Anvers-bourse: journal financier paraissant tous les jours de bourse officielle

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s.n. 1914, 11 Mars. Anvers-bourse: journal financier paraissant tous les jours de bourse officielle. Accès à 26 avril 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/1r6n010m18/
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Mercredi 11 mars 1914 No 58 Vingt-sixième année ABONNEMENTS: un an un seme. un trirae- francs francs francs ANVERS . . 15.00 8.00 4.50 INTÉRIEUR . 18.00 9.60 5.26 EXTÉRIEUR . 30.00 15.50 8.00 On «'abonne à Anvers au bureau du journal, et dans tous les bureaux de poste de Belgique et de l'étranger. — Les abonnements partent le 1er de chaque mois et ne peuvent dépasser le 31 décembre. BUREAUX : Marché-aux-Œufs, 9' - ANVERS Téléphone: 2388 ANNVERS-BOURSE INSERTIONS: La grande ligne : Annonces ordinaires . . 60 eues Demandes et offres d'emplois . 40 Convocations d'assemblées : une insertion . . la ligne 75 deuxième insertion „ 25 " Annonces financières . „ 1 f/ànc Pour une série d'annonces et pour les annonces d'émission, on traite à forfait. Omr Les annonces sont mesurées au jignomètre. — Les titres se payent d'après 1 espace qu ils occupent. L'administration et la rédaction déclinent toute responsabilité quant à leur teneur. Finances, industrie, commerce, économie politique, variétés JOURNAL QUOTIDIEN DU SOIR Toute communication relative à l'administration ou à la rédaction doit être adressée à M. J. BACOT, directeur-rédacteur en chef du journal Le numéro : 5 centimes i l i i AVIS IMPORTANT Pour recevoir Anvers-Bourse pendant huit jours à Testai, il suffit d'en faire la demande à l'administration du journal. ACTUALITÉS EXPERIENCE SOCIALISTE (II) Le référendum eut lieu le 26 avril 1911 et les deux lois socialistes échouèrent dans de telles conditions que les libéraux diagnostiquèrent dès ce jour le déclin des vainqueurs. La loi des monopoles fui rejetéo par (387,000 voix contre 443,000 ; la loi d'ar bilrage, par 682,000 voix contre 446,000. Dans chaque Etat, la majorité fut largement acquise aux adversaires de la loi ; seule, l'Australie occidentale fournit aux socialistes une médiocre majorité de cinq mille voix. Ainsi, la nouvelle législation avait été condamnée par l'opinion publique australienne. Le parti socialiste n'en conserva pas moins le pouvoir, puisque la majorité lui était assurée au parlement jusqu'à la fin de la législature, soit jusqu'au printemps de 1913. Et le ministère resta aux affaires. Les leaders socialistes assuraient que cela n'avait rien que de naturel, et que le référendum n'était nullement un verdict anti-socialiste des. électeurs. A les entendre, le vaincu du 26 juin 1911, ce n'était pas le socialisme, c'était la concentration. On n'a pas approuvé les lois nouvelles, parce qu'on tient à garder leur pouvoir aux parlements locaux, parce que Sidney ne s'inclinera jamais devant Melbourne, ni Crisbane ou Adélaïde devant les autres capitales. Telle était la synthèse socialiste. Elle contient une bonne part de vérité, mais elle indique aussi que les Australiens préfèrent au programme socialiste l'indépendance de leurs parlements locaux. Dès lors, les leaders de ce parti avaient lieu d'être circonspects. Leur grande force — comme nous Talions montrer — vient de leur discipline, et le résultat du référendum montrait qu'en certaines circonstances cette discipline se relâchait. Deux grèves importantes — celle de Brisbane et celle de Newcastle — avaient sans doute contribué à retourner l'opinion.La grève des tramways de Brisbane a eu un caractère particulier et plutôt politique qu'économique. Les employés des tramways de Brisbane, au printemps de 1912, exigèrent qu'on leur laissât porter l'insigne syndical pendant leur service, ce qu'on leur refusa par crainte d'expo ser les non-syndiqués à des vexations. Ainsi donc, il ne s'agissait ni des salaires, ni des heures, ni des conditions générales du travail. Pendant trois jours, la ville fut en proie au désordre, et les citoyens durent organiser une police volontaire, le gouvernement ayant refusé le concours de la milice fédérale de Brisbane. Finalement, un arrêt judiciaire autorisa le port de l'insigne, mais les patrons en profitèrent pour décréter des exclusions qui furent obstinément maintenues. A la reprise du travail, il y avait des mécontents des deux côtés. Ce mécontentement n'a pu pourtant déterminer à lui seul l'échec du référendum. A mesure qu'elle s'organise, l'Australie voit naître des classes nouvelles de population.Pays agricole avant tout, les immenses domaines de pâturages vont de plus en plus vers le centre du continent. Les régions proches des villes, dans la zone sud-est où la population est relativement dense, se livrent à une culture plus semblable à la culture européenne. Sous la pression même des socialistes, on a procédé à un « closer-settlement », c'est-à-dire à une redistribution des terres, celles voisines des centres étant rachetées aux éleveurs pour être mises par petits lots à la disposition des cultivateurs. C'est une opération fort complexe et que nous ne saurions étudier ici en détail ; nous en dirons seulement le résultat politique. Le « closer-settlement » crée une classe de petits propriétaires terriens exploitant eux-mêmes leur domaine - population laborieuse et conservatrice dont la mentalité est à peu près celle du petit propriétaire foncier d'Europe. Ce sont ceux-là qui ont fourni les premiers éléments du parti antisocialiste, le « Farmer's l'arty ». Les libéraux, profondément découragés par leur échec de 1910, reprirent de l'espérance. Ils entreprirent une aclion parlementaire infatigable et qui se trouva parfaitement efficace. Quand une opposition a conscience de ses devoirs, elle peut atteindre à de grands résultats. ' Une autre opposition se développa, recrutée, celle-ci dans le parli socialiste même : c'est l'opposition syndicaliste. Son caractère essentiel et son unique originalité consiste à vouloir se passer des politiciens professionnels : le peuple doit faire ses affaires lui-même ; autrement ses revendications seraient simplement celles du trade-unionisme. Notons aussi que les syndicalistes sont beaucoup plus avancés que les socialistes de parlement et de ministère : ils acceptent le principe de la grève générale. On leur a même attribué des procédés révolutionnaires, notamment l'explosion d'une bombe à la dynamite pendant les grèves de Brisbane. Les libéraux, les vieux trade-unionistes et les fermiers s'étant groupés dans un « Fusion-Party », la campagne électorale du printemps dernier a été conduile avec une vigueur dont on ne croyait plus capables les adversaires des socialistes Sans doute commençait-on aussi à crain dre l'avenir quand on remarquait qui la cherté de la vie allait croissant, mal gré une série de trois -récoltes exception nellement favorables. Des deux côtés, on se battit bien ; oj ne recula devanl aucun argument, mêm< personnel et injurieux. (.-1 suivre.) FutMIN Chari.ekie. Dépèches télégraphiques (Se'rrire de /W'/enrc IIAVAS DANS LES BALKANS Le traité turcc-bulgare Constant i.nople, M mars. — Les négociations du traité de commerce turco-bulgare ont été reprises aujourd'hui. Suivant un communique'1 officiel du bureau de la presse les délégués se sont réunis ce matin el ont examiné les tableaux des importations et des exportations turco-bulgares. Le mouvement séparatiste des Epirotes Janinv, 10 mars. —- lin meeting a eu lieu dimanche. Los habitants ont protesté énergique-ment contre les- décisions des puissances et plus particulièrement contre les mesures du gouvernement grec qui cherche à empêcher par tous les moyens, la lutté des Epirotes. Plusieurs discours ont été prononcés. Des. télé grammes de protestation ont été envoyés a i roi. au gouvernement et aux ambassadeurs à M -énes. L'évacuation a commencé hier. Le district de Colonia a été remis à la gendarmerie albanaise sans incident. Les Grecs eu Turquie Constantinople, 10 mars. — Le patriarche se-cuinénique, qui avait fait une démarche auprès du ministre de l'intérieur, s'est, rendu ensuite auprès du grand-vizir, à qui il a également exposé les doléances des (irecs.. On dit que le patriarc'.ve n'a pas reçu un accueil favorable, la Porte refuse au patriarche le droit de soumettre des griefs dans certaines affaires. Communication verbale des puissances à la Grèce Athènes, 10 mars. — Une communication verbale a été faite à M. Venizelos, au nom de la triple alliance, au sujet de la communication du gouvernement grec demandant diverses améliorations au régime de l'Epire. Cette communication fut interprétée comme une acceptation des prétentions grecques; cependant, M. Venizelos a réclamé des précisions concernant les privilèges des communautés religieuses, la liberté scolaire, l'emploi de la langue grecque. Il demandera en outre une rectification de frontière près de Koritza, moyennant quoi il croit pouvoir rassurer les Epirotes annexés à l'Albanie. A la chambre, M. Théotokis ayant préconise une politique germanophile, AL Venizelos démontra tous les avantages assurés à la Grèce et obtenus grâce à l'appui de la triple entente et notamment de la France. LA REVOLUTION MLXiCAINE Londres, Il mars. — Uiie dépêche d'El Paso aii New-York Herald annonce qu'une grande bataille a eu lieu près de Torreon. Les rebelles qui avaient attaqué la ville ont été battus. De chaque côté on déclare que l'ennemi a perdu sept cents tués et sept cents blessés. Les troupes du général Huerta s'avancent en cinq colonnes. On raconte que Luiz Torrassa, pour lequel les rebelles demandaient une rançon de cent mille .livres, a été mis en liberté par ordre du général Villa et qu'il est parti aujourd'hui pour El Paso. Les élections bulgares Soî'i\, 10 mars. — Les élections ayant donné au gouvernement une solide majorité à la chambre, il lui devient inutile de conclure des compromis avec les partis constitutionnels d'opposition. AU BRÉSIL Aux angoisses que causent, chez un bien grand nombre, hélas I de capitalistes, les pertes chaque jour plus sensibles éprouvées par suite de la baisse de toutes les valeurs brésiliennes, s'ajoute en ce moment l'étonnement non dissimulé de ce qu'à une crise d'ordre purement économique et financier est venue se superposer une crise politique, dans un pays que l'on croyait guéri pour jamais, à l'égal de la République argentine, de la fièvre révolutionnaire actuellement encore endémique en Amérique du sud. Cette fièvre révolutionnaire, on en découvre les effets subits dans la proclamation de l'état de siège à Rio-de-Janeiro.En fait, cette nouvelle, grave par elle-même, le paraît bien moins quand on a suivi d'un peu près les récents événements dans l'Etat de Geara et surtout quand on réfléchit à l'importance désor donnée qu'occupe encore la politique, nous voulons dire l'esprit de parti, dans la pensée d'un trop grand nombre de Brésiliens. Il y a quelque temps, le prêtre Cicero, une sorte d'illuminé, comme il s'en rencontre aisément parmi les populations à demi-civilisées de certaines régions de l'Amérique du sud, se crut appelé à soulager le sort des misérables « péones » de l'Etat de Céara. Après diverses péri péties qu'il serait oiseux de détailler ici par le menu, cet illuminé se trouva, à la tête d'une armée de trois mille hommes, rassemblés autour de lui par une sorte de mysticisme religieux. L'Etat de Céara était, à ce moment, comme la plupart des Etats brésiliens d'ailleurs, divisé en deux camps politiques, menés l'un par l'ancien gouverneur Accioly et l'autre par son supplan-teur au gouvernement de l'Etat, le colonel Rabello. Accioly manœuvra si bien qu'il s'assura l'appui total du prêtre Cicero et de sa bande, et commença une lutte en règle contre le .colonel Rabello. Un gouvernement insurrectionnel fut créé à Joazeiro ; il s'adjoignit un « congrès », un parlement, composé Dieu sait comme. Le colonel Rabello envoya de Fortale-za, contre les rebelles, des forces de po lice, qui furent battues. Il demanda au gouvernement fédéral de Rio de lui prêter main-forte, mais le maréchal-président resta sourd à son appel, Accioly ne faisant, somme toule, que ce qu avait fait pour le « déboulonner » le colonel Rabello. Il ne voulait pas compromettre rautoril,é de la Confédération brésilienne dans une querelle de parii-sans. Cette abstention ne se concevrait guèrai dans nos Etats, si jaloux de leur autorité parfaite et entière. Mais les oli garchies, et surtout les oligarchies mi' taires sont encore trop fortes au Brés: î pour que cette attitude puisse donh matière à s'étonner. Le mouvement révolutionnaire men çant de s'étendre, les gouverneurs de Pe nambuco et d'Alagaos appuyèrent dai leur propre intérêt la requête du colon Rabello et demandèrent l'intervention c pouvoir fédéral. Avant que le préside; Hermès da Fonseca eût pu répondre cet appel, la garnison fédérale de la cap taie eut la fâcheuse idée de télégraphe au Club militaire de Rio pour demandi à leurs camarades s'ils devaient s'en ten aux ordres de neutralité entre les parti reçus du ministre de la guerre, ou s' leur fallait répondre à l'appel du goi vernement du Céara, afin de protéger légalité et l'ordre. Cette bizarre consultation provoqu. dit notre confrère Le Brésil, une séan( tumultueuse au Club militaire, partaj dans les deux sens : « la petite minori révolutionnaire qui s'agite à Rio et qu'oi exaltée les manifestes et les conférenct du conseiller Ruy Barbosa, candidat c l'opposition à la présidence », vouli chercher à profiter de cette effervescenc militaire pour troubler l'ordre. Son att lude et ses propos furent tellement coi traires à la discipline et au bon ordi que le gouvernement crut devoir sév: énergiquement. Il fit arrêter les pli exaltés, et avec eux les directeurs il journaux qui faisaient ouvertement ai pel à la révolution. Pour prévenir toi mouvement, le président décréta l'éU de siège jusqu'au 31 mars, à Rio et dar la ville voisine de Nictheroy. L'acte a paru extrêmement grave 3 Europe ; au Brésil, il n'y faut pas att< cher trop d'importance et croire que ï révolution y est maîtresse de la rue. n'en est rien. Le gouvernement se trouv avoir les mains plus libres pour intei venir ; c'est tout. C'est tout, mais c'est beaucoup quan les difficultés politiques de ce genre, e un pays où la politique occupe tous le esprits et tous les loisirs, viennent s'ajoi ter à une situation économique et finai cière tendue à l'excès. MM. de Rothschil ont, il y a quelques jours, rempli ave efficacité leur rôle de banquiers du Brt sil en fournissant à leur client le moye de faire honneur à sa signature. Mai le fait que le Brésil en est arrivé api quelques mois de crise à peine à cett extrémité de ne pouvoir plus payer 1 coupon de sa rente, montre assez qu son système financier doit être réform au plus tôt. Les sources de son exploit,m lion économique doivent aussi être mul tipliées, à très bref délai. Au prix actue de deux francs environ plus élevé qu le caoutchouc de Plantation, le Par arrive tout juste à nouer les deux bout pour les sortes supérieures ; les sorte moyennes sont devenues pour ainsi dir invendables. A 56 fr. 50, le café ne laiss plus à l'Etat de Saô-Paulo qu'un biei maigre résultat financier. Et voilà, ou . peu près, taries en bonne partie les deu: sources essentielles d'impositions au Bré sil. Il faut que le pays en arrive à déve lopper d'autres sources de richesses dan le plus bref délai possible. Le Brésil est un pays aux « possibiIi tés » pour ainsi dire illimitées ; nul m le conteste. Mais ce n'est pas avec de « possibilités » qu'un pays fait honneu à ses affaires. Et le Brésil n'est pas en core au bout de ses peines. — J. T. AU CONSEIL PROVINCIAL Réuni hier après-midi en séance extraordi 11aire, le conseil provincial a procédé à 1; désignation de deux candidats à la place dt vice-présidents au tribunal de première instan ce de notre ville. Ce sont MM. Montens et Bareel qui furen désignés, le premier par 50 voix sur 70, contn 2 à M. Steyaert. et 12 bulletins blancs ; h second fut désigné comme candidat suppléan par 45 voix sur 71, contre 10 à M. Steyaert c 10 bulletins blancs. AFFICHES ARTISTIQUES Tout se perd, même les belles images. considérer nos murs où chaque jour s'étalen de nouvelles horreurs que fort heureusemen d'autres horreurs viennent recouvrir avant que nous en ayons l'imagination attristée, foret nous est de conclure à la faillite d'un art qu plus que tout autre semblait l'expression mênu des besoins et des aspirations de notre époque Et l'on se demande alors comment il se fai que chez nous, si peu d'artistes aient entrevi les ressources de cet art rémunérateur entre tous et très apte à conférer une notoriété im médiate. Nous avons des dessinateurs, "de? décorateurs, des peintres, nous n'avons pas m » affichiste » digne de ce nom, si l'on en excep te Ochs, Jean Droit peut-être, et M. A. Ost don l'exposition vient de s'ouvrir a la nouvelle salle Meiïiling. Aussi nos murs à réclame, — à part quelque? Cappiello dont les pierrots finissent par se ressembler comme des frères, et quelques sous cassiers, — sont tristes à faire pleurer. Jamais pourtant, l'utilité d'une publicité qui charme et séduit l'œil ne s'est imposée davantage. Le voilà pour nos jeunes en quête de célébrité e; de... finance, le vrai pont d'or vers la gloire POUR LES CINEMAS Nous nous sommes fait l'écho à différente.4 reprises dès doléances des exploitants" de ciné mas victimes, depuis quelque temps, de Ui trop grande sollicitude des pouvoirs publics Hier donc, les principaux propriétaires de cinémas, se sont réunis et ont effectué ei: présence des délégués de la Ville, ingénieurs chefs de services, pompiers, etc., une série d'expériences dont, il résulte que le risque d'incendie est actuellement réduit à Un mininnin tfiii devient quantité négligeable. On a ains enflammé volontairement des films en cellu loïd, on en a laissé d'autres s'enflammer d'eux mêmes par un arrêt trop prolongé devant le | foyer de la lampe, bief on a réalisé tous le.c c i s qui peuvent se présenter au cours d'une i- séance de projections. Il est démontré qu'ave \ les elispositifs de sûreté dont on dispose actue lemeut, le risque d'incendie, voire dç paniqu dans le public, n'existe pratiquement plus a cinéma. U- ï- LA VENTE SUR LES MARCHES 1S Vu sujet de Ja question des salaires de fam lie que touenent, dans certaines industries, le ,, travailleurs à domicile un grand industrie de la ville écrit à la Ligue sociale d'acneteui ^ par rasport aux articles de «confections et d . tissus », une lettre fort intéressante dont iiou extrayons le_passage que voici : « Je prétends qu'une réglementation équit; î1' ble de la concurrence relèverait les salaire* il' Je payerais volontiers dix pour cent ou mêm S, quinze pour cent en plus aux ouvriers, si j il pouvais relever d'autant mes prix de vente i. Mais cela est actuellement impossible. Le ■d magasins auxquels je vends ma productioi: devraient pouvoir revendre ces articles au. ^ mêmes prix que « les revendeurs au marché et les grands bazars de la ville. Bien qu très souvent les diverses catégories que je cite ô achètent aux mêmes sources, les marchand -C ambulants et les revendeurs au marché peu lt veut céder leur marchandise à des prix d !S beaucoup inférieurs à ceux des magasin* e parce qu'ils n'ont à payer ni loyer, ni patente ^ ni contributions, et qu'ils ne se trouvent placé L. sous aucun contrôle direct quant aux poid el mesures qu'ils vous donnent. Les bénéfice ^ qu'ils réalisent peuvent se compter connu bénéfices nets par objet, le peu de frais qu'il c o 111 étant amplement couvert par les fraudes 1 il existe en outre des règlements interdisan S la vente de marchandises neuves. Ce règle e ment est lettre morte. Pourquoi ne l'applique-t ) on pas ? lt II mettrait un terme à une situation désas ( treuse pour ce que l'on est convenu d'appele s « le petit commerce ». En ce qui concerne les bazars, la réglemen ta tion est moins aisée. Certaines mesures se r,tient cependant très efficaces. N'y voyons nous pas journellement des blouses toutes cou % fect ion nées mises à prix 0.95, 0.75 et mênu 1 <).'i5 francs, pour ne citer que ce seul article e .N'est-ce pas un défi và l'honnêteté publique Et quiconque réfléchit quelque peu ne doit-i pas se dire, tenant compte des frais énorme: ] que doivent supporter ces entreprises : person ri nel, loyer, publicité, et des pertes réelle: s qu'elles éprouvent sur leurs nombreux arti des de réclame, quiconque réfléchit, dis-je, m doit-il pas conclure que ces frais et ces perte: doivent être compensés nécessairement par le: • bénéfices hors de toute proportion que cei C entreprises réalisent sur d'autres articles' Mais non, « Mundus vult decipi ». 11 suffit que l'on affiche quatre-vingt-dix centimes um c blouse valant un franc cinquante pour qu'ans .-,1 sitôt l'on en arrive à conclure que tout le reste q est à l'avenant. e Nous devrions donc favoriser davantage le commerce anversois et les efforts individuels , En outre, les magasins cumulant la vente de B tant d'articles devraient être taxés en raisoi; directe du nombre de ces articles, et par une taxe progressive. Si ce système présentait des inconvénients, on pourrait préconiser la taxe progressive sur le personnel. Voyez ce que ^ l'Allemagne a fait dans cet ordre d'idées, s. 5 ces magasins se voyaient contraints de relevei , leurs prix, les petits détaillants pourrai en i 3 suivre et chacun y trouverait son profit : h * gouvernement, le négociant, le commerçant et surtout l'ouvrière à laquelle il nous serai] 1 possible de payer des salaires beaucoup plu-i élevés. : Nous livrons se texte aux méditations de M. Cools. INTÉRIEUR Réductions sur les tarifs des chemins de fer 3 M. Fléchet, député de Liège, vient de reprendre une proposition de loi, déposée il y a quelques années par M. I*. Janson, d'après laquelle les personnes atteintes de cécité ou de toute autre infirmité, qui les empêche de voyager sans être accompagnées d'un guide ou d'un soutien, auraient droit, lorsqu'elles voyagent en troisième classe sur le chemin ele fer ele l'Etat, à la gratuité du voyage pour la personne qui les accompagne. L'existence de l'infirmité serait attestée par un certificat médical légalisé par le bourgmestre de la commune du domicile de la personne infirme. D'après la proposition du 15 juillet au 1er octobre, et pendant les vacances de Pâques, l'administration des chemins de fer de l'Etat délivrera chaque année, avec une réduction de soixante-quinze pour cent sur le prix du tarif ordinaire, des billets de troisième classe dits ele vacances scolaires pour les enfants des écoles. La durée de validité des billets de vacances scolaires avec retour serait fixée à quinze jours. Les assurances sociales Donc, en matière d'assurance, la commission spéciale nommée par la chambre a écarté les projets Pécher et C. Huysmans. Elle s'en tient au projet du gouvernement qu'elle a amendé sur quelques points ele détail, sans en modifier la structure générale. Un nouveau rouage cependant est introduit. 11 a pour but de faciliter l'accord a\ ec les médecins, les pharmaciens et les mutualités, accord absolument nécessaire 1 en matière d'assurance-maladie et invalidité. On ne veut pas courir le risque des difficultés qui ont surgi en Allemagne et en Angleterre. Aucun compte n'est tenu eles craintes exprimées par des spécialistes au sujet de l'organisation précaire de nombreuses mutnajités. On ne se préoccupe pas non plus des appréhensions au sujet du service de l'invalidité. « Pas plus pour l'invalidité (pie pour la maladie, le noir pessimisme des actuaires ne doit, déclare le rapporteur, troubler ceux epii étudient à la clarté des faits les propositions du gouvernement.. » On peut se demander dans ces conditions pourquoi la commission propose ele retarder jusqu'en 1017 la mise en vigueur des dis positions concernant la maladie et l'invali-' dit.é ? Pour les étudiants militaires La classe de 1912 va être appelée sous les armes du '.il mai jusqu'au 12 juin, tout au moins pour ce qui concerne la troisième division. Les étudiants militaires pourraient en souffrir pour leurs examens. Les étudiants qui estimeraient subir un préjudice du chef de leur rappel sous les armes pour une période de tir ou de manœuvres pourront solliciter un changement de période auprès ele leur chef de corps et obtenir, éventuellement, l'autorisation ele rentrer au ser vice actif pendant les vacances universitaires. Cela résulte d'une déclaration faite hier par le ministre de la guerre. Les miliciens de 1914 Les miliciens de 1914 devront entrer à la caserne vers le 15 septembre, sauf pour l'artille-: lié qui pourra être appelée vers le 14 décem-j lue. En ce qui concerne les -soldats en congé ' illimité, le département a décidé qu'ils se-1 raient rappelés sous les armes, le cas échéant, ! environ cinq semaines à l'avance, de la date de ce rappel. D'autre part, les étudiants, qui estimeraient subir un préjudice du chef de leur rappel sous les armes pour une période de tir ou de manœuvres, peuvent solliciter un <■ changement de période auprès de leur chef I- de ceirps el obtenir, éventuellement, l'autorisa-tion de rentrer au service actif pendant les va-(1 ea.ne;es universitaires. Les entrepreneurs de transports L'assemblée générale statutaire de la Fédéra-( tion nationale eles entrepreneurs de transports de Belgique a eu lieu avant-hier, à Bruxelles. s Le rapport sur les travaux de l'exercice écoulé 1 présenté par le comité directeur démontre la s vitalité et l'activité de cette fédération, qui e c >;<:pte ai-iuellea eut deux cent cinquante meiri-s bres environ. Inutile de dire que la question du désarroi des chemins de fer a été l'un des principaux sujets de discussions. Le vœu a été émis, à l'unanimité, de voir l'Etat recourir à ; I i collaboration, à titre consultatif, de compé-L' te.aces commerciales dans les différents comi-0 tés et commissions s'occupant de la bonne gestion de notre railway national. Parmi ces com-s petences il va de soi que se comptent les représentants de l'intéressante corporation des c transporteurs, auxiliaires naturels de l'admi-n n isl ration des chemins de fer. Grâce à l'expé-^ rience acquise durant de longues années dans l'industrie des transports, ils pourraient, rendre. en effet, de très sérieux services. Le désarroi du railway Les journaux gouvernementaux publient la note officieuse suivante : « Une enquête très sévère a été faite par l'administration des chemins de fer sur les causes du désarroi qui a régné ces dernières semaines sur le railway. Un certain nombre de chefs ele station qui se sont montrés inférieurs à leur tâche ou qui n'ont pas su prendre les mesures nécessaires ont été rétrogradés, déplacés ou mis d'office i 1 i retraite. C'est le cas notamment pour les chefs de gares de Liége-Guiilëmins ; Schaer-beek ; Gand-sud ; Châtelinéau : Namur et Rouet. Quelques sous-chefs ont également été déplacés.» Les mineurs belges en France Il résulte de statistiques récentes que le nombre des mineurs belges s'élève, pour le seul arrondissement de Béîhune (nord), à 41,970. Dans la même région il y a 1,000 mineurs italiens, 1,400 espagnols, 1,160 allemands, 780 autrichiens et 390 russes. Dans le canton de Lens, les Belges sont au nombre de 27,330. Dans le canton de Carvin, il y a 5,000 Belges et 300 autres étrangers. L'activité aux chemins de fer Pendant la semaine-comprise entre le 1er et le 7 mars 1914, on a expédié par chemin de fer 27,098 wagons chargés de houille et de coke et 85,259 wagons chargés d'autres marchandises (transports taxés). Les quantités de la semaine correspondante de 1913 étaient de 32,197 et 80,961 wagons, soit pour le transport du charbon une diminution de 4,499 wagons, et pour celui des marchandises diverses, de 1,702 wagons. Les transports en service de c nibus-tible ont nécessité, pendant la semaine sous revue, 3,874 wagons, contre 4,443 wagons en 1913, soit une diminution de 509 wagons ; les mêmes, transports de marchandises diverses oni exi^é s,054 wagons, contre 9.6S7 en 1913, soit une diminution de 1,633 wagons. On a donc utilisé pendant la semaine écoulée 124,885 wagons, contre 133,288 pendant la semaine correspondance de 1913, soit une diminution de 8,403 wagons pour 1914. Du 23 décembre 1913 au 7 mars 1914, il a circulé sur tout le réseau, aussi bien pour les transports taxés que pour les transports en service, 1,199,871 wagons, contre 1,264,304 pour la période correspondante de l'année dernière. La diminution est donc de 64,133 wagons. La durée du temps de service Sur la durée élu temps de service, M. Moyer-son avait posé au ministre de la guerre cette question : Des journaux annoncent que le gouvernement, songerait à augmenter la durée du temps de service. M. le ministre de la guerre voudrait-il nie dire si les bruits que Ion fait courir reposent sur quelque fondement v Le ministre a répondu : ('es hruits ne sont nullement fondés. Ces rumeurs proviennent vraisemblablement «lu fait de l'erreur qui a été commise lorsque la durée du service de l'artillerie montée a été abaissée à vingt et un mois, alors que cette durée eût dû ô'tre de vingt-quatre mois comme pour l'artillerie à cheval. Une statistique commerciale internationale M. Davignon a déposé hier, sur le bureau de la chambre, un projet ele loi approuvant la convention concernant l'établissement d'une statistique commerciale internationale. La cuisson des briques Par arrêté royal paru au Moniteur de ce jour, les exploitants de briqueteries sont tenus de se conformer aux dispositions suivantes, indépendamment des conditions particulières que l'autorité compétente, pour statuer sur la demande d'autorisation, conserve le droit de prescrire dans chaque cas spécial : la cuisson peut avoir lieu en tout temps dans les fours fermés, munis d'une cheminée évacuant dans l'atmosphère, à une hauteur de vingt-cinq mètres au moins, la totalité des produits de la combustion ; dans les fours où cette condition n'est pas réalisée, la cuisson ne peut s'effectuer que du 15 août au 31 décembre de chaque année ; la mise à feu des fours de campagne ne pourra se faire que pendant cette même période ; toutefois, dans les briqueteries autorisées pour une saison seulement, la mise à feu d'un seul four de campagne de 500,000 briques au maximum es tpermise entre le 15 juin et le 15 août. Fédération nationale des entrepreneurs de transports Dimanche dernier a eu lieu à Bruxelles, à. la taverne de Londres, rue de l'Ecuyer, l'assemblée générale statutaire de la Fédération nationale des entrepreneurs de Begique. Le rapport sur les travaux de l'exercice écoulé, présenté à la réunion des délégués venus de tous les points du pays par le comité-directeur de cet organisme, démontre la validité et l'activité de ce groupement (la Fédération compte actuellement environ 250 membres) si nécessaire à la défense des intérêts de cette importante branche de notre commerce. Inutile de dire. qu'à, cette séance la question du désarroi des chemins de fer a été l'un des principaux sujets ele discussions, et le vœu, admis à l'unanimité, a été émis de voir l'Etat recourir à la collaboration de compétences commerciales, même à titre consultatif, dans les différents comités et commissions s'occupant de la bonne gestion du railway. Parmi ces compétences, il sera superflu de citer les représentants de l'intéressante corporation des transporteurs, auxiliaires naturels et si utiles de l'administration des.chemins de fer. Grâce à leur savoir et à l'expérience acquise durant de longues années dans l'industrie des transports, ils sont appelés à rendre à la direction des chemins de fer de très sérieux services. CONGO Le budget Le ministre des colonies vient de déposer un projet de loi sollicitant des crédits supplémentaires au budget du Congo de l'exercice 1913. Un crédit de 657,000 francs inscrit au chapitre des dépenses extraordinaires est justifié par le développement de l'agriculture dans le Katanga, qui en raison de l'accroissement de sa population blanche et de son occupation plus étendue par des sociétés de recherches minières et de transports, a exigé la création de nouveaux centres de culture et d'élevage. A cette fin, et en vue d'assurer l'avenir, le gouvernement du Katanga a été autorisé de traiter d'urgence l'acquisition d'un important troupeau de gros bétail dans la Rhodésie septentrionale, dont l'exportation, vers notre territoire, avait été, jusqu'en ces derniers temps, interdite par les autorités rhodésiennes. A la chambre d'industrie d'Anvers Nous recevons le compte rendu que voici : Le comité-directeur de la Chambre d'industrie s'est réuni vendredi 6 mars sous la pré sidence de M. Maurice Van den Abeele, président.Faillite civile. — L'assemblée a discuté le rapport présenté à la Fédération nationale des associations commerciales et industrielles de Belgique par M. A. Borgers, président de la Chambre de commerce d'Ostende. La loi de 1851 sur les faillites n'est applicable qu'aux commerçants. Un non-commerçant peut déshonorer un commerçant par la faillite et rester indemne. Dès 1871, M. Antoine Dansaert, président du tribunal de commerce de Bruxelles, réclamait le vote d'une loi sur la. déconfiture. En 1880, le congrès international du commerce et de l'industrie a émis un vœu dans le même sans. Partout, sauf en Belgique, en France, en Italie et en Grèce, la déconfiture du non-commerçant est organisée légalement au même titre que la faillite du commerçant. Il est grand temps que nos législateurs s'occupent ele cette question. La Fédération des associations commerciales et industrielles communiquera à ses membres le texte du projet de loi élaboré par feu M. Laurent : il pourrait servir de base a la discussion et une fois revu et discuté il pourrait être présenté au gouvernement et aux chambres. Désxrroi du chemin de fer. — A la suite de l'enquête ouverte parmi les membres de la ( hambre d'industrie, le comité-directeur a remis un gros dossier de plaintes avec tous les documents nécessaires à. l'appui de celles-ci. Une protestation sera envoyée à M. le ministre des chemins de fer où les plus marquants seront cités. Election? pour les prud'iio.m.mks. - Les listes des électeurs-patrons pour les conseils des prud'hommes ont été revisées cette fois avec une fantaisie rare par les fonctionnaires chargés de ce soin. Des électeurs ont été rayés sans raison plausible. Une circulaire sera envoyée à tous les membres de la Chambre d'industrie attirant leur attention sur la nécessité de vérifier les listes et de réclamer leurs droits. Ils en ont le temps jusqu'au 1er avril. Assurance contre la maladie, l'invalidité pri"; cocb et la vieillesse. — Le comité-directeur entend ensuite une communication de M. Pink-hof, un spécialiste en matière de mutualité, sur les deux projets de loi, déposés l'un par le gouvernement, l'autre par M Pécher, et or ganisant l'assurance contre la maladie, l'invalidité précoce et la vieillesse. L'orateur soumet les deux projets à une critique serrée et con dut, en son nom personnel, à l'avantage du projet gouvernemental qu'il considère comme étant le plus libéral au point de vue économique. Le comité-directeur s'occupera encore de ces projets de loi sur les assurances sociales.Le secrétaire général. Eug. DE SMET. NOUVELLES MARITIMES Ports de Bruges et de Zee-Brugge Voici le mouvement des navires de mer aux deux ports précités : Nombre de navires, février 1914, 87 ; deux premiers mois 1914, 155 : deux premiers mois 1913, 158, soit en moins, 3 ou 1.90 pour cent. Jauge en tonnes Moorsom: février 191 i, 45,978; deux premiers mois 1914, 84,051 ; deux premiers mois 1913, 91,510. soit en moins de 7.459 tonnes ou 8.15 pour cent. Charge en tonnes métriques à l'entrée : février 1914, 64,099 ; deux premiers mois 1914, 117,298 ; deux premiers mois 1913, 123,335, soit en moins de 6,037 tonnes ou 4.89 pour cent. Charge en tonnes métriques à la sortie : février 1914, 36,469; deux premiers mois 1914, 58,906 : deux premiers mois 1913, 60,037, soit en moins de 1,131 tonnes ou 1.88 pour cent. Le mouvement du port de Rotterdam Dans le courant de la semaine écoulée, il est arrivé au port de Rotterdam 195 bateaux contre 188 bateaux durant la période correspondante de l'année passée. Il y a par conséquent une augmentation de 7 bateaux en faveur de 1 année en cours. Depuis le 1er janvier il èst arrivé : Bateaux Tonnage 1914 1,725 2,116,887 1913 1,764 2,087,902 — 39 + 28,985 Cette diminution des bateaux prouve donc surabondamment que depuis quelque temps le tonnage moyen des bateaux qui arrivent à Rotterdam augmente sensiblement. Anvers-Canada La firme Steinmann et Cie inaugurera au commencement de la bonne saison un serv ice régulier Anvers-Montréal. EXTÉRIEUR BRESIL Les troubles à Ceara Selon une note officielle, étant donnée l'impossibilité de pacifier Ceara par des moyens normaux, le gouvernement prendra des'mesures extraordinaires prévues par la constitn tion. L'ordre sera rétabli, le respect des lois assuré, conformément aux promesses faites aux habitants de Ceara-et aux devoirs incombant au gouvernement fédéral. BULGARIE Le résultat des élections Voici les résultats presque définitifs des élec-lions Sont élus: 126 gouvernementaux; 51 représentants de l'Union agricole : 26 démocrates ; 9 socialistes réformistes ; 9 socialistes doctrinaires: 7 partisans de M. Guechoff ; 3 partisans de M. Danef ; 5 radicaux. Quelques changements- seront encore apportés par les résultats encore inconnus du département de Sofia, mais ils seront vrai sembla 1 dément favorables à l'opposition qui comptera 119 sièges sur uu total de 245. Un détail important à noter est le grand affaiblissement du parti socialiste qui. après avoir eu trente-huit sièges au dernier sobranié, n'en aura maintenant que vingt-deux au maximum. Le parti démocrate aura une représentation double ele celle qu'il avait précédemment. Selon des renseignements complémentaires, le gouvernement obtient cent vingt-huit sièges contre cent dix-sept à l'opposition.ESPAGNE Les élections législatives Voici les derniers renseignements officiels reçus sur les résultats des élections législatives Sont élus : 233 conservateurs ; 80 libéraux ro-manonistes : 30 libéraux démocrates ; 21 républicains de la coalition républicaine-socialiste : 11 républicains réformistes ; 4 traditionalistes; 5 catholiques. Les résultats ele sept circonscriptions ne sont pas encore connus.

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Cet article est une édition du titre Anvers-bourse: journal financier paraissant tous les jours de bourse officielle appartenant à la catégorie Financieel-economische pers, parue à Anvers du 1889 au 1919.

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