Le quotidien

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11 December 1915
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s.n. 1915, 11 December. Le quotidien. Seen on 30 June 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/5717m0515v/
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Le numéro 5 centimes* Samedi n décembre 1915. Adresser toutes les communications A LA BlEcliöfl générale k « Quotidien * #3, boulevard Militaire les manuscrits non insérés ne sont pas rendus. ■ . -■■ (Vendu chaque jour, dès 7 heures du malin, à Bruxelles cî en Province) Gaston BONNET, Directeur général.Alfred-W. GASPART, Directeur de la Rédaction.A. BOGHAEET-VACHÉ, Rédacteur en chef. ADRESSER TOUT CE QUI CONCERN? LA PUBLICITÉ A ARTHUR IiAURBNT Administration pour la Belglqu* 70, rue du Midi (près de la Bourse) Le journal décline toute responsabilité quant à la teneur des annonces. Oïöcourö du Chancelier allemand au Reichstag Après les déclarations gouvernementales lues à la Chambre des communes, au Palais-Bourbon et à la Chambre italienne, celle du chancelier de l'Empire allemand était attendue avec curiosité. A la séance du Reichstag du g décembre, M. von Bethjaann-Hoïlweg s'est exprimé de la sorte : tre de l'intérieur néerlandais ' inconvénient (l'être fréquemment ensablé, 8 officiers, des fusils, des nninitions et autre maArt. 2. — Les bandages .saisis en vertu de l'art. 1erJ lériel de guerre. Te profite de la première occasion qui s'offre pour «mis donner un aperçu de la situation. Peu aprè: vous donner un aperçu la clôture du Reichstag, au mois d'août, la Bulgarie a pris part à la guerre. Abandonnée par la Russie, la Bulgarie, qui avait supporté la princpale charge de la guerre, a eu à ce moment la déception de voir les fruits de ses victoires recueillis par ses voisins serbes. Aujourd'hui, le roi Ferdinand vérifie, dans sa complète acception, la parole qu'il a donnée à son peuple à la fia de la deuxième guerre des Balkans. Les drapeaux que les Bulgares avaient eu alors, après avoir glorieusement combattu, Tanière déceotion de replier, flottent aujourd'hui librement au-dessus du territoireauquel ils avaient dû renoncer autrefois. Au lieu de chercher un terrain d'entente et d'épargner à leur pays les horreurs d'une nouvelle guerre les Serbes ont résolu non seulement de s'opposer de nouveau aux attaques unies des armées allemandes et austro-hongroises, mais encore d'attaquer leur voisin à l'Est. Pour le moment, l'armée à nos victoires en Serbie, le Danube est libre ci nos communications avec la Turl rétablies. Kous pouvons, sans obstacle, .1; .1 notre allié turc, que nous nous ■ ., de pouvoir appuyer plus efficacement qu'il r.c nous avaitété possible de le fairejusqu'ici Avec une bravoure héroïque, les Turcs ont ijourd'hui monté la garde aux Dardanelsoal mainleuaûi plus solides que jamais, embie, M. Asquith tranquillisait son pays c;: lui parlant de Cagdad, mais là aussi les Turcs ivenant de leur ancienne gloire guerrière, .■:/; aux .Anglaisun échec sensible. uverte vers l'Orient est un des faitsmarquants de l'histoirede la guerre actuelle. Auvue mil.taire, notre cohésion directe avecla Tuiquiö ésl cl'valeur inappréciable, et au inique, les envois des Fiatsbalkaniques1 Dos approvisionnements de la:i laite. Grâce à la politique duUulgarie, large de vues, unolublement les deux Empi-.■:;.-» et l'Orient. Une fois la paixervira à l'œuvre de '•paix et de..on. ersaires ont perdu dans les Bal1 point de vue politique et militaire, ils ntenanl à le compenser par des actes une politique de contrainte vis-à-vis ïu tour maintenant de la Grèce, la QuadrupleEntente entend par une ten vei Haute. .. ta situation difficile dans Laquelle il se trouve placé le gouvernement hellénique est résolu attitude, à observe* unie neutra■ are à sa volonté, qui tient compte de la de 1 indépendance de la Grèce et tout enintérêts. Le litige n'est point clos encore. A Eoree de ie proclamer et de le répéter au ngleterre a uni par faire admettre [»r»s ks armes avec le plus généreux désin!'. pour défendre la cause de la Belgique VJolie, ot châtier l'Allemagne, coupable de cotte t ainsi que l'Angleterre a l'habitude d« faire ses affaires. A la longue, il est vrai, elle lu prétexte de la Belgique violée pour sa participation à la guerre. Il a été trop ta» recou..u. qu'une politique visant à l'isolement de l'Allemagne, corroborée par des engageoints pris sucs que le Parlement en eût été avisé Pisà-vis dd ia If ronce enchaînée à la Russie, avait a tel point lié les mains du cabinet anglais que sir Bavard Grey n'a pu se résoudre à mettre la Russie ® garde contre une guerre et que lui-même, lorsque lisation russe avait déjà déchaîné la guerre, 8 est décidé — volontairement ou à contrecœur, je ne le discuterai pas — à y participer à 1 "heure- où dite de la Belgique n'avait encore été en aucune manière mise en cause. Si la mémoire ne me fait pas défaut, c'est le (1U1a le premier reconnu ouvertement que k Belgique n'était pas le vrai motif de la déclaratien de guerre de l'Angleterre. Aujourd'hui, l'Anet ses Alliés u ont plus aucune raison de persister dans ces dénonciations. Celui qui obéit à une politique de contrainte comme celle que ia Qua■'"ple-Eiitciite■'" poursuit actuellement à l'endroit de * vàrece, n'a plus le droit do s'obstiner dans une 'i« hypocrisie. Nous répétons cela au monde aussi ■wventet avec autant d'insistance que l'Angleterre ^ a mis à cacher sa véritable figure et à nier l'évidence. (urçste, il semble que l'Angleterre commence à *ea apercevoir elle-même. La Westminster Gazette, toirca 50 les accointances avec le gouvernement sont no- i avoue ouvertement, dans un article publié le >embre, que l'Angleterre a pris les armes contre «magne pour la raison que l'Allemagne n'aurait f* être abattue sans son intervention. ; aintenant elle constate- elle-même que la guerre j etre««trouée but l'injonction de l'Angleterre. «uiet^i feraiS1,aâvaloird'a-ntres considérations au I du développement ultérieur des opérations ment r pl'°bablesauxBalkans. Je tâcherai seulel'Est eXp0Ser^uclleestlasituation actuelle. A aastr *]* trouPes * en collaboration avec les troupes Ponf° .r0i6eS ' s' etablissent dans une forte rtss»011 . ens5ve - tr& avancée dans le territoire l,0Bert°ia,OBr* PrÔtea* d° nouveIJcsopérations. A "3 attaques prononcées avec le plus grand "Otif* n!î m0nparicSFrai,îatect,osAnglais, notre iront en des endroits mais le débordement, qui devait être obtenu par la force, a échoué. Nous ne pouvons faire trop pour payer la dette de reconnaissance de La Patrie envers nos guerriers ! Pour nos guerriers qui ont opposé de leur corps un rempart à l'ennemi, que celui-ci n'a pu rompre malgré un feu roulant inouï, malgré une supériorité considérable! Honneur impérissable à la mémoire de tous qui y ont laissé leur vie pour leurs amis. De même qu'à notro front de l'Ouest, la position défensive austrohongroise est vigoureuse ot intacte. Laissez-moi toucher, eu peu de mots, notre travail derrière le front. Partout les étapes ont semé et récolté. En 13egique, nous avons souvent réussi à rétablir des conditions économiques normales dans l'agriculture. L'industrie et le commerce revivent où c'est possible. L'ordre a été rétabli dans les finances, dans le crédit et dans les banques. Les nombreux ponts, détruits par l'ennemi, sont reconstruits. Dans le territoire houiller, le nombro de mineurs, presque normal, a été atteint, de manière que 3 1/2 millions de tonnes ont pu être expédiés dans le dernier trimestre. Le chômage est combattu par des travaux do circonstance, communaux et do l'Etat. L'idée est naturellement exclue tie rétablir normalement le marché du travail, attendu que l'Angleterre a coupé l'exportation au pays allié et a ainsi étranglé son industrie. L'instruction générale obligatoire est mise en vigueur. Les prescriptions au sujet de l'instruction en langue flamande, vainement attendues, sont mises en application. Nous avons également pourvu, à la suite d'intervention sévère et par des prescriptions protectrices, tout au moins aux soins do la classe ouvrière. En Pologne, en Lithuaaie et eu Courlande nous nous sommes trouvés en face des destructions épouvantables commises par les Russes; nous nous sommes trouvés en face d'une situation de complète décomposition. Ou a dû créer de nouveaux organes de police et d'administration, une toute nouvelle organisation judiciaire, un nouveau service sanitaire. Tout cela a été fait. Nous avons créé une nouvelle administration forestière et minière. Nous construisons plus de 4,000 kilom. de nouvelles routes solides et un certain nombre de nouvelles lignes de chemins de fer. Nous avons introduit en Pologne, qui n'a pas connu d'administration autonome sous la domination russe, une loi municipale. Partout l'instruction obligatoire a été rétablie. A Varsovie, nous avons ouvert l'Université et une école technique supérieure, dans un but d'éducation polonaise et nationale. Ce travail n'a pas l'apparence d'un travail de Huns ou d'un travail d'épuisement. Encore quelques mots au sujet de la situation économique de l'Allemagne. Nous avons suffisamment de vivres, si nous les partageons équitablement. C'est un fait fondamental et défini. Il est évident que nous ne pouvons pas nous nourrir aussi bon marché et aussi abondamment qu'en temps de paix. Les restrictions rendues nécessaires dans beaucoup de familles non aisées, à la suite de la guerre, ne sont pas plus vivement regrettées que par moi. J'exprime toute mon admiration pour l'héroïsme, pour l'héroïsme calme de cette lutte au sujet duquel la reconnaissance de la Patrie est due également. Nos ennemis peuvent se tranquilliser; nous n'avons pas l'abondance mais nous nous suffisons. Bebel a craint la famine pendant la guerre. Cela n'est pas arrivé toutefois. Nous n'avons pas épuisé nos propres forces. La QuadrupleEntente nous croit épuisés. Elle croit devoir considérer chaque déplacement de personnalités connues comme une mendicité en vue de la paix. Partout des mensonges et des calomnies. Les faits répondent pour nous sur tous les fronts. Dans notre compte il n'y a pas de point faible. Notre confiance, ferme comme un rocher, est inébranlable. Partout nous nous trouvons en pays ennemi.Nous continuons résolument la lutte qui nous est imposée pour terminer ce que l'avenir de l'Allemagne exige de nous. Le depute socialiste-démocrate, Scheidsman, justifie ensuite l'interpellation de son parti qui est formulée comme suit : Le Chancelier estil prêt à fournir des renseignements sur les conditions dans lesquelles il serait diposé à entamer des négociations de paix ï (A suivre.)^-j^a^- .es de la Guerre ->~«M.o—f BULLETIN ALLEMAND Berlin, 10 décembre. — Communiqua de midi .' Théâtre de la guerre à VOuest Les Français ont attaqué a l'aide de grenades a main nos positions sur la hauteur 193, au nordest de Souain; ils* ont été repousses. Pas d'aulres mente remarquables, les opérations étant entravées par des Théâtre de la guerre à l*Est R:en de nouveau. Dans les Balkans L'armée du général von Kovess a amené 1,200 prisonniers environ pendant ces deux derniers jours. A l'armé,; du général von Gallwilz, pas d'événements notables. Au sud de Strumilza, les troupes bulgares ont enlevé 10 canons aux Anglais. LES AFFICHES ALLEMANDES. Arrêté. — En vue de compléter mon arrêté du 10 août 1915 concernant la déclaration et la saisie des bandages pneumatiques, du caoutchouc usagé, des déchets de caoutchouc et du caoutchouc brut, j'arrête ce qui suit : Article premier. — Les bandages pneumatiques (enveloppes et chambres à air) de motocycles et de bicyclettes, peu importe qu'ils soient neufs, usagés ou se trouvent encore en fabrication, sont saisis dès que plus de cinq bandages se trouvent, en possession du même propriétaire ou détenteur. Les bandages adaptés aux roues ne tombont pas sous l'application du présent arrêté. doivent être déclarés le 20 décembre au plus tard au « Bureau d'inscription des automobiles » (Kraftfahrstelle) de la province sur le territoire de laquelle ils se trouvent. Art. 3. — Les dispositions de l'arrêté du 10 août 1915 sont applicables au présent arrêté complémentaire. Bruxelles, le 30 novembre 1916. Der General-Gouvcrneur in Belgian, Freiherr von BISSÎNG, Generaloberst. Londres, 10 décembre [lieu 1er). — L'a.prôs un télégramme du Lloyds, le vapeur italien Dards et le voilier Piotri Lofaro ont été coulés. Les équipages ont été sauvés. Londres, 10 décembre. — Le Lioyds mande : Les vapeurs britanniques Nera et Goulandis ont été coulés. Londres, 10 décembre {Reuter). — Le vapeur Tunis a été coulé; l'équipage a été ramené à terre. Londres, 10 décembre. — La dernière liste des pertes donne les noms de 21 ofiiciers et 12$ soldais. BULLETIN AUTRICHIEN Vienne, 10 décembre. — communiqué d'hier : Front russe. — Rien de particulier. Front italien. — Les Italiens continuent à diriger de valines tentatives d'aMaque contre d ffénmls secteurs du front dans la région die Gotz, Pareilles tentatives ont échoué près ù'UsUiviia, du côté du Monte San Michèle et près de San Mar lino. Près de Dolje, au nord-ouest de Tolmcin, nos troupes ont amélioré leur position, en enle\anl un morceau de la première ligne de défense de l'ennemi. Dans le Tyrol méridional, l'artillerie italienne cane une cert vines positions de nos secteurs fortifiés de Lardaro et de Riva. Front du Sud-Est. — Sur les hauteurs qui dominent Plevlic, au sud-est, des bandes monlonégrinesnes ont et édisparsées. Dans la région-frontière au nord de Beranc, nous avons fait reculer l'aile gauche dies Monténégrins. Contre l'aiie droite de l'ennemi, nous avens aussi combattu •iivec succès. Sur les hauteurs à l'ouest d'ipek, nous ayons délogé des arrière-gardes serbes. Le nombre des prisonniers amènes hier est de 2 ofiiciers et 1,000 soldats. Sur mer. — Dans la matinée du 7 décembre, unde nos sous-marins a capturé, dans la baie de la Drina, un voilier a moteur albanais portant 30 fuyards serbes et chargé de fus-is, de 4 caet de munitions. Le petit bâtiment a été amené tCaltaro. • • ■■ >—*♦«»—^- BULLETIN FRANCAIS Paris, 9 décembre. — 15 heures. En Champagne, au cours d • la nuit, notre artillerie poursuivant le bombardement des positions ennemies, a fait sauter un dépôt de munitions au sud de Saini-Soplcl. A l'est de la butte de Souain, nos con-tre-.iMaques ont continué à refouler l'ennemi qui na garde plus qu'un,! parue de la tranchée avancée, complètement bouleversée. Nos batteries par leurs tirs constants empochent l'ennemi de s'y étfjjlir. En Argonnc, nous avons fait exploser avec succès deux mines dans la région de la HaulcChc-vauchée. Paris, 9 décembre. — 23 heures. Canonnade intermittente sur divers points du front. Dans la région de Royc, nous avons exécuté un tir efficace sur une batterie ennemie repérée près de Dancourt. Aux Eparges, lutte de mines; un groupe de travailleurs ennemis a été enseveli par l'explosion d'un de nos fourneaux. BULLETIN RUSSE Petrograd, 8 décembre. — Du grand état-major : Front ouest. - La tentative de l'ennemi de franchir la Duna près d'une île, au sud à'Uxkuli, a été enrayée par notre feu de l'autre rive. Notre batterie lourde força un avion allemand à descendre dans la région de Mcrzendorf,mi nord de Baldou (8 et 13 kil. au sur-est de Barkowilz). Au cours du nouveau bombardement de cette région s'est produite une forte explosion qui doit être attribuée à la desbruclion de cet appan d'un reservoir à gaz quelconque. Sur le restant du front, pas de changement. • «#■ O "fr1--—*■ BULLETIN ITALIEN Rome, 8 décembre. — Du généralissime italien : Le long de tout le front on annonce une vive activité de l'artillerie ennemis qui est combattue efficacement par la nôtre. L'ennemi a fait dans l'après-midi un usage abondant de gaz asphyxiants et lacrymogènes. Le 6 de ce mois, après de violents préparatifs d'artillerie, des attaques de l'infanterie ennemie eurent lieu contre nos positions au nord de Pré, dans la vallée de Lcbro et a l'est de Piazza, dans la vallée de Tcrraniolo. Les attaques ont été nettement repoussées. Sur le Carso, notre infanterie maintint une attitude décidée et offensive malgré les conditions atmosphériques défavorables. Dans le secteur septentrional du Monte San Miche'le, une attaque amena la prise d'un vigoureux ouvrage retranché ennemi ù l'est de Pclerno. Nous avons pris à l'ennemi 116 prisonniers, dont LES POURPARLERS EN GRECE Le correspondant spécial du Petit Journal à Athènes écrit que les négociations flotlan^ tes entre la Quadruple Entente ct la Grèce continuent. L'ambassadeur de France, GuiUemin a été reçu par le roi. Le gouvernement grec continue à s'appuyer sur ce point que de nouvelles concessions dépendent du rapport des personnalités militaires grecques compétentes, ce quo les puissances de la [}ixidruple Entente ne veulent pas admettre. Le Petit Journal a appris, de source autorisée, qu'une orientation décisive des pourparlers est imminente et que le nouvel examen de la situation du corps expéditionnaire allié, a promis de résoudre la question de l'expédition de Salonique d'une autre manière. * * * Lo président du conseil grec, Skulidis, a reçu jeudi, en audience les ambassadeurs italienet russe. Le but de cette visite était vraisemblablement de communiquer au gouvernement grec, que. l'Italieet la Russie se joignent aux demandes de leurs alliés anglais et français, afin d'obtenir des garanties concernant le corps d'expédition de Salonique. •--■* * Deux officiers de l'étal major grec sont arrivés à Salonique pour régler avec les autorités militairesanglaises et françaises, les détailsrésultant de l'accord conclu entre la Grèce et la Quadruple-Entente. * * * L'Agence îlavas mande d'Athènes : M. Rhallis va discuter avec le général Sarrail les détailsde la question. Des négociations officielles auront lieu ensuite «entre les commissions militaires grecques. LA GUERRE DANS LES BALKANS On mande de Salonique : L'activité sur le front francais augmentede jour en jour. Les Bu!.:i renoncé à la poursuite des Serbes en Albanie et rassemblent des forces de combat considérables contre les Fiançais, Les Allies 1 pent une nouvelle ligne, situéea proximité de leur base d'opération. L'élat-major bulgare se trouve à Istip. UN NOUVEAU CREDIT EN ALLEMAGNE. L'agence Wolff annonce : Un nouveau crédit de 10 milliards de marks vient d'être demandé au Reichstag pour l'année 1916. LE GENERAL KOUROPATXfNE GOUVERNEUR DE PETROGRAD Les journaux suisses mandent de StPé-lersbourg que l'ancienminisire de l'agriculture, Kriwoscliein, est nommé pré de la Banque de la Volga. Le gouverneneur de StPélersbourg, Obolenskyi, devient commandant de corps. Le général Kouropatkine lui succédera. LA CRISE MINISTERIELLE EN ESPAGNE Les journaux français annoncent que le roi d'Espagne s'est entretenu avec MM. Maura, Romanonès, Villanueva, Bcsada et Garcia Pricto sur la crise ministérielle. Les deux derniers politiciens ont conseillé de laisser le pouvoir à M. Dato. Le président du Sénat est d'avis que le cabinet Dato pourrait subsister sans aucun changement. D'un autre côté, M. Dato a déclaré à des journalistes qu'il se propose de se retirer et de quitter Madrid pendant deux mois environ. L,c~-> amis de M. Dato racontaient dans les couloirs de la Chambre que M. Dato va se rendre à l'étranger. On annonce, d'une autre source, la formation très probable d'un cabinet Romanon * * * L'agence Ilavas de Paris annonce que le roi d'Espagne a chargé M. Romanoncs de la formation du nouveau cabine!. LA GUERRE MARITIMET.e Giornalc (Vltalia nunonco que !e vapeurgrec Spelzia a élé arrêté» a 80 milles deZante, par untarin auli icliien. Un officieranglais» qui se trouvait a bord du vapeur, ayant pu prouver qu'il appartenait à l.i Groix-Rouge, le navire continuer sa roule, aprèsi toutefois, quo le capitaine du sous-mariu ail emporté de grands sacsi conieuaul !.-i correspondance. 1 IONA LA CHAMBRENES M. Sno'ouvrier, vient de x>quith de vouloir

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This item is a publication of the title Le quotidien belonging to the category Gecensureerde pers, published in Bruxelles from 1914 to 1917.

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