Amon nos autes: nosse gazette veut l'djoû totes les samainnes

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s.n. 1918, 17 Maart. Amon nos autes: nosse gazette veut l'djoû totes les samainnes. Geraadpleegd op 25 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/ns0ks6jt5t/
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Nosse Gazette veut l'djou totes les samainnes COMITÉ DE RÉDACTION: G. FONTAINE. — E. LAMBRECHT. — L. MARTIN. — J. WILMART, Les manuscrits engagent la responsabilité de leurs auteurs et, comme les belges, ne se rendent pas. La correspondance doit nous parvenir le mercredi au plus tard. Adresser la Correspondance concernant: LA RÉDACTION: Vill. Elisabeth, 62, Amersfoort(HolL) L'ADMINISTRATION: Oude Dievenweg, 21. id. T.lîS ARONNfl'.M'RNTS CmWMlîNr'ïrNT T.TC 1 K TVTMANCHF, DF, CHAQUE MOIS Au Secours des Internés! La diminution de la ration de pain a causé, dans les camps, une démoralisation générale. Les esprits, déjà aigris par la durée de l'internement, se sont exaltés encore nn peu plus, et cela se comprend aisément, car ce n'est pas avec 250 grammes de pain, un peu de soupe le midi et quelques pommes de terre le soir que l'on peut sustenser des hommes dans la plénitude de leur force. Nous devons cependant remarquer que les autorités néerlandaises ont tenté l'impossible pour retarder cette mesure et ne pouvons que les remercier de ne l'avoir prise que lorsqu'elle fut imposée par les circonstances et après que la population hollandaise, elle-même, n'aie supporté cette privation depuis de longs mois. Les internés au travail ou mariés savent aussi, depuis longtemps, ce qu'on peut faire avec cette ration de pain et comprennent que ceux des camps supportent difficilement pareille mesure. Nous faisons appel à tous nos frères de misère pour qu'ils supportent ce rationnement avec calme, le plus dignement et le plus courageusement possible. Mais nous lançons aussi un appel désespéré à tous les Belges, à tous nos chefs, à tons les dirigeants d'organismes, à toutes les notabilités ou personnalités politiques ou gouvernementales belges, pour que la question de parer à cette pénurie de vivres soit examinée sans aucun retard. On nous a dit et répété cent fois que le Pays comptait sur nous pour travailler à sa reconstitution lors de la paix, que la Belgique aurait grand besoin de nos bras et que nous devions rester forts pour le jour du retour. Si l'on veut que nous soyons celà, il faut que des mesures immédiates soit prises, sinon le pays ne re trouvera, dans les internés, que des épaves humaines, sans force morale ou physique, tombant à charge d'uue population qui aura cependant assez dur à se subvenir à elle-même. Et puisqu'on nous demande de „tenir" tenir encore et toujours, nous nous voyons obligés de répondre aujourd'hui: „Nous voulons bien „tenir" à condition que l'on nous en donne le moyen, car les souffrances physiques, jointes aux souffrances morales abattent, dans les camps, les caractères les mieux trempés. Il y a un vieux proverbe wallon qui dit: ,,Quand l'batche est vûde, li pourçai grogne!" Messieurs, le contenu du bac tire à sa fin. Des gens dignes de foi nous assurent que des internés ont, les jours derniers, tué des rats et des chiens et qu'il n'est pas rare de voir des hommes laver des épluchures de pommes de terre pour les manger!! Le malheureux soldat qui en arrive là était, songez-y, un travailleur, un père de famille respectable et respecté. Demandez-vous donc quelles pensées agitent cet homme avant de se résigner à manger des épluchures de pommes de terre qu'il ne peut même pas faire cuire. Il est plus que temps que des mesures soient prises en faveur des internés. Grandes seront les responsabilités de cfeux qui, le pouvant, n'auront pas fait tout ce qui était possible pour améliorer la situation des hommes qui, en août 1914, firent le sacrifice de tout pour défendre le sol violé, et c'est un cri de désespoir, de souffrance et d'agonie qui, aujourd'hui, monte des camps d'internés belges. Au secours, Messieurs, et ne perdez pas de temps. J. Wilmakt. Wallons, soutenez votre journal en "vous fournissant chez ceux qui nous soutiennent par leurs annonces. NUMERO 37 PRIX: 2 CENSES ET D'MEIE 17 MASS 1918

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Dit item is een uitgave in de reeks Amon nos autes: nosse gazette veut l'djoû totes les samainnes behorende tot de categorie Oorlogspers. Uitgegeven in Amersfoort van 1917 tot 1919.

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