Notre Belgique

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s.n. 1918, 27 July. Notre Belgique. Seen on 02 May 2024, on https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/en/pid/br8mc8s289/
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NOTRE BELGIQUE Hféa protège i* libre Mti&igm ~ 0 u Mûn&& éfte fi# ïBelgique brait merviu El mm Eêi i %$ U k* 1 I U I f# &4 r %g qui t&âfe m *'e$f fir d'e&s* Waiioa i BM»aCTKBBI»aaa^^^^^^^^^MjlMl II I IK| r**o ftô'Vy T&ràf dss Àbô&ttemesits WS!hSi,fr#4. .... » i KSiSla i.SO (e. 3 8ioia 4 te. Olvila i {Pf&nco) S BSaSs S-âô is>. $ SSsois S fp. ' IfJSïiftiif» : S m&!« 2.-30 «p. # SvSeSif 8 fr. WàiJassiJsia ©t âd«i3ssîssts"»f,lisnsi 13 SMii 0ES COMMUEES. CALAIS A&oniaexaeâfe MUlitxirc* : fur &6ïftfiSf>9 i » o a 0.$$ f?s > p&? \0 ^eiP îS$i&Î2s t * 4 i - 5 .©*5 §?. ) fa Les Petits Pavés de l'Ours En vieille bête solitaire, j'ai un fond de misanthropie qui s'amuse un peu ifiécham-! ment parfois de l'embarras où tout l'absolu | de leurs beaux principes jette Messieurs? les Hommes. J'ai toujours plaisir notam-j ment à voir unesprit systématique comme j Maarras aux prises avec des événements v qui ne cadrent pas avec toutes ses prévisions oa avec des idées auxquelles la bienséance l'oblige à accorder quelque crédit Or chaque foi3 qu'il parle de l'Amérique et de M. Wflson. le logicien de 1' « Action Française »> se mesure avec e s doux difficultés. Je me hâte de dire qu il sort de la joute avec honneur, nie m avec triomphe. Je pense du reste que 1 etîort de tout grand cerveau vers do la sincérité laisse toujours un reliquat de « Vrai ». Le discours commémoratif de 1' « Iodé- [ pendance Day » contient comne tout discours de ce genre, l'affirmation d'une politique et d un Idéal. Maurras doit approuver l'une et répudier l'autre. En lait ce ne lai est p.'S difficile, car si l'idéal est! républicain, la politique étant donné la forte personnalité de M. Wilson, est presque monarchiste. Il faut dire aussi que la Constitution des Etats-Unis délègue à leur Président, dans l'éventualité de la guerre, ' plus de pouvoirs que n'en possède maint souverain héréditaire. En tous cas le pro- ;■ verbe : « Tant vaut 1 homme, tant vaut l'affaire » n'a jamais été d'application plus ' exacte Woodrow Wilson est 1' « homme » certainement. Mais considérez un Instant le visage wilsosien : il n'a pas seulement le mrnton autoritaire de l'action, il a aussi le vaste Iront des spiritualistes qui tendent avant tout à découvrir dans l'existence la projection des réalités «supérieures ». Maurras, estime qu'il a dégagé l'essentiel du dis- j cours du 4 juillet en soulignant la volonté ! de victoire radicale qui l'anime et en lai- j sant valoir l'inspiration classique qui gouverne sa forme, fe ne crois pas. A coup sûr, il ne faut pas tout de suite prendre des airs inspirés à la Tatave (Hervé pour les dames) et le baptiser Evangile de l'Humanité Nouvelle (cette humanité de petits moutons vertueux dont îêvait Robespierre). Mais on ne peut méconnaître, dans les paroles prononcées à Mount-Yereon, une certaine assurance prophétique : « Les maîtres aveugles de la Prusse ont fait sur-gir ces forces (les forces de l'affranchissement des despotismes désuets) à leur tour. Ces forces, ils les connaissaient mal, ignorant qu'une fois qu'elles ont pris leur essor, elles ne peuvent jamais être écrasées de nouveau sar la terre, car elles recèlent en elles une inspiration et un but qui sont int m G *■!<-! 3 et participent à la nature du triomphe. » • Concédons une part d'emphase inévita-| ble à cette formule qai est la péroraison |claironnaate du baau discours patriotique. | Il n'en reste pay moins qu'elle est précé-1 dée de déclarations d'où il ressort nettement que Woodrow Wilson, tant qu'il aura quelque influence sur la vie publique aux Etats-Unl3, prônera la défiance à l'égard de tout gouvernement absolu et \l'iastauration d'un régime de rapports contractuels entre les nations. (*) C est ce dernier point que Maurras qualifia d'absolument utopique, en disant qu'il suppose l'existence d'une conscience chez un être abstrait comme la Nation alors qu'évidemment il ne peut y avoir vie i consciente ou vie morale que chez un être concret comme l'homme. De prime abord Maurras a raison parce que le Président s'exprime souvent avec cette phraséologie révolutionnaire qui veut donner une âme à de gfands mots philosophiques ; mais au second abord Maurras a toit parce que la pensée wilsonienne est simplement d insuffler une vie « juridique » (non pas j «morale») aux nations, et que les abstractions peuvent évidemment vivre d'une vie juridique. Exemples : la Société commerciale, la société matrimoniale. L'essentiel est, sous l'abstraction de pouvoir atteindre les hommes qui y participent. On y parviendra toujours si les hommes conservent euffisamment de moralité pour ne pas se dérober à leurs responsabilités et si d'ailleurs il y a moyen de faiie appel à une Autorité qui les oblige par la crainte à avoir le sentiment de et tte responsabilité. C'est de cette façon seule-, ment que « les conventions ("seront) reli-\gisement observées » selon la formule jdeM. Wilson lui-même, qui ne croyait j peut être pas si bien dire. L'OURS (*) Le4octotrt 1917,dans uteinteiviewac-cordée aucorrespondant romain de l'*Uiiited Pressof America» le CardinalGasparrifaisait,aunomdu St-Père, la proposition concrète suivante : « Institution d un tribunal d'arbitrage international qui frapperait de boycottage commercial, économique et moral tout Etat qui refuserait d'obéir à ses décisions ou qui tenterait de remettre en vigueur des systèmes militaires dangereux pour la paix » et il préconisait, de façon plus concrète encore, le retour au volonta-riat, en matière de service militaire, et l'attribution au pouvoir législatif du droit de déclare! la guerre. GOURAUD Tout, au cours de la guerre, nous j avons connu des • -.hefi ». Nous avons) vu l'un ou l autre de ces hommss, visage mâle, rtgard d/oit, geste sobre, verbe énergique, qui semblent faits pour commander et qui inspirent à leur entourage une aveugle confiance. De c» nombre est Gouraud que les dernières batailles viennent de rappeler à {admiration mondiale. Il y a quelques mots, le grand honneur m'échut d'être reçu au quartier-général ds larmés de Champagne. J ai conté à nos lecteurs l'accueil cordial que nous fit le mutilé de Gallipoli, honorant en notre personne notre chère Pairie. Il nous apparut commt un vrai conducteur d'hommes, capable de galvaniser uns armée et de la conduire aux plus belles victoires. Sas traits, sst yeux, ta parole, dénotaient le ch»f,le clair vouloir qui < tans brutalité s1 infuse à la troupe et suscité à l'txt ê n* ses énergies profond rfr*. j Tel ainsi nous là montre la superbi 1 ( défeiw 'U la montagne de Reitnt. ' | Le 7 Juillet, Gouraud, prévoyait l'ai» J laque, (il ne te laine pas turprandr*, lui) \adtiii* à tts soldats une proclamation . où il les prévient des plans de l'ennemi et leur dit que tout est prêt pour le race-voir. H termine par ces lignes sobres, t dépourvues de toute tmphate, à l'accent , si fièrement français : ; « Dans vot poitrines battent des cœurs de bravss et forts hommes libres. i » Personne ne regardera en arrière. ' Personne ne reculera d'un pas. Chacun ' n'aura qu'une pensée : en tuer beaucoup ' jusqu'à ce qu'ils en aient assez. * C est pourquoi votre général vous* dit: cet assaut, vous le briserez, et ce sera un beau jour. » ! Ainsi dit, ainsi fait. La 4 s armét, puit-' tamment rsnforeée, inttallée tur des i potitions admirablement fortifiées, tient s le coup, barre obstinément aux a.ttail~ , lants la route de Châlont, immobilise, i endigue, fait rtflutr les vagues ennemies ! qui se britent vainement dans un fracas 1 formidable tur le toc de son indompta' ble ritittanee, Lts troupes font dignst LES YEUX QUI S'OUVRENT I II y a quelques semaines, les communiqués , et les radios allemand* parlaient du concouru J j américain avec cettn lourde ironie qui caran- j tèrise la manière îles intellectuels d Outre-y Rhin. A les entendre, les troupes arrivées des Etats-Unis en France ne comprenaient, que des malades... et des noirs, fis mentirer.l tant et si bien que i'Allemagne finit par les croire et qu'elle s'imagina naïvement que les soldats de Wiison ne seraient d'aucune utilité à l'Entente et que las forces franco-anglaises, épuisées par le martèlement infatigable de l.udtndorff, allaierii s'effondrer d'une manière définitive. Or, depuis 10 jours, voici la contre-offensive de Foch qui cond Jt les divisions américaines et françaises à la victoire. Les augures germanique» sont obligés de déchanter, de ravaler leurs mauvaises plaisanteries, de révéler au peuple au moins une partie de la vérité. On peut dire que c'est à coups de canon que la réalité de l'aide américaine pénètre dans •la tête de l'ennemi. La presse allemande qui doit chercher h justifier la seconde retraite de la Marne, a recours, pour ce faire, à l importance de la collaboration du Nouveau-Monde. Le correspondant de guerre de la « Gazette de Cologne » déclare que l'arrivée des troupes des Etats Unis a la signification d'un g, and soulagement pour les forces anglo-françaises en France. Le critique militaire bien connu, Franz j Karl Endres écrit comme suit : i « Plus on comprendra chez nous que la France est encore très forte, que L'Amérique a plus d'un demi-million de soldats enFrance, et que notre guerre sous-marine seule ne peut l'empêcher d'envoyer sans cesse des troupes et du matériel en France, que, finalement, l'armée britannique est prête à combattre en de bonnes conditions et quelle a complété ses cadres et ses unités, plus aussi serons-nous à même de regarder les choses en face, dans leur réalité. Il peut s'écouler des semaines avant que l'initiative saisie par le général Foch passe de nouveau entre nos mains. » Et le célèbre journaliste termine en mettant le peuple en garde contre des jugements hâ tifs et de la nervosité, état d'esprit qui appa remfnent prévaut maintenant en Allemagne. Les aveux de la presse boche sont, n'est ce-pas, singulièrement suggestifs ? Et dire que pour amener cette soudaine volte-face, il n'a fallu que quelques jours de succès de notre côté / Ne voyons~nous pas à l évidence que si notre maîtrise continue de s'imposer à l'ennemi, c'est l'écroulement du moral germanique avcc toutes les conséquences politiques et militaires qu'un til affaissement comporte ? L'Allemagne ne se tient debout qu'à force de victoires. Que le vent de la défaite continue de souffler sur ses armées, elle ne pourra résister et ne connaîtra pas l'endurance sublime qui nous a soutenus pendant 4 ans et qui sera bientôt couronnée par la victoire. | «J. ftiarantia de leur chef, il y a entre eliet et lui una tympathie, une harmonie dt volontét, 1 une confiance réciproque qui s* tradui-\ ttint en. eff orts victorteux. Autti, le soirï du premier jour de la grande bataille, le ) général Gouraud fait U tour ds tes héroïques régimsnts pour leur faire sentir qu' il est là, auprès d'eux, partageant leurs épreuves, applauditsant à leun ïjcploiti, veillant à leur sécurité et à Itur bUt.'êt) e. Et ces rudes hommet, épuisés par lit longuet heures d'une lutte du géants, à la veille d'eff onier de nouvelles fatigues et de nouveaux dangers, te redressent à. la vue ds leur chtf, «t, noirs de poudre et de poussrèrf, le regard en feu, l'acclament unanimement. Lit jours suivants, la bataille se pour-suitj et la défaite allemande s'ajfi'me plus nettement. L'armée Gouraud, c'est un mur d« granit, que les tecousstt les plus terribles sont impuissantes à ébran• 1er. Ram* est sauvé, Châlont est sauvé, let divisions de Mangin peuvent bondir, l'offensive du Kronprirz est vouée à un piHux avortement. Autti le général Gouraudpsui'il adret■ ter à ses troupes un ordre du jour triomphant.Cet ordre du jour formi le plut bel éloge et d* la. kme armée, et du héros qui la commande, et nous tommes heureux de le transcrire au bas de cet lignes. « Soldats de la ke armée, » Dans la journée du 75 Juillet, vous ai'ez brisé l'effort de 15 divisions allemandes, appuyées par 10 autres. » Ils devaient, d'après leurs ordres, atteindre la Marne dans la soirée : vous les avez arrêtées net là où nous avons voulu livrer et gagner la bataille. » Vous avez le droit d'être fiers, héroïques fantassins et mitrailleurs des avant postes, qui avez signalé l'attaque et l'avez dissociée, aviateurs qui l'avez survolée, bataillons et< batteries qui l'avez rompue, états-majors qui avez si minutieusement préparé ce champ de ! bataille. » C'est un coup dur pour l'ennemi, c'est une belle journée pour la France. » Je compte sur vous pour qu'il en soit toujours de même chaque fois qu'on osera vous attaquer et de tout mon cœur de soldat je vous r^mercie. GOURAUD. LEkOU ZSanqti» MARTIAUX, 48, BauCsv*r<l ; H«urtttloup, TOUftS (i. «t L.) K3uieigit« gramUawe&t sur toatei v*lear* belge». MOSAIQUE A t Le Code des Convenances i 2: (A rusag des Civils) 2 2! 3: Lôâ soldats savent mourir lorsqu'il le faut. 3: Il est boa que les civils qui veulent teniij 3' connaissent le * savoir-vivre » ; il serait| 3! d'ailleurs inconcevable que les « civiis »| 31 igaoreat la « civilité » Nous publierons donc! 3 quelques conseils à leur intention ; la sérit! r*: commencera par : « Ga qu'il ne f*ut pas dirt-à un permissionnEire » : — Encore vous 1 maiî il n'y a pas longtemps que vous êtes venu, il ma semble !... et on disait que vous étiez mort i... Qaanâ êtes vous ariivé ? A'ors vous lepartez tel; jour ? Vous avez une semaine entiers main-I tenant, veinards I C est la première guerre au cours da laquelle des permisiions sont accordées. Aiasi mon oncle qui a fait la cam- 1 pagne de 70, est resté huit mois mobilisé à 1 Bordeaux sacs pouvoir se rendre daijs sa 1 famihe. On vous gâte à présent !... Je ne 1 vous demanda pas comment çi va, avec une 1 mine superbe comme la vôtre, on ne peut 1' qu'être en bonne santé. Ou voit que l'air rst 21 boa là-bas ; profitez en ! loi, privés des 2! bienfaits de l'oxygène que vous respirez à 2: pleins poumons, nous nous étiolons... Il me 2i tembla que voui avez engraissé ? Mais oui, 2 je ne me trompe pas, vous vous portez mieux qu'autrefois. Ah ! mon gaillard, on voit que vous ne vous en faites pas, comme vous dite*. D'ailleurs, la nourriture est abondante, saine et variée, n'est ce pus ? Et les chefs (y compris eaux de^ cuisines) sont aux petits soins pour leurs hommes. Oui, oui, nous savons ; et puis, l'Etat ce ménage pas les sacrifices pour vous ! Oj vient encore d^ me commander 500 000 paires de chaussettes. Je voulais refuser car la main d'oeuvre est rare et chère aussi, mais c'était pour les soldats, alors j'ai fiai par accepter. Vous voyez, on vous aime... * * * Caeci vident.. ! Il s'agissait d9 fêter le 21 jilllet d'une fa- c çon grandiose. Sports, Jeux divers, orchestre, tombola, " etc. etc., tout le programme était arrêté et "r promettait un succès monstre. Il 11e manquait ' plus qu'un maître de musique pour diriger 1 la chor&le. Un sergent du comité l'eut bien vite trouvé : < Mais prenons Remy G Je l'ai vu à l'E c gllso battre la mesure aux jeunes aveugles » 1 Il n'y a pas à aire, notre sergent n'est pas i îBupta pour les yen* 1 Les Sports au Front A l'occasion des fêtes nationales, une magnifique réunion sportive a été organiié» au terrain i!u 5a R I., par le G. Q. G. La princesse ds Car&man Chimay avait doté les éprouves de magnifiques coupes et médailles.L'équipe d« football do U 2jie D. A., championne du f, ont beige, rencontra l'équipe da ta ...e division anglaisa. E'ie remporta une victoire méritée par 2 goais à 1. Le cross de 10' km fut gagné paf le soldat L"yssens du 4e carabiniers et par équipe, les Belges furent encore vainqueurs. Le championnat de vitesse <ie l'armée b i!ge fut Tempo-té par Van den Hove, suivi de Gœtlnckx et de Verschaeren. Dos milliers da soldats au repos avalent été émanés par trams su terrain parfaitement aœéiHgé. Lâs trlbuaes réieivée3 aux oflklers étalent combles, les Anglais étant largement représentés.Ce fat le lieutenant général Giilain, notre ohof d'otat-m«jor général qui remit les prix aux vainqueurs en soulignant combien était nécessaire la pratique raisonnée des sports pour former des soldats résistants, habiles et souyles. Le général aoglais commandant la ...e armée, joignit ses félicitations et se dit très haureux d'avoir vu les Belges remporter la victoire. Au footbuli t.e distinguèrent Van der Cloot, Verbeck, Cupp6cs. L'arbitre Degotta fut très bon. Gî dessous le classement général des coureurs de cross : Ordre d'arrivée des coureurs anglais 3 Seller 44 Sommarton 6 Atkinson 45 Rolson 7 Allen 46 Guider 8 Perry 47 Malilason 11 Woodward 48 Smith 12 Fraser 49 Whomarsiey 15 Worley 50 Whlto 18 Loverssed 51 Titloy 21 Danfori 58 Oakluy 24 R,ine 59 Hall 25 Donaldïon 60 Rothwell 31 Rolfa 61 Fallam 33 Ilartley 62 Util 34 Nettleton 63 Larm ; 35 Ashford 64 Hobson 36 Dodd 65 B imblet t 37 MailûDy 66 Round 43 Adams Ordre d'arrivée des coureurs belges 1 Lcyssens 28 Thys 2 Goddlng 29 Gasteleyn 4 Bossaert 30 Verstraed 5 De Boute 32 Prélat 9 Wintgens 38 Gossaert 10 Lecomta 39 Demeyeren 13 Trossaert 40 Parlinchy 14 Carels 41 Verboven 16 Broos 42 Desmedt 17 Gtaert 52 Vyncke 19 Terryn 53 Curé 20 Bogaerts 54 Van Damme 22 Toch 55 Van Dorpe 23 Piron 56 Vandersypa 26 Simoens 57 D.ossaert 27 Moons Classement des Equipes Equipe belge A : 58 points. Team anglais A : 83 points. LA SITUATION Tout va bien Au huitième jour d'une grande bataille qui avait débuté, ne l'oublions pas, par une offensive allemande de grande envergure, le commun iqué de Berlin est obligé de reconnaître que partout, aussi bien au sud da Soissons, sur la Marne, qu'à l'ouest et à l'est de Reims, les troupes germaniques sont obligées de se défendra contre les attaques des alliés. Depuis 6 jours pleins, en effet, l'ennemi n'a réagi que pour pouvoir reculer sans être pris au piège : il n'a contrc-attaqué au sud de l'Ourcq que pour protégar sa retraite sur la rive nord de la Marne ; puis, au nord de l'Ourcq, pour pouvoir évacuer Château-Thler-y, et hier, eRfie, li tentait en Ghampagna 3e Année «— No 517 y Numéro S ctmes Samedi 27 Juillet

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This item is a publication of the title Notre Belgique belonging to the category Oorlogspers, published in Calais from 1916 to 1918.

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