La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres

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s.n. 1917, 10 March. La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres. Seen on 03 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/p55db7ws75/
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LA MÉTROPOLE IONC PENNY CINQ CENTIMII ÏIJF CEHT [J55! DJX CE.1TIMM PARAISSANT PROVISOIREMENT A LONDRES Bureaux: 43, ôhancery Lane, W.C.2 — Téléphoné: Holborn 212. 5 ABONNEMENT -1 moif, 3 sh. ; 3 mois, 9 n< . Etranger : 1 moi-., 4 gh. ; 3 m % 1% «b. uTZ. A-mat in? SAMEDI 10 MARS 1917 2$o. 69 LA GRANDE GUERRE A douze kilomètres de Bagdad CALME DANS L'OUEST ■l'PVPRDITïON DES DARDANELLES acheminement vers Bagdad cqnti avec une grande rapidité. Les trou iju général Maude, au cours de leui suite des Turcs, n'ont rencontr( ine opposition au cours de la jour du 6 mars, bien qu'une tempête d( e rendît la marche~~d'une très gran difficulté. Le contingent turc qu it essayé d'opposer une certaine ré jnce à' Lagi, le S dernier, a évacue positions dans la matinée du 6, et U Lerie britannique dépassa . Ctési' |n — qui était inoccupée — et s'in-lia pour la nuit à Ba\\i, à une dizaine kilomètres au sud-est de Diala. Ce' toit se trouve au confluent du Diak lu Tigre, à un peu plus de douze ki Itres des faubourgs au sud de Bag- le leur côté les Russes poursuivan' [Turcs de Hamadan ont occupé Kan-iar le 6 mars, tandis que dans la di-Ion de Bidjar et de Dîmlatabad le: fations continuent à se développer, gàvar, située à mi-chemin entre H-a-lan et Kermanshah, est une petite [qui se trouve au pied d'une colline )ù se' trouvent des ruines histori-!$.lii en sont les troupes britannique; fonction de Bagdad, but de leurs ef-kP'Les seuls endroits importants en-pvi et Bagdad sont Diala et Gara Bfcla, comme nous disions plus haut pnve à l'embouchure de la rivière (la, sur laquelle on a jeté un pon k de 36 mètres. Entre Bagvi et Diak prouvent des terres cultivées et de fia à Bagdad les rives du Tigre son1 jnies de dattiers. A Gelara, à six kilo-Ires de Bagdad, un pont de bateau* duit à travers le fleuve jusqu'à h •e des pèlerins à Kerbela. ®ïdad, si connue par la légende de fai le Marin et par les Khalifes, la capitale d'un district et le quar-général d'un corps d'armée. agdad est construite sur les deux ri-du Tigre, dont la largeur est ici de mètres, là plus grande partie de h se trouvant sur la rivé gauche, 'possession prochaine de Bagelad, »e peut plus faire de doute en ce ®nt, sera un coup sérieux pour le de la Turquie et un coup fatai les visées de la politique expansion-allemande. Bagdad est en effet 'e "jus de la célèbre " Berlin-Bagdad-qui devait ouvrir les portes de e au commerce et à l'industrie allées et menacer sérieusement le pres: et les intérêts économiques de la ^-Bretagne. i journaux français font des cbm-"res élogieux de l'avance britanni-n Mésopotamie, la déroute des et les succès britanniques en te- Le Petit Journal dit que ces [es> qui sont bitn calculées pour lre un effet profond sur l'Asie oc-a'e entière, pourraient avoir com-$ultat une révolte générale des peu-jctuellemnt sous le joug ottoman, urcs doivent regretter amèrement ■r consenti à abandonner à l'Alle-5 et à la Bulgarie un grand nombre ''sions que se' trouvent maintenant 0ln) Pour être rameriées sur le e d opérations de Mésopotamie, où ' esence est nécessaire. Le Petit dit que les Turcs se trouvent lne position très délicate et le jour-demande si la faction qui est au r à Constantinfople se rend comp-a rapidité avec laquelle elle s'en ''fvant du désastre. 'e front ouest la situation est ?êe. L'expert militaire officiel s remarque qu'aucun événement d attention ne s'est prodtiit au e ces dernières 24 heures, sinon P de main des Français en Cham-lui leur rendit une grande partie ant perdu il y a trois semaines a butte du Mesnil et Maisons rnipagne. - ; 9 Devant Verdun l'activité d'artilleri est toujours concentrée sur la rive gai che de la Meiise où les canons françai : continuent leur œuvre de destruction de ouvrages allemands au bois d'Avocoui et sur la ccte 304. Les actions d'infar ; terie sont limitées à des actions de p£ 1 trouilles et à des raids réciproques. E ; {dehors des coups de main la situation es : identique. Sur le front britannique ne 1 alliés continuent leur mouvement d pression des deux côtés de la vallée d l'Ancre. En général le retour des cor ' ditions atmosphériques hivernales a n lenti de nouveau les opérations. Le premier rapport de la commissio d'enquête au sujet de l'éxpédition de Dardanelles vient de paraître et s'oc cupe de la question de l'opportunité d l'expédition et des premières opérations Quoique le but principal des opérz tions ne fut pas atteint, dit une des cor clusions du rapport, nous pensons qu -certains avantages politiques — la d version demandée par la Russie lors d la grande retraite du grand-duc Nicc las — furent produits par l'expéditio des Dardanelles. Quant à décider si ce avantages valaient les pertes de vies c ; de matériel qui ^ ont été subies cela doi rester une question d'appréciation. Avec une impartialité remarquable f dont nous ne sommes plus surpris dan ce pays-ci les commissaires d'enquête éta blissent la part de responsabilité des au .torités qu,i ont présidé.â l'expédition et I blâme de toute l'affaire est partagé pa M. Asquith, ancien 'premier- ministre Lord Kitchener, Lord Fisher, M. Chur chill, le Collège des experts qui ne par lèrent pas " parce qu'on ne leur deman da rie-n ", le Conseil du cabinet qùi,n' rien demandé aux experts et dont croyait que c'était le devoir de parler Comme la pari de responsabilité enga ^gée par chacune des parties est trop spé ciale, nous ne pouvons que renvoyer rio lecteurs à -la lecture du rapport qui es un document historique de première im portance. o—o „ 'e Les Allemands „ et les savants français Un incident intéressant s'est produi à la dernière séance de l'Académie de; sciences morales de Paris. Le voici te que le rapporte le Figaro : Aq début de la séance, M. Emile Bou trôux demande à l'Académie, au nom d' la section de philosophie, de remplacer li * commission Leibnitz par une commissioi Malebranche : — Avant la guerre, dit-il, la commissioi Leibnitz, dont faisaient partie avec nou: plusieurs savants allemands, s'était proposi de dresser le catalogue raisonné et critiqui des œuvres de Leibnitz et de publier cei œuvres. Par suite des événements, cetti commission s'est trouvée dissoute. Le catalogue, qui est notre œuvre propre à nous Français, nous le publierons. lyjai: nous nous en tiendrons là, car " nous n< pouvons plus collaborer avec des Aile mands Maintenant nos regards se tournent d'ur autre côté, vers Malebranche, qui, avec s; foi religieuse, sa rigueur mathématique, sor envolée métaphysique, a fait une œuvre d'une puissance et eî'une richesse încompa rables. Avec Descartes, Malebranche a su perbement prouvé au mande notre capacité en métaphysique, et on saura gré à notre Académie de s'intéresser à la publication de l'oeuvre de ce "grand philosophe. Nous proposons donc à la Compagnie de nommer en remplacement de la commissior Leibnitz une commission Malebranche. ■ L'Académie, à l'unanimité, approuve la proposition de M. Emile' Boutroux et élit aussitôt les membres de la nouvelle commission Malebranche, qui sera composée de MM. René Stourin, secrétaire perpétuel, Lachelier, Liard, Boutroux, Joly, Bergson, Espinas et Pierre Janet. L'affaire von Gerlach Paris, 8 mars. — D'après un télégramme de Rome au Journal un procès d'espionnage qui doit s'ouvrir dans quelques jours dans la- capitale excite l'intérêt publip plus que tout événement qui s'est produit en Italie depuis son entrée dans la guerre, et on s'attend aux révélations les plus sensationnelles. Le procès a trait à ce qu'on appelle le complot von Gerlach, dont le chef n'est autre que Monsignor von Gerlach, prélat allemand qui, tirant avantage de l'immunité dont il jouissait au Vatican, est accusé d'avoir organisé à Rome un réseau d'intrigues aussi complet qu'étendu.On dit que jîàVmi > ses collaborateurs on comptait plusieurs personnes appartenant à la presse gérmanophile. Une des ramifications de cette organisation, sous la direction de son propre chef, se spécialisait dans la tâche difficile d'introduire le sabotage dans la marine italienne. Un autre groupe de conspirateurs s'occupait de sabotage industriel; une troisième branche était mobilisée pour le transport de la contrebande par .la Suisse. Monsignor von Gerlach, la principale des personnes accusées, fut arrêté à la frontière suisse. Quoique le procès aura probablement eu lieu à huis clos, on croit que des détails intéressants transpireront. L'Ialie se guérit rapidement de la gangrène allemande dont elle a si longtemps souffert. — Exchange. o—o L'Université von Bissing Création d'une Ecole de commerce Un communiqué^du Bureau flamand de la Presse dépendant de la Polilische Abtei-lung de Bruxelles, paru dans les journaux allemands de Belgique, dit : M. lé gouverneur général a ewdonné que l'Université de Gand s'enrichisse d'une seertion nouvelle par la réouverture de l'Ecole supérieure de commerce. Conformément à l'avis du 14 février 1917, de M. le gouverneur général, cette réouverture aura lieu le 22 février, de façon que l'on pu:sse encore commencer l'enseignement pendant le semestre d'hiver. Les cours sont donnés en flamand (néerlandais). Il n'y a que l'enseignement des langues étrangères qui puisse être donné dans ces langues. Le programme de la première année d'études comprendra la comptabilité, les finances et la banque, des exercices commerciaux pratiques, l'ethnologie, la statistique élémentaire, l'histoire du commerce et de l'économie politique moderne, les principes fondamentaux du droit, le néerlandais, l'allemand, l'anglais et le français. Les cours seront donnés par un certain nombre de professeurs de la faculté de droit et de philosophie de l'Université de Gand et par une série de professeurs spécialement nommés à cet effet. Nominations de professeurs Par décision de M. le gouverneur général en date du 31 janvier 1917, M. P. Thibau, docteur en philcfogie, à Gand, et professeur tempora're à l'Athénée royal de cette ville, a été chargé de donner un cours temporaire? de langue française à l'Ecole supérieure de commerce annexée à l'Université de Gand. Il est autorisé à continuer ses fonctions à l'Athénée. Par décision du 31 janvier 1917, M. le gouverneur général a nomméle directeur de l'cçuvre " Volksopbeuring ", à Gand, M. Karel Dé Vriese, en qualité de professeur à l'Ecole supérieure de commerce annexée à l'Université de Gand. Ses fonctions ont pris cours à dater du 31 janvier 1917. Par décision du 31 janvier 1917, M. le gouverneur général a chargé M.-Van Sint Jan, docteur en philologie et professeur temporaire à l'Athénée royal de Gand, dç donner un cours de langue néerlandaise et de langue allemande à l'Ecole supérieure de commerce annexée à l'Université de Gand. M. Van "Sint Jan est autorisé à continuer ses fonctions à l'Athénée. On remarquera que le directeur de la Volksopbeuring — parce que directeur de cette œuvre anti-nationale —- obtient une Chaire de professeur. Il n'y a pas de plus grave accusation à apporter contre la Volksopbeuring d'être une machine de guerre anti-belge que la décision prise par le général von Bissing. ; Une interview du cardinal Mercier ^ L'ATTITUDE DU DR. KREBS t Nous lisons' dans le Tijd, le grand journal catholique d'Amsterdam : Dans l'un des derniers fascicules des ; Lettres catholiques mensuelles, publiées f par le Comité actif pour la défense des intérêts allemands et catholiques dans g la guerre mondiale, le rédacteur, Dr. E. , Krebs, professeur à l'Université alle-1 mande de Freiburg-en-Brisgau, le même propagandiste qui refusa récemment de s'expliquer dans le Tijd au sujet de s ces inexactitudes célèbres, écrit : Dans ces 8e et ne lettres mensuelles j'ai exposé l'activité de l'administration- allemande en Belgique qu'on a si souvent ca-5 lomniée. En dépit de vives attaques, auxquelles j'ai été personnellement exposé de la part de quelques journaux catholiques hollandais et luxembourgeois, aucun de mes accusateurs n'a osé démentir les faits que j'ai exposés. ; J'ai eu- le privilège d'apprendre, écrit le correspondant du Tijd, l'opinion du ; cardinal Mercier sur cette affaire de la 1 bouche du - prélat lui-même. Le numéro en question des LeUres' catholiques men- t suelles se trouvait sur la table d'une - ' chambre du _ premier étage du Palais Archiépiscopal de Malines où le savant cardinal reçoit avec tant de simplicité et 5 de bienveillance les visitçurs qu'introduit auprès de lui le frère Egide. Je me permis de l'interroger au sujet * des Lettres en question. — Savez-vous, Eminence, que ces » lettres mensuelles sont propagées en s Belgique et en Hollande par les Allemands?— Je le sais. Je sais aussi qu'en Belgique (il en sera de même à l'étranger, 2 mais je ne puis pas en juger) Je docteùr î Krebs n'est pris au sérieux par person-î ne. La naïveté (pour ne pas employer un autre terme) de M. le Professeur frise l'invraisemblable. Ne veut-il pas donner ; aux pays neutres un aperçu général de 1 la situation de l'église catholique en Bel-t gique sous la dômination ^allemande? Et pourtant, tout le monde reconnaîtra que tout ce qui se produit dans le 3 domaine moral ou qui se rapporte au 3 droit international intéresse l'église catholique. . Après s'être recueilli, Mgr Mercier ' poursuivit : — L'Allemaghe a commis à l'égard de la Belgique trois -méfaits. Elle s'est rendue coupable de parjure. N'avait-elle pas J prêté serment de protéger la Belgique , contre tout envahisseur et n'a-t-elle pas envahi notre pays pour l'oppresser ensuite? Les Allemands ont commis d'atroces cruautés qui laissent loin derrière elles les plus terribles atrocités des peuples barbares et jetteront une honte éternelle sur l'Allemagne. " Pour se blanchir, elle a calomnié ses victimes et les a accusées de s'être organisées en bandes de brigands appelées francs-tireurs. Le monde civilisé entier sait ceci et tout homme juste le désapprouve avec une indignation profonde. Or, voilà qu'arrive ce l^on M. Krebs qui,- avec la gracieuse adresse d'un acrobate, passe l'éponge sur le triple méfait de l'Allemagne et amnistie celle-ci. Il fait fi — bien entendu — de l'offre que nous avons faite de fournir des preuves irréfutables. Voilà de graves questions qui ne peuvent jamais être étrangères à la morale catholique. " M. Krebs se débarrasse de ses accusateurs, en deux lignes, alors' qu'il consacre des pages entières à des faits beaucoup moins importants. Considère-t-il. que ses lecteurs ne sont pas assez intelligents pour découvrir le nœud du problèfne ? ■ Les soi-disant Lettres mensuelles catholiques ne devraient pas traiter avec tant de légèreté les hauts principes des lois naturelles. Pourtant, le' sous-titre de cette publication éclaire un peu cette affaire et détermine clairement son but. " Ces revues sont publiées par le "Comité actif pour la défense des intérêts allemands et catholiques dans la guerre mondiale ". " En effet, d'abord les intérêts allemands, ensuite ceux des catholiques. Il n'est pas rare de voir les intérêts alle-a vmands primer les intérêts catholiques. Il faut être aveugle pour ne pas constater qu ici les principes catholiques sont repoussés parce qu'ils s'opposent au mépris du droit allemand." Le correspondant du journal hollandais continue à faire, très à propos, le procès du Krebs en question. Il lui reproche de ne lire que des journaux belges soumis à la censure, ou il ne peut donc puiseîr qu'une documentation réfutable. L'épiscopat belge a offert, à différentes reprises, une enquête contradictoire. Krebs a toujours refusé, sous le prétexte que c'était impossible. Evidemment, il trouve beaucoup plus simple de mener, à lui tout seul, une enquete qu'il prétend être la seule qui donne toute garantie d'impartialité. Procéd'é allemand. A l'outil on reconnaît l'ouvrier. • * , Turqueries Depuis que l'Allemagne, grâce à la complicité du C' mité Ujvîon et Pi og' ès, â réussi à faire entrer l'empire ottoman dans son orbite, la Turquie est tiès à la mode à Berlin. On s'en occupe beaucoup, non seulement dans la presse et dans les chancelleries, mais même dans les salons où Ion cause ert jusque dans les boudoirs les plus en vue. Un grand nombre de publications se préoccupent de vulgariser cette turquerie, notamment une revue trimestrielle intitulée Le Monde islamique, éditée par Chéik Abdul Azfz Chanick ^ et Abdul Malik Hamsa Bey, la Nouvelle Turquie, publiée sous la direction du " Dr. " Saffi Bey. Une des caractéristiques de ces publications, c'est que, soiis couleur de "justifier les lois et les coutumes de l'Islam des reproches qui leur sont adressés faussement et errbnément par le monde moderne elles prônent immodérément la valeur civilisatrice (?) de la polygamie et les charmes d'un harem bien fourni ! Ces idées sont évidemment reçues avec faveur par un peuple pour lequel le christianisme n a jamais été qu'un vernis et qui retourne si facilement à la barbarie originelle, ainsi que les événements de la guerre 1 ont prouvé. Il ne* faut pas chercher plus loin i 'origine des propositions de " polygamie autorisée " que des " savants " à lunettes défendent avec le plus grand sérieux pour relever le taux de la natalité ! L'étendue de cette propagande inquiète justement quelques catholiques qui voient clair dans ce jeu. La Gazette populaire de Cologne, notamment, met ses lecteurs' en garde contre les efforts des écrivains ottomans pour provoquer un rapprochement entre l'Allemagne et la Turquie sur le terrain religieux. " Lorsque ces écrivains,_ dit-elle, cherchent à décrire la vie féminine musulmane comme une forme attrayante et idéale, c'est là une chose périlleuse à de nombreux points de vue, pour la raison bien simple que l'idéal chrétien présente.- d'autres vues : lès barrières légales ne sont que trop aisément franchies." Et la* Kôlnisçhe"espère que les apologistes turcs de la polygamie " resteront dans les bornes du bon goût et du tact politique ". Gageons cependant que l'on ne leur appliquera aucune censure et que leur propagande dissolvante pourra se poursuivre comme par le passé. Les catholiques allemands, par leur attitude honteuse, ont perdu, sous ce rapport comme sous tous les autres, le droit de se faire écouter. ——o—o Projet postal franco-suisse A là suite des conférences qui ont eu lieu» ces jours derniers, entre le directeur de l'exploitation postale au ministère français des Postes et Télégraphes et le directeur général des postes suisses, un arrangement a été conclu entre les administrations française et suisse par 1 introduction d'un service el'abon-nements par la poste aux journaux et autres publications périodiques. Ce projet sera soumis à Fexamen et à la ratification des autorités compétentes. Sa mise en vigueur est prçvue pour le 1er mai prochain

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This item is a publication of the title La métropole d'Anvers: paraissant provisoirement à Londres belonging to the category Oorlogspers, published in Londres from 1914 to 1919.

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