Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1914, 01 June. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Seen on 13 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/mp4vh5dj41/
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VlNGTIEME ANNEE — N° 152-153 ANNONCES Akdodccs ordin., petite ligne « MrtaTnrs (3* page), la ligne. ftös divers corps • • » Pants divers fin. • • » Separations judiciaires » Kécxologie» • • •'■'•» » AB0NNEMENT8 poor tout© la Belgique 1.50 4.00 0.00 0.00 £.00 . fr. 9.00 4.Ü0 sls§ 20.0O 30.00 tn. • • • • mois • •••••• Brois mois • ••••• Gr.-Duché de Luxemb. RnioD po«t*le. Les annonces sont regues •u bureau du Journal Directeur : Fernand N EU RAY Edition ¥¥¥> (6h -soir)TfitioiK** (lOh.soir) Edition if(minuit) 5 centimes Ie numero UNDI 1« et MARDI 2 JUIN 1914 are omnia is Ohristo IJUNION DANS UACTION Telephones 354e et 3583 - Redaction et Administration : 4, impasse de la Fidélité, 4, Bruxelles Le concours des chevaux de trait Le concours de la « Société le Cheval de |Trait beige -» — c'est le vingt-neuvième — . ;pr*v«?sentera cette année au Cinquantenair.e ,nne belle s^ectiori de l'élevage beige. 972 chevaux sont inscrits. Quqique le nombre d'inscriptions soit inférieur a celui de l'an dernier, le concours réunira un plus grand nombre d'exposants. Les divers championnats étalons, juments et lots de quatre juments réuniront 31 inscriptions, soit 99 concurrents. Plusieurs pays seront représentés par des missions officielles. Le major russe Kramarew représentera les haras du Tsar. M. Simonin, inspecteur des haras de Compiègne, représentera la France. M. Paravicini, con L E Nanfrage de 1'Empress o Visions de déuil et de désespoir Pour assurer ia sécurité de Fair «»$»©^> Encore un parachute inventé par J'anglais Prensiel qua Ton voit ici a vee son instrument, contenu dans un cylindre et pret è 8 tre tance. issolution ou revision? Que faul-il faire pour être enfin agréable au parti socialisle ?... - Bon. Voila que le parti socialiste luimêmen'est plus d'accord sur Ie sens de l'électiondu 24. Le «Peuple» — nous avons reproduittextuellement son opinion — ne souhaite nine reclame la dissolution. Que le gouvernement engage tout de suite la procédure revisionniste. et le «Peuple», renoncant a compter, a calculer, a couper en quatre et mêmeen mille des dixièmes de suffrage, se déclarera enchanté. Parbleu! Obtenir d'un gouvernement de droite ce qu'on n'obtiendradtpas d'un gouvernement de gauche! Il faudrait être difficile pour faire la petite bouche. Mais le «Peuple» a-t-il bien réfléchique si le gouvernement manque d'autorité,depuis dimanohe, pour gouverner le pays, il^itfest pas tres logique de lui confier une autorité suffisante pour engager, tout de suite, fjai, grave, la tres grave affaire de la revision?...gjF^ bn confrère le «Journal de Charleroi» lui ne a ce propos une lecon de logique. Ainsi nous le disions tout a l'heure, le parti ialiste 'est maintenant divisé sur la conclub a tirer du scrutin. Si le «Peuple »* pousse la" dissolution comme un péniblé ■uchemar — les blessures du 2 juin 1912 ne Rot pas toutes guéries! — le «Journal de @harleroi» l'exige impérieusement. Pour le euple», la revision est actuellement 1'alpha Voméga du parti socialiste. Pour le «Jour1 de Charleroi», au contraire, c'est une pèce de cheval de Troie dont il se méfie tant que de la peste. Dans le «Journal de Charleroi» du 31 mai, directeur de Porgane socialiste résumé, les approuvant, les voeux, les désirs et les jrdres qu'il a recueillis, depuis le 24 mai, jur les levres des militants de son arrondisement. Ces citoyens, on peut le dire, n'y ont pas par quatre chemins. Citons le «Joural de Charleroi» : « lis (les catholiques) n'ont plus aucun droit[ l'autorité, toutes les administrations, tous lesK>uvoirs publics sont, par le fait, déliés deeurs serments a leur égard et out pour devoir le leur désobéir.j&E^JS « Et» admettant qu'ils ne le f assent pas imïédiatement, il n'en est pas moins' vrai que, b-mme le dit « PEtoile beige », c'est une situaion révolutionnaire, que l'on ne peut tolérer, neme en theorie. Qui sait les éventualités auxmelles die nous expose? « Il nous faut la dissolution et tout de suite! — Pourtant, dans la majorité actuelle, il ydes partisans du S. U. qui voteraient avec a gauche et assureraient la réforme electorale. — Nous n'en sommes pas si certains que ca.vee les calotins il faut se défier de tout. Auernier moment, un ordre du pape arrive et lesrétendus démocrates s'inclinent, mangeant leur parole, par intérct « supérieur » pour PEklise. Ou bien, quel S. U. voteraient-ils ? En-r core avec des chinoiseries! Non, non, assez de duperie! Pas de jaunes avec nous, c'est plus sur. « Dissolution! dissolution tout de suite! « VoM ce qu'il est indispensable et urgent de faire connaitre au pays entier, par un manifeste des gauches, ou du P. O. tout seul, si le parti liberal s'y refuse. » En consequence, les militants socialistes du pays de Charleroi ordonnent a leurs deputes et sénateurs, par 1'organ e du «Journal» : 1) de dénier ,par une declaration publique, toute autorité au gouvernement; 2) d'organiser dons la quinzaine une manifestation qui amènera 300 ;000 hommes a Bruxelles; 3) de refuser de siéger et de délibérer avec la droite et le gouvernement. Couplet final : e Telle est la situation que nous avons créée, nous, par notre vote. Si maintenant nos mandataires ne font pas leur devoir en consequence... qu'ils ne comptent plus sur nous a l'avenir. Nous savons ce qui nous reste a faire. » Done, le vote de la revision ne suffirait pas a contenter le «peuple souverain » de 1 arrondissement de Charleroi. Ce qu'il lui faut, c'est la dissolution, et tout de suite. Sinon, il cognera, avec ses mandataires s'ils veulent, et même sans eux s'ils ne veulent pas. Que pense le «Peuple» de ce programme, de cette conclusion,de eet ukase 1 La question,a notre avis, est d'importanee. La Droite et le parti catholique sont unis, quoi qu'en disent nos adversaires. sur le programme a défendre et sur la tactique a suivre. Mais nos adversaires? On croyait le parti socialiste unanime. Le voila en désaccord public. Le «Peuple» maintientil son opinion de la semaine passée ï Est-il toujours d'avis qu'il faut donner le pas a la Revision sur la Dissolution, ou va-t-il obéir a la consigne révolutionnaire des militants socialistes du pays de Charleroi 2 & .■» e) » Poar boire sans lever le coude! Certains Espagnols redoittant te contact (javerre* et des gobelets veulent mettre a '« mode ckez les buïeurs instrument rePKèsenté cidessus. Nous doutans qu'ils y revmsse.nt et nous ne voyon's pas bien nos gourmet a dégustant de cette fa con un Cort0n°b-un Pommard, voire un Saint-Mar- -»{$ki&) * EDI Tl ON * Des faits négSigés avec obstination par les calcolateurs... —»o« L'«Etoile» continue d'exaltei les beautéa de la R. P. mathématique dont elle demande le prompt établissement en Belgique, aux fins de suppriiner la majorité parlementaire du gouvernement. Notre confrère a pour lui, § rétendait-il dimanche, M. Trasenster et feu [enri Poincaré. « A cette critique, dit-il, il convient d'ajoutei celle qu'Henri Poincaré adresse au système d'Hondt : « Le système d'Hondt, écrit-il,assure aux majorités un avantage considerable et « difficilement justiciable. » On l'a tellement bien compris en France que, si jamais la R. P. devait triompher, de l'avis quasi general, ce n'est pas le système d'Hondt qu'on appliquerait. » En effet, ce n'est pas le système d'Hondt que voulaient appliquer en France 'M. Raymond Poincaré d abord ;M. Aristide Briand ensuite. Mais ce n'était pas parce que ce système donnait aux majorités un avantage trop considerable. Bien au contraire. Partisan de la representation des minorités, M. Briand voufait que la réforme electorale accordat une prime aux partis qui obtiendraient la majorité relative des suffrages. La majorité relative! vous entendez, confrère? Convaincu qu'un pays a besoin avant tout d'un gouvernement capable de gouverner, convaincu également que l'écrasement des minorités faussait le mecanisme du suffrage univeisel, M. Briand aurait voulu mêler, doser ces deux principes en établissant la representation des minorités. En Belgique, les calculateurs du • cartel, en annexant a t'opposition tous les suffrages obtenus par toutes les listes dissidentes, même quand ©lies sont le fait de catholiques notoires, trouvent que le parti catholique est en minorité, dans le pays, de six mille et quelques voix. Calculs inexacts, arithmétique vicieuse. Mais quand même ? Le parti catholique a, sur ohacun des deuiv grands partis de gauche organises, une enorme majorité relative. Le parti liberal est divisé, sur la plupavt des grandes questions, en deux troncons en nemis. Quand le parti liberal et le parti socialiste ont voulu s'unir_ pour lutter contre nous; quand ils ont invite le pays a choisir formellement entre un gouvernement de droite et un gouvernement cartelliste, le pays a decide contre eux. En dehors du parti catholique) aucun parti n'est-en étatde gouverner le pays; Et le pays ne veut a aucun prix donner le pouvoir aux deux partis d'opposition coalisés. Si 1 «-Etoile», •hypnötisée par ses additions, soustractions et multiplications, refuse de voir ce. fait évident, nous osons l'avertir qu'elle se préparé les mêmes douleurs et aésillusions qu'en 1912. ->~«+«»~^ BULLETIN Uempereur Guillaume sera dans quelques joursyau chateau de Konopitch, Vhóte de Varchiduc Francois-Ferdinand. C'est la réponse impériale a la visite que Varchiduc-héritier fit, il y a quelques semaineSy a VEmpereur. Mais on souligne a Berlin que Guillaume II sera accompagnê de Vamiral von Tirpitz et Vamiral por te le titre de grand-amiral de la flotte allemande, tres connu par son désir d''assurer sur mer la grandeur de VEmpire. D'oü Von concluty non sans quelque f ondement , qu'il sera question, a Konopitch, de preparer une plus active cooperation des flottes allemande et autrichienne dans la Méditerranée. D'oii Von conclut encore que la convention militaire s*accompag?iera d'une convention navale. Cette question fut déja. s'oulevêe, il y a un an, au cours d'une rencontre de VEmpereur et du Roi d'ltalie. C'est la question de Vextension de la Triple-Alliance a la M edit err anée qui est ainsi préparée. — Les polémiques entre journaux italiens et autrichiens au sujet des affaires albanaises continuent avec quelque aigreur, D'apres des feuilles viennoises, en general bien informées, on aurait la preuve des intrigues menées entre Essad pacha et le capitaine italien Castaldi, place comme conseiller aupres du prince, intrigues ay ant pour objet d' empêcher Vaccord avec les Epirotes. II y a, si V on se souvient du role plus que iendancieux joué par le capitaine Castaldi, lors des travaux de la commission de delimitation de VEpire, quelque vraisemblance dqns cette revelation. Ceci n''est pas de nature a facihter la solution du pr obi erne de Vintervention militaire en Albanië, que le -prince de Wied vient de soulever peutètre avec w- certaine imprudence. —■ Derechef, on se remet a parler a SaintPétersbourg de la tres prochaine ar■rivêe■ au pouvoir du comte Witte. Les bruits, cette fois, prennent assez de consist anc e pour que les grands journaux francais en concoivent quelques alarmes. Car 'le comte Witte passe pour germanophile et c'est précisément en raison de ses dispositions personnelles qu'on le croit poussé par VAllemagne. Ce sera it sous sa presidence que se négocierait le nouveau traite de commerce russo-allemand. Telle serait la combinaison. Et les mêmes journaux francais redoutent que la combinaison ne se traduise par un rapprochement politique de VAllemagne et de la Russie et, par ricochet, par un aifaiblissement de V alliance tranco-russe* Après la revue du 20 mai —»o«— Les incidents qui ont marqué la revue du 20 mai passée a 1'avenue de Tervueren en presence du roi et de la reine de Danemark, continuent a être tres eommentés dans Ia presse. Nous en avions dit fort peu de chose jusqu'ici, par discretion uniq nent, mais plusieurs de nos confrères ayant cru pouvoir parler, nous n'avons plus aucune raison de conserver la même réserve. Les incidents de cette journée ont été multiples. Lorsque les deux souverams sont montés a cheval a Boitsfort pour commencer la revue des troupes, la monture d'un do nos officiers généraux qui accompagnait les souverains s'est emballée et, apres une course ardente. est allee déposer son cavalier... sur un affüt.Le general sovtit mdernne de l'aventure et put se remettre en selie pour assister avec les souverains au defile. 'Ce défilé fut, on le sait, tres bnllant pour l'infanterie. Pour la cavalerie aussi, sauf deux regiments, qui passerent en désordre devant les souverains. Ce désarroi est attribué a ce fait que les ordres n'ont pas été pbnctuellement executes. Une partie de la cavalerie au lieu de contourner le rond-point de l'ayenue de Tervueren par le sud Va contourné par le nord. Ce passage étant encombré par les autos, les regiments ont du prendre le galop pour rejoinare les autres unites et c'est a cette; allure qu'ils ont défilé devant les tribunes. Les ohefs de corps ont commis évidemment une faute en ne rcformant pas leurs troupes avant de les présenter. C'est a la suite de ces divers incidents que la responsabilité de la 6° circonscription militaire a été engagêe. On assure que le Roi, dans une lettre privée adressée au ministre de la guerre, aurait exprimé son mécontentement. Toujours a propos de- cette revue, on raconte eet incident assez plaisant qui s'est produit a Boitsfort. Les deux souverains venaient de monter en selle lorsque le cheval du commandant supérieur des troupes s'emballa, entraïnant son cavalier a toute allure vers le boulevard du Souverain. L'incident avait suscité un assez vif émoi dans le public et dans le cortege officiel. Le roi Albert, se penchant vers le roi Christian, expliqua a son royal cousin ce depart précipité et lui dit : « C'est le general X... qui va donner un dernier ordre. » Quelques instants plus tard, les deux rois avaient sous ie.p yeux le cheval arrêté et le cavalier désargonné. On rapporte que le roi Christian demanda alors au roi des Belges : « Estrce qu'il allait encore porter un ordre! » On sait déja que certaines sanctions sontintervenues. Le commandant des troupes a été invite par le ministre de la guerre a solliciter sa mise a la retraite. On assure qu'ilaura pour successeur a la fcête de la 6° circonscription milihtaire, le general Lantonnois. ^,*»$■■■

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