Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique

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s.n. 1915, 27 May. Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique. Seen on 14 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/jm23b5xd00/
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M riMllliB.iaiBi» Il II II .muLMJJL —MtflMM -11—ÉjUTW UlTUTrirrii I II I !■ II Ml I I i WfTIfflT—iHirrf ""'T"» I lllll—l 'iBnl III ■ lil iwjwwragamg «mn-, l—llll I i IIIIII lMi«wwi»iM»irMB3^TfB'S j^saîîafl iijfïïlHMrii i mil i e&ffiEasBBSMam <& OLaotldisn beioe oaroi^aot asj Havre RÉDACTION & ADMINISTRAT îft« rue de la Boarss — LE HA7RE Téléphone: Le Havre n' 14. Directeur : FSRNAND tlIUE; Toutes les communications conceri la rédaction doivent être adres rue de la Bourse, Le Havre. 8-ONOOW OFFJCE; 21,Panton Street (Broadmead Hou jeuai a i mai ma n ABONNEMENTS Franco 2 fr. 50 par mots. » 7 fr. 60 par trimsstra Hors Franco.. 3 fr. » par mois. » ..9 fr. » par trimestre ~ Angleterre— 2 sh. 6 d. par mois. ® .... 7sh. 6 d. par trimestre Î PUBLICITÉ S'adresser à l'Administration du journal au Havre ou à Londres P Annonces 4* page t 0 fr. 40 la ligne Petltesannonces4* page:0fr.30la ligne Les petites annonces sont également reçues à ta Société Européenne de publicité, 1o, rue de la Victoire, Paris, qui en I HISTOIRES POUR I FRANCFURTOIS »o«——- Les écrivains et les journalistes aJ! marais embrigadés pour calomnier la B* gique envahie et martyrisée piar l'Allem gne ,qui avait mis sa signature au bas c traité garantissant notre indépendanc continuent de se contredire avec la pli magnifique inconscience. Signe évident c leur désarroi. Il n'est pas de jour où l'ir quité allemande ne se mente à elle-mêm Nous avons sous les yeux un article < la « Gazette de Francfort » du 16 mai (: 493). L'auteur, le docteur Ziegelrath, coi mençe une « lettre des Flandres » par £ firmer que le « port de Zeebrugge n'a é construit que pour servir de port do déba quenient aux armées anglaises ». Malhe reuseriient pour eux,ajoute-t-il un peu pli bas, « les chers Anglais se sont levés tr< tard ». Zeebrugge a été occupé par les troup prussiennes après le 12 octobre 1914, c'es à-dire près de' deux mois et demi auprès déclaration de guerre. Si donc les Angla avaient eu des troupes à débarquer, rii ni personne ne pouvait les empêcher de faire. S'ils ne l'ont pas fait, c'est évidea ment que nos Alliés n'étaient rien moi] Ique p,réjparés à une expédition que toute presse allemande nous accuse d'avoir m chinée avec eux dès 1906. Quoi ! Le po a été construit exprès pour eux. Il est s tué à quelques milles de leur ile. Les B< ges les ~ attendent. Tout a été préparé pi les Belges, depuis 1906, pour les y recevoi La résistance de la Belgique leur a doni le temps d'v débarquer leurs troupes. 3 ils n'en ont pas profité !... 1\L le docteur Zelgelrath démontre à i façon sans le savoir et en croyant noi accabler, l'innocence et la bonne foi de Belgique et de la Grande-Bretagne.Ce n'e pas lo premier Allemand à qui cette ave turo anwe. En français, herr Doctor, ce s'appelle brider son cheval par la queue Ajoutons que le port do Zeebrugge, coi menco en 1898, fut achevé et inauguré < 1907, c'est-à-dire au moment le plus aig des difficultés de la Belgique avec l'Angl terre à Dropos du Congo ?... „** M. et en. t-i'-"- liommage à la vaillance de nos soldats de nos officiera. Glorieux combattants i Liège,do Kaelen, d'Anvers, de Schoenaeri et de l'Yser, voilà un Allemand qui ne i sisto pas à saluer votre courage. Il fa absolument que vous alliez lui rendre politesse à-.- Francfort. « Les conditions de la guerre en Flandi écrit-il, rendent impossibles les opératioi rapides. Nos ennemis, animés du coura du désespoir, se sont bornés à une défe ■givo terrible. Les Belges se trouvaient m nifostement sous cette Impression prêch par les Anglo-Français : « C'est une qui tion de vie ou de mort, » Etait-ce vra C'est là une question d'ordre politique qr •est superflu de discuter ici. En tout ci nous savons tous,nous qui avons pris pî aux combats, que LE SOLDAT BELGE COMBATTU AVEC UNE GRANDE BB VOURE ET A FAIT DES PRODIGES supportant des déboires et des privation Le général commandant à Bruxelles s' vu dans la nécessité de démentir les bru mensoneers répandus par les officines £ glaises savoir que les soldats belges fa prisonniers seraient incorporés dians 1' mée allemande pour combattre les Russ Lo général a fait observer que seuls citoyens allemands ont le droit de co battre dans les rangs allemands. Mais , POINT DE VUE MILITAIRE, JE DC DIRE QUE LES SOLDATS BELGES A RAIENT ETE DIGNES DE COMBATT DANS L'ARMEE ALLEMANDE.Les cru. tês par lesquelles les Belges ont terni le armes, surtout au début des hostilités, peuvent être imputées sans plus à tous soldats belges. Elles ne sont même ] l'expression d'un canactère particulii ment malicieux du peuple belge. Je ci plutôt que ces actes repréhensibles ont le résultat d'excitations sans limite i l'Angleterre et la France ont répandu puis des années contre les Allemands.T teiois cet excitations devaient trouver c les Belges colériques au sang chaud tenain do culture particulièrement fa rable, d'autant plus que le jeune cle belge, fortement francisé, oncouragi puissamment la haine de l'Allemand. > Est-il besoin de faire remarquer M. Ziegelrath insulte grossièrement nos dots, dams le moment même qu'il prêt les louer ? « Dignes de combattre dans I m,ée adfamœide » ! c'est-à-dire des mai crelurs d'Andenne et de Dinant, des bares d'Aerschôt, des incendiaires de I vain, nos petits soldats pour qui un enn blesse, au début de la guerre, n'était j !M> BMtfsnt. mais un homme à secourir sauver ! Les soldats belges ant-'is jar imité, pour tromper leurs adversaires, sonneries allemandes, endossé des fonnes allemands, levé les mains, en si die capitulation, devant des mitraille1 prêtes à foudroyer les Belges abusés Miette ignoble ruse ? 11 résulte d'es témoignages précis et ! cordants recueillis par la Commission c quête ; il résulte des accusat ans formn ■diu cardinal Mercier et de Mgr Heylen les soldats allemands ont assassiné en gique, sans nécessité militaire, sans pr cation d'aucune sorte, des-citoyens : défense et des prêtres innocents. N ■porte : pour le docteur Ziegelrath, ce les soldats belges qui se sont moi cruels !... Une fois do plus, nous saisis sur le vif cette énorm'lté germanique, manie du kolossal, ce manque de me enfin qui, dans la oalkwniine comme en I chose, imprime un caractère bouffon à les produits il'Outre-Rhin et stériiist efforts les plus laborieux et le» mieux < dionnés. Après les aveux contenus dans le c ment officiel publié par le XXe Siècle, ( gouvernarm.'nt allemand, forcé par dfenoe, a enfin confessé, au début de que le clergé belge,loin dfexciter ses ou; à fa'iie aux troupes allemande:; une gt do franœ-titoirs, n'&v>ait rien. négligé contraire pour calmer les populations, ment lo docteur de la Gazette de Fran a-t-il te front de rééditer une oatomniie mientie par son gouvernement luii-mêm< Les prêtres belges ont prêché la haine l'Allemand 7 ou v Quand ? Citez donc seul nom, un seul fait. Mais nous sommes bien bons do discu avec un homme qui témoigne à chai instant dens ses articles à la « Gazette Francrort », d'autant de légèreté dans 6' jugement que de médiocrité dans l'es] !" critique. M. Ziegelrath raconte aux Fra - fûrtois, figurez-vous, pour les persua u que Bruxelles est une ville essentiellem e. flamande, que « le journal de beaucouj 's plus répandu dans notre capitale en ter t.6 de paix, c'était le « Vooruit », journal tnand ». Avant la guerre, les marcha: de j&urnaux no criaient, dans los rues Ie Druxetles, que ce nom-là... 30 Voilà les Francfûrtois bien inforn a- Est-ce oue M. Neter.qui représentait à E t- xelles, avant que l'Allemagne eut décl W notre « chiffon de piapier » la «-Gazette r- Franc'ort ». aurait perdu sa place? i" "'est pas un aigle, assurément. Tout 15 môme, jamais il ne sa „erait montré c >P don à ce point-là... J?. t S LES FAITS DU J0U î-c " Une îiofc ollicielle publiée mercred . Londres indique la composition du nouv ^ cabinet ministériel : rt Premier ministre, M. Asquith ; mini, sans porteleuille, lord Lansdowne ; I chancelier, sir Stanley Buckmasler ; l u. président du conseil privé, lord Crewe ; I r diu xteau privé, lord Curzon ; clianceliei îé l'Echiquier, M. Mac Kenna ; ministre T. l'Intérieur, sir John Simon ; ministre AUaires étrangères, sir Edward Grey ; nistre des Colonies. M. Bonar Law : se, taire des Indes, M. Chamberlain ; mini. la de -Jnerre' lord Kitchener ; ministre ^ munitions, M. Lloyd George ; premier I de l'Amirauté, M. Ballowr ; ministre "" l'Irlande. M. Birrell ; ministre de l'Eco. M. Mac Kinnon; ministre de l'Aariculti ■■ lord Selborne ; ministre de l'inslruci master Henderson ; attorney général. •n Edward Carson. ;u Mwwn», M. Bnian. secrétaire d'Etat des Alla, étrangères aux Etats-Unis, a reçu une 1 lue communication de M. Gérard, ami sqdeuir .des.Etals-Unis à Bertin^jinrwngi et nouveau délai pour la rmiaav te".7te' le à la dernière note américaine. le D'autre part, le Times annonce que é- gros exportateurs américains de viandes ut qoriliées /ont des démarches pressantes sa »rès du ,vrésident WUson au sujet de saisie, par le gouvernement britannique., cargaisons qui représentent une valeur e, 5 millions de livres sterlina. 1S AWWVVVl Se n- Le Sviet de Petrograd annonce que a- manifestations extraordinaires ont eu êe à Biulapest en laveur du séparatisme I s- qrois. A la Chambre, le comte Jules i ? drassu a déclaré .au milieu d'acclamât .'il et de huées, que « la couronne de S is, Etienne devient décidément trop loi ,i-t pour la tète des Habsbourg ». En ville A sont produites des manifestations bruya a- en laveur de l'indépendance hongroise. en vwvvvw» J3: De Roumanie, on signale un ensembl rf mesures militaires qui prouve que les 1 qoeiations actuelles avec la Russie ne c J}' tituent pas un prétexte pour retarder décisions extrêmes. D'après la convit lr" générale, le gouvernement Bratiano esl ^s* cidé à donner satisfaction aux aspirât les du pays dès Que les garanties qu'il m" indispensables lui auront été données De Grèce, on signale des mesures '1S loques et la Fram'kfurteir Zeituogi recon U" dans une correspondance, de Salom qu'il n'est pas sûr que « l'attitude de ce t î-u" ne doive pas subir prochainement des c irs gements ». ne iwwïiw )as On annonce officiellement de Pék, ,re_ signature du traité sino-japonais. Qjg 'WWWW* été Encore une nouvelle imprévue du P lue gai. M. Joâo Chagas, président du cor de- qui fut blessé d'un coup de revolver, 1 ou- d écrire au président de. la République liez espère être rétabli dans un mois, mais un le prie d'accepter sa démission... vo- m St Nos ministres au Quartû général end «on—- 'ar- ssa- M. Jules Renkin, ministre des cok 3ar- est parti mardi pour le grand quartie .ou- néral, où il est allé conférer avec le i emi ., jltUS l^îos deuils les »o« uni- LA MORT DU LIEUTENANT HENI Ses Nous apprenons la mort, au champ c pju neur, près d'Ypres, de M. Arthur Mer frère de notre excellent collaborateur et ,on- M. Ernest Henrion, président de l'As, "•en- tion anversoise de la presse. ■îles M- Arthur Henrion, ancien officier di que mee, avait accompli deux termes au C Bel- il 6'ait unanimement estimé par tous oyo- Qui s'intéressent aux destinées de not; =ams lonie. Dès son retour en Belgique, il 'im- fondé la firme Cassart et Henrion, i sont vers, et s'occupait d'exportation po [très Congo. Au premier appel, il s'en fut re sons dre du service parmi ses anciens 1 ^tte d'armes et il vient de tomber en brave sure 'a défense do la patrie, à cette batai outn Driegrachten, où, une fois encore, !'< tous belge opposa une digue infranchissat ! les flot des troupes allemandes et les em ;oor- de franchir l'Yser. Vice-président de la Mutuelle Cong ocu- et de la section des conférences du Clul iù le nain d'Anvers, M. A. Henrion avait 'évi- d'inappréciables services à ses compal 1915 et s'était créé partout des amitiés sii ilies et inaltérables. Tous ceux qui l'ont erre le regretteront avec nous. au Nous présentons à notre ami Henr ;om- à sa famille l'expression de nos trè :forl cères condoléances. l 11 iisoe l Isli-iiiii I i li (la- ' "°" ®es dépêches récentes ont annoncé que seconde Chambre des Pays-Bas avait v< un crédit de 25.000 francs pour rétablir u "f9- légation hollandaise près le Vatican. »u- 11 n'est pas douteux que cet évènenw heureux pour le Vatican et pour les Pai Bas n'ait été le résultat des démarches f tes à Rome par un député catholique de mi °e que, Mgr Nolens, qui s'y était rendu en m sion officieuse. A propos de cette mission des bruits ( rieux ont couru, que nous n'avons pas r£ portés parce qu'ils étaient jusqu'ici trop p Rpréci6. On laissait entendre dans des ci respondances adressées de Rome à dive journaux de pays neutres, qu'outre sa m sion officieuse du gouvernement néerla dais, Mgr Nolens en avait une autre, d'i ; à caractère semi-officieux, mais d'une port eau beaucoup plus large que la première. Il a ralt été chargé, insinuait-on, par un grou ■tTe de catholiques hollandais, en rapports suii oni avec les catholiques allemands, de prépai 0Td les voies à une intervention directe du Pa orrt en faveur d'une prompte paix, en vue de sauver l'Allemagne de la catastrophe. ,1g Ces bruits trouvaient une certaine vr: des semblance dans le fait qu'il existe réel mi- ment en Hollande un groupe de catholiqu -ré- sur lesquels le cardinal archevêque de Co lire gne pass® Pour exercer indirectement des 1 influence et dont les vues sont servies p ord deux journaux au moins : « De Tijd », d'u de germanophilie relativement circonspec ;se, " Dc Maasbode », d'une germanophilie acc ire, sée, qui tous deux n'ont cessé de souten nn sous une forme ou sous une autre, l'idée sir provoquer maintenant, à l'intervention i Pape, la conclusion d'une paix qui sers nécessairement au bénéfice de l'AHemagr Ces jours-ci, les rumeurs se sont précisé rcs et elles viennent de prendre corps dans u on- dépêche de Rome au « Corriere délia Sera as- (19 mail, que nous reproduisons à titre d mt, ,mity] irt> «éWirè%jiY^: MMMlô ro reprise des relations diplomatiques entre les Hollande et le Saint-Siège, le corresponda /ri- romain du journal milanais écrit : au- la « Quelques-uns sont d'avis que cette m de sj0n concerne d'autres intérêts politico-dip de matiques et mieux encore, que la diploma allemande n'y a pas été étrangère. En fa en Hollande, non dans le peuple, mais da les hautes sphères politiques et de la Coi des il existe un parti germanophile assez fo lieu convaincu que les Alliés ne réussiront ion- mais à déloger les Allemands de la Belgiqi An- que la guerre finira par épuisement et q ons les belligérants devront recourir aux pu "int sances neutres pour conclure la paix. Da vrde cette prévision ce parti s'emploierait pc , se que future Conférence pour la paix se t »tes à La Haye et pour rendre possible au V< can d'y avoir une représentation, il voudx que l'ancienne inteinonciature en Hollar j fût transformée en nonesture et que le ' ~f tur nonce apostolique fût précisément délégué du Saint-Siège au grand Congrès ci Or, la diplomatie allemande travaille! .r"* j, appuyer ce plan, espérant de réussir a : j? re nommer comme nonce à La Haye, le n ce actuel à Bruxelles, Mgr Tacci-Porcf bien connu pour ses tendances germanoi les, chose qui aurait été aussi l'un des b spéciaux de la mission secrète du fam< Tn?,' député catholique allemand Erzberger. „,;i' » Si ce plan réussissait,l'Allemagne iaui rait dès lors une influence assurée dans hJi. prochaine Conférence pour la paix. » Tel est, à ce qu'on assure, le plan a mand, mais, en fait, il n'est pas certain q soit couronné de succès, avant tout pa n qu'il n'est pas encore dit que le Vatican p se avoir un délégué à la Conférence, puis les Alliés probablement, régleront leur £ jrlu, tude sur l'attitude qu'il aura tenue duran iseil guerre ; en second lieu, admettant qu lient futur nonce à La Haye représente le Pap nu'il la Conférence, personne ne peut dire qut qu'il nonce doive être Mgr Tacci-PorceUi P cette raison, nous croyons que toute c intrigue a peu de probabilité de réussite. Le lecteur saura bien corriger do lui-'I me certains passages inexacts ou exces de cette dépêche où se révèlent les teni ces politiques du journal à qui elle est ad sée Les journaux non catholiques ne \ lent naturellement rien faire, bien au ( tra're, pour que la plus grande puissa nies spirituelle du monde soit représentée au c r gé- grès où sera remaniée la carte de l'Ei ■oi° pe Mais l'intrigue allemande que le cor pondant dénonce — si extraordinaire qu apparaisse, — a, sans doute, un certain dement dans la réalité. Avec l'astuce < mande, doublée de la naïveté de cert Hollandais, il faut s'attendre à tout, m tlON aux combinaisons qu'il serait propren absurde d'imaginer. . lion- n n'v a r'en d'impossible en soi à ce u-ion, la chancellerie allemande ne se soit n an?'' trée dispesée à appuyer la réintégra i0cm" diu Saint-Siège au futur Congrès di Paix q-u'exprès pour avoir l'occasion : ar~ faire nommer quelque membre de la ongo; plomatie pontificale qui passait pour ce"x voué à la cause de l'Allemagne. L'Aile f ,, gne n'en est pas à une irrévérence prèf ,vers le Saint-Siège : témoin l'affront qu " vient enc re de lui infliger dans l'aff r,rnri de rechange des prisonniers. K"'" D'autre part, il est aujourd'hui devenu noiir douteux que cette même Chancelier! le Ha l'Empire luthérien a rêvé d'attacher au ,rm<ip de ses desseins le catholicisme roman le au exploitant à Rome soit la promesse d oêcha réadmission solennelle par la grâce de i laume II victorieux, du Saint-Siège au olaise grès de la paix,soit même l'idée de la r j afri- tution du pouvoir temporel aux dépen rendu l'Italie. C'est un fait aujourd'hui que le: riotes tholiques allemands, lo Herr lïrzberge îcères tète, se sont imaginé naïvement qu'ils oonnu vi'Pi11 raient,en découvrant ces perspect à attirer le Vatican dans les rûts de la c ion et matie allemande. i sin- Faut-il tout de mfme qu'ils se senicnl maintenant, ou qu'ils croient aveugle 1 plomatie vaticane pour pouvoir se bercer ( telles chimères !... Il n'y aura donc encore que l'évènemei pour leur apprendre que Borne, tant de fo trompée par eux, fait maintenant meilleui garde. Fernand PASSELECQ. P. S. — Le « Maasbode » du 19 mai noi apporte un texte confirmant ce qu'on vie] de lire quant au but de la mission Nolen Dans l'exposé des motifs du projet de I « tendant à la nomination d'un ministre ho | landais auprès du Vatican il est dit : K « Le rôle qui a été dévolu à la Holland "" spécialement pendant ces vingt dernièri années, comporte que rien de ce qui e projeté dans le domaine de la bonne ei teinte internationale ne peut laisser le goi la vernement indifférent; il est par cous lté quent dès à présent intéressant pour Ii ne d'être en contact suivi avec un centre d'e une influence importante peut se faire vi nt loir û la fin du conflit, n o- L. esi men cela... îi- ir- * —— l Somment (Italie refus; ï de couscHiirà CaiinexioE ls- i fie le Seipp pué •—— I- « Idea nazionale » du 22 mai a donr quelques détails sur la partie des négoci; fions qui n'ont pas trouvé place dans Livre vert, à savoir les négociations av< . l'Allemagne, d'une part, avec la 'l'riple-Ei ^ tente, d'autre part : es . <( l^e la Belgique, écrit-elle, la diplomat 0. italienne et la diplomatie austro-allemanc auraient traité seulement incidemment i ar en un seul moment : c'est-à-dire quand le sembla que 1 Allemagne, outre qu'elle pr ,e, posait sa médiation entre l'Italie et l'Auti u. che, voulait entamer des négociations poi ^ un accord à trois. Alors, en même tem; je qu'aux problèmes adriatiques d'intérêt pa lu ticulier entre Rome et Vienne, on toucha a lit problème de la Belgique. Ce fut tout jusl e. en ce moment, et pour une seule fois, qu es Berlin émit l'hypothèse que l'Italie pouva 30 s'engager, en échange dos autres engagi „ nionts de l'Allemagne, à rati,;er l'annexio o_ de la Belgique par l'Allemagne. Mais sur c rf'.Vis' d'autres occasions ensuite, il trouv moyen de faire entendre au gouvernemei allemand que lTtalio n'aurait jamais pi consentir au sacrifice d'un pays libre et il dépendant, dont la sécurité et l'indépei ■„ dancc étaient caranties par un traité inte „ national que l'Eurooe entière, à 1 exceptic O- , Tïrt inrmnîf nfld Pn fait, n ut; i j-0 rimé. » l Bruxelles sons la lotte i psiii ur H0« It". Madame CARTON DE WIART, ait CONf^MN'lE A 3 MOIS 1/2 DE PRISOI da EST ENVOYÉE EN ALLEMAGNE fu" Les Prussiens, furieux de ne* pouvoir a »e servir les Bruxellois, ont décidé de leur i fliger toutes les misères imaginables. ait IMme Carton de Wiart, femme du miiust ai" de la Justice, en qualité de membre de Commission royale de patronage, s'occupi "ii avec activité des. œuvres de la protection 'hi-! l'enfance ; elle soutenait les œuvres des se al® ' pes populaires et du vêtement. :UX Le 28 avril Mme Carton de Wiart et! arrêtée et mise au secret. Une descente éti iu- opérée dans les appartements qu'elle oce la pait avec ses enfants dans l'hôtel du mm tro de la Justice, rue de la Loi, et on y < He- couvrait, paraît-il, des lettres de son mari. u'il Un ministre belge eût-il une femme et s rce enfants à Bruxelles n'a pas le doit de s m lis- rosser à leur sort, de leur envoyer de £ lll.e nouvelles !... tti- Un télégramme de La Haye nous appre t la que Mme Carton de Wiart vient d'être et 'un damnée à 3 mois 1/2 de prison et d'être e e & menée dans une forteresse allemande ! ce près de Berlin, assure-t-on. our Les Allemands, décidément, n en se ;tte plus à une infâmie près ! 1 La prre aiti-rfiliwe eb Mm an- —«cires- Une feuille prussienne, la u Magdeburj eu- Zeitun" », du 13 mai dernier, rapporte e on- les Allemands ont organisé, en Belgiq nice une vaste propagande en faveur du prot on- tantisme. iro- On saura bientôt que le massacre des p res- très, le sac des églises, l'incendie de l'U elle versité de Louvain étaient toutes cho r-..- r.» ,.nnlnnti ni rl Ai nv m i n A AS îlle- » S &s^s!kiaîii$d!apa; que »°" ion- ENCORE UN PETIT FAIT tion SYMPTOMATIQUE * ',a C'est le u Journal des Débats » qui n le signale dans son numéro du 26 mai : di" n On vend à Bruxelles des cartes post.; dé- représentant le cardinal-archevêque de ! ma" lines prononçant un discours en l'ég on- Saints-Michel-et-Gudule. A droite de la ci elle Se trouve un portrait de Mgr Mercier d aire un médaillon, avec cette phrase en flam et en français : n Le Pape a ordonné non prières pour la paix dans los églises ca! 1 de liques du monde, pendant, tout le mois ;har mai. Mgr Mercier dicte à ses fidèles i en volontés du Saint-Père. » 'une » La vente de celte carte est autorisée 3uil- est bien certain que le cardinal n'invoqi Con- pas une paix ejui ne réaliserait pas la esti- lire. Mais n'est-il pas caractéristique que i de Allemands favorisent en Belgique con ! ca- ailleurs toute propagande pacifiste qu r en qu'elle soit 1 » ______ pfll*" —————— ives — A Bàle, on assure que le krowp iplo- serait do nouveau en disgrâce pour rais milHa'res. ]jag i,es tableaux (Je Schœngaucr ont a cli- transférés du musée de Cdmar à Berlir [ DSSINIÈRS HEUR! >i ' — «o« — '* Cammuaisuè affieist ffanfiais 5t Paris, 26 mai 14 h. 45. J" Les échecs subis hier par l'ennemi DA! s LA REGION D'ANGRES ET AU NORD L MASSIF DE L0RETTE ont déterminé de , part une réaction extrêmement violente. ( s'est battu furieusement dans la soirée pendant la nuit. /Vous avons conservé to nos gains. Nos troupes ont fait preuve d' 1 cburage et d'une ténacité magnifiques. L - Allemands ont d'abord contre-attaqué l'e vrage conquis par nous au nonl-ouest d'/l igres et ont multiplié pour le reprendre d efforts acharnés. Malgré le bombardeme excentionnéiïêmgnt intense auquel no avons été soumis, nous avons gardé la toi , lité de nos nouvelles positions. Nous avor d'autre part, en fin de journée, occupé pn que entièrement le fond Buval où nous avo pris pied dans l'après-midi. Nous nous maintenons sous un feu violent. En mêr temps, nous avons gagné du terrain sur l crêtes nord-est de Lorette et enlevé une Ira chée aux abords de Souciiez. Une lutte d'artillerie assez vive s'est e lé qagée DANS LA REGION DE SOISSOT i- ET DANS CELLE DE REIMS '■e Sun LE RESTE DU FRONT, rien n'a i ic signalé. i- Au cours de la journée diu 25, nos avio-ont, sur tout le front, montré une très qran ;e activité et réussi phti'eurs entreprises c bombardement. Ils or>' Indicé 203 projectilf ;t dont 82 grosses bombes d'i poids ie 10 kilc ;] et 14 obus de 155, du poids de 43 kilos. L'i ). ficacité des exposions a pu être constat i. en plusieurs points, notamtnent : 1° au pa r d'aviation allemand d'Hervilly (au sud-e ,3 de Roisel), où un hangar et un avion o pris feu ; 2° à la réserve d'aviation ail u mande de Grand.-Priel (au nord-ouest , e Saint-Quentin\, oii un hangar a été écrasi e 3° à la gare de Saint-Quentin, dont le dép it d'essence a été atteint. Au cours de la m .. précédente, quatre obus avaient été lanc. n sur la gare de Douai. Un incendie g a é e constaté „ljns le voisinage du laqàre d a Nouveaux succès italiens Rome, 26 mai (officiel). — Nos troup " prennent partout l'offensive. Nous avons occupé plusieurs points i * nord de Farrara et de Montebaldo, sur ® versant nord de Lassini. ?" Nous avon- occupé tous les défilés de frontière de Cadore. Nous nous sommes emparés, à la baïo dn ri""V> du Val d'Inferno, à l'exti mité de Valdagne. Nous cont'-iuons nos onérations offensiv à la frontière du Frioul, sur le cours moy et inférieur de l'Isonzo. Partout l'ennemi se retire, détruisant 1 ponts et les chemins de communication. Nos avions oni bnmbnrdé l'usine élect que et la gare de Montefalcone. Londres. 26 mai. —- Le d Times » annon 1 que les Italiens auraient repoussé les Aut fhinnr. poct He Tirano et auraient fait n s- sonniers plusieurs centaines de chasseu n- alpins autrichiens. Rome. 26 mai. — Le bâtiment autriehi re nui a bombardé BarWta aurait été gra' ta ment endommagé par la flotte italienne, ''t »on u " gare de gand st-pierre M Londres 26 mai.— La. gare de Gand-Sai Pierre a été en partie détruite par des avie ia_ alliés lé_ non la santé du roi de grèce iix té- Athènes 26 mai. — Bulletin de santé es Roi : Température : 37*6. L'état local de la pî nd s'améliore. >n- L'état général est stationnaire. m- non -- sous une mauvaise etoile... ,nl Amsterdam, 26 mai. — On mande de E lin que la dernière fille du kronprinz a baptisée à Berlin. Le kaiser et l'fmpèrati i ont assisté à la cérémonie. i m lire en 2« pagi ;er ue i_fi vaillance belge sur l'yperl je, es- s Le nouveau lisière islai: ses ooo la représentation des différer PARTIS DANS LE GOUVERNEMI; NATIONAL. 'A Nous avons indiqué, dans nos u Faits jour », la composition du nouveau cab formé par M. Asquith. Un seul minisl. r n'a pas reçu de titula le ministère des postes. ^us Le nouveau caoïnet anglais compr onze libéraux, huit unionistes : lord Cur: jes M. Bonar Law, chef do l'opposition il ,<la- Chambre des communes ; M. Austen Ch [jse berlain, M. Balfour, M. Walter Long, irte Selborne, sir E. Carson et lord Lansdov in3 et un socialiste, M. A. Henderson. Lord Uid chcner, ministre de la guerre, n'appart des à aucun parti. ho- Un nouveau ministère a été formé : c de des munitions, dont le portefeuille a ét< les tribué à M Lloyd George, ancien chanci de l'Echiquier. Il Lord Crewe remplace lord Beauch; cra comme président du conseil privé. Il est jus- même remplacé au sceau privé par les Curzon. . une M Mackenna passe de 1 intérieur elle finances. C'est l'ancien attorney général .ïnlm Simon, qui prend le portefeuille de — térieur. , -jnz L'ancien ministre de la manne, M. \\ ons ton Churchill, devient chancelier du d' de Lancastre. Son remplacement au m été 1ère de la mwiiié par M. Balfour né lf , * aucun doute sur la retraite de lord Fis IL t.c jjv m i iii i o. AU FRIOUL, " EN GALICIE, ! FM rurDCfiMccp JUJL1 vill-jl VUWXlLjUij )x)« La situation Mercredi msidiL Voilà 'donc (Les troupes italiennes en marche, sui* un iront de plus de sodxiainte S kilomètres, par <lelà la frontière, des A.pes U Jul'.ennes à l'AdriaUq/ue. C'est la ix)ute clas-a sique de l'invasion. Le commuaiiiqué iialiien n no>u6 dit que les soldats du généralissime zl Cardma tiennent déjà Tuin des principaux P°^scLe passage de l'Isonzo, à Ca^retto, n a 5 kiLoimèLres de lia frontière et à 50 kilo-,s «îètjes au nord/ du golfe de Trieste. Plus i- aLL ^ troupes italLennes occupent les i- Cormons et de Cervignano qui sont '.s r îinuportanis nœuds de routes et de voies lt ferrées vers Goriitz et Trieste. Ooiritz n'est ,s qu'à dix kilomètres de Cormons et parait t donc en péril. Or, Goritz pris, cHt, vers 1 Est, la rojinte de Laibach qui s'ouvre et, vers le sud, la route de Trieste. " Cependant,nous ne pourrions sans témô-rxté conc'Iiuire des brèves informations reçues | qu'il s'agitt b.en d'une marche d'armées et ; non d'une reconnaissance offensive destinée x_ à renseigner l'état-major sur les forces et les points de rassemblement de l'ennemi dlans le Frioul et la Carmiole. Quels qu'aient s été les soins apportés jusqu'ici par l'état-rnaijor italien à lia préiparation et à la con-,. centration de ses troupes, quelile qu'ait été la promjpt tude de la mobilisation, il semble difficile d'admettre que les corps d'armée ; italiens soient dès maintenant à pied d'ee-u-p I vre avec leur compLet d'hommes, de che-' | vaux, die munitions et de charroi. Or, une i armée n'entre en campagne que l'armure boudée de pied en carp : on sait trop co Y qu'il en coûta à l'armée française, en 1870, ■ d'avoir néglligé cette règle impérieuse d* doctrine. 11 j N°us ne pouvons pas davantage conclura des opéîrat.ons engagées que le plan italien ' se dévoile. Ce serait juger précipitamment . des choses que de dire que l'armée italienne ' se bornera, juu nord, à barrer le haut Adige^ . par où les Austro-Bavarois vont peut-ôtra 1 tenter de déboucher grâce au saillant du r Trentin et aue le grand effort va être porté vers le Frioul et l'Istrie, que l'on marchera S t ,, v. , ! se passeront sans doute encore avant que i ptMïfie se diégagw des faits l'intention de s l'état-major italien. Celui-ci, pour chercher l'inapirationi n'a u dû.d'ailleure, qu'ouvrir un traité d'histoire, [e car toute lia stratégie des plus grands capitaines s'est donné carrière dans les plaines a du Lombard-Vénitien. Dans les Alpes CarnïnnMa, le canon, t- dlit-on, a aussi tonné, mais on peut croira 5- que, de ce côté, les opérations se borneront à une guerre die montagnes entre alpins et >s troupes lô.'ièrres de part et d'autre, n Tirant oarti el'e la situation défavorable de la côte italienne de l'Adiriatkjue, — côte !s basse et sablonneuse, saas défense et sans port de refuge de Venise à Brindisi, — des i- torpilleurs autrichiens et des croiseurs lé-giers s'en sont venius bombarder Anicône et la d'aïu'trës villies côtières. Sans compter que •il lies dégAts ainsi causés sont de médiocre ■i- importance, les bâtiments autrichiens, pris rs en chasse par des unités êtes flottes itar tienne et alliée, ont dû fuir à toute vapeur. De plus un contre-torpilleur italien est eti-p. tré à Port-Buso, dans le golfe de Trieste, qu'il a oanonné, où il a coulé des bateaux auitomiobilœ et où il a fait des prisonniers. A *** j Ein Galicie, l'offensive aiustro-ailtemand'o parait de plus en, plus maîtrisée.Les Russes, bien' inspirés, semblent avoir diélaissé mois memtanémeivt le théâtre de la Bukovine i pour restreindre leur front et opiposer i l'effort ralenti et essoufflé de l'armée do von Mockonsen une muraïUe de divisions do fer qïui barrent la rouite de Lemberg et lu interdisent l'inivestissement de Przcmysl. Bien mieux,en Pologne, les Russes passent ie de la défensive à l'offensive et cela leur réussit si bien que l'ennemi y doit envoya en toute hâte des renforts prélevés sur d'autres parties du front. >r Dans la presqu'île de Gailipoli, la ba* fiA taiffie est rude et c'est la terrible guerre do CP tranchées qui s'y déroule avec touite la lenteur et les cruels sacrifices qu'elle impose. Ma''s ce qui hâtera., à n'en pas doutier, l'heureux dénouement, c'est le fait que les Alliés y tiennent trois ou quatre points de la rive méridionale et ocoidenitale, à Sedul-«•r Bahr, à Kaba-Tepe, à Kithria, à Boulaïr, ' et que la flotte, emiboseée dans ie dlétroit, bat de ses feux la rive orientale. On peut "— donc dire que toute la presqiu'lle est ainsi investie, comme peut l'être une place de i guerre. Mais un tel siège G&t de e-eux ou l'armée t urque peut déployer toutes les qualités qui la distinguèrent à Plewna. tpc Dn»il RrnknArt. VT J - — : L'Italie ei guerre !nd ' I- LA FR6HTIERE FilïllOIIIE S PAR DES T81UPES ITALIENNES ent j)0« 'lui LE CANON TONNE ifer DANS LE FRIOUL ET LA CARNIOLE mn Le quartier général communique le bulle. 3 tin de guerre suivant, résumant les opéra-ord lions de la journée du 24 en Carmole et dans le Frioul : sur la frontière de Carmole, 1 artillerie au-M trichienne, le 23 à 19 heures, a ouvert le feu ['in- contre nos position;; sans résultat. Dans la journée du 24, notre artillerie a ins- fait feu contre les positions occupées par ché l'artillerie ennemie. nis- Sur la frontière du Frioul. nos troupes se isse sont avancées partout en territoire ennemi tier. et n'ont rencontré qu'une faible résistance- 21" ANNÉE !. — Série nouvelle. N° 1e Le numéro D : 10 Centime: s (5 CSKTIMIS AU F10NT)1 jf •W M m A M n r B 4/XJ mm

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This item is a publication of the title Le XXe siècle: journal d'union et d'action catholique belonging to the category Katholieke pers, published in Bruxelles from 1895 to 1940.

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