Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire

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s.n. 1914, 20 Maart. Journal de Liège et de la province: feuille politique, commerciale et littéraire. Geraadpleegd op 06 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/rx9377720v/
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UN NUMERO CIKO CENTIMES Vendredi 20 Mars 1914 MMjBramBgmjjg^gMBaWMBWBBMMIgia^^ Reclames. Faits divers » 40 cent » 1 franc FEUftLE POLITIQUE. LITTERAIRE' ET COMMERGMLE. | F01TOE | 064 iOIJLEVAllI) 1HE LA SAUVENBÈRE, .& m ET ABffimST-SATIOK plomatie 'iinancière a cöté de la diplomatie ofileieUe. L'onateur signals la rivalité d'une maison anglaise et d'une maison. francaise pour la fourniture de l'artillerie■■russe. La maison anglaise obtint une commande de 10millions par au de materiel d'artillerie'ipurtdè dont elle paralt devoir avoir lemonopole. M. Thomas dit que les patriotes ont eu tou de s'émouvoir, cal- la maison francaise s entendit avec la maison voisine. M. Thomas conclut en exprimant l'espoir que le gouvernement mettra sa politique extérieure pacifique hors d'atteinte' de ces entreprises inteïno.tionales de guerre. (Applaudissements a Textrème-gauche.) M. Doumergue expose comment, en cette circonstance, le gouvernement francais crut necessaire de defend» les interets francais paraissant menaces. M. Doumergue fait l'historique des •pourparlers du Creusot avec l'usino Poutiloff. Le directeur des services techniques du Creusot ayant dü rentree en Fiance nar suite d'un deuil de iamille, d'autres groupes étrangers,par un .acte do concurrence tres correct, essayarent de se substituer au Creusot Le gouvernement fut le jour même mis au courant par l'agent du Creusot. Il télégrapma a 1'ambassadeur qui répondit qu'il' connaisaait l'afrarré et avait aussitót commence les démarches. M. Doumergue ajoute que les démarches furent pcursuivfcs avec une tres grande1 énergie. 11felicite M. Delcassé auquel la Chambrefait une manifestation de sympathie. M. Doumergue tiont a afflrmer que le gouvernement russe avait declare h notre . representant qu'il ne laisserait pas faire 1 affaire projetée. Les intéresses prévenufs ;portèrent a Samt-Pétersbourg les propoi sitions et les garanties nécessaires et quelques jours après i'affaire était termfliée. Les usines Poutiloff demeumient sous le controle du groupe du Creusot qui avait fan 1'avance des capitaux. Le président du Conseil rend un nouvel hommage tres apolaudi a l'attitude du gouvernement russe. Il termine en montran* que le gouvernement francais dans la. mesure oü cela depends» de lui a fait le nécessaire pour détendi-e les interets francais lt la politique francaise. (Appl. sur de nnmbreux bancs.) M. Baffour blesse Nice, 19. — M. Balfour, ancien premier ministre anglais, se rendait eet après^siidf en automobile a Nice, venant de Cannes, en compagnie du Champion du monde Vvilding, avec leqnel il devait jouer une finale du Championnat international de tennis' de Nice, lorsque, arrive pres de Cannes, il ressentit soudain un violent chc-c a la tóie Au même moment, Wilding- voyait un g.triiiö détaler rapidement a travers' champs. Ce dernier venait, on ne sait pourquoi de lancer un calllou sur l'ancien ministre'anglais. M. Balfour a été atteint au cöté gauohe du hëz, qui a été marqué d'une-assez sérieuse. bafafre. üfelgré sa blessure, Tan,-1 cien liiemlenffififstreré, ténü a Hisputer laJ finale de tennis, un handicap messieurs double. Jouant avec Wilding contre Ml\l. Bove et Butler, M. Balfour a été batte après unê' lutte tres vive par 3-6,'6-5, 7-5. ' -..E .nprevision de la délivrance de sa fillc, 1 impiratiiice sajoumaiu dapuis cjuelques jours déja dans la cap'italé brunswickoise. Guillaume II a éU) avisé aussitót par télegraphe de la naissance de son petit-fils. Il s'est empressd d'adresser par la même voic des', felicitations aux hciureux parents. La duchesse Victoria-Louise, est riéa a Potsdam le 13 septembre 1892. Elle est done G.-D. ÜE LUXEMBOURG Incrdents a Luxeenboufi-s Luxembourg, 19. — Comme chaque année a prfeille époque, les diplomates accrédités auiprés de la grande-duchessc mais qöi 'ne' resident pas a Luxembourg, viennent d'etre invites ia un grand diner au Paiais." En -outre, un concert fut donné en leur honneur. Or, S ce concert, a la suite des i' frictions» qui se sont produites entre las digaiitaires de la Cour et la population, on nrr-ïita aucun Luxèsnbourgeois en dehors des personnages officieus qui s'inïpo'saieai maïs on invita onze officiers prussien« de ■la garnieon de Treves et de nombreuses familes de cette ville. La nouvelle, répandue par les jouröa-ii?''' fut commentéo dans le nuMic, et la dësanprobat-ion se manifesta nar des dhiauts l'fB» ,■ niques au passage dans la rue dos officiers aaemands -en uniforme, tin groapé d'entro .eux fut suivi par une cinquontaiiie de-fa- ■ mins qui leur criaient i « Wackes, oJI'ck a baverne I » Si bien ojue l'on dlut prendre des mesures de police. ANGLETEBBE Precautions militaires dans I'M later Belfast, 19. — Un detachement de la region .de Norfolk est arrh-ié..au chateau de Carrickforgus. Des sentinelles ont été plaoétes auxafcords du chateau et a laparte amsi qu'au quartier general avec haïon nette au canon et fusil chargé.' Le chaj teau consent tubs' grande quantité de fusils, et.de munitions, dont une partie consij déra'Hè a été envoyée.dans d'autres een! Cheick-Ul-Islam. La nomination d'un foncfaonnaire a ce poste important, dont le titulairo prononce les fetvas, e'est-a-dire lea sentences les plvis;iffipoo.-tantcs coiicériiam las questions religisuses ou polit^ues, est Violent cragre a Stamborul Constantinople, 19. — Pendant- l'orage qui a eu lieu hier, la foudre est tombée dans le Palais de'.la Porte et a détruit une partie du. bureau central des telephones. A Galata, uu enfant, touche par' le fil con'• due tour d'un tramway électrique, a eïé .tué. frois autres personnea ont été' tolessees. GBÈpa L'ag,-i-£at:ó.aï èpiirotu Paris, 19. — Le cQ^reapondaint du Temps lit Aïhènes a. initervföFve M. loresïis. g'üiu Iverneur de TEpire, -Suï' lui a expriine la ntcossité absoiue 4®1 V a. 'se'.on lui a ;vpii- touies lee puisau'ices répond» de pins töt possible aux""propbsition3 grecques.t Le |miuu\ emoist s'-etend, en effet, de plus en., plus. Les lEpirotes -aitsnés lorment un .contingent'idléja radoulaliie, ta tous- les. points de vue. Le gouvernement, severe a regard des officiers de Taa-mée reguliere qui somt terités de se joindré aux insurgés, pourrait bien, devant 1'lhsrtie beate des puisjsanéos, se fromper dabordé par eux et na .situation dévient de plus en plus ambarrassaiite. Que ferait-iil devant un mouvement nettement offënst? d'itme armé» épirote, encadrée par d* officiers espérimen•tes• ? 'Doniü le temps presse.- Même si'ia déimarche austroitalienne constitue une in'correctioii' diplomatique, la Triple Entente doit faire taire ses sentiments d'amour propre qui n'ont plus de place en face des menaces d'flnbroglio sangiant. Il est certain que le gouvernement insurrectio'nnél ce'dera devant les garanties a.cquises, mais des garanties autres que celles qui peuvent venir du gouvernement aibanais, incaipa-| ble peutêtre demain de les niaintenir. Combats eanglants On mande d'Athènes- axx Temps : On télégi-aph'ie de Koritza la la Hestia que les irepiconitres sajigiiantès entre Aibanais sh| 'multiplieid dans tout ie'-nondi de ce distrist et que les partisans-d'Êssaid! Paclra plu3 nofiibreux -c-t mieux aBUés que ceux de Kenia!' Bèy, ont ipartdut le 'dsssus; D'aulre ■part, les populations .c-hiréttennes Seraient, 'd'après ces snénies informatiens; Tcibjet d'at cès de toutes sortes de,'I:i part des Musuimans. Tokio, 19. —■ La conference parlementaire a repousse a la majorité d'une voix I-amendement de la Chamlbre des pairs féduisant le budget naval de 70 millions de yens. Scutari, 19. — Ce matin, a 11 heuies, le pavilion alBanais a été hissé sur le chateau de Bas-Rosafa, salué par des salves d'artillerie. mande des proprlétaires de ces terrains, la. situation n était guère plus favorable, Certairies. conditions étaient bien imposees • cession, gratuite du terrain, payement des fpais de terrassements, ,de ipavages et dal S'S mtétêLfu Lle™ataat des frais entratoés par l'etablissement d'une canauisation degout, mais, trop souvent, on derogeoit a ces conditions en exonérant les intéresses de Tune ou l'autre charge. A ce point de vue, la nouvelle réglemen- :-tation adoptee place tout le monde sur m -m&ne pied et mettra fin A la course aux--influences qui se pratiquait fréquemment -par le passé, en vue d'obtenir uu adoucissement aux conditions imposees. Ulï- eff-?H?,e'fes&emen«axe votË -pa5= nos ödileEf-n.est. Ras appïieafole dans.-ile cas u ouverture de ruedansles terrains dep artiiculiers, k leur demande. -Dans tous les cas les,, propriétaifes óver^iHs -ap-ront a supporter les charges 'de toute" .éspêoe resultant dei'exécution des travaux; II n'y aura,,pms d'exception. Les dispositions nouvaues mtéreseen; les voiriës nouvelles ou les élargissements de voirie que TAdmijmstration communale voudra réaliser -sur.' son territoire. Ici les taxes seront de deux ;es )üKSrtassaiait«iBass3Kai2j —«O—»E»-4Ï»- 1. Tasesindirectes, auxquelles seront soujmises les propriétés riveraiiies, baties ou rclöturees nar des murs ou des grillages.,' llJes consacrent Ie reiiiboursement, en ca' |>ital, -p.ar . les prppriétaires riverains, des. ïrais de toute eapèce relatifs a la snperfi-. cie de voirie comprise entre l'axe de la r-us et la fapade de leur propriété ?• Taxes directes, qui frappent les propriétés non baties. Dans ce cas, les proipriétaires ne remboürsent pas immediate-1 ment, en capital, la charge qui leur in. combe. lis paient une annuité pour amor[tjsaement[ et intéi-èt du dit capital. Et quand ' pis élévent des constructions sur le terWtoi'fls acquitient la charge en capital, dédiuctKHi faite de la partie amortie. , Touitdfois, la ViUe contlnuera a' inter-™lrPO-ur une .certaiaie part dans le coüt'' de la- creation des voiries, puisque les tra- ' |vaux ainsi effectués ont aussi des consequences "fayorobles a l'intérèt public. Cette part comprend notamment : le coüt des terrassements, qui resterait 6, charge de la ville ; la charge des égouts. dans la mesure ' pu le produit de la taxe speciale sur leségouts ne couvrirait .pas le service du capital engage ; . 3. ia moitié du coüt de Tétablissemeni des trottoirs ; 4 la- charge resultant de Texoriération de taxes que prévoit la nouvelle réglementatirai en faveur des "habitations -ouyrières pt des -maisons dsstinées a servir d'habltation a Ieurs propriéfcaires,'lorsque la valeur cadastrale est inférieure k 6.300 fr ' . De plus, eu cas d'élargissement d'une Voirie pt'bilique, leprojet ai.'impose pas la ' taxs aux riverams lorsque la surface incoiporiee a la voirie ou nmivellement tSfefe. ne 1epTtóonte pas au moinsiiarnoftié de.la "' surBac.e totale de la seetion de voie élargie Ajoutons également que le premier éta- ' blissement dans une voie publique, par ia ' ™J'A^ Jra}?. d'un pavage ou d'unmaradiaai, donne lieu a una taxe de pava- ' ge, mdépendante de la taxe d'ouverture de rue,; mais eomiprenant des conditions -, neu ' prés similaires.* 'Cetta nouvelle réglementation, adoptée par nos édiles après un examen mjniutieux va -être soumise la l'autorité supérieure . ™,wPpr?batl??LnesemWePas douteuse puisque des dispositions semblables sont déjè. en vigueur dans différentes localitéx Et bientöt done la vjlle se trouvera mieu ■ armee pour defend» ses interets reels, dans ces questions de voirie souvent .grosses «U consequences au point de vue de ses \. ALIEMAGNE L'affairo Poüakow Berlin, 19. — Plusieurs journaux berlinois, entre autres la Tizglj.che Rundschau, confirment hos informations d'hier, suivant lasquelles la Russie avait exigé non pas seulement des excuses et una enquête disciplinaire, mais encore le clhatiment de ceux qui, a Cologne,, arrêtèrent et gardèrent au secret pendant dix jours le capitaine Poliakor.v, envoyé en mission officielle en Allemagne par le tsar. Cet officier avait en vain montré tous ses papiars d'identité, en vain il avait demandé a télégraphier & son ambassade • il fut traite avec toute la dureté possible, comme un prisonnier de droit commun. Lorsqu'on se rendit compte que Ton n'avai: pas affaire a un voleur, comme on I avait tout dlabordvoulü le faire croire. on J cssaya, d'après des informations süres, ■ de le mêler a une affaire d'espionnage et cc mcurs. * On affirme jue i'Office imperial des affaires étrangères, lorsqu'il eut co'nnaissance de tous cos faits, fut le . premier a les dépdorer et que son indignation fut peutêtre plus forte que cell'e des Russes. Cependaht les Russes espéraient connaïtre tóentöt "le- résultat de l'enquête ouverte a la suite de cette affaire, qui s'est passéo le 23 février et dont ils n'ont eu cönnaissance que dis jours plus tard. La Russie liésita a rendre cet incident public, afin de ne pas avoir Tair d'opérér une pression sur la justice allemande. Le résultat de l'enquête s'étant toutefois fait attendre, de nouvelles démarches énergiques de la part du gouvernement russe siniposèreat. Ellés eurent pour consequence, comme vous le saver, que l'agence officiêuse télégraphique Wolff annonga, dans un com muniqué, qu'une enquête avait été ouverte par le gouvernement allemand. Contrairement a la règdé pourtant, aucun journal allemand, pas même la Gazette de l'Allemagne du Nord, ne reproduit ce communiqué. Or, devant ce fait que lea Russes consiaeront comme une derogation aux coutuines otficieuses, ils n'admettent pas que cer- ™ journaux comme Ia Germania et la &r}mcrZcitna am MUlag viennent, danb dos dépêches de Cologne, sous prétexte d'exjcuser la 'police de cette ville, dire que des jtémoins auraient vu le ciapitaine Poliakow fouilier dans les poches d'Allemands. Cest une nouvelle injure gratuite faite a un envoyé officiel russe. Ses compatriotea ont la promesse de -I'Office imperial des [afraires étrangères que justice complete leur sera rendue. Cependant ils n'admettent pas davantage que l'onconfonde I'affaire de l'aéronaute allemaiid arrêté a Perm pour avoir, conIraireinent au reglement international de la navigation aérionne, survoli sons autorisation la frontière russe, avec 'une vioiatlóii formelle du droit des gens, ainsi que ce fut le cas pour le capitaine Poliakow. Pour la Russie, il semble, après les declarations de l'Offive imperial des affaires étrangères, que l'incident soit prés d'etre clos. Naissance d'un prince hërïïïer de Brunswick Berlin, 19 (par. telephone). — La duchesse VictoriaLouise de Brunswick et Lunebouirg, fille unique de l'empereur Suillaume, a mis au monde, ce matin, a cinq heüres, un fils. L'ótat du nouveau-ne:, comme celui de la mère, est excellent. Cet evenement a été accueilli avec entamsiasme par le people allemand tout ontier. Les paiioments et les municipalites ont adressé des télégrammes de felicitation au due et a la duchesse. Lo Conseil communal vient de voter la nouvelle réglementation qui doit lui assurer le ï'enr'buursemoii;, au moins partiel, dos frais oceasionnés par Touverture de i'ues nouvelles et par Télargissement d'anciennes artères. Quelle était, a co propos, la situation ancienne ? Si la viile voulait cree-r une rue, elle supportait tous les frais d'acquisition de terrain, terrassements, . En ce qui concerns Touverture de rues a travers des terrains privés, a la de- Vendredi 20 Mars 191* Franco en Belgïque Lr an : 15 f. »» 6 mois: 8 fr. »» 3 moisi 4 fr 0 Franco en Hollande Un an : 22 fr, » Union postale » 32 Sir, On s'abonne au bureau du Journal et dans toiïs les bureaux de poste. ADMINISTRATIOF TELEPHONE 567 L'AssBssiat de M. Le röle de IW. Caillaux dans ('affaire oongfolaiso Paris, 19. — L'Bclair -publia des revelations extrêmement lintéressantes sur Ie singulier röle que M. Caillaux a jouó dans lea ttegociations engagces en 1912, entre l'Allemagne et la. France, au sujet du reglement des difflcultés pendantes sur la frontière du Congo francais et du Cameroon allemand. On salt:

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