Le matin

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s.n. 1914, 26 August. Le matin. Seen on 25 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/2n4zg6h24q/
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'Mercredi26 Août 1914 ———— ' T ' ' u——i * Sme EIllTÏOre - CIÎVQ CK^TIMES ______ . . . . . 21m3 Année — N° 238 «w RÉDACTION «(.VIEILLE BOURSE, 39 ASVER8 Téléphone Rédaction ; «l'y jV.KOiwiements : ! Un an ... » .fr. 1S.OO Six mois S'SJÎ Trois mois . . • . S.î>() 1 Un ail . . . - . . 16.00 BurisiEUR \ mois . « • * « S. KO P®7 /Trois mois .... B (K> îiifflER : France, Angleterre, Allemagne et Union «'aie, par trimestre, fr. 9.00. — Hollande et tond-Duché, par trimestre, fr. V.OO. WonMment se poursuit jusqu'à refus formel. LE MATIN JOURNAL QUOTIDIEN ADMINISTRATION 39,VIEILLE BOURSE, 39 AÎWVEÏ&S Téléphone Administration : S61 C. de CAUWER, Directeur v-' v Annonces : Anh&iees la petite ligne, fr. O 30 Annonces financières id. » 1 ((O Réclames la ligne, > 1 .îîO Faits divers corps id. » 3 OO Chronique sportive id. » 3 OO Faits divers fin id. > 2.00 La Ville id. » 3S.OO Emissions Prise à convenir. Les annonces de la France, de VAngleterre et de l'Amérique sont exclusivement reçues à Bruxelles çhez MM. J. Lebègue & Co. ——aBac—gmu»,.-,Tliirei.'ii.mL»n™a—tr?»«na NOUVELLES DE 3 HEURES La situation sur la frontière française tes forces franco-anglaises sur la ligne de la Meuse PARIS, 25 août. — Communiqué du minis-n de la guerre, le 25 août, 23 heures. — A îisst de la Meuse, par suite d'ordres d'a-liiMiier, les troupes qui doivent demeurer j»la ligne de couverture dans une attitude fifensive se massèrent de la façon suivante: Le; troupes franco-anglaises occupent la li-jr; de front dans le voisinage de Givet, qu'élit; gagnèrent en combattant, tenant en res-pett l'adversaire, dont l'offensive a été nette-Mit arrêtée. Il'est de la Meuse, les troupes ont regagné ('«placement de départ, en maîtrisant les Abouchés de la grande forêt des Ardennes. ta avons pris à droite une vigoureuse offensive, faisant reculer l'ennemi, mais le gé-wlissime a arrêté la poursuite pour réta-(lir le front de combat sur la ligne assignée ivant-hier. Les troupes françaises montrèrent dans l'of-lensive un admirable entrain. Le six'ème torps, notamment, fit subir à l'ennemi, du tolé de Virton, des pertes considérables. — KavaS'Reuter. Sir la ligne Mauheuge-Donon — Les pointes de cavalerie vers Roubaix-Tourcoing-Roubaix — Les Africains et la Garde prussienne — Un combat belgo-an-hWrançais sans précédent Wfl/S, 26. — Deuxième communiqué du nin'slère de la guerre, le 25 août. — Les deux nées ont pris une offensive combinée, l'une Want de la Couronne de Nancy, l'autre du l#d de Lunéville. La bataille engagée hier continue actuellement.Le quinzième corps, fortement éprouvé, s'est replié en arrière et, reconstitué, participa à la bataille, exécutant une contre-attaque ] très brillante dans la vallée de la Vezouze. ( L'attitude des troupes a été très belle et , montre qu'il ne reste aucun souvenir de la surprise du 20 août. Le généralissime ayant besoin sur la Meuse de toutes les troupes, ordonna d'évaouer progressivement la Haute<Alsace occupée; Mul- , house a été évacué. L'act'on militaire entreprise entre Maubeu* ge-Donon devant décider du sort de la France i et de l'Alsace, le généralissime appelle, pour l'attaque décisive, toutes les forces de la na- ] tion, y compris celles de la vallée du Rhin. j C'est une cruelle nécessité que l'armée d'Alsace et son chef eurent de la peine à subir et à laquelle ils ne se soumirent qu'à la ( dernière extrémité. i Les partis de cavalerie, apparus avant-hier j dans la région de LiJle-Roubaix-Toircoing, ( apparurent h'er dans la région de Douai. Ils ne peuvent avancer davantage qu'en s'expo-sant de tomber dans les lignes anglaises. Malgré les énormes fatigues et les pertes l subies par trois jours consécutifs de combat, le moral des troupes reste excellent; elles ne demandent que combattre. Avant-hier, le fait saillant fut la rencontre 1 formidable des tirailleurs algériens et séné- ( galais avec la garde prussienne, sur laquelle les Africains se Jetèrent avec une inexprima- | ble furie. La garde fut éprouvée dans le combat qui dégénéra en corps à corps. L'oncle * ae l'ertipéréilr, le prince Adalbert, fut tué. Le 1 corps a été transporté à Charlero1. L'armée française est calme et résolue. Elle • continuera aujourd'hui son magnifique effort, supportant actuellement avec l'héroïque 1 armée belge, qui hier reprit Malines, et la vigoureuse armée anglaise, le poids d'un combat sans précédent par son acharnement réciproque et par sa durée. — Havas-Reuter. E l'artillerie française contre de la cavalerie allemande - Les Turcos , « - PARIS, 26 août. — Le «Petit Parisien» dit des deux fut abattu et deux officiers aile- 1 ne des troupes de la cavalerie allemande mands furent tués. I ""prenant au moins une division a fait un Le «Petit Parisien», d'après le récit des sol- ™ sur le territoire français vers Condé sur dats anglais blessés, dit: «eut en traversant divers villages et sont Les alliés firent une véritable hécatombe ' ™ees vers Banchain mardi, vers 4 heures, des Allemands près de Mons. « furent reçues par un régiment d'artil- Dans différents endroits du champs de ba- ' »ie français qui aurait presque complète- taille l'amoncellement des cadavres ennemis anéanti la cavalerie. était te! que dans une charge furieuse les tur- j , cos éprouvèrent de la difficulté à joindre l'ad- P* aéroplanes survolèrent Cambrai; un versaire. tonmunipé anglais - Déclarations l il LoM Kitchener : Les sacrifices des m Belgique m seront pas inutiles : IGNORES, 26 août. — A la chambre des Lord Kitchener donne lecture d'un télé- Prunes, M. Asquith a déclaré que le géné- gramme du général French, disant que la ba- c l'avisa dans la matinée que la :e- taille fut rude- , 1 e des troupes sur. les nouvelles positions Lord Kitchener ajoute que le. peuple fran- EiUa aveo SU2cès,, mais avec des pertes çaïs apprécie la valeur de l'assistance don- s Mfl»rables. L'état moral est bon. née. Il regrette que la stratégie n'ait pas par- i 0.. ' mis de se ranger aux côtés de la brave armée ; W-.»» discours à la chambre des Lords, belge dans sa luîîe superbe contre des forces £ ■Lt,. "3r a déclaré que la girerre ren- supérieures. Mais la Belgique sait qu'elle a e 'lfeuci»Sa're C <- grands Eacr'''oes ^e la Par* notre sympathie dans ses souffrances actuel- 1 litjj I ss ang!ais, sacrifices auxquels coopé- les. Elle peut être assurée que nous sommes ré- c ' 3S colonies. solus à faire ce qu'il faudra pour que Ses sa- c ^ccrriq orifices ne soient pas inutiles. ''•t sur"i»* a'tionnaire anglais actuelle- u termine en disant que les Indes, le Cana- 1,es au* ps e ba4aili8 est depuis 36 ,ja l'Australie et la Nouvelle Zélande envoient I '"bandes » aVe° 065 slif3?rieures d'importants contingents. Les éserves en An- t ^"nnelie'no i,a mamîenu Sa réputation tra- gieterre répondent loyalement à l'appel au de- t L e ae bravoure du soldat anglais. vair. _ Havas-P.euter. t i __ i i français progressent dans Les Polonais d'Amérique ! ^ région de Lunéville veulent venir se battre * 'IIRIS ,, Le Matin de Paris du 20 août publie la note i dy ' 3,~ La situation est inchangée dans suivante : '!>ii-°eS|,1-8 bataiile continue dans la région « Lés ' Polonais de l'Amérique du Nord se ■ ev!i|e où les troupes françaises progrès- sont montrés vivement émus par la procla- Ui" frontière du Luxembourg dans la mation flu tsar sur ,a résurrection de la Po- Se la logne, Il y a, comme on le sait, trois mil- r'imnort ° plusisuis engagements iions et demi de Polonais aux Etats-Unis.- i I'Hom an°e ont eut ,ieUl °ans ,a région » On nous annonce de source sûe qu'ils se i L, la situation n'est pas inquiétante. Au- préparent à enVoyer en France, pour les met- ; j | jwand n'a étô aperçu aujourd'hui aux tre }l Aa disposition des autorités militaires, t ge.j., . ■ quarante nulle d'entre eux, organises militai-P®8' en vu °^co,n¥u 'Je3 !W»"ur«a sont rement, exercés au tir, habillés et équipés et î u® «'opérations ultérieures formant presque une armée régulière. 1 Nominations et promotions pour actions d'éclat Le roi voulant par un témoignage de sa haute satisfaction reconnaître les actions d'éclat accomplies par les militaires ci-après,dans la première partie de la campagne, a nommés dans son Ordre de Léopold : i Commandeur Le colonel pensionné J. V. D. Loiselet, en service à l'artillerie de forteresse de Liège. Chevaliers : L'adjudant Nollet, du 12me régiment de ligne; Les caporaux : Sapin, du 32me régiment de ' ligne; Lefever, c'u 32me régiment de ligne; De. broux, du 12me régiment de-ligne; Les soldats : Beaudrihaye, du 32me régiment de ligne; Nicaise, du 32me id.; Lange, du 12me 1 id.; F. Bovesse, du 14me id.; Andry, du 14me id.; Dejaiffe, du 14me id.; Piret, du 14me id.; Melot, du 14me id.-; Et nommés : Lieutenant-colonel: Le major A. E. M. Col-lyns. C. J. L., du 12me régiment de ligne; Capitaines commandants ; Le capitaine en second, H. B. Grossman, du 12me régiment de ligne; le capitaine en second F. L. J. Dubreuoq, ( du 9me de ligne; Capitaines en second : Le lieutenant A. T. ' Noterman, du lime régiment de ligne; le lieu- , tenant J. N. U- Lepago, du 9me régiment, de ligne; Lieutenant : l'élève de l'Ecole militaire A. J. J. Defraiteur, faisant fonctions de chef de peloton au 12me régiment de ligne. Le „ Zeppelin" Il esquisse une nouvelle tentative, qui est déjouée ANVERS, mercredi midi. — Le dirigeable allemand qui,dans la nuit de lundi à mardi,avait survolé Anvers dans les conditions que l'on con-nait, a tenté cette nuit de renouveler son ex- < ploit(?) i La manière dont il avait procédé ayant été | étudiée à fond, on a pu prendre immédiatement des mesures propres à déjouer sa tactique... Notre «visiteur» s'est rendu compte du grand danger qu'il courait et a renoncé à sa tentative. Ce que vaut la signature allemande A propos du nouveau « procédé de guerre » innové par les Allemands, dans la nuit du 24 au 25 août, et qui vient s'ajouter à une série déjà longue, il est essentiel de rappeler ici une loi insérée au « Moniteur », concernant la session de 1907 de la Conférence de la ;. Paix: j, « La loi approuve les conventions et la déclaration annexées à l'acte formel de la deuxième conférence de la Paix et signées le 18 octobre 1907 par la Belgique et les puissances représentées à la dite conférence («Moniteur» du 6 novembre). » XII. — Déclaration relative à l'interdiction 1 de lancer des projectiles et des explosifs du « haut de ballons. » Les soussignés, plénipotentiaires des puis-]; sances ; conviées à la deuxième Conférence ' : internationale de la Paix à La Haye, dûment i autorisés à cet effet par leurs gouvernements, ; s'inspirént des sentiments qui ont trouvé leur, \ expression dans, la déclaration de St-Péters- i bourg des 29 novembre/11 décembre 1868 et ] désirant renouveler la déclaration dé La Haye ; du 29 juillet 1899, arrivée à expiration. ; » Déclarent : ] ; » Les puissances contractantes consentent, ] pour une période allant jusqu'à la fin de la -troisième conférence de la paix, à l'interdic-1 tion de lancer des projectiles et des explosifs ■, du haut de ballons ou par d'autres modes analogues nouveaux. La présente déclaration n'est obligatoire que pour les puissances con-1 tractantes, en cas de guerre, entre deux ou j plusieurs d'entre elles. » La fin de la 3me conférence de la paix n'au-11 ra lieu qu'en octobre^ 1914 ! Et l'Allemagne a signé cette convention... Les dégâts causés par Ses bombes i Les habitants des numéros 21, 23 et 31 de la 1 rue Verdussen que nous n'avions pas cités nous '. font remarquer que la bombe tombée dans le jardin du 27 leur a causé également d'importants dégâts." Le 19 qui est inoccupé a été fort mal arrangé alissi.i'ous les carreaux sont cassés et les charn- i branles des portes et des fenêtres arraches. J La marche en avant des Russes Les autrichiens sont repoussés — Les Allemands évacuent Osterode abandonnant des canons et des mitrailleuses PET ERS BOURG, 25 août. — Dans le communiqué de l'état-major le généralissime dit : Le 23 août, les arrière-gardes autrichiennes tentèrent d'entraver la marche des Russes dans la région de Tarnopoi-Tcherkovei, mais après une série de combats, ils furent repoussés. L'offensive russe continue. Nous primes de nombreux wagons, deux mitrailleuses et beaucoup de munitions de guerre. Au sud de Groudeschone nous abattîmes un aéroplane autrichien. Deux officiers aviateurs ont été tués, un autre a lté blessé. Sur le front oriental prussien, l'armée alîemande bat en retraite par marches forcées. Une partie de cette armée se replie sur Kœnigsherg. Les Allemands ont abandonné sans coup férir une position préalablement fortifiée sur la rivière Angherapp. Les routes au delà de l'Angherapp sont parsemées de cartouches, obus et sacs, que l'ennemi jeta dans le but d'accélérer sa retraite. Les Russes ont occupé Insterbourg et Angerbourg. Le 23 et le 24 août, les Russes ont livré d'heureux combats acharnés à d'importantes forces allemandes dans la même région. Le vingtième corps allemand, d'un effectif de trois divisions, occupait une position fortifiée à Oblau-Fran-konau. Les Russes, franchissant les fossés et rompant les barrages en fil de fer, ont attaqué cette position, employant cSes grenades à main. Le vingtième corps allemand enveloppé par nous sur le flanc gauche évacua Osterode, abandonnant plusieurs canons, mitrailleuses, camions et des prisonniers. IVOTE. — TARIVOPOI, est une ville importante de In Galicie oriental© à !®2S kilomètres de la frontière. O HTJEOIt Oï» K est une ville d© la Prusse orientale SttJEi IL A FRONTIÈRE ï»iaaJSSE OCCIDENTALE. Elle est située à près tle 5ÎOO kilomètres de la frontière orientale do l'Allemagne et de kilomètres de Bîerlin. Hostilités i Mil Les hostilités au delà de ialines ANVERS, mercredi irtidi. — Officiel. — Lei opérations au delà de Malines se sont dérou lées, cette nuit et ce matin, suivant le program me prévu par le grand quartier général, de sor ïe que le but poursuivi doit, à l'heure actuelle selon toute probabilité, avoir été atteint. A Louvain Un témoin qui se trouvait dimanche à Lou rain et a pu revenir à Gand par des moyen; le fortune a raconté ce qui suit à un confrèrt le la t'iandre Libérale: «Toute la ville est occupée par les Allemands. 3ans plusieurs maisons logent plus de vingl îommes. La gare est transformée en un vaste ltelier de réparations où les Allemands reta Dent leur matériel usé et ferrent de neuf leurs ;hevaux. Derrière la station, dans la direction de Cor jeek-Loo, s'étend une sorte de vaste tente — malogue, dit le correspondant,— aux installa ^ins de Barnum que nous avons pu voir ici 1 y a quelques années: cette tente contient une loulangerie, une boucherie, des fours porta Ifs, etc. La station de Wesemael est en ruines; celle l'Haecht a été incendiée. La fabrique de con serves de Wespelaer a été rassée jusqu'aux iondations. Les voies ferrées, à plusieurs en iroits, ont été dynamitées. Cavalerie allemande décimée à Thouroui On télégraphie de Bruges au Bien Publie, le !5 août: Mardi matin, un escadron de uhlans, 16( cavaliers et cyclistes, a envahi la région -de 1" h ouï au t et marché vers Ostende, qu'elle croyait dépourvut de toutes troupes. Dès qu'elle eut étô signalée, une centaine de gendarmes se mirent à sa poursuite. Ils s'em ausquèrent dans les fossés, entre le pont de Snaeskertç.c et Ichtegepi, et dès que les uhlnn; Eurent à'portée, l'accueillirent par un fëii d< salve, aljaWiWt un bon nombre d'ennemis Le reste de la troupe voulut battre en retraite; mais elle fut prise en feu croisé et se débanda à travers champs. Six automobiles se mirent à Ja poursuite des fuyards. Une dizaine de ceux-ci seulement échappèrent. La chasse en auto continue. Du côté des gendarmes, il y a trois morts. Parmi les uhlans tués, on a reconnu des individus qui avaient travaille à Bruges. Par-; mi les hommes capturés, il y a un officier supérieur. i La garde civique de Bruges a repris son ■ service et garde les alentours de la ville. Autres détails Les uhlans qui avaient été signalés hier à Thourout étaient fort de 160 hommes. Ils avaient été signalés hier soir, un train comprenant 120 gendarmes à cheval arrivait à Ostende. Ils allèrent s'embusquer entre Ich-' teghem et Snaeskerke. ' A l'arrivée des uhlans, ceux-ci furent fusilltis f sans pitié: 156 sont restés sur le terrain dont deux individus ayant- travaillé à Bruges, 4 ont seulement échappé. La garde civique de Bruges a été rappelée au : service actif et a été réarmée. Elle a été chargée de creuser des tranchées pour défendre la ville contré les incursions de caValiers ennemis.  SÂSfO Gand veut se défendre Nos concitoyens dit le Bien Public, apprendront avec plaisir que le désarmement de la garde civique n'est pas destiné à durer. Le demi-bataillon des chasseurs éclaireurs a été convoqué pour mardi trois heures de l'après-midi, au Marché au Beurre. Dès 2 heures, les gardes allaient reprendre les Mauser qui y avaient été déposés. Nous apprenons aussi que de la cavalerie est : attendue. Elle nettoieront les environs. D'autre part, pour remédier à l'insuffisance i des effectifs de la police de jour et de nuit., le : bourgmestre fait appel aux hommes de bonne : volonté et de bonnes conduite et mœurs, âgés de 21 à 35 ans. ; Ces hommes seront incorporés dans la police pour la durée des hostilités et rémunérés. Ils i porteront l'uniforme de la police et seront na-; turellepient soumis à tous les règlements qui ré- ■ gissent le service de la police communale

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This item is a publication of the title Le matin belonging to the category Liberale pers, published in Anvers from 1894 to 1974.

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