Le bruxellois: journal quotidien indépendant

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s.n. 1915, 02 June. Le bruxellois: journal quotidien indépendant. Seen on 18 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/st7dr2r17s/
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nurrvvituii - K« 844, Tmi&P .iiiSTISIÊ &»5.<Vtfï B¥B&ilÉ»i AISES cinq giwtïmm mmrmm m fHiEôlBM a mur lus. LE BRUXELLOIS — "™™ -A.BOISTlVrE!3MC3a!ISrTS ! 1 an, 12 francs. — 6 mois, 7 francs. — 3 m»is, 4 francs . MÉÉ&ij 'iLtwr *1/ -<^J' jSàiÉtiSsiyLi*!» Journal Quotidien |ntiépend.ant REDACTION, ADMINISTRATION, PUBLICITE ANNONCES î Faits-Divers, la ligne 2 francs. Nécrologie, la ligne, 1 franc Petites annonces, la ligne 20 centimes La Guerre doit être une Génératrice a Maudite par le Ciel et par ceux-mêmes qi la font », la Guerre est le plus angoissant di malheurs. C'est l'incendie à l'horizon, le bruit d canon dans l'air, dt-ts hommes qui, beaux et fier parteni se faire mîissacrer, et des femmes qi ydeurent! Dès les tel»fis le.s ]il us reculés de l'Histoire, 1: Itères, qui l'ont toujours eue en horreur ; Bell watribus detestffjta, la conuumnent et proteste! coi;!re elle. Et pour elle- il semble aujourd'ht que ce n'est point une chimère de croire que 1 race humaiuf cessera tout à fait de commettre d< actes que. d ailleurs, sa conscience réprouve d plus en plus ! En grand nombre, arrivées de tous les point du monde, des femmes ne viennent-elles pas, p effet, de se réunir en un Congrès à La Haye Engagés dans une lutte titanique en laquelle sur un front gigantesque-, ils s'entrechoquent coir me en une mêlée d'apocah^je, aucun des bell: gérants ne paraît vouloir prêter attention à c nouveau marie, thecel, phares qui s'esquisse, sou l'aspect du redoutable a péril jaune » et au lie (le songer à imposer le silence à des ambitions in [justes et dangereuses, les Hommes d'Europe n prétendent faire taire leurs querelles fratricide qu'après que l'un des adversaires aura anéani l'autre ! Mais avant d en arriver là, que de jours, qu de semaines, que de mois, que d'années peut être? Dans de telles conditions, n 'est-il pas à crain are: que cette guerre « poussée à l'extrême » e] laquelle les combattants « font usage de tous le moyens que la Science met à leur disposition » n prenne pas fin assez tôt pour qu'il soit encor temns d'enrayer l'autre danger qui — hier encor à l'état d'ébauche — déjà aujourd'hui si: dessin et prends corps. lie Japon, en effet, vient ■ d ^^^^ssi^^^^hij^émonn' défji' tive du mond ■ jauii" ^ "■"""Sun « danger? Ne sera-t-il pas trou taid, pour eux — alors que ,f la guerre mettrait aux prises le .Ta pou et. les Etats-Unis dans l'Océan Pacifique — de songer à empêcher la réalisation (le la secondi partie de la prophétie du vainqueur de Port-Ar thur. Et ainsi que lui-même soulignait sa prophétie ne devra-t-on pas assister, impuissants, au triom phe du Japon sur l'oncle Sam. T1 ftSt, fort à craindre alors que pour long temps, bien longtemps encore et de par 1 TTnivei tout entier l'homme continuera à employer so courage, son génie, sa science. a rendre la guerr plus terrible, le meurtre plus sûr, les désastre plus irréparables et qu'à travers la pérennité d< temps, les Mères, toujours martyres résignées d douleur, auront à déplorer les guerres!... Mais en attendant qu'ainsi que le souhaite i l'espère M. Marc de Salm « l'Humanité tôt. c tard, évoluée et épurée, renie — enfin — la Gue re et la maudisse comme l'incarnation même d mal et de la douleur ici-bas », et, tandis que d vastant des récoltes, brûlant, ruinant des édifice dévorant des soldats, le rôle de ceux qui prenne] ii une part active à la guerre est de détruire en ur :s instant le fruit de longues années de Paix et df u Travail, à ceux qui, passivement, en attendent 3, le dénouement, il incombe de faire que la guerre ii soit — par respect au « Sang pur » qu'elle fait couler — comme une « régénératrice » en vue de s l'ère nouvelle qui doit s'ouvrir après elle ! a Au moment où la guerre éclata a vivre ! » était t pour nous un vain mot... On cherchait à se griseï ii dans les plaisirs énervants et les excès de toutes a sortes dont on éprouvait un impérieux besoin, s insatiable,, intarissable! Tel fui,, Alfred de Mus-e set. dépeint par M.. Doumie dans son Histoire de la Littérature française, nous étions « des enfants s nerveux et, peu s'en faut, malades; tout entier à a la merçi d'impressions changeantes et très vives allant à l'extrême de tous les sentiments par la , fascination des passions et même par l'attrait (lu Mal ». ]\Te nous souciant que des idées de Puis- - sauce, de domination, ne visant que les honneurs e qui en dérivent, nous n'avions cure de l'esprit s de famille et nous faisions fi des réels attributs J du Bonheur! Et,/ainsi-qùe le dit notre ami M. Franz Mahutfe. « nous partions d'un point pour e arriver a un autre par la ligne droite, à moins <iue s notre intérêt ne nous induise en des détours obli-i ques; nous n'avions de cesse que nous ne soyons arrivés pour repartir encore et quand nous levions 3 le front vers ce que les Anciens appelaient a l'E- - ther », c'était pour y quérir des francs et des centimes, nous vivions le culte du nositif et étions nourris de matérialisme! » î Bref, notre éducation était ratée! Aussi nous s faut-il. ainsi que le dit M. Victor Enclin, dans 3 son roman intitulé Les Cloisons branlent, « la • résurection d'autrefois, de cet autrefois qu'on ; traite de vieux jeu, qu'on dédaigne, dont on se ? moque, mais qui valait mieux que le trépidant, lç ; jouisseur, l'égoïste aujourd'hui ! » qu'était cet aujourd'hui d'avant la guerre. . 1 ~,n r ^ _ en Belgique, les hases ventaop £~ Alfred de Musset l'a chanté S®tss8H * naissance du comte de Paris en 183S : : ...Dieu n a pas fait la souffrance vaine I ...Des maux d'ici bas quelque bien peut venir. ...L'orage apaisé rend le ciel plus tranquille. et ...Il est vrai qu'en tombant sur un terrain fertile Les larmes du passé fécondent l'avenir. aussi, tandis que tout autour de soi l'on assiste à s la ruine et à la misère succédant à l'abondance et 11 à la prospérité dues aux efforts patients de nom-e breuses générations, il importe que — sous peine s d'arrêter le progrès devant une barrière infran-!s chissable et afin que, ainsi que le dit encore l'au-e teur des Cloisons branlant, a les cœurs puissent se comprendre, les mains se tendre, fraternelles ei ;t que d'une extrémité à l'autre de la société humai u ne règne, par dessus les frontières, souveraine e r- bienfaitrice, la loi d'amour et de charité — il im u porte, dis-je, que nous nous appliquons, dès i 3- présent, à <i vivre mieux » ou plutôt à « vivr s, autrement »!* it I BOB. HOETL. La guerre Italo= Autrichienne O Les premiers combats à la frontière lnnsbruck, SO mai. — TTii journal d'innsbru annonce : D'après les nouvelles de sources digr de foi on ne combat qu'en ouelques endroits à frontière tvrolienne au Sud de la vallée de Pi ter. Les Italiens ont tenté d'occuper la plupi des défilés,mais partout ils furent repoussés.Qu ques détachements ont pénétré, passagèrement travers les rochers sauvages, sur notre sol, m ils se sont retirés pour échapper au danger d'ê coupés. Dans la direction de Luderbac.h on enti dit à quelques reprises une violente cnnonni d'artillerie. Jjfts combats à la frontière de la Carinthie poursuivent. Les Italiens ont massé, depuis loi temps déjà, des contingents de troupes assez f tes sur les pentes méridionales de la montagne ils ont érigé quelque® solides points d'appui, fout de grands efforts pour obtenir des suce mais jusqu'à présent toutes leurs attaques ont refoulées. 10,000 couronnes pour le premier drapeau Vienne. 30 mai. —Les journaux annoncent le baron Chlumeckv a promis un don de 10, couronnes au soldat de l'armée austro-hongri qui rapportera le premier drapeau italien. Pour des raisons stratégiques Lugano, 30 mai. — Pour des raisons strat ques l'autorité militaire italienne a donné oi de démolir le magnifique Excelsior Grand Ilote k situé sur le Mont Ligo. es Encore des missions militaires ls_ Milan, 29 mai. — D'après le Corriera délia -S iTi va on a l'intention d'étendre le système des mi Pl_ sions militaires auprès des puissances alliées égi lement à l'armée italienne et inversement, attei jis du nue l'intervention de l'Italie exige maint tre nant une collaboration militaire intime. A Bon ,n_ il est déjà arrivé une mission militaire .françai et anglaise, chacune sous le commandement d'i général. On attend encore une mission russe; C se missions iront immédiatement au front. Des mi sions italiennes ont également été envoyées ai 0"_ Alliés. où • A Trieste Tls :ès, Vienne, 30 mai. (Communication du Bureau été correspondance de Vienne. ) -—Contrairement a nouvelles de Bouter, au sujet (le prétendus tre bles graves à Trieste, qui serait abandonné à merci du peuple et de la fuite des autorités aut lue chiennes, nous pouvons affirmer que la vie < toujours normale à Trieste, que la ville a un : )lse pect complètement paisible et que le gouverne et les autorités sont toujours en fonction. D'ap: le Grazer Tagcspost, l'approvisionnement de ;gi- ville fonctionne toujours avec satisfaction mail d.re les grandes difficultés de transport. Le gouv « LA GUERRE Communiqués officiels AUTRICHIENS J Théâtre de la guerre Ndij&st Vienne] 30 mai (midi). — Lubaczowka une attaque russe en force qui aîSma une mêlée, a été repoussée. Les tentatives de passage au San, près et en a cal de la Sieniawa, êchÀiièrent. A l'Est du San, la situation est inchangé. Notre propre artillerie tient sous son feu la Ifâffc du chemin de fer Przemysl-Grod'eck, près de^fSl'fjka. Des troupes du 6° corps se sont emparées'Si 27 de ce mois, de nouveau de lvuit canons vusses^ La ligne d'encerclement autour de Przemysl mfeté avancée plus au loin par nos troupes au Not&jkt au Sud de la forteresse. Au Djnestr et au Si$L de celui-ci les combats continuent. A la ligne dû Prutli et en Pologne rien ne s'est passé. Û, Théâtre de la guerre Sud-Ouest (Italie) Tyrol. Ijes Italiens ont recommencé le feu d'artillerie contre nos oïLvragesfcnr le haut plateau de Folgario-JLavarone. Des&étache/rricnts ennemis ont envahi Cortina. /Surs troupes de couverture mirent, toutefois laMuite au vremier coup de canon. Rien ne s'est pMtsé à la frontière de ~ la Carinth ie. LS ennemi n'a ^plus attaqué les hauteurs au Nord de Gôrz. Des>w.ntativ>es de passage de l'Isonzo, près de Monfatcone, ont été facilement repoussées par nos patrouilles. ITALIENS Padoue, 29 mai (23 heures), jp* Frontière tyrolienne et frontière de Trente : "Notre feu d'artillerie à Tonale, ainsi que sur lefplateau d'Asiago et Lavaro7ie, contre les ouvrages ennemis conïi nue. L'adversaire répondit au feu avec une extrê me violence. Le 27 mai notre infanterie de doua nier s et de l'artillerie se sont établies à Ala. L combat a duré de minuit jusqu'au soir. Le mai quelques bataiUans de nos alpinis ont entre pris plusieurs vigoureuses attaques entre FroceJ. la IjavarcOy dans le voisinage de Misurina. Frontière de là Carinthie : Le feu de notre ar tillerie de calibre moyen contre Monté Croce, Ca rinco et Malborghètto continue efficacement, mal gré le brouillard qui constitue, un obstacle sérieuc pour la guerre de montagne. Depuis le 27 mai ut défilé à Val Raccolana se trouve en notre posseS si on. Frontière de Frioul : Au cours de la nuit du 2\ au 28 mai nos dirigeables ont fait des vols de re connaissance au dessus du terrain ennemi. Par le jets de bombes ils ont causé des dégâts. Nos diri geables ne se sont pas inquiétés du feu de l'enne mi. \ Home, 29 mai. — Ij'Agence Stefani annona qu'un hydroplane autrichien a été Gavturé le 2\ mai non loin de notre côte. Les occupants ont étt faits prisonniers. FRANÇAIS Paris, 29 mai, (15 heures). — Dans la régior au Nord d'Arras la nuit a été marquée par ui combat d'artillerie très violent. L'ennemi a boni bardé notamment nos positions sur le plateau dt Lorette. Une attaque nous a permis de réaliser de nouveaux progrès à l'Est de la route d Ai(C~ Noulette à Souchez. Vers minuit, une contre-attaque allemande sur ; nos tranchées d'Ablain-St-Nazaire a été repous-? • sée. En Argonne, dans la région de Fontaine-Madame, nous nou < sommes emparés d'une partie d, une, , tranchée ennemie. Paris, 29 mai (23 heures). — Après avoil, vç le secteur au Nord d'Arras, repoussé une contre-attaque allemande, entreprise contre nos tranchées ' d'Abldin-Saint-Nazaire et signalée ce matin, nous 1 avons enlevé les maisons d'Ablain qui étaient encore tenues par l'ennemi. A Neuville-St-Vaast la lutte de rues se poursuit. Dans le reste du secteur d'Arras rien à signaler.Près de Thiescourt, au Sud-Est de Lassignyt nous avons descendu un avion ennemi. TURCS ' Constantinople, 30 mai. —: Le Quartier général communique : Au front des Dardanelles, nrès i d'Ari-Burnu, l'ennemi s'efforça vainement de nous empêcher d'organiser les tranchées que nous avions prises, situées dans le centre ses positions,-Près de Sedd-ul-Bahr, l'ennemi paraît s'occuper >, de compléter les vides occasionnés à la suite des !• combats du 23 mai. Nos batteries d'Anatolie au détroit ont bombardé hier efficacement les troupes ennemies près'de Sedd-ul-Bahr. Sur le restant du front rien d'emportant. ueur. baron Fries, a rendu "visi*© hier au quartie San«'iacomo, habité par lu population: pauvre, i y a inspecté les dépôts de veide l'associatio: de consommation ouvrière,, aik'i que les cuisine OU '6 1 ^ ; c-r 'rB'' :raS'10" : fi obscurité, une cé la prétendue arrivée d'un Wroplane ennemi Des militaires et des pompiers parcoururent im médiatement la ville en automobile et a bicycle te, en faisant sonner les trompettes ordonnant la population anxieuse d'éteindre toutes les li mières de fermer les volets des magasins et de s retirer dans les étages inférieurs. Àpr^s que le usines d'électricité eussent arrêté leur exploitatio Milan fut plongé dans l'obscurité. Tous les tran wavs s'arrêtèrent de suite. Aujourd'hui^ le dépa. tement du maire a affiché des instructions genj raies semblables à celles introduites a Paris. Apri les sons des signaux d'avertissement le? instru tions doivent être immédiatement et sévèremei exécutées, les robinets des compteurs h gaz de ; vent être fermés, le trafic télégraphique, à 1 e. ception de celui de la r>olice, doit être interroi i nu à l'approche d'aéroplanes ennemis. î Comme les corps de volontaires italiens so: plus que complets, le ministre de la Guerre a c donné que les volontaires ne soient plus accept que pour l'armée régulière. Premier jugement en France Comme le dénote la presse parisienne, les premièi nouvelles du inouvean théâtre d<? la guerre du sud, c produit un sentiment relativement opprimant en Fn ■ce. On paraît s'y être ■ attep.du a un assaut des I 1, liens sur le territoire autrichien. On croyait toutes forces autrichiennes occupées à la frontière russe et s'imaginait que le sud de l'Autriche était degorni soldats. Le collaborateur militaire du Matin, Je ma de Civrieux, écrit à ce sujet : Il est- très improbable que nos nouveaux alliés. Italiens, puissent'exécuter une offensive réelle en Ist l" ou en Dalmatie,avant qu'ils n'aient obtenu une décis 1_ dans les Alpes. L'histoire militaire nous apprend ai qu'aucune armée n'a encore passa les rivieres véniti ^6 nea avant de s'être préalablement assuree qu'une c.1 se que fût devenue impossible contre leurs communicati m d'arrière par les défilés de Trente. Les premières ho es lités ne se développeront donc non seulement au/ \ s- tes méridionales des Alpes, mais également dans lx Hautes-Alpes, où probablement les Allemands et Autrichiens prendront l'offensive et où nos alliés ] céderont peut-être eux-mêmes à l'attaque. Le Pape ne quitterait pas Rome de De la frontière hollandaise. :30 mai. — ix mande de Madrid à la Morning Post que le pr u- dent du Conseil, M. Dato, aurait offert au V la l'hospitalité de l'Espagne en mettant à la di: ri- si^jpn de Sa Sainteté, des cardinaux et des ha->st personnalités de la Curie, le palais d'Escorial, is- Pape aurait décliné en remerciant et en ddd,a] ur qu'il n'a pas l'intention de quitter Rome pon :*ès moment. la Le peuple domine' toujours à Milan ^ré Lugano, 30 mai. — L'Avanti annonce que îa popi er- pillarde a détruit vers minuit une fabrique travai WBBWWBWBBWW——at—WBM—!WW HMI.Ï. i r pour le compte du gouvernement ,ainsi qu'un théâtre 1 cinématographique, à Monza. Arrestations d'Autrichiens Lugano, 30 mai. — Les auterités italiennes ont ar-, rêté et interné au château du Belvédère, près do Flo- I I aîtl0} dp SJBÇ,, 01 •'ut° porna : I en-,«m, L a«nxo0 . la Hongrie publie une cfcWl.'r-Sv-^.. -- 01. Jrtiafw , - nonce à toute communauté avec lo Grand-OuenTa TBT . lie et rompt toutes les relations, attendu que celui qui à collabore au renversement de la fo., de la samtete c e, * parole donnée, ne peut être considéré comme franc- 0 maçon. s Navires allemands saisis II Berlin 2T mai. (Part.) — On télégraphie de Genève au Berliner Tageblatt que les vapeurs al- "" lemands Benonia, Marsala et Bayern ont été sai-sis officiellement dans le port de INaples Le is Bayern avait à bord des munitions qui ont ete débarquées. Lisez en TROISIÈME at PAGE les derniers télé-£ grammes arrivés pendant la nuit. J; Dépêches diverses les SUR MER on La perte mystérieuse de la « Privicess Irène » de Londres, 19 mai. — Le Morning I'ost publie que Van ior quête judiciaire au sujet de la perte de la Vtinpet Irène aura lieu à Chatham, dès que la pesition de 1 les carcasse du navire et dès qûo, si possible, la cause "e l'accident seront éta-blis par des scaphandriers. Le jou.; ion naj dit encore que les navires se trouvant dans 1e poi issi ont beaucoup souffert par .l'explosion. Les détails nnar en- quorit, at-tendu que les autorités tiennent I affaire r 'ta- goureusement secrète. ons ° LE BLOCUS Paris. 30 mai. — On annbnce de Londres, au Jov en- j \ l'iS Le vapeur belge Jacqueline est arrivé hier, à Milfon les haven.avec 24 survivants du vapeur Morvena, de Mon ,r°- rénl. Le Morvena a été coulé par un sous-marin ait mund à U côte anglaise. Les survivants déclarent qi les Allemands ne leur Baissèrent pas le temps de quitt" ( )u le navire. Ils n'ont pu être sauvés que par l'arrivée si les lieux du vapeur belge. ap0 LA GUERRE AERIENNE ipo- Paris, 80 mai. — Le Temps annonce : Hier matin d !tes aéropianos allemands ont survolé Montdidier et y o T,e jeté 13 bombes qui -ont causé des dégâts considérab!< ■a■ HOLLANDE. — A 68 kilomètres de Paris r le * De la frontière hollandaise, 31 mai. — TJn 1( teur a demandé au Nieuive Rotterdamscjie Co rant à quelle distance les Allemands se trouvent Jace ce moment du centre de Paris. Le journal a i laut pondu : I)o Trac.y-le-Val jusqu'au centre de I ris 68 km., et jusqu'au fort le plus septentrional 52 kilomètres^ ANGLETERRE. — Démission de Sir Edward Grey? Londres, 30 mai. —Des indications voilées du Daily Telegraph, . ain i que du Standard, laissent supposer que quelque temps après l'entrée en fonctions du nou-vwn p^iniVère, )o ministre des affaires étrangère», sir nP °lI"r' ^V.rnb S—»• " H-80 ejnoj mille par quinzaine. EuTftnfttfiH®^, çon nous posséderons Kilid-ljalir fin juin. Mais mallieureusement l'avancement devient toujours plus lent, pendant que le temps avance et passe, les opérations iront aussi lentement qu'à La Bas-8ée. Une progression plus vite est doublement dé-iée, d'abord à cause des pertes considérables et usuite de la présence de sous-marins allemands". La campagne de l'ennemi sur mer fait des progrès plus rapides que notre campagne sur terre. Dans'les Dardanelles le temps n'est pas de notre côté. Si un sous-marin allemand a passé le détroit de Gibraltar, aucune raison n'existe pour que d'autres ne suivent. Les eaux de la mer Egée vint idéales pour les opérations des sous-marius. ! ;> prolongement des opérations peut occasionner des p.-.i-les à notre flotte pour lesquelles même le forcement des détroits ne serait qu'une compensation inégale. FRANCE. Un général français blessé en Turquie Genève, 30 mai. — Dans les derniers combats b iux Dardanelles le général français Yandenberg ,i été grièvement blessé. L'Echo de Paris annonce que le général a été blessé par un coup (1e fusil l'épaule et à la mâchoire. Le général sera transporté à l'hôpital militaire de Toulon. AUTRICHE. — Les Tyroliens s'engagent en raasH® On annonce de Munich au Tageblatt : Opus le * iistrict militaire d'Innsbruck, plus de 10,000 volontaires se sont fait inscrire depuis la Pentecôte, ■t Plus de 1,000 de ceux-ci sont âgés (le 60 a 70 ans. Uela démontre que les Tyroliens veulent défendre i- leur pays énergiquement. LA GUERRE EST VRAIMENT MONDIALE .Maintenant que l'Italie participe au conflit, r- .es des deux tiers de la.population du globe sont mêlés à cette lutte gigantesque. 3- jyaprès les statistiques publiées avant la guor-t- re l'univers compte 1,623,000,000 d'âmes. Ijes «- Etats et Empire belligérants coiuprcnnent "!)62 la millions d'habitants. L'Allemagne, l'Autriclie-Hougri» et la Turquie ar ont près de 145,000,000 d'âmes. Mais tandis que les populations de l'Empire britannique et de la Russie sont dispersées jusqu'aux derniers confins !es du globe, la grande majorité des Allemands, Aus- ETRANGER ni- en ANGLETERliE. — Les regrets de M. Asquith. ré- — Londres, 29 m,ai. M. Asquith a adressé au 'a leader eu clief des libéraux une lettre exprimant

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