Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1916, 24 August. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Seen on 03 October 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/4q7qn6043r/
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ABONNEMENT POSTAL, ÉD. J| BaasMss - Province - Etranger g'mois : Fr. 4.50. - Mk. 3.60 -^Les imjxsdjs. de poste m Belgique çt â TEIm^er n'acceptent que -des ^hocr!iem£Hitb 'i'RJJtiiEST^iELS; ceux-ci pi^iiiiLiit cours les ÎJanv. 1 Avril 1 Juillet 1 Octob tOn peut s'atonmer toutefois pour les deux derniers ieimms ou îuême pour Je dernier mois de chaque trimestre au prix ■de : v«%2 Mois 1 Mras ff-3.00-M-2.40 ff l.50-^ 1.20 TIRAGE : 75.0@0 par jour r——— Rédacteur en Chef : Maro cie S AIvM i Journal Quotldlu Indépendant 1 Rédaction, Administration! Publicité, Vente : | j BRUXELLES, 45, RUE HENRI MAUS { ANNONCES — La ligne Faits divers et Echos . fr. ".00 Nécrologie. . —0C Annonces commerciales . 1.00 » financières. . . 0.50 PETITES ANNONCES La petite ligne 0.1 La grande ligne 0.5C TIRAGE : 75.000 PAR JOUR Calais et les garanties réelles •'Nous lisons daiig le « Tag » : Dans les discussions publiques sur la guerre, ciL,ne songe pas assez à l'influence d;. Cillais, réglant aux mains des Anglais — parmi les garanties réelles que nous apportera la paix à_l Ouesit. On sait que les Anglais s; sont éta-Mis coanmodenKiit à Calais et ont renforcé i considérablement les fortifioatioais de la. ville qu'ils pcsgéàèretti jadis d« 1347 à 1558. On sait aussi que les Français envisagent avec, inquiétude cet état de choses et qu'ils ont souvent in!idé à. leurs amis, si Calais sera ©va- ' eue i-o/s de la reaclusicn 'de la, paix. En mars 1916 c3ét? inquiétude a provoqaié une intsr-ipell'îtiion à la Chambre française. L'Angîe-p&rrb ai a pas donna d© promesse formelle, .niais a lait plutôt «a? réponse générale, c'îst-'à-d.ie fruH-ameat' satisfaisante. Même si l'Angleterre avait fait un© .promesse formelle, ceux qui cesamabsent. la politique brittaamiqu© n'y attribueront aucune valeur. La déclaration suivante que Lord Baifour a faite à Churchill aura- pour eux une- importance yens grand® : j « J :i*4 longtemps que nous tenons Calais, > nous potirons nous penser d'Anvers que nom : avons perdu. » J© cn»e devoir conclure de j estl déclaration qu'il est très douteux que Calais sera resta taé à la, France après la corn- i cil1- oa de la paix si oh n 'en fait pas une eoa- ! «Ëtioo formelle du jji-o'tœoile de la paix. s La Fiance et l'Allemagne sent surtout qualifiés» « abord pour formuler une pareille exigence. L'intérêt des deux pays à ce point de yuê sera examina plue tard «S», plus près. -, La guerre, par sa tournure en faveur d-e l'Allemagne, a mis la- France devant le problème de son sort. Jamais fe pays ne .s'est trouvé dans une stuatien semblable. Les sacrifices de la France en argent et. «n biens, et cé qui et encore plus important, go hommas, icst inooinmciisur»ble. Si la guerre se. termine en faveur de l'Allemagne, la situation d-e la France, commu grande puissance, sera, pendue pour longtemps. Ce pays décimé dans la- fleur i do sa population masculine, aura besoin de plusieurs dizaines d'aminées pour a? relever et ne pou>. i'a pratiquer une forte po&iiqus indépendante comme avant la guerre. La j France devra chercher un appui solide et à j ce point d-e vue -elle ^n'aura. L choix qu'entre 1 Angleterre ei PAJlen3®jgai®,._ S'i fc=r-Vctt= ; Bfeirès à l'est, indiqués par le Chanesli <r de : S'Empiie, sont, atteinte, la Russie em tant qu'alliée, perdra pour la Franc® toute valeur, labsta.aeijo'ii faite de os qu'une banqueroute ; politique rusee, tell© qu'elle paraît inévitable aux yeux de iiiombr-afees personnalités com- : pètent s, auira peur coinséquence un refrai- ! dissejnent sensible dans l'amitié actuelle qui | unit les deux pays alliés. L'Italie, dans sa propre impuissance, ne peut, offrir à la Franc;, aucune < ^mpensation à la parte de la Russie. Que feia la Fiance? Oherobeia-st-'îlle cet ap- • pui en Allemagne? La réponse affirmative à cabbe question supposerait un revirement complet dans le peuple français ou tout au moins <jh.cz ses classes dirigeantes. La. sem nce de la (Laine comire F Allemagne, semée depuis des dizaine; d'aimé s devrait étire extirpée diaais sa racine. La Fiance devrait renoncer loyalement. et définitivement â l'Alsace-Lorraine et j devrait être gouvernée d'une façon qui inspire toute confiance. , En un mot, la France devrait finalement enterrer le passé et nous offrir une amitié réelle. P' isonn-e n'osera affimer que les choses se développeront ainsi dans m temps plus ou moins rapprceihé, vu Le conditions regrettables oue la guerre actuelle a créées au point de vue moral chez les Fiançais. Le Prince de j Bulo'W, dans sD-a livre mir la politique allemand' . es-t également d'avis qu'il s'écoulera encore bien du temps avant que de bonnes relation^ confentes ssi:nt possibles entre les ad-vers-air s actuels. Les coiiféreiices assidues au sujet de la guerre économique après la guerre par les armes , n'auraient aucuin sens si les Français ne s'étaient familiarisés av c l'idée d'une haine duraWe et d'une jalousie permanente < jutre l'Allemagne. Et- enieoi qui gait? r'A ino.i avis, cwi doit donc tenir compte de ce que la Fiance restera, tant bien qu: mal i l'alliée, psur un t mps déterminé, de l'Angleterre, quoiqu'elle doive reconnaître qu'elle a peu à peu perdu tout son .sang, principalement pour l'Angleterre. -La dépendance financier:; vis-à-vis de l'Angleterre, que la gwn» actuelle lui a créée, ne lui laissera d'ailleurs provisei-rem nt pas d'autre ii--Je. A ce point de vue historique, il est tien r,. - bL'. sinon prcb-able, que la France d1 vra se ré- gn;r à la. -.-tice dvirab e cles AngM . s à Cal" jS, 11 est hors de doute que la France en-, uv-ra des souvenirs douloureux à c.; nup:t ; la France a lutté au moyen-âg", * pendant 211 ;.as,-pour délivr'r Calais de la i domination anglaise. Un nouveau Gelais anglais sl ait une preuve manifeste d son impuissance pji.tique.Mais malgré cela la France sans doute s lésignera, car le- Anglais con- ; vaincront k, Français que leur? intérêts exi- ! g'ent cc sa^ifice. Ils soutiendront que sstiI un ' Cala:s anglais garantirait un appui militaire ; jéûHP'dérable sur terre • t que ce ne s ra que dé cette façon que s'exercera sans d'fiitullô | dominai!' ii < nimune du canal. Le. projet du tunnel sens k Manclie, r'pris iécemni:?»it a-vee le'coiascntonve:i.t <d«g Anglais, a joué également .un"grand rôle dan,s la conférence éeenomique ! "de^Parjs. 11. ne pourra que reinforc1 r les rai- ; sais^de l'Aiagleierne. Et quand il de i Càlàis," il faut «mt e id-iv nom seu-Lm^mt la vilie, ; ni'àis aussi le hinterland d*2 la cité. > Q «umesit. la question" pcse-t-elfe pour l'Allemagne. Il est naturel qu'un Calais anglais ne peut lui être indifférant, mais il lui sera tout au plus désagréable. Devons-nous donc faire de la iestit.nt.ion d.e Calais une condition de paix, à laqu'lle l'Angleterre opposerait naturellement l'exigence d'une condition compensatrice? On sera naturellement dispesé,à répondre affirmativement à ces deux questions. Mais dès qu'on eo>mme«cera à douter au point de vue de la sieconde question, la réponse affirmative à la première perdra d'_ son importance. Cela peut paraître simple et naturel, mais peut-on oublier la situation qui se présentera dam ces circonstances? Pourrait-on disposer de l'a y nir sans savoir pertinemment si ou peut réaliser les intentions ians difficultés 2 J'arrive donc à la conclusion qu'on devrait ' écarter de pareilles idées d'av-nir, mais que nous ne devons pas nous inquiéter beaucoup d'un Calais anglais. Il est évident que cette éventualité sait avoir une infîneiaci;, essentiel?© ■ ;ur la stipulation des garanties réelies.ISfous lais- . serons aux lecteurs le soin de jug r ccœumi.ent ] il devra être procédé. Quant à moi, je suis j l'avis que la direction moyenne gi. souvent discutée dans les journaux depuis 1; 1er août, n'est pas tout à fait d'accord sur ce point. Âmircd Df'k. j LA GUERRE Emanrapris iiiisieis A'LLEiVÏAN D'à BEliLlX, d'ji'it. — Officiel de cc midi : Tiiêâtre de la guerre â l'Onest Les combats e/u nord de la Somme ont pris de nouveau tuic pïïns grande extension. l'iu-sieurs attaques anglaises centre notre ligne a-vtineée entre Thiepval et l'vzières ont été re-povsjsées. C n angle miileinl a été perdu. Au nord-est de Po-Jùra et au bois des les colotiacs d'assaut ennemies se «ont brisées sens 'notre feu. Des combats acharnés se déroutent pour la possession du village de (,'uil-lanont dans lequel / 'ad certain a -w-nÂta-j-, te m- poriAii cïu-cHt. j'stï *i -.i**firX£?■!& ■<rtrf-~ femèourgeois « Kmser Wilheim » a victorieusement repoussé toutes les attaques et tient le village en son pouvo r. Plusieurs opérations partielles françaises entre Mmre-pas et Cléry sont restées infructueuses. Au sud de la Somme des forces françaises nouvellement introduites ont ■attaqué sur le secteur Estrées-Soyc-eourt. Les tranchées perdues sont reprises à la contre-attaque, nous avons fait prisonniers 1 officier et 80 soldats, TiJéâtre de la guerre i l'Est ^ firraées du ïeWmaréchai-igéuéral von Hindeairarg î Sur le JSfoclwd les Susses ont continué leurs attaques acharnées dans la région de lîudkei-Czerteûsc:c. La cavederie bavaroise arec les dragons austro-hongrois a rejeté chaque fois l'adversaire en lui 'infligeant de grandes pertes a fait prisonniers 2 officiers et X7Q soldats et capturé £ mitrailleuses. Des opérations réussies contre les avant-postes ennemis, près de Smo-lary, nous ont amené 60 prisonnier* et 3 mitrailleuses. Sur le secteur de Luit ei Graverka et 2^'/s m™ sud des attaques russes ont en général été disloquées déjà dans notre feu de bar raye. Près de Piemaki et Zivyzyn l adversaire, a pénétré dans d'étroite éléments de tranchées; jirès de Ziry.yn il n'est lias encore rejeté.Fronl du général de eavajerle archiduc Charles ' : Des contre-attaques répétées des deux côtés du C-itrny-C'zcrcinocz contre nos nouvelles po- i sitions sur la Stepunsky et la hauteur Kreta sont restées sans résultat. Dans les Balkans Toutes les positions serbes sur la Hidka-Jidze-Planni■& sont 'prises. L'attaque est en progrès. Plusieurs fois l'ennemi introduit pour lu contre-attaque sur le Dzemaat-Jeri et dans la région de Moglena a été repoussé .arec des pertes sanglantes. Entre, le liutkova et le lac Taliinos des forces françaises ont été rejetées au-delà de la Struina. Plus à l'est nous mous bomme sempuués de la crête Smijnica-Planin-a. AUTRICHIENS VIENNE, :>2 août : iJieâire île la (|lierre russe, Ariiiée du générai de aicrie archiduc Ghariei : A Zabie, JJystrzce, .ainsi <qy'à portée du défilé des Terrtures. mu* avons repoussé pl«-sicurs attaques im's. Au titid-auicst ae Zieh ne, nos délmehememis, à la si" te de combats ikiorieux:, ont ramené KMt prime « nier s et 2 indratlleusis. Arnica du ycnéraJ i'eldmaréeliaJ von Ifin-deubiirg : pans if secteur l'< rcneli i a-Bienalciii, l'ennemi 11 attaqué Varmée von Bôhm-ErmdUi. Abstraction f-Hite çTun étroit tronçon de tranchée pour la jmm'sxi m duquel le combat dure encore, maigre les cn-onnes sacrifices des Susses toutes lis positions sont restées en notre pouvoir. A u chemin de f(r allant de Sa m y à Koxrcl, ainsi qu'à Sriimolury, P ennemi a perdu quel-7ii^s tranrhéi's aianrétet nous lui avons pris 2 initradtevses. .1 Ensia-Cz'-renoirise.e, les Russes ont, hier égale»'* n*. déployé h s pus grands efforts pour gagner du terra ni sur la rive occidentale du Stocliod: partout, ils ont été constamment re foulés, perdant des millide combattants, et c nous laissant '2 officiers,B H soldats et ^ vu- s trailleuses. -Vos dragonV,mpereur Fran- a cois, combattant parmi é'rTgrijients de cciva- i. lerie bavaroise, se soie wore maintenus à la « hauteur de leur répuiakn-. Théâtres de la guerre Jiiien et Sud-Est. o Aucun changement. i TUR!S ' COJSTA XThYOfJ A' .J août. — Le qitar- r tier général annonça .h\-c. différents fronts, i rien de particulier n'est % 'annoncer. ' î BUL1\RE s SOFIA, 22 aoû. — Cjiciel du 21 août : t Le 20 août nos troujis opérant dans la val- ' s lée de la Striunri entrt, Tae.hpM et. le lac de Butlcoira ont marché d'I'qpant et rejeté l'en- } rerm sur la nve di *""$< Ici Struina. Nous c< nous sommes emparés .sir la rive gauche des é lillages de llasmater, Jj\-alclinyoivmaya,Kiim- f h, Hho-an, ï'odt-roro, i vol en, T enikoj, Baux, Christian et JTttmiîw'p} nous nous sommes installés. Nous avons d hersé la brigade française Fcrticr tpii était cm posée des 1er, Jte et Se régiments de cfunsciafricains, de S bataillons de zouaves cf \pun détachement de l'artillerie montée. Ni^::Vons fait 10 prisonniers dont 1 cap'daine, commandant de com- ç pagnie et un détacheuïhii de cavalerie ainsi A que de ses chevaux. Les français ont laissé sur î S le terrant beaucoup de wjrts et de blessés. Dans A la valléi du \Vardar le* <• me ruade habituelle 6 Sur l'a'lr droite noire e'tpns.vc s'est pour.W- 1 vie hier.Nos troupes opélint au sud d< Lerine 1 (F'urina) se sont empayes de la crête de la s Malarocka et continuer*^eur marche vers le ! sud. Nos tro'ip's pi'ogrfssont à l'est dans la direction L< ri :••-Ban il ei ,Qo mit se hheu o-Osfro-wo ont attaqué la po (, ennemie fortement retranchée mr la criie\^le la Nideze-Plumna g qui était défendue par Indivision srrbe du ha- 1 nube et pur 2 régiments'\t la division du \Yar- -c dur. Hier soir, vers 0 usures, nous nous sommes emparés de cette portion et du village de . Gornitsehkeiro où nous rivons fait prisonniers £ toute vue compagnie aVoè-3 officiers. L'adrer- ; ei"/e se r tire vers Pesttf Notre marche en a-vunt continue. A . j ï' u outre du matériel (tuons capturé ( ct '' ,<77,dû hi-o > tionS d a, dlenç sur le .T (/c S„r , la rire droite de la M#ifc rntnclin a prman- \ j cé en fin de jopmec uf ; pagné de ft* de e>lncimmés sur le -, village de Flcnrg. os <L (h barragc i>,nlt , arrêté net et lui ont fit 9 ^ 'a.(eg g& , rieuse*. I l'A BIS, U août. — oL(t.i(7_ _ n hm. v.m.: « Sur le Iront de la hatU!ries ont ■ exécuté de nombreux UrÊ ^ ^ or^l)lùatl0ns -cjtnemt, . au nord ei av J , (U (n r]riire_ All. cane aeten d infanterie I y (h j()ur. née. Canonnade inie rmn V,uic ^ /fi }.esfe du A via;,on : Nos avions 1. chcms£ Qjjf Uvré foardh in de n'aubreux iloiniats'j)etll appa. reds ennemis ont tie <d>\tttm dans les houes ennemies; l'an dans la ri, . ^ Deniecourt, l'autre près de Benej. I ' RUSSI g PET.ROC'le A 1), 21 „ Sw. h jTOnt oc_ c,dental, les com onis au \Kloc]lo(ï dHns U ré. yton dt lovol cl de AuC:(iT,r,c:e si poursturwt. * os troupejM ^ pressé du us quelques secteê^ y<>m llvons fait dans celle région ait tola,| /g n, ^ lg a„ot> comme pnsoiinien 1G ôffSc, Je m(J soldats et nous y avom^ £ vn c({UOn> I8 mitrailleuses, .} lance-botI &(jg Tc lecteurs, "in de ,u,êelions ct Dans la région de Lvhd 1. Sto Iwd, notre art bcne ci mendie m nf ,,n_ nenu. Pans la ru, un u ! <« f( . jadwuyna, , *fWm-ec - ccés ,1 ont occupe une série de haut «M m,lf l" àieeetioud» A 4"t"" nl>vs aions oC. cupé le village de Fercde,*z ^ 'p,ddonica sur le C.erimoe, ans, que i«ic7f;,/es hauteurs si-tuees a l Ouest du vdlage Naus re. pur nui,e jeu ,, s ((ftaques réi. Unes de l'adversaire sur /<W jMuUurs uu sud-ouest du mont 1 omnalil-, fl ITALS£K|S ROME, 21 a" ut. — LeM^ntes intempé- \ ries ayant t' r, -ur /nul I jm de^grrn'e .lues d « J./lV,r/.,e . Ul c,nwn. mule de i ennemi a eU, H,re(V; m,n( „,(i_ va cm Iront du Ircnuii et îm, 7J J fm/u h ut su ,<:u- tu. 1 t" ' a | ,t a en Uté également dan, la vallée r/i* Dmn f„uon. ê de < i <ams en tenus. ■ On signale de ; te . I dans la voile de TA.si.eO ,1^ ^ xffUnr de Plan,. L adversaire, r( ,oul c punis M Omis la région de tjiitz, >..■ , . fmwst que nir w 'f, #'■/• '/r, i tin U S ' il„ dïchàrqi quel- I M AMGLAîlïj | LONDRES, J 1 1 ■ 1 | trous ennemies. j LON1)RES, *2 août. - 1 ?fl ^ Wm_ cjuet. I ennemi* c<-ayr une {U v,ilte envergure, qui a été immédiatement repoussée. Sinon, nen d'essentiel, en dehors du duel d'artillerie, dont la violence est parfois extrême. Notre artillerie déploie beaucoup d'acli- } ■vite. ] Au sud de Thiepval, les tranchées ennemies ( ont été gravement endommagées, et nous avons < provoqué dans une batterie de l'adversaire un j incendie qui a sévi un certain temps avec fu- ( rcur. ! Un ballon ennemi a été forcé de descendre j par noire artdlcric. ( Au sud de Loos, nous avons pni améliorer essentiellement noire situation locale, grâce à une mine (que nous avons fait exploser avec-succès. . ( Nos av.ons continuent Ci jeter avec succès des bombes sur les quartiers ennemis; hier, l'un ^ d'eux n'est pas rentré. Les avions ennemis ont été plus entreprenants aujourd'hui que de cou-tume sur nos lignes. Dernières Dépêches i Bratianu préfère réfléchir. 1 Ou mande de Bucarest à 1' « Esti Uzsag -» < que Bratianu a répondu à une délégation qui ] venait lui demander la réalisation d'une « plus grande Roumanie » . « Oui, fort bien, mais « vous faites une €rreur dans un certain sens ; ( si la plus grande Roumanie se réalise, les huit : millions de Roumains vont s'en attribuer le - mérite. Par contre, si l'on déraille, c'est à moi j seul qu'ils s'en prendront. i>Te trouvez donc \ pas étonnant que dans ces conditions je con-ttnue à réfléchir avant d'agir. » Evénements scï ajsr. j Berlin, 22 août. — Officiel, — Relativement 1 au succès de nos sous-mariius, mentionné hier, ■> nous apprenons les détails suivants répondant au communiqué officiel anglais «t d'après des 1 nouvelles reçues depuis les événements : Le 19 août vers 5 heures de l'après-midi un de nos sous-marins aperçut 5 petits croiseurs anglais naviguant vers le sud-est et. accompagnés de 2 flottilles de contre-torpilleurs. Derrière celles-ci se trouvaient 6 croisfuis de bataille avec une forte protection de contre-torpilleurs. Le sous-marin «st parvenu à toucher un des contre-torpilleurs protecteurs qui avait 4 cheminées et apparttivak. probablement au type « Mohawa »■ Immédiatement après avoir été touché, le coutre-fcorpilleur a. coulé aivse la jxiupe émergc'ant fortement de l'ea.u„ Lois-qu'auasitôt après l'ensemble du groupement avgla:s a fait volte-face le sous-mari.n a attaqué encore un petit croiseur du type de la catégorie « Chatîiam « qui se trouvait en arrière à 25 milles marins, isous avons observé 2 coup^ réussis, un sur le pont et un autre dans chambre des machines. Aussitôt ie navire s inclina fortement et s'arrêta. Par suite de la forte protection ennemie le sons-m'arin n'est parvenu qu'une demie-heure plus tard à renouveler ton attaque contre le croiseur qui, ciitretemps, avait été pris en remorque. Immédiatement avant le coup du sous-marin nous avons observé comment un contre-torpil-Lur, qui se trouvait à 300 mètres de là, s é-lança avec une force extrême, et chercha à l'eaforoer. Celui-ci,, immédiatemeinti, ctesaon-ait à une plus grande profondeur ©t perçut immédiatement après une forte détonation au-dessus de lai. Les contre-torpilleurs ennemis ont poursuivi le sous-mari}i jusqu à la suit. Le sous-marin, enfn-temps, est resté indetuaie. j^o peK.t- croiseur, fortement endommage, a été plus tard détruit par un autre de nos sous-marins.La guerre maritime. Christiaaeaad, 22 août. — Le schooner suédois «Poiona», chargé de bois, expédié d'Ud-devalla à Ha-rtiepool, ©t forcé par deux sous-mariiis allemands a. jeter par-dessus bord la moitié de sa cargaison dans la mea1 du Nord, rapporte, que, le même-jour, trois navires norvégiens fuient également -contraints de le faire par des sous-marins allemands. Londres, 23 août. — Lloyd annonce : Le vapeur italien «Erix» et le voilier italien «Dia» ont été coulés. DEPECHES (Reproduites de l'édition précédente.) Au Iront de Saiouiquc. Salonique, 22 août. — (Ag. Havas.) — Le débarquement des troupes italiennes, escortées par un corps de musique irauco-anglo-russe a j commencé hier à 2 heures après-midi, et oonti- j nu© sou cours. Incendie monslre Bavenue, 22 août. — Uu iuc ndie a dét-rui£. ; une fabrique de tissus imperméables et s'est étendu à son dépôt d essence; il n'a pu être arrêté par les troupes, et a causé pour un demi- s million de dégâte. Kl;ils-i ais et Antjleterie On mande de Washington que le gouvernement américain aurait adressé une nouvelle ! «oie au gouvernement anglais au sujet du re-' tard que l'on met à Londres à répondre à la : u-ruière note américaine concernant la saisie des courriers. La cîîlasiîdu « Lwnardo da Viaci ». D'après des înformat'ons recueillies par le correspondant de- la «Neue Zurcher Zeitung» à Milan, la catasteop>e du « Léonardo da Vinci » ne serait pas due à un incendie qui se serait déclaré dans les cuisines du bord, mais bien à une mine qui était venue s'échouer dans le port de Ta rente, et dont l'explosion a déterminé un incendie dans les soutes. Aux Llals-Unis. L'emprunt anglais el la récolle New-York, 22 août. — Le « New York American » annonce tenir de source autorisée qut Morgan and Co se seraient adressés à différentes banques américaines au sujet d'un nouvé emprunt, anglais de 150 à 200 millions de dol fers. Les pourparlers n'avaient consisté jusqu'ici qu'à tâter le terrain. L'emprunt serait probablement conçu d'après le dernier emprunt français. Ou prévoit, comme garantie des actions et fonds d'Etat américaine liquidés par l'Angleterre. De 1' « American » : « On parle d'une interdiction d'exporter le froment, en prévision d'une petite récolte de froment et do la hausse des prix. Dans les milieux gouvernementaux, on pense que la récolte de cette année sera suffisante pour la consommation intérieure, et même pour faire face à l'exportation accoutumée. Les experts du département de l'agriculture évaluent à 620 millions d-s bushels la-quantité voulue nécessaire pour la consommation intérieure de cette auuée. Quant aux reliquats de vieux froments et aux excédents de l'année actuelle, les officiels pensent pouvoir disposer d'au moins 150 millions de busrheis pour l'exportation. Suivant une autre information de Washington, il ne faudra pas, à en croire les experte, officiels, s'attendre à une interdiction d'exporter le froment, à moins que la spéculation n'essaie de tirer profit de la pénurie prévue pour faire monter les prix à des taux exorbitants._ l.a guerre niaiiiime La Haye, 22 août. — Le capitaine et l'équipage du schooner norwégien « Rufue » arrivés de Stava-nger relatent que leur navire, chargé do bois et allant de Frederikehald à Sundei-land, a été mis en feu le 12 par uu eons-mar:u allemand. Berne, 22 août. — D'après 'le k Tempe » le vapeur anglais « Swedish Prince», 3,712 tonnes a été coulé.. ETEAMGËtf FRANCE. — Paris désdluswnné. — Lei Parisiens attendaient de tout autres résultat» du eolossa! effort-de 48 heures produit en der-nien lieu, que l'affermissement des positions entré Maurepas et Cuillemon-t. Les notes ministérielles auaient fait- pressentir qu'on attendait de Haig et de Foch un résultat décisif, et voici que Foeli annonce aujourd'hui : pas de changement, nous continuons le travail d'organisation?FRANCE. — Les laines réquisitionnée}, pourrissent sur place. — M. Léon Lesage, conseiller général, vient d'adresser une lettre à M. Thierry, sous-secrétaire d'Etat du ravitaillement et de l'intendance, pour appeler son attention sur l'urgence qu'il y a à procéder à la réception des laines réquisitionnées chez kv> éleveurs de F Aube, depuis le 28 février 1910. La négligence «st grave, dit-il, car Jes éleveurs de la région n'ont- pas d'installations agencées pour la conservation des lames en suint. 11 en résulte que, logées entassées dans d-fs locaux exigus, les te 11 es en suint fermentent et pourrissent, d'où destruction d'un» marchandise réservée auq fabrications nécessaires de l'armée. Je ne vous ni ne peux croire à de la mauvaise volonté, mais on voudrait, réaliser la destruction des laines en France — tout au moins dans notre région —aiin de mettre Fiu-d-ustrie française dans l'impossibilité de les utiliser pour les besoins de l'armée et 011 voudrait placer l'Etat dans l'obligation d'acheter à l'étranger les objets dont vous envisagiez la fabrication avec efs laines, qu'on ne procéderait pas autrement. En terminant-, M. Lesage sollicite du sous-secrétaire d'Etat des ordres formels enjoignant aux concessionnaires chargés des réceptions d'avoir à opér r celles-ci avec une grande diligence, dans un délai déterminé, mais très court. ANGLETERRE. — La hausse des denréeK — Londres, 22 août. — Les journaux anglais avouent que, dcjmis le commencement de la guerre, les comestibles ont haussé de 60 p. c., et que le froment se raréfie lui aussi. Le charbon de ménage a haussé de 2 sheïlings t-t demi ; aussi les manifestations et assemblées protestataires sont-elles à l'ordre du jour. RUSSIE. — Crise agricole. — Copenhague, 18 août. — D'après certains journaux rusuec-, la récolte serait mauquée dans les districts ci; la Russie Méridionale, une grande partie de la Sibérie, dans le Turkcstan, l'Oural et les territoires du Don, qui sont parmi les régions les plus fertiles de la Russie. La pulat-ion y est menacée de famine. Menschiikoff établit dans la « Noicje Wremja » qu'il n'y a presque plus d'homni s disponibles en pays de plaines. Les travailleurs agricoles obtiennent jusqu'à s'pt roubles et demi par jour, alors qu'ils ne gaguaient en temps de paix que des salaires variant entre un tiers de rouble et un rouble. JAPOX. — Lée développement de la navigation. — La Haye, 18 août. — La Chambre de Comm rce de Yokohama publie une liste de vœux tendant à développer la navigation japonaise. Elle voudrait voir établir des lignes maritimes régulières vers Rotterdam et Gênes, donner de l'extension aux lignes do Honololu et de San-Francisco, créer de nouvel! s lignes vers le Brésil et l'Argentine. — soit par le oap II or 11, soit par le canal do i j . 3™e Année - N. 685 - EtL A |||| Mercredi 23 et Jeudi 24 Août 1^16

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This item is a publication of the title Le bruxellois: journal quotidien indépendant belonging to the category Gecensureerde pers, published in Bruxelles from 1914 to 1918.

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