi le besoin de continuer leurs études ne serait-il éprouvé aux dires du manifeste que par les étudiants flamands? C'est, du reste, faire injure à ceux-ci ainsi que le prouveront les événements. Mais s'il fallait une preuve de plus pour qualifier l'entreprise du herr von Bissing, il suffirait de celle-là. La sollicitude de commande de von Bissing pour une partie seulement de la population estudiantine va de pair avec les explications du manifeste des " intellectuels" flamands. Aucun " intellectuel " wallon n'a éprouvé le besoin de réclamer l'ouverture de l'Université de Liège. Quant aux autres universités, ne relevant pas de l'Etat, là non plus, le besoin ne s'est pas fait sentir de les rouvrir. — Un des plus terribles drames de la guerre s'est déroulé à Heidelberg. La femme d'un soldat du nom de Kœnig, dont l'absence de son mari et les privations endurées avaient probablement dérangé l'esprit,a coupé la gorge avec un couteau de cuisine à ses cinq enfants âgés de 3 à 9 ans. Elle a essayé ensuite de se couper l'artère carotide mais n'a réussi qu'à se blesser. Les cinq petits sont morts. Pas de sensiblerie Lord Bryce, ancien ambassadeur de j Grande-Bretagne aux Etats-Unis, a proposé récemment, dans une lettre au Manchester Guardian, aussitôt reproduite par la presse américaine, la formation d'une ligue pacifiste dont, espère-t-il, les Etats-Unis feraient partie, lettre qui, au même titre 3 qu'un article de Herr Dernburg dans le ri Berhner Tageblatt, est interprétée par la d presse new-yorkaise comme une invite aux p Etats-Unis d'offrir leur médiation aux bel- 1' ligérants. De même, faisant écho à un v discours prononcé à Manchester par Sir John Simon, l'ancien ministre de l'Intérieur anglais qui démissionna plutôt que de signer la loi sur le service obligatoire, Lord Bryce 'j a critiqué tout projet de mesures économi- ,, ques d'après-guerre dirigées contre l'Aile- j, magne. Ces efforts sont appréciés comme suit par la Morning Post : La constitution de ce que Lord Bryce Cl appelle une alliance permanente pour la ^ paix entre toutes les nations n'est pas, a évidemment, un projet nouveau; il n'est j£ pas besoin de discuter si, par la nature même des choses, l'exécution d'un tel a projet est possible. Mais il y a un temps à pour toutes choses et l'on peut douter v si le moment actuel est tout à fait le S plus approprié à des discussions acadé- t( miques de cette espèce, qui sont instantanément utilisées par l'ennemi en vue de ses propres et malins projets. ^ Mais Lord Bryce ne se contente pas ^ d'arranger le monde de l'avenir; il doit c] encore s'occuper des affaires du présent; et il serait difficile de découvrir une conception plus complètement fausse de la r. situation présentée par une personnalité x responsable. K Nous ne comprenons pas mal Lord d Bryce. Lorsqu'il plaide pour le renoncement à " l'esprit de haine " et de c' " revanche " il défend un concept éthi-que qui mérite d'être accepté, quoiqu'il soit peu certain que dans les circonstances actuelles aucune obéissance à un tel concept puisse être immédiatement pos- ^ sible. Mais quand Lord Bryce s'occupe Q de réduire ses moralités en fonction de la politique internationale, nous prenons e: la liberté de lui dire que, sans doute 1( sans intention d'en agir ainsi, il se range en fait du côté de l'ennemi. t 11 y a deux façons de considérer cette t( guerre. L'une est que, comme toutes ^ les autres guerres, c'est un conflit dy- P nastique, religieux ou économique, entrepris par des armées professionnelles et dont le souvenir ne laisse d'aucun des £ deux côtés des rancœurs persistantes. L'autre façon de voir, c'est qu'elle est £ une chose nouvelle dans l'histoire, une lutte à mort entre les forces de la civilisation et le retour sauvage à une for- ° me de barbarie hautement scientifique n et profondément immorale. C'est moins une guerre que la destruction d'une maladie virulente. Telle n'est pas, évidemment, l'opinion de Lord Bryce, qui persiste à considérer le peuple allemand comme U " trompé et mal conduit ". Il proteste I' contre ce qu'il appelle " une guerre P commerciale et un boycottage perma- s' nent " de l'ennemi, comme étant de na- Sl ture à " exciter à nouveau l'amertume P de ces haines auxquelles on doit permet-tre de mourir ". En même temps, Lord a Bryce affirme crûment " que notre principal but aurait échoué si nous man- m quions d'assurer une paix durable ". Il y a ici une déplorable confusion de v pensée, résultat d'un refus singulier de k comprendre les faits. Nous avons affai- q re à un ennemi dépourvu de scrupule, u pour lequel l'honneur n'existe pas et qui jt considère un engagement comme la dé- c< ception de l'imbécile par le sage. Pour b ce qui concerne l'esprit de haine, il est L aujourd'hui l'inspiration la plus chère à ti la Germanie, et rien de ce que l'Angle- li terre peut faire ne saurait l'affaiblir. q Si donc nous voulons assurer une paix êi durable, elle doit être imposée, non à des conditions que l'ennemi peut violer ei à son gré, mais à des conditions qui lui a< feront comprendre qu'il est l'otage de rr sa bonne conduite et qui montreront à rr toute la société des nations qu'il y a n certaines choses qui ne peuvent être fai- "" tes. Le seul moyen de produire cet [f effet, dans l'état actuel de l'évolution d( humaine, qui est peut-être moins avan- y' cée que l'esprit planant de Lord Bryce sj ne oeut le percevoir, c'est de mettre en él lumière la punition imposée à ces na- éi tions qui sont retournées à la folie bes- ei tiale. ci A l'Université allemande de Gand Le gouverneur général (provisoire) de la ielgique (occupée) vient de faire placarder t publier partout dans notre pays le texte livant (voir la Métropole du 22 septembre) : A L'UNIVERSITE DE GAND Conformément aux articles 9, 11, 13, 29 et t de la loi organique de l'instruction supé-eure du 15 juillet 1849 et en vertu du décret es 12 et 22 août 1916 sur la nomination des rofesseurs, le gouverneur général a nommé à Université de Gand les professeurs sui-ints : I. — A la Faculté de Philosophie. 16. — Dr. A. Jolies, au Helder, ancien rivat-docent à l'Université de Berlin, epuis chef de division à l'Institut central lollandais) d'éducation et d'enseignement 1 cette ville, est nommé professeur ordi-aire d'archéologie et d'histoire de l'art. 17.— Dr. E. I. Kossmann, chargé de )urs à l'Université de Leyde et professeur a Gymnase de La Haye, est nommé pro-isseur ordinaire de l'histoire de la littérature lemande et de grammaire historique de la .ngue allemande. 18. — Dr. A. Vlamynck, archiviste adjoint jx Archives de l'Etat à Gand et professeur l'école moyenne pour jeunes filles en cette ille, est nommé chargé de cours de paléo-raphie et autres sciences auxiliaires de l'his->ire.II.—A la Faculté de Droit. 19. — M. J. L. M. Egzen, avocat à la our d'appel de Gand et privat-docent à Université d'Amsterdam, est nommé pro-sseur extraordinaire de droit et procédure vils. III. —A la Faculté des Sciences. 20. — M. T. Vernieuwe, directeur géné-il au Ministère de l'Agriculture et des ravaux publics, est nommé professeur hono-lire ordinaire d'histoire de l'agriculture et 3 l'horticulture. 21. — M. F. Brûlez, ingénieur civil atta-lé à l'Administration des télégraphes et îléphoneSj est nommé professeur extraor-inaire de géométrie descriptive. IV. — A la Faculté de Médecine. 22. — Le Dr. A. Claus, médecin à Anvers, nef du service médical à l'Asile d'aliénés de lortsel, est nommé professeur honoraire rdinaire de psychiâtrie et de neurologie. 23. — Le Dr. R. Speleers, médecin à Gand, 5t nommé professeur ordinaire d'ophtalmo->gie.24. — Le- Dr. E. van Bockstaele, direc-îur de l'Institut thérapeutique et du sana-Drium de Grammont, est nommé professeur onoraire ordinaire de chirurgie générale et ratique. Une troisième liste de professeurs sera ubliée prochainement. ' "Université" s'ouvrira le 24 octobre Voici l'avis que fait publier partout en Belgique occupée l'autorité allemande : Les cours à l'Université de Gand seront uverts le 24 octobre par un discours du ;cteur. Les leçons commenceront le lende-îain.Bruxelles, le 21 septembre 1916. Le Gouverneur général, Freiherr VON BISSING. Le Nieuwe Courant raconte qu'un Hol-indais habitant Anvers avait demandé à autorite allemande la délivraison d'un asseport pour lui permettre de rendre vite à son frère gravement malade dans )n pays natal. Les Boches se déclarèrent "êts à lui délivrer cette pièce, mais sous lution de 30.000 francs. Le Hollandais estima ne pouvoir se rendre à une exi-înce aussi extraordinaire Lord Bryce et ceux qui, comme lui, îgabondent dans les sentiers fleuris de sentimentalité, paraissent s'imaginer ue l'imposition d'une condamnation est ne preuve de 1'" esprit vindicatif " du ige. Ceux qui aperçoivent la fin de :tte guerre percevront qu'il est possi-e d'être juste sans se fâcher. D'ici là, ord Bryce pourrait songer que la poli-que qu'il censure est celle que les Al-és ont décidé de suivre; c'est la politi-Je des peuples des Alliés, et elle va :re mise à exécution. Pourrions-nous ajouter que Lord Bryce, 1 sa qualité de président de la Commission iglaise d'enquête sur les atrocités alle-andes en Belgique, a pu se convaincre ieux que personne du retour des Alle-ands " à une forme de barbarie haute-ent scientifique et profondément immo-i'e " — l'armée allemande étant comme snt très bien dit les IIIC, l'image fidèle î la nation allemande. Ce rapport lui a ilu de la part de nos ennemis les plus inglants brocards. II est d'autant plus onnant de voir ce diplomate et ce juge ninent donner dans une sensiblerie qui, i l'état présent du conflit, ne peut que induire à de déplorables résultats.

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