Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires

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10 January 1917
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s.n. 1917, 10 January. Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires. Seen on 06 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/qv3bz62933
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ANVERS, Mercredi 10 Janvier 1917 Le numéro 10 centimes Cinmiante-neuvième Ann< - N° 17.811 DIRECTION & REDACTION : 14, RUE VLEMINCKX, 14 ANVERS ABONNEMENTS : Les abonnements pour la ville et les faubourgs sont acceptés an bureau du journal, 14, rue Vleminckx.- Pour l'intérieur et l'étranger on peut s'adresser à la poste. LLOYD ANVERSOIS Seul Journal Maritime quotidien émanant des Courtiers de Navires Annonces : 25 centimes la petite ligne. — 50 centimes la dou li 1 franc la ligue sur double colonne Adresses industrielles 50 centimes Émissions et Annonces financières : Prix à convenir Les annonces sont mesurées au lignomètre.— I titres se paient d'après l'espace qu'ils occupe " ~ AVIS routes les heures renseignées dans notre journal inriioNées d'après l'heure de là Tour. Observations météorologiques de M. F. Authe, opticien rue Léopold, 51. Anvers, lOjanv. 1917, 11 h. du matin. Baromètre 759,5.— Thermomètre cent |max! '3. — Thermom cent. |mint. +1. — Pluviomètre : 1,1 m/m—Vent. N.-N.-E.—Prévis, : Refroidissement. Astronomie 11 janvier (Communiqué par l'Observatoire Roval de Belgique à Uccle lez-Bruxelles) Lever du soleil 8 h 42m. Dcrn. quart.!e-16 janv.12 h.42m. Coucher du soleil 16 9 Nouv. lune le 23 ianv 8 „ 10 „ Lever de la lune 20 35 „ Prem.quart, le 30janv. 2 „ ! „ Coucher de la lune... 9 55 „ Pleine lune le 7 févr. 4 28 „ Haute marée à Anvers Matin soir 11 ianv. ... 6 b.10 m | 11 janv. ... 18 b 25 m. 12 , . . . 6„40 „ 12 „ ... 18 .. 57 „ 13 . ... 7 13 „ 1 13 19 29 .. Hauteur du Rhin Cologne 8 janv. 6.92 m. Strasbourg 5 janv 3 99 m. Himingen 5 „ 2.83 „ Lauterbourg „ — „ Kthl „ Maxau , . " — " Mannlieim „ 6.72 „ Germersheim „ — „ Caub 8 „ 5.38 „ Mayence „ 4.— „ Ruhrort „ 6 14 „ Bincen „ 1.64 „ Duisbourg 5 „ 6.30 „ Coblence „ 6.14 „ Waldshut „ .i Diisseldorf „ 4.52 „ Lobith 7 „ 15.33 „ Hauteur du Main Hauteur du Neckar Francfort 2 ianv. 2.48 m. Heilbronn 5 janv. 2.50 m. Hauteur de la Moselle Hauteur du Bodeniee Trc-.es 5 janv. 3.40 m. Constance 8 janu. 3 68 m PLUS GRANDES MAREES DE L'ANNEE 1917 Coëtticiint t-ort de hautiur Philippe Anvtn de la marée Hautaur HauUur 11 janvier O 0,76 1,90 1,92 25 « 1,06 2,65 2,67 y février () 0,83 2,08 2,09 23 » • J.H 2,85 2,87 10 mars O 0,89 2,23 2,24 2» •' * 1.11 2,78 2,80 O Pleine lune. © Nouvelle lune. Fort d Anvers ARRIVAGES DU 9 JANVIER Steamer Wilford IV, de Tamise. Ristelhueber's v, de l'Allemagne Bateau-moteur Stad Lier, de Boom. » Rosalie, de Terhaegen. » Artois 1, de Louvain » Kooi'handel II, de Louvain. Allège John, de Burght. » ristelttïjeber 3, d'Hemixem. » 1)e .io.nge amoi.m:, de Baesrode. » ' Victoria, de Wilt&broeck. » Walhalla, de G and. » Wii.hei.m josei'H, de Gand. » Jonge Emile, de Merxem. Georges & Maurice, de Merxem. » Cathérine, de St. Job. » Tournai, de LooybroecJk. » \'ictor, de Moll. » Bayern 20, de la Hollande. >» Teniers, de la Hollande. » LÉONlÉ, de la Hollande. » Charbonnière 3, de J'Allemagne. Fjuklitas, de l'Allemagne. DEPARTS DU 9 JANVIER Steamer Wilford IV, pour Tamise » Telegraaf IV, pour la Hollande. Remorqueur Idéal, pour Gand. Élektra, pouir Gand » Passe Partout xi, pour Gand. Panama, pour Gand. » Atlantique, pour Gand. » . Charles, pour Gand. » Réveil, pour Gand. Allège Mathilde, pour Hoboken. » St. Léonard, pour Mali ne s. « Yvonne, pour Bruxelles; » Réclame, pour Bruxelles. » Tamise, poiir Louvain. » Joséphine, pour Louvain. » S ans repos, pour Lokeren. » ' Couronne 2, pour Merxem. » Edmond, pour Looybroeck. » Matwhm.ni 70, pour Grobbendorick. » Julia, pour Liège. » P.vc, pour Liège. Drie Gebroeders, pour la Hollande Grintiiandel 2, pour la Hollande. » Leopoldus, pour la Hollande. » Charbonnière 2, pour la Hollande » Eîntracht, pour l'Allemagne. » Cosmos, pour rAUemagne. » Occident, pour l'Allemagne. Prinsenhooed, pour l1 Allemagne. Vereinigung 37, pour rAUemagne. AVIS Par arrêté du Gouvernement. Général, il a été pour cette année ordonné un recensement des animaux il"' s'appliquera aux chevaux, bestiaux, ânes, mulets, porcs, moutons, chèvres, volaille et lapins. c.e recensement se fera le 15 de ce mois p;y les autorités locales. L'attention de la population est, à nouveau, attirée sur le fait que cette constatation n'a pas de but militaire ou de réquisition, mais est faite uniquement pour assurer le ravitaillement des animaux.Anvers, le 5 janvier 1917. Le Commandant Fhr. von Hammerstein, Général-Major. Evénements de Mer SINISTRES, AVARIES, ETC. Asta. — Christiania, 8 janvier. — Le vice-consul de Norvège à Cherbourg annonce que le steamer Asta a été coulé par un sous-marin allemand. EXTERIEUR PAYS-BAS Le beurre hollandais Depuis le 7 courant, de nouvelles mesures sont entrées en vigueur concernant l'exportation du beurre hollandais. Jusqu'à nouvel ordre, 30 p. c. de la, quantité produite pourra être exportée sous le contrôle de la commission de surveillance de l'Etat. Les pommes de terre I. « Aigemeen Handelsblad » d'Amsterdam an-îî0îîH^c eucluête prescrite par le gouvernement nonanciais sur les approvisionnements de pommes I;il,v'cntaire, dont les chiffres SÎmÂn? mcc ! S™"* dans quelques jours, est abso-pVlnPttrnn?%^: * st°d<s existants et déclarés coite d arriver facilement à la prochaine ré- ET ATS-UNIS Cyclone et inondations Reuter mande de New-York qu'une tornade d'une force inouïe vient de s'abattre sûr la v^^ Omaha dans le Nebraska, détruisant sur son passade des yfctSf maiS°nS et faisa,,t "" B'-nd uomtoe de Oïl Signale, d'autre part que des pluies torrentielle» tombées pendant plusieurs jours ont amen/ une crue soudaine et générale des fleuve* »» > , affluents. L'Ohio, la PénsylSnte"? v JiM6"? K.u.udjy furent atteints par dation'Imie' " miwnnï i g' Wheelin£. îi Columbaes à Danton surtout la montée des eaux, coïncidant nvil fumeuses tempêtes, provoqua de véritables désas (les habitants durent, fuir leurs uni ^i^Tî!81*65, et en °"tle ,les légite matériels tlSÏHi. sommes considérables, ou ., Pnf.l u°mbreux accidents mortels, n-.,Les chemins de ter ministère riÏÏf ^écen.,« statistique, publiée par ie réLeàu M„Chein,ns de fer aux Etats-Unis £ lion 200.000 ki'jomètresdeCembre WU dépassaK 1 mi|- ti'é^téJ'iassVmVrrjiff .®",wte' «vw 398.000 kiloinè-contre, par m,ort-'fri?!" I]ays européens i par Belgique qui Venait 1 S lw du c'est la cU k,,o"iètres d* La conservation par le froid Suite. — Voir Lloyd Anversois du 6-7 courant. Vianeie A tout seigneur, tout honneur, nous commencerons par la viande, qui en temps normal forme la base de notre alimentation et a été la première à attire! l'attention des spécialistes, car eUe compte parmi les prudiiLts alimentaires les plus difficiles à main tenir dans un état de conservation convenable. Ce le question est tout particulièrement importante pour les centres industriels où, toute proportion gardée, on consomme la plus grande quantité de viande. Cela s'explique facilement par le labeur épuisant auquel les ouvrière de là grande industrie «ont astreints. La somme de travail, qu'ils ont à four iiir doit être en relation directe avec la somme de principes nutritifs nécessaire à l'entretien, de leurs forces, de ce « Nerv.e Power » dont sont si fiers le? ou vr iers a mé rien i us. I.es aliments nous fournissent la chaleur, l'énergie dynamique e4 s'ils ne forment pas les races, ils modifient Lentement les populations ; ils entretiennent, augmentent ou dépriment leur ardeur au travail. Voyez ce que sont devenus les Hindous, les Irlandais, nourris de pommes de terre ou de riz ! Voyez, au contraire, ce que produit, chez l'Anglo-Saxon, le régime essentiellement animal, fût-il.même exagéré, C'est qu'une abondante alimentation en viande esl indispensable aux peuples qui* veulent, grandir el prospérer. La question rie la viande domine donc l'alimenta tion publique ; elle relève autant de l'hygiène et de la sociologie que de la salubrité et de ia prospérité du peuple. Nous allons donc, si vous le voulez "bien, examine! la viande dans les diverses manipulations qu'elle doit subir, depuis le moment où l'animal qui doit la donner est tiré de son pâturage, jusqu'à l'étal, du boucher où s'approvisionne le consommateur. Un caractère à noter dès l'abord, c'est que dans notre pays comme dans d'autres pays voisins, en France notamment, le commerce principal de la bon c.herie se fait à l'aide d'animaux vivants. C'est, il est vrai, le seul moyen -pour les abattoirs des petites villes situées en région agricole, et dans ce cas il ne présente guère d'inconvénients sérieux. Mais il n'en est. pins de même quand il s'agit d'approvisionner de grands centres tels que les villes d'Anvers, Bruxelles, Liège, Gand, qui ne disposent plus autour d'elles d'animaux en quantité suffisante pour leur consommation ; dans ce cas le trafic à l'aide d'animaux vivants est absolument illogique et les inconvénients en sont particulièrement nombreux. Parmi ceux-ci il faut rappeler le manque de nourriture et de buisson, les troubles dans les habitudes, les malaises amenés par la peur, l'entassement dans le wagon, la rapidité des transports par voie ferrée, !'• manque de soins, les mauvais traitements, etc. C'est ainsi que ranimai, pris sain dans le pâturage, arrive dans les grands marchés, fiévreux, ou, dans tous les cas, dans un état précaire qui, surtout pendant les grandes chaleurs, a un double inconvénient.1° Il fait subir une dépréciation dans la qualité de la viande comme dans le poids. 2° La viande abattue est d'une moins bonne conservation. D'autre part, avant d'arriver au lieu de consommation, les anim.aux demandent l'intervention d'uni grand nombre de personnes, de locaux spé-I ciaux pour leur abatage et leur préparation Il esr cependant hors de doute que, dans le mouvement'et le transport de ces masses considérables di- chairs fermenticihles, il se produirait des déchets et des moins-values énormes si, dans un pays comme le nôtre, à peu .près complètement dépourvu d'abattoirs frigorifiques et de transports réfrigérants, ce trafic s'effectuait à l'aide d'animaux abattus. En attendant donc que les municipalités des villes île province aient décidé l'installation de locaux frigorifiques en annexes à leurs abattoirs — et heureusement un mouvement sérieux paraît s'établir dans cette voie -- il faut bien que l'alimentation en viande du marché des grandes villes se fasse au moyen d'animaux vivants. Pour exposer maintenant la façon dont ceux-ci vont être traités pour arriver finalement sur l'étal du boucher ou du charcutier, comparons deux grandes villes ; la première dotée d'abattoirs ét. de marchés avec entrepôts annexes frigorifiques, la seconde absolument dépourvue de moyens de conservation.Examinons d'abord ce qui se passe dans la seconde: Les animaux vivants arrivent en wagons ou autrement à l'abattoir de la ville ; ils sont alors enfermés dans les étables jusqu'au moment de l'aba-tàge ; celui-ci effectué, les boucliers sont obligés d'enlever rapidement la. viande abattue pour la transporter dans leurs magasins et (Jès le lendemain, la délivrer à leur clientèle. Et celle-ci est tenue de consommer une viande encore dure parce qu'elle est trop fraîchement tuée ; les fibres en sont encore durs, la viande est sans goût.. Et particulièrement aux époques de chaleur, le commerce des viandes-devient des plus pénibles aussi bien pour le vendeur que pour l'acheteur. Il est vrai que tout boucher un peu soigneux dispose ordinairement d'une glacière pour conserver durant quelques jours les viandes qu'il nie petit débiter de suite. Si l'armoire glacière peut être considérée, comme un appareil très précieux et très utile lorsqu'il s'agit, de conserver quelques kilogrammes de viande pendant deux ou trois jours caniculaires, il n'en est malheureusement plus de même lorsqu'on se propose jle refroidir de grandes quantités de viande durant huit à dix jours et plus ; dans ce cas la glacière devient dispendieuse, insuffisante et défectueuse. Et ici nous touchons précisément au point délicat de la conservation des denrées par le froid ; les basses températures ne. sont pas en effet le seul facteur indispensable à la conservation ; il y en a d'autres tout aussi nécessaires.; la conservation de la tempéra ture d'abord, ensuite el surtout la sécheresse et la pureté de l'atmosphère. C'est ce qui fait que la réfrigération par la glace donne des résultats relativement mauvais. La glace en fondant charge l'atmosphère d'une humidité qui petit à petit imprègne les viandes et les rend molles et. flasques ; à peine exposées à l'air à température ordinaire, ces viandes se décomposent par suite de la présence de microbes qui trouvent sur cette surface humide un sol particulièrement favorable à leur développement et à Leur multiplication. Nous verrons cependant que dans d'autres villes où on procède de même en boucherie, les viandes ont au préalable été refroidies à une température de 2° à + 4° C. dans les salles frigorifiées des abattoirs on cles marchés, et il s'en suit qu'une fois ap-posees dans la glacière de boucher, elles n'ont plus oesom que d'une quantité de froid insignifiante pour oniniuer à se conserver ; et par conséquent la fu-...î glace est fort réduite. Remarquons du fvniriio o, hu.Inif,ité qui se dépose sur la viande renom je au p-realable ne constitue plus un champ fer-ttle au développement des bactéries. LrTe rc «Pri Pflsse '"ans une ville dotée ,-iv , 11'I rJ lsonf&r«s modernes: 1/es animaux ÏÏ4Œ' '-W. *>«. ^se passe L'animal a abattre est amené .dans le hall d'aba-tage attache a un crochet fixé au sol, et abattu sur St! ni ' fête "R 1,e,lt fair« un mouve ment, elle est tuee so.it par une balle soit nar un coup de marteau asséné sur le front.'Tout cela se fait avec une facilité, une sécurité complète ét une extrême rapidité. L'animal tué est attaché par les pattes d'arrière aux deux crochets d'un câble s'en-roulant sur le tambour d'un treuil et est ainsi hissé à hauteur voulue pour que le gardon boucher puisse l'écorcher, le vider, le découper en deux : e< même chose curieuse, au fur et à mesure que le (iépecenr enfonce sa hachette dans l'épine dorsale, automatiquement les pattes s'ouvrent de façon à faciliter son travail. Quand la bêîe est ainsi divisée en deux parties, celles-ci sont hissées au moyen du treuil près des voies de roulement fixées à la hauteur de 2 m. 500 environ ; elles sont attachées aux crochets de pet.i's chariots pouvant se déplacer aisément le long ; des voies ; elles sont ainsi placées dans une partie inoccupée de la halle d'abatage, ce durant quelques heures, de façon ;\ perdre tant soit, peu de leur cha- i leur. Ensuite elles sont roulées dans une salle spéciale, le Xrigorifère préparatoire. Cette salle sert en quelque sorte d'antichambre aux véritables salles de conservation: Les viandes restent 10 à 12 minutes dans cette antichambre refroidie à 7 ou 8° C. et elles y abandonnent à l'air la plus grande partie de la chaleur qu'elles contiennent. Elles sont ensuite dirigées vers l'entrepôt réfrigérant ou frigorifère proprement dit qui, lui, es' maintenu à une température de 2 0 à + 4» C. et. aéré convenablement ; ce sont les conditions les plus propi- ! ces à une bonne conservation de la viande durant plusieurs jours ou même plusieurs semaines, si c'est nécessaire. Cet air froid et sec est. préparé extérieurement ai local dans un appareil spécial, le refroidisseur d'aii ou échangeur de température. Cet appareil se com pose en général de trois serpentins enfermés dam trois compartiments d'une grande chambre isolée, de façon à éviter les pertes de froid. Le gaz ammoniac liquéfié, dont la détente est destinée «à produire le froid nécessaire pour refroidir Tair, est amené à volonté dans l'un ou l'autre des trois serpentins ou dans les trois en même temps. L'air, après- avoir léché la surface des deux plein ieis serpcithis. arrive complètement sec à la tem perature de à 4° C. sur le troisième serpentin, où il achève de se refroidir à une température très basse, en même temps qu'il se débarrasse de l'humi riité qu'il contenait. L'air, à la sortie du frigorifère. est de 7° à 8° sous zéro, lorsqu'il a parcouru les cou duits ramenant aux salles froides ; il se réchauffé de quelques degr és et la ventilation continue conserve dans les salies, malgré l'entrée de viandes à 8e ou 10° C., une température de 2° à 4° C.. (A suivre^ INFORMATIONS FINANCIERES BOURSE OFFICIEUSE D'ANVERS Séance du 9 janvier. — Lés affaires au marché se sont fortement réduites et aucun département ne profite d'un courant spécial de demandes. Le ralentissement. des transactions ne provoque dépendant aucune faiblesse et le moindre encouragement ferait sans doute réapparaître les bonnes tendances habituelles à notre place. On reste bien disposé pour les rentes nationales et pour les lots de villes. Belge 3 % mai, 71,50-72,50 : émission anglaise, 80-80,75 ; Annuités 3 %, 76,75 77,75 ; Bon belge 1917, 100,75-101,50 ; Anvers 1887, 82,75-83,75 ; Anvers 1903, 73-74 ; Bruxelles 1905, 72,75-7.3,75; Gand 1896, 61,75 62,75; Liège 1897, 63,75-64,75; lot du Congo, 84,50-85,50. Tout en étant très soutenues dans leur ensemble les valeurs internationales ne varient que dans des limites étroites et manquent d'activité. Les Cédilles elles mêmes ont perdu de leur mobilité extrême. Les nouvelles se maintiennent entre 111,25-112,25 et les L entre 117,25 et 118,25, les H sont 119 A., les K 5 % 96-97 et les or 5 % 111,25-112,25. L'emprunt Municipal de Pavimentatioh retrouve des acheteurs à 88-89, les Municipales 6 % 1897 se placeraient à 103-1041 Les emprunts fédéraux restent voulus et- les-offres étant peu abondantes on paye cher les valeurs courantes comme le sont les 4 1/2 intérieur et extérieur, cotées aujourd'hui 96,50-97,50, le 4 1/2 1911 ne s'obtient plus guère meilleur marché à 96,50-97,50. Argentin 4 1/2 1900 83 A. Buenos-Ayres 4 1/2 95,50-96,50. Les dettes brésiliennes ne varieni guère et il en est de même des autres sud-américains dont s'occupe notre marché. Brésil funding 1914 102-103, Brésil 1883 81,50 A., Brésil 1910 72,oO A., Brésil 1889 73 A., le Rescission 71,75 A., .Uruguay 3 1/2 72,75-74, le 5 % 1.911 90,50 A., la Cédule uruguayenne 101,50-102,50, Chili 5 °;, 1911 97,50 P., le .4 1/2 1889 90,50-91,50, Cuba 104,25-105,25. Dettes asiatiques: Chinois 4 1/2 1893 88,25-89, Japon Railwav négligé à 104,50 A., 105,50 P. .lapon 4 1/2 1905 101,25-102,25, le 4 % 1905 92-93. Les dettes continentales font bonne contenance. Il y a acheteur en Russe 3 % 1859 à 64 A., le 4 % Russe ïs-:o cote 80,25-81,25, le 4 % Nicolas 87,50-88,75, le 5 % 1906 94,75-95,75. Roumain 4 % 1890 79,50-80,50, le 4 % 1908/10 69-70, le 4 % 1894 69-70, le 4 1/2 1913 73-74, le 5 1903 83,50-84,50, Bulgare 4 1/2 73-74,75. Portugais 51,50 52,-50, Nationales d'Autriche 60,75, 61,75, Hongrois or 64,50 65,50, Bucharest 1898 72,50-73,50. L'attention qui s'est relâchée des titres à grosses fluctuations se reporte plus ou moins sur les titres d'entreprises locales et diverses cotés chez nous. Nous notons la Banque Centrale à 430-435, l'action Banque d'Anvers 1490 A., privilégiée Crédit National Industriel 278-284, l'ordinaire 267-273, jouissance*Cré-dit, Foncier Sud-Américain 1770-1800, dividende Cré-dii Général du Canada 75-80, action Liebig 590-600, l'action Kemmerich 895 A., dividende Banque Belge 427,50-437,50. Quelques cours en tramways : capital Rotterdam 101-106, capital Tram. d'Anvers 120, 122,50 P., la fondateur 58 A. 60 P., capital Kiew 100 A., capiUil Ro.-sario 9i A., capital Electrique Anversoise 300,307,50, la Jouissance 200 A., capital Escaut 117,50-122,50. Les cours en titres hypothécaires se maintiennent. Privil. Hypothécaire du Canada 1105-1115, privil. San-sinena 1000-1010, privil. Banque Belge 1090-1110, l'obligation 485-490, oblig. Hypothécaire du Canada 477-481, oblig. Tram. Anvers 460-465, oblig. Tram, de Kiew 420 A. Les actions Grbsriyi seules parmi- les valeurs pétrolières donnent lieu à des transactions, le prix de l'ordinaire s'établit à 2650-2660, et celui de La privilégiée à 2960-3000. On ne retrouve plus l'enthousiasme de jadis dans le groupe des valeurs caoritchoutières, ce qui ne signifie pas qu'il ne s'en traite plus, mais les cours se soutenant comme ils le. font, on peut en. déduire qu'à aucun moment il n'y a eu exagération au mouvement de hausse. Federated 662,50 A.-670 P. Kuala 145-150, Sennah 66,25-^9,75, Kalitenga- 43-44, Galang Besar'5,90-6,25, Kuang 65-70, capital Dell Moeda 242,50-252,50, dividende Dell Moeda 72,50 A.-75 P., capital Tjisalak 63-65, la part- 171,50-178;50. Oblig. Tangan.yika 193-198. BOURSE OFFICIEUSE DE BRUXELLES Séance du 9 janvier. — Les bonnes dispositions signalées hier à l'égard de certaines valeurs semblent vouloir is'étendre ; les cours intéressants sont, en effet, plus nombreux aujourd'hui, et bien des indices font espérer que cette tendance s'accentuera. Quantité de valeurs choyées précédemment sont d'ailleurs revenues à des prix alléchants. En rentes et lots de villes, le marché garde sa monotonie habituelle. Voici les cours : Rente Belge 3 70-71 7/8 ; Bons du Trésor 4 % 1917, 100,50-100,75 : Anvers 1887 , 83,75-84 ; Bruxelles 1905, 71,75-72;25 ; Gand 18%, 61,50-61,75; Liège 1905, 65,50. En 4 1/2 Anderlecht, il y a acheteur à 485. Du côté des oblig-ations industrielles, les acheteurs sont, toujours importants. On recherche les 4 1/2 % Houillères-Unies à 447,50, les 4 1/2 Electricité d'Odessa à 425, les 5 % Sambre et Moselle à 485, les 5 % Tôleries de Konstantinowka à 481,25, on fait 475 en 5 % Centrale de l'Industrie Electrique, 467,50 en 4 % Espagne Electriques, 380 en Olkovaïa (lre), 360 en Pieper, et on reste argent à 445 en 5 % Sucreries en Roumanie. Quelques petites transactions eu valeurs bancaires. Ainsi, on cote 103, 104 en dividende Outremer, et 410, J15 en Crédit Anversois. D'autre part, il y a argent en Banque d'Anvers à 1460, en Banque Nationale à 3360 et en Crédit Liégeois à 480. Les valeurs de transports font encore preuve de résistance et même d'une certaine activité. La privilégiée Astrakhan est mieux à 127,50, 13(), la jouissance Bilbao est bien à 59,50, 60,50, la dividende Bruxellois est discutée de 850 à 840, la jouissance Caire, par contre, reprend à 502,50, 505, la capital Espagne Electriques à 125, 125,50, et la fondateur à 1215, 1220 ont bonne allure. En Madrid-Espagne, il y a acheteur à 260 en privilégiée et. à 100 en ordinaire ; la Financière de Transports à 1000, 1005 en fondateur et à 1047,50 en capital se modifie peu. Aux sidérurgiques, on a de nouveau d'excellentes cotations à relever en jouissance Olkovaïa à 500 et 515 ; l'action de capital, de son côté, est plutôt hésitante pour le moment à 225, 226,25, 227,50. Clabecq à 760 continue à se raffermir, Espérance-Longdoz est,mieux à 315. Ougrée se.retrouve à 915, 910, et la capital Tôleries dé Konstantinowka est bien à 675. Les titres charbonniers, en général, accentuent leur bonne allure, les titres hollandais compris. La privilégiée Bois de .Saint-Ghislain est demandée à 87,50, La Louvière-Sars esl ferme ù 192,50, la dividende Lauro reprend à 925, 920, 910, 930, Maurage se soutient à 1875, Ressaix est demandée à 2150, Stré-py s'avance à 1860, 1875, 1855, l'Ouest de Mons est en progrès à 815 et la Willem-Sophia repart allègrement de l'avant à 1020, 1015, 1020, 1030, 1040, 1045, 1050, 1055. Les petites rubriques ne. sont pas fortement travaillées encore. Les Mines Réunies sont à mettre hors pair pourtant ; elles cotent, en effet, successivement 192, 193,50, 194, 195. La privilégiée Katchkar est offerte à 30, les Eaux d'Utre ht sont demandés jusque 1025, la capital Electricité de Rosario est offerte à 125, l'Auer Italien se traite à 16, 17, l'ordinaire Cotonnière du Rouvray fait 210, la capital Lainière Barcelonaise continue à progresser à 510, 515, la jouissance Loth est discutée à 71 ; il en est de même de la privilégiée Now à 165. Les valeurs coloniales, comme les caoutchoutières, ont l'air de vouloir s'améliorer, du moins pour certaines d'entre elles. La capital et la 10° fondateur lava sont résistantes <\ 138,75 et 56,25, 57,50, la capital I)eli Moeda est en belle voie fi 253,75 , 255 , 256,25, 257,50, pour finir malheureusement à 250, la capital Fauconnier reste offerte à 400, la Galang Besar fait encore 6 1/8, l'Hévéa est indécis à 222,50, 225, 227,50, 225, mais l'ordinaire Katanga est bien disposée 2345 , 2350, 2355, 2365, 2350, 2355, 2360. La capital Luk à 17, 16,50, et la jouissance à 7,50, 8, sont fermes, le Annamites sont demandées à 112,50, la fondateur La court -est discutée à 480 , 487,50 , 482,50, et la Mopo] capital et fondateur sont bien travaillées respective meut, à 162,50 et 800. Rappelons en passant que cett dernière société détient en portefeuille 15.000 Soer geiiLipoet, dont les cours ont/plus que doublé pei: (huit l'année écOujée. La Sennali est hésitante à 6S la Soengei est active à 452,50, 450, 447,50, la capita Union Minière reprend à 1490, 1495, 1500, 1505, 151( et ila Tanganyika se raffermit à 74,50, 75. Peu de chose à dire des valeurs diverses. Le Courroies Lechat, en si forte progression hier, son recherchées en nouvelle hausse à 350 en .c^pitaLe à 225 en jouissance. Les Brasseries de l'Etoile se niaûitiennent à 32, 1. fondateur: Su cri ère Européenne est lourde à 45, et le Saint:Jean ne sont pas mieux à 95, 97,50 en capita et en fondateur 135, 136,25, 137,50. Aux étrangères, les mines espagnoles tiennent d nouveau la corde : La Lujar s'avance de 832,50 à 85C et la Rajah de 1075 à 1090. La Kaïping est bien à 52 52,25, 52,50, 53, 53,25, l'obligation Tanganyika est fei me de 198,75 à 202, Quebec est demandé à 155,.la di vidende Agricole d'Egypte est. à 85 après 90, l'Egyp tiaui Entreprise est bien à 80 en capital et -lourde ei dividende à 47,50. Les Tramways de Bucarest (Société Roumaine) sont demandés à 207,50, la M et a 1.1. Russo-Belge s retrouve à 2100 et la Tagaurog est eu bonne voie j 565, 570. I.'Alaguir a fait hier J;i3,75 et non l'Onspeusl comme nous l'avons renseigné par erreur. OOURS DU CHANGE Rotterdam, 8 janvier. — Londres, fi. 11,68 ; Ber lin, (1. 40,90 ; Paris, fl. 42,05. amsterdam, 8 janvier. — Londres, IL 11,69; Berlin 11. 40,92 1/2; Paris, fl. 42,10; Suisse, 11. 48,72 1/2 Vienne, fl. 26,— ; Copenhague, 11. 67,22 1/2; Stock ho li n, fl. 72,35. Banque Française pour le Commerce et l'Industrie à Paris. — Le rapport de l'exercice 1915-16, flirissau le 31 juillet, l'ait ressortir que la situation de .L banque, en comparaison avec l'année antérieure s'est sensiblement améliorée. L'amélioration de la situation économique qu s'était déjà manifestée à la fin de l'exercice précé dent, s'est sensiblement accentuée par le développe ment des industries de guerre. La banque a. .consa cré principalement son attention à ces branches d'in dustries, niais elle n'a pas négligé d'autres affaire; financières ; elle s'est notamment- intéressée à 1; fondation de la Compagnie Franco-Espagnole di Chemin de fer de Tanger à Fez. Le bénéfice brut, après divers amortissements s'élève à 5.487.407 fr. (année précédente 3.980.430) le bénéfice net, après défalcation des frais, s'élevan à 3.856.152 fr. (2.374.077) ou après déduction de h réserve légale de 5 % à 3.663.345 fr., sur lesque-li 5 %, sdit 3.000.000 de fr. seront distribués coinnn dividende. L'année précédente, le bénéfice net, y compri: 2.645.529 fr. de reliquat, avait été consacré totale ment aux amortissements et aux réserves. Le reste t::»3.345 l'r., a été reporté à nouveau. Le Conseil d< surveillance a décidé de renoncer à la part qui lu i< vient jusqu'au moment, où le bénéfice et les léser ves auront atteint la situation du 31 juillet 1914. Société des Raffineries et Sucrerie Say. Le rap port de l'exercice 1915-16, terminé le 30 septembre fait ressortir que l'exploitation n'a pu être si active que pendant les années antérieures. La difficulté pour obtenir les matières premières, le manque d( main-d'œuvre et de moyens de transport, ont augmenté, de même que les frais de toute espèce. L'exploitation n'a donc pu être maintenue que difficile nient. L'avant-dernière récolte de betteraves n'a donné que 20 pour «cent du produit moyen.; la .dernière, malgré tous les efforts du gouvernement poui la favoriser, ne donnera probablement que 27 p. c Pour éviter une concurrence réciproque, les gou vernements français et anglais ont décidé d'exécntei en commun leurs achats de sucre brut. Le rapport mentionne encore la nécessité de grandes réserves, par suite du danger qui résulte de la proximité de la fabrique de la zone de guerre. Jusqu'à présent toutefois, elle a été épargnée par les attaques aériennes. Le bénéfice brut s'est élevé à 9.057.386 francs ; le bénéfice net, après défalcation des sommes nécessaires pour les intérêts et les amortissements, à 5.637.087 fr. Le résultat a reçu l'affectation suivante : 5 p. c., soit 281.854 fr. à la réserve légale ; dividendes de fr. 20,39 aux actions de préférence et de fr. 30,86 aux actions ordinaires, soit respectivement 2.340.392 fr. et 2.360.721 fr. et tantièmes, 654.119 fr. Stahlwerksverband. — L'assemblée des membres de ce syndicat a décidé de prolonger provisoirement l'association pour un an jusqu'au 30 juin 1918. D'après la décision de 1912, le contrat syndical s'étend jusqu'au 30 juin 1917. Si cet accord'n'était pas intervenu, les membres du syndicat auraient pu vendre librement à partir du 31 mars 1917 pour livraison du troisième trimestre 1917. La décision y met donc empêchement actuellement.. On s'est borné à une prolongation provisoire, parce que la question des produits A se trouve en corrélation étroite avec la solution de la question syndicale pour les produits B, qui ne pourra être que difficilement résolue pendant la guerre. Le Lift, compagnie générale :ie construction mécanique et électrique, société anonyme, à Bruxelles (Ixelles). — Bilan au. 30 juin 1916 (exercice 1915-1916). Bénéfice net, fr. 183.855,57. The Taylor and Sanderson Steam Shipping Cy a fait un bénéfice de £ 144.540 cette année, contre £ 87.000 l'année précédente. La compagnie distribue de nouveau, un dividende de 35 pour cent. The Griffiths Lewis Steam Navigation Cy distri huera un dividende de 20 pour cent connue l'année dernière. Les bénéfices s'étaient élevés à £ 55.965 contre £ 30.000 Tannée précédente. The Midvale Steel Cy annonce un dividende trimestriel provisoire de 1 1/2 % pour les actions ordinaires.Pittsburg Steel Cy annonce un dividende trimestriel de. l 1/2 pour oent, et un dividende extra de 8 20. Theresientale Papierfabrik van Ellissen, Roeder & Co A. G.— Le bénéfice net est de C. 600.423, le dividende sera de 5 % soit C. 1.0 par action. Uhe somme <le C. 74.487 est reportée à nouveau. Union des Papeteries. — Le bilan clôturé le 31 décembre écoulé laissera un solde déficitaire. Dans ces conditions, il ne peut, être question évidemment d'une répartition de dividende. Usines Mathes, société anonyme, à Bruxelles. — Bilan au 31 décembre 1911. Solde débiteur 80 822 fr. 24. Société belge industrielle et minière du Katanga, société anonyme, établie à Bruxelles. — Bilan au 31 décembre .1914. Créditeurs divers, fr. 408.349,-67. Comptoir des Aciéries belges, société anonyme, à Bruxelles. — Bilan au 30 juin 1916. Solde créditeur, fr. 309,26. Banque belge pour l'Etrange»-, société anonyme, à Bruxelles. — Bilan au 30 juin 1916. Solde eu béné-fioes, fr. 3.544.529;27. Patria, société anonyme, à Dînant. - Bilan au 31 juillet 1916. Solde en perte report a nouveau1) 21.J2* fr. 94. Compagnie générale de Tram ' ays de Buenos-Ay-»es, société anonyme, établie à Ixelles-Bruxelles. — Bilan arrête au 30 juin 1916. Solde créditeur. 5.974 fr. 10. Société anonyme métallurgique < La Nervienne », en liquidation, à M ncinalle. - Bilan au 30 juin 1916.' Solde débiteur, fr. 1.985.282,62. Caisse de Prêts, société anonyme, à Anvers. — Bilan au 30 septembre 1916. Solde créditeur, 12.397 fr. 56. Le Bon Grain, société anonyme, à Morlanwelz-Hayettes. — Bilan au 31 juillet 1916. Bénéfices nets à. reporter à nouveau, fr. 10.313,94. Boulonneries du Centre de Gilly, société anonyme, à Gilly. — Bilan au 30 septembre 1916. Pertes 9.910 fr. 56. Fonderies Denis, société anonyme à actions nominatives), à Godarville. — Bilan au 30 juin 1916. Solde en perte (à reporter à nouveau), fr. 241. Compagnie des Métaux Overpelt-Lommel, société anonyme, à Overpelt.— Bilan au 30 juin 1916. Bénéfice net, fr. 1.679.976,49. Veuve H.-J. Dumont et Cie, société anonyme, à Liège. — Bilan au 30 juin 1916. .Bénéfice brut, 33.881 fr. 68. Société anonyme pour la fabrication du gaz, à Liège. — Bilan au 31 août 1916. Bénéfice net 32^.538 fr. 38. MEMENTO DE L'ACTIONNAIRE g ASSEMBLEES ANNONCEES 11 janvier i Société anonyme des Tôleries de Konstantinowl Ilaùts-fburnèaiix aciéries et laminoirs, à Thei ô statutaire, au siège social, 20, rue Neuve, à Bruxell Fabrique belge de Matières premières pour la Ci pelUrie, société anonyme à Molenbeek-Saint-Jean Il ii. 1/2 du matin, au siège social, 25, rue Ransfc à Molenbeek Saint-Jean. Société anonyme Clinique de l'Espérance, à è vttrs, à 11 heures, au siège social, rue Hoboken, 3 s Frigorifères du Nord, société anonyme à Anvers ' il heures du matin, au siège social, rue Dubois, 40 .Vu ver*. t 13 janvier s Centrales Kleclriques des Flandres, société ai 1 nyine, à 11 heures, au siège social, 13, rue Bré< rôde; à Bruxelles. Société anonyme des Ciments de Mons, a 3 heur au si'\g» administratif de la société, bouleva Anspach, à Bruxelles. 15 janvier Brasserie Tivoli, société anonyme, à 3 heures relevée, 51, rue Pycke, à Anvers-1 Société Générale de Sucreries, société anonyn à 3 heures de relevée, au siège social, place Sai 1 Paul, 14, à Liège. 2 Société anonyme des Bateaux-Mouches, à Liéj 1 à 3 heures de relevée, à l'Hôtel Verlhac, bouleva de la Sàuvenière, 153, à Liège. 16 janvier Société Générale Belge de Déglycérination, soci< anonyme à Bruxelles, à l'heure statutaire, au siè social, 4, rue du Grand-Hospice, à Bruxelles. Société anonyme d'Armement. d'Industrie et Commerce, à Anvers, à 12 heures, au siège soci ; avenue des Arts, 99, à Anvers. Société anonyme des Usines Boneliill, è 12 heur au siège- social, à Marclirenne-au-Pont. Anciens Moulins de Namur et de Jambes, soci< anonyme à Beez-Namur, à 3 heures, à la Banq î Centrale, rue Godfroid, à Namur. t 17 janvier L Société anonyme Usines Vojave- (Bronzes et Ecl rage), à 11 h. 1/2 du malin, au Café des Boulevan place .Charles Bogier, à Bruxelles. Compagnie du Chemin de Fer du Congo, socjï anonyme à Bruxelles, à 12 heures du matin, 13, r Bréierode. à! Bruxelles. Charbonnages d'Hensies-Pominerœul, société ar nynrtè à Bruxelles, à 2 heures, 39, rue Fossé-ai ' Loups, à Bruxelles. Société anonyme de -Chemins de Fer Provincial 1 à 12 heures, au siège social, 33, rue de THOpiti à Bruxelles. 11 janvier ! Brasserie du Phénix, société anonyme à Bruxelh A 4 h.-1/2. au siège social, 22, rue Ulens, à Bruxelh Les Etablissements Helleinans-Mertens & Co, i ; ci été anonyme à Anvers, à 12 h. 1/2, à l'Hôtel Londres, avenue De Keyser, à Anvers. 20 janvier ! Compagnie Internationale de Tramways, soc h anonyme à Bruxelles, à 11 heures du matin, ; I siège socal, 55, rue Royale, à Bruxelles. 22 janvier Société anonyme belge de Forages et de Prospt tions Minières, en liquidation, à 3 h. 1/2, au siè. social, 56. rue de l'Ecuver, a Bruxelles.- Les Tramways d'Agràm, société anonyme en quidation, à 10 heures du matin, au siège soci; 31, rue du Marais, à Bruxelles. Fabrique de Colles Végétales, société anonyme Bruxelles, à 3 heures de relevée, au siège soci? rue Edmond de Grimberghe, 36a, à Bruxelles. 23 janvier The Belgo Canadian Pulp & Paper Cy, socié anonyme à Bruxelles, à l'heure statutaire, 48, rue < Namur, à Bruxelles. 25 janvier Fabrica Riogranden'se de Adubos É Productos Cl micos et Industria Quimica Argentina, sociétés an nymes à Anvers, à 11 h. 1/2, dans les bureaux d sociétés, 36, Longue rue Neuve, «a Anvers. Société anonyme des Ciments Portland Artiflfcie Belges, à Harmignies, à 12 heures, à l'Hôtel Métr pôle, place de Brouckere, 31. à Bruxelles. 26 janvier Société anonyme La Céréale, à Bruxelles, à 10 du matin, au siège social Compagnie Rurale Anversoise, société anonyme Anvers, à 11 heures du matin, au siège social, 2 place de Meir, h Anvers. Zélandia, société anonyme à Bruxelles, à 3 heur après-midi, au siège social, 5, chaussée de Charlerc h Bruxelles. 27 janvier Comptoir de Change et dJEpargne, société an nyme à Huv, à 11 heures, au siège social. L'étude concernant « L'Avenir de la culture c caoutchouc aux Indes néerlandaises » publiée par « Lloyd Anversois » paraîtra complètement sous p« et sera obtenable dans nos bureaux au prix de centimes. PRODUITS ELASTIQUES "PNEUMELASTICUM Société Anonyme établie à Anvers Conformément à l'article 22 des statuts, Messieui les actionnaires se réuniront en assemblée généra; ordinaire, le JEUDI. 29 JANVIER PROCHAIN, a 16 i (H. T.), au Siège social, rue du Jardin des Arbal< tri ers, 11-17, à Anvers. ORDRE DU JOUR : 1° Examen de la situation , 2° Décharge aux Administrateurs et Commissaires Les actionnaires qui désirent assister ou se faii représenter à Rassemblée. devront se conformer au articles 23 et 24 des statuts. Au nom du Conseil d'Administration, Le Président, \Y. Van de Vkldiî. Art. 23. — Pour pouvoir assister à l'assemblée, li propriétaires d'actions nominatives doivent être ri gulièrenient. inscrits au régistre des actionnaires < avoir fait connaître au Conseil d'administratioi cinq jours au moins avant- l'assemblée, le nombre ( les numéros des actions pour lesquelles ils entei dent prendre part au vote. Le livre des transferts des actions nominative sera fermé quinze jours avant l'assemblée général annuelle et aucun transfert ne pourra y être inscr pendant cette période. Les propriétaires d'actions au porteur doiven cinq jours au moins avant la réunion, déposer leui titres au siège social ou dans tel établissement dés gué dans les avis de convocation. Art. 24. — Nul né peut se faire représenter au assemblées générales que par un autre actionnaire lequel devra avoir rempli les. formalités nécessaire pour y être admis lui même, exception est fait pour lès mineurs, les interdits, les personnes cevile et les sociétés commerciales; La forme des pouvoir peut être déterminée par le Conseil d'administra tion, ils doivent être déposés au Siège social 3 jour au moins avant la réunion. Chaque action donn droit à une voix. Toutefois aucun actionnaire ne peut, comme tel e c mime mandataire, voter pour plus du l/5« du non bre total des actions existantes ou pour plus de 2/5e des actions pour lesquelles il est pris part ai vote. ROTTERDAMSCHE Ll.OYD Prochains départs de ROTTERDAM vers les ports habituels des INDES NÉERLANDAISES S S " RINDJANI ". ... 12 janv. (s. i.) S/S " WILIS " 19 „ (s. i.) Pour frets et tous autres renseignements, tels que ceux con cornant l'EXPÉDITION D'ANVERS, s'adresser aux Agents RUYS & Co„ 9, Quai Van Dyck, Anvers

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This item is a publication of the title Lloyd anversois: journal maritime emanant des courtiers de navires belonging to the category Financieel-economische pers, published in Anvers from 1858 to 1979.

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