La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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14 January 1917
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s.n. 1917, 14 January. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 05 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/0v89g5h66c/3
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LA METROPOLE 1[ ONE PENNY _L—. CINQ CEHTIMK» PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux: 43, Chancery Lane, W.C.—Téléphone: Holborn 212. ABONNEMENTS : 1 mois, 3 sh. ; 3 mois, 9 ah. Etranger : 1 mois, 4 sh. ; 3 mois, 18 "Çîiinlî-r VIJF CBSTJ __ femf DIX CENTIME! o ame ANNEE Bureaux: 43, Chancery Lane, W.C.— téléphoné: noioom DIMANCHE 14 ET LUNDI 15 JANVIER 1917 Nos, 14-15 LA GRANDE GUERRE i /^tia\T DAI T /t/I A I\TC? hacccmcivp RUSSE DE RIGA t^I I un «J» ' " «nfp nllpm^nde !1^UU>VI1V »■" lation militaire reste des plus sur le seul front où il se ma-icore une certaine activité, ce-Sereth, elle se développe plu-reur de nos alliés. Le grand e -jursuit des deux côtés, dernere , dans les usines de guerre, ou aille avec une fébrile ardeur a ation de la nouvelle campagne est donc actuellement le calme tempête et l'on peut être cer-celle-ci se déchaînera avec une auprès de laquelle pâliront les îds efforts de 1916, 1915 et ut fait prévoir aussi que les s reprendront plus tôt encore le que l'an dernier, au moins >artie est du front occidental et faudra plus attendre six semai-voir de grosses actions enga- ;tendant, la poudre parle à pei-s front. Les Anglais continuent • persévérance et une vigueui ; la série de leurs coups d( aux qui leur donnent d'utiles in sur les dispositifs et les prépa l'ennemi et tiennent ce demie: le tout en couvrant leurs pro -jets. L'activité des patrouille: intre surtout dans les secteur et de Vimy, et autour d'Ypres de la Somme et au sud de Neu die, l'artillerie anglaise a ei ;écuté des bombardements effi : front occupé par les trouu' épublique, l'indetivité apparen. :rale. On ne signale que des ca s intermittentes sur différent n Belgique, au sud tle la Somme région de Chaulnes, en Lorr.i 11 Champagne. lusses récapitulent les résultai récente offensive dans la régio , qui, pour n'avoir eu qu'un ol streint, n'en a pas moins donr 1 considérable. Il appert d'un o: jour du général Radko Dmitrie te offensive a été effectuée prit ait à l'arme blanche, sans grai :rise de munitions. Les trophée rés jusqu'à présent comprenne! >ns, 50 mitrailleuses, la cais: : régiment allemand d'infanter 5.000 marks en espèces sonnai 3 chevaux, deux automobili i, 50.000 masques à gaz, 50.0c es, 15.000 fusils, 20-cuisines ( ne et 10.000 bouteilles de o dernières nouvelles, les Ail ont contre-attaqué en formatic iu sud du lac Babit, à l'est du v : Kalncem. Cette contre-attaqi oussée avec succès et doit ave le grosses pertes à l'assaillar dique l'importance que le haï ndement ennemi attache aux p qu'il a perdues. Certains cri >timent que le succè russes a ande importance au point de v téfense de Riga et d'une offen. té en Courlande de la part d • Il importe, pour que cette offe assisse, que ceux-ci dispose bonne base d'attaque sur l'exti e la ligne ennemie. itre part, l'état-major naval ri Jale que le 6 janvier une escac "ite effectua sur le côte d'Anai raid qui donna des résultats 1 ables. Rien moins que quarar s turcs chargés de vivres à d< n de Constantinople furent cou rs équipages faits prisonniers s à Sébastopol, Ce raid établit u e plus la maîtrise navale russe Moldavie, les Roumains vienn< "Porter un succès signalé. Cont lant courageusement l'ennemi 4 de Monestirka-Kachinul, sur i'Casfo, ils ont réussi, après 1 "olente, à refouler l'ennemi et vr ses tranchées, capturant tr feuses. Des attaques ennem contre une hauteur au sud de la rivière Oituz furent repoussées par les Russes. Par contre, au nord de la rivière Sloni-ki, ceux-ci perdirent une colline. Les Allemands prétendent qu'ils avancent encore au nord de la vallée de la Slanic, mais ils sont forcés de reconnaître que leurs progrès sont arrêtés dans la vallée d'Oituz. Pétrograde ne parle pas du théâtre d'opérations de-la Sereth. D'après les communiqués de l'ennemi, celui-ci aurait cependant fait de nouveaux progrès entre Braïla et Galatz, capturant les villages de Laburtea et de Mihalea. Il-; continuent à bombarder Galatz, dont 'e sort est très précaire. Les Russes, cependant, résistent avec courage et l'avance des Germano-Bulgares est si lente que l'évacuation des céréales de ce centre important pourra sans aucun doute être rendue absolument complète. En Mésopotamie, les Anglais ont capturé une nouvelle position turque ai nord de Kut-el-Amara et sur la rive droite du Tigre, capturant un certair nombre de prisonniers, mais le brouil lard persitant rend l'action de 1 'artillerie et de l'aviation très difficile. ; Les " négociations " de paix enga 5 gées par l'Allemagne prennent de plu: en plus l'allure d'une polémique qui fai 1 ressortir mieux que jamais le véritabh 1 but visé par l'ennemi. Le gouvernement allemand a cru de voir procéder, à la suite de la répons' s des Alliés au président Wilson, a ui e acte diplomatique tout à fait extraordi naire et qui ne rehaussera certainemen s pas la renommée de la Wilhelmstrass aux yeux de l'univers. Berlin parai avoir été si profondément touché pa cette réponse, qui ne le concernait direc tement en aucune façon qu'il a adress S aux neutres en général — que la chos regarde encore moins ! — une réfutatio \ ressemblant plus à un article du comt ' Reventlow qu'à un document dign ,1 d'une chancellerie. Dans cette note, l'Allemagne endoss 1 une fois de plus à l'Entente la respoi )" sabilité de la guerre, l'accuse de crime it contre les petites nationalités et le dro 1 international, reproche à la Belgique -' sans aucune preuve et malgré l'aveu d 10 Chancelier au Reichstag ! • — d'avo 1 violé sa neutralité avant la guerre, pl: s ce une fois de plus sur les Alliés la re !° ponsabilité de toute nouvelle effusion c C sang et annonce que l'Allemagne et si 3" alliés poursuivront la guerre avec ut pleine confiance dans sor^bon droit. e~ Cette note a été accueillie avec ut m grande froideur par la presse neutre surtout par les journaux influents d< Ie Etats-Unis, qui se montrent légitim 'lr ment froissés de l'insulte au bon sens t- à la vérité qu'elle constitue. En réa lt~ té, ce nouveau ti^su de mensonges étf vraisemblablement destiné avant to tl~ à l'usage interne et son but était prob blement de dissiper par de nouvelles f formations officielles l'impression de1 31~ agréable provoquée par la publicatii es de la note des Alliés et de leur répon n" au président Wilson. Ce qui paraît nt prouver, c'est que la nouvelle ne allemande a été immédiatement sun d'une proclamation de l'Empereur is- son peuple où il les excite à de ne ire veaux efforts par la constatation que 1 o Alliés veulent la ruine et la destructi e- de l'Allemagne. ite II est bien inutile de discuter avec ;s- adversaire qui ignore systématiqueme iés les faits et pour lequel les mots eu et mêmes paraissent avoir une autre \ ne leur. Les Alliés n'ont donc pas répon de à la nouvelle note allemande et n'y pondront vraisemblablement pas. L'agt ■nt ce officieuse Reuter publie simpleme re- d'une source britannique bien informi à un bref exposé qui montre suffisammi la le caractère mensonger et déloyal c ne affirmations germaniques. à Après cela, on parlera sans doi Dis moins de paix et la parole sera de n< ies veau au canon. Un émouvant appel du cardinal Mercier La Croix a reçu communication d'une lettre émouvante écrite par le cardinal Mercier à un haut personnage d'une nation alliée. Nous recommandons instamment la lecture de ce document aux catholiques des pays neutres : ... Priez pour notre chère Belgique; elle souffre comme elle n'a jamais souffert. Ces déportations odieuses, ce dépeuplement de nos foyers, les angoisses de ceux qui, jusqu'à présent, ont été épargnés, ont amené un état général de dépression que nous n'avions pas connu jusqu'à cette heure. Il y a, dans les âmes, de la douleur, de la terreur, de la haine. Quelques déportés " par erreur " sont revenus ; ils disent que les traitements qu'ils ont eu à subir là-bas dépassent en horreur tout ce que l'on peut imaginer : la faim, le froid, l'épuisement calculé afin de pouvoir annoncer au monde que l'on n'a pris que les chômeurs " volontaires Nous sommes tous emprisonnés ici, mais si les neutres savaient le traitement que l'on nous inflige, je crois qu'ils ne se borneraient pas à des protestations verbales; sinon, il faudrait désespérer de la charité fraternelle de l'humanité. P.-S. — Quand je parle ci-dessus de " dépression ne croyez pas que ce mot soit synonyme de découragement. Bien rares sont les Belges qui voudraient la paix pour être délivrés de leurs maux. On demeure tenace. On ne veut qu'une paix signée avec fierté, durable, réparatrice. Les Belges auront peine à retenir leurs t larmes en lisant ce cri de détresse de leuj : vénéré primat. Si des neutres peuvent y rester insensibles, c'est, comme ledit le cardi nal, qu'il faut désespérer de l'humanité!.. Le " poirisme " belge t Encore «ne illustration allemande qui nous trahit r Vous souvenez-vous de M. Stubben é amis Anversois? M. Stubben était 1 '"Ar e chitecte ". Sans ses conseils éminents e n marqués au coin de ce suprême bon goû e allemand dont l'exposition de Gand e e la gare d'Aix-la-Chapelle nous offren des spécimens, rien désormais ne pou e vait se faire en Belgique. 1- C'est à lui, en dépit du premier pri « accordé à un artiste français, qu'axai it été confiée la " supervision " de l'en: — bellissement du " Greater Antwerp ' u Vous voilà renseigné. ir Vous allez l'être mieux encore. C l" grand architecte est aussi comme toi 5" Allemand un grand politique. " Non 11 autres Allemands..." ne doutons jamai ïs de rien... M. Stubben a donc déclaré au Tag ie La Flandre ne pourra " prospérer " qi et si la Belgique est partagée en deux Etat r,s l'un flamand, l'autre wallon. La Wallon comprendra les provinces de Liège, Luxen e~ bourg, Namur, Hainaut et la partie mëi ^ . dionale de la province de Rrabant; la Fia dre, les provinces de Limbourg, d'Anver l!t la Flandre Orientale, la 1 .andre Occident ut le et la partie septentrionale de la provin a- de Brabant. C'est dans cette région que f- trouve Bruxelles, et c'est ici qu'est la dif s. culte. Bruxelles, en effet, n'est flamam rl que dans les couches inférieures de la p c pulation. Les classes moyennes et sup Heures sont complètement francisées. M( tre le " parisianisme bruxellois " à la té te des Flandres, ce serait décapiter le mou\ "ie ment flamand. à II importe donc que Bruxelles et ses e u- virons ne fassent partie ni de la Fland es ni de la Wallonie. Ce sera le siège du Ce 3n seil fédéral, du stathouder impérial, de l'a ministration centrale de l'armée, des doi nés, des chemins de fer el des postes. ' serait, entre les deux Etats belges, une vi n libre dans le genre de nos villes libres al x" mandes, qui reconnaissent au-dessus d'el a" l'autorité de l'empereur. L'influence al du mande y grandirait de jour en jour, grâ 'é- aux efforts de nos fonctionnaires, de nol :n- commerce, de notre industrie et de nos é< ■nt les. Nous pourrions y fonder une Univer ie té allemande et une école supérieure te( ,nt nique. Aucune mesure ne nous aiderait c le vantage à gagner les esprits d'une popu tion éloignée de nous depuis trois cents ai ite Une université allemande à Bruxelli >u- M. Stubben? Dieser Tag ist jedoch no nicht gokommen ! CARLOS SILVA VILDOSOLA Avant que la guerre européenne éclatât, M. Carlos Silva Vildôsola, attaché à la légation du Chili à Londres, était déjà considéré comme un des publicis-tes les plus distingués de l'Amérique du -Sud. Mais les informations extrêmement importantes qu'il a dès le début de la conflagration envoyées d'Europe aux journax chiliens ont encore accru sa réputation. Il vient de publier sous ce titre : Del Dolor y„ de la Muerte (De la Douleur et de la Mort), un livre appelé au plus grand retentissement non seulement au Chili mais dans tous les pays de langue espagnole. La substance de cet ouvrage lui a été fournie par la série déjà considérable d'articles » dans lesquels il avait depuis deux ans et demi dépeint à l'intention de ses compatriotes les différents aspects de la guerre. Il eût été profondément regrettable que ces articles, tous copieux, pleins de faits, empreints d'une grande élévation de pensée, écrits dans une style sobre, concis, d'une élégance nerveuse, et d'autant plus impressionnants que toute rhétorique banale, toute déclamation vaine en sont exclues; il eût été dommage que ces articles se perdissent au vent de la publicité quotidienne. En leur donnant la forme définitive et durable du livre, l'éminent écrivain prépare aux historiens futurs de la guerre un document du plus haut intérêt. Esprit froid et pénétrant, observateur intelligent et com-préhensif, collectionneur inlassable de petits faits caractéristiques, selon une méthode qui rappelle celle dé Taine, capable en même temps de grandes vue; d'ensemble, si bien que chacun de se; articles est à la fois un chef-d'œuvre de synthèse et un chef-d'œuvre d'analyse il offre en même temps au public de soi pays les plus précieuses garanties d'im partialité. Louis XVIII disait que 1: brochure de Châteaubriand : De Bonapar te et des Bourbons avait agi pour s: cause aussi efficacement qu'une armée Dans la guerre actuelle où tous les bel ligérants ont compris la nécessité absc lue d'agir sur l'opinion mondiale, l'o peut dire que les publications de M > Silva Vildôsola, elles aussi, ont eu a Chili l'efficacité d'une armée agissar 1 en faveur des Alliés. Si les sympathie 1 de ce pays en faveur de l'Allemagne t assez prononcées au début de la guerre t — moins pourtant qu'on ne l'a crue e Europe — se sont depuis quasi totale ment évanouies, c'est en grande part: x à lui qu'on le doit. Un témoin en qi t l'opinion a confiance peut tant sur elle Et ses articles étaient d'un témoin, se livre est d'un témoin. Tantôt d'Angli terre,» tantôt de France, tantôt de Sui e se, tantôt d'Italie, où il observait, il it terrogeait et se documentait sur plao s il envoyait au Mercurio de Santiago -s dont il a été autrefois directeur — s< impressions qui assurément n'étaient p< d'un touriste superficiel, mais d'un hi torien capable de comprendre et de r: le conter l'histoire à mesure que, vivan et saignante, il la voit se dérouler soi ie ses yeux. Le premier il a assuré s: compatriotes, qui en doutaient encor -, de la réalité des tortures auxquels d s enfants belges avaient été soumis. Dai a- un autre article, étudiant l'opportuni :e d'accueillir dans le sud du Chili, régi( se fertile et, faute de population, presq fi- inutilisée, des ouvriers et efes cultiv le teurs flamands expulsés par la guerre leur pays en flamme et susceptibl d'introduire dans cette partie de l'Air t; rique la culture des plantes textiles ■e_ des industries qui en dérivent, il fais: un magnifique éloge du prolétaire belg n- de- son esprit d'économie, de son car£ re tère sérieux, de son habileté professic n- nelle et de son ardeur au travail. I d" reste, il a écrit, sur la psychologie o ; lective, sur ce qu'on peut appeler l'ai l^(( de la. Belgique, de l'Angleterre, de I France, des considérations dignes d' ps véritable historien et qui resteront. S le- l'organisation matérielle de la guéri ce : sur son côté technique, sur la mobili? :re ; tion, les ambulances, les tranchées, :o- moyens mis en œuvre pour restituer a s'- invalides la possibilité de gagner le sustentation quotidienne, il a des pa£ j"~ descriptives d'une clarté remarquai ls" et qui ont éveillé le plus grand inté parmi ce public américain qui s'intér -s, se de façon si passionnée, si haletan ch à tous les détails de la guerre. Ou b il raconte avec bonne humeur comme arrêté à la frontière franco-suisse par les employés d'une station française qui ne le connaissaient pas et. le tenaient pour suspect en sa qualité d'étranger, il vit leur soupçons s'évanouir lorsqu'ils eurent découvert au fond de sa malle une lettre dont lui-même avait oublié qu'elle se trouvait là et par laquelle un ami de Santiago le félicitait, en français, de sa brillante campagne aliadophile. Il a reçu, par contre, force lettres d'injures de la part des Allemands, nombreux au Chili et qui, naturellement, l'exècrent.Une notoriété méritée et très pure environne déjà son nom en Amérique. Il sied que les Alliés ne soient pas ingrats. Lorsqu'au sortir des combats titaniques qui absorbent présentement toutes leurs énergies, il leur sera donné d'en récapituler les phases, lorsqu'ils pourront apprécier dans toute son étendue l'appui moral que leurs amis des nations neutres et en particulier de l'Espagne et de l'Amérique latine leur ont prêté, il conviendra que tous, et en particulier les Belges, n'oublient jamais la sympathie et la reconnaissance qu'ils doivent à M. Carlos Silva Vildôsola, dont' les écrits ont tant fait pour eux. X. Pour vos fiches : Schimmelpfeng Tous les Anversois connaissent l'Institut Schimmelpfeng, installé, marché aux Souliers, au coin de la rue des Menuisiers.C'était la succursale d'une puissante agence allemande de renseignements commerciaux. La London Gazette vient d'annoncei . que des ordres étaient donnés pour la li l quidation des succursales de l'Institu Schimmelpfeng dans le Royaume-Uni ^ L'Evening News qualifie cette entre prise de " grand système d'espionnagi commercial allemand ", fournissant i à l'Allemagne tous les renseignement ^ nécessaires pour obtenir le contrôle fi nancier des entreprises anglaises. U —: : ' Les naturalisés allemands-belge en Angleterre Une question au gouvernement e Par trois fois, l'autorité militaire belg li a pris à l'égard des Allemands naturalisé i belges des mesures justifiées par le fa ' qu'en vertu de la loi Delbruck, ces naturî lisés conservent la nationalité allemande. La première fois, ce fut en expulsar d'Anvers — et vraisemblablement sur prei i- ves convaincantes — les naturalisés apr^ ;, avoir expulsé les Allemands tout court. — La déuxièrîie fois, ce fut en retirant d >s l'armée de combat, pour les réunir à Bu ,s ges les soldats d'origine allemande. s_ La troisième fois, c'est en France, e maintenant et en renforçant cette deuxièrr décision et en parquant les Allemands d'or 'e gine dans un camp spécial. 1S C'est parfait. Nul ne peut critiquer de ( îs chef ni le gouverneur de la position d'Aï e, vers, ni le chef d'état-major général, poi js l'excellente raison que ce n'est pas le m îs ment d'aller voir d'abord ce que ces natur; lisés ont dans le ventre avant de prend )n une décision à leur égard. Cette décision répond au sentiment p 1C blic belge : " Un Allemand reste toujou a" un Allemand. 3e L'Angleterre a jugé bon d'interner p: es mal de naturalisés. é- N'allons-nous pas au devant d'un repr et phe de la part de l'Angleterre en ne lui d signant pas nos " naturalisés "? •e Cette question se justifie d'autant pl ' que les mesures que l'Angleterre prend c l'égard des Allemands purs ou d'origi n" sont, en ce moment, très renforcées. )u d!- ——— ne La mort du général Wielemai la _____ iir Les condoléances c, du président de la République ;a_ . / •i M. Briand, président du Conseil, a adres es le télégramme suivant à S. E. M. Klobukov Llx ki, ministre de France près le roi Albert : " M le président de la République vc , prie de bien vouloir exprimer au ministre A la guerre ses vives condoléances pour reï perte que l'armée belge vient de faire en îs" personne de M. le lieutenant-général Wie te, iTians, dont il appréciait les qualités éi en nentes." nt. (S) Bria.vd

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