Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire

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13 december 1914
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s.n. 1914, 13 December. Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire. Geraadpleegd op 04 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/tm71v5d300/
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p^J Dimanche 13 décembre 1914 J© centimes le numéro 58me année — 347 JOURNAL DE GAND abonnements = RÉDACTION & ADMINISTRATION ; ANNONCES1 BELGIQUE : 15 francs par air; 7-60 francs pour six mois ; 4 francs pour trois mois g, RU E DE FLANDRE, 3, GAND Voir le tarif au bas de la dernière page du journal. anQe7 ' le P071 en sus TÉLÉPHONE 665 LA GUERRE AVIS I! est porté à la connaissance du public que la navigation est de nouveau autorisée sur les cours d'eau belges indiqués ci-après : i° la Meuse depuis la frontière hollandaise jusqu'à Namur; 2° le canal de raccordement de Liège à Anvers, ainsi que le canal latéral par Turnhout; 5° le canal de Bruxelles à l'Escaut ; 4° le canal de Louvain à l'Escaut;!' 5° le canal de Charleroi à Bru-selles ; 6° la Dendre d'Alost à Ter- 1 inonde; 7° le canal de Gand à Ter-neuzen;8" le canal de Gand à Ostende; g0 le canal de Bruges à Zee-Driigge ; io° l'Escaut de Termonde jus-ju'à la frontière hollandaise. Les passeports donnant droit à a navigation sur ces cours d'eau iont, dans les régions occupées de a Belgique, seulement délivrés mx bateaux par le gouvernement aal iwipérial allemand à Bruxel-1b, rue de la Loi, go, parla com-/îiandantur impériale du port à Anvers, dans le ressort de l'étape rT par les autorités de la région, à U Gand par leCommandant du port. Bruxelles, 29 novembre 1914. Le chef du gouvernement \ du Gouverneur général ; en Belgique. ; La Saint-Nicolas des 1 Emigrés j 4 ' Où donc avons-nous lu que certain condamné à mort, faisant (Ud partie d'une bande et qui avait tout d'abord montré beaucoup de résignation, fut pris d'une colère soudaine en apprenant que ses gu complices' avaient été graciés ? S'il avait vu ses camarades appor-— ter eux aussi leur tête au bourreau, le digne personnage eût trouvé E apparemment que, en somme, 1 tout était pour le moins mal dans un monde qui, fatalement, n'est ,J pas des meilleurs. ■a, Le sentiment n'est peut-être pas ses d'une générosité éxcessive, mais ' il est humain. La nature a horreur du vide et l'homme, de la solitude. Même dans le malheur il ■ispire à la compagnie, et les misères partagées lui semblent moins intolérables. C'est quelque chose de ce sentiment qui a tressailli dans l'âme de beaucoup de nos concitoyens quand ils ont appris que le Conseil Communal avait, au lendemain de la Saint-Nicolas, adressé un petit cadeau fiscal aux émigrés. Nos édiles ont eu à cette occasion une chance rare : ils ont été Jpplaudis en infligeant une taxe ! Applaudis tout au moins par les présents, bien entendu. Une fois lue la nouvelle aura franchi les frontières — avec les retards de rigueur par le temps qui court— il cstprobablequedes imprécations lointaines leur feront tinter les oreilles. Mais comme la télégraphie ~ avec ou sans fil — chôme actuellement, il est à croire qu'ils l'en auront cure. Que les émigrés dussent être Hangés — financièrement parlant *- nul doute n'a été formulé à cet égard. On ne s'est un peu disputé que sur la sauce. Les cuisiniers préconisaient chacun sa petite recette particulière. L'un proposait d'assimiler les absents au Passepartout de Jules Verne qui, parti avec son maître pour faire le tour du monde en quatre-vingts jours, a oublié d'éteindre son bec de gaz: le bec de gaz des voyageurs serait censé flambant obstinément à leurs frais. Un autre, recourant à la vieille table de Pythagore, multipliait par 5 les taxes sur le revenu cadastral, la /aleur locative et le mobilier et, totalisant ce quin-tuplement triple, adressait l'aimable somme en guise de carte à payer aux intéressés. Tout cela a paru assez gentil, mais finalement les cuisiniers se sont mis d'accord pour parquer les « pères de famille » baladeurs en trois catégories, d'après le taux de leurs contributions personnelles, et pour leur faire casquer respectivement—et par jour—qui 2 francs, qui 5, qui 10. Etant donné que la joyeuse situation actuelle dure déjà depuis quatre bons mois, il est tel voyageur qui verra ses frais de voyage augmentés de ce chef, d'un beau billet de mille — sans compter la suite. C'est par jour qu'il faudra payer, Messieurs. Plus vous remettrez votre retour, plus il vous faudra débourser- On semble donc vous talonner un peu, on paraît encourager les velléités que vous pourriez avoir de revenir parmi nous; on vous traduit le désir dont on brûle ici de vous serrer dans ses bras, de vous faire accueil, du tuer en votre honneur un veau — plus ou moins gras —, de vous demander, enfin, comment s'est passé votre pèlerinage et si l'étranger vous a été aussi, voire plus hospitalier que vos concitoyens.Cela vous touchera-t-il ? Les sympathies qui transparaissent sous les exigences et qui donnent à l'avertissement du receveur un vague parfum de billet doux,vous feront-elles oublier ce que l'invitation a de légèrement pénible ? Telles sont les questions, un peu ironiques peut-être, que voudraient bien vous adresser beaucoup de Gantois demeurés en leur bonne ville—plus ou moins bonne à cette heure. Tels sont les commentaires mi-figue mi-raisin dont ils enguirlanderaient volontiers le petit cadeau que le Saint-Nicolas de l'hôtel de ville a galamment projeté dans la cheminée de vos immeubles vides. Faut-il se joindre au concert dont on vous régale? Convient-il au contraire de déplorer votre sort? Ni l'un, ni l'autre, sans doute.— Bornons-nous à une constatation toute placide et toute naïve : pour que les charges ultra-pondéreuses infligées à la cité, ne l'écrasent point, il était tout indiqué de les répartir entre les épaules de tous. Peut-être bien certaines épaules seront-elles un peu écorchées par les mesures nouvelles. Mais les mesures anciennes avaient écor-ché déjà d'autres épaules, dont les propriétaires étaient tout autant, si pas plus, en droit de se plaindre. Nous ne pouvons que souhaiter —à tous—une égalephilosophie.... ÉCHOS La Centenaire de Nevele, Mlle Ide de Kerchove d'Exaerde, dont la commune a célébré, l'an dernier, le 100" anniversaine, est rentrée dans sa 102e année. Elle jouit toujours d'une excellente santé. Au cours d'une escarmouche le 13 octobre dernier, à Nevele la centenaire échappa à un granc danger. Une balle pénétra dans se chambre et atteignit au ventre le servante qui aidait sa maitresse è descendre dans les sous-sols. ♦ deux des TÉNORS de l'Opéra: MM. Lassalle et Frantz, combattent à l'armée du Nord. La Comédie-Française a perdu un jeune acteur de talent plein de promesse, M. Raynal, tué à l'ennemi Le directeur, M. Albert Carré, es! à l'état-major de Besançon. Les membres plus âgés de la Comédie-Française, tels que MM. Mou-net-Sully, Silvain, de Féraudy, Albert Lambert, Paul Mounet, Georges Berr et Raphaël Duflos, lisent ou récitent pour les blessés! dans les hôpitaux. Un des directeurs de l'Opéra-Comique, M. Gheusi, est officier d'ordonnance du général Galliéni, M. Clément et M. Beyle, les ténors, sont l'un chauffeur et l'autre soldat à Lyon. M. Jacques de Féraudy est estafette; M. Max Linder est chauffeur; M. Tune, du Grand Guignol, a été fait prisonnier; Signoret est boulanger militaire; Abel Tarride est garde-voie; Albert Brasseur administre un hôpital, et MM. Fursy, Max Mauray, Huguenet, L. Diémer, Polin et Noté sont ambulanciers. La plupart des actrices françaises servent dans les établissements sanitaires : Mme Sarah Bernhardtà Arcachon, Mme Réjane à Trouville, Mme Bartet à Biarritz, Mlles Marie Leconte et Lucienne Bréval sont parmi celles-ci. La Guerre Sur le front occidental Bulletin allemand affiché à Gand. Grand quartier général, iodée., 7 heures : Lesnouvelles attaques françaises dans l'Argonne restent sans résultat.Communiqué allemand Berlin, 10 déc. (Officiel de ce midi). — Dans la contrée de Sou-ain, les Français se sont livrés hier à un violent feu d'artillerie. Une nouvelle attaque des Français à l'est de la forêt de l'Argonne sur Rocroi-Boureuilles n'a pu avancer et s'est éteinte sous le feu de notre artillerie. L'ennemi a certainement subi de grandes pertes. Trois aviateurs ennemis ont jeté hier 10 bombes sur Fribourg en Brisgau, ville ouverte ne se trouvant pas dans le rayon des opérations de guerre. Ils n'ont causé aucun dommage. Nous ne parlons de cet incident ici que pour établir le fait qu'une fois de plus, comme déjà si souvent depuis le commencement de la guerre, des bombes ont été jetées sur des villes ouvertes. A l'est des Lacs Masures, il n'y a eu que des combats d'artillerie. Dans la Pologne du Nord, sur la rive droite de la Vistule, une de nos colonnes a pris d'assaut Pras-nysz. Elle a fait 600 prisonniers et pris plusieurs mitrailleuses. L'attaque continue le long de la Vistule. Dans la Pologne du Sud, des attaques russes ont été repoussées. Communiqué officiel français Paris, 8 dec. (Communiqué officiel de 23 heures. — En Belgique, une attaque allemande sur Saint-Eloi, au sud d'Ypres, a été repoussée. La lutte est encore très ardente dans la forêt de l'Argonne et à l'est de celle-ci. Rien d'autre à signaler. Communiqué officiel français Paris, 9 déc., soir (Reuter). — Pas d'autres événements à signaler que des progrès près de Par-villers et une attaque allemande repoussées près de Tracy Laval. La mort de deux aviateurs. Amsterdam, 10 déc. (Wolfï). — D'après les journaux de Londres, loroAnnesby et un officier anglais ont été tués par les soldats allemands, en survolant Ostende. Le port du fusil chez les troupes indiennes. Les troupes indiennes, habillées de kakhi, y compris leur turban même — couleur peu flatteuse eu égard au teint de leur visage — et commandées par leurs propres officiers, généralement des hommes respectables, à barbe grise, ont une manière spéciale de tenir leur fusil. En marche, ils le laissent reposer sur l'épaule en le tenant par le canon, la crosse libre derrière le dos. Leur arme ainsi portée horizontalement ressemble parfaitement à une massue. Nous avons déjà indiqué précédemment la façon tout aussi particulière dant ils tiennent le fusil pendant le tir, laissant, pour viser, reposer le canon dans l'ouverture entre le pouce et l'index. Soldats coloniaux dans les armées alliées. Le correspondant de la « K<il-nische-Volkszeitung » donne des détails sur les troupes coloniales des Anglais en Flandre et sur leur manière de combattre. Les Gourkhas sont de petits hommes d'un type assez semblable au Mongol. En rase campagne et dansles tranchées,àce qu'estime le correspondant, il ne valent pas lourd; dans ces situations il ne résistent pas longtemps; d'autant moins qu'ils sont tireurs médi ocres. Par contre, les avant-postes allemands ont énormément de peine avec eux, quand ils s'avancent, la nuit, en « patrouille rampante >> et attaquent ces postes. La plupart du temps deux et rarement trois hommes rampent, tirant profit des moindres avantages du terrain jusqu'à ce qu'ils puissent s'approcher, sans bruit, des sentinelles. Celles-ci,brusquement atteintes d'un coup de couteau, tombent sans proférer un son. S'ils ne peuvent atteindre leur ennemi de la main, alors il lui lancent leur couteau à la manière des Peaux-Rouges. Inutile de les rechercher sur le terrain : ils disparaissent aussi silencieusement qu'ils Sont venus. Leur couteau pèse à peu près 5 livres,est aiguisé des deux côtés, en forme de faucille, s'épaississant au milieu ce qui rend la plaie d'autant plus grave Les Shiks possèdent des armes semblables mais ne les emploient que comme baïonnette. Ce sont les meilleurs parmi les soldats indiens De haute et élégante stature, on les emploie comme troupes d'attaque et comme telles cc sont des adversaires peu à dédai-gner.Prisonniers, les Indous restent relativement calmes; contrairement aux Turcos, qui ragent, se querellent, et échangent des noms d'oiseau tels que « ben keleb » — lils de chien —. C'est erronément que certains croirent les zouaves, hommes de couleor. Ils se composent au contraire presque uniquement de Parisiens. Mais leur uniforme est taillé comme celui desTurcos, car en temps de paix ils servent en I Algérie et cet uniforme est une concession aux indigènes. Le correspondant remarque qu'il doit être fort difficile de nourrir tout ce monde. L'Anglais se nourrit de tout autte chose que le Français et parmi les différents indigènes il y a en surplus le.plus parfait mélange. Quand après unegrande bataille les Allemands rassemblent leurs prisonniers ils s'aperçoivent de ces difficultés. Le Français par exemple ne digère pas le pain bis; les Indiens malgré leur faim de loup, jettent la soupe avec dégoût parce qu'ils y trouvent quelques morceaux de viande de bœuf. Puis chaque Indien a ses lois spéciales d'alimentation. Quelques-uns ne fument pas, car leur caste le défend. Les nouvelles troupes de la grande armée de Kitchener sont arrivées sur le champ de bataille. On le remarque aux différents uniformes des derniers prisonniers et aussi à leur visage mieux soigné. L'on remarque également un autre type que celui du soldat mercenaire des premiers envois. Il y a maintenant des fils de bourgeois, d'employés et de gens de métier. Sur le front oriental Bulletin allemand affiché à Gand. Grand quartier général, iodée., 7 heures. —■ Une colonne allemande s'avançant surla rive droite de la Vistule a attaqué Srzasmysz. On fit 600 prisonniers et prit plusieurs mitrailleuses. L'attaque sur la rive gauche de la Vistule continue. Dans le sud de la Pologne les Russes furent repoussés. A l'est du lac Masure, combats d'artillerie. Communiqué allemand Berlin, 8 décembre (Wolff). — Du grand quartier général : De la frontière de la Prusse Orientale il n'y a pas de nouvelles importantes. En Pologne septentrionale les : troupes allemandes, à l'est et au sud-est deLodz, sont sur les talons 1 de l'ennemi qui se retire rapidement. Outre ies pertes extraordi- 1 nairement lourdes signalées hier, les Russes perdirent jusqu'ici environ 5000 prisonniers et 16 canons 1 avec voitures de munitions. Rien à signaler dans le sud de la Pologne. j Communiqué autrichien. Vienne, 8 décembre (Wolff) : : Les modifications dans le grou- I — ■ 11 pement de l'armée se font entièrement suivant le programme établi. Les tentatives de l'ennem pour les faire échouer, ont été repoussées, avec des pertes sensibles pour lui. Notre marche offensive au sud de Belgrade fait de sérieux progrès. Nous y avons capturé 14 officiers et 400 soldats. Vienne, 9 déc. — On annonce officiellement, 9 déc., midi : Dans l'Ouest de la Galicie notre attaque dure toujours. En Pologne la partie sud du front n'offre rien d'important. Les attaques des ennemis ont échoué dans les environs de Petrikau grâce au courage des troupes austro-allemandes. Nos troupes firent la semaine passée 2800 prisonniers.Les Allemands continuent dans le Nord leurs opérations avec succès. Buda-Pest, 10 déc. (Wolif). — D'après les dépêches qu'on reçoit des bureaux officiels, l'avance des Russes dans la province de Zem-plen n'a pas réussie. Les troupes russes furent arrêtées par les nôtres, dans- leur marche vers le sud, puis repoussées et poursuivies, de sorte que l'ennemi doit être de nouveau à la frontière de la Galicie. De même dans la province Sa-roz on résista à l'attaque des Russes. A la frontière de la province de Bereg on signalait hier des forces russes sans grande importance. Nos troupes les ont attaquées avec succès de sorte que les Russes se retirèrent et passèrent de nouveau la frontière entre la province de Bereg et la Galicie. Une tentative des Russes d'entrer dans la province Maramaros près de Tornyo a échoué. Communiqué russe. Saint-Peterbourg, 8 décembre fRéuteri. Le résultat défavorable de la bataille sur la Lowisj-Lodz doit être attribué au fait que les Allemands y avaient concentré six corps d'armée et cinq divisions de cavalerie — en partie arrivés de l'ouest et en partie fraîchement formés. Ceci mit l'ennemi en état de poursuivre ses attaques jusqu'au 5 déc. Toutefois comme les attaques n'étaient pas combinées, elles furent inutiles, et les Allemands, après avoir subi d'importantes pertes, durent à nouveau abandonner l'offensive. Il convient de remarquer que les Autrichiens se retirèrent de la région de Tsjenstochof jusqu'au sud de Cracovie, vers où l'on dirigea également des troupes allemandes Les Allemands tentèrent donc un nouveau mouvement enveloppant. Les Russes trouvèrent détruit le pont sur la Duna-ietsj, au sud de Cracovie. Nos renforts forcèrent le passage de la "ivière sous un feu violent. Les soldats passèrent à gué, ayant de 'eau jusqu'au cou, et prirent d'as-;aut des hauteurs riveraines, per-nettant ainsi le passage du gros le nos troupes. Communiqué officiel, russe Pêtrograde, 10 déc. (R.T.A). -..es combats aux environs de Mla-/va sont moins violents. Sur la rive gauche de la Vistule es Allemands, dans la soirée du ? dec., ont procédé à une offensive simultanée sur tout le front -Jof-Glafno, où ils firent des atta-►

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Dit item is een uitgave in de reeks Journal de Gand: politique, industriel, commercial et littéraire behorende tot de categorie Liberale pers. Uitgegeven in Gand van 1856 tot 1923.

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