Le matin

1535 0
close

Why do you want to report this item?

Remarks

Send
s.n. 1914, 03 May. Le matin. Seen on 26 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/cz3222sb0z/
Show text

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

LE MATIN Dimanche 3 Mal les travaux d'aménâgement, et, si l'on peut dire, de refonte en un seul bloc des diverses parties qui le composent, semblent avoir subi un temps d'arrêt. Quant à certains «embellissements», les.plus expresses réserves s'imposent. Aussi nous pouvons nous féliciter d'avoir dans les Amis des parcs d'Anvers des gardiens vigilants autant qu'avertis de la beauté de nos parcs et jardins. Et nous comptons sur eux pour rappeler chaque fois qu'il sera nécessaire les règles du bon goût à ceux qui seraient tentés de s'en écarter. vvw Le proble»!.*: a c.cuoj Nous recevons une brochure qui porte pour titre: Le Problème de VAlcool en Belgique,' et dont l'auteur, M. Jean Wat'er-keyn, ancien secrétaire de l'Association des. distillateurs industriels de Belgique, préconise la fondation d'une société nationale concessionnaire du monopole de la fabrication de l'alcool. Cette étude est suivie d'une consultation juridique par Mtre Alphonse Leclercq, avocat à la Cour de cassation, le jurisconsulte bien connu. D'après l'auteur, ce monopole serait le seul système susceptible de donner satisfaction tant - à l'Etat qu'aux intéressés. Ce projet respecte la liberté commerciale; il prévoit une réduction progressive de la consommation de l'alcool de bçuche; il assure au Trésor une perception plus certaine du droit d'accise; il procure à l'Etat des ressources notablement plus importantes que sous le régime actuel; enfin, il... prévoit que ces augmentations ' de recettes pourraient être affectées à des institutions d'intérêt social. Voilà qui est, certes, fort intéressant et qui mériterait d'être étudié de près. •f. vt La Journée de la Tuberculose Le succès de la grande fête de bienfaisance organisée pour le 17 courant s'annonce comme devant être plus brillant que jamais. Les inscriptions de demoiselles vendeuses et de commissaires sont plus nombreuses encore que pour lés-fêtes analogues antérieures. D'autre part, les efforts faits en vue de créer, le jour de la fête, dé l'animation dans les rues semblent devoir être fructueux. Nous serons bientôt en mesure de fournir à ce sujet des détails édifiants. A signaler aussi l'émulation qui se manifeste parmi, les commerçants. On a, comme l'an dernier, invité les Commerçants à décorer leurs étalages le 17 mal, à les orner autant que possible au moyen des insignes mis en vente. Cet appel, qui vient à peine d'être fait, a déjà été entendu au delà de toute prévision. C'est par centaines que de nombreux négociants ont commandé des insignes. Divers restaurateurs, pâtissiers, cafetiers . organiseront spécialement des fivë o'clock »*£ ,p,| abandonneront à l'œuvre contre la tuberculose une partie de leur recette. D'autres qui, par suite'de diverses circonstances, ne peuvent rien faire de semblable, ont tenu toutefois à témoigner leur sympathie à la bonne cause par des «rt>uscriptions importantes.Et ainsi se manifeste déjà sous les formes les plus diverses Un magnifique mouvementée générosité en faveur des malheureux déshérités qui trouvent auprès de la Ligue contre la tuberculose un appui si précieux. Les aimables vendeuses qui mèneront le bon combat dimanche en quinze peuvent être assurées qu'elles rencontreront auprès de la charitable population d'Anvers un accueil enthousiaste. On ne saurait assez leur souhaiter un triomphe. •WV\ La kermesse de Berchem C'est hier soir que s'ouvrirent par une grande retraite aux flambeaux la kermesse et la foire annuelle de Borchem. Le beau temps et l'odeur des fritures grésillantes y avaient attiré grand nombre de citadins et c'est au milieu du plus pittoresque charivari de cuivres, d'orgues-pianos, de coups de carabine et d'appels de forains, <|ue fut inaugurée la semaine des baraques. La foire, cette année encore, est située au bout de la chaussée de Berchem, dans la zone immédiatement contiguë qui longe les remparts, et, d'autre part, à la place Van Hombeeck qu'elle encombre toute. C'est là que se dressent les principales attractions, à commencer par un carrousel, qu'entourent de nombreuses échoppes de confiseurs et de marchands de gaufres. Les «Délices de la friture» et les «Paradis des douceurs» ne se comptent pas. Tout le jour et toute la soirée, un brin de lijas aux dents, le piou-piou s'en ira y promener sa promise et les couples grisés de bière blonde et de printemps s'attarderont dans les petits cafés de la grand'route. Mais où sont, se demandent les vieux, les grands bals champêtres du Robinet où tout Anvers dansait jadis de si mémorables «lanoiers»? Mais où sont les neiges d'antan? ww Les foins Atchim! „ — Dieu vous bénisse. Par exemple il s'en passerait bien volontiers de cette bénédiction, le malheureux affligé de la fièvre des foins. Mal terrible, xnal inéluctable qui va tenir pendant plus de deux mois les malheureux qui en soni atteints. Car déjà, l'herbe ayant poussé vite sous ce soleil précoce, il y a du pollen dans l'air. C'est lui qui vient irriter les narines sensibles et qui provoque en même temps qu'une inflammation des muqueuses, yeux, nez, larynx, un état général qui ressemble assez à la fièvre. Le remède? Il n'y en a pas, c'est-à-dire que la cause du mal étant constante on ne parvient à guérir celui-ci qu'en supprimait celle-là. Par exemple l'effet d'un voyage en V mer est merveilleux. A peine les côtes se ^vsont-slles effacées à l'horizon que les éter-paiements ont cessé comme par enchante-trient. Un séjour dans la montagne, mais à ç? ou 3,000 mètres d'altitude au moins, là où il ne croît plus d'herbe- ferait le même effet. Mais tout le monde ne peut pas se payer un luxe pareil. | On en sera donc réduit à rester enferme dans une chambre bien close pendant les | plus beaux mois de la saison. Mieux vaul ! encore éternuer tout son saoul. C'est à quoi nous nous résignons, d'ailleurs sans enthousiasme.«m ..os soldats Ce ii est pas pour rien, on en peut être certain, que l'on a remarqué la belle tenue des troupes de la garnison d'Anvers auj récentes manœuvres qui se "Sont déroftlée's à Beverloo. Cela tient évidemment au travail d'entraî nernent régulier qu'elles fournissent, ainé d'ailleurs qu'au corps des officiers. Bref, on travaille ferme. Ainsi, on peut remarquer, depuis quel ques jours, que nos troupes, régiments dt ligne, génie, artillerie, travaillent avec une activité particulière, une activité qui n'f rien d'insolite, certes, mais qui n'en es.t pas moins très remarquée. A voir paéser nos petits soldats, on s< rend compte d'ailleurs, qu'ils travaillent d( bon cœur. Et ce n'est pas pour déplaire, s: ce n'est que nos soldats sont matineux, e que leurs coups de clairons tirent parfois un peu brusquement de leur sommeil, à de: heures — pourrait-on dire indues? — de paisibles citoyens,qui ne demanderaient pas mieux que de n'être éveillés qu'un peu plus tard. Ceci, évidemment, est un détail noté er passant, et qui n'enlève rien à la satisfac tion de voir travailler ainsi notre armée. vw* Ivoires sculptés Quel art subui et délicat que celui de If sculpture en ivoire! Les neîmbreux visiteurs de l'exposition de nos concitoyens Henrj LUyten et Josué Dupon s'extasient devaiv la svelte finesse de statuettes chryséléphan tines — le mot est joli — telles que ls Diane au diadème d'or, du sculpteur. C'est en effet un procédé tout à fait péril leux que celui de la taille de l'ivoire. Toui d'abord les dimensions de la partie pleine de la défense choisie décident de celles de l'œuvre à exécuter. Toutes les fois qu'une statuette dépasse sensiblement les propor tions d'une. dent d'éléphant de moyenne grosseur, soyez assuré qu'un raccord habile vous empêche de découvrir en quel endroii un second morceau d'ivoire a été juxtapose au fragmènt principal. Et ceci rend le travail du sculpteur particulièrement délicat Après qu'il a aplani la masse d'ivoire sui deux de ses faces opposées, il y profile ai crayon la silhouette de la figurine qu'i entend découper. Puis le travail même d< la sculpture commence, au couteau, ai grattoir et au polissoir. L'art consiste, or l'imagine, à profiter des veines si gracieu ses qui se prolongent dans l'ivoire, poui donner au sujet traité une apparence de chair vivante. Ici, nulle défaillance n'-es-pèrmise au sculpteur; là faute grossièrr une fois commise devient, comme pour le marbre, irréparable. On remarquera que la plupart des gran des pièces d'ivoire sont ornées d'applique-ou de draperies en métal. C'est grâce s elles que l'artiste parvient à dissimuler les points d'attache des différentes parties d< sa statuette. Aussi le résultat est-il tou jours aussi ingénieux que précieusemen artistique. ww Le Droit coitiiufercial Au cours de ses deux dernières séances sous la présidence de MM. Aug. Dupont e L. Keusters, la Commission pour les réfor mes à apporter dans la profession d'agen de change et les Bourses de commerce i ' continué la discussion des principes, don une législation nouvelle en cette matièri devrait consacrer l'application. I Toute limitation numérique des agents di ' change a été écartée de façon absolue. Lî qualité de Belge ou l'autorisation d'établi son domicile en Belgique devront être re quises pour l'exercice de la profession d'à ' gent de change. j Après une longue discussion à laquelli prirent part notamment les délégués de li Commission de la Bourse et de l'Associatioi pour la protection des détenteurs de fond publics, ainsi que MM. Corty, Dupont, Bael de, Keusters, Walckiers, Jacobs-Havenith ! Dykmans et Crabeels, il est décidé que L stage de deux ans, en tant que mesure gé nérale, doit être écarté. Le jury d'admissioi cependant devra pouvoir dispenser de l'exa men prévu dans l'économie du projet, ceu: qui pourront justifier avoir fréquenté pen elant deux années la Bourse comme eiélé gue d'agent de change ou de banquier. L serment et le cautionnement sont écarté, des conditions préalables. ! Quant à la constitution du jury, la Com 1 mission se rallie à une proposition de M Dupont, d'après laquelle il serait nommi pour deux ans, moitié par la Commissioi de la Bourse parmi les agents de chang ayant quinze années d'inscription au ta bleau, moitié par le tribunal de commerc qui désignera notamment un docteur e] droit pour en faire partie. Le président ser; nommé par le ministre du travail et d j l'industrie. Le principe d'un conseil disci | plinaire élu .par les professionnels eux-mê ' mes est admis sur les bases suivantes: Eli gibilité après dix ans d'inscription, applica tion de peines disciplinaires pouvant aile de l'avertissement à la radiation, appel de vant la Cour, juridiction arbitrale pour le ' conflits des agents de change entre eux. i La Commission s'est ajournée au vendred 8 mai. , « AU JOUR-LE-JOUR LES COURSES La plaine de Wiirijck, aux rayons d' soleil, est blonde, très blonde, avec, à tou tes ses extrémités, des taches de verdure s développant comme en gradins. Il y a beau coup de monde sur la pelouse, en majeur partie des Bruxellois. La tribune est garni . d'élégantes et d'élégants; nous préférons d | beaucoup la silhouette des femmes â la I mode à celle des hommes, car, tandis : que celle-là, en dépit de toutes les innova- - lions, de toutes les bizarreries ,conserve sa grâce et son harmonie, celle-ci dégénère aisément en une sorte de caricature un peu ridicule, un tantinet grotesque. Cependant, puisque, c'est la mode, chacun s'efforce d'être ridicule, Notons également la diversité des couleurs dont aiment à se draper' les ' femmes: quelques blouses ut-an go», quelques [ corsages «groseille» —- car les couleurs, en '. entrant à l'usagé des couturières, s'affu-; blent de noms plutôt inattendus —, de nombreux tailleurs ucuisse-de-nymplie», et quelques autres originalités dont les désignations nous échappent, attestaient hier, à la plaine de Wiirijck, où la Société des courses organisait sa deuxième journée, la fertilité inépuisable de l'imagination fémi-, nine. , Par exemple, il ne faut pas s'imaginer que la température, dans ce large espace ; découvert, était particulièrement agréable. Bien au, contraire! Le vient, très généreuse-, ment, aérait sans interruption, et, s'il ne , chassait pas dbvant lui les nuages de pous-i sière dont nous souffrîmes à la première ; réunion de cette année, il octroyait, en ré-; tanche, des frissons aux peaux féminines • —- qui, chacun le sait, sont le moins possible . cowvertes d'étoffes. Au moment que fut s donné le départ de la course de haies, une s jeune personne emprisonnée dans un fourreau noir à dentelles blanches, et qui était L téte-à-tête avec nous, s'écria, en se tortil-■ lant dans un frisson: — Oh! je me suis toute glacée!... Là-bas, au-dessus des glacis du fortin de la porte de Wiirijck, échelonnés et confortablement assis au soleil, des soldats se ; plaisaient à regarder les diverses péripé-' ties de la course. Il n'y en eut guère, si ce n'est... que bien peu des favoris réussirent ' à enlever la palme. Lfi course de haies fut l'Occasion d'un semage à la douce d'un " jockey par son cheval et, incident plus regrettable, d'un effort survenu au train ' d'arrière d'un autre coursier. Toutes les 1 épreuves furent âprement, disputees et présentèrent, chacune dans leur genre, un in-| térêt puissant. Les jockeys, les chevaux eu-' rent leur succès coutumier, tandis qu'au ' pesage quelques uniformes d'officiers de [ cavalerie, d'artillerie et d'infanterie sédui-' saient les yeux de maintes jeunes person-' nés. On n'arrivera jamais à décrire le brouhaha extraordinaire que font, entre les courses, les bookmakers et leurs employés, tandis que, hésitants, les amateurs d'émo-l, tions fortes et les joueurs attendent l'inspi-_ ration. — Bonjour, vous, nous dit l'un de ces 1 joueurs en nous tendant la main, bonjour; 1 sur quel cheval dois-je placer? Vouf n'y \ connaissez rien mais vous aurez la chance sfins doute. Médiocrement flattés, nous nous fîmes I" vrier et ne consentîmes à indiquer .un «tuy-aui* que sur nouvelle insistance. Nous. ' ne rougissons pas d'avouer qu'ayant obéi à notre fantaisiste indication, le joueur en■ [ question en fut pour ses cinq louis. '' Le retour des courses, vers cinq heures, J fut ce que sont, depuis quelques années, | tous ces retours: un nuage de poussière in-' interrompu, et qui demeura soulevé pen-î dant une demi-heure à peu près, le temps " de permettre aux automobiles et aux fiacres de rentrer en ville et de s'y éparpiller. Et chacun, déjà, parlait de séjours de vacatices... — Où comptez-vous aller? {. — Je vais-au-aux! (avec liaison.) — Et, à propos, Zozo, comment va-t-il? t Sivry l a .. - î .AiaL^ers-dE^orirt Chez M. Heileputte * Voici le communiqué officiel qui a été dis-tribué aux journaux à la suite de l'entrevue qui a eu lieu hier, samedi, entre les délégués du gouvernement et -les délégués de la Ville: 3 Une seconde réunion a eu lieu aujourd'hui i au département des travaux publics, au sujet i de la question des travaux maritimes d'An-31 vers. Etaient présents: MM. les miàistres Van de ) Vyvere et Heileputte, M. le bourgmestre De ; Vos, MM les échevins Albrecht, Strauss et ^ Cools,MM. les représentants Franck et Royers. Assistaient à la réunion MM. les ingénieurs en chef Bouckaert et De Winter et M. le di-" recteur Gyselynck. : Les négociations ont porté successivement - sur le territoire à incorporer à la ville d'An- - vers, sur les installations à reprendre, sur les 3 terrains à céder en propriété" à l'administra-3 tion communale, sur les quais à construire en rivière, sur l'intervention de l'Etat dans le . prix de l'écluse du Kruisschans. L'entente a pu s'établir sur la plupart de ces , questions. Les points restés en suspens feront J l'objet d'une nouvelle réunion à bref délai. 1 On peut considérer qu'un accord général ne 3 tardera pas à intervenir. Toutes les mesures sont prises pour que la 3 mise en exploitation des deux nouvelles dar-i ses ne soit retardée en rien. i 3 A l'issue de la réunion, les personnalités - qui y avaient pris part ont été retenues 'à . déjeuner par M. le ministre de l'agriculture . et des travaux publics. r L'exemple t!e Zeebrugge s La Métropole a fait une Vraie trouvaille: elle a découvert que les questions relatives j au port d'Anvers devraient se traiter entre techniciens et que la grande presse ne pourrait pas intervenir dans ce débat. C'est une opinion qu'on peut défendre et combattre. Mais vous ne devineriez jamais l'exemple que la Métropole invoque: celui de Zeebrugge' Il faudrait donc que le public fût écarté d'une question où sont engagés tout l'avenir :f d'Anvers et la prospérité du pays; et on - nous cite comme exemple de cette discré-e tion la plus colossale gaffe technique,finan- - cière, commerciale qui ait été commise e dans notre pays depuis longtemps. e A Zeebrugge aussi, on a travaillé «entre e j techniciens». Les rares fois que des person nes au courant des affaires maritimes — | des Anvsrsois le plus souvent — ont voulu | intervenir on a crié à la jalousie des ports, | à l'envie, à l'égoïsme, quoi encore? Et actuellement que l'échec est complet, | à tous les points de vue,du fameux port de | vitesse qui allait devenir l'un des centres du monde, on vient nous dire: prenez exemple là-dessus; laissez-nous arranger Anvers comme nous avons arrangé Bruges. Ah non! cela a pu réussir à Bruges mais cela ne prendra sûrement pas à Anvers; et, même si cela devait déplaire à la Métropole ou à n'importe qui, nous continuerons à tenir le grand public qui s'intéresse à no- ■ tre port au courant de ce que nous pourrons apprendre. Peut-être que si à Bruges u on avait mieux éclairé l'opinion on n'en se- ; ci rait pas là maintenant avec un travail de cinquante ou soixante millions, qui coûte | 300.000 francs par an et qui en rapporte 201 • ou 25,000. g mm Les ». Il fut un temps où les réceptionnaires de céréales étaient souvent accusés de refuser t; le déchargement par élévateurs. Or, voici que le cas opposé vient de se produire: à cieux reprises, ùn capitaine s'est refusé à ^ employer des élévateurs au déchargement de son navire, ainsi que le prouve la let- ^ i tre suivante adressée à M. G. Albrecht, échevin du commerce: P Monsieur l'Echevin, Les firmes soussignées (Louis tn'.cyius et Cie et Samuel Friedeberg et Landau) ont l'avan- s tage de porter à votre connaissance que le t capitaine du vapeur «Edenmore» (courtiers t Ruys et Cie) se refuse à autoriser le déchargement des grains par ce vapeur au moyen des élévateurs. Nous vous informons de ce* fait afin d'éviter la propagation de la légende que le travail par élévateur dépend du bon vou- c loir des réceptionnaires. Veuillez agréer. Monsieur l'éçhevin, l'assu- £ rance de noire considération distinguée. 1 Signé: Louis Dreyfus et; Cie. ;i .Samuel Friedeberg et Landau. j T 1 P. S. — Le même fait vient de se produire e à bord du vapeur «Confield», s r t* r NouveHes diverses AVIS-POSTAL. — Le steamer «Derfflinger», du Norddeutscbe Lloyd, partira d'Anvers pour ] l'Asie orientale le 4 mai, à 6 heures. La dernière levée de la boîte au bureau c central, place Verte, aura lieu le 3 .mai, à i 21.30 heures. NAVIGATION. — Compagnie belge maritime . ' du Congo: Le steamer «Anversville», allant du : Congo à Anvers, a quitté La Rochelle-Palice samedi matin, à 8.30"heures, et peut être atten-du à destination lundi, 4 mai, vers 7 heures 1 du matin. — Red Star line: Le paquebot « Finland » est parti d'Anvers le 2 mai, à 16 heures, en destination de New-York avec 265 passagers de cabine ' et 1,061 passagers de 3me classe. LE VOYAGE D'ESSAI DU «VATERLAND». ' —r D'après une dépêche reçue hier de Ham- , 1 bourg le steamer «Vaterland», actuellement le *= plus' grand navire dp monde, a pleinement 1 réussi dans son voyage d'essai qui s'est effec- I , tué de Hambourg en Norwège. Celui-ci dura ' deux jours. * La vitesse vent debout, (4) a été de 25.4 nœuds J et vent arrière de 26.3 nœuds, soit une vitesse moyenne de 25.8 nœuds. 1 | Les machines ont travaillé d'une façon irréprochable, développant 90,000 chevaux, La sta-, i i lité a été extraordinaire et les machines 1 n'ont occasionné aucune vibration. | AFRICA. —- Carloforte, 30 avril. — Par suite 1 du mauvais temps on n'a pu commencer le i1 déchargemen qu'aujourd'hui; après avoir re- ' tiré 50 tonnes de cargaison du vapeur, on a < dû cesser les opérations, la pompe étant dérangée. C.elle-ci sera remise en ordre ce soir, s après quoi on continuera le déchargement. ANTWERPEN. — Le steamer belge «Antwer-pen, arrivé à Anvers, venant de Middlesbro, < rapporte avoir essayé des mauvais temps en |1 cours de route. | J En ouvrant les écoutilles à Anvers, l'équipa- ( < gê constata que deux parties pitch de la cale i n. 2 s'étaient partiellement mélangées. HIGHLAND PIPER. — Montevideo, 30 avril. > i L" steamer anglais «Highland Piper» est arri-1 < vé ici, après éehouement et se trouve mainte- i nant le long du wharf. Le navire ira réparer sôs avaries en cale sèche à Buenos-Ayres; demain le navire sera examiné ^ ar un expert, '■ URMSTON GRANGE. — Puntu Arenas, 30 1 avril. — Le steamer anglais «Urmston Gran- : ge» a été réparé provisoirement par l'équipa- j I ge. Dans quelques jours il pourra partir pour- : j vu de certificat de navigabilité. 1 ] ! SAHARA, EBERNBURG. — Rosario, 30 avril, j ' — Le steamer anglais aSahara» et le steamer s allemand «Ebernburg» ont été en collision. Le ' 1 «Sahara» encourut eics avaries à la passerelle : et pourra être réparé provisoirement. Il pren- < j dra la mer demain. | SATURNIA. — Montréal, 30 atril. — I -> steamer anglais «Saturnia» a touché le fond en i aval de Quebec et a encouru des avaries. Demain il entrera en cale sèche à Montréal. Son . ! chargement n'aurait oas souffert. | SEEFAHRER. — Hambourg, 30 avril. — Le î 4-mâts barque alle mand «Seefahrer», qui fut ; ! endommagé par le steam r allemand «Derf- : f'ingef» à son poste d'amarrage, a été examiné; on lui devra renouveler deux tôles de ' pavois à tribord et reelresser quelques autres plaques. —;—^—« ES! TïSffliS MOTS... .Te viens de voir un îomme profondément . absorbé dans la lecture du Moniteur officiel. ! Et je n'ai pu m'empêclier de lui demander en quoi cette lecture pouvait à ce point le passionner.— Comment? fit-il. Vous ne lisez jamais le Moniteurl — Je ne le lis jamais sans y être forcé. — Vous avez tort, car il renferme des rubriques souvent fort intéressantes. Ainsi, je ; parcours en ce moment la liste des brevets d'invention qui ont été pris au cours du mois dernier. C'est effrayant "ce que l'on prend de brevets d'invention en Belgique. | — Par quels problèmes nos inventeurs se sentent-ils attirés? —- Lisez le Moniteur. Vous verrez que c'est l'automobile qui retient surtouf leur attention. En ce seul mois, plus de vingt brevets de pneus et de i roues élastiques » ont été délivrés. Et il en est ainsi tous les mois depuis des années. — Cela doit être un résultat indirect du mauvais état de nos routes.., * * * Celui que j'avais ainsi abordé se mit à déplier le Moniteur devant moi: i l©ts*© 1 BON Abraham Vertioeveii Imprimeur et journaliste (? - 1637) — Voici, dit-il, un inventeur qui a découvert n système de chauffage électrique des volante 'automobile. — C'est le dernier cri du confort! — Mais il y a beaucoup mieux que cela insi, dans cette liste de plusieurs pages jj plève au hasard: un système de cravate rêver-' ible, un parapluie de poche... ■— Précieuse découverte pour les distraits! — Un talon de bottine artistique. —• Qui fera la joie des « suiveurs ». — Un écailleur de poissons, une « canne dis. :âbutrice de blé empoisonné ». — Qu'est-ce que c'est que cela? — Je n'en sais rien... Voilà encore un «cen-rier de poche», un pinceau-réservoir.. — Pour les peintres-éclairs, probablement — Un chariot-étagère, un pâté de foiedecam. agné... — ...'! — Un calibre pour-trous, une chemise de nuit 'erfectionnée... — En quoi? — Le Moniteur ne le dit pas. Enfin, que pen-ez-vous de cette « cloche thermique et hélio-Siérapique destinée au traitement thérapeu-[que des vivants ». , * .. * *:• le m'empressai de reconnaître qu'ea en'et ette lecture était parfois divertissante. — Elle a un autre intérêt encore, me dit ce onhomme, elle est d'une incontestable actua-Lté. On y trouve des inventions qui s'adaptent toutes les lois et à tous les règlements les •lus modernes. Ainsi, le nouveau tarif télépho-: .ique est à peine en vigueur depuis deux jours t voici que le Moniteur nous apprend la nais-ance de deux « systèmes de prépaiement auto-aat-ique » à l'usage des magasins et des caba-etiers.— Déjà! — Parfaitement. Ces systèmes s'adaptent à 'appareil téléphonique et le cornet ne se déroche plus qu'après un versement préalable .e deux sous. — C'est fort ingénieux... Mais dites-moi? — Quoi? — Faites-moi donc le plaisir de me prévenir orsque la prochaine liste de brevets paraîtra. — Lisez tous les jours le Moniteur. — C'est que voilà précisément... Je n'en ai las le courage. Georges Dolnay LA TRAQUE DES JEUX. — Un eabaretier tait poursuivi hier à la 5me chambre correc-lonnelle, présidée par M. Biart, pour atoif lermis l'installation, dans son établissement, l'un appareil dit «Au Veinard», un jeu de tasard en ce que, suivant l'inventeur, oiï avait tne chance sur sept d'être gagnant: en même emps on poursuivait celui qui avait installé, / 'appareil. Le tribunal a condamné le premier à101' rancs d'amende, le second à 200 franeîs- Maures poursuites sont intentées. AGENT DE CHANGE MALHONNETE. - La nême chambre a jugé par défaut H.. , denat ionalité allemande, qui était prévenu daims le confiance de 11,500 francs. II... a été condamné à une année dempri-;onnement et à 26 francs d'amende. VENGEANCE. — Pour*défendre sa femme :ontre des propos tenus sur son compte pat me autre femme, un individu du quartier du )ain avait porté à celle-ci un coup de couteau pli faillit avoir des suites funestes: elle lut naïade deux mois durant. ,, L'inculpé, défendu par Mtre Bernays. a De-îéficié de circonstances atténuantes, grâce a les antécédents favorables. On l'a condamne i 6 mois de prison. » * * ASSISES D'ANVERS. — Dans cette même mdience, M. le substitut Michielsen a ecture d'une ordonnance de la Cour dapp®? 'ixant au 25 de ce mois, sous la présidencei» \i. ls conseiller Mafféi, l'ouverture de la*m« session des assises de la province eJAnvei» jour l'année 1914. JURY. — Dans cette même audience encore, e tribunal, sous la présidence de M, ie J b tstas, a procédé au tirage au sort (le:s J . iui auront à juger les affaires qui --fixées éventuellement pour cette session. M. le juge Heimburger a fait la procu ,ion des noms suivants: â Verbeeck, A. Peraerts, A. v fs cSset-\nvers; F. Dufour, à Turnhout; A. Scnoeb ers, à Contich; R. Raeymaekers, J. Van «, 3roeck, à Anvers: Ch. Godding, ; ^ :. Van Buiten, à Rorgerhout: F. A'an Hoo. ûietre; P. Cools, T. De îaeger, l *<"» u envers; J. Somers, J .Adam, a Malin-; ;jega, à Niel; A. Mellaerts, à Borgerhout,^ /an den Broec.k. L. Nauwelaerts. a P. Borges, à Malines; G. Albrccb ^ ^outî Smedt. à Anvers; A. Bogaerts, à Borg . F. De Meester, à Malines; J. von Bern Envers; Ph. Cammaert, à Bornent. • à cens, J. Lauwers, à Anvers; J. Br Berchem; J. De Ridder, à Borgerhout. Supplémentaires: Fr. Pasmans, •L- : e à nerman, J. De Strycker, O. van de Werve, '.nvers. ______ Petites Nouvelles judisia'^55 ELOGE FUNEBRE. - Au début de ''audience de la Ire chambre civile d hier. M.M, Ment De Winter, M le substitut Coflên^, ^ le bâtonnier de l'Ordre et M. le P "j.-pjnent .a chambre des avoués ont SU'C.,„"cat De prononcé l'éloge funèbre de empô^ Vos, juge suppléant, qui vient dêtre eroi 3ans la fleur de l'âge. ips plus Mtre De Vos était un des membres actifs du barreau flamand. Tous » ^ se sont exprimés dans la langue q chère. .yvetos ofSci®!® «MONITEUR» LU 2 MAI ENSEIGNEMENT SU ERI^'n;nua'roni-tcur» publie un a. ete royal <lo>< ^ mmoi. position des jurys chargés de ]Uge. g res, et, s'il y a lieu, les «preuves ulten du concours universitaire pour um

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
This item is a publication of the title Le matin belonging to the category Liberale pers, published in Anvers from 1894 to 1974.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Add to collection

Location

Subjects

Periods