L'ami de l'ordre: journal politique, commercial et littéraire

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s.n. 1915, 18 August. L'ami de l'ordre: journal politique, commercial et littéraire. Seen on 26 June 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/mk6542kh4p/
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re M Wjm$i ÏS «f Î9aroflf rsiST V7»I tf rasa Tarif des annonces Ann. f6page, la lig. 0.30 *- notaires, avoués, huissiers, directeur de vente, la lig. 0.S0'Annonces financ. » 0.40 Nécrologie» 1.00 Faits divers fin » 1.25 Faits divers corps » 1.50 Chronique locale » 2.00 Réparations judic.» 2.00 Des remises sont accordées proportionnellement au nombre des Insertions demandées. On traite à forfait pour les annonces périodique». S'adr. bur. du journal. Collège N.-D. d* la Paix, Namur 'À Bulletin météorologique du 18 août' (8 heures du matifl) Raul. ~b~ar orné trique à 0 »..%% t Variât, bar. dep. la veille .,.^-08' Température de l'air ••.f5 9 Temper, max. de la veille ...£i 9 Temper, min. de la nuil .;.i> 6 } Direction du vent .„,"VrNW 5 Vitesse du vent (m.prsee.) ..,/' i 0- i l'air max. = 100 ,,- Eau tomfiée en millim. ♦»i ABONNEMENT ANNUEL Pour Namur. i a a • ■ ,s a fr. 12.00 Pour la Belgique ? 9 » ? * 0 s If. 1400 94 00 LE MORATORIUM EN ROUMANIE Berlin, 16. — On mande de Bucharest qu'au 23 août prochain, le moratorium sera prolongé pour une période nouvelle de quatre mois. LE MONTENEGRO ET L'ALBANIE De Suisse, 15. — Le Giornale d'Italia apprend de Scutari que les premiers blessés des combats entre Monténégrins et Albanais seraient arrivés dans cette ville. Dans la région de Malissia, le succès se trouverait du côté albanais. Le commandant de Scutari se préparerait contre une attaque des Albanais. De nombreuses tranchées sont creusées dans le Bardagnoli, dernier versant montagneux entourant Scutari. Actuellement la ville ne serait défendue que par très peu de soldats. LE ROI DE BAVIERE SUR LE FRONT OCCIDENTAL Un télégramme de Munich annonce que le roi de Bavière est parti samedi soir pour le front de l'Ouest en compagnie du ministre de la guerre von Kress. LA GUERRE En France Paris, 17. — D'après le Temps, afin de satisfaire aux désirs des républicains et des socialistes, qui avaient fait entendre qu'une propagande catholique se pratiquait dans les hôpitaux et les ambulances,, le ministre de la guerre a fait publier dans chaque salle d'hôpital et d'ambulance un avis disant que chaque'soldat comme chaque civil français a le droit de pratiquer la religion qui lui plaît, ou de s'abstenir de toute pratique religieuse. LES RADICAUX-SOG1ALISTES CONTRE LE CABINET VIVIAN! Une dépêche de Genève assure que le groupe radical-socialiste de la Chambre française aurait décidé de refuser sa confiance au- Cabinet,Viviani, dans la séance de vendredi, parce que M. Viviani refuse de se séparer de M. Millerand, dont les radicaux veulent^ la démission. LA RESPONSABILITE DES POUVOIRS Paris, 15. —- La presse de droite continue ses attaques contre la Chambre et déclare que les reproches élevés par les députés de gauche contre le ministre de la guerre constituent une atteinte grave à l'unité des partis. Elle demande à ce qu'on laisse le gouvernement gérer le pays tranquillement. La presse de gauche, au contraire, se réjouit de ce qu'enfin des parlementaires aient trouvé le courage de dévoiler les abus et les erreurs. Ils réclament que les ministres et les généraux puissent être rendus responsables aussi bien que le moindre civil. Hervé, dans la Guerre Sociale, attaque violemment le ministre de la guerre et le rend responsable de la chute probable du cabinet. LE MINISTERE FERA BLOC Genève, 5. —- Afin de sauver la situation de M. Millerand, ministre de la guerre, tout le cabinet Viviani s'est déclaré solidaire. Une crise.ministérielle partielle est donc, en tout état de cause, impossible. Les journaux de droite espèrent que la majorité de Chambre reculera devant un changement complet du ministère. LE DERNIER CONSEIL DE GUERRE A CALAIS Paris, 17. — On télégraphie de La Haye que le dernier conseil de guerre, tenu à Calais, n'a abouti à aucuHe décision touchant l'offensive sur le front occidental. Les généraux russes se seraient plaints vivement de ce nouveau retard. Le généralissime Joffre n'assistait pas à ce conseil. LA CAMPAGNE D'HIVER La Commission de l'armée, en France, vient de charger la sous-commission de l'approvisionnement d'une enquête sur la préparation d'unp nouvelle campagne d'hiver. Les sénateurs Cauvïn, Lebert et Cheron ontreçuJa mission de faire, dans ce but, un voyagesur Tout le front.— MONTDIDIER La petite ville de Montdidier qui, d'après ce que nous apprennent les derniers communiqués, a reçu quelques obus lancés par les pièces allemandes à longue portée, est située à égale distance de Paris%et d'Arras. La population atteint à peine 4,500 habitants. Ceux-ci, désagréablement surpris par ce bombardement intempestif, en ont été heureusement quittes pour la peur, les projectflee n'ayant causé aucun dommage matériel. NOUVEAUX BCTNS DU TRESOR Le ministre des finances, M. Ribot, vient d% déclarer à un collaborateur du Petit Journal que le gouvernement français émettra prochainement des bons du trésor de 5 et de 20 francs, pour la défense nationale. Ces bons rapporteront deux 'et huit centimes d'intérêt par mois et doivent être remboursés au bout d'un an avec une prime de 5 p.c. ou bien ils pourront être échangés contre des obligations. LE CHARBON ANGLAIS ET LA FRANCE Le gouvernement anglais a donné l'assurance que l'Angleterre fournira le charbon nécessaire à la France. NOMINATIONS DANS L'ARMEE BELGE Paris, 16. — Le Petit Journal publie une dépêche du Havre, d'après laquelle des changement? importants ont été opérés dans le commandement de l'armée belge. Le général Wielemans a été nommé chef de l'état-major; le général» De Witte a été chargé du commandement de deux divisions; le colonel d'Orjo de Marchovelette a été promu général. ♦■ ' ^L'EXPORTATION DES ETATS-UNIS EN SIBERIE Le Petit Journal se fait télégraphier de Washington, que l'exportation des Etats-Unis en Sibérie s'est montée, pour la période qui va du 14 août 1914 au 30 avril 1915, à 19 millions de dollars, c'est-a-dire à dix-neuf fois plus qu'en temps normal. Avant la fin août 400 locomotives et 20,000 wagons doivent être livrés à Vladivostok. HAUTS FONCTIONNAIRES RUSSES REVOQUES On mande de Pétrograd au Daily Chronicle que le gouverneur général des provinces Baltiques et le directeur de la Çourlande ont été révoqués. Commnnipés et Arrêtés DU GOUVERNEMENT AVIS IMPORTANT POUR LES PÊCHEURS Le Gouvernement a fait placer des poteaux près de tous les ponts, barrages et toutes les écluses entre les ponts de guerre,pour indiquer les limites dans lesquelles il est défendu, par ordre du Gouvernement, de pêcher et d'aborder avec dès bateaux. Cinq de ces poteaux ont été enlevés par malveillance : 3 près de laSambre à l'écluse 22, entre le pont du Musée et le pont du Séminaire, et 2 en amont du pont de la Meuse à l'école des Cadets. C'est pourquoi, comme punition, la poche est interdite pour la durée de 15 jours, à savoir du 18 août au 1erseptembre 1915 inclui, entre les ponts de guerre de la Meuse près de Wépion jusqu'à Bees, et depuis le pont de guerre de la Sambre près de Ronet jusqu'à l'embouchure de 1» Sambre dans la Meuse. Cette fois ci, le Gouvernement veut bien s'abstenir d'une amende, mais, en oas de récidive, il infligera une amende considérable à la population des communes adjacentes. (Communiqué). öisj üur)j vena dû». *tea ». 859f) ! 3 'S' !3S ent n Ia nta réa- J. '68, les 280, 1 2* ?on, 06 ur n'a 313- rue oen «lans ds r ÎÎ3 7107, J Detti ueux, rnbont sancen ;aits, turt 7797 ure es; \ eux soa 8074 S fer ouan* UR du ni 3ara- ctioa. 133, il muf/ -75, La guerre à l'Ouest £ Communiqué allemand Berlin, 17. — Devant Ostende, notre artillerie de la côte a mis deux contre-torpilleurs ennemis en faite. Dans l'Argonne orientale, j près de La Fille Morte, nous avons pris one !-tranchée française. Àox environs de Bapaome, ; an avion anglais est tombé entre nos mains; j les 2 officiers qui s'y trouvaient ont été faits f. prisonniers. Communiqués français Paris, 16. (15 h.) — Aa cours delà naît, ; canonnade intermittente dans la région deiBouchez et snr le plateau de Nonvron,an nord 1de l'Aisne. Combats à coups de grenades et de'bombes dans le secteur de Quennevières et , dans l'Argonne occidentale. Dans les Vosges,on coup de mine sur une tranchée ennemie,entre Burrhauptle-Bss et Ammerzweiler,nons {a permis de faire quelques prisonniers et de[prendre deux lance-bombes et une mitrailleuse.Paris, 16. (23 h.) — Violente lutte d'arMillerie pendant toute la journée sur un grand ; nombre de points du front. Nos batteries ontcause à l'ennemi des pertes sensibles dans larégion de Quennevières et arrêté son bombardement sur le plateau de Nouvron. Elles ontendommagé les travaux ennemis au Nord duCodât (entre Eerry-au-Bac et Loivre).L'ennemis ayant encore envoyé des obus sur Saint-Dié, ; nous avons tiré sur les gazomètres de Sainte-. Marie aux-Mines, qui ont fait explosion. Un / aotre tir de représailles a déterminé l'incendied'une fabrique allemande à l'Est de Munster. ■m- La guerre à l'Est Communiqué allemand l Berlin, 17.— Armées du maréchal von Hinfdenburg : I» ^ Dans la région de Kupischky, nous avons ïlivré de nouveaux combats victorieux au cours * desquels nous avons capturé 626 Russes, dont : 3 officiers, et 3 mitrailleuses. Des troupes de jTariaée du général von Eichhorn, placées sous /te£ ordres du général Litzmann, ont pris d'assaut les forts du front Sud-Ouest de Kowdo, j:fiitués entre le Niémen et la Jesia. Elles ont j eapturé plus de 4,500 Russes, 240 canons et ! on nombreux matériel. Les armées des généraux von Scholtz et von Gallwitz ont rejeté l'ennemi vers l'Est en livrant des combats continuels; elles ont fait prisonniers 1,800 ^Russes, dont 11 officiers, et se sont emparées M'un canon et de 10 mitrailleuses. Sur le front [Nord-Est de Nowo-GeergiewsJc, nous avons i^pris d'assaut un grand fort et deux fortins j situés entre tes forts.- Sur presque tout le restant du front, nous avons réussi à faire reculer ide nouveau l'ennemi, qui a perdu 2,400 prisonniers, 19 canons et beaucoup d'autre matériel de guerre. j Les armées des maréchaux prince Leopold ; de Bavièré'et von Mackensen ont continué à j progresser victorieusement. ; m Dans son communiqué du 16 août, le haut [Commandement de l'armée russe prétend que (des avantgardes russes ont conquisse 13 août, {près de Dunajow, sur la Zlota-Lipa, 2 lignes jde tranchées allemandes dont les défenseurs font été exterminés. Nos troupes qui luttent à jcet endroit n'ont connaissance que d'une (reconnaissance entreprise dans la nuit du 12 fau 13 août par une patrouille russe. Cette ^reconnaissance, qui a entièrement échoué, ne filous a causé aucune perte, tandis que l'ennemi i'a laissé 4 tués et 2 blessés devant notre position. Communiqué autrichien )., Vienne, 17. — A l'Ouest du Bug, nous progressons rapidement en poursuivant les Rusfees. Les contingents austro-hongrois qui avancent an centre des troupes alliées serrent de ttrès près l'ennemi, qui se retire à l'Ouest de iBiala, au delà de la Klikawka. Dans la soirée, lies divisions de l'archiduc Joseph-Ferdinand lent, en combattant, gagné du terrain au Sud et au Sud-Ouest de BiaJa; la nuit, elles ont /jeté un pont sur la Krzna qu'elles ont franchie soe matin. Partout où les arrière-gardes enne; mie* ont voulu résister, nous les avons atta • iqoées et refoulées. Les troupes du général von tKö?ess ont rejeté l'ennemi au delà de la Kli^kawka^ supérieure. Dans la région de Biala et 4dans la direction de Brést-Litowsk, on aper; çoit beaucoup d'incendies considérables. Près - de Wladimir-Wolynski, où nous avons pri6 ipïed à plusieurs endroits sur la rive droite du ! Bug, et en Galicie orientale, la situation ne ;s'est pas modifiée. Communiqué russe St-Pétersbourg, 17. — Dans la région de /Baoske, nos troupes, dans la nuit du 15 août, {refoulèrent de nouveau les Allemands contre 'la rivière l'Aa. Des contre-attaques ennemies tinrent repoussées. Près de Jacobstadt-Duna;-bourg, pas de changements essentiels. Les ' Allemands attaquent opiniâtrement les fortîJfications dans le secteur Ouest.Entre le Narew jet le Bug, on livra, les 14 et 15 août, des i combats d'un grand acharnement. Une série {d'attaques ennemies furent repoussées avec (grandes pertes pour l'ennemi. Sur la rive vgauohe du Bug,pas de changements essentiels. j-Dans les autres secteurs de l'ensemble du front, /alternativement fusillades et canonnade. Pas jde combat de quelque importance. Attaque d'un train militaire russe Copenhague, 16. —-On mande de StPéters-jboorg : Un train militaire russe, composé de (40 wagons, a été attaqué par unaéro allemand aux environs de Brest-Litowsk et a été sérieusemect endommagé par les bombes. f L'aéro allemand avait poursuivi longtemps 'le train, sans se soucier de la fusillade dirigée des nortière*. Le chauffeur de la locomotive tenta d'échapper à toute vapeur. L'aéro lutta 'de vitesse et survola eohVla voie. Deux bomJoignirent les premiers wagons,qui furent îo-fdétruits. r9nombre des i êire important d'upt. pas poiru, maie ■ doit ar le tram était boude. Guerre austro-italienne Communiqué autrichien Vienne, 17 août.— Sur le front du Tyrol, la lourde artillerie ennemie,après une assez longue période de calme, a recommencé hier à bombarder nos ouvrages fortifiés et surtout ceux du col de Tonale et des plateaux de Lavarone et de Folgaria. Nous avons repoussé les attaques entreprises par l'infanterie italienne sur la route de la Tonale, sur la Popena (au Sud de Schluderbaoh) et dans la région du Dreizinnen. L'ennemi n'a pas eu plus de succès en attaquant dans la région au Sud du Km et en s'avançant contre la partie saillante du plateau de Doberdo. SUR MER. — Un de nos hydroplanes a lancé des bombes, le 15 août après-midi, sUr les quatre forts de la côte de Venise. Toutes, à l'exception d'une seule, ont fait explosion à l'intérieur des forts. Cinq avions ennemis ont poursuivi notre aviateur; le feu de nos mitrailleuses en a forcé deux à faire demi-tour et à atterrir; deux antres ont abandonné la poursuite après quelque temps; le cinquième seule continué à poursuivre notre aéroplane jusque dans le voisinage de la côte d'Istrie, d'où il est reparti sans avoir obtenu le moindre résultat. Notre hydroplane est rentré indemne, malgré la violente canonnade des vaisseaux ennemis et des forts. D'après un communiqué officiel italien,notre sons-marin «U. 3- a été coulé le 12 août dans la partie méridionale de l'Adriatique.Le second et onze hommes ont été sauvés et faits prisonniers. Communiqué italien Rome, 17. — Dans la zone de Tonale et dans le secteur de Baldassi (Sette Comune), le combat d'artillerie étair très violent hier. De nouveaux progrès furent réalisés dans la vallée de Sexte (Drau). Notre artillerie détruisit les tranchées ennemies an Seikofel et à la côte Rouge et réduisit au silence l'artillerie ennemie qui essaya de l'attaquer. L'infanterie s'avança par les vallées de Bacherbach et Bodenbach, tandis qu'elle s'emparait dei ouvrages de défense de l'ennemi et faisait quelques prisonniers. Dans la nuit du 14 au 15 août, l'ennemi tenta, par une contre-attaque, de reprendre la position perdue an Bodenbach, mais il fut repoussé. Dans la région du Krn, on a enregistré hier de nouveaux progrès, surtout dans la direction de Plitsoh,et on a fait environ 300 prisonniers. AUX DARDANELLES Constantinople, 17. — Sur le front des Dardanelles, l'ennemi, qui, depuis le 6 et le 7 août, a débarqué cinq nouvelles divisions, a essayé, en utilisant ces renforts, de s'emparer de nos positions. La résistance de nos troupes et leurs contre-attaques 'ont empêché les assaillants d'obtenir le moindre résultat quoi: qu'ils aient perdu la moitié de leurs nouveaux effectifs. Ils ne se maintiennent plus que sur les penchants des hauteurs côtières. Le 15 août, aux environs d'Anafartas, nous avons repoussé une attaque qui a eoûté à l'ennemi des pertes importantes. POUR PRENDRE LES DARDANELLES L'ancien ministre de la marine française, M. de Lanessan, a exprimé, dans le Petit Parisien, l'avis que les Alliés ne réussiront pas à prendre les Dardanelles et à pénétrer à Constantinople par la méthode qu'ils emploient jusqu'à présent. Il estime d'ailleurs que les Dardanelles ne sont pas le meilleur chemin pour arriver dans la capitale turque; 11 dorme le conseil de débarquer dans le golfe de Saros de grandes forces qui marcheraient ensuite sur Constantinople. De grandes difficultés sont liées a l'exécution d'un pareil plan, dit M. de Lanessan, mais l'honneur du pays et la fin rapide de la guerre exigent qu'elles soient vaincues. LÀ GUERRE AERIENNE L'attaque aérienne contre Pola Vienne, 15. -- Quartier de la Presse de guerre. — Du côté ennemi, on a annoncé que des dirigeables italiens ont bombardé Pola avec succès ainsi que l'arsenal maritime. La réalité est que 3 dirigeables nous ont rendu visite. Le seul qui parvint à survoler Pola lança des bombes qui endommagèrent légèrement une maison. Le second dirigeable ne réussit pas à s'approcher de la ville ni des travaux de défense. Il fut aussitôt découvert au moyen des projecteurs et attaqué. Il lança ses bombes dans les champs et les bois situés aux environs de Pola, sans ccoasïonner Je moindre dégât. Le dirigeable « Citta di Jesi » ne parvint pas à survoler le pays et lança ses bombes à l'eau. Déjà un coup de canon lui avait causé une grande déchirure et une avarie au gouvernail. Le dirigeable, qui était en train de virer, ne put faire fonctionner le gouvernail. De plus en plus bombardé et décrivant des cercles en coulant, il tomba entre nos mains. L'attaque aérienne contre Harwich Hoek van Holland, 15. — Des voyageurs venant de Londres annoncent que la dernière attaque des zeppelins contre Harwich a occasionné d'importants dégâts tenus jusqu'à présent caohé». Près du fort de Landgoard, il se produisit une explosion. Cette catastrophe n'eut pas lieu en concordance directe avec le lancement des bombes, mais d'une façon indirecte, car, par suite de la panique causée, plusieurs gardes abandonnèrent leur poste.Le nombre des morts n'est pas encore fixé. Il doit être très élevé, car 18 soldats gravement blessés OLt été transportés à l'hôpital militaire. ^ Une bombe s'abattit sur une des ailes du bâtiment des postes et occasionna d'imporCants dégâts. Un grand nombre de lettres, et de colis postaux furent détruits par le feu et par l'eau. Les relations postales \ik Harwich ne sont pas encore entièrement rétablies.La poste anglaise a fait presque complet"ment défaut, dans ces >urjj eu JOURNAL QUOTIDIEN SUR MER _ Christiania, 16. — Le vapeur « Albes », en route d'Arohangelek vers l'Angleterre, et chargé de bois, a été torpillé samedi, à Stat. L'équipage a eu le temps de s'embarquer dans les bateaux et a débarqué à Ormesund. Le navire était assuré pour 300.000 couronnes et la cargaison pour 107,000 couronnes oontre les dangers de guerre. 11 Un sous-marin bombarde la côte Londres, 17 (Reuter). — Le 16 août, au matin, un sous-marin allemand a tiré sur Parton, Harrington et Whitehaven, à la oôte Ouest de l'Aogleterre,des obus qui n'ont causé aucun dommage important. Quelques-uns ont atteint la voie ferrée au Nord de Parton ; les communications n'ont été ininterrompnes que peu de temps. A Witehaven et à Harrir-gton, des incendies ont éclaté, mais ils ont été éteints rapidement. Il n'y a pas eu de pertes d'hommes. -L'évacuation de Riga Frontière hollandaise, 16. — L'agence Havas annonce de Pétrograd que l'évacuation de Riga est complètement terminée. Les Russes auraient môme enlevé les rails des trams. De nombreuses maisons qui étaient couvertes de cuivre n'ont plus de toit. La ville est morte et aucune usine ne travaille plus. Les Rosses ont également emporté la statue colossale de Pierrele-Grand. Cette statue fut inaugurée en 1910, à l'occasion du deuxième centenaire de l'annexion à la Russie de la ville de Riga.. La grande bataille de Kowno Londres, 16. -—Le « Daily Telegraph » publie,sous le titre de « une lutte de Titans», la dépêche suivante de St-Pétersbourg : Avec une fureur inouïe et sans interruption, les Allemands font l'assaut de Kowno. L'ennemi sait que la possession de la ville lui donne la plus grande, peut-être l'unique chance de mettre en péril sérieux le nouveau groupement de l'armée russe devenu nécessaire après la retraite de la Vistule. Après que la forteresse eut été inondée d'une pluie de feu d'enfer à l'aide de canons de tout calibre, vinrent les attaques d'infanterie, exécutées avec, fureur, grâce auxquelles les Allemands parvinrent finalement à s'emparer des forts extérieurs et à s'approcher de la ceinture des forts intérieurs à une distance de quelques milles anglais.Dans les cercles officiels, on est prudent dans les appréciations émises sur l'issue de cette bataille gigantesque. Les Juifs en Pologne• Une des conséquences de la prise de Varsovie par les Allemands, chose à laquelle on était loin de s'attendre, c'est la situation créée par ce fait aux Juifs. C'est une question que la presse allemande envisage déjà. Varsovie est le grand centre du judaïsme mondial. En 1910, le nombre des Juifs résidant à Varsovie était dé 300,000, soit 3.9 p. c. de la population totale de la ville. Varsovie est le cœur du judaïsme. Dans cette métropole,les Juifs ont leur littérature et leurs arts,auxquels ils tiennent énormément et dont ils ont un soin jaloux.Beaucoup de Juifs occupent à Varsovie de belles situations; il y en a même dans l'administration de la cité. La plupart de ces Juifs parlent un dialecte spécial qui a certains rapprochements avec le bas-allemand. Bombardement de Belgrade» deSe/nlin et de Pancsova Paris, 15. — On mande de Nijch : Le 12 août, à 2 h,de l'après-midi,l'ennemi a commencé à bombarder Belgrade avec des obusiers de groa calibre, du point 109 à l'Ouest de Semlin. Pour forcer l'ennemi à cesser le feu, les Serbes ont bombardé Semlin et Pancsova, et dirigé leur feu contre les hauteurs au Nord et au NordEst de Semlin, où se trouvent les réserves ennemies. L'action de l'artillerie serbe fut très effîcace.Sur plusieurs points de Semlin, on vit une fumée épaisse s'élever au dessus des maisons en feu. A Pancsova, il y eut une panique et les habitants foirent. Aussitôt que les Serbes .eurent lancé quelques obus sur Semlin et Paossova, le feu de l'ennemi contre Belgrade cessa. Les Autrichiens ont lancé en tout contre la position de Belgrade 105 shrapneîls et obus, sans aucun résultat. Pendant le bombardement de Belgrade,quelques obus sont tombée sar des maisons de la ville; ils n'ont pas fait de victimes. L'Egltee et la Paix Les cardinaux américains Gibbons,de Baltimore,ec 0'Connell,de Boston,ont envoyé à tons les cardinaux et évêques des pays neutres une invitation à une conférence en Suisse, où on pourrait discuter les bases de négociations de paix entre les belligérants. »— Verdun souterraine Berlin, 16. — Le correspondant parisien dei'« United Press » visita,avec l'assentiment dugénéral Joflfre, plusieurs ouvrages de fortification français. Il communique entre autres à cesujet : Les mystères de Verdun étaient làdevant moi comme un livre ouvert» Par descouloirs souterrains, à deux cents pieds sousla terre, je marchais tout le long du front etreçus l'autorisation d'étudier le bureau dit dusiège. A cent pieds sous terreje causai avec lecommandant militaire qui m'expliqua que cesmesures de précaution étaient prises non pasparceque Verdun serait menacée, mais pourque luimême et l'état-major pussent travaillerà leur aise devant les canons allemands à.longue portée et de gros calibre.Les installationssouterraines sont si vastes que toute la population civile de Verdun peut y être recueillie.Mon guide me montra aussi de nouvelles inventions dans le domaine des munitions. —■» • —— ~ UNE DECLARATION BULGARE D'après la Tribuna, l'ambassadeur bulgare à Rome, interrogé sur la situation politique, a dé"claré" qu'il ne pouvait se prononcer sur les propositions de la Quadruple-Entente et sur la réponse que la Bulgarie y fera. Si cependant certains journaux prétendent que la Bulgarie cherche à marchander parce qu'elle se sent indispensable, ils ont tort. Les dommages infligés au pays par la paix de Bucharest doivent êtfe réparés par l'application du principe des nationalités. L'EXPORTATION DE VIANDES HOLLANDAISES r.fi Ftsye, 1.7. — La frontière hollandaise res- iir l'exportation de la viande de Seule oo' do 1 ut le W ütüity.J BUREAUX rue de la Croix, 29, Namm Récoite d'avoine de 1915 Arrêté concernant la saisie de l'avoine de la récolte de 1915 dans le territoire belge du gouvernement général en Belgique. Arrêté du gouverneur général en Belgique en date du 27.juillet 1915 : Art. 1er. — Dans toute l'étendue du gouvernement général, l'avoine de la récolte de 1915 est saisie, dès l'instant où elle est fauchée, au profit de l'administration militaire. La saisie s'étend aussi à la paille. Après le battage,' la saisie de la paille est levée. Chaque exploitant agricole ou chaque acheteur d'avoine sur pied est tenu de veiller a ce que son avoine soit récoltée soigneusement. Art. 2. — Sauf les exceptions prévues par le présent arrêté, il est défendu : a) D'apporter des modifications aux stocks saisis; b) De disposer des stocks saisis par convention ou par contrat en faveur d'un tiers quelconque. H est, par conséquent, défendu de les acheter, vendre, engager, donner h titre gracieux ou d'emprunter sur eux. Art. 3. — Chaque exploitant agricole qui, dans le territoire du gouvernement général, a cultivé de l'avoine en 1915 ou tout autre détenteur d'avoine de 1915 est obligé d'exécuter toutes les opérations (y eomprls le battage) nécessaires h la bonne conservation des stocks saisis et de conserver ceuxci avec les soins d'un bon père de famille. Il doft : a) Sur réquisition, vendre à l'administration militaire toute son avoine, à la seule exception des quantités désignées h l'article 6a et 6b, et destinées aux semailles et à l'alimentation des chevaux; il doit en outre transporter, livrer et charger à terfïps les quantités achetées par l'administration militaire; h) Autoriser les mandataires de l'administration à pénétrer dans toutes les pièces de son exploitation afin que ces mandataires puissent accomplir les devoirs de leur mission. Il doit, en outre, leur permettre de prendre connaissance des livres ae sa comptabilité, s'il en a, et leur fournir la preuve de l'emploi de l'avoine récoltée par lui. Art. 4. — Il est défendu à tout exploitant agricole ou à tout autre détenteur d'avoine de la récolte de 1915 : a) De nourrir ses animaux avec l'avoine destinée aux semailles; b) De transporter l'avoine d'un lieu dans un autre sans passavant de l'administration militaire, exception faite des transports du champ au lieu de conservation, de ce lieu h la batteuse et de la au Heu de conservation. Art. 5. -— Si un exploitant agricole ou un détenteur quelconque d'avoine de la récolte de 1915 n'exécute pas, dans le délai fixé par l'administration militaire ou par ses mandataires, ce que l'article 3 (1er alinéa et alinéa 2a) lui prescrit, l'administration militaire en chargera un Hers et en fera supporter les frais par l'exploitant ou le détenteur négligent. Art. 6. — Est exempte de la saisie, en faveur des exploitants agricoles : a) Au moment même des semailles, l'avoine destinée à cette opération, à raison, par hectare cultivé en 1915, de 170 kg. de semences de la meilleure qualité et appartenant à l'exploitant; b) Au moment même où elle est donnée aux cbevaux, l'avoine destinée à l'alimentation de ces animaux, à raison de 2,500 gr. journellement par cheval appartenant à l'exploitant, soit environ 920 kg. d'avoine par cheval et p#r année commençant le 1er septembre pour finir le 31 août 1916. Pour chaque cheval qui n'est pas fa propriété d'un exploitant agricole producteur d'avoine en 1915, il sera accordé le droit d'acheter à un producteur environ 920 kg. d'avoine pour une période d'un an. Sur la demande du chef d'arrondissement, l'administration militaire pourra permettre, dans des cas urgents et surtout pour les chevaux employés dans les charbonnages, de dénasser, dans une mesure à déterminer par elle, lo ration presente précédemment. Art. 7. — Pour chaque- quantité de 100 kg. d'avoine de qualiïé bonne et marchande, achetée, livrée à temps a l'endroit désigné et pesant, au moins 44 leg*'par hectolitre, l'administration militaire paiera 33 francs. S'il s'agit d'avoine de qualité inférieure, l'administration militaire en fixera le prix en se basant sur le résultat de l'expertise qu'elle fera exécuter. Art. 8. — Quiconque contrevient aux art. 1er (2e alinéa], 2, 3 ou 4 du présent arrêté sera puni d'une peine d'emprisonnement de 5 ans au plus ou d'une amende pouvant aller jusqu'à 20,000 francs. Les deux peines peuvent être réunies. En outre, sll s'agit de contraventions aux ar*. 2, 3a ou 4b, l'avoine courra être confisquée au profit de l'administration militaire. Art. 9. — Les contraventions au présent arrêté seront jugées par les tribunaux militaires. Art. 10. — S'il y a lieu, il sera publié des dispositions complémentaires en vue de faciliter l'application du présent arrêté. Bruxelles, le 27 juillet 1915. Der Generàl-Gouverneu-r in Belgien, Fremerr von B1SSING, Generalobepst. ARRÊTÉ concernant la saisie du foin ûes récoltes de 1915 dans lo territoire belge du Gouvernement général en Belgique. Art. 1er. — Dans toute l'étendue du gouvernement général, tout le foin, y compris le foin de trèfle, récolté en 1915 (c'est-à-dire le foin de Ire coupe et le regain) est saisi, dès l'instant où il est fauché, au profit de l'administration militaire. Tout exploitant agricole ou tout acheteur d'herbe ou de trèfle non fauchés est tenu de veiller à ce que la récolte s'en fasse soigneusement. Art. 2. — Sawf les exceptions prévues par le présent arrêté, il est défendu de disposer des stocks saisis, par convention où par contrat en faveur d'un tiers quelconque. Il est donc, entre autres, défendu d'acheter le foin saisi, de lo vendre, engager, donner à titre gracieux ou d'emprunter sur lui. Les gouvernements et les chefs d'arrondissement peuvent autoriser des exceptions à cette défense. Art. 3. — Chaque exploitant -agricole qui-, dans le territoire du gouvernement général, a récolté du foin en 1915 ou tout autre détenteur de foin des récoltes de 1915 est obligé d'exécuter toutes les opérations nécessaires à la bonne conservation des stocks saisis et de conserver ceux-ci avec les soins d'un bon père defamille. Il doit : a) sur réquisition, .vendre à l'administration militaire tout son foin, à la seule exception des quantités désignées à l'art. 6; il doit, en outre le transporter, livrer et charger à temps; b) autoriser les mandataires de l'administration militaire à pénétrer dans Routes les pièces de son exploitation afin qu'ils puissent accomplir les devoirs de leur mission; il doit, en outre, leur permettre de prendre connaissance des livres de sa comptabilité, s'il en a, et leur fournir la preuve de l'emploi du foin récolté par lui. Art. L — Il est défendu à tout exploitant agricole ou à tout autre détenteur de foin des récoltes de 1915 de transporter le foin d'un lieu dans un autre sans passavant de l'administration militaire, exception faite des transports du champ au lieu de conservation. Art. 5. — Si un exploitant agricole ou un détenteur quelconque de foin des récoltes de 1915 n'exécute pas, dans le délai fixé par l'administration militaire ou par ses mandataires, les opérations prescrites par l'art. 1er, 2e alinéa, et l'art. 3, alinéas 1er et 2a, l'administration militaire en chargera un tiers et en fera supporter les frais par l'exploitant ou le détenteur négligent. Art. 6. — Les quantités de foin dont l'exploitant agricole a besoin pour l'alimentation de ses animaux sont exemptes de la saisie, à son profit. Art. 7. — L'administration militaire, en tenant compte de la qualité et sans dépasser les prix maxima qui seront fixés dans chaque province, payera le prix du foin qu'elle achètera et qui sera livré à temps à l'endroit désigné par elle. Art. 8. — Quiconque contrevient à l'art. 1er, 2e alinéa, ou aux-art. 2, 3 ou 4 du présent arrêté est passible d'une peine d'emprisonnement de I 5 ans au plus ou d'une amende pouvant aller | jusqu'à 20,000 francs. Les .deux neiûfis csuventj être réunies. En outre, s'il s'agit de contraven-" lions aux art. 2, 3a ou 4, le foin pourra être confisqué au profit de l'administration militaire. Art. 9. — Les contraventions au présent arrêté» seront jugées par les tribunaux militaires. Art. 10. — S'il y a lieu, il sera publié des dispositions complémentaires en vue de faciliter l'application du présent arrêté. Bruxelles, le 6 août 1915. Der General-Gouverneur in Belgien, Freiherr von BISSING, Generaloberste COMMISSIONS PROVINCIALES DES PENSIONS Par arrêté de M. le gouverneur général en Belgique, du 1er juillet 1915, sont nommés membres des Commissions provinciales des pensions, pour un terme de trois ans, prenant cours le 1er juillet 1915, les députés permanents des Conseils provinciaux, les magistrats et les fonctionnaires désignés ci-après : Province d'Anvers. — MM. H. Claes, membre de la deputation permanente du Cpnseil pi-ovin-; cial; A.J.-E. Van Vyve, directeur des contribua tions directes, douanes et accises; l'inspecteur, principal de l'enseignement primaire à Anvers, i Province de Brabant. — MM. E. Richard efe Ch. Gheude, membres de la deputation permanente du Conseil provincial. Province de Flandre Occidentale. — MM. (?.-^ Verhaeghe, membre de la deputation permanente du Conseil provincial; le procureur du Roi h.< Bruges; l'inspecteur principal de l'enseignement», primaire à Bruges. Province de Flandre Orientale. — MM. le pre*', mier avocat général près la Cour- d'appel de, Gand; le directeur des contributions directes,' douanes et accises; l'inspecteur principal de l'en.» 1 seignerhent primaire à Gand. Province de H'ainaut. — MM. Caty, membre de. la deputation permanente du Conseil provincial;' le procureur du Roi à Nions. Province de Liège. — MM. A. Laboulle, mem-, bre de la deputation permanente du Conseil pro-< vincial; le premier avocat général près la Cour d'appel de Liège; l'inspecteur principal de l'enseignement primaire à'Liège. Province de Limbourg. — MM. Ch. Gielen, membre de la deputation permanente du conseil provincial; l'inspecteur principal de l'enseigne. ment primaire à Hasselt. Province de Luxembourg. — MM. G.-J. Lon« chay, membre de la deputation permanente du Conseil provincial; l'inspecteur des eaux et forêts, à Arlon. Province de Namur. ^ MM^ le procureur du Roi à Namur; l'inspecteur des" eaux et forêts à Namur. Postes 1.Le bureau de poste Oostmal.* faisant leservice des correspondances des troupes et desautorités allemandes vient d'être supprimé. Parcontre, l'ancien bureau de poste belge Oostmalle. a repris le service et dépendra du bureau dfliposte de Turnhout. Les bureaux de poste La Louvière 1 et La Louvière 2 ne dépendront plus du bureau central da -Charleroi mais du bureau central de Mons. Le bureau de poste existant déjà à Tilff pounle service des troupes et des autorités allemandes portera désormais l'indication « Tilff 2 (Gare) »; le bureau ouvert au public « Tilff 1 ». Ce der* nier dépendra du bureau de poste de Liège 1. Les anciens bureaux de postes belges sui.vants. ont repris le service : a) Bovigny, dépenddant du bureau de poste Vielsalm; b) Schrieck n (Malines 1); c) Eghezée, Flawinne et Gesves (Na.^ mur 1); d) Fexhe-le-HautrClocher et Verlaine(Liège 1); e) Carlsbourg et Haut-Fays (Libramont#f) Doische et Mesnil-St-Blaise (Givet); g) Broejchem et Santhoven (Anvers 1); h) Francorchamps,Froidthier, Heusy, Moresnet et PetitRoehaia(Verviers); i) Lemnecq (Bruxelles 1); j) Baelen*(Nôthe) (Turnhout); k) Cul-des-Sarts (Marientbourg); 1) Messancy (Arlon). Les localités suivantes ont été rattachées & d'autres bureaux de poste ; a) Boneffe et NovillaTaviers, seront desservis désormais par Eghe^zeé^; b) Borsbeeck, Ranst et Zoersel par Deurne;.c) Bruly, par Cul-des-Sarts; d) Canne, Eben-! Emael, FaÜ-Mheer, Roclenge-sur-Geer et Wonck,, par Tongres; e) Cherain, par Bovigny; f) Ede-j gem et Linth, -par Mortsel; g) Eysden, par Lan/kbaer; h) Falmignoul, par Mesnil-St-Blaise; iV Gimnée et Romerée, par Doische; j) HorionHozé-ment et Momalle, par Fexhe-le-Haut-Clocher; kjf, Louveigné, par. Trooz; 1) Maissin et Redu, pac^Libin); m) Malonne, par Flawinne; n) Porche*resse*, par Haut-Fays; o) St-Job-in't Goor, pariWyneghem; p) Sempst et Weert.par Bruxelles l}£q) Steenockerzeel, par Saventhem; r) Tellin, par!Wellin; s) Vonêche, par Givet; t) Vremde, par.Bouchoutj u) WaerloûB, par Duffel. ( - "">•• ■

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This item is a publication of the title L'ami de l'ordre: journal politique, commercial et littéraire belonging to the category Gecensureerde pers, published in Namur from 1839 to 1918.

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