Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1914, 14 August. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Seen on 04 June 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/9k45q4sk8r/
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VEDNREDI 14 AOUT 1914 AB0NNEMENT8 Poor tout* la Belgique Vim.fr9.00 Six mois .,.•••• 4.M Troi» i>oii *......UW Gf.-DnchédeLux»mb.20.00 jjxöua pttrt*!*' ♦ •-•••SO.00 Directeur ; Fernand N EU RAY UUNION DANS L'ACTION ViNGTIEME ANNEE — !M» 226 3 ANNONCES Annonces ordin., petite ligne .049 Reclames (3* page), la ligne.1.50 Faits divert corps . . »4.00 Faits divers fin. . . »3.00 Separations judiciaires »8410 Necrologie* ...» •24)0 Les annonces sont r*ecuo* •u bureau du journal Telephones 3643 et 3586 Edition JjfUf (lOh.foir) PO Edition *** (6h.$oir) (10 h.« Edition if (minuit) Inst&i&are omnia in fShristo mmm Redaction ^t Administration : 4, impasse de iaFidélité, 4, Bruxelies mmm .»mmm b centime» Ie numero Dl Tl ON * La situation lOc Les renseignements publiés ci-dessous nous sont communiqués par le grand êtatmajor de Varmee beige ou par le ministère de la guèrre, et sont par conséquent OFFICIELS. Ie défaite Ie 1 "lezee JEDFT, U HEURES MATIN. La victoire remportée par nos troupes hier dans la journée a été confirmée officiellement : nous n'avons engage qu'une division de cavalerie et une brigade mixte. Les pertes des Allemands sont tres grandes : ils auraient eu environ les 3/5 de l'effectif engage hors de combat. De notre cöté, au contraire, les pertes sont relativement faibles : quelques tués a la division de cavalerie. Ce matin on a signalé une pointe offensive des troupes battues hier, vraisemblablement dans le but de ramener les blesses sles morts et le materiel abandonnés. Aucune surprise n'est a craindre pour nous : une nouvelle attaque serait repoussée victorieusement, si elle se produit. Nous avons eu un combat jeudi ma-tin au Sud,contre des "troupes allemandes qu'on avait signalé hier en marche vers Eghezée. Elles ont été attaquées par nos troupes et repoussées avec tres fortes pertes. Nous leur avons pris des mitrailleuses sur autos. Il n'y a rien a craindre du mouvement de cavalerie allemande sur Bruxelies par le Sud pas plus que par le Nord. Toutes les routes sont gardées par l'armée et la garde civique. ebataslle tierre -^üV^S'-^6»--" Nouveaux succes de nosarmes. =- Voleurs, laches et féroces. « La féionie des chefs allemands. e véritables brutes que nous avons affaire! Les Prussiens qui ont été battus et écrasés par nos troupes mereredi a Haelen et Tirlemont étaient passés a Landen dans la journée de lundi, de 11 heures du matin a 3 h. de l'aprèsmidi. Dragons, grosse artillerie, artillerie légere et infanterie, formaient une colonne de 6,000 hommes environ. La gare de Landen a recu la visite d'un detachement. Naturellement ces gentilshommes ont enlevé tout l'argent. A la poste ils ont fait mainbasse non seulement sur les plis chargés mais SM' toutes les lettres. Cette colonne marchait dans la direction de Namur. Quelques heures après on a vu revenir sa cavalerie ventre a terre; l'ennemi s'était heurté a nos troupes et battait en retraite précipitamment dans la direction de SaintTrond d'ou il était arrive. Ils ont commis dans la contrée toutes sortes d'exces. A Overhespen, ils ont brülé ur fermier dans sa ferme. Le village de Zechlem est en flammes; on les a vus enfoncer les portes a coups de erosse de fusils, attacher aux arbres les paysans inoffensifs et les fusilier a bout portant. A Walsbetz, sous prétexte que le cadavre d'un officier allemand avait été trouvé sur le territoire de la commune, des habitants ont ëté fusillés. (Walsbeiz est situé sur la ligne de Landen a Hannut). A Rumsdorp, ils ont fusillé quatre paysans qui s'enfuyaient. Gare aus troacs des eghses et aux caisses des sociétés qui ont leur siège dans les cafés, les Prussiens les en lèvent quand ils ne peuvent les forcer asse/ vite. Est-ce done a des hordes d!e sauvages que nous avons affaire? Ils se conduisent cent fois plus férocement en Belgique que les Prussiens de 1870 en France. Les officiers envoient en Allemagne des cartes postales affranchies avec un timbre de cinq centimes; quand on leur dit que ce n est pas suffisant, ils répondent : C'est suffisant en Allemagne et votre pays fait maintenant partje de 1'Allemagne. Ces messieurs sönt tres friands de journaux-belges. Kaison de plus pour tous les journaux d'etre tres prudents. Un sous-officier disait a un de nos compatriotes : « Il faut que nous soyons le 27 a Paris; nous y serons. Notre plan est de contourner Liége et Namur et d'aller vite &} £ranc® Partous les moyens. » Le pauvre diable débitait la la lecon qu'on leur avait faite a teus au début de l'invasion en Belgique, sans réfléchir que ce beau plan, la resistance de Liégfrl'a tout a fait dérouté. Un autre disait : « Ce n'est pas/aux Beige» que nous en voulons, nous respecterons aprè» la guerre votre indépendance, nous ne vous prendrons que le Congo. » Insolence et folie, il n'y a pas d'autres mots!... (DE NOTES ENYOYÈ SPÉCIAL.) .Jeudi soir. NoiK sommes allé visiter eet après-midi le village d'Haelen et ses environs, oü s'est livré le violent combat dont nous avons parlé hier. Les nombreux morfB allemands qua gisaient a ptoximité du village ont déja été en-, terrés, recouverts de chaux, dans de leagues tranchées. Seuls les cadavres de chevaux gisent encore sur le sol, répandaot une horribk odeur. Le village de Haelen est maintena-nt occupé par nos troupes. iDe nombreux blessés allemands y sont soignés, a. l'école et au couvent des Sceurs. Petit a petit, les moins atteints so.nt transportés a l'intérieur du pays, prisonniers de guerre. La plupart prembent leur sort en bonne part et causent avec ceux de nos soldats qui connaissent quelques mots d'alkmand. Presque tous les prisonniers et blessés ennemis sont jeunes. Des renseignements que nous avons pu nous procurer, confirmés par les indications recueillies de la bouche de nos_prisonnkrs, il résulte que 'le coup de main sur Diest a été tenté par six regiments de cavalerie : le 2eet le 7' cuirassiers, le 9euhlans, les hussards de la mort de Dantzig-, les 17e etjge dragons; par une compagnie de mitrailleuses de la garde, 2 compagnies de chasseurs et 2 featteries de isix pieces. Les troupes belges engagées hier, une division de cavalerie et une brigade mixte, ont été superbes d'entrain. Notre artillerie notamment a fait merveille. Eik a reduit au silence l'artillerk ennèmie. La plupart des canons allét mands ont été attéints par »■»««■ t ei aox vaiooüs -«»♦«»- Il ne faudrait pas que la brutalité des soldats allemands gagnat ceux qu'elle révolte a bon droit. j On entend parfois faire touchant le sort a mfliger a nos prisonniers de guerre des reflexions dénotant un faoheux état d'esprit Dieu merci, ces dispositions ne sont pas celles de tout le monde et plus d'un de nos prisonniers a déja rendu hommage aux sóins genéreux qu'il a trouvés en Belgique. Il faut que tous rencontrent la même -bienveillance et c est pourquoi nous tenons a reproduire une lettre que M. iOapelle, procureur du Eoi a Namur, vient d'adtesser a un de nos con- jL'Aiigleterre et la Prance j déclarent la guerre % l'Autriche La Grande-Bretagne a declare jeudi la guerre a l'Autriche-Hongrie. D'autre part une note of ficielle du gou- ivernement francais, datée du 13 aoüt, dit que l'état de guerre existe entre la France et l'Autriche depuis minuit .*»* «>» matin qu'un attentat IL2S&:au ,c ,ouapres-midi, des blessés J avait été oommis sur « un haut personnage ». On nous prie de démentir ce canard de lafacon la plus formelle. >*»♦» < allemands, officiers et soldats, < a Namur. Sur la place de la Gare, Ja foules amassa et se mit a huer ks prisonniers. . i-lk montra une attitude si hostile que ï'officier de service fit mettre baïonnette au Hpln!vSle ' caT ,.cesblessés n'ont fait que leur souffert °beiSsantaleurschrfset jls ont neL DOC uviipa t ^Shommesétai«»t désarmés et?, t?°.^' OP!»»» aucune resistance. S'ilspris il tuheVmeS 'insulteurs auraient töt „"H™ -Pas quf de p^reilles scènes se renouvellent : 1 yvadu bon renom de la popula- sonn^11 ^1?' ^P™»» P«r quelques pelsonnajres de dernier ordre Je donne ordre a la pólke de s'opposer a n^rl man»f^statlo ,ndec? g™™ et de dresser p ocès-verbal a charge de tous contrevenants que je me reserve de faire poursuivre Toast prononcé Ie 28 juillet 1905, a Anvers, par le comte de Walnitz, ministre d'Allemagne a Bruxelies. —»Ot—— Rappelons-le sans commentairea ; «'C'est en bonne voisine, avec intérêt et «ympathie, que 1'Allemagne a suivi votre marche en avant. Nos sympathies vous sont acquises; elles convergent vers le même point que notre propre intérêt. 10'est une Belgique forte que nous désirons, tant au point de vue politique qu'au point de vue commercial. ÉN PASSANT, JE iPUIS DIEE QUE POUR NOUS AUTRES, ALLEMANDS, LE MAINTIEN DU TRAITE DE GARANTIE CONOLU A LA NAI8SANOE DE LA BELGIQUE ACTUELLE EST UNE ESPECE D'AXIOME POLITIQUE AUQUEL NUL NE SAURAIT TOUCKHER SANS OOMMETTRE LA .PLUS GRAVE DES FAUTBS. Le fort de Loncin ubi mereredi es Allei Le ministre de Belgique a Luxembourg est expiilsé par les Allemands a leurs coaps avec Rencontre jeudi a Bruxelies un soldat du corps des transports qui venait de rentrer de Liege pour se faire panser la main gauche traversee de part en part par un balk ennemie. — Est-ii vrai que les Aüemands ont recommence a bombarder ks forts ? —-Ils se sont acharnés de 8 heures a 10 h hier contre le fort de Loncin, k seul qui ait eu a subir leur feu. Mais leurs obus de 15 ne nous ont pas attéints. Leur infanterie a tenté de nous prendre d'assaut. Elk a été balayée. On voyait les Allemands tomber comme des mouches. Après deux heures d'efforts ils ont du cesser k feu. Et vous avez eu ks blessés ? Une vingtaine, mais peu grièvement. Ils I ne sont pas plus attéints que moi. Tres bien! -»>ï«)»ï<«- -*-•♦•-<- Le comte Fritz van den •Steen de Jehay, ministre de Belgique a Luxembourg, a_ été invite par les autorités allemandes a quitter la ville. Cet ordre lui a été notifié le 8 aoüt, en même temps qu'on mettait un wagon a sa disposition pour lui pern»ettre de quitter le territoire. A l'heure qu'il est, notre compatriote n'est pas encore arrive a Bruxelies. On Va fait voyager par Coblence et Cologne, d'oü il a U temps p'il fait... et celoi qu'il lera Undent faible du N -E. souffle sur nos contrees, oü la temperature est comorisp entre 1"B" et 19°. Previsions : Vent Est, faible, beau. La pressdon reste forte sur le centre ipuest et te nord-ouest de l'.Europe, elle depass* rronm . sur le centre de la mer du JYor<-' s ■»<»♦> LE XXeSSECLE est le moins cher des grands) dügagner la frontière néerlandaise.Quotidlen» helles Uluetié»LJE* ^°mte . van$*ï ^teendeJehW est iWtetndu dans la capitate incessamment.' Les deux efforts offensifs allemands sor Diest et Eghezé Un brillant saccès des Francais a Othain Leur plan d'exécution et leur échec Sur la frontière franco-allenmnde, non loin de Nancy, un combat était engage depuis mardi prés du village d'Othain, en territoire francais. Il s'est_terminé a l'avantage des Francais, qui viennent de remporter un brillant succes. La première phase de Taction fut l'attaoue de deux bataillons francais par des forces allemandes tres supérieures. Les Francais se 'són<»-»a>- <' ; Une partie de ces cavaliers, qui s'étaient éparpillés dans le Limbourg, te Brabant et I la privince de Liége, ont déja été drossés, ' battus et captures, par petits paquets, par nos patrouilles et par la cavalerie frangaise. . Mardi, mereredi et jeudi, le reste a tenté • des efforts plus soutenus : ce sont ceux qui ont abouti aux combats des environ^ de • Diêst et de la region d'Eghezée. Le corps engage dans la region de Diest : semble avoir eu pour but d'exécuter un raid j dans la direction de Bruxelies. Il ne comprenait pas moins de 5,000 hommes, dont moitié ; environ de cavalerie avec mitrailleuses et ' moitié d'infanterie et d'artillerie légere. L'opération fut préparée mardi par une f exploration méthodique de la region que tra- ; verse la route Saint-Trond - Tirlemont. Les |pointes de reconnaissance se heurtèrent k nos postes et donnèrent lieu a quelques iescarmouches que nous avons rapportées :(combats d'OrsmaelGussenhoven).' Mereredi, te plan offensif s'exécuta. Le detachement mixte altemand ^se porta vers la i region de Diest par plusieurs routes en vue ; de prendre position sur un front de Saint- ; Trond - Herck-la-Ville, s'appuyant au nord a [ la route Hassolt-Diest, au sud a la route Saint-Trond - Tirlemont. Parfaitement informé du mouvement pa» ses propres éclaireurs, l'état-major laissa faire le detachement ennemi. Une brigade mixte, appuyée de cavalerie, fut organisée pC'üï ie recevoir. 9. La manoeuvre des Allemands devait tes amener a franchir la region arrosée par les trois cours d'eau la Herck, la Gette et la Velpe, qui coulent tous trois dans la direction sudnord. f de TAngleterre ■ lOi—— UNE LETTRE DE M. ASQUITH ET DE SIR EDWARD GREY A M. DE BROQU.EVILLE. M. le baron de Broqueville, ministre de la guerre, a recu de M. Asquith, membre d«ts affaires étrangères de Grande Bretagne, la lettre suivante, datée du 11 aoöt : « Excellence, J'ai re§u avec te plus grand plaisir le message que V. E. m'a adressé. Je m'ernpresse de vous faire part de toute l'admiration que je ressens pour le magnifique courage et l'énergie dont font preuve la nation beige, son Roi, son gouvernement et son armee. Les souffrances qu'ils éprouy^mt leur valerat ma plus profonde sympathie. La bravoure des Belges, l'intrépiaité avec laquelle ils se défendent, montrent combien vif est leur amour pour l'indépendance et la liberie; c'est la meilleure preuve que l'Arigleterre a eu raison de prendre parti pour la Belgique et de défendre 'le traite international. L'exempk que la Belgique a donné a"u début de cette guerre, sera. j'en suis sur, un exemple pour les nations libres de 1'Eu rope. •Sincèrement a vous, H. W. ASHQUITH. » rA cette lettre était jointe cette apostilla : n Excellence, Je veux en toute cordialité m'associer a chaque mot de cette lettre du premier Ministre. qui part aujourd'hui a Vadresse de V. E. Sincèrement a vous, E. GREY ». Notamment pour atteindre Diest, la colonne principale allemande devait traverser la. Gette a Haelen. L'état-major beige fit j done de ce'village te centre de la resistance j a lui opposer. Plus au sud, Cbrtenaeken, sur : la route franchissant la Velpe, fut également • occupée. L'artillerie beige fut mise en bonne posi- ; tion ; les routes furent coupées de barricades,les fantassins creusèrent des retranchements. iQuand, a, 11 heures, l'ennemi se montra sur • la route de Stevoort a Haelen, les nötresétaient prêts. Ils le laissèrent s'avancer abonne portee puis le décimèrent affreuse- ; ment.*-'^h Notre envoyé spécial a décrit les péripéties de ce combat auquel tes Allemands et nos | soldats apportèrent un acharnement extreme. ] Les agresseurs, obliges de défiler par les . rares ponts de la Gèthe et de la Velpe que ! nous avions expres laissé subsister firent des . pertes énormes en égard a l'effectif engogé. i Le résultat fut le même a Cortenaeken et ! a Haelen : des deux cêtés, les Allemands fu- ' rent rejetés violemment en arrière. Pendant le combat de Haelen, le lieutenant , Van Dooren partant de Diest avec des ren- •forts fit une déversion tres heureuse sur le jflanc ennemi vers Zeik.A la chute du jour, l'avantage nous étaitnettement acquis.;''»$?*~$ La statue de Liége décorée, —»o«—*— Oh sait qu'une des grandes statues qui décorent -1'Arcade du Cinquantenaire représente la province de Liége. Cette statue est aujourd'hui décorée. On lui a passé autour du cou les insignes de la Légion d'Honneur qui vient d'etre cc-nférée a ia cité liégeoise par k président de la Rénublique, pour son héroïque resistance. Mais 1'evenement devait montrer qu'ü n'était pas encore décisiL car une partie des troupes allemandes mises en fuite mereredi soir, exécutèrent jeudi matin un retour offensif vers nos positions, avec des troupes fra'lches qui leur avaient été adjointes, en soutien. C'est ce retour offensif qui laissait prévoir le communiqué officiel en ajoutant qve nous étions pares pour le repousser. Ces previsions pptiniistes de notre état-msv jor se réalisèrent. En dépit de leur acharnement les Allemands, venant d'Herck-la-ville, échouèrent a Haelen et aux environs dans leur tentative de percer sur Diest. Noa troupes les rejetè-

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