Notre Belgique

640 0
05 September 1918
close

Why do you want to report this item?

Remarks

Send
s.n. 1918, 05 September. Notre Belgique. Seen on 26 April 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/b853f4mb19/
Show text

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

NOTRE BELGIQUE Uieu ptotègt te Mm iMgfatu ^ ^ ^ Moadf Me pû S'Beîghjut forait merwh* Et ton tUfê î XP U 6- I A# I !S Pi Wi mm nui m#fê m 'est fit et'e?$e Woitâ ? 3 • yioss «a-y Tarif des U»$!maa<iito MfiSiaÏ!*»» . - » « S S*so»i« î .30* tr. s fctaêa 4 ir. 9ivil* t (francs) .... 3 îiSia!» i.âd te. S aHols 8 fr ï ÎJ3<»lt l.SO t*. S &ôi« S it *&•****¥**», .»...>w v •f-wi^asw» --y T v __j- i Sè«#Cti»Rl »><* ^iR%J«»»«tr*lfî®»i 13. MIS oui COMMUEES, CAk&fS ÂM&wtg$*m&nl» H' ire# ; ft«S)ïW*IWôf ? - "(t Sîî»?' 5 0 3iî^»^W«î%'Sï»? i "•At }'\sp * .!*■»# i. -<.^?3.*î»-4tîl«t DISCUTONS Il y a quelque doux m<d«, îjo rs * vona ( publié un arilcaiet où non tâchions d'ia- il sister sur le respect nécessaire <ie l'auto- i rité et de la discipline et où nous rrcom- c mandions aux soldats de ne jamais oublier c dans leur attitude et leurs paroles la dis- c tance qui les sépare de leurs chefs même js les plus familiers. Ces lignes nous étaient ! iaspirées par diverses communications1 c verbales et écrites que nous avions reçues. j « Notre article nous valut peu dstemps .; après une merveilleuse réponse d'un corn-, i mandant qui nous reprocha notre exces- ' f eive rigueur envers les hommes, disant I « qu il n'avait jamais tyrouvé la moindre ' < difficulté à obteiiir d'eux un effort même 1 pénible, que la très grande majorité d'en-, ' tre eux résistent aux instincts anarchi jues, \ qu'ils se gardent bien de manquer au res- < pect de l'autorité. » , < Nous donnons acte à notre excellent ' correspondant de ses déclarations et som- i mes heureux de publier l'éloge qu'il fait 1 de nos jasses. 1 Ces jours passés nous arrive une autre i lettre, signée d'ua capitaine, et qui fait ; résonner la cloche opposée. « Monsieur Lelou, nous écrit-il avec une aimable ironie qui n'est pas pour nous déplaire, vous êtes un type épatant, c'est entendu, tous les soldats le disent, les chefs aussi, parfois. Cependant, je ope permets de vous adresser un petit consei1: A-près avoir fait le nécessaira pour protéger nos braves soldats contre tout ce qui peut nuire à leur santé, à leur fortune, à 1 ur avancement, à leur bonheur ne voudriez-vous pas leur conseiller d'être plus reconnaissants, plus dévoués, plus obi issants et plus respectueux ? Ne voudriez-vous pas leur rappeler quelques' uns de leurs devoirs ? Allons, Monsieur Lelou 1 vous que nos soldats f coûtent si volontiers ; vous qai savez si bien leur rappeler les devoirs de leurs oflL'i^rs ! Rappelez-leur aussi les leurs ! N'était la crainte de vous importuner, je vous écrirais de temps à autre ; peut-être finirai-je par devenir un de vos correspondants, c'est parce que je vous estime et vous approuve parfois, que jî me permets da vous adresser la présente en vous priant de croire à mes bons sentiments. » Mon cher capitaine, je serai heureux de recevoir de votre prose à l'avenir, et j'espère que nous finirons par devenir une bonne paira d amis. Après avoir exposé loyalement les opi-, nions contradictoires de nos sympathiques correspondants, on nous permettra sans ' doute d'exposer la nôtre avec une entière sincérité et de jouer cartes sur table. Une remarque préliminaire : ce que nous disons dans ces colonnes, nous ne le suçons pas de notre pouce, eut organe n'ayant rien qui justifie une telle génération. iNous nous appuyons sur la documentation variée et multiple qui nous arrive du front chaque jour que Dieu fait. ' C?ci dit pour faire ressortir le bien fondé t' de notre opinion qui dé fait est celle de moult officiers et soldats, noas dirons qu'à notre avis l'une et l'autre des lettres t qui précèdent pèchent par exagération, et c que la vériié doit se chfr:h»r duis line ^ j sage moyenne. ; ] Nous admettons sans peine les éloges ' décernés par le co «mandant aux soldats f | et en sommes des plas heureux. Toutefois l ' sont-il aussi universellement mérités ' |quou veut bien nous le dire? Si oui, nous ' 'avouerons sans ambages que l'armée ' belge est digne de defen ire le royaume [ d Utopie et qu'elle rendrait des points aux , ' légions angéliques. Tant mieux d aillt urs, i ' et vivent les braves gens de 1 A B. ! ] Le capitaine de son côié nous reproche, i oh ! sans le moindre fiel, de ne parler que , t des devoirs des chef", à l'exclusion de ceux 1 des soldats ! Il me semble que s-i e<t ex- ' cellent officier lit régulièrement « N( tre Belgique », il use d o illères, qui l'ont em-pê îhé d'apercevoir no? multiples articl -s sur la discipline,sur 1 obéissance militaire, ' ; sur ie respect des cliefsrsur la politesse, sur la morale, sur mille autres sujets, où i nous n'avons pas mâché la vérité à nos i lecteurs. t De fait, nous avons prêté et nous prêtons encore chaque jour notre faible voix à la défense des latéiêts du soldat. Nous le faisons uniquement pour faciliter à nos hommes l'accomplissement de leur devoir patriotique. Nous n'avons en vue que le bien de l'armée et du pays, qui sera d'autant mieux sauvegardé que les soldats seront plus heureux de leur sort. Quant à créer dans nos régiments un 3 esprit d'insubordination, de révolte, d'à-, narchie, Dieu nous en garde 1 Ce n'est p jamais chez nous qu'on se livrera à une i aussi triste besogne, et les hautes sympa' r thies qui veulent bien s'Intéresser à notre ! publication, renient témoignage sinon au succès de no3 efforts, du moins à notre , absolue bonne volonté. Nous avons nos , défauts, nos excès de langage, nos inex- - actitudes de documentation, qua sais ja ? - La perfection n'est pas da ce monda, et le 3 journal idéal est encore à créer. Toutefois, comme nous ne demandons s qu à nous amélior; r, st que nous n'avons • pas trop mauvais caractère, noas nous fe-s rons toujours un devoir d'accueillir les • appiéciations, les conseils, les sugges-) tions que nos amis, gradés ou non, veulent j bien nous transmettra. - j Mon Dieu ! lorsque, sans la moindre s ' arrière-pensée d'amour-propre ou d'inté-s rêt, on s'est voué, comme nous, corps et a âme, à une œuvre, pour le plus grand bien j de ces magnifiques bougres que sont nos b jasses, on aurait mauvaise grâca à s'entê-3 ter dans une idée dont d autres, plus côm-; patents, vous prouvent l'inexactitude ou - la nuisance. Et puis, u'est-ce pas, ami lecteur, il n'y s'a que les imbéciles qui ne changent j a» .'mais. LE*. OU. Promenade en Bretagne Steoué* un peu dans la viîtlls oa è ht, nout lamo/iM mourir la convtrsation, loUicitif par le rêvt... La roula fuit, toute blanche ; dl<pa>-aî!, reparaît, parmi le* vallonntmentt ; monte la côtt, dstetnd, bordé» du petit* chê/tàt tordu* et tbranchdt, ou da nolttUtr* et de ronces. fljout longeons des vergert en dot d'âne où, dltpotit en quinconce*, let pommiers rient de tous l*wf « muscadets » vttls et rose*; de* champs d'éteultt dorées où * aigrie i alignement des rouges javsllss [ fou « pi<ju«ti*s ») du blé-noir. | ( Toute la campagne bourdonne encore | du roi fl mtnt des batteuses. L« soir va venir. Dj longues traitées de pourpre frangées d'or s'étirent à ï ouest. Déjà le travail a asté dans quelqutt feimts; et la fermière verse, aux ou-( vriers et ouvrières assimilât, le cidre blond dan* les bols d* faiance fl»u>ie. — Il t* dégage du paysage une calme sérénité; le bophsur se respicomme l'air, l'atmosphère en est imprégnée .. Le long des routas, à chr.qu* carrefour, veillent des croix hautes comme dés mâts, chargées quelquefois d'un chriti, toujours munies, dam un* petit» niche au bas d* La Ligne Hindcnburg souffre violence Anglais et Fi ançais sont i.ceupés à <<i marteler puissamment, montrant bien qu'i's ne veulent laisser nulU t> êve à l'ennemi. l a Grande-Bretagne suit avec enthousiasme la marche triomphale de ses troupes. Les critiques militaires nngl iis s'accordent à dire que la semaine passée fut l'une des f lus im portante* de la guerre. i L'abandon du Kpirmel par les Boches et la ; reconquête. dePéronnt sont de brillants succès j pour tes Britannique « et effacent en fait Us j résultats de la grande offensive ennemie du printemps. Les A letnands ne se retirent pas sans lutte : aux c: droits stratégique», ils opposent une résista têtue 1 si sanglante, ' mais finissent par i.: her prise, avo'iart par ■ le fait même la maîtrise de t'advei saire On , peut considérer let'r grand tfforl offensif comme clos pour ceti' année, et lis se prépa-, rent dès maintenant ■ reprendre lu guerre de j positions : gueire qui leur pemuttra derrière t des lignes formidablement fettifiées, de tenir avec la dernière vigueur. Seulement ils devront compter avec le maréchal Foch quieit dicidé à les empêcher de se terrer à nouveau dans les tranchées et qui s fera l'impossible podr les pourchasser jusque > dans leurs plus terribles repaires. s Les critiques allemands oublieux de leurs 1 déclarations triomphales d'il y a quelques s mois, alors qu'ils parlaient tout simplement de la conquête de Paris et de la côte, ain>i que de la rupture du front franco-britannique s se contentent de dit^e modestement que les armées impériales, areboutéts à un mur inexpugnable, sauront garder de l invasion le territoire rhénan, Cologne, Coblence, et r Mayence. Dans << l'Œuve », le général Verraax, qui ' est un des chroniqueurs militaires parisiens X les plas indépendants et les moins bourreurs, S fait les remarques suivantes qui sous ta plume, sont des plus intéressantes. U « J ai déjà fait remarquer que les opéra-„ tions ordonnées par l'état-major allemand ;t manque/1 d êqut ib e. V. ne not/s a pin hnbi-més à tant de nervo-,'ié. Or, je. r•?, peur attribuer ces indeci ions à la disette Je ton esprit ordinairement i fertile ; j inel ne plus volontiers vers le manque d rèisoiirc >s en hommes et peut-être aussi en i.',ntériel. / matière, première deviert rare. On cornue es à manquer d'avions et d'avia t urs; putf, coume le fait remarquer le com nluniqué du 31 août, le Boche commence vraiment à ■ souffrir des prélèvements conti-rhirls qu'il a dû faire sur ses réserves pow corhpenser leg pertes subies au cours de ce attaques en masses durant la. prer ière partie de l'année et à la suite des offensives heu-eu " ses des Alliés depuis le 18 juillet. Telle me semble devoir être l'explication de ces mouvements décousus, déconcertants, . ir.compréhentib'es. j Certaines manœuvres ront amorcées, puis 1 abandonnées. Des pisitions importante* sont j cédées sans combat. D'autres paraissant né S gl geables sont défendues à outrance. | /.'ennemi n'a plus sa volonté. (L subii la nôtre. Sans doute il peut se reprendre. Ll est pes sibie que ses réser ve* — il en a certainement encore — soient en train de se masser quelque pari pour la contre-offensive ; il ést possible 1 encore qu'elles soient en train d'occuper une. '. ligne di résistance contre laquelle on espère ' voir se briser nos forces qu'on peut supposer < ffaiblies aussi à la suite d'une bataille di 1 45 jours déjà. Mais quelles que soient les combinaison» 'j réparatrices, il existe dans le camp adverse *\un mal que ni le génie de L.udendo-ff, ni I l'énergie d'Hindcnburg ne répareront. » ['j Le. mal, dont parle te général Verraux. '' c'est la démoralisation. Les extraits de. jour-' î ntux boches que « Notre Belgique » a soumis ' à ses lecteurs prouvent à l'envi qu'il ne s'agii pas d'une maladie imaginaire. I J fiSerars^e leur tronc, d'une statuette, en pâtre ou < nn fcïmce, dt la V'.ergg ou de S linte Anne. f Elles parlent, ces ooix^un langage à| la fois gravi ei doux. Ell** doivent ê'.re,\ pour let pa.tsnnts,conseil'èrs* de résigna-;op, de courage, d* fidélité, Elles tes] rappellent aux pensés» quipur.fi'nt «ij ;itior.fo-iani, et leur ornbre tcmkf, comme] un. remords, sur ht âtnst o*b:i*utete de\ Dieu. 5 Rlin n'est bienfaisant comme-uns pro-\ ■ntnade en ce pays ries maure simple» «l| douca, de foi robuste, où les plus humr bits, travaxis et les plus dures souffrances reçoivent canine un nfl t d éternel «' an cachjt ougusie dt-s grand» activai'ê* trr.glquts, dont lu couchant allar gs l ombre cru »fi t sur les champs où Con peine, « ur let champs où Ion va .. Joa MOONLIGHT. Août 1917 M. A. T. A. ac i Diihdémént, M. A T. A. («ra !oogt?mps M encore perler d'bllo. . ou plutôt da lui, — car c il «'Eglt de nouveau das M 'gasiBS du débit 11 ve > Et je vsis me permettre da pos^r h ce sujet — quelques question?, laissant à M Quidedrolt to le soia de les solutlona&r, si touttfoii il dii- M 1 gne s'arrêter aux rouspétances d'un mécon- se » tant — uui n'est h4Us, pa* le saul I 1 Jt Cornaient se fait 11 que Jîmais le M. D. de ie Cal»is ne soit approvisionné en quantités' T ' suffisantes de certaines marchandises pour' ■ pouvoir délivrer à chaque participant la qu«n- *i t tité lui allouée par D. M. ? ! s> Aln»l, d'après cette D. M , chaque client L peut r cevoirl Kg. da cho«ûlat par mois — ni r ordinaifflnient.ou en obtient 3 bâtons, ou pas | » du tout. — On dé.ivro également hîjg boîto ' d de confiture, au Heu de deux ; 2 litre», do vin s (< au lieu de 15 bouteilles. Et ca n'est que par |v exception encoro que ce mois-ci il y a du S rl * yj>). |n * Comment comprendre aussi que l'on nejq t peut recevoir à la fait du savon du toilette ot|d t du savon Colgate pour la lessive ? Celui qi ' f sa lave ne peut donc laver son iK:ga et réc! i pioqm ment 1 I D vl'lâ ua t m >8 immémoî-ial, il n'y a plu ^da cirsg) noii ; oî y vend sï-ulemont d , [ cir> g-; p.ute..,, et fa'ieï donc biii qi'T vo . ' gcd sates, les piottes 1 1 5 CaKaines d nréi.s sont toujours ré--urvce i f t aux hôpiigux, p*r> oimel compila naturel! 'jment. — N j sartil il donc pas possible d'-» provisionner eu D. M d; I»ç m à coulante t s tout la monde '< \ Ljs D. M. de G-tlnas, G.dve'.ines tt d'autrf | 6nuoro, coiui »5u II.«vi-e surtout, sont toujoui j " J besuroup mie. x sinon «bond»minant fournis Ei quelle t st ta causa da cat au;"rovi»lo;in j i- ment toujours délictueux et -, >„ iuM disant ? r P«ut-lt y voir ua défaut d'orgini<aU e, ur manque d'initi«tivo, ou la crainlé des bom-5 barde ment* ? F-ut i! > ech- rcher cette cause daas les m y-ms do transport ? — Oj trouv< «, Cf-i tid.it U;ï WAgooa } our ex:éJ.i r dt* fruits, dtiS tliur.*, etc , dont en ao passerai bien plu-* facilemant ? Les Fratç da vo-st ioc-'seamm :nt rrc vv>i 7&0 grsmiiV s de îCCre au li>-u du 500 ge. — exepptionnitemant. — Fui q-ie nous, te petits Belges, sommes mi» *ur te même p'e<! au sujet du ravitaillement, pouvons-nous ut moins e-pérer béntfieiwr du n êm -av-i-t %• exceptionnel tt recevoir iuaai t{2 ivre sut pkmr<ut<ilf e da cf: boa sucr« ? Etfia, un de-nier point, d<jà soulevé mai sur lequel on ne saurait trop lnshter : Les Be'g-s sont égaux devant !a loi; ils doivent uussi l'être devant ie comptoir de? )ï Magasins de 1 A-méa. — Pou quoi exclure d* îr c ra msgialus tes familles da cenx qui ria peu i ! vent pas eu q d ae pouv-mt plus ê.re aa frant? et — Ja na parla pas par égcï tma ; ja suis s.ui ; it toute ma f^m'ila est restée tn pays occwpé.— i- Mais il y a « à l'arriéra » Quantité d'ui i ea qui j. sont co-iïiiérées comm j apparienint à t'A C. Ja cita, par exemple, i'E. A. P , l'Aviation, le-iesC'.fS d instruction da la D. T. M., delà S9' T. S. F., des Pj. etc. iri Les familles das militaires qui en fjnt par d- tle (et se sont pas au front) oat îa faculté de ■ s'approvisionner tux Magasins de oébit. —■ nt Les famii'es des autres xniiit. i es de I «nière — ne l'oat pas. — E t-ca juate ? ït.s \ En di hois de ces m ités, les « embusqués » to' dojCalais et environ s saut tous des aesilial'os îq J (classés comme tels 6n suite de U dernière arhiaite médicale.) Or, par décision mial ié iu | rlelle, l'armée de C mpagaa et le Cormiand |mmt territorial du C 8 B. C n- fanent ne • qu'une saule et inéuie it> »e au pol it d ! vu s ot^do» auxlllalras... CauT daCsdaU u'oat ua à Cfglnd.'ô jusqu'à présent les gtz asphy-xLata — mais lis sont constamment soumis à des bombardemrnts qui impressionnent h s Ja*s«s vrfci l, ont de psssaga en ville, à tel point que nrmhra d'entre eux déclareni sans arobagas qu'ils ne vendraient pas y séjourner..-.Na serait 1! pas juste qua los familles da tons ces «uxi lair^s iciint mises sur un nifima pi d ai» sujet des M D ? B vf. volii cette importante question remisa une fi di 11.2 a sur la ta. is. — Espérons qi'elie sera scus peu polu'.lannée à la plus grande satisfaction de tous. LEROUX SPETEUR âu champ d'honneur t L'adjurbnt MU Georges, ué ô Autolng la 23 J.mvltir 1894. a trouvé une mort tfloriense le 24 A ût 1918 en <kf ndar,ï avec ses hommes, uu poste avancé. Si nous ne connaissions pas la raison su-b laie de cette b^lle mort, son but suprême, ('adjudant Mil, disparu de nos rang», nous ! i i-*er»lt Inconsolables. Pur aa bravoure, sa balle conduite au feu et sur-tout par sa grande et douce bonté, Il , avait conquis l'affection (ie tous. Ses chefs i'ainulant et stlei d„lf nt av. c impatience son "it:ée dans le c >rrs das oliioiers. ft était ie grand f èra de chacun de ses hiimmei , ceux-ci ^'étalant donnés tout entiers à ca j'-'an* ch f da pf loton qui eonnsis-»it si bie.i tes secrets da leur bien être et qui s&vaii las conduira partout, gardant toujours uce belle maîtrisa de soi. . Dif u a voulu qu'il consoïome le supiêmo e sac itica ; qu'il eff -o à cotre bien-almée Bl*1-, giqua t'incomparabia hommage de son pur patriotisme. nous inclinons bien b3S tev-ant ?a mort héroïque, digne conronne- • m nt d'une via exemplaire. R, B. * * * ' Nous appreûoes avec peine la mort du çergflit Victor Klein, 3a Cie du .. carabinier*, tombé pour la patrie le 27 Août au cours de l'attaque victorieuse de Lsngomarck. Nous présentons à aou fière, Mr l'Aumoniar A. Klein, nos chrétiennes condoléances et recommandons l'âme du martyr aux prières de nos lecteurs. t * i * * Nous avons le rfgret de faire paît #ux C-maradcs Montois, de la mort glorieuse da 1 Félix Dumoulin, soldât au 5a chasseurs à j 4<.d, décédé à i'h-spltal da Vinckam le 16 | août à la suite de blessures rtçms aux trsn-j chéas de Ire ligue. Les »mi* Montois désireux de prendre p*rt à la souscription ouvurta pour lui rendre uu 4eriiler h mmaga sotit priés d'adresser la montant do leur cbola en mardât ou timbres-postes à Strstem Eugène 1 ! Z 290, 12 Cie de mit rail). 1 ! LA SITUATION L'Espagne exige 1» fin de 1» piraterie Le* Adamsuds prétendaient que le « Cara-a » avait été coulé *ur une mine, ils retardent ainsi la décision du gouvernement ipagnol qui, s'il veut mettre à exécution les tsrmes de sa note, doit saisir un navire allemand par bâtiment espsgnol torpillé. Or, la perte dj « C> rasa » étant postérieure à la note, l'exécution aurait normalement dû suivre si î'Allemagne n'avait p»s nié le torpillage du « CsTfcaa » et engi gé des négocia-dons., Sur co, on apprend qu'un autre navire qui transportait du charbon pour l'Espagne at ' dont le port d'attache est Bilbao 1' « Ariz-' Mandi », a été bel et bien torpillé. ' Li nouvelle a été confirmé* par M. Dato ' lui-môme. Cela donne de forte* présomptions que la ' « Carasa » so perdit dans les mômes conditions. C'est ce qua dit aussi une communlcs-■iou espagnole. 7 Une preuve de modération Néanmoins, le cabinet de M«diid donna ' una nouvelle preuve de sa ssgessa en pres-i erivant une enquête minutieuse. s C'est ainsi que procéda la président Wiisoa avant do prendre aucuno décision grave à ta fuite das torpillages de navires américains, t Q . ni le ceb'net sera en possrssit;n da cas s ! documents, 11 est vraisemblable qu'ii les pu-i bkleia, afin d'éclairer l'opinion publique Cbtta Année — Mo 550 Numéro 5 CtmM J«udi S Septembre <9 £ -, ;.i _ ;

Over deze tekst

Onderstaande tekst is geautomatiseerd gemaakt met OCR (Optical Character Recognition). Deze techniek levert geen 100% correct resultaat op. Dit komt mede doordat oude drukken moeilijker te lezen zijn met software dan moderne. Dat betekent dat er onjuiste tekens in de tekst kunnen voorkomen. Er wordt gewerkt aan verbetering van de OCR software. 

Er is geen OCR tekst voor deze krant.
This item is a publication of the title Notre Belgique belonging to the category Oorlogspers, published in Calais from 1916 to 1918.

Bekijk alle items in deze reeks >>

Add to collection

Location

Subjects

Periods