Notre Belgique

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01 September 1918
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s.n. 1918, 01 September. Notre Belgique. Seen on 06 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/ks6j09wv3z/
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Une nation qui a la prétention de posséder une kultur supérieure, la prétention d è re au-dessus des autres nations, iapiéten-' tion d'être le peuple élu — et de Dieu ! f encore 1 — 1 Allemagne, en cette soirée du 25 août 1914, venait de commettre, de propos délibéré, un crime qui n'est comparable à aucun autre crime historique semblable parcequ'il fut prémédité. Un crime que rien n effacera j a nais et qui, indélébile et éternel, souillera 1 histoire germanique. Un crime qui sera le crime des crimes parcequ il sera une honte éternelle pour celui qui 1 a ordonné et fait z' commettre. Le 25 août 1914 l'admirable bibliothèque de l'Université de Louvain, ce monument incomparable que lurent les hilles et le prestigieux trésor artistique qu'elles renfermaient furent la proie des fl .mines. Comment ce 9oi-disaut pays de penseurs a-t41 pu détruire le Foyar de la Pensée ! L'émotion fut tellement considérable que les criminels eux-mêmes, tentèrent de se justifier en inventant de toutes pièces de prétendues attaquas dont ils auraient été victlmfs de la part des civils. Qu'on se rappelle le passage dû l'appel des «fameux» intellectuels doutre-Rhia : « lis n'est pas vrai que la rage avt ugle de ! nos troupes ait brutalement détruit Lou- • vain. * Et cependant c'était vrai. i Depuis, é.nues par une pensée touchante, î les plus hautes personnalité» des pays al-s liés et neutres se sont demaadé s'il ne t serait pas possible de faire renaîtra de se» ■ ( cendres ce qui fat cet admirable foyfr in- • teîleetuel qae nous enviait le monde en-. tier. - ; Ne valait-il pa^i mieux rallumer ce fiam-| beau qu'une hotde barbare avait cru pou--' voir éteindre '( Ne valait-il pas mieux re e coastruire ce monument de la foi, qne la . Belgique était fière de posséder ? r Partant de cette pensée, il est né en e France un comité inttrallié.pour la restau ration de la bibliothèque, et de l Univer-! ( site de Louvain. Depuis trois ans ce comité e travaille dans le calme etde recueillement, e et les résultats obtenus à ce pur sont i- hautement satisfaisants ; ils permettent e d'espérer que dès notre rentrée les mem-n bres de ce même comité seront invités i, (ainsi que le demandait Monseigneur e Deploige) à ve iir à Louvain, poser la e première pierre de la résurrection. Le Hâvre fut 1-e dimanche 25 août le it siège d'une cérémonie inoubliable qui eut lieu au grand théâtre, cérémonie en laie quelle le comité a exposé publiquement it l'état de ses travaux. le « N»tie Belgique»> en ayant déjà donné i- un compte-rendu, nous n'y reviendrons pas. es La réunion du Hâvre fut grandiose, et i- elle aura en Allemagne un retentissement funèbre. Elle rappellera aux bandits d ouïe trt-Rhin que, pour de3 crimes comme le-ceux de Louvain, la prescription n'existe le'pas. L incendie de la bibliothèque de notre té Aima Mater comme celui de la bibliothèque d'Alexandrie par les Turcs traversera el les siè.'l s pour l'éternelle honte du Kaiser : rouge et de ses satellites, le Capitaine Vandevelde. Les Belges sont un peu là f il a tu fièrement raison, noir* ami at c collaborateur J. Morand t, dépingler un tête de ta chronique quotidienne la déclaration tombée de* lèvres d officiers boches t prisonniers et rapportée par le neutre ( t correspondant des * Batlsr Arachrich~ . & ten »> : « Les plus craints dans tes com- * bats Individuels sont lis litiges ». 1 Par leur récente attaque de Lar>g<t' 1 marek, nos troupes viennent donner à cet > éloge de l'ennemi une nouvelle et islatan- i te confirmation. t Hier nous n'avions que quelques lignes i de communiqué à ci sujet : nous appre- / nions que nos hommes s'étaient portés à \ 3 km au N. et au ù. du chemin de fer de < Langtmarck, avaient occupé leurs objea• t tifs, pris 90 hommes, des mitrailleuses, ; i du matériel. . |1 Aujourd'hui, des renseignements pte*,1 circonstanciés nous arrivant, nous per- ,> mettant d* nous faim une idé« plut n~il» ^ d* l'action... «t du mérite de nos soldait. Un* première remarque s'impoie: comyne dans hs batailles précéd*rslttt commo en l'inoubliable 17 Avril, ï'artilli-rie fit d'admirable h/tiogn.* et s'avéra la , compagne tû°e el fidèli du faniattin. Elle fit un pilonnage idéal dit organha-tions ennemiest/étaat le dëtarroi parmi les Boches qui tt t >nt écraser sur place PU 'HQ-At i(t p3Ur\ QU plut profond de leuri iront. 0,i ne dira jamait i atstz l'habileté, le Ur précis, l'entrain I endiablé de nos eolUtt'noirs. Quant à notre infanterie, elle fit, comme toujours, sublime ; je ne trouve pas d autre mol pour rendre l'irfiiia !i admiration qu'elle nous intpire. n r. « Notre Bc'g que s a énumiré hier les s obilaclts qui paralysaient ion avance: ■t terrain de boue et d'eau, cù 'es corps i*\ s'en foncent et s'enlisent ; trous d'obus j {. ' innombrables, enlambant les uns sur les autres et transformant le sol en une suite i. de fondr>è'ti ; d*t fermes forvfiies, bé- • t tonnées, pourvues d abi .'s massifs, redou' i- tes crachant par toutes leurs ouverture$ grenades, balles de fusils et de miirail' tt leuses. Qu'importe! les Belges ne sont g. pas hommes à se laisser arrêter. Ile à pataugent bravtment à travers les maré• le cages, affrontent les projectiles de toui s. genre, s'élancent droit sur les organisais tlons ennemie* hérissées et mauvaises : liai, c'est la valeur perionnelle, la lutte u corps à corps qui compte. Lis brigands, t- J dans leurs antres, luttent avec la force ta du diistpoir. Lss nôtres, enivrés de la t. fureur du combat, n'ont qu'um pensés : • : tuer, massacrer, extsrmf er la racaille Xf germanique, lss as*atmns de Dînant et i~ 1 d'Atrtcho', les b> Cleurs de Louyain tt de la ' T*rmonde. Et c«>tch z nos brades une n. émulation dt vaillance : le se'gent S hos-a- der tombe la poitrine déchirés par un ni projectile, au moment où il détonne la se porte d'un abri. Li lieutenant Boelens se ut juché sur un rtpaire bathe tt jette du La ligne Hindenburg tiendra-f-elle ? Noyon e.nhv1 dr h utte luit - par h* poilus, Bapaume tombant aux mains des Néo-Zélan- j daii, Péron/ e sur le point de nous revenir, la , menace sur Cambra' s'accentuant de jour en L jour, telle lont les îplend.des nouvelles que' j nous fournit ce ntutin la valeur des troupes j de l'Er.tenfe. Les Bo /tes font partout une résistance désespérée : en vain I ils doivent céder, in rnge au cœur, et l'on entend sur toute leur ligne de sinistres craquements. Le serv'.ce de renseignements de « Notre Belgique » permet à nos lecteurs de se rendre compte aussi exactement que possible de.: progrès que nous réalisons au jour le jour. Ici nous nous bornons à tirer en quelque sorte la morale des événements, et si vers la fifi mars, notre besogne était délicate entre toutes alors que la fortune nous refusait son sourire, jamais el!: ne nous parut plus consolante que depuis ces derniers mots. Chaque a"ar.ce de nos vaillantes armées se répercute funèbrerr.ent sur le moral germanique. J'extrais aujourd'hui de la lecture des feuilles allemandes cette perle à l'intention de nos lecteurs : Le « For warts » écrit : « Qui nous a dit que la France n'avait plun j de soldats, que l'Italie était à bout, que j ■ l'Angleterre était affamée par la guerre l sous-marine. Qui donc a accueilli avec joie, i t l'entrée en guerre de l'Amérique ? Qui nous • fera croire aujourd'hui que,ses soldats n'arrt j vent pas en Europf ? n i iv 11 ïrnfi rrrr ^ » Partout c'e>t l'anxiété, la méfiance. » j Les communiqués boches ont beau recourir j à tontes lez ruses et à toutes les contorsions jphraséolo»'qaes : la défaite allemande est j t<np éc'at >rits pour pouvoir être dissimulée et j la vérité perce les voiles des tournures les plut alantbiqwes et des plus habiles rét:-cncen.El Foch continue / La pression des armées alliées se poursuit sans se lasser ni s'affaiblir et h front ennemi semble se désorganiser de jour en jour. Quelque acharnée que soit sa résistance sur car t tins points, cette résistance fi lit toujours par céder. Et il est visible qu'elle ne se prolonge jamais asrez pour faciliter comme il le fa't irait un repli, sans doute considérable.Nous voyons clairement que le commandement suprême des Alliés n'entend laisse' désormais nul répit à l'adversaire. Dès qu'une attaque a donné le maximum de ce qu'elle peut donner sans devenir trop coûteuse ou trop ralentie, une autre lui sttccèd> sur un autre point du front. i La fameuse ligne Hindenburg, de laquelle i l'ennemi n'est plus fort éltigrj, pourra t-elle dans ces conditions, retenir bien longtemps l'élan des Alliés qui, nous le savons, ne s'interrompra plus ? J. hSesractd* çrtnadst pur li 'ton â'aëragt Le saldsi p CUiert, le poignet arraché, réfute de se ' faire évacuer «t fait th l'gsr ton fatil par p des copain*. Un autre r^venanède congéi accompagne l attaque en volontaire Lss e blessés mor.t'tnt uns endura c sublime 6 cl les brancardiers, en pleine actton,ai tst ^ que le lendemain, rivalisant d hércï mt c pour accomplir leur min ion He charité. t< Au moment où j'écris cet lignes, j* n reçois un article de no'rs collàboraUur ° it ami Cari Pilers qut me fournit la fit de ce blllft: s « A>rivé À son objectif un deiachtment q voit à sa droite l ouvrage puissamment \11 : < r vanité de Htginu Cross. Ce morceau | ^ i « trop dur à avale■ » ne devait pas êl't attaqué ! Mais on avsit compté tant nos j vaillants solànt* qui coururent sus à e l'ouvrage, le cernèrent et t't'n rendirent ^ maîtres ! Ils y firent des prisonniers et ( loicupeni solidement à l heure- actuelle ! t Ce fat « -.'extra »> de l'opération. Brava ! v les carabiniers ! » 1 Et jt n* puh mieux terminer çm par c cet. m fis de mon aimabls c irrstpondani : { Ah ! les beaux, les braves, Us sublimes t soldats qui nos jattes de l 1 ser ! ».F», OU l Carnet de la Semaine ( Le facteur m'epporte une lettre recornman- < (*ée. Après lui avoir doané m* signature, je l déchirai l'enveloppe avec assez de curiosité : < Que pouvait-on bien m'envoyer «oas ce pli ? j Jugez de ma surpr!se, qu«nd j > dècouviis, ' > épioglés soîgoeusemeat aa cola dunepage, i N^nstte et Rinlln'ia 1 \t Ca gracieux cadeau, et i'é Jtrô qui la con- ; voyait provenaient de quelque br-ve damo, • ancienne ainia de la famille qr-i m'éciivait : 1 « Mon oher Monsieur. — Je sais que vous ■ êtes dans uns légion ststz régulièrement j bombtrdéa. Alor» j'«i pensé que ces deux; petits êtres pourraient vous protéger un peu j 1 contre cas horribles attentats qui.... que.... j ( quoi... » et ainsi pendant quatre longues : psgej. t Mais certainement, cir aiaoment, chère M «lame. Ces «deux petits êtres» doivent! ' j avoir uo pouvoir ext'uorJitntlre, renversant I riC'utt ;;ela, re-nvprsaiit surtout, ou antireu-; ï versant 1 . j II doit se d;gag' r de ce s deux poupées de 2 laine je ne tais quel (laide mystérieux, qui | bypnuiiso bombes t>t obus, Ips détourne et ' . 1«« recd i-u ffensif». \ * j Panstz doue 1 Nônette et Rlntlothi I i Vo«» fturUï pu y #jouter peut êsra, quelque J po!! d'éléphant, ua ir< fl j à «p'tre feuilles, us ^hltïre tr; iz s, eu iu ro'd-j d'un pendu qu< ( vous aariez été couper quand le cadavre e?' encore chaud... Birr 1^. . ( Da coup j amais été paifitltemeut irnmuuiif st iDtsnglb:-.. q.jlsait ? je ne serais paut être j.-m*b parvenu à mourir. j Eo passant, si vous alh- z consultfcr quoique voysnte ; j eu serais eccore plus h mon aise ; r sar vous d vez avoir giaada confiance dsnf ^ le» d}vlaeresee«, cartcinaiici cnes, tt autre, w&damas de Thôbts qui pendant ia guorr îut vu centupler leur gloire... et leur: héniflje?. O mïveté du la crédulité des hamains qu se 1 isîtîot jou-jr comme de pauvres gogn , q j'i s sont par l'adresse de quelque gio ma! n, exploitant avec dextérité la t êiise d sî'.s semblables, à Si ute il < de faire tombr « les gros sous dam-» sou escarcelle ! D'aucuns ont lait fortune dans les usiut da g ibrre ; d'autres ont exploité les trefoed cacT.es dt. la superstition de leurs semblables L un et i'eutro seroï t da nouveaux riches. Et celui qui dacréta cet tain jour que que'- I ques bouts di bina verts ou ïose reliés pa ; un fi; ont un pouvoir protecteur da l humanit j nous é rasera bientôt de ion luxe, tandis qa. | les niïf i n'en trépasseront p.»«i moins, e> j compagnie heuteuse dj Néaette tt R'n intiu j Je pense, pour ma part q .e tous ces ;><■'■ it f Uches aurcit.Lt f àt œavre pins piot, e-.-lc-en devenant de bonnes paires da t tuu-^.ittes, i et do Ci.nforti-bles chit/ilails poui le prochain i hiv-er do nos soldats. ( Mas Cola &ans djute est trop timpliste ei , trop pratique, at no procare pas cette , etitî jouissance supt-r^tifieuse dont les deex bon-fa.immrs, au bout da leur fi1, eha'outlloat le? ânes chancelantes do uos cjntemporai-js. Et tandis que n'.iit onlse i armi nous c tt. iitupida coLtia.ice dtns la vertu d'horribles fé-.ichdt, ia croyance, la ferme et solide croyance de nos pères s'eff«ce et faibsit; le cuite des Nénette et Rlnilntin tend à remplacer la prière traditionnelle, f lté le soir en famille, dics l'ancien f yer, appelant sur les-enfants ta protection da Très-Haut. ... A moins que comme me le racm'ait, voici quelques jourj, uu ptêtra da mes amis, qaclquo vagre dévote n» viei ne dunsnder à son vicaire do bien vouloir bénir Noisette et Ki itiniin ! Bénir NéatUe et Ria'iu'la 1 ?.. Jean Maurois Chronique sportive 1 ' i Boxe et Lutte Au Btilglan's Army Boxlng Club \ N mhreux pv.blfc à la joli" réunion en ' plein air organisée par ia grand C'nb sm itarr alvlslonnaira la 85 cirant sou» le^ jè^la I ment» d , la F. B B L. A t our le einmpior-uat de boxa aagljïsg et française de !a divï-sioii da L'pgo. P rnîi 1. s orticiers qui honoraient ces championnats divlsloontiras do î'-jur"! présencas eitoas : M spoa f c^mminda :t À. K M Mi-c-hiels, les commaodiBti Bst-« la et Jacques, le capitaine Grot h lt>t, le dévoué président du B A- B. G ; la capitiiae Leroy, li liante-nant L'-<quaux, etc. Voi.'i le résKjtaî de la réuii Mi : BOXS ANQLAISB Gomb ts de * ro udi do 2 minutes, g=tutr d 8 oae s. Poids plumes: Lià'hni! vainqueur da Leiiz psr f ufait. Poids légers : l) Ve rna> n bjt S^mpeis qui abandonnes à la iiû du 2a rout-d. Vermayan, on botj élève dt< Distra, posséda de grandes qualités, S impars fit prettve de courage. 2) Levesqae b ttS.tmpflrs par f jjfait. 3) Veimayoti bat L&veq»ta de très pau aox joints sprôa un splendide combat où les dobx hoaims». firent preuve do grande valeur, ce combat fâï tré< applaudi. Classement. 1) Libihoui gagnant par forfait géuéral. 2J VotrûP4yisa. 3) Lïvêqae. 4) Sampers. Poids ml-moyans. 1) Mjigttta vainqueur de Daqyesnoy iui poit ti après un baau combat. 2) Lamai e vain (u ur de D^quasnry ptr forfait. 3) Lemaire bal Migotta île peu aux points ;p'è? «u combat de toute bssuté et ttôa scienûtiqu % les deux boxeurs furent applaudis.Classement. \) Gh. Lemalre 2) Magotte. 3) Duquescoy. Exhibition. 3 rounds de 2 minute», gants 8 onces. Les deux poil* rnoyeas Baudoux et Dlst.-a fotu une txhibition dure et scientifique où B udoux domino ma'gré une courageuse et bei'e déiaase da «on adversaire. BOXE FRANÇAISE. Assaut de 3 routds de 3, gartts d 8 onoes. • PcMr moyens. Grétry vainquear de Lo-rel pal» fuifait. Poids mi-lourds. Sougnez vainqueur de Grotry par 20 peints à 24 Lrs deux adversaires fireut preuve d one beiia connaissarii a de la boxe française, Sauguy se montract légèremont supérieur, cet assaut fut très sp-C piaudi. J La Ju;y, composé da MM. A. et P. Mekar, F. Sliannon, Ch. D'jpret fl L. Giov^ert', arbitra à la «atUf'.ctlon générale. Félicitons les organisateurs de ceite bd d réunion sportive réussie en tou3 poit t«. I REMERCIEMENTS Monsieur Armani Grondai et l'Abbé Louis Leusch. aumônier militaire belge de basedela Calais, prient touseeuxqui à l'occasion de la mort de leur frère et beau- I frère, Ôcar GRÔNDAL «oIdr.t ht lge, motocycliste du parc d &r-, rostation, tué à Calais la nuit du 14 Août, J leur ont exprimé leur sympathie ft leurs condoléances, d'agréer l'expression de 1 (eut profonde gratitude. LA SITUATION La question des îles d'Aland La qcert'on des îles d'Aland émsut da nouveau l'opinion suédoise, indignée par les ' erséentioos auxquelles la population alan-.iaise est en batte da la part des autorités tiaiandsi-es. Nombreux ar.'ivant en Saède tes jeunes con«crits alandsis qui se sauvent en b»rques et traversent la Baltique pour échapper au service militaire imposé par te gouvernement germ&no( hlle de M. SviaLuf-vud, malgré les promesses formelles donné»'s aux Alandvis par le général Msnnerheim. La presse finlandaise attaque violemment les A'-acdsis et leurs prétentions de redevenir Suédois. Les pub ici-tes et les hommes d'Etat finlandais déclarent que la Finlande ne cède-ru à aucune condition les îles d'Ain d à ia Suède, ce dernier pays n'ayant p»s, par soa rtfas de participer à un6 intervention militaire aux côtés de l'Allemagne, mérité uue pareille rétrocession La presse suédoise »é-pond vertement. Le « StockhoîrasTiduing » rappelle qus, dans cette question, la politique suédoise est basée sur le droit des peuples à disposer d'eux-jï êmaa, les Alandais «yant, i le qiu»i 3e Année - Ne 547 Le Numéro 5 c\mt* Dfmanchel" Septembre S ï 11 , .un •■n n ' u. f rn^l Mil mmi—8É6 i ' mmtmm lll ' fiClli t e**C~tms>r -fil us i ■■ii'mHi fMlii Fl m — nil-iHI—IT Hfl—Il m r >1 «r ■ —— — —-— i., » T■ .. "TT™ . ■ T7.v,

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