L'étoile belge

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01 januari 1914
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s.n. 1914, 01 Januari. L'étoile belge. Geraadpleegd op 27 april 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/6m3319td8s/
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Wjl'CttttiSfcfcMtteaSSgayWiHSgrtS afg ■"wwn>7U»B>Jt3:<fBfr4VWBBKWWBtBBhwiÉ>tii Jetfi P janvier I9M- PRIX E L'ABONNEMENT : >Ot!R BRUXELLES : L"n an : B-ï î ; 6 mois, fr. 6S..V»; 3 mois, fr. ."I.j© 'OUR LA PROVINCE : Un r.n : Sfifr. ; 6 mois, fr. S.rsO; 3 mois, 5 fr. BURFAUX : iie des Sables, 13, ouverts Je 9 à 16 h. ïnprovince itsu't dtrmieitreleptlxdeMonnhimtau fbctcur Baromètre du icl' janvier 3 neares TetmAr. mor*» noroît, 31, . Maximum de la ><•< • > oïl \ -»i' Mii.nmum de : JrSS 'J?Cs\ M'i , — P ^r.vnu-trf VA, /; >* :V/\ É^^u.ujt ^d''-u /'s^VV^. \\ ))iS ff^ Jjf 'il ^ f'Veii SmidihsilOO^ Jn him. • pfeïj§?Éph''tii rides Pr'«" 1ujaur * Solea : \£/£. C ' Vu»; lever. 7 h. 43 ieviîir, a. - M>" toucher, 15h. 47 i.couclic?, !i. i Prévisions de î'Oii -ei vatoirc : Vent E. à N.-E. faible; bran; goKô ^ V 1 ^ C*j milles tJstetttlo-S^gmre^ il?*5? f\V% ^n^torre.AUoiDj^ne J 9 # f j par trimestre >» i. » ANNONCES : 45 c®"» la ligne; minimum 4 lignes, fr. 1.G0. f (. JSiamon L» ï\viH»œ; #fr. Ih centimes -8 numéro ^sss™«Wwile|,uMicit4 ^ E/E'jkôEI.'d} ESO..C5E ue suti'iiiîi'a pas rfa ETRANGER BULLETIN POLITl® », l'n procès moi — li, a commencé i Marmaro i 'îf.... .. en Hongrie, le procès intenté Jièius inculpés d'« actes déli . •• jonta 1 Eglise catholique-grecqi ) '! i \v 1 ~ croise.» «nsui YÎ-J i'I . L,o ,gj"pb câ ixêpl g %&■' rt'l <:.e Sto igrie > ; V5 j-.fci'.'-cj.t , ute't lus, <ïtr sor prOCeà _ a encore un de ces procès pol comme on est habitué d'en vo l ■ .grie, contre les nationalités ne res. Le dernier en date fut croate, qui avait été imagir istiQer l'état de siège contre l'él w serbe. On n'osa d'ailleurs p 1er les sentences prononcées s condamnés furent giïiciés. I actuel paraît avoir une base pli Il vise la propagande russophi ■r . - les Bjithènes de Hongrie. il' Les Ruthènes ou petits-russiens soi de même race que les Russes. Aussi ci derniers les considèrent comme dt 1 frères momentanément séparés ci grand empire moscovite et qu'il s'ag de reconquérir, moralement d'abori tn attendant qu'on puisse les reconqu rir matériellement. I! s'agit donc ; leur inspirer l'amour de la Russie J'aflaiblir leurs sentiments palriotiqui hongrois. Et comme la religion est 'i lus puissant agent d'influence, on s'e Jur.ce dt- <551- "Ui" au rite rus.-.e orrti rûiSe les tV.p.Flfmes qui proïè- é/»i atttiê: I oment le rite prec-catholique. | Nous avons déjà reproduit un résum l ie l'acte d'accusation- Le Temps nou It-n apporte une traduexion plus com l'-lète.- La voici : l ^ autorité» tlea comitats (départe fc'ïnts) !^o Marmaiw e<,tcie Betreg remai ■liaient, depuis uns dizaine d'années, ii l ■louvenient twidant à faire abandons*! ■ la population ru-thèn© sa reiigiri.'j es I fculique greeçue et à. la convertir à la r* B Ig'on orientale tréeo-rtr-.se. On cri't, peu I fc'it qaelcme U'JD>■. que ce mouvemen ■ feit roocivé pair des querelles d'ordre ma H B'i -i "Vitro 1© clenrô catholique grec et se *;dll«s: a i--, plus tar<;, o.'. constata ep.i S agitaWuis étrangers cherchaient ■X'bler !s peuple dans des buts polit) B je? et que tout pa+ticnlnàrernon'f la con J M ion des ltut.hèue^ û'ét-ait qu'un pire l lie pour fomenter une agitation daage H l^e dans la pav«. D'une part, les agita jp'9 vilipendaient l'ftglise catholique |cqu«i proclan'Kienf que ses adeptes se lt punis dans l'autre nKxnde et trai fit ses piètres de vendu? et d'itopos fc d'autre part, ils soutanaient qu'i Bt. dans 1 intérêt des Rathènes, qu< ■omitats du nord-est de la H«ngri< 'J' '''U d'appartenir à la couronnt Woise et fussent ra'tachés à l'enipln fw-vsie. En raison do ces faits, un pro' Brtmiel eut lieu en 1905, et neuf ^ndi-■fuient condamnés A la prison. • |»0, le même mouvement éclata de ■'if- mais avec une plus gracaJe in 4<■ - dans plusieurs comltafs simul-Rr. outre le but de cette agita-irfcorti' de toute évidence : on vou les Ruthènes hongrois eussent la • i * 'i';ioti que les sujets de l'empereur ^1/ parfois ..déguisés-- "VÊL li' ruamiè? r,^T,ar" ^ %£?t v a- «u moto- mj s é- < Vjssinènt. promettant à ceux qui se con- -c. 'Viraient une religion plus belle et C L™*. qu« ia lsur' notamment des bap- ( tl tU le? mariages et des enterrements ; a 1' \ tui- lis «ssemblèrent les paysan.' et j , I \ \ i/iit des paroiililets rempli* de mer.- J \ », t a'exiséra'i w -«w 1» «ituatio» _ \ ,,1,. de P.uitlièni de Hongrie: ils î lv twAtè-'îu' <ji>» la domination bon-1- ,, ^Sbo. cauve de leur misère et iour r li'ereMpar o». .j»itio-n. le se-nlimso. , ^BLneMpe « lu gloire du tsar. E"Ûn. ( ft-foa®nt'f.n masse le Virnîo burko ( j r -'ltc#o;« Prmida, les principaux ikovvlprop^a^le en faveur de la ^ ,-i< ciCfes agitateurs avaient des ■«"r' " " rugia terre, leîre en Hong « Lo f i r, ihôç et îr. • interr< 5- rapports avec des R»11®* V . i:rA ,i à fiuents, €t-recevaient dîes uU lâ-rti e clergé de Russie. L'a^i ^.us actl1, ' Je moxne Kabalouk, étïa^10n av'c.' Tueiai 3e.s sujets autrlchiensT Gerov^ii, ' . ' Alexis Gerovskl et Gof.'roVs^' îe i r J" bitant Çzerno.witz et s^rPu^ ion^ VoLla s temps aux autorités lot- raison de • ^ »• leur conduite politiqtite avec ri etiiit e oomte Vladimir Bobiitim^ro ,de ia Avait u douma, président de «ociétea na- ' * tianalîstos en Russie. 4- BobriMki } ^ • fournit au^si la pluaî P^ie qj9 ' l'argent qui fut déne* la propa- ^ gando ruissophile chez uènes non- , ^ ^ 11 groia dressa 1° Dans plusieurs com hongroises, vant ]1 é les agitateure recrutèK)euIie5 jepais > pour les instruire gitiaIls l'es C( l9 couvert lusses et en • chefs des ^ ^ Huthèn^s qui s© confet à la reli > e c-ion orientale grêco-Sns de nom- ^.px j , i'reux villages, ils pr® paysans et _U.QQ envoyèrent en Uàs*^ lieux |emble e pèlerinage. Les pèlcrlr°ut des bil- , »^ts à piix réduit «le fer a lt russes et des certificat;'^ 'e but de ^ . •S leur voyage; il- fus e hébergé.. * ^ >s j gratuitement dans les de Russie. ,Japi)a u | Il y a lieu d'ajout®te cette ajri- uOI^a I tatior» n'invoqua pa^B^t des argu- 1 } , ; rnents religieux, mail raisons en- ^ pr^ | core. Les agitateurslpttt îi Ja po- 3tI.uctj I pulation ruthène qu» ait compter | jinvUi, sur l'appuî de la R«tàchèrer/t de i^veme ît la convaincre que lei-^ des autori- !^arf0^ 'S tés hongroises pour la consiitu- Q |0 tion d'une cojnjrainwieuse greco-j-. russe étaient des perM qui ne pren- ^ 'y-c ^ draûetnt ftn qu'avec la de la do- f p jf ' "r* r - - * ' "fhi.r'q la domination russe ■ pays. 11- ro aI contèrent même aux Ris que c'était , - la Russie qui menaii.|prre des Et ifs # dr£ 5 balkaniques contre ier . et que sitox - cette guerre finie k. IBonrnerait cori- Ln . tre l'Autriche-Rongriaorces pour af- |k;;n iranchlr les Ruthèi.ei aïonarchle. U1 Cette propagnde i âe parait d'ail- rag.se i leurs pas avoir eu >1 succès qu'en ©it r espéraient ses prolrs. Les Ru- - thènes constituent Apulatiai £ort ^ ^ " misérable et fort i;»'0 eti *'s S0111 r. pè " sans doute assez di^ .à ajouter toi . ' i ce que leur racoC les mission- ,{ trè , ' naires russes, suriiwand ces der- jf-c-et s i mers leur donnent II preuves son- eilla . nantes et trébucha Be leur sollici- ie de " tdde : le rouble russJnanque jamais " totalement son effet I dommage que les Ruthènes ne se îias instruits de j la façon dont letirslr-es petits-rus- a(j;, siens sont traités « lissif. I"® Ru* ;ait . thènes ont certaine éi à se plaindre s. il ■ de l'oppression quel peser sur eux <urqi les Polonais dans la Jie autrichienne recti 1 e! les Magyars en Blie ; leur* griefs m. i sont légitimes et Jreus. Mais ils ~ ^ ' peuvent au moins allre upe amélio- K'g?i ration de leur soit 'A un avenir plus ^"13 011 moins rapprocl laiiflis qu ils p0 seraient plus maltim~ er.oore et de- Un 1 viaient renoncer à ■ espérance s'ils 'cor devenaient sujets du r. #Na Bien entendu, o»pot'J?e du côté russe les açcusatioi jrmuiees ci-de,s sus. Le gouvernent te déclare élran- ^ ^ ger à la prûpagauc ntreprise parmi |!eu les Ruthènes bongi II se garderait ;enf bien, en elte't, d'inti nir directement, eui Iknais il n'a pu igne les ujjissernen s c >j ■k- sociétés nation, es • Le eomts >brinskv, de son avoir po> ,ivi un but poli-qu'o e«^.s ,i':'oucfla ivec 'e printip1'1 i il cfc:la fera s< ire tous ceux q;ui 1 onnai'«se*t le pro mute et les tné "lodes desMpociétéSi iotuli»; s et pan- >a- ^. u - m ] ®;;: Ce [.:ocè?!W"» le 1 ?0lt. nestpas ue r.o ai■ jv i J.r K«orer = 1 apports au=tio- |S ^ ■ .V, ■ iv aqufWlq'i -••••....in ■•. Iws-i 5\ il ,ur,i en voie de air m.-ilieutes. j.e ' >rocè= est la prci!^! que la détente ne h i ■'est pas réalisée. H ?ÏTéMone et Télégraphe Vrvices specia-ûx de VETOILE BELGS mQ -. - .as- deux moi« après l'enliv.-ment et enflp, der- ■« ' 's I, - di iuU qui ue pe ' ' pas le moindre lté» la « Jeccnde » doute, le cadre a ■ ll'aiMa Joronde eH arrhé ù ment au p. S 1 M I m 1 fi 1 ■ 1 fl B 1 Leprieur j di aprfes-mid ■ H 1 ancienne maîtresse die Peirugia, qu5 onfinné sa déposition. C'est en septemb " ^12 qu elle connut Perugia. Cinq ou s 'cxis eïl« séjourna dans sa chambre, ma e pénétra jamais dans le réduit où trouvait le tableau. Le 7 mai 1913 elle \ la caisse en bois blanc et demanda ce q .'était. « Cela me sert de malle, répont Perugia.» Elle se contenta de cette i pause et n'eut pas la curiosité d'ouvrir caisse. .Yiathilde alla plusieurs fois ch Laneelotti. Ce n'est que le 19 mai que P : ugia lui défendit de retourner chez s< ompatriote. Elle se souvient qu'un jo -a maîtresse de Lancelotti lui dit que P rugia était allé faire un voyage en Angl terre, mais elle en ignorait, le motif. La mort du chanteur Fragson Le père de Fragson a subi un premi iE_ interrogatoire par le commissaire de p laut k°e Faubourg Montmartre. Le vie ctll, taid est agité d'un tremblement convuls avef. C'est à grand'peine qu'om a pu en tir rski -iuelques explications entrecoupées < juJ crises nerveuses. Voici l'ensemble de s ong déclarations : «A plusieurs reprises j' ■j de t°^lu me suicider, c'est ce qui expliqi je que j'avais sur moi un revolver. La \ g a'était pas tenable. La femme que mon fi na avait imposée sous mon toit était eau ns'ki ^ue discussions s'élevaient entre nou I ai souvent fait de« observations à int a flls au sujet de cette cohabitation. • Il n jamais rien voulu entendre. Ce soir, apr les premiers reproches que mon flls m' ises ^re'SHa» j'avais l'intention de me tuer d zens van^ SOI^ii3 *e revolver que je tena depuis un moment dans ma poche. Je i ce 9>0et passé à ce moment. A rr^- lieu de me tirer une bai Je dans la temp loin- ]0 ^ra^ ^aTls direction de mon fils. Je i |S €t n'explique pas pourquoL » C'est tout ' b qu'on a pu, en effet, tirer du vieillard, q kjj semble atteint d'inconscience sénile et q f°r Paraît pas se rendre compte du crin it de a comm^- reste gardé à vue dai , due pièce du commissariat. Les sceHéS oj sie ^ apposés sur toutes les chambre* i ^ari- i^aPPart<îmeni cie la rue Lafayette, où 1« idoivstatations judiciaires auront lieu me -on" ||re^i matin à la première heure. Lam )0 do Fragson <^era entendue par le juge d'i Ç " «ru et ion Des voisins et la concierge i , l|immeubl<; déclarent avoir entendu efîe 'tor<e tivement que de vives querelles s'élevaiei "f,i~ parfois entre les deux hommes, mais j. 'l J~ mais on n'a eu le pressentiment d'un dr 'me, étant donné l'état d'extrême faihle* ,rVl; i? Victor Pott, le père de la victime. c ° ^ f Jo'.i oaljiit • aor-xs ur de Fra, | fnr'qae Pôtt es: .in vieiiïa.r<l Très" trriï, fMîat. le, artÉKint d'une Sorte de foli© sénile pr ■J5 afil, airit la forme de délire de la persécutioi t ' e drame serait.attribuablû à sa jalous. sffc0i transigeante. t con- intime de t ràgson a déclaré a '|!!, a " ler.tin que la vraie cause, du drame n'éta e 3s une querelle au sujet de Pauiett d'ail- ragson allait partir en Angleterre, où îju'en feit un engagement pour plusieurs si Ru. :âine9. Il ne voulait pas emmener so i tort 'rR' tro-I> v*eux» donnait des signe . ^ faiblesse mentale. Il résolut de place " ,v n père dans un asile et lui fit connaiti er lui | décisivri il y a trois jours. Le vieillar îSiot!- t tr^,s itïecté. Il supplia son fils de r< i ciei- y car Lfson projet. Fragson tint bon. I son- .eiUard-avisa alors cet ami. que, plutC ollici- xe de etnsentir à entrer dans un asile, imais ' suici^rait. Le drame de mardi soir fi p nue tragique des discussions qi , , âlovèreit à ce sujet les jours précédent; 1 s 1 M. Pot, père de Fragson, a "affirmé se s-rus- niatn au commissaire de police qu' ^ ait l iûentiou de se suicider devant so lindre s. Il a ajouté qu'il ne s'expliquait pa T eux «urquojil avait allongé le bras dans 1 denne Sctioifle son fiis et l'avait tué. °rieîs a aJotrté que Paulette, la ma. eèse dé 'ragson, le faisait souiïrir et vou tnélio" t,- ma^rc lui, se faare épouser pa ^*a£;on. r Plus A la acte de ce premier interrogatoire qu ils pott aété envoyé au Dépôt. et de- Un méocin, ami de F.ragson, a déclai :e s'ils :<:comm saire de police que le père Pot u[vait ■ t classer dans la catégorie de 3 côté ■éoamrs. persécutés. ii-de«- É1 (^04;;^cï'ue de Fragson, qui considère étran- j|re conune mécliant et sournois, i »nté à commissaire de police que lund parmi Je faire des commissions, elli •lierait -iastaft que tuus les robinets à gaz d> îment, quisiii étaient ouverts et qu'un oiseai méats éagel trouvait déjà à. demi asph\*xlé et des |g ona son amie étaient, à ce moment le son ifhés. t poli- ALLEMAGNE jicipal inejents de Saverne »gX r v'[ ' 1° ^ronPrin2 serait intervenu ît pan- tns Juto-ritê,\M. Guy de Cafs>agnac in te fie le kronprinz si tôt après l'é-Das de J e ^ Sâvemo^a adressé au colo-' Jvon eutter une dépêche de félicita-us ro- ^ vo^.a jô tèxte traduit ; « Pour ' ajan" £■ fél ' .r do votre énergique attitude, orsque friUw i, kr^npriiiz. » ivatent TT . .. .. res. Le Ua Phîîanthr°Pe 'nie ne p Be nois anonyme vient de donne; VjIIùû Berlin une somme de 6 mil 250 '0 mark pour la crûation'd'ëcoies RKBEraxu tant; a plelri air. L'hiver Bregi de, toutes les parties de l'empire nfor .Uo;is signalant la grande quân-de ; ,go tombée et la perturbation Jie o isioxine dans les communica- B. *t Pos nie, il tombe une neige épaisse » teu. rature est de 6 degrés au-dçs-fln, dt !- t d.o 2 i. moindre a Sa. il neige sans interruption de-eilleusc- \ vin quatre, heures. Le service des est donc Iwtey suspendu à Dresde et dans jutro dles. • ♦ rangée ¥ uo i jnications télégraphiques et té-burci-.L fttiq sont interrompues dans beau-aux-art^ ï d'eé - >its. ide a ét'j y a aussi dp fort§s chute? de neige position. 5 le «tre et le sud de l'Allemagne et me? :r»> rail ^î-ouven: en plusieuis enuroits iathU^.e, JetuJr considérables. a ANGLET2RRK re ix Le marché des cuirassés 7^ La vente du cuirassé bi '.'silien attire i tarellement l attention s«.r les autres c liissés sud-américains en construction J.^ en achèvement dans diver* chantiers d'i ^ rope et d'Amérique. ' Les plus intéressants, u vrcè que de be; coup les plus avancés, sont ie» bâtimei j-rgentins, la Rioadavià » le Moreno, ; c" tuellement en achèvement aux Etats-Un > A le premier à la \ew-York ùpbuilding C le second u la Fore Rivet c/. ^ Mis eii chantier vers < : milieu de 19 lancés un an après, ces U tiïnents sont j tuellement en e.^ais, et t : &e pressant peu, ils pourront être mis $n%ervice ave ie Rio-de-Janeiro. A la yéi Ué, ces essais ï -l l aissent un peu pénibles, (^a mise au po des turbines paraît être sséz difficile. 1 " seront cependant de très ». ïa,ux et très pu sants bâtiments qui dèij àceront sensib ^ ment le même tonnage que le Rio-de-Jan ro. Mais la répartition de v ar^nement et •. cuirassement est beaucoup plus rationne que sur ce dernier. Moin armes — ils disposent que de li? canon., de 300 au li de 14 sur le Rio-de-Jancao — ils sont p ^ contre beaucoup plus protégés (30 centin s très de cuirasse au centr, au lieu de 2 n La vitesse prévue est la n Ôtne (22 nœud ■a ruais l'approvisionnement en charbon o bâtiments argentins est sensiblement pl ^ grand. p A diverses reprises les autorités arge tines ont été interrogées par des négoc. lP teurs turcs, grecs et italiens qui venaie u s'enquérir des conditions auxquelles ell seraient disposées à céder leurs bâtimen Xq gouvernement argentin qui, pour le n mont au moins, n'a pas à faire face a mêmes difficultés financi-res que le gû ^ verneinent brésilien, a répondu par une 1 ie de non-recevoir ; mai^. ou peut se dema ls der si la vente, maintenant définitive, « it -Janeiro ne le fera pas revenir s l? sa décision. -s Le Chili a également deux dreadnough r en construction aux chantiers Annstrozi [e n*als ils sont heaucoup moins avanc* i- L .4Z7WiraTitt"-LatOTrc, mi? en chantier [p décembre 1911, a été lanr O y aseuleme ... un mois, en novembre 1013; il ne se pas prêt avant les premiers mois de 191 i- Quant au second bâtiment, IMmiran, t. ( ochranc, mis en chantier <\u comment ;e ment de 1913, il n'est pa« lancé encore on ne peut guère c*oï»>pvl r ,u'ii ^oit pr r. avant 1915. i- - wr «èiajùx»f pas, ju^q'tTfci/qu'a v ait < ^ des négociations sérieuses autour des ba im monts chiliens, mais là encore la décisn ^ du gouvernement brésilien peut tout rem* tre en question. u Comme on le sait, ce ne serait pas la pi mière^ fois que les républiques sud-améric; >. nés s entendraient pour vendre sirnultac il ment tous leurs bâtiments de guerre. n Un incendie ■s La incendie a éclaté mercredi mat; r dans une maison de Londres servant < e dépôt à une entreprise de films cinémat d graphiques. La plupart des films ont é détruits. On ne signale aucun accident c e personne. I ITALIE t Le testament du cardinal Rarupolla 1 La Trio uni croit savoir que le corami '• saire de la sûreté, M. Bertili, a dépo: plainte contre inconnu pour soustraetit: ^ du testament dn cardinal Rampolla. Cet plainte serait fondée non seulement sur l bruits graves et persistants répandus a sujet de la disparition da testament, ma encore sur les éléments recueillis par l fonc'.ionnaires pendant les rechercher uoi r retrouver cet acte. AUTRICHE-HONCRie Le commerce autrichien t I.a statistique du commerce extérieur c . l'Autriche accuse pour novembre ?98 mi lions de couronnes; A l'importation et 21 million- à l'exportation, soit pour la pr. ^ ruière une augmentation de 1^00,000 coi ronnes et pour la seconde une diminutio 1 de 6,400,000 couronnes par rapport à ni • vembre 1912. RUSSE E Tempête de neige. — Quatorze victime Quato'ïe personnes sont mortes gelée pendant un. tempête de neige dans d verses localités du disteict de Petmvf! Plusieurs autres ont disparu. SUEDE Un ouragan. -- Inondations T'ii véritable ouragan s'est déchaîné su les Iles de Bomhelm et de Palster et a pu voqué d'importantes inondations. Les inot dations ont éprouvé également les ville suédoises d.o Ystad et de TreJieborg. TURQUIE La réorganisation de l'armée l'n irùdé a été' promulgué 'sanctionnai! la nouvelle organisation de l'armée. L'ai usé" turque conjprendra 13 corps et d.eu divisions indépendantes. Le général allemand se rend à Kirk Kiliss» Le général Limau \aii Sanders est pan tour Kirk-Kiii;.sé en compagnie du vai d'Anckinople. SERBIE Le cabinet démissionnaire Apiès la remii-e par écrit de la démis siun du càbûnet, le roi a appelé M. Niko liteh. président de la skoupchtina. pou 1 :i lafre rapport sur ta. situation. D'aprt des iiit'ormatioa'; concordantes, le part gouvernemental vieux-radical a adopté !, point de vue suivant : Au cas ou les partis d'opposition persis t.eriient dans leur opposition contre le ca bitiet Pachitch il faudrait dissoudra un médiatement la skoupchtina et procéder de nouvelles élections. Les vieux-radicau repoussent tout projet de compromis a ;ii. sujet de la formation d'un cabinet de coa uj. lition, attendu qu'ils disposent effective UJ nient de la mujorité à la skoupchtina. BULGARIE 'U- La démission de M. Ghenadief accepléi its lc_ Le roi a signe un ukase acceptant la de 1S mission de M. Giienad'ief et confiant ai •0' président du conseil, M. Raiioslavof, lin terim du ministère des affaires étrangèi es 10, ic- AFRIQUE l"' Combat en Tripolitaine >3r Le colonel Miani avant d'opérer avec s; I|( colonne dans la région de Muiv.uk, a décid t-e de disperser qui restait de la mehallal is_ de Mohamed Ben Abdallah, déjà battu je dans de précédents combats et qui était re e!_ tranchée à Maharuga et à Gurda, dans ui iu terrain difficile pour l'artillerie. Le 2-1 dé lie cem')re, la colonne a attaqué à la baion ae nette les positions ennemies. Après cinq heu eu ,es coanbat les Arabes ont essuyé une de faite complète et. ont pris la fuite dans ton ]£. tl!S 'es directions sous le feu de l'artillerie [) Us ont abandonné de nombreux morts par s'^ ini lesquels .Mohamed Ben Abdallah et plu sieurs notables. La troisième compagni. us erythréenne s'est emparée d'un drapeai vert. Les Italiens ont eu un officier tué ,n- quatre officiers, un sous-officier blessés a treize Erj thréens et quatre Libyens tués ^ soixante Erythréens et seize Libyen: es blessés. Le colonel Viiani a occupé M iha ,g~ ruga pour affermir lu souveraineté italien o' ne sur la région. Les pays aux alentour: jx sont .'rani'uiHes. Le gouvernement italiei u a félicité les troupes^ ,[! AFRIQUE DU SUD lu Une crise aiguë imminente u r i • ... Lue crise aiguë menace lindu?trie mi-rtière su<i-africaine. Un ciLltérend dure de-^ puis quelque temps déjà entre les proprié-taires des houillères du Natal et les mi-neurs européens qui demandent une aug-rit uienta^on salaire, la réduction cites ra iieures travail et la réintégration de qua tre ouvriers renvoyés parce qu'ils étaienl syndiqués. Une dépêche de Johannesburg ^ annonce qu'il y aura une cessation immé-diate du travail dans les mines de char bon du Natal et que si le différend n'est L Ija» réglé rapidement le travail cessera t '1. . ... i . ■u vaai. Un membre de î association des mi-1 ries d'or du Transvaal dêcïaj'è qu'une cri 'f1 se grave menace les mines d'or. Une dé-péché du Trapsvaal annonce que les cheminots se solidarisent avec les mineurs et e' refusent de toucher à la houille extraite par les jaunes. Ils refuseront également e" de transporter la force armée sur les lieux où pourraient se produire des conflits. La provision de charbon pour le Natal ne serait suffisante que pour trois jours. n I,® ETATSrUNiS té Le pacte anglo-allemand Le et l'exposition de San-Francisco Les fonctionnaires du département d'Etat de Washington expliquent ainsi les bruits qui ont couru sur un prétendu pacte entre 1 Angleterre et l'Allemagne pour défendre leurs intérêts contre les Etats-'é Unis dans l'Amérique latine : n « Après que la Grande-Bretagne et I'Al-'p 'einagne eurent décliné séparément l'invi-^ tation de participer officiellement à l'ex-.ll position de San-Francisco en 1915 et tan-15 dis qu'elle- négociaient un arrangement !s de leurs différends relatifs au chemin de ir fer de Bagdad et à leurs possessions africaines, il fut suggéré qu'une autre cause de friction entre elles pourrait être évitée si elle«s s'engageaient mutuellement — dans le cas où l'une d'elles reviendrait sur son refus de participer à Tex-postition de e San-Francisco — à le notifier à l'autre à " l'avance, ce qui a été convenu L'entente ^ est strictement limité? à cette question de l'exposition de San-Francisco. » l* On dit aussi que l'histoire d'un pacte n anglo-allemand contre les Etats-Unis en '* vue du boycottage de l'exposition de San-Francisco serait une invention de certains agents de cette exposition .qui aumient g voulu, pur ces publications sensationnelles, impressionner les gouvernements anglais et allemand, leur inspirer la crainte " que leur refus d'aller officiellement à San- • Francisco ne soit interprété aux Etats-Unis comme la manifestation d'une politique hostile et les faire revenir sur leur dé cisîon. Cette exposition, destinée à célébrer l'ouverture du canal de Panama, est me 1 nacée d'un échec par l'abstention des prin-'• cipales puissances européennes. La Tri-■- buna observe que même la France se tient 3 sur lia réserve parce que sa propriété industrielle et artistique ne jouirait pas de garanties suffisantes dans cette exposition.Incendie tragique x Au cours d'un incendie qui a éclaté avant lo lever du jour, à New-York, dans une " maison remplie de locataires située dans ' un quartier populeux, de nombreux habitants trouvant les escaliers embrasés $e sont jetés dans la rue. Cinq hommes et trois ; femmes se soot tués. CANADA Le sinistre de Montréal Nouvel incendie Voilà cinq jours que ln ville de Montréal - est privée d'e.au. Un nouvel incendie s'est - déclaré mardi matin. 11 y»u pyor VH),000 'dol-" lars do dégâts. Plusieurs* ma^u-^ns ont été : détruit*. l'ingénieur du :ser\lc« des eau\ t est' suspendu. Diverses tiai^purations com- • merciales ont convoqué! de^ réunions publiques pour flétrir là*1 auieMrs re^ponsa ble~ de ce scandale. Le service des eaux « été rrétabli mer- • crodi. i MEXIQUE Une bataille qui dure depuis 36 heurej Une dépêche de Presidio (Texas)' an u nonce que le combat entre fédéraux et re belles déjà annoncé il y a 36 heures conti nue encore. Cinq mille rebelles et 4,000 fé déraux seraient aux prises. Il y aurai ; de nombreux morts et blessés. Les rebelle se sont emparés des tranchées aux envi rons de la ville. Los fédéraux se sont re tirés dans la ville. Il est peu probable qui les fédéraux se rendent, car le général re belle Ortega a reçu l'ordre d'exécuter 1,8(M volontaires fédéraux et 12 commandants Les rebelles font sauter un train militaire i Les rebelles ont fait sauter à la dynamite i à 170 milles au sud-est de Mexico, sur la li i gne qui va de Mexico à la côte, un train d< ? troupes fédérales. On ne peut avoir aucui - détail, le télégraphe étant interrompu. BRESIL Retrait de candidature Un long manifeste de M. Buy Barbos: annonce qu'il retire sa candidature à l£ présidence de la République. CHBNE ' Un trust du savon 1 Cinq grands savonniers anglais établis ' sent de concert, au capital de 875 million- ' dfc francs, une entreprise de manufacture' ' de savon en Chine. Voir pius loin nos Dernières NouveSSes de la nuit. fis teamis Mfiiin La réponse de la Triplice à la proposition anglaise Le correspondant particulier du Temp. à Vienne télégraphie que la 'Wiener A lige meine Zeilnnj déclare officieusement qui la réponse de la Triplice à là note anglais* était déjà parvenue à Londres ia semain< dernière. C'est l'absence de l'ambassàdeui d'Allemagne qui en a retardé la remise jus qu'à mardi. Dans leur note, les puissances de la Tri pli ce se, réserveraient expressément de ré pondre plus tard sur la question des îles ► EîlCs a£cepib< uieruQié liei.u iu 13 janKiet { pour l'évacuation de ÎEpire par les Grecs I mais exigeraient des garanties ultérieure-qu'elles formuleraient^ Athènes. FRANCE Fantaisies, fiscales « Auguste et. respectable année, qui doi« amener la félicité sur ia terre, salut!... > Hélas I il ne-s'agit pas encore de l'année 191 i, et on n'd>se espérer, en effet, qu'elle mérite ce titre d'auguste. Cette invocstioi: enthousiaste S'adresse, dans la fantaisie philosophique fameuse de Sébastien Mercier, à l'An 2£40. Nous en sommes un peu loin ue cetie année-là, qui apportera tant de merveilles, notamment en fait de justice sociaîe et de progrès «moraux. Le hasard, hier, me faisait feuilleter c€ vieux livre utopique, plein de la « sensibilité » de la fin du xvni* siècle. Il y e«U question de tout. Sur beaucoup de points matériels, l'avenir a été plus vite que ne le prévoyait Mercier, et il avait un peu manqué d'au/dace dans ses conceptions du futur en ce qui ^concerne les moyens rapides de communications. Par contre, depuis qu'il composait ces pages curieuses, y a-t-il eu de bim profondes modifications de mœurs ? On me voit point que s'approche, même à petits pas, le temps où les hoirunes ne serooil. rivaux qu'en desintéressement #et en vertu. Les usages du Nouvel Anx une fois de plus, n'indiquent pas que les femmejs aient la moindre intention' de renoncer au luxe et à la coquetterie. En ce moment de discussions fiscales, ii faut, bien» constater que personne n'a songé à emprunter à Mercier le système qu'il préconisât, rendant vains tous les débats au sujetide l'impôt sur le revenu — Dites-moi, je vous prie, demande le i êveur aU guide qui le promène à travers le Paris ide'SUO, conimemt se lèvent les impositions. publiques ? Pour f;oute réponse, son guide le prend par la main, le conduit vers une place spacieux, où, sur un chariot, il aperçoit un énoiltne coffre-fort dont le sommai est en forme de tronc. De • citoyens glissent dans ce ttronc des paquets cachetés. Ce sont leurs contribution; qu'ils verseiît ainsi sans qu'il soit besoin de percepteurs ou d'autres agents du fisc. Chacun, selon -es ressources, concourt spontanément, aux besoroe de l'Etat. — Quoi ! on laisse à la bonne foi du peuple le tribut qu'il doit payer î... Beaucoup doivent s'en exempter. — Point du tout, riposte l'homme du xiv* siècle, ce que nous donnons, nous le don*-nous de bon cœur. Notre tribut n'est pas forcé : il est fondé sur l'équité et sua1 la | droite raison. Il n'en est pas un d'entre nous qui ne se fas^e un point d honneur ' de payer exactement la dette la plus sta-crèe et la plus légitime. Celui qui oserairt s'y soustraire ^e couvriraîit d'opprobre... Evidemment, quelle économie dans les! frais de recoliv reine ni, et quefie simplicité de mécanisme... Nul, cependtuit, ne s'est avisé de relire ce chapitre et d'en faire lo thème d'un di-cours i la chambre ou au sénat. Mercier, en son t-?mps, passait pour un' révolutionnaire • il n que de faire so*u-i 'rira, aujourd'hui, par son ingénuité. Les réformateurs qui — siu le papier — j créent une société nouM?»le tablent suz j une humai'Lté parfaite.., -Tout est srân&lp. —- dèt? lors. Ma's. Ion gens positi:- ont moir.'.? ; d'iJlusioiis, et si d'autres m*éih»jùes finan-^ ' creres, irépartissant plus équitahlénîenrt l<«i • charges, doivent être établies, iîë comp» - tont pour les rentrée-- au Trésor, sur d : a- - très m» cas, plus e^caces que la sùhpJ# - persuasion à l'égard de ceux qu'atterri* L dront le- institutions nouvelles. 1 Pai I. GIMËTY. - (CarréspondCfice par[iculière <te l'Etoitc Bexge^ Paris, 00 décembre. ) LES THEATRES A PARIS Le « Tango « à l'Athénée Le théâtre de ] Athénée \ tur, de représenter le Tawjo, pièce en quatre actes, de Mme et M. Jean P.ich^in. ' En prenant ceUe danse irçbcWne pour , titre de leur œuvre, M. et Mme .i .an Piiche-j pin ont voulu syniholiser en même temps une époque et indiquer la forme modem» que revêt l'amour. Le sujet e^t extrêmement simple. 1/* prince Zigi de Lusignan et sa femme Marie-Thérèse qui à eux d-çux n'ont pas qujb-, rante ans ont été mariés pour des raison» , de convenances diplomatiques. Ces jeunes gens qui se connaissent depuis longtemps s'aiment comme frère et sœur; mais Jusqu'à présent leur union est un mariage blanc. Très modernes, l'un et l'a.utre, ils courent les fêtes, les thés-tangos, i «= fré- - qu entent les-ateliers des peintre-, d'avant-> garde, mais ne songent nullement à Ta-i mour qu'ils regardent comme une obo?e brutale, dégradaute et surannée. Mais ia. , rnère du prince, îa princevse douairière oe Lusignan, ainsi que ie vieux précepteur Gotteaux. veille sur le ton heur de c^s enfants. Ils les mènent eu Kabyî'e po* r éveiller leur sensualité et les guident d^ ' leurs conseils jusqu'à "ir»star;i où le cœur, de Zigi et de Marie-Thérèse séveille dans ïa cadence voluptueuse d'un tango. Si ce sujevt est mince iour quatre ac'>- -, les auteurs ont su renvefoppe»- de littér/>. ture, de dissertations philo-ephiques, d'érudition, de citations latines et grecques. ; et aussi d'un lyrisme dont lt? poete Jea - RicheOin ne peut se défend te. Mânes Lavallière. .Hpinelly, M"rie Laurt : MM. Harry Baur, Roger MOnteaux, Galtet • et Cueille ont été les interprètes coiiscieâ-■ cieux et ardents de cette «uVre. « Francesca da Rimini n et la « Vie Brève » Pour ternuner «a direction a l'Opén-Comique, M. Alber* Gàrré vient de donn*' dd1jX r° 'vrc- i;C w l'e do * M réo f i-"' >'3 ISreïierafe'' a ète orf-erte c la que le public n'appréciei a ce^ deux paiii- ' tions que le 6 janvier prochain. Francesca da Rimini est un drame ei» I trois tableaux, traduit de i \nglais Mai .on I Craxvifoixl par l'écrivain Marcel Schwot. I mausique de M. Franco Léor.i. , Francesca da Rimini et Ci'ovanni Maia- . testa viennent d'être unis dai*- la ville de / Ravenne. Giovanni, surnommé Jean r l'S- j tropié, a un frère, Paolo, aussi beau seigneur que lui Giovanni est déplaisant. Pour forcer Francesca à cette union, sas / | parents lui ont laissé croire qu'elle allait / J épouser Paolo ; e' an dernier moment, h / I : jour de la noce, la jeune fille appsend q \c / I 1 Paolo est seulement son maïi par proci - Ë ration et qu'il remplace son frère il - |p Mais Paolo et Francesca ^ aiment; Fran cesoa essaye d"aboi\l d'être fidèle épouse». Giovanni ne peut rien lui reprocher qu<» sa froideur, mais cette froideur l'exaspéra Le jour où Giovanni lui demande un pe i d'amour, Francesca dit tout .^on mépris pour celui qui a abusé de s» confiance. Giovanni, qui soupçonnait sa femme d'aimer son frère, •- ent ses soupçons grandir. ^yant appris que Paolo vient de quiti'.r brusquement F'.orence. il épie le retour de son frère et tue Paolo et Francesca. C'est une fois de plus (car il a été souvent traduit en draine ou en opéra) mis la scène l'épisode fameux du cinquième chant de VEnfer du Dante. M. Franco Léoni a écrit une partition claire, tellement claire que la matière musicaie en cs£ nour ainsi dire ib^ente. Ce sont surtout des récitatifs simples et beaucoup de mu sique do scène. Le procédé d'écriture du compositeur est assez uniforme : des troia; ' tableau» îe meilîeiu* est le dernier, il es$ ' conçu du reste dans la manière essentiel-îomerit italienne, ,-avec des effets dramatiques et du mouvement. Mlle Gerwï«iève Vix dans le rôle \Le Francesca, Je ténor France!! d.ins celui do Paolo et le baryton Boulogne dans celui de Giovanni ont été les injlerprètes convaincus et bien chantants de cette oeuvre. D'une tout autre essence est la Vie Tlrève, drame lyrique en deux actes, poème de M. Carlos Fernande? Shaw. adapté par M. Paul Milliet. musique du comooMteur espagnol Manuel de Fa lia. C'est un© partition curieuse, vivante, aux mélodies originale-, aux rythmes d'i'.na pittoresque achevé. L'action, «st assez i simple. Paco, un jeune Andalou riche ou\ habite Grenade est aimé par la je-tne *? oePe gitisne Salud. Or Salua vient d'-jpniendiH que Paco se marie 3e nir même av°c urw» nutre. Elle urprend la noce et reproche à T'aco so trahison. Paco dit ne > is connaître cette femme et \ eut la faire exprJ-yer. Salud tombe rai ie morne . ou> leai yeux des invités c'est « la vie brève >» amoureuse. Ce qu'il faut louer dans -a partition (Je m M. do grilla c'c -i la sincér.: é. r'c;' lu - aJo M m >C£ C'est à 1-. fois vlok <. , j mélancolique, ga . ensoleillé Le comnosi tVr'uur- ni .isiv air* a 1.1 -'.^poT^ ..'t'v \ u» ■i< . \ .r» pu'c • Mit pivi ^ e- ' 'MM m 1 - ^Ë M - . - -, IH # t , eSTa —k. «M. ^ «a.To

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