Journal du Katanga

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17 februari 1914
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s.n. 1914, 17 Februari. Journal du Katanga. Geraadpleegd op 26 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/p26pz53d03/
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4me année 17 février 1914 N° 7 JOURNAL DU KATANGA PRIX DES ANNONCES : LA LIGNE Correspondance Fr. 5,oo Demandes d'emploi » 1,00 Offres diverses » 2,00 Feuille hebdomadaire paraissant le mardi Le Numéro : 50 Centimes. ADMINISTRATION : Avenue du Sankuru, ÉlïSabethville (Katansra) Congo Belge. PRIX DES ANNONCES: LA LipNE Faits divers (fin) Fr. 3,00 Faits divers (corps) ..... » 5,oc Maisons à vendre ou à louer . . » 2,00 Pour les pays faisant partie de l'Union Postale : UN AN FR. 25.00 SIX MOIS » 15.00 TROIS MOIS > 8.75 PRIX DE L'ABONNEMENT : Payable antici pat i vement Pour les pays ne faisant pas partie de l'Union Postale: UN AN FR. 30.00 SIX MOIS » 17.50 TROIS MOIS » 10.00 iim . . a r\r\ L'état des routes au Katanga C'est parfait de créer des voies de communica tion vers l'intérieur du Vice-Gouvernement Gé néral, d'aménager des routes reliant les diverse: fermes des environs à Elisabethville, mais encon faudrait-il entretenir ces voies ; ne pas attendri que la végétation envahisse les chemins au poin qu'il est pour ainsi dire impossible d'y circuler L'on nous signale de divers côtés le mauvai état dans lequel se trouve la route de Etoile di Congo aux environs de la briquetterie, rendui presqu'impraticable par les averses de ces der niers temps. Impossible, paraît-il, à un cyclisti de traverser cette partie du chemin, reliant !. capitale au siège de la mine, sans devoir soi pousser son vélo devant soi, soit le prendre su les épaules. I.a route est à ce point détrempé* que d'immenses ornières se sont creusées e l'écoulement des eaux n'étant pas assuré par L dispositions prises lors de l'établissement g cette route, très suivie, il se forme de véritab;. mares où piétons, cyclistes, mules et chario pataugent et s'enlisent au grand désespoir dv gens appelés à se rendre à la ville ou à la mil et des conducteurs impuissants à faire traverser par leur véhicule, cet endroit contre lequel i peste, maugréant contre l'administration si pe' soucieuse de l'entretien et de la mise en éta d'une route certes la plus empruntée de tout 1 Vice-Gouvernement. La route conduisantà Kaponda présente paraît il les mêmes inconvénients. Venir du village ei saison des pluies c'est accomplir, nous dit-on,un chose extraordinaire. Impossible d'y circuler ei vélo ; la boue qui se colle aux roues finit par s placer entre le frein et la jante et immobilise le roues forçant le cycliste à descendre de machine à enlever cette terre gluante et à recommencer 1 même manèçe pendant la plus grande partie d voyage. Il faut qu'il y ait nécessité absolue pou les habitants proches de Kaponda pour qu'il affrontent un voyage qui ne manque pas d péripéties et qui demande, avec l'état actuel de 1 rou'e, au moins trois heures à un c3rcliste éprouvé Les ponts sont paraît-il dans un étatdéplorabl et demandent une réfection absolument indisper sable. Il est entendu que la saison des pluies est sui tout cause de la défectuosité des chemins, mais s l'on apportait quelques modifications à ceux-c: en saison sèche si, prévoyant 'la mauvaise saisor l'on prenait des dispositions en vue d'évité qu'une trop forte végétation n'efface complète ment la route, ceux qui doivent se déplacer se raient reconnaissants à l'administration de leu éviter les désagréments que cause leur impri voyance, le peu de soucis qu'ils se font au suj( de l'entretien justifiant cet état de choses p£ ces phrases que nous avons entendues mainte fois : « nous ne disposons pas de crédit pour ce travaux » ou «le crédit pour semblables travau est épuisé ». Mais alors pourquoi créer des routes si l'on sait d'avance que l'on ne pourra pas les entretenir faute d'argent; pourquoi dépenser d'importantes sommes à l'établissement de voies qui finalement sont recouvertes par une végétation confondant route et brousse et où la circulation devient impossible non pas seulement aux cyclistes mais aux piétons ? ; Nous signalons à l'attention du service compé-* tent les plaintes que nous avons reçues de nom-5 breuses personnes au sujet de l'état lamentable t des routes précitées et nous souhaitons vivement qu'il apporte, sans tarder, quelques améliorations 3 urgentes afin de donner satisfaction aux résidents 1 de la capitale, à ceux de Etoile du Congo et des 5 environs de Kaponda. NOTRE COLONIE t LES ARRIVÉS t du mercredi 11 février 1914 s Mme Blanchet; MM. Bloch Max, commerçant ; i I Burton Edmond, accompagné de Mme Burton; Chalmciey Edouard, fonctionnaire à Kansanshi ; Lucide (Mme) et enfant; Golinger Louis, commer-s çant; Kempter Louis, cuisinier ; Palmer Pedlar, s mineur; Pieters Isaac, commerçant. du lundi 16 février 1 MM. Bernstein Salomon, représentant de com-i merce: Cowan Joseph, idem; Defays Gustave, t commis de ire classe; Defrène Jules, vérificateur e des Impôts de 2e classe ; De Meulemeester Richard, ajusteur-monteur; Dubois Pierre, sous-chef de dépôt; Goethals Louis, colon agricole ; Heenen Gaston, administrateur territorial prin-i cipal, accompagné de Mme Heenen, née Levy; e Houvenaghel Eugène, électricien, accompagné , de Mme Houvenaghel,née Declercq; Kinon Jean-Baptiste,machiniste; Lesser Robert, commerçant, poua Sakania,accompagné de Mme Lesser; Mente s François, employé au C. F. K.; Nussbaumer , Charles, dessinateur; Offergelt Joseph, commis-e chef; Scraeyen Léonard, directeur C.F.K.;Solver j Waldemar, architecte; Sondervorst Henri, machiniste.r s Liste des personnes ayant quitté le territoire de la Colonie a le jeudi 5 février MM. Bruylants Arthur, sous-commissaire de e police, accompagné de Mme Bruylants, se rendent en Europe ; Hautche John, entrepreneur, se rend à Livingstone; Muylle Joseph, magistrat, se rend en Belgique; Paulis. Albert, directeur de la ;i Société Coloniale de Construction, se rend en Europe. le dimanche 8 février r MUe Anderson Mimie, se rend à Bulawayo ; :- Caron (MIle) Louise, sans profession, se rend en Belgique; MM. Cartoon Isaac, commerçant, se r rend à Johannesburg; Heinkel Herman, mission-;- naire, se rend à Amérique; Homblé Henri, chef ■t de culture de 2e classe, se rend en Belgique pour .r congé; Huart Nestor, géomètre, se rend en :s Belgique; Mellaerts Pierre, agent militaire, se :s rend en Belgique; Pévenassç 'François, chimiste, x se rend en Belgique pour congé; Ponsaers Robert, employé Société Commerciale et Minière, i se rend en Belgique; Rosenstein Georges, comptable, se rend au Cap; Thofiet Henri, maçon, rentre en Belgique accompagné de Mme Thonet ; Turnbelle Thomas, monteur, se rend à Johannesburg. ÉCHOS Le train courrier est entré en gare d'Elisabeth-ville lundi matin vers 6 heures. M. l'Ingénieur Scraeyen qui vient reprendre ses fonctions de chef d'exploitation se trouvait parmi les voyageurs. Il a pu constater que si la ligne rhodé-sienne provoque souvent des déraillements, surtout en saison des pluies, le retard considérable des trains est dû parfois aussi aux défectuosités du matériel de la Compagnie. En effet le train du Sud avait 3 heures de retard sur l'horaire et sans les accidents, survenus paraît-il à la locomotive, le train aurait dû être à Elisabethville dimanche à 21 heures et non mettre 7 r/a heures de plus pour effectuer le trajet Sakania-Elisabethville. La manifestation organisée en l'honneur de M. j. Renkin, Ministre des Colonies a eu lieu à l'Hôtel Métropole, le lundi 19 janvier dernier. Plusieurs discours ont été prononçés par MM. Corty, Président de la Chambre de Commerce d'Anvers, par M. le Ministre et par M. G. Cooreman, Ministre d'Etat qui très spirituellement a congratulé le Ministre des Colonies. «■>■<) ai Le Congo au Parlement L'interpellation Brunet L'interpellation de M.Emile Brunet au ministre des Colonies sur le conflit avec les missionnaires et les attaques de M. Brifaut contre des magistrats a eu lieu le mardi i3 janvier dernier, à la Chambre des Représentants. Nous donnerons dans un prochain numéro le compte-rendu de celle-ci. ■ Les missionnaires au Congo M. le sénateur De Bast avait posé au ministre des Colonies la question suivante : L'article Ier de la convention avec le Saint-Siège concède aux établissements des missions catholiques au Congo les terres nécessaires à leurs œuvres religieuses ( 100 à 200 hectares de terres cultivables), moyennant certaines conditions,notamment l'article 2 qui stipule que chaque établissement de mission a l'obligation ou s'engage, dans la mesure de ses ressources, à créer une école où les indigènes recevront l'instruction. Je prie M. le ministre de m'apprendre : Combien d'écoles ont été créées au Congo par les missions catholiques ? Combien de missions catholiques ont reçu 100 à 200 hectares de terre ? Ces missions catholiques ont-elles reçu des subsides de l'Etat, directement ou indirectement, pour la construction d'écoles au Congo ? Délicieux à boire sec il ^ I IVI tk IVI A II agréable à boire Idéal à boire glacé I ^ étendu d'eau de Seltz

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Dit item is een uitgave in de reeks Journal du Katanga behorende tot de categorie Koloniale pers. Uitgegeven in Elisabethville van 1911 tot 1930.

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