La semaine d'Averbode

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Averbode, 24 Mai 1914. C'est mardi» Congressistes ! %—7 v-<#■»&.■•>rl s dimanche, 24 mai, le pays '■fjm?Wfcr? attend, dans le calme, le résul-tal: ^es élections législatives. Demain, lundi, il fêtera de wlSr/! même quelques victoires—nous l'esP-rons— du parti catholique tlu'' au cours de récente législature, a fait preuve, non-obstant l'opposition, de fer-H meté et de sagesse gouvernementale. La défense nationale a été assurée sur de nouvelles bases, la liberté du père de famille en matière scolaire a été affirmée et garantie dans la nouvelle loi, enfin les assurances sociales ont été sanctionnées avec toutes les mesures que la prudence exige dans cette question si délicate. [| Mardi, 26 mai, c'est la Réunion géné- I raie annuelle de la section française | des propagandistes de notre Œuvre de p Bonne Presse. Nous espérons les y voir A assister plus nombreux que jamais. Nous attendons donc nos vaillants p propagandistes à cette réunion, non seulement pour nous témoigner leur cha- U leureuse approbation, mais aussi pour 1 nous soumettre au besoin leurs desiderata et ceux de leurs fidèles abonnés. Il nous serait certes très utile de connaître ces desiderata afin de les exa- 9 miner et discuter en commun et d'y 9 donner bonne suite dans la mesure du j possible. Nous cherchons toujours à rendre nos rovues le plus intéressantes possible pour satisfaire la généralité de nos milliers d'abonnés, et c'est en vue de nous permettre d'atteindre plus facilement ce but, que nous voudrions yoir nos dévoués propagandistes nous exposer les observations et remarques qui leur sont faites par les abonnés. En cette Réunion-Congrès, nous devons tous nous considérer comme formant une grande famille qui discute ses 1 intérêts, ses moyens de progrès dans l'avenir. Comment pourrions-nous le faire pratiquement et fructueusement si nous devons nous borner à la constatation des résultats acquis, à louer l'infatigable zèle de nos dévoués propagandistes et la fidélité de nos chers abonnés. Et puisque nous sommes en famille, nous ne devons pas avoir peur l'un- de l'autre. Quiconque donc a des vœux à exprimer, des observations à soumettre, le fasse sans aucune craintë ; loin de lui en tenir grief, nous y trouverons une nouvelle preuve du grand intérêt qu'il porte aux progrès de nos revues. Notre Œuvre de Bonne Presse nous est commune, son progrès est le but de nos efforts unis, et c'est pourquoi nous assurerons d'autant mieux celui-ci que nous aurons su discuter ensemble les moyens de succès. Voilà le résultat que nous escomptons de la Réunion de mardi. J ui.es-César. Le devoir des catholiques en matière coloniale. Tandis que nous nous attardons en Belgique, à de stériles discussions sur la question congolaise, basées le plus souvent sur une documentation tendancieuse ou incomplète, le P. Vermersch, qui est cependant une des personnalités belges les mieux au courant des choses coloniales, a pris la peine de consacrer une année entière à parcourir le Congo et à étudier sur place tous les problèmes qui s'y rattachent. Il en est revenu il y a quelques semaines, avec une ample moisson de notations prodigieusement intéressantes et qu'il sait présenter sous les dehors attrayants et ori- AFSNÉ (El. Or.) — Un coin de ferme. — (Photo A. V. d. M. Gànd.) ior prix du concours « H ivn r.

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