Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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21 January 1916
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s.n. 1916, 21 January. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Seen on 01 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/ms3jw87r27/
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22cANNjlsK.— Série nouvelle. — N" 45S Le numéro ; 10 Centimes (5 CSN'fflMES AI? F'E^IT) Vendredi 2-1 Janvier 1916 HÉD ACTION & ADMINISTRATION K1» ras de te BoirEB — LE HATRS Téléphone : Le Havre n* 14,05 Zfeisur : FËFJffl Tentes tes communications concerr.anl la rédaction doivent être adressée û8HT3rue de la Boitrse,Le Havre» LONDOW OFFICE: E1,Panlon Street (Leicester Squares.wj. LE XXe SIÈCLE ABONNEMENTS Franco 2 fr. 50 »*ar mois. D 7 fr. 50 par trîmastre Angleterre..., 2sh.ôd. par moîs. » .... 7sh.9<S. par fcr?Tï.*str*d Autres pays., 3 fr. » p&r mois. » .. 0 fr. d par triatostP* PUBLICITÉ S'adresser à l'Administration du jounjzï au Havre ou à Londres Annonces 4' page* 0 fr. 40 la Hgne Petites annonças^* paga: 0rr.30la j. Les petites annonces sont également' reçues à la Société Européenne da Publia cité, jo, rue de ta Victoire, Paris, qui a le monopole pour Paris. ■■■■■■■■■■■■■ ■■■■ Quotidien belge paraissant au Havre L'UNION PATRIOTIQUE de tous les Belges solennellement affirmée Le programme natal de la nouvelle ooibiiiaisoEi ministérielli [ ï! '■ ?f. **%*wwvi'wr -vw " Pourvoir à toutes les nécessités qui découlent de l'état de guerre et mener la Belgique dans Jes con d liions les meilleures, à la paix la plus favorable. " '■Nota aco/ïs annoncé que, sur la proposition du conseil des. minisires, le Roi avait appelé MM. Goblet d'Alviello. Hymans et Vandervelde à faire partie désormais du vabinet de Broquevillc. Le Miosiitatr publie aujourd'hui les arrêtés royaux Annonçant cette décision. lis -sont précédés d'un beau rapport, adressé au (loi, au nom du gouvernement, par M. de Broquevillc. Nos lècteùrs trouveront ci-âcs-■squs le texte complet de ces importants <Jo-,{ euments. Comme le dit M. de BroquévMe, nous avons la conviction que « cette nouvelle manifestation de, l'union des partis sent approuvée par tous ceux qui ont la saine compréhension des réalités et qui se préoccupent avec clairvoyance des intérêts de la Patrie n. Le rapport au Moi Sire, '. Au -moment où In Ikiijfiq.io tout entiè->,, se levai t pour" la défense île son droit et, de aoÉ honneur, l'on vit l'esprit natio-3ial se substituer, partout, à l'esprit de parti.Devant ce danger, la confiance la plus largo lui laite au GoavcmemcBt, uni en ituô commune ïieœée . C4tte union trouve son expression dans ! un;'.'âijM- des votes, vé) ity.t>le symbole û» mandat confia au pouvoir exécutif. Ce mandat, le Gouvernement a la ctsrti-Btude de IVavoir. rempli, avec la volonté , coastaiïte de se conformer à la pensée pv feriotique -içpà, à travers les âges, lionoïera , tle Parlement du -t août 1914. — LtGauvcr-àoemeat ne'st pas moins certain d'être à ju<Vn> tic peut trivre l'œuvre entamée, sans S'écarter des indications formelles données p» les GSiamBras. Néanmoins, il ne perd ■>as du vue que la durée de lo, guerre, et tes KiécessiWs qui en'découlent, donnent, chaque jour naissance à des situations nou-arell«B que la prévoyance humaine ne pouvait gouçonner en 1914. Il suffira do signaler notamment que, en Vertu du texte même de la Constitution ■ -jo n'entends- pas envisager ici l'esprit de ce texte —la moitié du Parlement se trou- ! Vera avant peu sans mandat. | sD'autro part, sous l'empire d'impérieux devoirs. et afin de demeurer dans l'esprit de la charte fondanrtale, lo pouvoir exé- , l'utiif se vit parfois dans l'obligation d'exercer lui-même le pouvoir législatif ; plus lo «onllit international perdure ,ei plus cette uasiiion anormale tend à s'accentuer. 5in face des situations nouvelles, le Gouvernement uniquement soucieux de bien généra,1, s'est demandé s'il ne convenait pas dfatfrrmer, à nouveau et solennellement, p.ar un o,cto public, l'union qui règne entre I 1« parti*, ainsi que l'inébranlable volon-i té de remplir jusqu'au bout 1e devoir en- ; I vers t© Pays, en dehors de toute préoecu-; pat'on dle parti, suivant la décision orise piav le Ministère- le 4 août 1914. t . Jadis — en -octobre 1914 — le Gouverne ment examina la possibilité de réunir les Ghombres KsislaBvns. Force lui fut de re- , ntaneer A ce projc-t : les cinq sixièmes des I ineinhres étaient demeurés en pays occu- , I pe par l'ennemi, et ils eussent pu s'éton- aer, à juste titre, que, après les avoir en , I A demeurer ,autant que possible, avec. , i^irs commettants, le Gouvea-nemeut cous 'ituàt, saais eux, une réductioli de Parle-fflfeat, ne l épondant même pas la cômpo-'Mum oarleanent ) «re des jiarti'S. Le Gouvernéuieat se trouve donc dans l'impossibilité de demander au Parlement de nouveau témoignage, de l'union natij--<Kiile et l'assistance, souhaitée, dans l'œu iva-e légisJta tivo. Dès lors il sembl; logique de go tourner I 'es pea'sonnaliife que, aux applaudis- ' i -rmeiits du Pays, le Gouvernement a incitées à l'accompagner, afin de l'assister , | iilc toute leur haute eapérieince. Le 2 août, h la séance où fut décidée l'atti- ■ «de de la Belgique, les Ministres d'Etat ap- ■ ^portèrent, au pouvoir exécutif, l'appui de I 'leurs conseils, et tous, sans exception, ap- ■ .prouvèrent la résolution prise. Depuis lors -1 plusieurs d'entre eux, et, notamment, tons ' M m Ministres appartenant ù l'opposition. m apcovnpasnorent- le Gouveraement en teiTe H ■'■'rangère ; ils prirent part à toutes les déli-mj 'Berations où furent osivisagées les grandes ►> 'juestions de principe. Il est naturel que la I .pçnsee reconnaissante du Gouvernement ■ /me * eux le jour où il s'agit, en ordre prin-I ïipal, d'atteindre le bul que je viens d'avoir [ inonneur d'exposer h Votre Majesté. «Ce serait, à mon sens, s'écarter de la saii-I ne notion du régime parlementaire nue de , ^prendre l'initiative de substituer des Minis-! ^res d Etat à quelques-uns des -membres de ffie Gouvernement auquel le Pariement a -unanimement fait confiance, lors de sa der- i «ttère séance. 1 ! «^^V^rs-J^s. cir0nste3i-eés tragiques \~è- , I par le Pay-s, chacun s'est intégralement s a 1 accomplissement dn devoir, r-t il es!, fm logique de nos institution* de tenir ys rwnpto de ces faits, tant que m le Parle-H weaîN ni i opinion publique, ne peuvent four- liomnent des in&ieatais c^l.ainef. JM : -s'l: ■- ' UDO ioiliiujo qui 1—7'} ■: flt> m, l , « «oaiTJM \.JUii tu, UVIW1DU la dernièi'e séanee tenue par le»s Chambres A diverses époques de la vie nationale, des ministres.— membres du Conseil — partagèrent, avec leurs «ollugties à portefeuille, ki solidarité et les responsabilités du pouvoir. L'histoire de la IMgiqùe .ne connut pas d'îieure où pareille adjonclion fut plus justî-fiée. Le monde vécut-il jamais de tels évène- v ment:3 ? Pour nous, c'est l'existence même de la Belgique qui est en cause, c'est fout - on avenir. q-3\ est en préparation. » Mais il importe que nuit ne puisse se jné- i-prendre sur la portée exacte de la proposition que j'ai rhoïmeur de soumettre a l'aéré- r ment royaJ. L Durant la période o« le statut territorial i de la Belgique n'était pas fixé, le Pays fut gouverné par des hommes appartenant a des fractions diverses de Fopinion ; ils étaient groupés autour d'un programme commun de politique intérieure. Telle n'est pas, telle ne peu't être la situation en ce moment. . Ce serait tout à la-l'ois un non-sens et une iiîcon^.sioB que de prétendre opérer nujour-J d anii fusion, voire un rapprocliemeni^ aaas le programme gouvernemental, entre }i jes pr-ôgrammes des divers groupements po îi tiques. J faut que la nation nost pas libre de fada-e c enjl'eiidre sa voix, mû n'a le droéit de lou- s cher a ce qui lut, - avant les grandes dou- £ ' .«6fars nationales, la cliarte des parfis; celle- r. ■ ci est et doit, pour le moment, demeurer r m-tangièle, en. chacun de ses noiaifs, même • mim'mes. " . c tous, et avant tout les Belges accablés «es pires souffrances, sous ^c joug de - 1^étranger, s'étonineraient . à bon droit, qn:';\ uai tel moment le Gouvernement songeât - a appliquer um programme nouveau de poli-j tique iatérieuire. Gela sera peut-être l'œu-! yre d© demafe; ce, r,o peui, assurément, pas ■ être celle d'aujourd'hui. ! , te programme gouverneméntaj demeure • donc ce q:u'il était liior; il se synthétise eiv tre ces deux .pensées — les seules -qui soient !•' auijoujrdTiud dig<nes % d?absorber intégralement un, gouvernement de patriotes — : pourvoir à foutes les nécessités qui d'^cou- ti ; lent de l'état 'de guerre et mener la Rcl- n giqnje, - dans les conditions les meilleures, r à la paix la plus favorable. Les _ collaiborateurs sur lesquels sais ^ pou.voii' compter adhèrent, sans réserve, à ' je>^e limitation do l'action gouvememen- 5 taJe; aussi jaamis gouveraemenf n'aura été plus uflii sur un programme p'-us pafa'io-1 tique. Quand la tâche aura été accomp'Ine 1 et que 1'œu.vre aura reçu les consécrations nécessaires, le groupement momentané, (tans le gouvernement, de toufes les opinions, kvrera au Pays une situation poli- ~ tiq^ic qu'aucun acte du pouvoir n'aura entamée et -dont nul n'aura préjugé. Telle est la mission.quiè nous nous sorn-mea assignée; elle sauvegarde toutes nos libertés, elle ne laisse pîace à aueuno équi-voqiue, ni dams le pi^sari't, ni dans l'avenir. ht quand sonnera l'heure, proche et certaine," de la victoire finale, la Nation, répondant ù l'appel de Votre Majesté, se re-trouvera_ maîtresse de régler ses destinées, conformément, à la voix de sa conscience. Ce rapport au. Roi fixe la portée exacte lt de La proposition que j'ai rhonneur de sou- <1 mettre à la signature royale; il con.venait d d'écarter toute possibilité d'interprétations : erronées. ; ( J'ai- la conviction. -q?uie cette n©uvé-He mani- v reâtfâtion de l'union d'e-s partis sera o-pprou- e \é:y par tous ceux qui ont la saine corn- e préhension des réalités et qui se préoccû- ^ nent, avec clairvoyance, de l'avenir du ' v ■ Pays. q J'éprouve un viLf regret d'o, ne pouvoir proposer île compléter, davantage encore, ^ Je (jouvertement par une adjonction nlur- P granfàe encore de Ministres d'Etal. Plue^que jamais, j Espère, tous Les Minis- c très d Liât, sans exception, de loin comme '' oe pi i>s, contiîrueîornf à nous* aider de leur expér:enee et de leur patriotisme | ^ J'ai l'honneur d'être, ; ' SJRK, q , dîe Votre Majesté, f} ie uves respectueux et très fidèle serviteur. 1 j] Le Ministre de la Guerre, n Cu. de Bhoquevillk. • »0<f ^ Les arrêtés royaux ALBERT, Roi des Belges, ' ^ a tous, présents et à venir, Saltjt. "v Sur la proposition de Notre Ministre de la Guerre, Il Nous avons arrêté et arrêtons : '• Article lor. La démission ol/erto par M s Julien Davignon do ses fonctions de Minis- s" tre des Affaires Etrangères, est acceptée. ? Art. 2. Notre Ministre de la Guerre est ï chargé do l'exécution du présent arrêté. " Donné en Notre quartier général, lo 2 U janvier 191C. C ALBERT. j' Par le Roi : p Le Ministre de la Guerre, ''»■ PL' Pnogymuti'. h ALBERT, Roi des Be.lgès, A tous, présents et îi venir, SAr.nr. Sur la proposition de Notre Ministre do la Guerre, Nous avons arrêté et arrêtons : Article 1er. M. Mien Davignon, ancien ministre des affaires-étrangères,, membre de la Chambre dos Itcpréseiïtaiits, est nommé Membre de Notre Conseil des Ministres. Art, 2. Notre Ministre de la Guerre est chargé de l'exécution du présent arrêté. Donné en Notre quartier général, le 18 janvier 1910. ALBERT. Par le Roi : Le Ministre de la Guerre, Ch. de BnoQDEViriE. ALBEIJT, Roi des Belges, A tous, présents et à venir, Salut. Sur la proposition de Notre Ministre de fa Guerre, Nous avons arrêté et arrêtons : .Article 1», M. le fearon lleyens, Membre cl'vr., !'" Gonseil des Ministres, Ministre o Etat Envoyé Extraordinaire et Ministre plénipotentiaire, chargé par intérim de la gestion du Département des Affaires Etrangères, est nommé Ministre des Affaires Etrangères. Art. 2. -Notre Ministre de la Guerre est. chargé de l'exécution du présent arrêté. Donné en Notre quarlitr général, le 18 .janvier 191X3. ALBERT. Par le Roi : Le Ministre do la Guerre, Ch. de BnoauEviLLE. ALBERT, Roi. des .Belges, A tous, présents et à-venir, Salkt. Sur. la proposition de Notre Ministre de la Guerre, Nous avons arrêté et arrêtons : Article r-, M. le comte Goblet d'Alviella, Ministre d'Etat, Sénateur, est nommé Membre de Notre Conseil des Ministres. Art. 2. Notre Ministre de la Guerre est charge do l'exécution du présent arrêté. Donné en Notre quartier général, lo 18 janvier 191C. ALEERT. Par le Roi : Lo Ministre do la Guerre, Gh. de Broqueviixe. ALBERT, Roi des Belges, A tous, présents et é venir, Salut. Sur la prqppsiiion. do. Notre Ministre de la ixuerre, Nous avons arrêté et arrêtons : Article 1°'. M. Paul Ilymans, Ministre d Etat, Membre de la Chambre des Représentants, Envoyé Extraordinaire- et Ministre plénipotentiaire en mission spéciale, est nommé Membre de Notre Conseil des Ministres.Art. 2. Notre Ministre de la Guerre est chargé de l'exécution du présent arrêté. ALBERT. : Par le Roi : Le Ministre de la Guerre, Ch. df. Bhoqueviize. ALBERT, Roi des Belges, A tous, présents et à venir, Salut. Sur la proposition de Notre Ministre dé la Guerre, Nous avens arrêté et arrêtons : Article l8-. M. Emile V.antferveldé, Ministre d'Etat, Membre de la Chambre des Représentant*, est nommé Membre de Notre Conseil des Ministres. Art, 2. Notre Ministre de la Guerre est chargé de l'exécution du présent arrêté. Donné en Notre quartier général, le 18 janvier 1916. ALBERT. Par le Roi : Le Ministre de la Guerre, Cii. de Broqueville. Le Cardinal Mercier â Mome NOMBREUSES MANIFESTATIONS DE SYMPATHIE Le cardinal Mercier continue à recevoir 98 honïinages des plus liauts personnages les colonies étrangères de l'aristocratie et » tous; les citoyens de Rome. Le registre déposé chez le con"-'--. du Collège belge via del Quirinalc s'est cou-'ert de signatures -accompagné-es de .vœux t de saints à" l'adresse de l'illustre prélat t" de la Belgique. Les télégrammes et les attres de toutes sortes continuent aussi -ù ■ affluer de même que les fleurs et les bou-[u.ets.Lundi h midi, le cardinal a déjeuné chez t. Van don R«-«vcl, ministre de Belgienic rès du Saim'-Siège. L'après-midi, il a fait isitc au ciuiliiial Vaai.nutelli. doyen du Sa-] ré Collège au palais de la Daterie a.posto-kp\o. Dii' i'"'ili.e après-lriidi. il avait visité cardinal Vieo. .-meien nonce à 'Bruxelles, 3s Filles du Cœur de .lésus et les reiigieu-es de l'Adoration perpétuelle dont la con«.ré-. jatioai oompte plusieurs maisons en Belgi-ue.Man'di, il s'est rerwlu au Cnilè"» cana-ien pour y faire visite au cardinal Bégin ; 1 y a rencootré également l'évéque d'A-iiiens.Les iouraaux italien® continuent à suivre vcc le ■'us grand intérêt le séjour du cor-i-nal 'a Rome. Le Ôxoseil supérieur de la Jeun- ca. Iiolique italienne a envoyé aui cardinal 1èrcici; le télégramme suivant, eignô de 1. Pciriooli, président général : n Le Conseil supérieur de la Jeunesse ca-liolique italieinine, assemblé en réunion or-inaire, envoie à Voire Eminence l'ex^res-ion de »bn hommage dévoué et ajinlamlis-ant à votre xèle apostolique pour la reii-ion et la pairie, renouvelle --n-snirnememi î'vobo déia exprimé a l'assemblée générale e la Société que, la paix étant revenue sui- ■"nt lient désir du Vicaire de Jésuis- hrist, sur l'Europe tourmentée, l'héroïque lelgi'Hi.1 qui a de si Inu.ts mérités envers » eivilisalie.n nlnrétienni» et l'on^iste entife entoure de sa paternelle affection, îissuscite dœa-s- sa, dignité -de nation libre yMc£iitente. u Pas iiteiitionala es yïï0 île la paii Un iscëurs très nd 9e JL €mik Vasiîemfâe à |efséve Le programme exposé à Arhhèm par M. Comille lluysmaiïS n'a reçu Jusqu'ici r adhésion -publique d'aucun autre députe socialiste. Il nous est bien permis, an contraire, de voir une réponse à ce programme <tetns le ÀiBeORirs que <M. Vandervelde a prononcé mardi à Gen-ève. Voici comment une dépèclie d'agence datée <ïu 19 jaiïvier signale ce discours : « Devant u-n auditoire de plus de deux mille personnes, M. Vamteivelde. minfe''ve d'État de BeJigique, a exposé hier sojr, an Victoria Hall, la récolntion de son pays et die son- parti de lutter jusqu'au bout. Ije public, vibrant d'émotion, -a îréqucân-mtnt interrompu de ses appiaudissenvents le conférencier et lui a fait une ovation enthousiaste à ïa fin de son discours. I^aterr a affirmé que îa graeri^ dioit être poursuivie jusqu'au jour où l'Europe f^pa ïa paix établie sur le Droit et sur la Justice. L'Internationale ne }iourra -se réunir que le jour 011 son local, la « Maison du peuple » de Bruxelles, ne se:ra H us gar-dée /par dieis baïonnettes alleamawles. Après un tableau sobre et puissant des premières journées d'août 1914, M. Vaaîider-vclde rend n-n hommage ému à son roi. Le roi Albert est utn •d'Orléans et un Cobourg connnje Ferdinaaid de Bulgar ie, .nais à la différence de ce dernier, le roi Albert est un homme et «n honnête homme. ]jn terminant un récit vibrant éo atiwltés allemandes en Belgique, l'orateur s'écrie : « Comment peut-il ise trouver deux1 Parlements avec des socialistes pour oser nous demandJer de reprendre des relations internationales avec des auteurs de pareils crimes ! » L'épiseopat belge <ïe soin côté a adressé une lettre «mx évèquos allemands ; ils n'ont pas rôïiondu, mais leur silence est un a^en. n MaJtsré tout, ki Belgique, est vivante et elle expirerait sur 1a croix du su^dice <fu:elle mssusciterait le troisième jour. » D'ailleurs, la maîtrise des mers entre lès mains, ôess alln^s rend' vaine, la situation d^ armée» allemandes dons les • C3ir vahis. » Au fôurd maiieau-pilon die î'Alterna ?.uî% a conclu M. Vandervelde, les alliés ont opposé la presse hydrau'liqoe .lente, mais inié-sistible. L'heure va venir où le neuiple belge, après avoir souffert, connaîtra ïa félicité de la. »n>aix par le' triomphe d.'u Droit et de la Justice. » A l'issue de sa conférence, M. Vandervelde s'est rendlu a une réunion, intime où se trouvaient exclusivement r;xssem3>lés des socialistes suisses- En termes éner: ;i'mes, M. Vandervelde leur a meé fla conduite des camaraxtes de la soeial-déjnoea'atic ■ alle-mnde.On voit que le langage de M. Vandervelde diffère singulièrement de celui de M. Huysm-ans, C'est de la force et }>as d'autre chose qu'il attend ûa victoire et il se demande. comment' des socialistes }>euvent proposer aux Belges de reprendre avant cette victoire des relations avec les Allemands. UN ARTICLE DE M. EMILE ROYER SUR Lïl PACTE DE LONDRES De son côté, M. Emile Royer, dans 1' « Indépendance d du 18 janvier, consacrait à la question du pacte de Londres ces lignes qui ne s'accordent pas tout à fait avec les rêvés de M. Huysmans : « Que signifieint les doutes émis sur îa question de savoir si m>tre pavs adhèrora au oacte de Londres dont les signataires se sont engagés à ne pas conclure de paix séparée ? L'on a invoqué à ce sujet nos obligations de neutralité. Je dois dire que je ne com-prendrs pas.. Envers qui sommes-nous encore tenus de rester neutres ? Cinq Puissances avaient garanti notre neutralité. Deux d'entre elles l'ont vidée, en reconnaissant cyniquement qu'elles contrevenaient au Droit des gens, et que les traités solennellement intervenus entre les nations n'étaient que chiffons 4e papier. Il est Clair quo, entre la Prusse, l'Autriche et la Belgique le, traité n'existe plus. Il est déchiré. Et si Jes autres nations envers lesquelles nous étions liés, l'Angleterre la France et la Russie, sont d'accord •avec no.;s, qui-serait encore en droit de trouver à redire aux convenuc-7is nouvelles que nous foir-merioius enseu ble ? Notre adhésion, au pacte de I^ondres est tellement dans la nature des choses, qu'elle semblait en quelque sorte aller de soi et qu'il est étonnant #'*ppmmlrfe fm'elle î'àsse question. il est à remarquer que cette aèhé»<or -n ' i mpliquu rait r ullement l'impossibilité d'une proClain'atïon. nouvelle de notre neutralité n^rôs les hostilité. ' ActU':#em>"n.t, que ijôus soyons, belligérant" ce n'est, hélas ! que trop vrai ! New nous défendons et n'avons plus aucun e -obli-gatien vis-à-vis de na.tio.ns q.ui {nous ont fait la plus injuste et la plaé cruelle des guerres. » ENCORE DEUX REPONSES BELGES Elles viennent de doux journaux qui jouissent d'un grand crédit parmi les Belges réfugiés en -Hollande. Voici ce qu'écaivait notre excellent confrère Charles Bernard dans V « Echo Belge » du 15 janvier : « M. Camille Huysmans o. cru habile de glisser sur Oit point capital. 11 a 'vaguement plaidé les circoiisUuices atténuantes en irivoquant le péril rus-e. A ]u rigueur, on aurait pu comprendre qu'hvTiiTiiotisés par l'épouvantai] du tsarisme les socialistes allemands se fu.ssent laissé «Bar h approuver dans une hetme d'affetement et de ; siavxcitation la politique agressive de l'Allemagne impérialiste. Mais, si ïa pensée de la ! franco démocratique, bru'taleônent attaquée, n'avait pu rendre un pou de . leur jugement et de leur saryz-îroid au « genosseh ;> devenus les ips-ùwienîs dofciiles du militarisme prussien, Pin-vûsibïi de la Belgique, au nom du ]>rincioe odieux ; néeessdV; n'a pas de loi, aurait dû leur : ouvrir les yeux. Kn votnrt l*?s cr<k+its, malgré la circonstance aggravante qui .).coompa<T«rit l'agression de l'Allemagne, les socialistes Saches se toisaient les instruments eonsctorAs de ee militarisme qu'ils n'avaient ja.mais exom^attu dont se chargeait la ccinseieiice allemande une lourde ot teiri-gle pajri. "L'Intei'naiionaîe avait vécu. I-/îua' o.ppai'tient-iI, à ceux qui ont rompu bi*ù-talement Le pacte, à eux qui ont 'trahi îa cause de l'Internationale, de verir aujourd'hui se réclamer de ses principes ? Les Français l'ont compris. Ils refusent d'entrer en pourparlers avec Judas qui- ne prêche la réconciliation, que pour les vendirie encore. .Niais, si \I. Camille Huysmans est naïf, s'il nie voit pas le piège grossier où il est ailé donner avec une étorrderie vraiment • inconcevable., sa coJia^ienGC. ù défaut de son esprit aurait dû l'avertir : Si les socialistes français restent sourds à toutes les suggestions aussi longtemps que la botte d'un soiuat allemand fouio le sol de la France, c'est parce que ces soldats y sont avec la complicité, avec l'aide directe dos délégués de la sozial démocratie qui ont voté et qui continuent encore de voter les crédits do guerre. Et nous, Belges, nous dont le pays toutt entier se trouve toujours sous la j.lus ruineuse, la pins féroce et la plus infâme des dominations, nous irions coqueter au nom de ta sais quelle vague chimère * avec le» gens qurlious ont réduits là ? Allons donc... O^Hes, nous n'ignorons pas que ia misère où peu à ))eii descesîd l'orgueilleuse Germanie, les tiiaiux que souffre ce peuple où ^ciamence ù gronder une souille révolte, ont ouvert les yeux aux <;o4n,pagnons qui les tenaient si obs'tiné-ni»ant feumés le 4 août 191 i. Mais les yeux de Bell >'inanr~j îoliweg austsi ee sont ouverts et de tant d autres. La -comédie, dont récemment le Re L'eus fut le spetiacle, nous a suffisamment montré que les socialistes allcanands continuent à servir les ietérêts du gouveimement impérial comme au prenneQ- jour de la guerre. Cette paix, que le < V-orwaea'ts » demandait 'encore hier avec une instanoe quasi tragique, c'est au nom du gouvernement de Berlin qu'il l'imniore. L'in-teru-atiojîciie ?... Mais si elle existait, ne serait-H3e pas le seu-l organisme encoj-e debout qui put sej'vir.d mtermediaire entre les belligérants nour anio^y?ir une conversation ? C'est à cette Inter-nawnï^ale qu'il a toujours combattue avec une .ipreté ferooe. que le gouvernement du kaiser lait un appel désespère. Pitovable manœuvre que les solistes 'français ont «aralyséc tout de «mto en disant : ïl n'y a plus d'internationale. Alors, pourquoi M. Camille Huysmans veut-ij qu'd y ait encotre une Internationale ? Le gouffre qui sépare les socialistes allemands des socuaJastefi tfaiainçais est décidément trop vas-w A yoïtor jeter un pont par dessus, M. Camille Hu -'sanans risque de tomber dedans. « A Maastricht, le « Courrier de la Meuse » expn'jme exacteni'CiH le même avis : « ... 'M. Huysmans ne sera nns suivi quand il ira dire à la classe ouvrière belge quelle doit renouer avec, la soziaidonocra-ke. « Pas -si bêtes répondront les nôtres. Les Boches nous ont « eu v une l'ois, ils ne nous < y prendront plus. » ....Nous, lo savons, iteieors soci-alisios <njutrc-R'iiJi.> seraiaiU trop heu.reux au-joUji d nui d'uai ra.pproclie<tient 11 est curieux qu une lois encore ces- tentatives entrent dams les vues de ia chancellerie allemande De ni&ne que pour sa gueno féroce elle a trouvé -aide et anvm chez les sozkux démocrates, de ménie elle eomote sur eux pour ,1a paix à laquelle elle aspine. Maintenant comaîte alors, l'impérialisme et le militarisme teutons comptent les so- « craux-déanocrates panni leurs fidèles ser-- : vitours et, par leur intermédiaire, cherchent des dupes chez nous. Avis aux amateurs. » Le patriotisme et le bon sens de nos ou-vners nous nennettent de croire qu'il n'v en aura pas ■ beaucoup.. LA SITUATION MILITAIRE — •»* v— 1 Jeudi, 20 jar.ii-^. i Il oarail qu'un proverbe monténégrin dit • ' « Si tu prends lo diaMe à cause de sa for-tune, la fortune s'en va, mais le diaMe » lesta. » Le roi Nikita s'est-il pénét.ré de tou- ' te la. sagesse de ce prpverhe ? On semble -croire ".ue oui et que les présents du diahlc , «u'.i-ici)-en l'on-t mis en iléfiance, A moins I que ce ne soit l'attitude résolue des soldats I dB®atun£8ir#is et le ton haut en couleur des commentaires dont les Alliés ont entouré, la nouvelle de sa capitulation. Et maintenant, ffu.e le Roi Nikita ait ou nue consenti A plier 0 tes cipaoles.sous le joug, la situation n'en est * pas moins grave sur la cûte monténégrine 1 et albanaise. De Cettigné A Sc-utari, il n'v a >> que Wtt/oMtftUèç A vol d'oiseau ; mais "les « deux routes qui rélient ces villes -soint ma- '■ «aisées : celte- du littoral, qui pus.-,- entre le vasteJac de Scntari et l'Adriatique, est barrée, d abord par la position de la Riuma, a 'Puis par les 1593 mètres d'escarpement du r. mont .laraboch; l'autre route, -ni longe la o rive orientale du lae, franchit plusieurs tor- h rents avant de ise heurter A un puissaait ii massif montagneux. Ces positions excellai-tels sKi-onit-elles défendues ? C'est ce aue 1 on ignore. Pour une telle entreprise il laudirait que des contingents alliés fussent c dOwinpi-és en toute liûtc A Saiîit-Jeaii-de- r \fedua. qm est A 30-kilomètres uni sud de " =>™tiiri et qu'ils fussent jetés en toute hâte ' a la traverse (ite -la maû-clie enne/né- Mai. <*« ' «mlmgents sont-ils réunis ? S .es navires et le matériel néc-e.ï ;airo ? Et ■ uis dans ce pays affreux, que -l'hiver -lunsifomie en bourbier, pourrait-on gagner t einooiie 1 ennemi de vitesse ? Ces questions r ■•estent nécessairement sans répor,» , <j Au diomeuirant, cette aventnire fàcl»uee u nçsUn-j Wffawl de l'ensemble des e.oérations c inilitauseB qauai épisode. Seule sa portée n •umate « «tas importance i-éeslfe et en- d •ose convient-il je nft ja p^n, ;^P«ôrer T,! résmTvwieo de l'armée nwee 'dont la preuve nous est fournie par les'coups qi- elle assène au iront ennemi en Galicie, en d , ' 'i' et a.ii Caueuse : où elle vient de -P leieter las 1 urcs vers Erzeroum ; le bill de '' la coaisenntion en Angleterre oui complétera le idmire formidable de -i rniilione de soldats que la Grande-Bretagne lève, orme et 1 ' iTrS? Tf - t la.,te, d<wiî«ants dont la lu- s i. éclaire tout île tableau d.'avenir de A cotte guenne yaus douta, nous etwimaîtrons n "iteare des heures douloureuses, mn's tes / heures réparatrices viendront que hâteront . te ibloc,1S des hromres Ce^rana et l'é -ui^. ,, mont de leurs réserves d'hommes, attendu _ douj 1 Autriche dans quatre ou cinq mois et dieux mois plus tard pour l'Allemagne. T On aura la hôte : ri en doutez pa.s ! Paul CKOKAEBT. "TosuniquêteTge~ î - — «on—— il 10 j-anvier. — Le -teraps i>articnliftrement f< tavoraible a provoqué de part c't d'autre et t. sur tout le front dies actions très intenses ,j» d'artillerie ot de lanee-boinbes. é No»s avons oonteeSMtu avec succès des battorios advenses et dispersé un convoi au o DERNIERE HEURE CSommissiquÉ officiel fraisais Paris, 20 /animer, 15 hemes'. ENTRE OISE ET AISNE, quelques w tacts (le patrouilles au cours de la nuit, dan/' lu réffim. de Puisaleine. EN CHAMPAGNE, noire arïillerio a dir-, persé un convoi de ravitaillement sur la" rouie de Ville-sur-Tourbe à Vouziers. ' Uu avion ennemi a lancé sur les ja v. . bourgs de LUNEVILLE trois bombes yie n'ont causé aucun dégât. Un aùire appareil, etutemi a dà atterrir prés de FLÎN. lieu-oliieiers qui le montaient ont été faits pri-l sonniers près d'Ogevillcr, au sud-est ' 4g Ltméville. LE ROI GEORGES V REÇOIT LES MINISTRES FRANÇAIS Londlr.es, janvier. — Le Roi George "esi{ venu A Londres pour recevoir les n/imstasi' français. Le souverain est retourné dans la solnéf) à Sandrigham. UN GERMANO-AMERICAIN RENIE L'ALLEMAGNE New-York, 20 janvier. — M. Wjin-er, ger-le-eio-ani.éric-aki. professeur à rUniversitd d'Harward, a déclaré dans une, réunion tenue récemment en faveur des Alliés, «s temple de 'i'rém'ont, à Boston^ qu'il fépw-. diait l'Allemagne, laquelle est un ramassié dé basljanes que la science rend inféras®?. L'assieanblée a adopté des ifeplntions -exprimant ses sympathies pour les Alliés. Il n été reproché au président Wilsori de n'avoir, pag protesté contre l'invasion do la Belgique. Une telle protestation attraiS eaapéché 1e crime dru « Ijusitania s. La santé É M. le hoî-rgmestre M ■M. AdoVihe Max se trouve, ainsi quS. nous l'avons annoncé, transporté an château de Celle (Gelle-Scillloss) — lfet-ce un château ou une forteresse t — dtopuis lo 2G novembre dernier. • Le 26. jainvier proc-ihain, il y aura exactement, seize mois que duie la captivité <3aï: vaillant bourgmestre de Bruxelles. Tandis qu'il arrivait A Celle, las autres Belges <fui s'y trouvaient depuis quotaues mois en avaient été préalablement évacués. Parmi eux i! v avait M. de baiienx, bourgmestre et député de Nivelles, gue l'on dit souffrant. Parai! les otageg rentrés hier d-'Aîlemt gno, il- en était qui avaient -~«sô pai- le Cello-Scbloss : ils disent v■ avoir vu M Max dont le moral était fort bon. Une earte reçue hier par un do nos -amis l'atteste. t La belle humeur n'a pas quitté Vhéroïqu-a bour-meatre qui déelare son. déplacement constitue une amélioration sensible ». Souhaitons néanmoins «ne te '--e -do M. Max prenne fin bientôt. 11 a assez duré J LES FÂÏTSDUTUÏIR Le député travailliste Thomas, leader des ehemimts, a fait une déclaration formelle repoussant les tentatives de grève industrielle vendant les hostilités et déconseillant), les grevés. — « J'exercerai mon inflvtice, dii-il, pour que les industries ne soient pas entravées. tvwwvwwiî Un Livre blanc publié mercredi par le gouvernement- britannique prévoir une augmentation des effectifs de la {lotie de 50.0iX» officiers et marins, pour Vannée finissant le 31 mars, ce qui porte le. total de l'armée navale à 350,000 hommes. JVVCWWWW1 Le traité de commerce conclu entre la. Grande-Bretagne et le Danemark vient de recevoir l'adhésion de la Norvège. Ce traité a pour but d'empêcher h: ravitaillement de VAllemagne au moyen des marchandises importées par le commerce brilanniauc. La Suéde a refusé d'y souscrire. HWWWWVW Un vif incident a eu lieu au Heivhslag,. ImuJi, a la dernière séance. Le président u. refusé la parole ù, M. Licbknécht, a; qui « déchaîné le tumulte sur les bancs de la minorité .socialiste. Le député Ledebour a déclaré qu'il est honteux qu'on muselle un, membre du lleichstag quand U veut parler, de ce qui tient la plus au coeur du peuple. ; t/VVWWWWO Des banquiers russes et américains étudient le'yiace.mcnt auœ Etats-Unis d'un emprunt russe de 500 millions de francs à uîb taux très élevé. ila-wwvwvwt Chez tous les Alliés, ion prépara contre l'Allemagne la lutte économique qui sera la suite logique de cette, guerre. Dans le Jueî-Africain, par exemple, un mouvement très puissant se dessine «ti faveur de l'interdiction de tout commerce avec les sujets enne~ mis. Des meetings s'organgeni et des péti* lions circulent. NOUVELLES~BRÈvii ——IIOu- — Genève. — Le Conseil fédéral vient/ d'accorder l'extradition de Garfunkel. L'a* ventui'ier sera remis le 20 janvier aux au--torités françaises de Saint-Julien. Il jwriiioi immédiatement, pour Paris. — le « Daily Express » annonce qu'Haï fo;iclionn>aire du ministère anglais de l'iîw térieiH' s'occupant de l'internement des su» jets ennemis, ainsi qu'un sujet russe -mi été arrêtés. — Le prince de Galles, h l'expiration «a sou couiciê. est, ret fermé su.e te. front 1 ■-;-nj

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This item is a publication of the title Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique belonging to the category Katholieke pers, published in Bruxelles from 1895 to 1940.

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