L'indépendance belge

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s.n. 1917, 29 August. L'indépendance belge. Seen on 27 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/jh3cz3356t/
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L'INDÉPENDANCE ROYAUME-UNI : ONE PENNY BELGE CONTINENT: 15 CENTIMES (HOLLANDE : 5 CENTS) administration et eedaçtion: R pl^I^l^bourse. MERCREDI 29 AOUT 1917. ( 3 mois, 9 shillings. ) I 5. dane STK., high eolborn, W.C. . 1311-57 et cn à I nnilmc h 1 h le r»« abonnements.J tj mois. 17 shillings. [-conservation par le progrès. TELEPHONE : HOLBORN 1773-4 teleph. : \ 2 38.7 5. e" vente à Londres à 3 h. le mardi 28 août. 1 1 an. 32 shillings. J LA SITUATION Comme il fallait s y attendre, les Ita I liens sur le Plateau de Bainsizza et le: | Français spr les Hauts de Meuse (Ver [ dun) rencontrent une résistance plus viv< | après .leurs succès des derniers hui [ jours. Nos alliés méridionaux, maîtres de h [ plus grande partie du Plateau de Bai 1 ! sizza (qui borde le Monte Santo au nord I ont traversé en plusieurs endroits 1< [ Chiapovano (qui le borde au sud) et don la vallée sépare le Monte Santo dei monts GabrieJe et Daniele. Dans son dernier communiqué, le gé néral Cadorna annonce que la lutte es des plus sévères et que l'ennemi, faisan usage de forces considérables, s'efîorci d'empêcher les Italiens de conquérir li partie orientale du Plateau. Le généra lissime ajoute que ses troupes font fac( résolument à l'ennemi renforcé e1 qu'elles ont vaincu sa résistance sur plusieurs points. Au cours 'des dernières vingt-quatre heures, nos amis ont fait 500 prisonniers et une nouvelle avance de leur part oblit gérait les Autrichiens à évacuer les positions des Monts Gabriel© et Daniele, qui sont menacées d'être débordées par le nord. Un communiqué semi-officiel de Rome nous fournit quelques éclaircissements sur le thème des opérations qui visait, comme nous l'indiquions hier à cette place, s, dégager ou plutôt à protéger Uorizia par l'occupation des crêtes et du plateau au nord et au nord-est de la ville. Les crêtes, dont la plus importante (Monte Santo) est aux mains des I Alliés, constituaient des positions d'artillerie idéales et le Plateau de Bainsizza était un véritable camp retranché, défendu par plusieurs lignes fortifiées, et ohaque dépression de terrain abritait des batteries ennemies. Avant surmonté tous ces obstacles, les Italiens, pour la première fois au cours de la guerre, eurent l'occasion de combattre en rase campagne et la guerre de tranchées, dans ce secteur, n'existe plus. Reste à savoir si les forces dont dis-, pose le général Cadorna lui permettent de compléter son succès et de conquérir la dernière partie du Plateau, avant que l'ennemi ait pu se ressaisir. C'est ce que les prochains communiqués nous diront. A Verdun les Allemands font des efforts désespérés pour arrêter l'offensive de nos alliés, et c'est plus particulièrement sur la rive droite de la Meuse qu'ils réagissent énergiquement. Dans la journée d'hier l'ennemi a contre-attaque avec vigueur, mais sans succès, dans la région de Beaumont. Les Français ont brillamment résisté à l'attaque et ont maintenu tous leurs gains, tout en consolidant le terrain conquis, malgré le bombardement violent auquel l'ennemi a soumis les positions de nos alliés. Le décompte des prisonniers faits dans 1« courant de la journée de dimanche a donné le chiffre respectable de 1,100, y f Am nvio QO y-i-ffî n 1AVP /U 3/"\« 'A llnmn n rl.i pourront difficilement soutenir que le - opérations devant Verdun se déroulen 3 suivant leur plan. Les journaux d'Outre-Rhin font leu 3 possible pour tranquilliser le public, qu t commence à douter de l'invulnérabilit du "mur d'airain" élevé sur le fron \ occidental, et le maréchal Hindenburg répondant à une dame de ses connais ) sances qui lui faisait part de ses crainte 3 de voir l'Allemagne envahie, s'est con t tenté de lui répondre que "tant qu s l'union entre le front et- l'arrière ser assurée, la patrie ne court aucun dan - ger." Comme on le voit, le marécha t n'est plus aussi optimiste qu'il l'était i t y a trois mois," et les succès des armée 2 alliées ont modifié également la confiant 1 du commandant en chef des armées im - périalistesr Celles-ci essaient encore, ei 3 guise de diversion, de s'assurer un avan ; tage local dans l'un ou l'autre secteu • du front, mais jusqu'à présent aucun' de leurs tentatives n'a abouti. C'est ainsi qu'au nord de l'Aisne plu i sieurs bataillons d'assaut allemands dé ; clanchèrent une série d'attaques : à l'es de la Ferme de Moisy, à l'est et à l'ou<.-s de Cerny et des deux côtés de Hurtebise mais les Français étaient sur leurs gar des et l'ennemi ne réussit nulle part ; i obtenir le plus léger avantage, j N'ayant aucun succès à enregistrer Berlin a recours une fois de plus au me. s songe et parle d'attaques ou bien irnagi • naires ou bien démesurément exagérées , mais qui ne changent rien à la situation C'est ainsi que le dernier bulletin en nemi.mentionne de fortes attaques bri tanniques repoussées entre l'Yser et h Lys ainsi qu'à Lens. La vérité est que, au sud-est de Lan-gemarck, les troupes britanniques, mal gré la pluie, ont attaqué les position* allemandes et qu'elles ont fait des progrès que le général sir D. Haig qualifh de satisfaisants, et qu'au nord de Lens un raid (ennemi ;a <éié repoussé avec succès. Le seul succès que l'adversaire est. senrble-t-il, en droit de revendiquer, est la capture de certaines positions russes à l'est de Czernovitz où, à en croire Berlin, Jes Austro-Allemands auraient capturé 1,000 prisonniers et six canons. Le communiqué russe signale un raid, en coopération avec la flotte de la Mer Noire, contre la ville d'Ordu, où un débarquement a été effectué avec succès. Les Russes ont détruit une série de bâtiments officiels ainsi qu'un grand nombre de bateaux ancrés dans le port. De source allemande et neutre 011 annonce l'imminence d'une offensive turco-allemande en Mésopotamie en vue de la reprise de Bagdad. Ces plans, pour l'exécution desquels l'ennemi escompte évidemment l'abstention russe, viendraient à maturité en septembre. Les nouvelles de la Conférence de Moscou ne nous permettent pas encore de nous prononcer en connaissance de cause sur la situation, mais le correspondant du "Times" à Pétrograd dit que le discours de M. Kerensky a créé un sentiment de désappointement. GUERRE EUROPEENNE OFEiMTiQjjS flERiEHHES St-Denis-Westrem bombardé Une attaque aérienne a été exécutée dans la nuit du 25 au 26 août par les pilotes de la marine britannique sur l'aérodrome de St-Denis-Westrem, au sud-ouest de Gand ; un grand nombre de bombes ont été jetées. Un des appareils britanniques n'est pas rentré. L'aviateur Thieffry abat son 9e avion Le communiqué publié hier soir par le G.Q.G. belge dit: En moins de vingt-quatre heures, le sous-lieutenant Thieffry a participé à quatre engagements aériens, dont un se termina à son avantage, l'appareil en» oenrie attaqué par lui étant tombé en flammes, au nord-est de Manneltensvere. Ceci >orte à neuf le nombre .d'appareils 'battus par cet officier. Trois bombes explosent en Hollande Trois bombes ont fait explosion sur 1« territoire hollandais,, près de la frontière belge, samedi, vers 11 h. 30 du soir. Ces bombes avaient été jetées pai des aviateurs de nationalité inconnue, j Des bombes ont également jetées du côtd , belge de la frontière, ayant probablement pour objectif le canal Léopold. 1 ié LA CONFERENCE SOCIALISTE '■ DE LONDRES La conférence des délégués des partis r socialistes et ouvriers des pays alliés, qui doit avoir lieu aujourd'hui et demain, au Central Hall de Westminster, f à Londres, est attendue avec intérêt, 'd mais sans inquiétude, par les nations en e guerre. • Il y a plus de deux ans et demi que les socialistes des nations de l'Entente - se sont réunis à Londres, et à ce moment s les travailleurs organisés alliés s'étaïent engagés à lutter jusqu'à la victoire. Parmi les événements qui se sont prc duits depuis lors, il y en a trois qui on profondément altéré la situation a i point de vue des partis socialistes et 01: vriers alliés. Ce sont l'entrée en guerr à nos côtés, de l'Italie et des Etats-Uni , d'Amérique, et la révolution russe. U l seul de ces événements aura quelqu'ii: ■, fluence sur la conférence de ce jour. Le j. organisations ouvrières des Etats-Uni ont décidé de ne pas envoyer de dék gués à Londres et, à moins d'un mes sage quelconque, la voix de la démc cratie américaine n'y sera pas entendue On dit que lorsque les arrangement furent pris par la section britannique d ' btireau international socialiste, les paci fistes s'opposèrent à ce que les ouvrier des Etats-Unis soient1 i-nvités, et leu ' résolution ne fut rejetée qu'à une faibl ; majorité. En tout cas, M. Gompers ! président de la fédération américaine d travail, refusa d'être délégué des ou vriers alliés à une conférence à laquell la fédération générale des trade union de Grande-Bretagne et la confédératio; ! générale de France n'assisteraient pas L'Italie non plus ne sera pas vrai senrblablement représentée et hier soi les promoteurs de la conférence n'igne raient encore les noms de délégués ita liens qui pourraient éventuellement assister et ne savaient même si ceux-c étaient route à destination de Londres Quant à la Russie, bien que quatre re présentants du Conseil des délégués ou vriers et soldats assisteront à la confé rence, il n'y siégeront qu'à un point d vue "consultatif," et il n'est un secre pour personne que ç.es délégués du "Se viet" ne montrent pour la conférenc inter-alliée de Londres qu'un ent-housis me très relatif. Le but précis de la conférence n'a pa encore été officiellement déclaré, mais i est évidemment préparatoire au Congrè international de Stockholm. LES BELGES FERONT PAS i STOCKHOLM Depuis quelque temps déjà, les Aile mands occupant la Belgique deman daient aux socialistes belges de décide de se rendre à la conférence de Stock lxolm. M. Louis Bertrand, député d> Bruxelles et l'un des chefs les plus auto risés du parti socialiste belge, déclar; que des délégués ne pouvaient pas assis ter à la conférence sans mandat de leu parti et qu'un tel mandat ne pouvai être accordé, parce que les autorités al lemandes ne permettraient pas la réu nion d'une assemblée où les orateur exprimeraient librement leur opinion. Cependant, après de longs pourpar lers, les Allemands consentirent à lf convocation d'une réunion au cours di laquelle les orateurs auraient une liberti complète de la parole. Cette réunion i eu lieu il y a quelques jours. H y fu' décidé, par environ 500 délégués con tre "deux," que le "Parti ouvrier so cialiste belge" ne participerait pas à h conférence de Stockholm, même si des délégués britanniques, "français et italiens y étaient envoyés. Cette décision a été prise en protestation contre le traitement cruel auquel la nation belge a été soumise et dans 1( but d'éviter aux délégués une participation quelconque à des décisions qui pourraient déprimer le courage de leurs vaillants compatriotes qui combattent dans les tranchées. LES PARTIS RUSSES A M08001 La Conférence des partis russes, i Moscou, a été entièrement consacrée i ! la discussion en section de la déclaratioi du Gouvernement Provisoire par M. Ke rensky, de la réponse qui devra y étr-faite et de l'attitude qui devra être pris' à la prochaine assemblée générale. . Les "Bolsheviki" (extrémistes) seul ont clairement défini leur opinion, con sidérant que la conférence ne pouvai pas représenter la volonté de la natioi et qu'elle avait un caractère anti-révolu tionnaire. Ils ont décidé de demander l l'assemlée générale le dictatorat du pro létariat, en conférant tout pouvoir au: soviets et de quitter la conférence si 1< majorité n'est pas disposée à adopte) leur manière de voir La- réunion des internationalistes a in sisté sur la nécessité de déposer une motion demandant au gouvernement l'abolition de la peine de mort, et la renon ciation de toutes représailles contre l'Ukraine et la Finlande. Les socialistes dits populaires, d'autre part, ont reconnu la nécessité de la peine de mort en vue de réprimer les complots anarchistes. A une réunion des représentants'des quatre Doumas, il a été décidé de ne pas soulever les questions de la réforme sociale dans le but d'éviter te désaccord. A la réunion des démocrates constitutionnels deux points de vue ont été défendus, l'un affirmant que le gouvernement ne correspond pas aux nécessités du moment, et l'autre estimant qu'il ne devrait pas être uniquement guidé par les partis de gauche. M. Miliukoff, intervenant, a déclaré- qu'il ne voyait pas de solution en dehors d'un programme purement national d'intérêt général. "Si il. Kerensky, a-t-il dit, ne met pas à exécution les mesures prévues, la ruine de la nation est inévitable." - Toutes les discussions ont été des plus animées, mais aucune décision n'est intervenue.Deux mille cinq cents délégués assistent à la conférence de Moscou. Parmi ceux-ci se trouvent 183 membres des quatre Doumas, une centaine de représentants des paysans, 229 représentants des Soviets, 147 délégués des jnunici-palités, 118 représentants de l'Union des zemstvos et villes, 150 représent'ant-s des organisations de l'industrie et des banques, 313 représentants des Organisations coopératives et 176 des unions professionnelles.L'assemblée générale a été reprise lundi et sera prolongée jusqu'à aujourd'hui, mardi, afin de permettre au 91 orateurs inscrits d'exprimer leurs opinions. AUTOUR de la GUERIE FRANCE — M. Malvy, ministre de l'intérieur - parlant au Conseil général du départe r ment du Lot, sa circonscription électo - raie, y a pris sa défense dans la mysté e rieuse affaire Almeyreda. Après avoi: - exposé sa politique d'agaisement enven a les agitateurs de tous genres, M. Malv; - s'est plaint amèrement de la campagm r de calomnie menée contre lui. — L'affaire Almeyreda se complique " On se rappelle que Duval,, directeur dr "Bonnet-Rouge," fut arrêté à la fron s tière suisse porteur d'un chèque. Ci chèque fut, à l'insu des ministres de 1; " guerre et de l'intérieur, photographié * puis remis à M. Duval avec l'approba 8 tion du directeur du cabinet de,M 3 Malvy. Cet important fonctionnaire, qu 1 fut récemment nommé directeur de h t Sûreté Générale, a été autorisé à don-" ner sa démission. L'accusation exacte qui motiva l'ar-1 restation d'Almeyreda est la possessioi: 5 par ce dernier d'un document secret re-" latif à la défense nationale. La chargf contre Duval. qui au début se bornail " au commerce avec l'ennemi, a été con-' vertie en la charge plus sérieuse d'être : entré en relation avec l'ennemi. Les ; cours civiles n'étant pas qualifiées pour 1 juger de tels cas, toute l'enquête est me-' née à présent par les autorités militai-; res, ei l'affaire, pour la même raison, sera déférée à une cour militaire, siégeant à huit-clos. ! RUSSIE — Tandis que dans les secteurs du - Nord, vers la rivière A";, notamment, les - Allemands ont entrepris depuis cfuelque temps une série d'attaques locales qui peuvent revêtir, d'un moment à l'autre, dans l'opinion des experts militaires rus- ; ses, le caractère d'un grand combat, ils recommencent .dans les secteurs du centre leurs anciennes tentatives de fraternisation avec les troupes russes. C'est ainsi que dans le secteur de Mo-lodetchno des groupes de soldats allemands sortent de leurs tranchées en agitant des mouchoirs blancs et offrent de loin aux Russes des cigarettes, du tabac, de la vodka, du vin, etc. Des ordres sévères ont été pris par le général en chef pour mettre fin à ces menées, mais ses instructions sont arrivées trop tard. Déjà les soldats russes avaient mis un s c? s Londres pour les • Américains r s e No l.'_ AUTOUR DE s CLEARING CROSS e Pour les Américains la maison no 36, an Crav.en Street, près de la gare de Charing Cross, est certes la plue intéressante à Londres. Ce tût là que Beoi-S jamin Franklin, le leader parlementaire des colo-_ niaux dans la lutte avec la mère patrie qui amena la création dos Etats-Unis, résida pendant près de dix-sept ans; de 1757 à 1762, comme représentant. - de l'Assemblée de la Pensylvanie dans son appel j contre l'exemption de la taxe sur les propriétés; et de 1764 à 1776 comme délégué de la Pensylvanie, S Massachusetts, New Jersey et Georgia, dans leur _ protostation contre la taxation sans représentation. C'est là aussi que le dimanche 29 janvier 1775, s Franklin reçut la visite de son ami et admirateur, - l'Earl de Chatham. Celui-ci prolongea la visite pendant près de deux heures, l'équipage attendant à la sortie, exposé à la curiosité de la foule sor- S tant de l'église, et suscitant !'étonne ment _et les . commentaires ("Lettres"). Pendant le même mois Chatham l'avait introduit dans l'enceinte de la Chambre des Lords. -La plus grande partie des - " Lettres" de Franklin sont adressées de cette maison dans Craven Street. Près de Charing Cross se trouve la statue de 3 Charles I, le Roi, qui, après le premier accord fait par les Pilgrim Fathers, accorda, en 1629, une charte pour la Plantation Londonienne au Massa- - chusetts. Maryland, la contrée qu'il octroya à . lord Baltimore en 1632, porte la.nom de sa Reine, Henrietta Maria. A côté, dans C'ockRpur Street, se trouve la statue de Georges III, le dernier Roi des s treize colonies; par une étrange coïncidence, les bureaux de navigation américains se sont développés aux environs de ce monument. Traversant ' Spring Gardens, on peut voir devant l'Amirauté la statue de James II, par Grinling Gibbons, dont les titres ducaux d'York ©t d'A-lbany, sont portés par l'Etat et la vilie de New-York et- pir la capitîle parlementaire, Albâny. - Charing Cross est un centre pour - les Motor Buses. Les services suivants y passent : 5 Nos 1à, 3, 6, 9, 11, 11a, 13*, 15, 24, 29, 29a, 32, 33, 53, 53A* 59*, 59a, 59b, 88. * En semaine seulement. * / l V i The London General Omnibus Co., Ltd., Electric Railway House, Broadway, Westminjter, S.W, 1 94 | llllllllillllllItlIlIllilIN.'IIIMIIIIIlillllllllllllllillllllllllllHlllllllllllIlill ItUSSïE—Suite terme aux démarches allemandes en ouvrant le feu avec leur mitrailleuses sur les gVoupes de parlementaires bénévoles, tuant ou blessant la plupart d'entre-eux. Sur tout ce secteur toutes les tentath es des Allemands pour entrer en relations avec les troupes russes et reprendre avec elles des "fraternisations" ont été reçues à coups de fusil par les Russes. SUEDE — Le baron Falkenberg, ministre de Suède en Espagne, est mort à Copenhague. Il avait été ministre de Suèdç à Bruxelles et à La Hâve de 1905 a 1908. SUISSE — Suivant une information de Berlin, le nouvel accord intervenu entre l'Allemagne et la Suisse, qui doit avoir force d'exécution jusqu'au 30 avril 1918, dont on attend toujours la ratification, prévoit que l'Allemagne devra approvisionner la Suisse de 200,000 tonnes par mois, à raison de Fr. 90 la tonne, soit une augmentation'de Fr. 30 à la tonne. Le fer allemand devant être livré à l'a Suisse, a subi une augmentation moyenne de Fr. 200 à la tonne. En échange de ces avantages, un crédit de Fr. 20,000,000 sera ouvert par la Suisse à l'Allemagne, mais variera suivant la quantité de charbon livrée. Les premières 74,000 tonr.es de charbon seront livrées sans débours en échange de courant électrique accordé à l'Allemagne

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This item is a publication of the title L'indépendance belge belonging to the category Oorlogspers, published in Londres from 1914 to 1918.

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