Le droit des peuples: organe d'action socialiste nationale et internationale

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12 juillet 1918
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s.n. 1918, 12 Juillet. Le droit des peuples: organe d'action socialiste nationale et internationale. Accès à 13 mai 2024, à https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/fr/pid/8911n7zb39/
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Le Droit des Peuples ORGANE DICTION SOCIALISTE NATIONALE ET INTERNATIONALE et cLé IDéfense cies IRéfixg-iés a,lsa,cierLS, lorrains, IbelQ-es, français SECRÉTAIRE DE LA RÉDACTION Eugène GRENIER (De 18 à 20 heures aux bureaux du journal) LES MANUSCRITS NE SONT PAS RENDUS PARAISSANT LE VENDREDI (Huit pages) BUREAUX : 6, Rue d'Aumale IX' (Métro Saint-Georges) TÉLÉPHONE Trudaine 53-24 ADMINISTRATION ET PUBLICITÉ Vincent VOLCKAERT (De 15 à 18 heures aux bureaux du journal) ABONNEMENTS : Un an : 6 fr. — Six mois : 3 fr. — Etranger : 8 et 4 fr. L,ARRET A MI-CHEMIN « Fidèle aux principes du respect des a nationalités et de la libération des peu- l pies opprimés, le Gouvernement de la Ii République considère comme justes et p fondées les revendications de la nation s tohéco-slaves et il s'appliquera, de Cl toute sa sollicitude, le moment venu, à n faire prévaloir nos aspirations à l'indé- ° pendance ». C'est en ces termes que le ^ Gouvernement français a reconnu I'in- N dépendance de la Bohème. C'est la g France qui fidèle à ses traditions révo- q lutionnaires, suit les peuples opprimés et les aide dans leur lutte contre leurs a oppresseurs. Par cet acte la France a d. devancé PEntentei, toujours timide et q irrésolue.., si Mais la besogne n'est pas finie. Cette ,tc politique des nationalités ne produira ses effets que si elle est menée à fond. ^ L'œuvro révolutionnaire no permet pas de demi-mesures. La récente déclara.il d o-dtrsc Cï(3 CtiS u Col 11* J p, "nioLiJi'cs a produit de fàchimaes io»i*éae « sions, elle était exploitée en Autriche- -i? Hongrie comme un recul de l'Entente au sujet des Tehéco-slavcs et dés Yougo- d slaves pour lesquels cette déclaration r-n'oxpriniaiti que des sympathies. La tj • France voulait réparer cette faute et 1 faire un pas important en avant. Mais j pourquoi s'est-elle arrêtée à mi-chemin? a !I1 v a un oubli de la reconnaissance du d droit des Yougoslaves de librement dis- g poser d'eux-mêmes, enfin soustraits a la domination de la monarchie des Habsbourg. Je crains beaucoup que cette déclaration ne produise des troubles dans l'esprit des Yougoslaves opprimés et qu'elle ne soit un nouveau moyen mis aux mains des gouvernants d1'Autriche. On nous a dit qui a emipècihe l'Entente à Versailles de faire une déclaration nette au sujet .des Yougoslaves. Yous ne craignez pas qu'on dise aux < Yougo-Slaves ont Autriche-Hongrie: vous < êtes sacrifiés parce que votre liberté et 11 votre indépendance sont incompatibles avec les prétentions de l'Italie que l'Entente s'est engagée à respecter ? La question Yougoslave est le point faible de lEntente. Cependant il n'y aura pas d'événements désirés en Autriche sans une attitude très claire de l'Entente sur cette question. Les nationalités opprimées engageront la bataille et y rendront si elles sont unies. Elles le savent et le Congrès de Prague a cimenté cette union des forces pour 1 assaut comrc la. Bastille austro-magyare Les Tchécoslovaques et Yougoslaves se sont engagés à souffrir et à lutter sans faiblesse pour libérer leurs peuples du joug étranger. Ils se sont unis là-bas pourquoi les t séparer ic,i ? 11 faut convaincre les Yougoslaves qu'ils n'ont'srien à craindre de la part de l'Italie et qu'ils pourront librement s'organiser à leur gré. Pour ça il faut que l'Entente fasse une déclaration. Il faut faire tout et vite, pour qu'on puisse agir sur les masses et, en pleine action, attendre avec certitude les événements prochains. Il faut dès lors, l'unité du front diplo- malique. pa.lovlloh. N'oubliez pas de réclamer dans les kiosques, LE DROIT DES PEUPLES, Aveuglement Les Tchèques ont aujourd'hui cause gagnée auplrés de l'opinion pub?iquo et auprès dles Gouvernements des pays alliés. Le Président de la République n'a pas seulement consacré, par la remise dles drapeaux, la création d© l'armée des Tchécoslovaques, ce qui impliquait déjà la reconnaissance par la France de leur liberté nationale, cette reconnaissance est devenue offici :11e et publique par la lettre qu'a adre ée M. Piohon au secrétaire du Con. -il National, M. Benès. Le Conseil NaU ;al apparaît ainsi comme le véritable gouv rneimant provisoire de la nation tchèque en lutte pour ses droits. M. Balfour a associé l'Angleterre à cet acte et voici que d'Amérique arrive une décla ation officielle de1 M. Lansing mar-quar, l'accord complet qui existe sur ce sujet entre tous les Gouvernements de l'Entente,.Mais*' pôôrqpjbr faut-il que1 la démocratie française, qui a si souvent vibré à tous les appel de liberté, pourquoi fauA-il que le ï-r>cïa'isme, qui ne pourra jamais conshrui-[ct-f;; •ornationale solide que sur l'mdé- 4»ra».~f*CC . a®. élites les " -l' or.-- .dariCPU-nn'. • reux sacrifices. . ' Ah ' sans doute, c'est toujours la crainte ■ de prolonger ta greVre, c'est toujours la crainte d'augmenter le nombre* des conditions à imposer à l'ennemi, comme si, 1 ennemi vaincu toutes les conditions de la ! paix juste ne devaient pas se; trouver liets > les unes aux autres, comme si 1 on pouvait • aibitrairement découper, dans l'œuvre du 1 droit, des pauties à défendre ou à nêgli-acr.1 ° Quel aveuglement et quelle abdication ! Albert Thomas. Crainte vaine Certes, aucun de nos amis n'a douté du bon esprit et du désintéressement ; avec lesquels VAmérique est entrée libre-i, ment dans la guerre ; aucun d-e nos lec- ■ leurs n'a songé à remettre en question : les qualités démocratiques d un peuple qui ne se bat pour aucune conQuetc niais bien pour assurer au monde un régime ' de liberté que lui refuse toujours le [ militarisme prussien. Cependant, avant la mémorable jeté ' du 4 juillet, quelques camarades éprou-' vaient une certaine gêne ; ils craignaient , qu'un esprit chauvin et cocardier, à ta L manière d'autrefois ne se glissât parmi ■ la foule accourue. Lu crainte était légi- ■ time. Aujourd'hui, elle doit être écartée. ; Il est de plus en plus visible en effet, - que les peuples de l'Entente en guerre 3 se détachent lentement, sûrement des conceptions et des pratiques militarisa 3 tes d'autrefois. i Le règne du sabre est fini. Bien fou ' serait celui qui rêverait aujourd'hui de ] le restaurer. , La conception de la nation armée, * après avoir été réalisée dans les faits, L" par la force des choses et malgré la sot-3 lise de nos premiers états-majors, remplace les conceptions militaristes d'hier Bientôt, la Société des Nations donnera la paix définitive aux peuples. Ayons confiance, sans cesser un seul ,s jour d'être actifs et vigilants. Eugène Grenier. ^ Un journal hérétique £ Ons Vaderland, l'organe activiste de Ca-e lais, excommunie M. N cura y et sou journal , a La Nation Belge. u « Ce journal, écrit-il, depuis longtemps n'est plus ciatliolique. » la « Que faut.il croire d'une feuille, qui im- eti prime comme feuilleton » Le Colonel Cha- je foert », roman qui, probablement (I), a été c] mis à l'index par l'Eglise ? » . : t Le « probablement » est délicieux. e Ons Vaderland ajoute : » Ensuite, le principe « La Nation d'abord e et avant tout » est faux... Ce principe est l- allemand; c'est une traduction de < Deutsch- m land uber ailes ». Sf- 9 Pas mal, pas mal. Sacré Boch de Neu- 'e s ray '• ■ SÎi e Ons Vaderland menace ceux y ' '• voir !ii mettent de lire La Nation : ' ii Nous sommes étoiuvis, écrit ; .-fftfie foi. — * i,j^s cal!, livi i'.-fi.lut-qmonnes p, soutenir un journal dont ils ne partagent Jj e pas les convictions et l'on r t étonné de I a constater l'aveuglement de ceux qui ne sont i- pas conscients que leur rang et leur mission i- devraient exclure toute propagande et ap-a pui pour pareil journal. s » Pourvu qu'ils n'aient pas à s en repen- di it tir plus tard. » , _ u S'en repentir plus tard ? Ou cela ? En | ■ i- enfer ? " \wv ^ lo ! Un jugement difficile n Nos bons camarades minoritaires qui ne — veulent pas désarmer, quels que soient les sentiments d'union que- nous ayons rnani- a lesté maintes fois à leur égard, sont en _ train de commencer une campagne destmee g à diminuer l'effort que poursuit actuelle- c ment Kerensky. t' KerensUy tente de réveiller le sentimem | national en Russie. Sans ce sentiment qm j[ ne saurait diminuer en rien les convictions j e- socialistes — comme le redoutent certains c- orthodoxes — il n'y a plus en, Russie de résistance possible au militarisme alle-. mand. ^ Le grand argument de nos camarades est lis le suivant : Nous ne pouvons pas approuve ver Kerensky avant d'avoir entendu « l'au-1p tre son de cloche », etc.'.. , . Ainsi, c'est le recommencement des hési: taUons et des sophismes qui troublèrent si "te malencontreusement nos efforts pendant u- ces années difficiles. La môme histoire nous nt fut servie en effet, au sujet des responsa-j„ bilités dans la déclaration, de guerre. , Si nous devions attendre — pour agir au ni maximum dans la défense nationale et so-ji- cialiste — que soit admis, universellement !e. et consacré par le verdict de l'histoire, no-et tre bon droit, mieux vaudrait renoncer à ' toute action pendant des années. , Et pendant ce temps, que feraient les troupes obéissantes 3e.1Guillaume ? 15^ ou Compensations de Dans le « Tord-Boyaa », journal .du front, le bonhomme Gris-Sale examine quel,08 sont fes compensations du Poilu : ee• D'être encore mieux placé que Marcel Un-ts, tin, pendant les offensives ; oi- De courir fa chance de voir la guerre iTl. terminer brusquement (pour lui) ; D'aller tous l'es dix-huit mois au Théâtre T aux Armées sans payer , De se sentir lentement devenir R. A. T. ; De bénéficier de trains spéciaux ; ml De ne pas être esclave de la toilette ; De rester toujour? sur sa soif ; Et de ne pas être exposé ifux projectile» du gros canon ; A NOS AMIS Nous prions nos cama-A rades abonnés de. bien f vouloir songer au très L pr ochain renouvellement • semestriel. C'est- courant te *$^0^ juillet que viennent à expiration les abonne,-laJ ments servis depuis la fondation du Droit des Pépies. 3s Précisément parce que les oircons-lances sont difficiles nos amis lien-n- dront à assurer la vie matérielle du a- journal qui les défend et qui compte 16 chaque jour •— c'est rçotre courrier quotidien qui le prouve — un nombre plus grand d'approbateurs et d'amis. -d st Nous rappelons les prix de nos abonne-li. ments : six mois, 3 fr.; un on, 6 fr. Etranger, 4 et 8 fr. Nous les prions d'envoyer, u- le inontaait par mandat-poste au nom du oilQYJ^D» V.iy * , _ il* nant h (l. do/ Bran cl- ère. iL.jrnïîln^Tt3»l o 0.1^ dcns lt Lyndhurst Road, Londres. ® ij. * i Pour l'uniiê fle Front écmipe nt . p! La guerre mondiale est « totale » ; elle entraîne" tous les facteurs nationaux ; elle sort n du cadre militaire : c'est véritablement la nation dans tous ses éléments constitutifs naturels et moraux qui lutte et qui doit triompher. Avons-nous .pleinement compris ce sens, ce caractère éventuel et profond da la guerre ! Avons-nous surtout agi conforme mément à cette conception ! Le facteur .économique, si primordial, est ne favorable à l'Entente, même après les tris-e.s tes événements de l'Europe orientale, même après la paix de l'Ukraine, même apiès la) cn paix Roumaine. 11 est favorable si l'on envi-f6 sage les «. possibilités » ; mais savons-nous ■'<2' convertir ces » possibilités » en m réalités »? 11 ne snaffit pas d'opposer à la carte mili-taire brandie par Hmdemburg-Ludendorlï, lm la caite maritime, coloniale, économique. Il hns faut l'utiliser positivement. :^s Je ne veux aujourd'hui attirer l'attention de que sur un point particulier mais capital. le" On peut saisir sur le vif, et d'une part la défectuosité profonde de notre politique éco-est nomique de guerre, et d'autre part le man-0!1" que de coordination économique 'entre les-au" alliés, qui est pour le moins aussi net que le-défaut de coordination dans le domaine d'e -sl; la stratégie ou de la Diplomatie. - S1 En ce qui concerne le domaine industriel, ant grâce aux efforts et au labeur tenaces <Te :,us notre camarade Albert Tholrûis, ia'es progrès sa" indéniables ont été accomplis, mais dans le domaine agricole l'esprit individualisme au routinier prédomine encore, soutenu par s0_ toutes les forces conservatrices et réa'etion-ent naires qui tremblent de voir le socialisme n°- s'affinner là encore comme éventuellement r ^ organisateur Donc, l'agriculture, l'essor agricole, s'im-pose pour la guerre et pour l'après-guerre. 11 est tout naturellement étroitement lié à 'l'utilisation des engrais chimiques qui augmentent les rendement». Or notre agricul-ons ture souffre profondément d'une pénurie ont d'engrais. C'est très gravé, a dit Eid'oua.rd 2l;eà Henriot dans un merveilleux article sur les . Energies {rançaises. En ce >qui concerne le Hu. blé seulement, en temps normal nous consommons 90.000.000 de quintaux par an. ï s« Noire production dépassait autrefois cette consommation. En 1915, elle s'est réduite à âtre 58 millions, en 1917, elle s'est abaissée à 35 millions. Ce sont les chiffres de M. Vic-T. : tor Boret. L'Allemagne possède, il est vrai, les très-importants gisements de potasse de la.' ' Haute-Alsace. C'est un réservoir qui nous, files est fermé. Mais si la France métropolitaine • est diminuée icfengrais, les autres puis £ an» ^ • A n t we rr, Belgium PREMIERE! — N 83 te Numéro ^10 centimes VENDREDI 12 JUILLET 191$ - ' ' ' I _ "I )! " — » »

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