Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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s.n. 1915, 30 June. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Seen on 25 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/k35m90308j/
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ANVERS, Mercredi 30 Juin 1915 Cinquante-huitième Année - No 17,346 DIRECTION & RÉDACTION VLEMINCKX, 14 ty' >\ ANVERS : ** I £.! P téléphone 3761 LLOYD ANVERSOIS Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 centimes la double lignt 1 franc la ligne sur double colonne Adresses industrielles 50 centimes Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au li^nomètre. — Les titres se paient d'après l'espace qu'ils occupent Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Observations météorologiques de M. F. Agthe, opticien, rue Léopold, 51. Anvers, 30 juin 1915, 9 1/2 h. du matin. — Baromètre 760,5 — Thermomètre cent (max) -H 18 — Thermom cent, (min.l + 15. — Pluviomètre — m/m.—Vent. o.-U. — rrevision : Variable. Astronomie 1 juillet Lever du soleil 3 h. 32 m. matin = ' 3,32; Coucher du soleil 8 „ — „ soir = (20 ) Lever de la lune 10 -, 25 „ soir = (22.25) Coucher de la lune .... 8 46 „ matin = ' 8.46) Dernier quartier le 4 juill. . . 5 ., 54 „ matin = ( 5.54) Nouvelle lune le 12 juill. • 9 „ 31 „ matin =• ( 9.311 Premier quartier le 19 juill. . • 9 „ 9 „ soir — (21. 9) Pleine lune le 26 juill. . . • 12 !1 „ matin — (12.11) Haute marée à Anvers Matin Soir 1 juill. 6 h. 21 m. = ' 6 h. 21) 6 h 39 m ~ {18 h. 39) 2 juill. 6 h. 58 m. = î 6 h. 58) 7 h. 15 m. 19 h. 15) 3 juill. 7 h. 36 m. = ( 7 h. 36) 7 h. 57 m.-'19 h. 57) (Heure belge). Hauteur du Rhin Cologne 29 juin 2,17 m Strasbourg 26 juin 3,20 m i Iniiint>en 26 „ — i, Lauterbourg „ 4,94 „ Kehl — „ Maxau „ 4,90 „ iMannhein- „ 4,07 „ Germersheim „ 4,70 „ Caub 29 „ 2,39 „ Mayence ,. 1,40 ,. Kuhrort „ 1,26 „ Bingen „ 2,16 „ Duisbourg 26 „ 1,38 „ Coblence „ 2,40 „ Waldshut „ 3,33 „ Diisseldorf „ 2,05 „ Lobith „ 11,— „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort 26 juin 2,04 m. Heilbronn 26 juin 0,43 m Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodensee Trêves 26 juin 0.13 m- Constance 29 juin 4,15 m Port d'Anvers ARRIVAGES DU 29 JUIN Bateau-moteur Anna, de-Boom. » Bingrose III, de Bruxelles. » Koophandel II, de Louvain. » Vischhandel, de la Hollande. Allège John, de Burght. » Gustave, de Hobokeu. » Bayern 27, de Hoboken. » Marie-Louis, de Hemixem. » Victoria, de Steendorp. » Karel-Celina, de Steendorp. » Cyrille, de Bruxelles. » Arbeidsyrucht, de Boom. » Jeune Charles, de Moll. » Louise, de Moll. » St-Aldegonde, de Moll. » Jeune Pierre, de Moll. » Jeanne, de Moll. » Sancta Maria, de Overpelt. » Léontine, de Lixhe. » Maria, de Beersse. » National, de Liège. » Simone, de Liège. )>- Jules, de Benory. '» Salé, de Havré Ville. » Amphitrite, de Mons. » Jeune Georges, de Mons. » Helena-Wiliiei.mina, -de la Hollande. » Charbonnière 4, de l'Allemagne. » Charbonnière 2, de l'Allemagne. DEPARTS DU 29 JUIN steamer Telegraaf II, pour la Hollande. . iteau-moteur Franco-Belge VI, pour Gand. » Zoesie Markie, ponr Gand. ilège Stanislas, pour Calloo. Vereinigung 35, pour Burght. Maria, pour Hemixem. v De Morgenster, pour Baesrode. Transport 3, pour Boom. Drie Gerrof.ders, pour Puers. > Duc de Dave, pour Gand. » Prince Albert, pour Courtrni. » Pélagie, pour Merxem. » Gouverneur, pour Merxem. » François, pour Schooten. » Constantia, pour Beersse. » Maurice, pour Liège. » Anna, pour Liège. » Ida, pour Liège." Le Lobain, pour la Hollande. a Hypothèque, pour la Hollande. » Vischhandel, pour ln Hollnnde. » Jonge Isidoor, pour la Hollande. Phtlomena, pour la Hollande. » De Vrouw Wilhelmina, pour la Hollande. »' De Vrounv Cornelia, pour la Hollande. » Dankbaariieid, pour la Hollande. '» Twee Gf.zusters, pour la Hollande. » Drte Gezusters, pour la Hollande. » Charbonnière 3, pour l'Allemagne. S.ction anversoise de secours aux prisonniers de guerre et aux internés AVIS Il est actuellement permis d'envoyer 3 paquets par mois de 5 kilos .maximum aux prisonniers en Allemagne.Actes de Sociétés, déposés au Greffe du Tribunal de Commerce d'Anvers Réélections. — Société anonyme « Crédit Foncier Belgo-Suisse du Mexique », à Anvers. MM. Wilhelm Grote, administrateur, et Louis Van den Bosch, commissaire.Réélection et bilans. — Société anonyme « Mar-nières de Loën », à Anvers. Mr Urbain Wildiers est réélu commissaire. Bilan au 15 janvier 1915. — Société anonyme « L'Auxiliaire Immobilière d'Egypte », à Anvers. Bilan au 31 décembre 1914. — Société anonyme « Verreries et Cristalleries St-Bernard », à Hemixem. Bilan au 31 mars 1915. — Société coopérative «Union Générale d'Anvers». Bilan au 31 juillet 1914. — « Sociétt, coopérative anciennement Albin Vor-bruggen père », à Anvers. Bilan au 30 avril 1915. — Société anonyme « Trafic Congolais » en liquidation, à Anvers. Bilan exercice 1914. — Société « Burgersbelang », Société coopérative • .'assurance contre le bris des glaces, à Anvers. Mp .1. Van der Mierden est élu administrateur-délégué f.f. secrétaire, pendant, l'absence de Mr Fr. Van Biel. Bilan au 30 septembre 1914. Il résulte d'un acte sous seing privé en date du 9 juin 1915, que la Société en nom collectif « Meyers & Gilles», à. Anvers, constituée le lr juillet 1914, entre MM. Eugène Gilles et Bené Meyers, à Anvers, est dissoute. Il résulte d'un acte sous seing privé en date du 18 juin 1915, que des modifications ont été apportées aux statuts de la société en nom collectif-« Kinderen Marynissen », établie à Anvers, et notamment : L'art. 2, l'objet principal dç la société est L'achat et la vente en gros de tous produits alimentaires, produits coloniaux, aunages et tous articles similaires, etc. Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Elisabeth. — Londres, 28 juin. — La barque française Elisabeth, allant d'Iquique à Botterdam, a été en collision dans les Dunes. Le navire a encouru de graves avaries à l'avant et une tôle a été fendue. La voie d'eau est provisoirement bouchée. Botterdam, 29 juin. — D'après une communication reçue ici, la barque Elisabeth se trouvait à l'ancre dans les Dunes, lorsqu'elle fut abordée par un vapeur espagnol. Elle alla à la dérive et entra en collision avec un valeur norvégien. Le remorqueur néerlandais Noordzee a pris I'Elisabeth à la remorque et l'a amené à son lieu d'ancrage. Indrani. — Londres, 28 juin. — Le vapeur Indrani a été torpillé par un sous-marin allemand près de Tuskar, dans la mer d'Irlande. L'équipage a été sauvé et dobarqué à Milfordhaven par un vapeur de pêche. Lucana. — Liverpool, 28 juin. — Le vapeur Lucana a été coulé dimanche soir près de Ballycotton par un sous-marin allemand. L'équipage a été sauvé. Nor- — Londres, 28 juin. — Le vapeur norvégien Nor, eu route de New-York à Botterdam, se trouve ;i l'ancre dans les Dunes avec des avaries encourues à la suite d'une collision. Le vapeur a une legère voie d'eau. Ville de Roubaix Avant le dix-neuvième siècle,la fabrication de Bou-baix s'était spécialisée daJLS la production des étoffes communes en laine, mais, avec l'importation du métier « Mufll-Jenny », en 1804, d'industrie du coton s'implanta et connut de suite une grande prospérité. La première machine à vapeur fut introduite à Roubaix en 1820. Vingt ans plus tard, la (laine-reprit le dessus qu'elle avait perdu depuis les premières années du siècle et elle a conservé, depuis lors, sa place avec des alternatives de prospérité et de décadence.L'origine de la grande prospérité de Roubaix date de 1833 par suite de l'établissement de la filature de longue laine peignée. Précédemment tributaire de Paris et de Reims pour la teinture et l'apprêt de ses étoffes elle commença à faire ses opérations elle-même avec succès. A partir de cette époque on tissa cLes étoffes en matières teintes, le barège et les fantaisies mélangées de soie et de coton. Les mélanges offrirent pour la robe un aliment inépuisable et ce genre a formé l'article de Roubaix qui est universellement connu. On appelait alors Roubaix le « Manchester de la France ». Avant la guerre, la fabrication roubaisienne concentrait toutes les branches de l'industrie textile : la laine, Le coton, la soie, le lin et le jute s'y rencontraient pour produire des étoffes de tous genres et de tous prix. ELle reçoit les matières textiles à l'état brut et leur fait subir toutes les manipulations par lesquelles elles doivent passer pour être transformées en tissus et même en vêtements confectionnés : triage, lavage, cardage et peignage de la laine, filature de la laine, du coton, du lin, du jute et de la schappe, tissage, teinture, impression et apprêt de toutes matières textiles, ateliers de confection. Quelques chiffres montreront l'importance de l'industrie de la grande métropole lainière qui, en un siècle, a su faire passer son chiffre d'affaires de 25 millions à 1.500 millions de francs. L'industrie du peignage mécanique de la laine occupait dans huit immenses usines de 8 à 10.000 ouvriers qui produisaient en moyenne 40 millions de kilos de peignés représentant environ 100 miH-1 ions de kilos de laines brutes. Trente pour cent étaient absorbés par l'exportation. Roubaix possédait 25 filatures de laine avec 400.000 broches et 8 retorderies avec 100.000 broches occupant ensemble 7.000 ouvriers. Leur production était de 16 millions de kilos de fils en tous genres, tant en écrus qu'en couleurs, pour la fabrication de la draperie, de la robe, de la bonneterie, de la. passementerie et de la fantaisie. Quinze filatures de coton occupaient 6.700 Ouvriers, consommaient 54.000 balles par an et produisaient 14 millions de kilos de filés. Le tissage qui produisait 60.000 kilos en 1612, 120.000 en 1700 et 1.300.000 en 1810, en produisait actuellement 42 millions ou 107 millions de mètres représentant une valeur moyenne de 300 millions de francs. II. comptait 23.000 métiers à tisser la robe et la draperie, 3000 métiers à tisser l'ameublement et 900 métiers à tisser le velours de coton, soit, au total, près de 27.000 métiers occupant 25.000 ouvriers, payant 31 millions de salaires et faisant un chiffre d'affaires de 300 millions. Enfin, la teinturerie apprêt s'exerçait dans 48 établissements occupant 10.000 ouvriers. Leur production annuelle fut évaluée, au maximum, à 3 millions de pièces représentant, tant en daine qu'en coton, 30 millions de kilos. Si l'on songe à la rapidité inouïe du développement industriel de la place de Roubaix qui a crû, en moins d'un siècle, à la façon des cités américaines, on peut s'étonner que la confection ne s'y soit pas implantée plus tôt. Il est. vrai que les fabricants de Roubaix ont eu trop à faire dans leurs tissages pour s'occuper d.e cette industrie annexe. Il a faillu que tous les pays s'industrialisent de plus en plus, pour qu'ils songeassent à se faire confectionneurs. En 1914 Roubaix accusait une tendance marquée à chercher dans; la confection pour hommes et pour clames une nouvelle source d'activité. On y comptait déjà une dizaine de maisons qui ont pris, en général, un certain essor et dont quelques-unes connaissent même une grande prospérité. - La confection occupait à Roubaix un millier de personnes et payait, annuellement un million de salaires. Formalités douanières pour un voyageur de commerce HOLLANDE l.e voyageur doit prouver qu'il n'importe ses échantillons que dans le but d'obtenir des commandes. Il doit assister au dédouanement et présenter sa carte de voyageur de commerce valable un an et dont le coût est de 15 11. 50. Il est indispensable de fournir une déclaration détaillée du contenu des échantillons et de leur valeur. A la vérification des marchandises, les articles sont estampillés. Au cas où la marchandise serait déjà munie d'estampilles étrangères, il .est-inutile d'apposer les estampilles hollandaises. Les marchandises doivent être représentées à la sortie, mais les droits ne sont remboursés qu'à la condition expresse que tous les échantillons soient réexportés. Les opérations peuvent s'effectuer dans toutes les douanes du pays. SUEDE Pour pouvoir consigner les droits, le voyageur doit adresser une demande au Directeur des' Douanes de Suède. L'importation et l'exportation peuvent se faire par toutes les douanes du royaume. Les échantillons sont munis à l'entrée de ' plombs ou d'estampilles. Les consignation est faite pour trois mois et peut être prolongée sur demande de trois autres mois. A la sortie, les échantillons doivent être représentes et vérifiés. Le Directeur général des Douanes est alors informé de l'exportation; après quoi l'argent es! restitué. Pour chaque nouveau voyage, il est indispensable de faire une nouvelle demande à la direction des Douanes. DANEMARK Les collections peuvent entrer par tous les bureaux de douane, mais, à la sortie, elles doivent être représentées à la douane d'entrée. On dépose les droits à l'entrée, pour un délai de quatre mois au plus et, à la sortie, les droits sont remboursés sous déduction d'une couronne pour l'enregistrement. Les échantillons sont munis de plombs ou estampillés. ROUMANIE L'entrée et la sortie peuvent se faire par tous les bureaux de douane. La durée des consignations est de trois mois. Selon leur nature, les marchandises sont munies de plombs ou estampillées. La quittance de dépôt est remise en échange du paiement des droits. A la sortie les échantillons doivent être prévîntes à la douane et à ce moment-là le montant déposé est remboursé. Condition essentielle : tous les échantillons qu'on a importés doivent être réexportés. SUISSE Les formalités sont généralement faites à la frontière, mais elles peuvent être accomplies également dans les autres bureaux de l'intérieur, tels que Berne, Lucerne, Zurich, Lausanne et Bâle (entrée par Delle pour cette dernière ville seulement). Les échantillons sont estampillés, plombés ou cachetés selon leur nature, et ils doivent être représentés à la sortie à un bureau frontière lequel effectue le remboursement des droits consignés. Les passavants délivrés par les bureaux de douane suisses sont ordinairement valables pour une année et doivent être déchargés à la frontière. Ils peuvent aussi être déchargés à n'importe quel bureau de l'intérieur, lorsque le retour des échantillons a lieu en petite ou grande vitesse, mais non en bagages. RUSSIE Avant tout le voyageur qui veut consigner les droits pour les échantillons qu'il importe, doit être pourvu d'une patente russe de voyageur. Ce document coûte, si le voyageur travaille pour son compte, 195 roubles par an. Si, au contraire, le voyageur travaille e.11 qualité d'employé pour le compte d'une maison de commerce, il faut que celle-ci paye cette patente de 195 roubles et. qu'en outre l'employé acquitte un second droit de patente d'employé, de 65 roubles par an. Le voyageur doit assiter aux formalités et faire lui-même la demande de dépôt, après quoi les formalités peuvent être accomplies. Les marchandises entrant en consignation ne sont pas estampillées, mais les marchandises qui- sont soumises au plombage lors d'un acquittement définitif des droits sont également munies de plombs lorsqu'elles entrent en consignation. Après accomplissement des formalités,le voyageur paye les droits contre remise d'un reçu de consignation de droits. A la sortie, qui doit être effectuée dans le délai maximum d'un an, les échantillons doivent être représentés, à la douane russe, qui s'assurera que la coillection est complète et qui alors attestera la sortie des échantillons. A ce moment on doit faire une demande pour obtenir le. remboursement des droits, -lequel s'effectue par la suite. Il n'est pas indispensable que la consignation se fasse dans une douane frontière ; elle peut être faite également dans un bureau de douane de l'ntérieuir, mais en pratique ces formalités sont accomplies à la frontière beaucoup plus rapidement qu'à l'intérieur. ESPAGNE Tout voyageur de commerce entrant en Espagne doit être porteur d'une cane de légitimation pour pourvoir déposer, les droits, et d'une liste détaillée des échantillons qu'il importe, avec les poids de chaque, échantillon (par nature et matière). Les consignations sont valables pour un an. A la sortie de France, c'est-à-dire à Hendaye ou à Cerbère, il faut _avoir soin de faire estampiller les échantillons par l'administration des douanes françaises pour éviter au retour le paiement des droits de douane ; à Irun ou à Port-Bou, les droits sont déposés d'après le détail annexé à la déclaration de douane et le voyageur peut sortir d'Espagne par n'importe quelle frontière mais, avant de quitter le pays, il doit faire constater par la douane espagnole la réexportation de ses échantillons et, s'il a vendu des échantillons pendant son séjour en Espagne, les droits restent acquis au Trésor espagnol. Après avoir fait certifier sur son passavant la réexportation de ses marchandises, le voyageur n'a plus qu'à réclamer les droits déposés, lesquels sont remboursés au commissionnaire qui a fait les opérations à l'entrée en Espagne. Les opérations de ce genre demandant beaucoup de temps en Espagne, il est préférable que le voyageur envoie sa collection à l'avance à l'agent chargé des formalités en y joignant la liste du contenu du ou des colis, la carte de légitimation et le certificat d'origine si c'est nécessaire. Il n'existe pas de bureau de douane à l'intérieur du royaume. ITALIE Les consignations de droits pour échantillons de voyageurs peuvent se faire aussi bien dans les douanes frontières que dans les doaunes de l'intérieur ; il n'est pas prévu de déliai fixe pour la. sortie des échantillons, mais ordinairement les consignations se font pour trois ou six mois. Le voyageur doit avoir un détail précis de ses marchandises comportant entre autres le nombre et le'poids net par catégorie. Après vérification la douane délivre un bulletin de dépôt au voyageur, lequel, avec ce document, peut sortir par nimporte quelle frontière. Il est essentiel que les marchandises soient représentées à la sortie et qu'il 11e reste aucun échantillon en Italie. La présence du voyageur n'est pas indispensable pour l'accomplissement des formalités, lesquelles peuvent être faites par des agents en douane. Le trafic du Canal de Panama entravé On télégraphie de Colon qu'à la suite d'affaissements de terrains au col de la Culebra 011 a dù restreindre le trafic sur le canal de Panama. Quatre navires ont dù interrompre leur voyage. Nombre d'autres attendent à l'entrée du canal. Les inconvénients des maisons américaines à étages multiples Les architectes américains, voulant tirer tout le parti possible du terrain, se sont mis à augmenter graduellement la hauteur des maisons au fur et à mesure des progrès réalisés dans l'art du bâtiment. C'est ainsi qu'on est arrivé à édifier des constructions ayant jusque 24 étages, en n'employant que la brique, les charpentes métalliques, le ciment ou le béton armé. Les constructeurs évitent soigneusement de se servir de bois ou autres matières combustibles pour diminuer, dans une certaine mesure, les causes d'incendie. Il a été prouvé que ces édifices présentent de nombreux inconvénients et que ce n'est pas sans raisons que certaines administrations communales se sont opposées, à l'introduotion dans notre pays de cette manie américaine. Et d'abord, ces édifices empêchent la circulation de l'air et la transmission de la lumière solaire ; or ces de.ux conditions sont les plus nécessaires à la \ ie des humains que leurs occupations journalières de citadins obligent à croupir dans les arrières-boutiques obscures ou des sous-sols transformés en ateliers. Plus ces maisons se développent en hauteur, plus l'ombre projetée sera forte et moins les étages inférieurs recevront d'air et de gais rayons de soleil. Comme conséquence de cet état de choses, on aboutit fatalement à l'anémie des'occupants de ces étages inférieurs et. à une moindre résistance des organismes humains ainsi débilités ; survienne une épidémie quelconque et toute cette classe de gagne-petits (ouvriers, employés de magasins, hommes de peine, etc.) seront décimés par la maladie. Examinons maintenant ce qui se passe, quand, pour une cause quelconque, (dépôt de matières inflammables dans les chambres ou appartements), un de ces bâtiments babyloniens prend feu. Comme il y a toujours un ou deux ascenseurs destinés à gravir les différents étages le Conduit vertical où circule la cage, fait fonction de cheminée et accélère l'incendie ; en admettant même que le foyer soit assez éloigné de cet endroit, il ne manquera pas de se produire des véritables scènes d'affolement chez les occupants de l'immeuble. Comme conclusion, ces malheureux perdront la tète, comme on dit vulgairement, et certainement du temps. Heureux, ceux qui auront filé par les escaliers de service, si le feu ne leur coupe pas la retraite de ce côté là II C'est ce spectacle infernal qui s'est passé dans une maison de 15 étages à New-York ; le feu y ayant pris, on organisa le sauvetage en même temps qu'on combattait l'élément destructeur. A ce moment on fit la douloureuse constatation que les meilleures pompes ne fournissaient pas un jet assez puissant pour dépasser le 8° étage. C'est alors qu'on s'aperçut qu'une dizaine d'occupants, qui n'avaient pas eu le temps de fuir, s'étaient réfugiés sur le toit ; il fallut une série de circonstances quasi miraculeuses pour qu'on put en opérer le sauvetage.Du côté des sauveteurs, on ne se rendit maître du feu qu'après avoir sacrifié une cinquantaine de pompiers, tués ou blessés. Un fait qui se produit souvent pendant ces catastrophes c'est l'écroulement complet des murs résultant de la dillatation des poutres métalliques encastrées dans la maçonnerie. Sous l'influence de la chaleur, la charpente en fer s'était, transformée en un puissant levier qui abattit littéralement toutes les parois extérieures. ' Pour que cet effondrement se réalise il n'y a même pas besoin que l'incendie se déclare ; ce fait s'étant produit assez souvent, sans cause apparente. Après des recherches, on attribua, la faute aux fumées provenant de la combustion des houilles contenant des produits sulfurés Ces émanations sulfureuses, composées entre autres d'anhydride sulfureux (S02) et d'hydrogène sulfuré, (H2 S) attaquent et corrodent les charpentes métalliques. Comme conséquence, la résistance diminue sur les points attaqués et l'écroulement de l'édifice ne tarde pas à se produire. La conclusion qui s'impose .après cet aperçu, c'est qu'une construction moderne ne doit pas dépasser 9 à 10 étages pour pouvoir être habitée en'toute sécurité, c'est-à-dire être évacuée rapidement en cas de sinistre. Une carte monstre du Canada La plus grande, la plus complète et la meilleure carte de chemin de fer du Canada est celle qui se trouve dans le cabinet directorial du «Canadian Pacific Bailway », à Montréal. C'est une carte de 100 pieds rie long sur 10 de haut. La confection de cette carte exigea le travail consécutif pendant dix-huit mois de trois dessinateurs les plus habiles du département.Chaque pouce de chemin de fer, chaque flot minuscule émergeant des lacs ou des rivières, chaque ville 011 village dans tout le Dominion, sont peints en caractères parfaitement lisibles, même les plus minuscules. La production du Kapok au Brésil L'industrie du Kapok a créé un vaste débouché . pour ce produit du Brésil, qui jusqu'ici était à peu près négligé, par suite de son emploi fort restreint. Après l'invention par M1' de Saint Bené des machines à carder et à tisser le kapok, une nouvelle ère vient de s'ouvrir pour l'utilisation de ce produit, qui a opéré une véritable révolution dans l'industrie des tissus. C'est pour le Brésil un article de plus pour son expirtation T1 existe au Brésil des «painas de seda » (kapok de soie) et des «painas de brejo» (kapok de marais); La production annuelle n'est pas connue ; mais, outre la consommation locale, il en a été exporté dans les deux années 1911-1912 respectivement les quantités suivantes : Kapok de soie, 2188 et 1576 kilos, valeur officielle 4.804 8 (frs 8.073,95) et 3.467 8 (1rs 5.826,90); kapok de marais, 7490 et 683S kilos, valeur officielle 3.745 8 • frs 6.294,10) et 3.419 8 (frs 5.746,20) ; Le prix par arrobe (15 kilos), 11e peut être fixé dès maintenant ; il sera forcément très variable jusqu'à ce que le commerce de cette denrée ait pris à l'étranger un développement régulier". Dans toutes les forêts de l'Etat, le kapok de soie croit en abondance ; quant au kapok de marais, il y 1 des régions dans la zone « Matta» (sur la ligne du chemin de fer Leopoldina), qui se prêtent avec la plus .grande facilité à une vaste exploitation. Le sauvetage en mer 'rous ceux qui ont voyagé peu ou prou sur les bâtiirents qui composent les flottes des grandes • compagnies de navigation, savent que les moyens de sauvetage en cas de sinistre sont souvent à l'état ru-dimentaire.Les barques, accrochées aux 1 'pfes-manteaux du bordage, suffiraient à peine à s-iuver le quart des personnes (passagers et équipage) qui se trouvent sur le navire ; encore faudrait-il que le temps soit suffisamment calme pour permettre la mise à l'eau et. que les appareils fonctionnent. Il est vrai que depuis rinven-ion de la télégraphie sans fil les vaisseaux, qui en sont munis, peuvent lancer des marconigrammes dans toutes les directions pour demander des secours en cas d'accident. Pour peu qu'on se trouve sur une route assez fréquentée (Anvers-New-York par ex.), il est à présumer qu'une catastrophe pourrait être facilement évitée ; mais dans la plupart des cas, il ne faut compter que sur soi-même et c'est la raison pour laquelle on 11e saurait accumuler à bord 1111 nombre suffisant de dispositifs, ou d'appareils de sauvetage. Danà l'étude qui va suivre, nous examinerons les systèmes de sauvetage individuels et ceux où les naufragés sont recueillis par groupes : 1° Sauvetage individuel. — Sur beaucoup de bateaux 011 emporte un stock île ceintures- de sauvetage en bouchon ; celles-ci, dont, on a muni naguère les équipes de sauveteurs de nos plages balnéaires, sont formées de plaqués longitudinales en liège, qui entourent la poitrine et le dos. L'inçonvénienrde-ces ceintures réside dans le fait de paralyser tout mouvement de natation ; d'autre part si une vague de fond vous roule la tête en dessous, il faut être un acrobate de première force pour opérer le rétablissement qui devra vous ramener dans la position normale. Enfin en cas de sauvetage individuel, on néglige généralement de se munir de provisions ; d'où il s'ensuit que si le naufragé n'est pas recueilli en-déans un certain laps de temps, il meurt généralement de faim et de froid. Le système de sauvetage individuel n'est donc usité que comme pis aller, c'est-à-dire faute de mieux. Ce qui parait encore meilleur que ce disposi-rif, plutôt primitif, c'est la vulgaire cordelette de chanvre réunissant 1111 certain nombre de vessies de porc remplies d'air. Parmi les appareils plutôt modernes nous en rencontrons un petit nombre qui vlient la peine d'être décrit ; le principe général de leur flottabilité réside dans leur construction où intervient une matière moins dense que il'eau (bouchon calciné, kapok, etc.) Quelquefois c'est par l'intermédiaire d'espaces clos remplis d'air ou d'un gaz quelconque, qu'on réalise •ce désidératum. Certaines matières, très hétéroclites, • son! utilisées dans la confection des appareils de première catégorie ; c'est ainsi qu'on se sert, comme bourrage, du poil de Benne (Bussie), de graines de Tournesol (Allemagne), de la moelle de Sureau même. Le liège calciné est encore employé dans les bretelles à bourrelets et le plastron Delcros ; dans le premier système le liège en poudre, préalablement, torréfié par un procédé spécial, est introduit dans quatre sachets reliés entre eux par des bretelles de manière à ce que chaque maitié-du. corps soit supportée par 2 flot'teurs (1: devant, l'autre derrière) entourant l'articulation de chaque bras. La caractéristique de cette invention réside dans la préparation du déchet de liège laquelle communique à cette matière, la légèreté,la souplesse et l'inaltérabilité.Le plastron Delcros se compose, d'une ceinture (genre plastron) et d'un collier ; la surface de ces deux pièces est formée par un tuyau flexible, contenant le liège calciné, replié sur lui-même un certain nombre de fois. M paraît que cet instrument n'entrave nullement les mouvements de la natation et empêche le renversement du corps sous l'effort de la vague. Depuis quelques années on a une tendance à remplacer le liège calciné par le kapok ; cette nouvelle matière est formée par la bourre 011 ouate contenue dans le fruit du fromager laquelle, après préparation, possède des propriétés toutes spéciales. Celles ci consistent généralement dans une très grande légèreté et dans le foisonnement, c'est-à-dire l'augmentation rapide de volume par contact avec l'eau. Ce sont, les japonais qui ont" découvert cette nouvelle substance en même temps que - les conditions particulières auxquelles on pourrait l'appliquer. Ils s'en servirent d'abord pour bourrer les cloisons étanches de leurs navires de guerre ; en cas d'avarie quelconque endommageant la coque en dessous de la ligne de flottaison le kapok, foisonnant au contact de l'eau, aveugle la brèche et permet ainsi d'effectuer les réparations nécessaires. La ceinture de sauvetage Guérin se sert du kapok pour l'obtention de la flottabilité ; cette substance, renfermée dans les tubes de toile caoutchoutée, supporte environ 30 fois son propre poids. Un appareil renfermant 880 grs, de kapok a fourni les mêmes résultats qu'une ceinture formée de 3 kilos de plaques de liège. Nombreux sont également les systèmes dans lesquels on utilise la. présence de l'air ou d'un gaz quelconque pour empêcher l'immersion. Le plus simple consiste en un boyau de caoutchouc que l'on gonfle aù moyen du souffle ; après fermeture de la soupape, on l'attache à l'entour du cou. — De là son nom de collerette de natation que lui a donné son inventeur. Un_ autre dispositif consiste à réunir 4 pochettes en caoutchouc au moyen d'attaches de manière à ce qu'elles soient placées symétriquement près des épaules, en avant et en arrière des omoplates, ; on opère le gonflement de la même manière que pour le collier natatoire. Ces deux appareils paraissent surtout excellents pour permetre l'apprentissage de la natation en eau calme ; av^int de se prononcer sur leur valeur en ce qui concerne le sauvetage en mer, il conviendrait d'être fixé par des expériences exécutées au large et par gros temps. C'est que les conditions de l'essai sont tout à fait différentes suivant que l'on opère en rivière ou en mer ; dans la première occurence il suffit de maintenir la flottabilité. Quand il s'agit de l'immersion dans l'onde amère en furie, il -faut enocre se préoccuper de la stabilité et du maintien de l'équilibre ; la réalisation de ce désidératum n'est pas des plus facile, car les paquets de vagues arrivant coup sur coup et. sans interruption sur le malheureux naufragé ont vite tait de le rouler et de lui couper la respiration. On utilise encore des vêtements à double enveloppe en toile caoutchoutée, composés d'un pantalon et d'une Veste ; le joint entre ces deux pièces est recouvert par une ceinture pneumatique qui empêche la pénétration de l'eau dans cette solution de continuité. C'est encore au moyen du souffle que l'on procède au gonflement ; cette opération, plutôt laborieuse, exige des poumons puissants et une tranquillité d'esprit que l'on 11e possède généralement pas quand le bâtiment s'enfonce peu à peu dans les flots. Sans compter qu'il faut un certain temps pour revêtir ce costume. Pour qu'un a,pareil de sauvetage individuel soit parfait, il faut qu'il réalise les conditions suivantes : 1) être toujours prêt — 2) maintenir le corp dans la verticale — 3) pouvoir s'adapter rapidement et l'aci- ment — 4) si possible, il doit contenir quelques provisions de bouche — 5) présenter les mêmes facilités d'application pour les deux sexes. Ce dernier point nécessite une petite explication ; les ceintures ordinaires encerclant la cage thoraci-que ne peuvent convenir aux dames. U11 Belge, Mr Samois, vient d'inventer un dispositif qui réalise les désidératas indiqués plus haut d'une manière à peu près complète. Il est formé de deux cercles métalliques a double paroi puis d'une ceinture, contournant l'espace compris entre le ventre et la poitrine, laquelle est garnie également de boîtes métalliques; toutes ces capacités, hermétiquement closes, contiennent donc de l'air qui fait flotter l'ensemble. Quant aux deux cercles, ils sont destinés à être passés dans chaque bras de manière à entourer l'articulation de l'épaule. Pour être complet nous ajouterons que les Jumelles de Secours (c'est le nom donné par Mr Samois à son invention) sont peu pesantes (2 kilogs), maintiennent le corps en parfaite position d'équilibre même après évanouissement, et permettent les mouvements de natation. D'autres inventeurs ont cru résoudre le problème en se basant sur la décomposition du carbure de (calcium par l'eau pour former du gaz acétylène ; le principe de toutes ces ceintures à gonflement automatique consiste essentiellement en 1111 réservoir à carbure, communiquant avec les poches à gaz au moyen de tuyaux. En cas de chute dans l'eau, celle-ci pénétrant dans le récipient dégage l'acétylène qui gonfle immédiatement les flotteurs. Le fonctionnement de ces appareils semble assez délicat de par le fait d'une certaine complication réuàltant de l'adjonction de conduits et soupapes. -On se sert également de l'acétylène dans une très ingénieuse bouée lumineuse, brevetée en Allemagne . il y a quelques années ; quand par exemple un matelot de quart pendant la nuit est précipité dans l'abîme par une vague de fond, on lance immédiatement cet engin par dessus bord. Au contact de l'eau l'acétylène jaillit avec force, allume automatiquement le fanal (par suite du passage du gaz sur un morceau de mousse de platine) ; comme la source lumineuse est excessivement puissante le personnel du bateau peut se livrer à des recherches, pour retrouver le camarade disparu. Au surplus si celui-ci, (pour une raison quelconque), 11'a pas coulé directement à pic, il pourra nager vers la lumière et saisir l'une des bouées en bouchon qui sont disposées à la partie inférieure du système. Il aura donc toutes facilités pour attendre les secours plus efficaces qui le tireront de sa fâcheuse position. Nous terminerons l'examen des moyens de sauvetage individuel, par la description du pliant-bouée dont l'inventeur est un français du nom de G. Bous-sel.(A suivre). HOBOKEN-CENTRE SOCIETE ANONYME A HOBOKEN MM. les actionnaires sont invités à assister à l'ASSEMBLEE GENEBALE OBDINAIBE qui se tiendra le lundi 5 juillet 1915, à 11 heures du matin, à Anvers, avenue de l'Industrie, 76. ORDRE DU JOUR : 1° Rapport du Conseil d'administration et du Commissaire ; 2° Approbation du Bilan et du Compte de profits et pertes ; 3° Décharge à donner aux administrateurs et commissaire.Pour assister à l'assemblée les actionnaires devront se conformer.à l'article 32 des statuts. AUG. BULCKE & Co Service de groupage entre ANVERS les principales villes delà Belgique et la Suisse EXPÉDITIONS PROMPTES SERVICES DE BEURT réguliers et rapides entre ANVERS-GAND et vice-versa ET ANVERS-BRUXELLES et vice-versa Prix avantageux. Prise et remise à domicile SIMON SMITS & Co BUREAUX : AfoVERS: 13&15, RempartSte-Cathérine. BRUXELLES : 88, Rue Meyel-GAND: 17, Quai des Tanneurs- Export & Import Trading Co S. 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This item is a publication of the title Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires belonging to the category Financieel-economische pers, published in Anvers from 1858 to 1979.

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