Diunanchs 9 Se^iem&ra ISS7 BBœsaezsn&sï « ^ss£i a*. i m i iMrr'i'ivgi JOURNAL QUOTIDIEN — X,9 Nuraêvo : 15 Centime* A-' Année, — M0 1013 s* sv* rggfjr- '.y ^ ^*g P?îtX CES ABONNEMENTS 1 mois {soptoinbro) «••••' «h". "«S 5» U> demandes d'abonnement tont reçue* txciitsi' Veinent pat les Oto-eaux tl les facteur* de* posta. — Le* réeia*aàtt07u concernant les abonnements doivent Hre adrmx&s exclusivement aux bureaux de poste» AftSUftlSmTtÛN ET RÉDACTION. LA BELGIQUE PRIX DES ANNONCES Petites annonces, la ligue» tr. 0.69. — Ritlatna* avant les annonces, la !■•_ ne, !r. Î.25.— Gorj» du journal, la ligne, lr. 5.ûô.— Faits diverg, Ja lis a*» Êr. 3.73. — Néorologui, U berne, lr. 2.53. — ùxm de* iilereurs, la ligna, Cf. t .r->£3. Bureaux de 9 à 17 fteure» Direction et ASuiinistrailafl : g* jg if ,VVi>u-r" iOS IVJOR—GSÈE, DSREftTEUFI a»^MMbj«aQSBgMgggqBBts^ag^»c3aa<agg^ga Aujourd'hui : MU II pages. tl GUERRE La chute souda-lie de fliga et l'écroulement de cent quarante kilomètres du trou rosse qui s'en est suivi, ont provoyjuè ooes )&* Alliés de la surprise, de 1 inquiétude e »» la coi ère. Aussi bieu les événemouts se sons préci pités de façon vraiment déconcertante. 11 j avait deux ans que les Russes éttaàeiil et?, biis dan 6 le Secteur de Kigu et sur la basa ï>wina dans des positions que l'on consi ûérait comme imprenable» : à , l'ouest et ai sud, des msra's immenses et de vastes fo rîss ea défendaient les approches; au sud est, la largeur do la Dwina constituai nue barrière d'apparence mt'ranchissable Bref, le front septentrional dos BuS:e», dé feudiu par dos effectifs nombreux disposai) dune artillerie puissante, se rearor.;ai d'obstacles naturels dlont il semblait impœ »ible que 1'état-major n:e-t -pas tiré par pour le rendre inexpugnarie. Il est _ bie; certain que, dans des conditions idemi-pies i'.-lat-major allemand y aurait insia.lô se troupes on quelques mois, voire en quoi çfucs semaines, de manière teUement soli 1 qu'il n'eût plus jamais été question de le ea déloger. Mais les Russes, insouciant et indolents, ont, après deux ans, trouv moyen de s'y laisser surprendre et contrait dîre à la fuite après vingt-quatre heures d bataille ! Rien ne sert dto récriminer : le mal es fait, et il no reste aux Russe» qafii s'd fonder d'en limiter l'étendue. Dans quel! mesure y réussiront-ils 1 Faut-il aller auss loin que les pessimistes qui eoosédfcreat qu Pétrograd, située à. 500 kilomètres au noré cf4 de Riga, est <ï'ores et d->jit menac e Nous no le croyons pas. Il ne nous para; Blême pas Certain, encore qu'il n'y ait 1. riea d'impossible puisqu'i-s n'ont devan eus que des fuyards en d^wndade, <fu» le Allemands songent à s'aventurer jusqu' Psliof, dont ils sont à deux ct-n.s kilom£tt« environ, et même plus au nord pour s , établir derrière l'immense lao du même non atteindre ainsi le golfe de Finlande et cou per cÊu reste de la Russie la Ldvoni» € l'Esthonie. D'autre part, la rorûto de Emisses sur la rive droit® (fe la Erwiaa s'aj rôtora-t-eile aux environs cte Frie's ichstadl on faut-il oraiuâre qu'elle s'étende davar tage le long du fleuve jusqu'à comporte finalement l'évacuation de leurs position du secteur de Dwinsk 1 Tout cela est pos:$ibie, mais il a'y a 1 jusqu'à pr asnt que dr-s hypothèses qu'auert indic-a rtriauo: ne rend plausibles. Ce qu e^t certain, en revanche, o e»i que las Russe ont perdu avec Riga et Dunamiinde un base d'opérations de grande valeur ut qu i leur est impossible de remplacer; que pou avoir abandonné aux Allemands la maltris incontestée chi golfe de Riga ils sont d so< mais e:cpos<»s dans la Baltkjue airx pire surprime? de la flotte allemande; enfin, qu le^ Allemands, qui viennent avec le:us a liés de libérer la Galio e et la Bucovinc «ont en trtvin d'ajouter dos milliers det Vcik mèt-res carrés — 5,(XX) au moins à Y hem actuelle — aux territoires dtéjà ed étendu qu'ils occupent depuis deutx ans en Russie * * • Tandis que les événements suivent a^ns dan3 1 Est un cours de plus ea plus dl orvani les Anglais et les Français s'épuisent e vains efforts pour ébranler, en Flandre £ au nord de Verdun, le front des Allemand* dont l'artillerie semble d-cidôment trop puis santé pour qu'il reste i\ leurs adversaire l'espoir d?j a-tteindlre un résultat sérieux. Sur l'Isonzo, où ia onzième offensive de Italiens, enrayée dès le si :ièane jour, dur dejwis trois semaines, le général Cadona fait massacrer des milliers et encore de milliers d'hommes dans le but de s empire 4b mont Saint-Gabriel, niais sans pouvoi en d'I xrer les Autrichiens. Et à suppose qu'il y parvioaie — ce qa> n'aurai rien de surprenant, «i l'on oonsidlèj-c 1; vigueur et l'acharnement de s^s attaque: «rveloppantes et répêt e* : il en es» h soi cinquantfenie assaut ! — on peut dtire har dbnent et sans s'arrêter aux s-i.vantc^ d » sercafeions des critiques militaires que l'oc eupat?on du Saint-Gabriel n'avancerait guèr les affcWres dtes Italiens... En a'ïtonaan', ce pendant que La bûtaill. t^est ralentie s-.ir lô plateau de Bain «izza iQâ Autrichiens ]x>ursuivent sur 1 Karst une contrer-offensive tellement vigon reu«^ qu'ils ont re;tr.ia aux Italiens ^ les maigres avantages qu'il® avaient retirés 6 leurs réeetuos attaques, de telle aorte qni'oi d^finiti^ e ils n'ont pas, après tru s semaines de bataille, avancé d'un pouce rta,r|g direction de Trieste. • * • Le tableau que nous venions de brosso rapidement n'est assurément point poui noua réjouir : combien il serait plus agréa, bie à nos lecteurs de nous entendre pré-dire à bref délai La défcêcl# des Centraux affamés, Apuisss, démoralisés et ivvolti «outre leurs gouvernements, prêts à tombe] à genoux pour imploi-er la paix à tout prix! Par malheur, nous n'avons jamais été. e nous ne serons jamais, quod qu'il arrive de ceux qui ont laà dt% mots patriotisra( et mensonge des synonymes, et qipi proton. âer4 que c'est un devoir, dans les ciTCon stances actu-efâesi, de emeber la vérité- m peuple. NVms sommes, a» oontrair», plus q^ jamais persuadas qu« « le» dirigeante d« FEntente et leurs journaux n'avaient pas. depuh la gjierre, é^igé la dissimulation ej système, nous n'en serions pas où aoin en sommes : au lien de faire bônévoîemem confiance à des homme» d'Etat que l'orguei aveugle, il y a longtemps que les peuples instruits die La réalité de» faite, auraier, impérieusement exig^ b, fin d'un» abomina on qui fera à jamais 1« scandale d« ^Histoire. Les^'évéaemeats de Russie LA CHUT» DE RIGA Berlin, 7 septembre j Ce matin, l'empereur Guillaume, venant de> la LithuaniB, est arrivé à Riga. Sa Majesté a remis à l'admiaistratioB municipaJle de Riga une somme do 100,00o mark pour venir en aide aux habitants les pïu* éprouvés. ^ ^ jLoiidce», 7 septembre : On mande de Petrograd au „Morning Pœt ' : — Pe&s de Dwinsk, 1» front russe ecm-menee à o&fer. Sou» la pression des Alle-maa^aj, les fasses ont é*é forcés Je re; li^ lfciirs por.itioas de Jacobstadt jusqu'à Dwinsk et comm^icerit à se retirer dans la d'rec-Uon du nord, vers. R;'c5hiaa« Péirograd, 8 septembre : Lû „Ga2£ite de ia Bourse" annonce qt les trois quarts du parc d'artillerie de ] XII1» armée sont tombé» aux main» < l'ennemi. La rett^iite de certaines parti* de r aimée prend des allures de débâcle. I flot'uj russe a dû se retirer à Pernan d vaut la supériorité des foi-ces navales ait mandes. La „Nbvu e Vretiiia" annonce que 1 Basses fortifient cm toute hâte la iigna t la iSaro\va et la région du lac die» Peipa t Velikaja. l.e haut commandement de 1 a mée espère être eu mesure de ré^i^>er si i cette ligne. Les localités de Dorpot es « Peruau ont été évacuées. ♦ - * * Londres, 8 septembre : On mande de Petrograd au „Dai i N«\vs ' : — La XIle arm-e, qui bat en retraite, i été licenci e p&r ordre du gouvernement - rayée des listes militaire» pour s être mo tr e lâehe devant 1 ennemi. Les troupes 1 t ia .Mie armée seront versées dan» d autr • corps. * « t Petrograd, 7 septembre : l Les rapports militaires signalent que . situation de la Xlle armée eai désespér i Toutes les routes sont encombrées 1 fuyard cherchant à se soustraire aux cou , de 1 ennemi. Les aviateurs ailemau» 1* hf » col eut sans trêve les troupes vaincues - les bombardent à faille hauteur. La : e nrai'ja s effectue au milieu d une paniq .5 imPesCi-iptr^>le. Des soldais dispear^'s pilu > les viluiges. Des régiments euâors ont ) a culé en un seul jour de xjIus oe GO vema - en se servant die cliar'ots, d'automobiles 2 du chemin de fer. o * • Londres, 7 septembre : On télégraphie de Pétrograd aux joi e uaux que la ville d« Psof, situé© aa^ûC ; semenfc des routé» stratégiques condausc B à Riga et à Dwinsk, doit être cousid i comme étant meuacse, tint la marche i avant des Allem;uids esi rajude. La mu t cipaiité a ordonne l'e^ilèvemeun immédiat ; toutes les archives de 1 Etat e* des ba^uqu-t La localisé d'Ostrovv, située sur la roi - Dwinsk-Pskof, a été évacuée par le» au i rites civiles russes. s • * • Paris, 7 septembre : , On mande do Petrograd an ,,Petit Joi - ual* : i — Le duel d7aru]lerie a augmenté s violence sur la Dw^na. L'ennemi a d^ . lopj>é ses succès non seulement au ne ^ de Riga, mais encore vers le sud-est, où menace les position» établies tout 1« lo r du fleuve. Chi d u escompter l'abandon tS toute la ligne russe qui s'étend du sud Rl,ga jusqu au nord de Dwinsk, i PétrDgrad, 7 septemîjre : \ Les juurnauix annonoeut que l'on s'ait® i à la su ire de la cliute de Riga, à des n e difications dans la direction supérieure \ l'année. Quelque» membre» du Conseil c r ouvriers et soldut» se dtmènent pour o'o t nir la révocation du général Ejornulof. • * s Pétrograd, 7 septembre : e Le „J£usski lavalid",' journal oîfrcâej 1 armée russe, publie un appel du génée Weftinski, commandam du ti-oiit soptenti" t. oal, qui déclare que lin*)uKta«ie qui règ e dan» la capitale concernant le sort de» j s mées russes près de Riga est injutetili ■Malgré iQ-, fortes pertes qu'elles ont subi le murai des tïouj)es n'est i*us ébran Elles n oui ét^ foicees à la retraite q sous la supériorité de l'artillerie a;lésinant ^ Le haut commandement de 1 arm^e russe . déjà pria des mesures pour emp^her i Allemands d'élargir la percée du front. ^ * _ . • * 5 Londres, 7 septembre : On mande à® Petrograd an ,,Monit A Post ' que ie^ autorités civiles de Rev sont arrivées à Narva. - ♦ t » » Londres, 8 septembre : s On mande de Pétrograd a» ,,DaJ 1 Mail'' : [ — Depuis la chute da Riga, Pétrogr a été menacée à diffi^entos rei rises par 1 1 aviateurs allemands. Le» autorités nu 1 taires ont pris des mesures rigoureuses. k ^ ^ 1 Pétrograd, 7 septembre : La modification du front r^sullt^s l'évacuation de Riga £a„t que Pétrognad trouve dkins la zone de l'aimée a que p 2 suite, léga o lient et malgré la présence < gouvernement^ la pr fiance y revient - l'autorité militaire. Néanmoins, le gouvf ' nement a d<:cilé d y donner le pas à i î pouvocr civil spécial qud aura pom tic primordiale de maintenir l'ordre dans ^ capitale. 1 Paris, 7 eepiembre ; On mande d» Petrograd au «Petit Joo nal ' ' f — Le* grands-ducs PauX-Atexandrovifa et Mi'hel-A e candrovitch, qui étaient inca cérés, ont été transférés en Sibérie par ord du gouvernement. • • Aîiian, 7 septembre : Le j.Secolo'" apprend que le gouvern mônt russe a d.cidô qu» tous le« homm jusqu'à 53 ans doivent se mettre à la da position du gouvernement pour la défeu du pays. • • Pans, 6 septembre : On mande de Pétrograd à L'Agence H vas que 3 milliards 666 millions de roubl ont été souscrit» jusqu'à prés (ait à l'Ei ' prunt de la Liberté. Pétrograd, 7 septembre : 1 D'après le ,,Rietuh>', 1» gou^ei \iuenî i rapporté l'amnistie pour dolit» politique». f ^ ^ 1 La Haye, 7 septembre : Le bruit • court dans les milieux fîna t cisrs russes que l'Angleterre et kfl jEltat Uiii» continueront après la guerre à co ' trdier le» postes et t-Ligraphes, afin d'amo tir peu s peu le* avance» faites par e pays à la Russie. D'autre part, le Jap continuerait à administrer k» chemins i fer sibérien». ^ • Londres, 7 septembre : La „Morning Post" apprend de Pêtr grad que le gouvernement commence à éle gner le» archive» d'Etat de Pétrograd ve une destilnatilon mconmie. D'après le ,,Matin", le ministère d finances air.si que la Banque d'Etat sero traowf^rea à Moscou. Le» autre» départ ments ministériel» resteront à Pétrograd. • * * Londres, 7 septembre : On mande da Pétrograd au. „Time?" i —• On crîwn* uns nouvelle révolta d partis avaooô»; le» automobile» blinde sont prôbs à intervenir 1» cas éohéaci. » ^ Pétrograd, 7 septembre t A Reval, le» ouvr-ers ont déclaré - grève générale;, ils réclament .une j&ugtne tation de salaire de 100 p. o. La piupan ie Je» usines chôment, -i » * » isj Petrograd 7 septembre : s Dans la région pé-troli/èire da la r-i-a m, Caspienne, la situatL'n est tre* grave. L ia ^ dustne p troiifèie chôme presque oom.pl».to i- ment. Les arrivage» de vivres ont cess'^ <^a pus des mois et les ouvriers quittent b a p{t^s en nombre toujours pins grand. D'au-lo tre pai't, beaucoup d ouvriers ont été incor a* pores. r- • * » Jt Petrogriuî, 6 septembre ï W Le roi Ferdinand do Uiarnan e, le i-Tiat-. h'uitier, le président du Conseil des nu nia U-es et te ministi» des afiaties 'Strangèr® sont arrivés au grand quartier généra b» russe, ou d'importantes délibérations on eu lieu. La Reine de Roumanie et Se* «n a lanfe» sont arrivés à Moscou» Le jouirno e. .,is\stija ', organe du Conseil des ouvrier ^ et soldat», écr-t que ia Iteme de lîoumitni ie se rendi-a en iUu;ieteri-e et y rsidera ju» qu'apr s la guerre. * * .* Stooldioim, 7 septembre : On mande de source digne de connanc ]a que tott-e; las démarchés e.itroprises par 1 gouvernement rufta» auprès du gouverne ment roumain conteruant le traitement ^ ( . la population israé,ite étant reu en vains* r .on peut s'atteniie d ici peu à une deraat ^ ehe de M. Wilson eu faveur de ccite p^pu lation. ue ^ La guerre sous-manne ^ l'nru» 7 septembre : * 64 La nuit dn '2A aaut, le vapeur ,,Pavana (6,-128 tonnes), appar enant à la Campvtgni aiaiiérûte de Transports maritimes, a ^ ^ torp lié à deux reprises ; il a néanmeem ^ ^.réu.-si à attoiudre la eôte grecque, où il «bouI^. Les solxUits russes et séries qn- « f1 trouvaient à bord ont et- sauvés, à-- 1 ei cession do sept d antre eux-e*» * ci- * , Faune, 7 septembre : Le gouvernement a interdît la vents c îïi" navires marchands italien» à des étranger CeUé inteiti-cuon restera eu vigueur un a après la conclusion de la pfiix. » • • Berne, 7 septembre : A G<nes, on a importé, en août derme* ^ un rniil on d>? tonue» de charbon de mcôsj jje qu'en août lOlti. «! JS.TÇ Jïl.M 3SJR.1 GL UJ3 u ag Washington, 6 septembre : <ie Le Senî-t a voté im projet de I >i levs,^ da annuellement 1 millm.rd milUon» ^ dolLirs sur 1<« bénéfices de guerre». * » ■» New-York, 7 septembre : pd. La d l 'gation n erlnidaise chargée de m ;o- goci vr avec les Eîats-Unis au sa^jt de 1 ej portation des produits alimentaire» ver* I iOS Holiande est asxivée à New-ïork; Lâ- a <vst rendue iminodïaiemeu* à VVashmg&>t La Cornière ses ce Stockholm d© ■al Londres, 7 septembre ; 10- M. Lienderson a d-t au Congrès des sy* u* dieats que ceux qui croient morte la Cot iir- fcrence de Stoeidiotui apprendront pcuii-ctr ?e. "êans quedques heures que la comuussio 3J, parlcmontciire ci ia direction du Piuria on: lé. vrier ont fait une donmrobe quu la fera rt ue vivre. C^tte déclaration de f.L lienderso ia. confirme la manière de voir do ceux q« & assurent qu'il faut s attendre à un gin événement. Lne réunion des cheis d-. i Féd^i*-~- tion générale des syndicat» est oos voqux.e. 2 DEPECHES DIVERSES Amsterdam, 7 septembre : I>e gouvernement s est mis d'accord ave iy M. iloover, contrôleur de 1 alimentation au liuits-Unis, pour mettre à la disposition d td Comité de secours belge l'S,50Q tonu s d es froment est 40,t>j0 tonne» de ma s sur le x quantités de c_r-aies dont l'o^>ortuion e Hollande serait autor'S.-e. Toutefois, le Ooo oeil américain, d exportation n'a pus encor approuve cet accord. fe s» Christiania, 7 septembre : A partir du 1er octobre, l'obligation de tu passeports sera introduite en Norvège, à » * * «•- Londres, 7 septembre ; m D'après 1® ,,Dailj Chronicla", le gou&m ie uemoat a décidé d augmenter de 50 p. »- L la solcie des sous-ouiciers et des solfia;». Le soidits ré^oiiveat en ce moment on vin» 11 sheùings par semaine. * » * T_ Londre», 7 septeuibre : Le ,, Daily Mail-" consacre un articl yt aux attaques aériennes réitérée» qui éprou r_ vent l'Angleterre. Il critique les mesures d re défease et demande qu'une enquête soit ou verte càaque fois qu'une escadrille d avion, venue sui-voler la cote anglaise s.eti retour ncra sans avoir subi dès pertes conside çu raiJ.es. * Mi * * ^ Londres, 7 septembre : se Aptrès des d -ba.» très vifs sur la poli tique commerciale à u.àvie après Lt guerre le Congrès des syndicats ouvriers qui vien de s«i tenir à Black-Pool, a adopté, ; su i'énorme majorité de 2,339.000 voix cot.tr ^ 378,000, une résolution eu fiaveur du libr o. (-change. ♦ * Amsterdam^ 7 ®e[>temore : &iâvant une information de. ,,Joodscj a Wachfcsr'*, transmise à 1 '„Algcmcen llan dL.>sbl.'ui 20,000 lu.ifs russe» séjoumauS an Angleiarre s'étaient fait inscrire à la dat da 10 août aux bureaux de i&partrismetu a- pr^ rant rentrer en Russie qu» de a'enré s»- 1er dans l'armée britannique. a>- * * « r Paris, 7 septembrs : w L'Agence Ha vas annonce qu» M. Bilw >o a offert à M. Poincare la démission à te cabinet. * , • » Paris, 8 septembre : Le groupe parlementaire des »ocia;iste o- unifi a a rejeté un» résolution interdisant ; i_ ses membres de faire partie diu Cabinet, n , r» adopté la motion de M. RenaudeJ en faveu de la participation au gouveanetnent de t as cîéîenso nationale, avee mission, de travail rt 1er énergiquement à la continuation de 1 s- guerre et rte poursuivra une politique répa blicaine favorisant les intérêts de La daas ouvrière. » « • Parts, 7 »eT;t»mbre : a» L'Agence Lia vas annonce que la Commis as si on budgétaire a commencé mercredi 1 discussion do» crédits provisoire» pour I 'iemier trimestre de 1917. Ils s'élèvent i Il milliard® 200 miLliorw de franos, soit 1 ta total trimestriel la plu» élev» atteint da j^i^Duj» la début de la guerre. COMMUNIQUES OFFICIELS Cemmuciqué* dss Puissances Centrais*. Berlin, 8 septembre. — Of^ciel da ^ midi : Théâtre de la guerre à l'Ouesa. Armée» du feld-marochal prm.ee hérita Rupprectxv de liavi.ra'i Dans la partie sejjteutrion;t!e du front ea Fianiue, un «pais biot^'iiard a ^nt-r^vé le 5 opérations. Depuis le bOi» d'Houtho»J»* il»»* - qu au canal ïpres-.Jomi-e-i, la caiioniiao k c t devenue très vtoieave à certains mo l ments. A différentes l'éprises,- 1e» Anglaii » out ef ectué de» opération» ue reconaïaàs - Siincâ. ils ont été repousa-« partout. 1 Arnnes du prmee héritier aliomand x * Devant Verdun, iu bataille d artiiien® ; s continué lier. Suc la rive orientale de L Aien-se, 1 action de 1 tu'ullerie s> est œauaa* mes pluf-ieuis fois en feu roulant. Peu avan la tomb e du jour, les Français oui pro nonce une attaque entre Samogueux et 1; fi r mte Bel union l-V acherauvil-a, sur un tron K ue 3 Vj kilomètres. Grâce à 1 opinuaire k - sistance e; a i élan (i*5 notre înianterit : a nsi qu'au feu tiâ déiense de noire ami . kr»e, 1 ennemi n a reauporté aucun succ. a - fevs vagues d'assaut, s-.nvies de forte» mw - ses de réserve» compactes, ont i*epou« 8 es; sur l6s points ou elles ont pone^t daixS r.oa lignes, elles se sont heurté*» i nos troupes d atia^iue, qui les en on; ex * puis es. Quelques compagnies frajiçai^es ou été an-anu.es, 1<j» autres, troupes tnnemie ont aussi subi œ lotuxies partes. Le le** * continué la nuit avec la moine violence t e t, ©si de nouve;ui transforme ce matin e é un très Violent feu roulant depuis Beac B mont jusqu'à Bezonvaux. Depuis 6 heure R du matin, de nouveaux 'Combats d'infanw - rie sont engage à cet endroit Théàitro de la guerre à l'Efet. Front du fe-d-marécliai prince L^oipold d Bavi re : Entre la Baltique est La Dwina, à l'oue v de Wendan, près de Bencfcng, da Nltaai « k* de Neu-ileLdenhof, notre cavalerie a pr) 0 contact avec 1 ennemi, qui se retranclie iii vreuseunent sur cette ligne. A plusoeux endroits, nous avons refoulé en ooaiijattac des détachements avances russes. * Êur la Dwnia. I ennomu a évacué ^ 3 positions jusqu'à l'ouest de Kokenfcusea. Le nomore de» canons tombes entre or mains sur le champ da bataille d» Iiig s es#!; élevé à 310. Iront du gèneral-eolonel archiduc Jo»Jph Entre le Pruth et la Aîoldlava, ainsi qc « sur la rouLe de Gyines et celle d'O-t^e, U * opérations ont Ptét actives. Front mao tloniea. A l'ouest dn lac de Pre-pa, des troupe ottomane» oui repoussé des attaques rus->< da>ns les positions qu'elles ont récemmex conquis ts- a • * • e Berlin, 8 septemlre. —• Officiel d'hw - soir : Dans 1 Ouest, le combat d'artillerie »' -, été intense que devant Verdun. En Liv< nie, notre cavalerie est entrée ea contât avec 1 ennemi. • * * Berlin^ 7 sep:ombre — Officiel : Dans La zone interdite autour do l'An e gl-terre, nos sous-marins ont nouve.lemer a coulé 23,000 tonnes de jauge. Parmi Les 115 viie> d truita, d y avait o vapeur arm u anglais ,,Rosario", en route pmr Glasgow 1 avec une cargaison de 3,500 tonnes do ma 1 nerat, ainsi que trois vapeur» assez grands e chargés cie charbon. * ♦ * • Vienne, 8 septembre. — Officiel d'hier 1-es attaques dirigées par 1<» aviateur ennemis contre la viue ou verte de Triest se répètent jour j>ar ;our. Dans la partie méridionale du plateau d-Karst, les comlxia continuesnt. L'ennera 8 oX orce en vain de nous disputer las avan 3 .ag s que nous avons obtenus au cours d c ces jour*» demi ors. 1-es assauts, que 110 1 troupes ont -pins d'une fois repoussas piv a dos contre-attaques, ont ton» échoué et lu * ont a )ûté de grosses pertes. J On continue toujours à s« battrre ave un acharnement extraordinaire pour la jxw 3 session du mont© San Gabnele. L'ennem ne recule devant aucun sacrifice. Hier, cfL attaques se sont écroulée» stu' le® pente septentrionales de la montagne. Un vï >len * assaut a été repousse sur le versant occi dent 1. L'opuds le 19 août, nous avons, au total fait prisonniers, sur les bords de l'Isonzo - 500 officiers italien» et 18,000 soldats. Fa * ce qui concerne les pertes sanglantes de * Italiens, la onzième bataille de 1 Isomzo n * le cède en neu aux précédentes. - Des autre» front» d'arm e et theâtax» d la guérre. r en d'important à signaler. Sur mec. Les aviateurs ennrmis ayant à plusieur reprises attaqué la ville ouverte de Triesla nos hydroplanes, dans la nuit dit 6 aii ' septembre, ont, en guse de repri^sailles b nnbandé intensivement et avec un succè des plus marqué l'arsenal maritime et 1© ii.st"l:ations militaires de la forteresse d Venise. Nos observateur» ont constaté ave < ertiîude quode nombreux projectiles avaien at.eint leur but. En d'pit dn feu violen - dirigé contre eux par la défense spéciale d » l'ennemi, tous nos avions sont rentré» in 1 demnes. i * » * 5 Vienne, 8 septembre- — Officiel da o 6 midi : L» monte San Gabriele a été pris soit un violent feu d artàlleiie. Une attaqw prononcé© par les Italien» à l'ouest à: s mont a ,:té repouss^e. Pr-» do Be^ecca, d.lns la jxtrtâe mér> » dionaie du Tyrol, nos troujjes se sont em s yar'-ea par surpris» d'un point d'appui «ri nerni. Nous avons fait de» prisonniers € - capturé des mitrailleuse». Sur la tron* à l'Est, riet d« spéoiai . signaler. • * * t Oonstantinople, 7 Re;itcmbi-e. — Officiel » Sur le front du Smat, des patrouilles eu nemie» ont dirigé des attaxjues o^mitre notr j>obitt>u étab ie à l'est du groupe de Gaza leurs opérations ont échoué. L'ennemi tra » vailiO activement à élev or des retranche i ments. Pour le reste, rion d'important à ei gnaler. Bcrlfa, 7 s«ptomt>r©. — Oîfldcwx : Iii I'iandie apr(« l'<'ch»e d« leurs attaquas à* 5 sîptfvnîire, le-J Anglais ont mis toist e® anjvT - le 6 ficplauibre pour rdo-porusr in» Lw 3 qu'uiifl de leurs atUiq,ue» échouait, Qa d-ciac cliaient c!» nouveau un {«u roulant, clierClwwiÇ 1 p'iu titJr L tout pria àivn9 îef» potâîtloM alla mandas. L» feu roulant nn^laài & comnianoà i 8 h. % du matin- et B ttt ftcudu de _ Lmgw - ru arc k juèqu'à "Wct=ttboek. L«a attaques d'iutaaut 1 rie qui lui out succédé oni ■ pronoii»- ça eue 5 o asi\ t»uiout par àfl nombreuse3» vagufli d'as^aul ^ danâ la r6gjion d» Salnt-Jullexi, noUairroem. ear/ aucun mi'na^roinent. lot» Auplal^ ont ouvoy^ eax< 3 rfirudi» d» nqiu:ve]io9 mas>y5 (flicciïmiA aa " Sois» \e> ton d» d îtmse aUpinamU ia pl upart da ^sams ennemis so Boiwt déjà, écroulés devant na obstacle*. Les* Anglais qui ont rais»* ire au» traj;chéô3 ora <'& re.pou«J » au ooù* d« corp» à corps. Au de Saint-Juliea, <= » pctks -grqnpeo d» Boi'Jtits eajieiJiia suut parvenu: à pL-iv -trfcr dans le» pc«4tioii» alloiinau-ie^ ; 0 ont it.i aiipitôt par 1108 couimattaques: A.u do L'iiagjamarcîc, un© patriniiLe alk mande a . pôujsr.ivi Ik-j Auirlaia qui rtpàiaiot! et a Tanteni 1 officâer et 12 hoia»«» hor^ d® 1 jj«s,tio>i britannique. Hier nviul, k» Angàaia 01 ; îeuouvél'i jL- urs tsotaw\t« d attaqua, mai» leui irou-pii? 6u< î prifMJ *ffi;*icenient eouà uotj'i c de-'ru jbour ei 1 ^.uv > ûo ôuiiou:i« a ét'» «.Ttoiiît uann. 1 auji. A 6 h. / du soii, une nouvelle < vioitDUs e<iuo«nade & été i!d'la:.o:i e. pfli à-oouj pn'-e de Su-iiitt-Julien ea <1* Frtzeaberp- Une fo. encore, les imp^iueiur>iB attaque-» au^i^k** qui ou* sûoocdw out éto bris «a. pax lo fcu ûe^tru* leuj all.MUHiiid ; au sud-e-t ds Salut-Julten ti^uî< lu eut, l'assaut ennemi a pu &e développer ; il * s ncitoincae ropouiisâ. l'ou avant «uû^ait !o te i roulant a dû nouveau d'Ciauclwj k lest <. Siiint-Juliec ; inaia l»a Anglais n'cuit plu» • ^ uièa.«* de prononcer une atuiquo. Lut s la rr de Lena, lo t> ficrptesunr», t», l'aul*» une utt-aqi, aufrl.iL^e a rspunsa e- Le soir, des troupe 1 anglaises ctr.t pria l'ofteneav1" au gud-«=t de Loi 1 et oiuî été r^i/OU^s e.s. âmr le fi-oui d« l'Aisue, dau» la r6gio,a t Vaui. i!>^n ti proa de Ba. cuio. de IrLsrtueix _ op^»raîioua de patrouilles noua ont vu lu dtfa pr sonnôors. Lan» l'ouest da la Citarapagn», us» atta^^î pr^mouo'» par une patrouille Iramais* a <té n poufo e. e L«\ai.l Verdun, le G soptcaiibi-e, dan» 1s vu ^ tinéfi, Ja bataille d'artillerie a dimimue d'intenel par suite da brouillard et du U-mpa coirvi-ri ; 1 tempe d'arre* a ét>» mis à profit par un r';r ' n.-ent "vvnrtwnibourgeoia pour prendre d'a?janut li ^ tranchoca fran i,-alita «.'tat-i^i au sud <* Bta,i il Uioni ; i<« l1 rançai» ont éto mis ea iuito p.ir h ,L jets da fqviiaded à. main. L« ieu d'artKiârie ^ ensu^e repris toute sa violence. Au Bud-ov:«-t < beauuioni une attaque de patrouille a autôi é " couironn'.'e de succva. I^e 0 septemU*e, au s«.>d * une attaque lratiyaia-«i, débouebanà de la llgj L- Louvtaucnt-[^auteur '6Z\ ei dirig*ie coule ks p aitirwm alicrmiuijdee. s'est dé^à. <5croid>e »o.us l«o de barra^fb allemand, malgré une tria fer recrudcsccncâ <i» ia canoamade. e Sot I® tli'&tre do la guerre à l'Est,, sur froa-.t ue Kl^pa, la cavalerie allemands poux^c Z saiiB trt<ve le» Russes, qui battent en retraite, li 4 ixit^euddaiiU lt-s villages les fuvaixl» rues^ 1 liait que dévaluer le {>a.y* et privera la }>opral 6 Uoa de ses abris, e.'.tis qa® notre pourauite < u soit entrav*^. » . *. 3 Berlin, 7 «optemhr». — Officieux : Lapais que noua avoue prû» i'ofleneiv» cont lïlgfv, o'ost-à-dir* dapul^ U 1er sapusubre, n< tcuuj-es n ofi.-t p.;» cu^upé moiua d« kty uîétrea oarrôte de nouveaux territoire euiîieiuà *> c esUiMKre trois loi» autant de territoire que L a Français oucaj)eut ue ter relire alioai^und «a A sace, Noua avons perc- 1® Iront ruiifce e-»r ua largeur de 140 kilomC-tr-*», 99 qui c^riooj«>nd peu prèa à 1 tendue du front an À.wU depuis cote de Flandre jusqu'à la. région de Baa ^ (Quentin. Communiqués des armées alliées t Paria, 7 sopiomlji-e. — Officiai do 3 h. Sur le front o© l'Aisne, nous avons» r ponSoé un cuup d« main ennemi au si r d'Ailies. La lutte d artillerie, aj/rès ua tissez grande intensité au cour» de ia nui a c* diminué dans la région de Souain et s. les deux rives de la Meuse. - Avia-iion. — Trois avion» ennemis ont t abattus (Lui» les journées il^a 5 et 6 se temljre à la suite de combats aériens. Dou autres app;ire. 1s ont été contraints cHatte „ tir désempar s. Dans la nuit du & an L «wip^embie, nos etsc<idi/iUes ont lancé ont ^ ceuLs kiu>a île projectiles sur la gara < p Tkionville et quatorze cent» kilos sur ce} r de' Woippy. # • Paris, 7 septembre. — OffioLeA < 11 heure» : Aucune action d'ixJauterie an cour» ( ia .tourn e. Les deux ai\illetri<3S se sot ^ montrée» actives en divers points du iron ^ nouunmeni à 1 est de Vauxaillon, en Ciian pagne duns Lt région des monts et sur 1< deux rives de la Meuse. 1 * , * * Paris, 6 septembre. - Officiel de l'a ^ mée d O tient : Lui>te d artillerie assez violente dan» J p r gion du Vardar, notamment sur la ri> j gaucho, où 1 artillerie britannique contint s?» .lis do destruction sur les ouvrages ei , n^jmis entie ljs lacs Près on et d Oc brick L'ennemi a prononçai sur les positions ru ^ ses (teux attaques successives, dont la pri nu^-re a complètement eciioué. La, deuxion ' lui a permis de prendre pied dans que t qu^s éléments de ttancli^e» avanc^es^ ' / » • • Londres, 6 eaptemorc. — 0f ici 1 : Le 5 septembre, grandis acuvi^ aérîetni A différentes reprises les aviateiaes e._m j mis ont entravé les opérations de ceu.- d ^ nos aviateurs qui rep raient le feu de noti ^ irtillerie et out attacjué mjs escadrilles i lanceurs de boml-es. 3 La nuit, les aviateurs allemands ont lanc quelques bombes à l'arriéra de nos ligne» les explosions ont occasionné peu de dk gê*_ Dans la journée, nos aviateurs ont je! huit bombes sur des croisements d- clteini de fer près de Gan*J ciuq sur de granc hangars établis pr s de Maubouge et cir quanto-quatre 6Ur des buts si.u-.'» prés (i Douai, ainsi qu'à l'est et au nord-est d Cambrai. En outre, soixante-six bombes Oi été lancées sur d'autres points. La nuit, no» aviateur» ont lancé hu t nimbes sur le» champs d'aviation enneai établis prés de Cour!rai, huit sur ceL établi à l'est da Lilis et vingt-huis si d'autres points. Hier, au cours de combats aériens, noc avons descendu cinq appareils ennemis i cinq autres, désemparés, ont étié forcé» atterrir. Trois de nos avions manquen* l'appel. La pluie est tombé© en abondance la B.n dernière et ce nuitin. Grîce à un© pe'.i op^raticwi fructueuse, nous avons lég£reinei avancé œ matin notre ligne d*ava.afc-po«t. an sud-ouest de Lens. Un peju plus tan l'ennemi a dirigé un» vaiua oomre-attaqi ^ contre notre nouvelle ligne- I^cs perte® d« Allemand» sont sensibles. Nous avons fa quelques prisonniei-s. . Aujourd'hui, à l'aube, 1 ennemi a tenté _ deux repuises d'attaquer noa lignes établi* 3 à l'es* d'Arnientières. Sa première tentati\ j ayant échoué sous nos fusillade» et soi le feu de no» mitraillleuses, l'ennemi a d rigé un violent feu d'artillerie contre m tre position et a ensuite prononcé une no veiie attaque, qui lui a permis de pWtr dans nos tranchées, d'où il a été immécLij temeut rejeté à la baïonnette. Un da m ï homuies manque à l'appel. Ce matin, nous avons exécuté dos att: quee locales contre les ouvrages de défont allemnids établis an nord de Frenzeaabor^ Après un violent combat, an eosJr» etequ nous avons repoussé, vers midi, une oonvo attaque de l'-enuemi, qui a subi ds fort< pertes, nous avons fait de légers propre Vingt-huit prisonniers sont resté» en ci* n< mains. L'onnémi a violemment bombardé Aczacs tières tout Je long du jour. Aux pertes que nous a von» su£s23s a cours des afctauues aérienne» prononças» p< l'ennemi la nuit du 4 au 5 septembre, il y a lieu d'à; ou ter 37 prisonnier» alleniao'^i tué» et blessC» par 1 explt^-on dgs boi&« be» allemandes. ♦ * * Home, 7 septembre- — Officiel : Au nord-est de G«rz-, l'enu^ani a su i deamier» jouis de lourdes pextes. Il r s.i.c^ liés&spéréîuent à notre pression qui nan*-^ pas de combats, ilier, nous avons r«iî p>:i« sonmers li officiers et 3S1 sous-otficiçji'd soldais. Sur la Karst, aux violents combats ^ dç* derniers jiurs ont succédé d'énergique^ V>os$-bardemen.s et des opérations partitd^p uous avons eecéoutées pour am^iiores: positions. Kos aviateur» ont porté à différerrr® reprises la du>truoLi.ou et le désarroi d;tn» \<m baiteries ennemies postées dan» les U;U i'anovizza et do Ter nova, ainsi qu à 1 rière des ligne» autricliiennes établies le Karst. e% n P< trograc^ 6 septembre. — Ofiiciei : >s Sur le front à 1 ouest-, dans lu r gt^n «ij ^ Riga^ nos troupes ont continué à se re;i a rer sur la rive septentrion;i.e de l'Aa l},rv e nienue et, vers le nord-est, jusqu'au ccLS ^ la rivière de M Jup. Dans ie» environ»; èci u 1a route de Pleskau et sur la rive de l' A« ^ livonienno, notre infanterie s est retirés juj.-^ que dans la région de Segewald et Ligat, à 25 kilomètres au sud-ouess ds, u VVeuden. Sous la pression de l'enuetoj, ^ celtes de nos troupes opérant à !'«** éa e luga ont continué leur retraite ver® loti i- et ont atteint approximativement la iigu? * lvlingenberg - Moritzberg - Kafîti.en - I"ri';<Iri'-^v-a stadt. Sur le reste du front, fusillades. c. Le 1er et le 2 septembre, nos aviateurs ;<i ont efficacement bombardé la gare ce 11 low, ainsi que des dépôts etmcmi3 , re dans les environs de la vol© ferrie E.o-veçÀ» ^ i ornent; ils ont lancé 24 ponds de ; io^ii*-» fe Le 2 septembre, 22 pouùs d'expxOsiis ow '■*> ctw lancos sur Élenodowka et Kluvinca, sv. tuées au sud-oue^t de Grzimaiow. Dan* Uè it région de Pi.itra, noire artilleiie a ^ un avion ennemi j les aviateui» ont ^té fa^ & prisonniers. v- Sur le front en Kournanie et sus- i'f ^ front du Caucase, fusillades et op^ratiwi? de reconnaissance. ^ jUepecaas Diverses ^ Berlin, 7 septembre : * On annonce olVii-ieliemenA qne les pros* 1 poiriers engagés récemment enu» le ciiaiu». f lier de 1J Lin pire et lo comte Czernin s* * mpportaient à l'organisation 0» 1:-Ut^ ^ t. louais conformément à la proclamation ûs? 5 novembre 191G. Un aeci)rd cc<m^et fess intervenu entre les doux hommes d Ki»Ju ïi*. conséiiuence, on peut s:attendre à tu*,-» délai à une importante procLuna.tioa c<>x* muue de 1 Allemagne et de r'Autricàe-H.0®», : grie au sujet de la quefitio;u constitudoo» e- nehe polomilsc. id , • , »e Stuttgard, 7 septemlure : t. M- Ernest Beii, rédacteur en ohgf rr „N5eues 6tuttgarder Tagblatf', a intervie»^ cet après-mirti AL Miehavlisi, chanaslàesr té PEfenpire, qui est venu rendre visita au r>iv [> de Wurtemberg. Apr^s avoir i>arlû de so f^rentes qu es taons concernant ia réfor.ixt r- électorale, les chemins de fer et rkw!astrs*v 6 M. Michaclis a abordé le terrain podiiiqu# 53 oi a déclaré, entre autres : k — j'ai promis à la Commission prince-;cf pale du Keichstug de régler défmôtivejutsafc ia question do l'Alsace. Lorraine. Il n é^ l>as encore décidé si l'Alsaoe^Lorraine Le divisée ou bien 6i elle sera trans/orné® '■» Ekit fédéral autonome. Pour résoudre la te question, ;e disp<.*se fort heureu^iueot à», u br collaboration de ÈL von Koedém, seer^ l, iaite d'Etat, et de M. Scbwander, bonr^-r- mettre do Strasbourg. ;* M. Michaëlis n'a pas parlé (5e la Belgique, pas plu» que de la Courlanâa et fec la Lithuonie, mais il a déclaré que les r- lutions mûrissaient et que, dans un d&k» relativement rapproché, PAllemagpe fer« a sans doute connaître ses conditions dû p-'ix» « ° y # ♦ te Berlin, 7 septembre : t,- Récemment, les bruits les plu* fanteî« l. sistes oni circulé au sujet d'un accident <U t- chemin de fer qui s'est produit en Belgique ^ On racontait que le général Ludendorff aa» ^ rait été grièvement blessé. De source autorisée, les chose» se «osé passées de la manière suivante : I^e dimanche 19 août 1917, à 11 heurs# d® sot, le train spécial ramenant du champ cfc-bataille en Flandre 1» général Lndend«3cr^ ** s'est- jeté, dans une gare située au sud Brm:eUes, par suite d'une eneur d'aignil^ ° loge, sur uu train chargé de munitions. L& e locomotive de ce dernier a pris en. échappa ^ la partie arrière du wagon dans lequel ** trouvait le général Ludendorff ev les offv é ciers de J'état-major qui 1 ■'accxmrpagmiien^. y Le wagon a été renversa le train coupé *iy f deux et une partie de la voitures.:Ion dh S. E. détruite. Le général Ludondorff e é officiers n'ont été que légèrement y par des éclats de vitres et aucun d'entre » eux n'a dû suspendre son service, l.e g-> t- itérai Ludentlorff est arrivé avec quo].q>^ f. heures de retard' au grand-quartier-gén^ira!* ù ♦ * » tJ Berl n. 6 septemlxr<« : Le grand état-ma;or allemarjd a déski ti ^e publier nn ouvrage sur la gtterre hv>a.<. u diVe- La preïni^e parti» pai^itra au u d'octobre PETITES NOUVELLES ai 5t à CROQUIS D'EXIU à \j < Echo belge > d Amsterdam pubi*e d'»snw> sant» ei'oqulb de Celles «ru exil, où d'i*ï ;f reooniuUtra do» figure» iaialtièrea... Ls stratège : Ce?* au cat6 qu'U optvi* ; S «s' :'J cannait toavn lea coins, et cornu» chaque coi *-■ ît a au moins quatr», jugset de *<=6 connaît.n>uct^« ve*. topogîrfi|phiqur » étexulues. l.e voici, U erAr* «s-l /-claireur, il Iu-;pecto la salle. 0*i« 1 11 a j« connu vos position», U îonn® «ur youp , ÇA y ^ & t, voue êtes touché, laifee---vx)u« cbo*tr cf tooater:, îS Bientôt vo« veux eout éblouis pap de» mirage it suxrreaants ; votre cerveau, a! >n<?u4 p,!r mantes parole», r.Vve de inervcilleus » ciffenriivt« ? ^ voua sentez que l'ennemi ne peut plu» ténfr vaut un tel cau-:iaar -r vox» pa- «E lo ltliia,- vi' J, * t?"» sur la route de Borlia. vous fturs-'wifcw d'nï* » lôgjcese : c Gardon, deux oud« klaare s- r. p- l s Le volontaire qui veut tont jour? : Étt l9i^s % i- était à Ostende à la disposition de gotxvens*-ment ; il attendait de* 11 gracmno» urgents dW-fc-ïlçterre ; Il it . hargé de misa on» secréu», J" mystérieuses, redoutable*, chacun le save£» Kv ^r i«)15, l'AJïgl^texre l« kHe et le olvia ; fi ot-i . t- jour» à. la disi>ï>?ifîotu du gouverne» eut. maia «, jusqu'alors oo n'a pas en besoin (i# liri. PH6, U e«4 on lïoilamle, ml,?i8tioa Atraj^e ; & est vrai qu'H acue Uuit la liçlyiqu» qtuô un peu, li y retourne. Bu 1$17, il e, d'il paatSi-r; ^ au conseil ds rovisioa, ï ifcujwûçp pK4 ; ;. nialbcuxeu^amcnt à l'âge d'un »jw il a e« ^ •l coqueluche ; à. deux ans, un for<. rbisraî «e v ve.iu ; alors voue comprenez.., Yais le vaLoo* tair» veut toujours... Lo malin : J'allai» dire l'esprit malia. *• lo fond, il »e moqJue ds la pairiv, vita la C; _, s sauve la cai>ae. Pour lui, la viftoire de» AlL-1 Co» un mythe, le trioapke de» Cciitr:.'.u\ uino . t. ^ibilifcé p<ï; prolxaUs ; L» patriote» sont dc3 ' T^ tins, les chefs Alli a des idiot» ; les Atilc-1 V il ne sait quoi, mais il dit no pas les eh rk. Au retour ù. Bruxelles, c'est lui qui crlora k r plu» fort^

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