L'indépendance belge

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12 November 1917
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s.n. 1917, 12 November. L'indépendance belge. Seen on 07 July 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/3j39020d1s/
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Initie année. No 267 L'INDÉPENDANCE LoYAUME-UNI : ONE PENNY BELGE CONTINENT : 15 CENTIMES (HOLLANDE s 5 CENTS) I in\l IN IST R> A TIO N ET REDACTION: „ bBtD. ™AÏLATP.A : l'jiXB STB., HIGH HOLBORN, W.C. 1- ' PLALL DE LA BOURSE. LLEPHONE : HOLBORN 1773-4 TELEPH. : | ^ -*r a in TmfT A ptitz-vt^t LUNDI 12 NOVEMBRE 1917 En vente à Londres à 3 h. le samedi 10 novembre i .. . .. T . i {3 MOIS, 9 SHILLINGS. 1 4B0NNEMENTS : 4 6 MOIS, 17 SHILLINGS, i Il AN, 32 SHILLINGS. J ___ CONSERVATION PAR LE PROGRES. LA SITUTATION Samedi midi., •evers italien aura eu tout au moins m résultat: celui- de forger une plus étroite enter© les alliés occi-iiï.it hji résultat important. La confé-de Rapallo, à laquelle assistaient jloyd George, Pain levé et Orlando, dé la création de ce Conseil supé-de guerre des Alliés qu'on n'a cessé ■laiiier- Ce conseil sera assisté d'un j militaire central et permanent, lira pour mission d'examiner le.s des opérations établis par les difîé-états-majors alliés et qui constitue-centre d'information, qui permet-ix.gouvernements alliés de se tenir irant, au jour le jour, de la situa-militaire générale sur tous les attributions du Conseil supérieur erre étant d'ordre politique aussi jue militaire, les Premiers Minis-jritannique, français et italien, qu'un autre ministre, à désigner lacun des trois gouvernements, en partie. Conseil inter-allié au complet se ta, probablement à Paris, chaque ne les circonstances le rendront né-re. Quant au Comité militaire, il a, naturellement, d'une façon per-îte, et les membres désignés par les gouvernements sont les généraux pour ,1a France; sir Henry Wilson, la Grande-Bretagne, et Cadorna, l'Italie. nomination du général Cadorna a i nécessaire un remaniement dans le commandement italien. Le général jusqu'ici chef d'état-major géné-st appelé aux fonctions de génér-a-e avec, comme adjoints à ce poste, îéraux Badoglio et Giardino. nouveau généralissime, de même s deux collaborateurs, sont des hom-:unes encore — le général Diaz n'a i -ans et les généraux Badoglio et ino respectivement 46 et 54 ans — le point de vue leur nomination satisfaction à ceux qui n'ont cessé [amer un rajeunissement des cadres rmée italienne. s'accorde généralement à dire que armi les généraux italiens n'était : désigné que le général Diaz à suc-au général Cadorna. Le nouveau alissime accepte le haut commande-a l'heure critique-où l'armée ita-e, refoulée des plaines du Frioul, !plie', tout en combattant, sur le , où elle aura pour mission de procontre l'envahisseur les plaines fer-de la Vénitie et les trésors d'art e renferme. is, comme-l'a dit hier M. Bonar m banquet du "Lord-Maire, le front n ne fera désormais, avec le front à-britannique et belge, qu'un front ie depuis la Manche jusqu'à l'A-ique, et l'armée italienne ne sera ongtemps seule à supporter le choc rmées austro-allemandes. on les derniers communiqués, la te italienne s'effectue méthodique-sous la protection efficace des co-s d'arrière-garde et de la magnifi-ivaierie italienne. communiqué autrichien signale des asques de neige et de pluie dans stagnes et l'intervention du mau-etnps rendra plus pénible et moins e l'avance des armées austro-alle-es, qui ne disposent que de voies de unications précaires. a'etemps, les Alliés continuent, sur itres fronts, à marquer leur supé-é.as les Flandres, le duel d'artillerie lue sans arrêt et les pertes-de l'en-, dans cette région doivent être sé-, :s, car ce n'est pas sans raison qu'on f le tous les jours de la Belgique oc cupée des incidents dus au refus de troupes allemandes de retourner dans ce qu'elles appellent "l'enfer des Flandres." A Verdun, nos .alliés français ont repoussé deux attaques allemandes (Bois de Chaume et Arracourt) et dans la Haute-Alsace nos alliés ont exécuté plusieurs raids fructueux dans les lignes ennemies. Des coups de sonde du même genre sont signalés de l'Argonne. En Palestine, les troupes britanniques continuent de faire des progrès encourageants. Toute l'armée turque de Syrie est en retraite sur Hebron, à mi-chemin entre la Mer Morte et la côte méditerranéenne, et l'avance de nos alliés permet d'escompter *des résultats d'une grande portée tant politique que militaire. Le fait que les troupes du général Allenby ont capturé jusqu'à présent 40 canons indique suffisamment que la retraite turque n'a rien de volontaire. Ajoutons que la participation des navires de' guerre alliés et d'escadrilles d'aviateurs active la retraite ennemie, qui pourrait bien dégénérer en déroute. La situation en Russie n'est pas encore claire. Comme Kerensky, lors de l'aventure du général Korniloff, Lenin et ses partisans ont commencé par s'emparer du télégraphe, et c'est ce qui fait que nous n'entendons de Russie que le son d'une -cloche. Les léninistes, alias extrémistes et anarchistes, dirent qu'ils sont maîtres de Pétrograd et ils ont mis en accusation Kerensky et les autres membres du gouvernement provisoire, sous l'accusation d'avoir trempé dans le complot du général Korniloff ! Un appel a été lancé, aux cheminots russes afin d'empêcher l'arrivée à Pétrograd des troupes restées fidèles au gouvernement déposé, et on dit que des délégués (Je la flotte russe de la Baltique et des troupes finlandaises ont annoncé leur adhésion ail gouvernement léniniste. On assurer également que le Comité révolutionnaire de. Reval a occupé '"'tous les points stratégiques." Pendant que nos alliés se disputent le pouvoir, l'envahisseur agit. Des nouvelles de Copenhague affirment que la flotte allemande qui croisait depuis quelques jours dans le» eaux finlandaises, a occupé les Iles Aaland, dans le Golfe de Bothnie, ce qui n'est, évidemment, qu'un premier pas en vue de l'occupation allemande de toute la Finlande. Et c'est ainsi que nos alliés russe», lorsqu'ils auront repris leurs sens — car ils les retrouveront bien un jour, soit sous la schlague prussienne, soit dans les affres de la faim qui les guette — s'apercevront qu'en poursuivant un idéal pour lequel ils ne sont pas mûrs, ils ont tout perdu, même l'honneur, car Lenin et ses partisans ne sont pas seulement des traîtres à la cause russe, mais leur programme comporte la trahison de leurs alliés. La Russie a évidemment le droit d'agir à sa guise, et si elle accepte le régime léniniste, c'est son affaire. Mais ce qui est étrange, c'est que le Conseil de Défense Nationale aux Etats-Unis ait (sanctionné, comme l'annonce un télégramme de New-York passé par la censure (Central News), un contrat important de camions pour la Russie, nonobstant les nouvelles peu encourageantes qui arrivent de Pétrograd. Il est à supposer que les Alliés ne se feront les fournisseurs de la Russie — surtout au point de vue militaire — que pour autant qu'ils auront des garanties qu'il en sera fait usage contre l'ennemi commun, car il serait par trop naïf de nous exposer à voir les Allemands utiliser contre nous, l'un de ces jours, le matériel de guerre fourni à un allié qui, demain peut-être, refusera de se battre et qui, aujourd'hui, réclame une paix immédiate, autrement dit allemande. EN MESOPOTAMIE succès britannique sur ie Tigre idres, vendredi.—L'inventaire di P de bataille à Tekrit continue grande quantité de matériel di e ^ été trouvé, en addition di déjà signalé dans le commùniajw • Le nombre total des prisonnier ins les opérations commencées 1 embre, a Dur, esit de 319 hommes 'Pi'is 17 officiers. Un nombre con e de Turcs ont été enterrés. EN PALESTINE LA VICTOIRE DE GAZA L'armée turque en retraite Le général Allenby signale que sur sa droite l'ennemi se retire sur Hebron (à 52£ kilomètres au nord-est de Beershe-ba) et que les troupes britanniques entravent sa retraite,- capturant des prisonniers ainsi que des transports. Les troupes montées britanniques, avançant à travers Jemameh et Huj (res pectivement a 20$ kilomètres et a 1-J kilomètres à l'est de Gaza), ont atteini la rive méridionale du Wadi-Hesi (à. en viron 19 kilomètres de l'ancienne frontière turque), établissant un contaci avec les forces britanniques s'avançam de Gaza. Ces dernières ont occupé 1a, rive septentrionale de l'embouchure du Wa di-Hesi et Herbieh (à environ deux kilomètres plus au nord), atteignant le chemin de fer et tournant la position-préparée pôur l'ennemi sur cette rivière. La tête de ligne côtière turque à Bei1 Hamm .(à 8 kilomètres au nord-est de Gaza) a également été occupée et l'ennemi est poursuivi dans la direction du Wadi-Hesi. Toute l'armée turque est en retraite vers le nord. Plus de 40 canons ont été! capturés. La flotte britannique, assistée de la flotte- française, a activement coopéré à toutes ces opérations, en bombardant les communications près de la côte et en offrant une assistance appréciable*, Les aviateurs britanniques bombardent les Turcs en retraite. OPERATIONS NAVALES La coopération japonnaise contre les sous-marins Un nouvel accord est intervenu entre les Etats-Unis et le Japon aux termes duquel le Japon recevra des plaques d'acier en quantité suffisante pouî*€xécuter son programme de constructions navales tant pour sa flotte de guerre que pour sa marine marchande, en échange de quoi le Japon fournira une grande quantité de tonnage, et étendra sa participation dans la lutte contre les sovs- marins. OPEMTiÛfîS AERIENNES 20 avions allemands au tableau Les aviateurs br^tannioues • ont < e-opéré aux raids exécutés par l'infanterie sur les tranchées allemandes et ont tiré des milliers de balles sur l'infanterie eo sur les mitrailleuses ennemies. De nombreuses bombes ont été jetées dans .la journée, sur les tranchées et les ogements ennemis. Un très grand nombre de combats ont eu lieu dans les airs. Douze appareils allemands ont été abattus, et six autres ont été forcés d'atterrir en mauvais état. De plus deux avions ennemis ont été détruits par les canons anti-aériens. Dix appareils britanniques ne sont pas rentrés. LES EMQUETES Efê FRANGE M. Monter condamné La Cour de Cassation de Paris a jugé M. Monier, premier président de la Coui d'Appel, contre lequel des accusations ck s'être comporté dans le cas Bolo d'un manière incompatible avec sa charge avaient été portées, et lui a infVgé la punition maximum : M. Monier est déchargé de ses fonctions judiciaires. le banquet ou lord mmi Au banquet traditionnel du Lorc Mjiyor à Guildha-11 des discours ont été prononcés par lord Curzon, M. Cambôi (ambassadeur de France), sir Eric Ged-des (premier lord de l'Amirauté) et M Bonar Law (chancelier de l'Echiquier). Dans son discours lord Curzon a faii allusion à la Belgique, dont un lambeai dé territoire est héroïquement gardé pai ses fils-sbus la conduite d'un roi héros, et dont l'autre partie se trouve toujours sous le talon de l'envahisseur, mais qu: tout entière attend patiemment la délivrance qui lui est assurée non seulement par la consciençe des Alliés, mais pai leurs engagements solennels. Sir Erio Geddes affirma une fois de plus que la guerre sous-marine, si elle n'était pas complètement maîtrisée, n'avait pas répondu aux esperances de l'ennemi, et que les sous-marins étaient tenus en échec. M. Bonar Law faisant allusion aux événements de Russie, dit que personne (ne pourrait prédire ce qui sortira des événements actuels, mais, dit-il, le peuple russe est un grand peuple, et nous ne devons pas désespérer; tous nous avons a-pplaudi à l!événement de la 4+ - liberté en Russie, mais nous savons qu'aucun peuple n'a jamais acquis sa liberté s'il n'était pas disposé ,à combattre pour elle et à tendre tout son : énergie pour chasser l'envahisseur du : territoire. En tous cas les avantages ; de la force de la Russie sont momenta-. nément en grande partie perclus pour nous. Mais d'un autre côté, les Etats-Unis ont mis leur épée dans la balance de la justice, de la civilisation, et de l'humanité, et nous savons que les Américains ' ne font pas les choses à moitié. M. Bonar Law f t sans contredit l'annonce de la constitution d'un Etat-major inter-alli^e, qui réalisera- enfin l'unité de front tant attendue. On ap-: plaudit vigoureusement aussi l'énoncé du fait que la Grande-Bretagne a actuellement 3 millions d'hommes sous les armes en dehors des îles britanniques. M. Bonar Law mit cependant ses auditeurs en garde contre l'espoir d'une paix rapide. Il n'y a qu'un seul chemin vers la paix : c'est le rude chemin qui conduite à la victoire. Mais nous pouvons et nous devons rester optimistes. Toutes les nations fléchissant Sous le poids du fardeau. C'est à celle qui résistera le plus longtemps. '''J'ai foi dans Je caractère de notre peuple; j'ai foi dans la justice de notre cause." M. Cambon fut l'objet d'une ovation enthousiaste. Son émouvaait discours, disant toutes les souffrances de la France depuis le début de la guerre, toutes les horreurs commises par les • Allemands prussianisés, fut longuement applaudi. La France, a-t-il dit, n'acceptera pas la tutelle des barbares, la France ne veut pas être subjiigu» ! LE 60U? D'ETAT RUSSE M. Kerensky à Gatchina Le télégramme suivant a été transmis à Pétrograd par l'agence télégraphique officielle (aux mains des Maxi-malistes) : A une séance du congrès général des Soviets, un représentant du comité militaire révolutionnaire a dit que le 7 novembre, à Gatchina (à 32 k. de Pétrograd), M. Kerensky s'est adressé à un détachement de \6,0Ô0 soldats qui avai/o été envoyé du front vers la ca.pi-tale. Après des négociations, le détachement déclara qu'il s'abstiendrait pour le moment de marcher sur Pétrograd.L'arrestation des ministres A la même séance, le président du Soviet de Pétrograd M. Trotsky expliqua les raisons pour lesquelles les anciens ministres furent arrêtés. Ce n'est pas, a-t-il dit, un acte de vengeance ouv de répression politique. Tous les ministres socialistes a>ussi bien que tout le gouvernement, seront cités devant la. justice pour complicité da)ns l'affaire Korniloff. Toutefois le comité militaire révolutionnaire a décidé que les ministres socialistes seraient maintenus aux arrêts dans leurs propres demeures. Le sort de Korniloff De la même source le télégramme suivant : Le comité militaire révolutionnaire a , informé tous, les officiers et soldats des comités au front et à l'arrière, qu'il . avait décidé que le général Korniloff et tous ses partisans devaient être amenés à Pétrograd, pour y être emprisonnés clans la forteresse Saint-Pierre et Paul, et être déféré immédiatement, à la jus-; tice devant un tribunal militaire révolutionnaire.Une république cosaque Le correspondant du '"Matin" à Ge-. nève télégraphie que les cosaques du Kuban viennent de proclamer la république sur leur propre territoire. Us désirent- cependant être incorporés comme : Etat indépendant dans la grande Répu-, brique fédérale russe. La nouvelle république compte environ deux millions , d'habitants et ne se compose que d'Ukrainiens et- de cosaques montagnards. La nouvelle république a confisqué toutes les grandes propriétés foncières et a nommé à la présidence le colonel Filo-monoff, qui a juré fidélité à la Constitution.Le correspondant du "Matin"! ajoute que les cosaques du Don, des districts des steppes montagneuses de la Volga et du Caucase, ont décidé de constituer une Confédération des Cosaques du Sud-Est de la Russie, ainsi que de créer une Rus- • sie sous un gouvernement national de guerre dans les parties saines du » pays. ■ v LA PALESTINE AUX ISRAELITES t L'enthousiasme des Juifs américains La lettre de M. Balfour -à lord Rothschild; que nous avons publiée hier, eoïn--cidant avec les succès britanniques à Gaza et à Beersheba et avec l'avance en Mésopotamie, a rempli les Juifs américains d'enthousiasme et a renforcé leur détermination de contribuer -à poursuivre la guerre jusqu'à^ une fin victorieuse.Rien n'a fait autant tressaillir les Juifs de toutes les classes que l'annonce de ce qu'enfin, après 2,000 ans d'exil, ils auraient la faculté de réintégrer leur patrie, non seulement sous 1a. protection des. Puissances alliées, mais eraeore sous un ' régime de liberté et de démocratie. Dans toute l'Amérique une profonde gratification se manifeste pour la. sympathique attitude du gouvernement britannique et pour le-zèle et 1e dévouement des .Sionistes britanniques, dont les efforts ont attiré l'attention des hommes d'Etat britanniques sur la question des Juifs. LA ifSSfÛI AMERICAINE La politique du blocus Les membres de la- mission américaine se sont ïendus hier au War Office, où le colonel House a rencontré plusieurs membres du cabinet de guerre. Aujourd'hui et les jours suivants d'autres conférences importantes auront lieu. M. Vance McCormick et le Dr Alonzo Taylor, deux membres de la mission, ge sont rendus au ministère des affaires étrangères où ils ont conféré avec M. de Fleurioue, M. Charpentier, le commandant Leverton Harris, et lord Robert Cecil, sur des questions économique concernant le blocus. De nouvelles conférences auront également lieu sur ce sujet. Le "Times" croit savoir que l'accord le plus complet interviendra sur la politique à suivre en la ma- -tière.AUTOUR de la GUERRE ALLEMAGNE — Le député von Payer a, suivant un télégramme de Berlin, été nommé vice-chancelier de l'empire. Le Kaiser a admis la démission de M. Helfferich à condition qu'il accepte un autre poste. BRESIL. — Un décret a été publié fermant le port de Rio de Janeiro à la navigation. FRANGE —- Les mandataires parlementaires au parti radical et radical-socialiste français, ont officiellement prié le gouvernement de définir les buts de guerre qui l'inspireront aux conférences interalliées.SSANDE-BRETAGNE — Le Gouvernement de l'Australie a décidé de procéder à un nouveau référendum sur la question de la conscription. Celle-ci .avait été repoussée par 1,146,000 votes contre 1,085,008 en octobre 1916. PAYS-BAS — Le gouvernement britannique ayant décidé de ne pas accorder de passeports aux sujets britanniques désireux d'assister à la conférence de paix devant se tenir à Berne, et aucune réponse n'ayant encore été' obtenue à ce sujet du gouvernement français, le conseil néerlandais "contre la guerre" a abandonné le projet d'organiser cette conférence pour le 19 novembre." SI AM — Des inondations d'une étendue exceptionnelle ont sérieusement endommagé la" récolte du riz au Siam. Le ministre britannique à Bangkok a fait appel aux sujets britanniques afin qu'ils iinterviennent dans la constitution d'un fonds de secours en faveur de sinistrés. *

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This item is a publication of the title L'indépendance belge belonging to the category Liberale pers, published in Bruxelles from 1843 to 1940.

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