Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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22 January 1916
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s.n. 1916, 22 January. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Seen on 15 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/tb0xp6w75p/
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22e ANNÉE. — Série nouvelle Tp. — N° h .ï*-) Le numéro ; 10 Centimes (5 CENTIMES AU FRONT) IRÉDACTION & ADMINISTRATION ÎBmi me de la Bourse — LE HAVRE Téléphone : Le Havre n' 14,05 Directeur : FERMA KE5RA7 Tontes tes communications concernant la rédaction doivent être adressée s8UT,rue de la Bourse, Le Havre. LONDON OFFICE: 21jPanton Street | (Leicester Squares,w). LE XXe SIÈCLE Aiiirkfirlii^n K«=»lniP> Plia H^vrp ABONNEMENTS (Franc® 2 fr. 50 par mois. » 7 fr. 60 par trimesti Angleterre.... 2sh.Q d. par mois. » .... 7sh.6d. par trimes< Autres pays.. 3 fr. » par mois. » •• 8 fr. » par trlmest PUBLICITÉ (S'adresser à l'Administration du journ au Havre ou à Londres Annonces 4' paget Ofr. 40 la ligne Petites annonces^* page:0fr.30lallg Les petites annonces sont ègalem reçues à La Société Européenne de Pu cité, io, rue delà Victoire, Paris, qui a le monopole pour Paris. ILa neutralité de la Belgiqi On nous sert, <le plusieurs, côtés, l'avis •V. « personnalités belges très haut pla-, 4s « sur la neutralité _ belge : « Vnje Bel"e », « Lté Petit Parisien »,, « Stem uit BeWie » ; tas ont fait connaître la thèse : ' La neutralité créerait à la BelRiQUû une aorte de situation rnétaiphysiquea laquelle les laits, de quelque ^ ^ Atre, ne sauraient anen change i , J.-aDstrac ! lion juridique, les réalités les plus tangibles cl les ipluis cruelles lesteraient sans ellet. UPncuU^itéà .belge, que la Belgique a toujours scrupuleusement respectée, même «Iiand la gangrène du bocliisme la Menaçait sérieusement, avait ct« garantie soleil-Bellement par le roi de Prusse, 1 <mpOT d'Vutriche, le roi de F rance, le roi d An le-terre et l'empereur de Russie, c^-à;dire par toutes les grandes puissances.ite lepo- "xa Convention de La Haye avait fixé les rîovoirs de la neutralité " fiai L'Etat neutre a le devoir ngoureus de s'opposer, même par la force des armes, aux; atteintes portées à sa neutralité. lit comme conséquence : ï.-Ar' 10 Ne peut être considéré comVnw C acte hostile le fait par une Pwssang neutre de repousser, même par la lorce lies atteintes à sa neutralité. Au mépris du traité de garantie qualifie de chiffon de papier par M. von Bethmami tlolweg, l'Allemagne envahit la Belgiqut et y commit les atrocités que l'on sait. | La Belgique, fidèle observatrice de se! obligations internationales., prit les arme: oour défendre som cltroit uniquement. ' Tout le monde sait cela et l'on ne com prend pas que les personnalités « haut pla cées » de la .< Stem uit Belgie » ou di lit Vrije belge », se donnent tant de peint ■ uouii' Je démontrer. * Tout le monde sait aussi que les propa gandistes boches ont développe 1 argumen 'que la Belgique, en prenant les armes (était sortie de la neutralité; et avait perd; itoiuis ses titres à la protection rrui lui e.tai lassurce par la Convention de La lloi> e. Cette thèse fait, paraît-il, grande impies Ision sur les (personnalités « haut placées » [dont il est question ci-avant. Et aux Belge Uui pensent que la neutralité leur a caus ilbsez de mal pour chercher à la rem.pla ®îrip:ar œu.tre chose après la guerre, iis di feent • Prenez garde I vous ne connaisse tien diu Droit, évitez de fournir des armes ; Bios ennemis, taisez-vous. . 11 en est même qui soutiennent que si le 'Allemands nous ont traités en ennemis, nous ne dtevons pas les considérer comm des ennemis iparce que la Convention' de L Haye s'y oppose I Summumfus, summa injuria, dit l'a.dag. ton, qui peut se traduire par : le droit al *»Vu est la pire des injustices. Mais il ne faut pas l'aire 1 honneur a de faristes d'occasion de confondre le summun mis avec leurs ftôeltes dfe procédure. Qui trop raisonne déraisonne, disait Me Slière, par la bouche de qui s'exprima sou rivent la sagesse des nations. C'est ce qu l'ont les (procéduriers de la Convention d ila Haye et dm traité de garantie. La Belgique était neutre et s'est connu «mée strictement aux obligations que lu imposait la neutralité définie par le (contrats internationaux. Mais à quoi correspond, à l'heure actuel" cette neutralité quo des afcstracteuis d Hquinitessence semblent considérer comm un dogme, comme une loi métaphysique î Nous battons-nous, ou ne nous battons nou s pas ? Nous nouis battons parce que nous son nies en état de légitime défense, c'est entei du, nriids nousi nous battons tout de mémi Parce que nous avons rempli nos obligt I Plions, parce que nous n'avons mas cédé fleurs injonctions, l'Allemagne et l'Autrieh inou:s ont traité et. entendent continuer fjîoU'S traiter en ennemis. Elles nient qu mous savons encore neutres. Quant aux autres Puissances garantes, 1 France, l'Angleterre et la Russie, quelle es kiotre situation envers elles 1 Nous ;battons-nous, ou ne nous battom fnous -as à leurs côtés 1 Sommes-nous, or lou non, leurs alliés ? [ La réponse n'est pas douteuse et toute Mes subtilités juridiques n'y pourraient rie (changer. i Le respect de ses obligations inlernath j<nalcs. la defensè, de ses droits violes, telle fsoîif les seules raisons de la participatio •de la Belgique au conflit actuel. C'est ci ken.du, c'est même tellement entendu q. [c'en est presque un© lapalissade. Personr kte sérieux ne pense que nous avons jama teiiil'intention de nous en prendre, noms py; Smées, à la puissante Allemagne. Le 'Chancelier de l'empire d'Allemagne.. & n on Bethmami-Hohveg, n'a-t-il nas recohni tè la tribune du Rcichstag, la forfailuit feommise par son pays envers la Belgiqt «et le Grand-Duché rie Luxembourg ? Donc, nous -nous battons et nous. sonmn (les Alliés de la. Fiance, de l'Angleterre et < Ma Russie par la force des choses et par fait de l'Allemagne. ; vis-à-vis de nos Allié nous ne pouvons être à la fois Alliés et nci Mires. Ces deux situations s'excluenit. Noi (fivonis perdu notre neutralité, sans que a ■-tre volonté ait pu intervenir à ce sujet. *"* Cette neutralité ïiors "cle laquelle l'Allem: fine et l'Autriche nous ont"projeté brut: iement, seul u.11 nouveau traité pourra nnous la a^ndre. Mais inous sommes payés pour le savo >cc qiiie valent les traités. La Bel «io n? ci tenu icpue, dans l'avenir, sa neutralité r dépende plus d'un « chiffon de papier piais d'elle-miême, mais de sa seule voloi •té. Elle sera neutre si cela lui .plaît, elle r psena pas neutre si cela lui déplaît. Lia Belgique lutte pour so.^ droit et p< pour autre chose, c'est, entendu. Mais 1< %raités ne pouvant -plus être considérés con pne «mffisants pour garantir à la Belgicn jsoo infkîpeTi,dance, il faudra chercher d'aï '•très garanties, il faudra que la Belgique d pnanide des cautions. Notre pays aviiné. n< kiaysamsi et nos ouvriers réduits à la. misèr naaientsdont les fils sont morts au chair |pn.oîmeiLrriaQs,« versent leur soi pour notre sainte cause, n'admettront ■ que les rêveries juridiques on internatio liste® de personnalités si <t haut placée qu'elles se prétendent dans les journaux elles ise manifetsitewt, remportent snr nécessités d'une défense nationale qui n protégerait contre le retour de catastrop conmie celle qui a failli nous- anéantir. Il nous faut, die s garanties réelles et ['avis cautions effectives. Les Belles ^ui s-ubisi pla- reccriDation les réclamieront avec nne A \ rije énergie et traiteront sévèrement ceux qu' n uit mentalité die vaincus porte à ne plus , èsc : de salut pour nous que dans des argu une juridiques, ceux que « la Métros-voie j> a*f [utile lait tout dernièrement les spéculateurs i ssent baisse. ;trac- Ct anties et ces cautions, nou's ne îibles trouverons que dans des frontières str effet, giques -ufesantes. Nous savons que c ce que réclame l'immense majorité des " iue a ges ^triotes, les seuls ^Ri comptent nème Ipoui-d'hui et les homélies, fussent-elles îena- prétention, jnuridique, ne prévaudront ;olen- contre cette ferme volonté. ereur Maurice des OMBIAU3 .IliilU- i-dire * l'épo- * ies LES NOUVEAUX MINISTRE ireux »wr :mes», C'est la semaine prochaine que les i veaux ministres, MM. le comité G obi et c inïmc viella, Paul Ilvmans et Emile Vanderv sanice _ ainsi que MM. le baron Beyens et D torce, gnon, prêteront serment entre les mains Roi, à qui ils seront présentés par le che ratifié cabinet, M. de Broquevillo . nann- * * gique " * it. A l'issue de. la prestation de serment e ses nouveaux ministres, un grand conseil irmes tenu sous la présidence du Roi. * * * com- • pia. Les nouveaux ministres constitueront m du cessamment leur cabinet. Le comte Gc peine d'Alviella installera vers la fin du mois bureaux qui lui seront probablement c iropa- muns avec ceux de M. Paul Hymans. iment M. Vandervelde viendra prendre vni©8 fonctions au Havre vers la mi-février, perdu Quant à M. Paul Hymans, qui gar était -scs 'fonctions de ministre plénipotenti e du Roi des Belges à Londres, il viendr; litres- gulièrement assister aux séances du coj ées » 'ie cab/net qui se tiennent au Havre, et ipi'ovs conseils des" ministres qui auront lieu, causé la présidence au mol mlpla- ____ ils di- ~ - Le cariai lerciar i Eoi ££. —«— d'pïa dépêche de Rome annonce qué Van den Heuvel, ministre de Belgique diu Saint-Siège, a donné mercredi soir dîner en. l'iionneiur du cardinal Mercie adase assistaien t le" cardinal Gaspard, secré .■i A' d'Etat ; le cairdrnal Vannutelli, doyei Saoro 'Collège : Mjgr Heylen, évêque de . dpa mur ; les ministres d'Angleterre et de ,7,11™ lande iprès le Vatican et plusieurs pi' belges et italiens. f Aro Afin de terminer tes affaires oui ont inii tivé son voyage, le .cardinal Mercier e que 1;era a Rolnc jusqu'au commencement d oa de Mgr Heylen ai quïté Rome jeudi -pour onfor- tw'à Naiu,ur- ie lui les 1 LA TERREUR EN BELGIQUE! tuelle. —o— Sf LA PEINE DE MORT WÊIHE POUR DES DÈLI ; som- "°" nême UNE ORDONNANCE IMPITOYABLE jbliga- VON BISSING rede a ttriche Une dépêche de Berne annonce c|U uer à gouverneur général de Belgique vien it que faine afficher une; nouvelle ordonnance crétant la 'peine, de mort contre ceux qi tes la rendront coupables d'incendie volontaii' lie est provocation d'inondations, de posses d'armes dangereuses ou do résistance ittons- fie l'airmée et les autorllés civiles ou is, oui tairas. _ lin cas de circonstances atténuante: toutes peine de mort pourra être remplacée pai it rien peine de dix' à vingt ans de réclusion. L'ordonnance spécifie un grand noi ■natio- d'autres délits moins graves qui seron tenu nis d'.un an à cinq ans de prison. pation si en- • Il Suisse et Belo;iqi »0(t ne M connu, UN HOMMAGE DE SUISSES ailuire ALLEMANDS A LA BELGIQUI ilgiqu.e I.ors de la constitution de l'Associ; Humes nationale des universitaires suisses, qu : et de lieu récemment à Berne, M. le profes par le Paul Seippel — un Genevois qui enscig Alliés, l'école polytechnique fédérale de Zurich ît ncu- iui, aux applaudissements de l'assist; Nous composée île Suisses romands et alén »e no- que.?, un rapport dont on lira avec in t. les lignes suivantes : n Ce respect du droit, nous avons le di llcma- rie l'at'inner aujourd'hui à l'égard de la brûla- gique. Nous l'avons déjà dit bien haut, luirait ii ne faut pas se lasser de le répéter : sommes moralement solidaires du p< savoir belge. La cause qu'il défendj au prix de ia en- de sacrifices, est nuire cause.La renier, ilé ne nous renier nous-mêmes. Nous devons lier », souhail-er, nous devons lous vouloir que volon- juste violence' qui Fui a été faite soit ré): elle ne cl qu'il rentre en possession de. sa coiii indépendance et do ses droits de souv et pas ri été. Si, tacitement, nous admettions q ris les Belgique pût être annexée, ou même ré s coni- à lï'lal de vasselage. soit politique, soit ilgiaue nomiqne, nous mériterions nous-mème ■ d'au- subir plus tard le même sorl. Il y a cor lue de- précédents qu'il ne faut pas laisser s el nos dans le monde. Déserter dans une cin nisère. tance aussi solennelle la cause du droi champ serait pris seulement pour la. Suisse une r s£Uj£ lile morale, cela équivaudrait à un suici la s L'ŒUVRE DE RUINE na- 5 )) - O—■ OÙ 3us Le moratorium lies -ni» des va être levé en Belgiq en' —.))oc!—— pre Sp Décidés à ruiner la Belgique par tous moyens possibles, les Allemands vienr ,p,,_ d'imaginer la levée du anoratoriuni poui i l, fin dé ce mois, , , Au début de la guerre, le terme des ] v, tels avait été iixé à dix-neuf mois et s »tïî jours. Toutes les autres mesures qui < >st cernent le droit des effets rétroactifs p 3el- toutes les traites tirées et payables dan au- territoire du gouvernement général . à le 3 août 1014 devront être pavees le 31 ; pas vier 1910 et iusqu'ii concurrence de soirn dépassant 200 francs. Pour toutes les traites en dessous de " francs ou n'étant pas payables dans le __ ^ ritoire du gouvernement, paiement est mis à.22 m'ois et 7 jours. S Le protêt ne peut être .fait que dans 1 sept derniers jours des ternies susdits n doit alors être également applique dui ces sept jours. Pour toutes les traites, ii partir du 1 1 ,mT. vrier 1916, le tenue de protêt est fixé de •\1 " jours et le terme d'exercice du droit Tt actif est prolongé de 1 i jours. ,-V Le moratorium des banques est levé j autant, quo les fonds réclamés server f du payer des dettes d'achat de matériel ou < t i clés commerciaux. Les tribunaux sont chargés de juger bien-fondé d'une intervention judiciî des d'après le règlement arrêté par le Roi sera Relges, au cas d'un refus de paiement é tuel. Ces nouvelles ordonnances entreron vigueur le 1er février 191G. in- La compétence des tribunaux pour at blet der un délai de paiement reste mainte ses "S'il était nécessaire de mettre en.lun ;om- le sentiment qui inspire ces mesures, il firait de remarouer que les Allemands sed suppriment ainsi le moratorium en Bel" le maintiennent chez eux ! iera aire — 1 i ré- aui1 La résistance de la Selgiqt 30US ! I ■ envahie 6ta presse française a encore publié ( qiues articles très étogieux pour le. ïivj, eœiro collaborateur Maurice des Ombi Siçiatons cet'extrait de Paris-Centrt j\I_ Î8 décembre : près « La Belgique avait ioui. pendant qu. un vingt-trois ans des bienfaits de la j; r. Y Personne ne prévoyait, tant ïinitellig laire humaine est incapable de prévoir, qu t du peuple si sar/e, dont la sécurité était ga Na- ne par la foi des traités, pût être vie Hol-1 d'une agression perfide et sauvage. Pen ilats ies dix-huit dernières années, la, Belg était arrivée, sous ,le plus honnête c me- plus intelligent des régimes, à une piri *$s- rité inouïe dans l'histoire. ' le- » Qui l'aurait cru. ? Cette étonnante j péri-lé n'avait pas ruiné chez les Belge; ren- ocn.us militaires qui les avaient dislin pendant les périodes orageuses de leur toire. C'était toujours cette glorieuse ■. gique qui a résisté si vaillamment à Ci qui a été le berceau des ancêtres de Cil magne et qui a tenu en échec la imiss formidable de Philippe il. pLace sain robuste, les Belges. Wallons ou, FIn ma conservent, dans les glus terribles. é pre TÇ ce que, Michelet «Tipel/e la marque I O forts : La joie héroïque. Telle est l'idée noies donne de ses concitoyens M. Mai des Ombiaux. Cet excellent écrivain ri DE jes talents les plus ■ variés ; il sait peii il sait émouvoir, il sait égayer son 1er. il mérite la haute estime où le tient i e I® B.roquevilte, le président du Conseil. t de Résistance de la Belgique envahie est ,aé- livre aussi spirituel que pathétique. » !1 2e Rappelons que l'ouvrage de M. des sien biaiux est envoyé franco sur . demi: con- adiressée aux bureaux du XX* Siècle mili- n™ boa postal de 3 fr.. ,, la « oas M . , ni)re Un espion de marqu i p'j.- TRIBITCH LINCOLN S'EVADE D I PRISON AMERICAINE ie Une dépêche de New-York annonce 1 siou de Lincoln Tribitcli, l'espion au s ce de l'Allemagne, ancien député d Chambre des Communes d'Angleterr ancien attaché à la censure britann ' cette évasion est considérée comme un très grave par les fonctionaires fédéi ilion ,, La Sûreté américaine. — dit la c i eut cjlei — sachant que Tribitch est un seur pert linguiste et au courant du chiffre ne a espions allemands, lui avait confié la — Y au clair de certains documents ayant |llc®> à l'espionnage allemand aux Etats-l Les journaux prétendent que Tribit< térêt emporté le dossier très précieux des ; rités fédérales. » .voir Tribitch Lincoln, — comme nos lcct Bel- 10 savent, — est le personnage qui fi mais Belgique fonction de secrétaire du ph nous thrope nuglais Seebom Rowntreo 'or celui-ci vint faire chez nous sa célèbre tant quête sociale. Pour celle enquête, te n'est les administrations publiques de Belg tons se mirent au service de M. Seeborn Ri l'iul trec, tous nos dossiers, nos bâtiment „iréc blics, voire nos arsenaux s'ouvrirent de niete j lui, oui iplu(èt| devant Xriiitch Line erai- I L'enquête aboutit, à. la publication d ie la vre célèbre : « Coinment combattre la luite sère ? » Kilo aboutit surtout pour Tril Lincoln à la formation d'un dossier s de Berlin fit son profit. Depuis la guerre, ains bitch Lincoln avait été démasqué ; il : ablir pris loi luite' aux litat-U'nisi et, sut :ons- plainte de M. Seeborn Rowntree, il y i ne été arrêté sous la prévention d'abus de fail- fiance et de faux. Il aillait être extradé Je. > 1 înoment de son évasion. I LEURS MANŒUVRES Les Flamands ® l'tJiyersite île Garni les W Le patriotisme belge inflige ro_ une nouvelle detaite aux =pt machiavels boches m- )l]' La pitaisse allemande continue à faire 'V gi-anid tapage autour de la « flamandisa-:'ri i tioii i, do t'L'nivcrsité de Ga.nd. A l'en croire, L : retfp.'.o flamand tout entier a salué avec ■ 8 i joie cette nouvelle preuve do la générosité on(. . du, gouvernement aillemand. La, réalité est quelqiuie peu différente et il îi" ' vaut la peine de la signaler. Les principaux iouniaux il imuiids^— hors I . de la Belgique occupée — ont dénoncé comme . : nous la manoeuvre, de von Biss.ng cl ont i 318 j déetaré qu'aucun Flamand ne voudrait du ant i «aadeau hoche. ,, Emi Belgique occupée, quatre journaux 'c- einJxxAiés ont, à noire connaissance, cp-p A i pfau.di à ia décision du goùverneui. 'ro* | La Vlaamsche Post de Gand du 31 décem-| bre a publié un article où Gustave Ver-°UJ" meersdi s'est réjoui de voir enfin donner, [■ a grâce à la guerre, à la question de l'univer-ar" sité flamaiide une solution radicale « avec toutes les garanties, que geui 1 esprit germa-.dn nique peui offrir ». Ce triste sire ajoutait ire, „ s| l'université " n'était pas aussitôt des ouverte, c'était parce que les professeurs 'en- flamands eux-mêmes refusaient de reprendre leurs «eues et eue c'était donc la faute en aux Flamands ». Les Vlajmsche Xieuws d'Anvers ont sa--or- ci'ajia la. décision de von, Bissing la Berne. Baissa-.iée de la Flandre et racorute que la ière nouvelle de cette: décision, avait été accueli-suf- lie( 'le soir du 30 di'. énibre," au théâtre tla-1U1 './ituid installé à l'Alhambra de Bruxelles, lue par le cliant dlu Vlaamsche Leeuui et des ma'iiilestatioïis délirantes. Enfin, comme pour prouver qu'il s'agis-sait bien d'unie consigne des' kuniimandan-tui-s; le Télégramme, le nouveau, journal ecimb'oûhé puh:ié à Liège par l'avocat Fischer, a loué une solution « assurant à l'université de Gand tes moyens d'être la protagoniste de la culture flamande et la grande semeuse du savoir et du pouvoir on ce pays de Flandre ». Le même thème a naturellement été dé-uel- veloppé avec emphase par la Vlaamsche de Stem des traîtres De Clercç et Jacob qui, inx. pour le dite par parenthèse, a dû abandon-du ner Amslerduni pour paraître cahin-caha à La Haye. I Fait "piquant, la Vlaamsche Slem a pu-: Hi dans son numéro du 13 janvier une y „ correspondance de Binxelles déclarant q.ue : ce qu'avaient dit les Vlaamsche Nieuws [ ce d'une prétendue manifestation, est pure fan-\an' toiste, la nouvelle n'ayant été apprise par fnr uirœ édition spéciale do la Gazct van Brussel tant — autre feuille KIC — qu'après la représen-, Q'u.e ta.liino dont parlait ie journal emboché d'An-'? vers. Le correspondant de la Vlaamsche sPl'~ Slem raconte même longuement une conversation: où ou voit un vieux FlamançJ, re-r°s~ pousser le cadeau des ennemis de son pays. l,'f Tel est le succès obtenu auprès des fla-•ues nïancis pax. ia dernière manœuvre teutonne, p s." lTne fois de plus, le patriotisme de la popu-hel' lation flamande déjoue le machiavélisme sa/' des agents du Kaiser. irie- '.ne. UNE DURE LEÇON D'UN SAVANT HOLLANDAIS 'rte? a vu P'113 'lau' de l'aveu d'un - g traître même, les professeurs flamands de rire ^Tand ont refusé d'y prêter leur concours. t .j On a tâché de leur trouver des remplaçants Ire en Hollande, mais la tentative n'a pas été ™,»'. Plus heureuse. Les professeurs d'université de hollandais ne veulent pas seconder les Bo-' j ches dans leurs machinations et quelques-, „ uns d'entre eux l'ont déclaré énergique-ment.C'est ainsi que le professeur Niermeyer de 3m- l'Univesité d tJtreclit lient d'écrire une le-t-nde tre cinglante à propos des manœuvres aux-ivec quelles se livrent en ce moment les agents , allemends dans le monde universitaire hollandais : » Une de nies connaissances — quelqu'un y de nom réputé dans le monde des sciences •> — qui n'est pas encore professeur d'Université, uniquement parce qu'il l'a refusé jadis pour un emploi allemand, fut, il y a quelques jours, à son indignation, pres-INE senti par un Néerlandais servant d'intermédiaire, s'il serait prêt à occuper une chaire à l'Université 11 amande à ériger à . Gand. 11 ne rhanque plus que cela ! » S'il existe une petite troupe de flamands > in Bveuglés à tel point par la haine'du français J l qu'ils ne sentent, pas.la honto d'accepter s 01 celte université des mains qui sont souillé's 1uct du sang de milliers de leurs compatriotes. lait des mains qui ont détruit leurs villages,leurs !uî- villes et leurs trésors artistiques, des mains ePu" de ceux qui ont déclaré officiellement que la cx" Belgique ne sortira pas de la bagarre sans ^es amoindrissement permanent et. sans ns.-vr irise \issement, — il n'y aura cependant pas en r?1' <tehors du groupe du «Toekonst» ;rcvue eni-"ls- bâchée) aucun savant, hollandais qui ne 3e a 'i senle. ]ias au-dessus d'un tel sentiment. L1t°" » S'il devait en être autrement, quelle ré-de la. paî t .du monde ' scientifique patrial, »urs lorsque:Tes Allemands seront chassés,de la eir Belgique et. que le gouvernement, belge les lan- renveflira, car il est évident .qu'ils seront que mis à la. frontière comme des étrangers in-011- désirables. » que On voit que les hollandais sérieux ne. sont wn- f'as tendres pour les De Clerck et les Jacoo. pu- Il est d'ailleurs à■ remarquai- que ceux-ci ne -ant trouvent d'appui en Hollande que chez les jjn gens inféodés "à l'Allemagne. S'il était encore L i{. uiécess.'iire de démontrer que leur œuvre est mi_ essentiellement, anlibelge on en, aurait là itgij une preuve suffisante. Tri- — Paris. 20 janv. — I* général Lyautev, vait venant de Vichy, est arrivé à Paris dans ia la, matinée. vait — Londres, 20 janv. — Les journaux an- 30n- monccnt que le colonel Hoùse, envoyé spé- , au cial du président Wilso», a quitté Londres dans la matinée xiour se rendre à Paris. 1 1 Ceur Réponse.. i Un de leurs journaux réclame des lu mesures contre les évêques belges La ii Koelnische Volkszeitung » annonç '6 il y a quelques jours que les évêques ai mands ne répondraient pas au réquisito écrasant de l'épiscopat belge. Comme si cet aveu d'impuissance ne su faire sait Pas' un iournaI d'Outre-Rhin réclai disa- des mesures contre les courageux évêque :'oire, Un correspondant de Cologne à la « ^ sv.°9 sische Zeitung » (n° du 12 janvier) déck ■0si't! que ,, ia longanimité de l'administration a et il mande en Belgique à l'égard des menées l'épiscopat belge est surprenante. » Loin hors ! répondre un mot aux accusations, préci-f ou? portées contre l'Allemagne par les évêqu it du journal in.oqùe contre eux... la.com tion de La Haye : •naux , ap- « L'article 43 de la convention de La H< » de 185J9, - écrit ce journal, — dit : « L' Sceni- „ toriié du pouvoir légal avant passé de Ver' » entre les mains de l'occupant, celu nn«r' •' prendra toutes les mesures qui ci.-iiend I'\el » dé lui en v ue de rétablir et d assurer, u-ma- » tant qu'il est possible, l'ordre et la vie juta.it » blics ».' C'est donc bien le devoir, et ssitôt » droit de l'occupant de ne pas supporter ■sein's » menées qui empêchent la pacification :pren- » territoire occupé- » faute « Nous sommes emprisonnés et réduits 8a* silence » écrivaient les évêques belges i UP la évêques allemands, en réclamant pour 1 •cueii- peuple le droit de faire connaître la vénh e lia- L'Allemagne ne veut pas qu'on connai ielies, la vérité, parce qu'elle en a peur et c'esl :t que finiront par comprendre tous ceux i'arns- ies mensonges allemands ont pu égarer. ndiin- i nu-aval — ~ Si LA SITUATION r aride ;rr KiLITAIRE nsche nétal Vendredi, 21 fanvie aha à Xous pouvons maintenant toucher dijiigt rhabiietô ds l'ensiemi à donner a Pu" change sur ses projets et à se ser\ir 1 r une de sa presse que de celle des neutres, it q.ue taninient > de la plupart des journaux ieuws landais pour nous envoyer le nuage a.i e tan- gjant de ses fausses nouvelles. A chacuf e par uietlre .désormais, le masque pour, se.gaj riissel tir dg ce nuage. resen-, L'ennemi avait fait antnoncer une foi d'An- dablo attaque suir le front occidental iische approches du Nouvel-Ail. La eiiose- t 1 con- don-née. pour certaine. De considérables Pfl- re- forts d'infanterie et d'artillerie traversa pays. ]a Belgique et le Nord de la France. A c. -s lia- [llr ridiculus mus : Il y a. eu le^ con :onne. sans lendemain livré près d'ipres popu- l'écliauffûuirée de la Buttc-Ttu-Mesnil, îtisme Champagne : et c'a élé tout. L'ennemi a fait crier à tous lès cat-reft q. i|i sa marche sur SaloniqjiM serait 'NT. droyaniile et qu'il jetterait les Alliés dan mer. Or, le voici toujours à l'arrêt par l'a frontière grecque, faisant paisiblen d'un sa cuisine sous la tente. ids de L'ennemi a. fait, sonner tous si:s fi oours. pour faire crocro ou'il était en marche içaiits l'Egypte. Des soldats allemands se sera as été même exercés dans la. ménagerie d'Haï rersité bbek à monter à chameau ! Or. les ji is Bo- jjassenit ; les chaleurs précoce^ du. p lques- temps égyptien approclient qui traasfoi ri que- ront ettîi fournaise les vastes espaces d'e l.iq.ues de la presqu'île du Sinai'. On. p y-erde bien d'un rassemblement de 35,000 Ti ie let- en Syrie. Mais que panerait cette poij 5 aux- d'hommes contre les formidables défis igents ïiaturéltes et artificielles du canal de i1 ■e hol- oit plusieurs centaines de milliers dli mes — Anglais, Ecossais, Australd. Neiw-Zôlendais, Sud-Afiricains, Hindout qu'un Egyptiens. — sont rassemihlés^ iences On. voudra bien se souvenir que i niver- avons acouieiilli, en son temps,. avec un c sé ja- pËat. scepticisme, chacune de ces nonv< il y a tendancieuses. Le mouvement de trot près- et do miatériel sut- le front oceide inter- a'éta.it qu'une opération normale de rc r une et. de reBitcreemênt. Au nord de Çatoni ger à l'ennemi ne semble toujours avoir qu'un ! cor de troupes. L'Egypte est bien loin nands pnesquis ina-boi-clablc pour qui ne pos: mçais pas la mer. ceplcr L" bénéfice poursuivi pari- l'ennemi uillô's lançant ces fausses infocmatioints, à la riotes. de quoi d'auciums so sont laissé pren 1,leurs est. à-ielenf. Il s'agissait, d'empêcher F mains cuis et-Anglais rie retirer des troupes que !a front ocoid'eei'tal pour les envoyer en Ori i sans p s'agissait de l'aire croire aux Alliés et as;.;-- Grecs qu'une attaque sur Saloniq.ue < ias en immanente afin rie favoriser les opérai ie cm- ennemies en Monténégro et en Albanie ne se nlso paraît avoir réussi. 11 s'agit m d- tenant d'immobiliser cm Egypte: des fo lie ré- conssdrrabtes' qui seraient fort utiles atrial,. icu.rs, et i'i encore le .subterfuge,n'est . de la sams résultat. ge les Xou,s savons tous maintenant ce qu'il seront env conclure pour notre conduite. rs in- " Paul CROKAER LE GENERAL VILLA EST PRISONN lacoa.1 • T :-ci ne New-York, 21 janvier. — Le consul a 'ex les ricài'n à El-Paso confirme que le gén ?ncore ViUa- a été fait prisonnier par les_ sot ,t ,1.11 rfAmiiml Pfi,ri'flin'7..q nYh.fi rl A San YÎÂvnin -ait ià : . — Ce îonrnal ne peui être vea autev, ans la qgQ 10 SENTIMES 09 I PEN ix an- en Angleterre, 5 cents indres Hollande le numéro. 1s. DERNIERE HF.ITRF. nt Communiqué officiel français rj Paris, vendredi, 15 heures. Bien à signaler au cours de la nuit, sauf b" en ARTOIS, où nous avons fait exploser le avec succès une mine sous une, tranchée i allemande, vers la cole 199 (sud de Thélus). is- »o« re LE RESSERREMENT DU BLOCUS le- de Melbourne, 21 janvier. — Officiel. — je Toutes les exportations pour la Hollande , sont interdîtes. es -s,' "0,! LES OPERATIONS SUR LA COTE BULGARE ve S a Ionique, 21 janvier. •— Cinq navires " alliés ont bombardé lo 18, Dédéagatch et " Porto-Lagos. Les dégâts son considérables. Athènes, 21 janvier. — Suivant les jour-ut paux, une détachement a débarqué à Porto-iu- Lagos et a opéré une reconnaissance. >u- Il a constaté ou'il n'v existait na s rlp le troupes bulgares. de ——a "" LESFAITSDU JOUR au ux . . , /. union sacree est menacée en Prusse. •UI Motif : le discours du. trône à la Chambre des seigneurs promettait une réforme clec-,32 torale ; alors les conservateurs se sont in-ce swgés. D'autre part, les membres du. Reichstag l '■ appartenant au parti impérial, à l'Union, économique, au. parti réformiste et au ?,iarli hanovrien — ils sont vingt-huit en tout — — viennent de former, sous le nom. de « parti allcmad », un groupe que présidera le baron Ganp. yvvwvvvvvvï La Chambre des communes s'occupera mercredi prochain du, blocus de. l'Allemagne' Le députe major Ilunt « dépoté une motion pressant le aouvertiement d'imposer aux pays neutres qui ravitaillent l'Allemagne un blocus aiissi strict que possible sans nuire aux besoins normaux de leur consommation du intérieure, lo vuxwwvvv\ IS} La Nouvelle G.azette de Zurich apprend. , de La Haye, que M. Bryœn, ancien sous-secrétaire d/Elal aux affaires étrangères à , Washington, est attendu dans la capitale hollandaise. ' " IWVWVVVIVt friii- Le mark a subi le 20 courant une nouvelle i.ux baisse de 0.25 à la Bourse de Genève. Lps nif 100 mark étalant r.nfrc h 0?v u- 'TK noo t.. ri, (HT- avant ta guerre). eut — | Les ouvriers Anglais «i et la Guerre ; ia tel à »oct—— eut UN AVERTISSEMENT ENERGIQUE AUX DÉPUTÉS SOCIALISTES ^ ADVERSAIRES de la CONSCRIPTION ;en- Des quarante-trois députés, travaillistes urs anglais, dix seulement ont voté contre lo in>- service obligatoire en deuxième lecture.Cela ne- seul suffirait à réduire à leur véritable si-ser- giiifical'ion le vote du Congrès du Lahour irle Party du G janvier et les motions antimilita-rcs ristes des mineurs de la Clyde et des cheminée nols. ses Mais l'attitude des députés travaillistes ucz n'est pas le seul indice des sentiments vér.i-mi- tables des masses ouvrières d'Angleterre. n6, Un groupe important de socialistes anglais, e;t qui ont constitué au début de la guerre u>i "Comité socialiste de la Défense natio«a3e», ous viennent de publier un manifeste où ils ré->m- pudient les thèses antimilitaristes, appellent Lies aux armes tous ceux qui sont en état de délies fendre le pays, et défient leur-, contradic-vtal leurs de soumettre la question au corps ève électoral. Voici ce document, qui porte lès jae, signatures de MM. A. M. Tnompson et Vjc-cfé tor Fisher, président et secrétaire du C&-cl mité : ède « La défense de son pays au moment du danger est un devoir élémentaire mais vital en pour tous ceux qui peuvent porteries armes, glu Do nombreux congrès socialistes nationaux i,-e, i'ont dit et redit, et ils inentent ceux qui pré-an- tendent que l'obligation de défendre la li-diu berté et le droit de la nation est contra.ire >nt, aux principes du socialisme. Ce n'est qu'a rux regret que le .gouvernement et le parlvnetJi laji ont adopté le principe de l'obligation directe, ans mais ils ont été forcés de l'adopter par ies ct nécessités militaires du pays et les deman-lin- des de ceux qui .ont la responsabilité des ce;! opérations militaires. Le temps des discours ajl_ est passé. Les hommes qui sont capables de pas servir aujourd'hui mais refusent de prendre ies armes et font de l'agitation contre le ser-àut vice national ne se rendent pas compte du péril de la situation présente. Nous, en no-, Ire qualité de socialistes, nous déclarons J que faire des objections au principe du se.r- _R vice obligatoire quand son pays nalaJ est attaqué, c'est de l'hypocrisie. La liberté sociale n'est, pas un système de ci faites comme i! né- vous plaira ». Le socialisme n'est pas l'anar-iral chic. Le socialisme, c'est plutôt la réplique ats et le défi à l'école individual/ste du radica-no. lisme ; et nous qui avons lutté depuis des années pour venger les droits du travailleur, nous devons rappeler aujourd'hui aux tra-ttn railleurs organisés que la « com.pulsion i directe et indirecte est la clef de voûte dé SY l'édifice du Trade-Unionisme. L'homme qui se, fait « renard » pour défendre sa revendi-g|j cation du droit de travailler autant d'heures et pour le salaire qu'il lui plaît ou qu'il peut obtenir, ne reste pas longtemps dans les i rangs des travailleurs organisés, et c'est à

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This item is a publication of the title Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique belonging to the category Katholieke pers, published in Bruxelles from 1895 to 1940.

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