La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie

1993 0
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s.n. 1916, 22 Juli. La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie. Geraadpleegd op 27 mei 2024, op https://nieuwsvandegrooteoorlog.hetarchief.be/nl/pid/319s17v073/
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Samedi 22 Juillet 1916 a s G JOURNAL QUOTIDIENT -r> " méro : 1Q Ce^imes 3ma Année, — 607 PRIX DES ABONNEMENTS 3 mois (juill.,août,sept.), fr. 6.90 | 2 mois (jjili.,août), fr. 4.60 | I mois (juil!.),fr,2.30 B-C6 dczuaudcs d'abo^incnient soaî rcosca EXCLUSIVEMENT eux piiielicts des liureaux (îe poste. ADMINISTRATION ET RÉFACTION Sif ZSConia&ne-av&z-Iîerbes-Jr'ota&ères, BFITTZZJUXjZJEIS BUREAUXtoe 9 à 17 MEURES *Jcs. IVlORESSÊSS, Directeur IPeiiles annonces . . . . < . ta Ligce, fr. 0.50 a OK Réclame avant les annonces . . ' Corps du journal —• 5.00 } Faits divers - 3.75 | Nécrologie • —' 2.50 l Coin des Eleveurs . . . > . —1 1.00 ih GUERRE ' T193 l'oiis* da guerre Au retour offensif qui avait fait! retombe r aux mains des Allemands io viilage uo Long'ueval et unie partie du bois de Del-ille, les Anglais ont ripostî sans tit-dai ar de vigoureuses contre-attaques. Dans ur première x^hase, °es contre-attaques ont atteint leur but, mais peu après la pres^ im exercé par les troupes allemandes puissamniei.it renforcées a reporté les coin-uts à 1 int'r'o tr du village de Longue val t dans la bois de D<îl ville* La lutte dans ce sjeotear, loin d'être terminée, s'est propagée sur tout le lï\)*.t an-gto-franrais qui s'étend sur une douzaine da ki'oni très entre le bois dûs Foureaux, u nord' - est de Bazentin - le - Petit, et la Somme. ,,Nous avons repoussé, disant les -Allemands, un premier et vio'e it 'assaut indiquant, par là que la nouvelle bataille entre l'Ancre et la Somme n'est pas finie. Au sud de la rivière, les Français également ont commencé à développer de fortes attaques, dans la région de Beiloy et sur T-a ligne Estrées-Soyecourt. THiaumont "Un journal parisien a publié une description ciu terrible ebamp de bataille de i'niau-mont-, aux portes de Verdun. On sai;. que, • pour la possession de ce village, fraisais et Allemands 8e sont livres pendant quinze jours et quinze nuits une des batailles les plus me.;rtrières de cette guerre fsamglante entre toutes. Nous reconstituons! le t:u.ta de l'article du journal parisien d'après une traduction anglaise que le hasard nous met sous les yeux. — La piuine n'est pas capable d'exprimer l'incommensurable désolation de ce ciel éteint, do cette terre éventrée, recroquevillée sous los coups de bombes et de grenades1, que voilent à demi des nuages de fumée d'un bleu blafard, nuance de plomb. L'officier qui me pilote me dit : — Là-bas se trouvait Vaux, là Douau-mont, là Fioury : en face, ce petit îlot pointu au-dessus duquel les obtus, s'entrecroisent, c'est Thiaumont. La fuincie y est plus opaque que partout ailleurs. Des bulles jaunes et veates, dirait-on, s'cchapipeait sans interruption de la gueule des canons lourds. Il !*aut plus que du courage pour y tenir. Le village, d'ailleurs, ne s'appelle plus Tiiiaumont : c'est la ,,Trappe de la Mort''. Ce qui, il y ai quelques semaines, était encore une colline, une fauteur', comme disent les communiques officiels, s'est transformé en un volcan courroucé, en une fournaise embrasée, dont tes parais s écroulent et s'anéantissent miette à miette, déchiqueté hier par le fe,u de l'ennemi, aujourd'hui par le nôtre. ^ Je connais ces lieux en détail1, me dit} l'officier. Presque chaque jour, mon devoir m'y appelle, soit pour prendre des ordres, soit pour en transmettre. Le trajeb est dangereux, mais qu'est-ce en comparaison du sort do ces héros qui, quatre, cinq, six 1 nuits durant, sans lâcher prise, doivent s'y maintenir sous le feu meurtrier de l'enne-!ui ? Des nuits, dis-jo, car, dans cet enfer, on ne compte plus que par nuits, les ..ours i n'existent plus, et, eu plein midi, l'obscu- < rite triomphe. é Devant nos soldats, derrière eux, l'abîme vomit des fumées que sillonnent- des éclairs ; -jaunes. Le ciel et la terre se confondent. ] L'esprit n'est plus en mesure de formuler ] une pensée, au milieu du vacarme d'enfer ( que font des tonnes de fer' et d'acier, voilant < on éclats et lançant pêle-mêle, en l'air de la < terre, des pierres, dés lambeaux de chair £ humaine et du sang II faut, à tout instant, t sautei d'un entonnoir à un auttre, se cram- t ponnor des pieds et des mains aux terres < qui s'éboulent, utiliser le moindre réjnit pour : 63 construire, en touto hâte, une fragile t couverture qui, dans la minute suivante, sera réduite en poussière, mais qui, pen- ( dant quelques secondes au moins, aura créé } la douce illusion de la sécurité parmi les ( étreintes do la mort. Ah ! la grandeur d'âme de ceux qui tiennent là et qui, malgré tout. 1 tiennent toujours !" Brusquement, l'officier «s tait. Il échan- \ gea, une seconde seulement, un regard ( chargé d'inquiétude avec le chauffeur de l'auto qui, tout aussitôt avec une rapidité vertigineuse, dévale à travers bois. Un sif- ; flement strident, une gerbe de feu se proi'i-iant su.r la masse sombre du qoteau voisin [ l'avaient prévenu du danger : une fuite éperdue pouvait seule nous sauver... LE « DEUTSCHLAR1D » ' „ 1 Pétrograc', 19 juillet : ! La „ Gazette <îe la Bourse" apprend de * milieux diplomatiques que les Etats-Unis ayant définitivement reconnu le ,,Deutseh- \ land" comme navire marchand', un conflit diplomatique entre l'Entente et les Etais-- ? Unis semble inévitable. '' Les Alliés peuvent doutant moins ad- 1 mettre la décision prise qu'ils estime it que 1 leur réclamation est fondée en croit ir.ter- G ational. Les Etats-Unis auraient dû, d'après ^ eilx, tenir compte de la situation actuelle r t: •Londres. 20 juillet : J A la Chambre des Commune;?, M. Dillon R demandé au gouvernement de faire con- t naître immédiatement au Parlement I s ré- I sultats de ses pourparlers avec le goiuver- d neinc^t amér'cain sur la, qualification à F donner au sous-marin marchand «.Deuiscli- n lanO\ i Lord Koliert peci.l a répondu que les e poi.rparlers continuent et que leur publia- q Bot y est pas, en ce moment ciu moins, v d'intérêt p blic. s iAf. Dillon a demandé alors si lord Ceci! s pouvait garantir que le gouvernement, avant ,; d'arriver 5 un conflit, laisserait au Par- I iement la latitude d'examiner la (iuestion à îond. Lord Cecil a promis d'en r£f«*rer au c Êcoi-étaire d'Etat. o Washington', 21 juillet : f O (îcolaro officiellement que le départe- a ïient dr'Ltat no répondra rae' à la protesta- .. tion des producteurs de nickiel canadiens, protviStation dirigée contre le *'ait cne) io sous maiin ,. Deutschlandi" a embarqué du nickel. M. Polk, secrétaire d'Etat suppléant, eîtime que les accords intervenus entre acheteurs américains et producteurs canadiens de niftkel ont un caract^TO privé et que lo gouvernement-, en conséquence1, n'a pas à s'en préoccuper. New-York, 20 juillet : L',,Associated Press" apprend de Washington que si la nouvelle du départ du sous-marin de commerce ,,Den,&chland'' pouvait être considérée comme un renseignement militaire important pour les ennemis de l'Allemagne, les Etats-Unis prendraient, dans l'intérêt de leur neultiral!it£. des précaution pour que la nouvelle ue leur parvint pas. Les fonctionnaires du dôpar-.ornent d'Etat ont laissé sous-entendrequ'ils étudient la façon dont la neutralité du gouvernement américain pourrait être sauvegardée eu cette occurrence. Paris, 20 juillet : Cai mande dû New-York à 1',,Information" : — Tout semble indiquer que le départ du, ,,Deatschlaiidi" esc imminent. Pour échapper plus facilement aux attaques des iui-viréb allûs, le ,,Deu^schland esb peint de couleurs neutres qu? se confondant aveo la teinte des flots. La censure a m îricaine a interdit au, c.v-pitaine Iv.ot.ig d'envoyer lui radiot^légramma à Berlin. Bal.imore, 20 jiâilet : Le „Deutschland'' se trouivait encore ca matin dans le port de (Baltimore, mais tout indiquait que le navire était, dès hier soir d'jà, prêt à prend'x.e la mer-. Le commandaiitl d'un vapeur qui montait la garde; autour du sous-mari ni a éloigné les canots des journalistes, qui auraient pu déranger les projets du capitaine du suib-mersibile.A BORD DU « DEU7SCH LAN D » Cofinme bien l'on pense, (on n'entre pas daais le nouveau; sous-marin cïe cammerca comme d'ans un moulin- Cependant!, un correspondant du „Lokal'-Anzedger" est parvenu à décrocher une autorisation do visita et décrit comme suit sa descente à l'intér : rieur du submersible : — Dès que nous mettons le pied' sur navire, qui a aseoz .bien l'aspect d'une gigantesque baleine, nous sommes frappés de ses proportions élégantes. Descendus à l'intérieur en compagnie du capitaine eb du premier machiniste, nous sommes émerveillés de la clarté qui règne partout. [Touil comme i:ans le r,Naiitilus", de grandes glaces laissent entrer la lumière à profusion» : on se demando comment elles peuvent résister à l'énorme pression de i'eau. M'ous traversons la salle des machines, à ce point spacieuse ju'on a pu y construire un faux-pont, et' nous nous rendons à l'arrière du bâtiment, [je capitaine ouvro une porte et nous voilà îans le carré des machinistes', qui précis6-nemt à cette heure sont attablés pour prendre leur repas. La salle esc également claire }t sp-acieuse. Les trois machinistes mangent îe grand appétit. Eetournant sur nos pas, nous retraversons la salle des machines, où e capitaine me fait remarquer, pendues1 aux panneaux, les pièces détachées qui jpèrmet-raient de construire un nouveau moteur, au :as où celui qui est en marche viendrait, à e déranger. Nous allons maintenant visiter la cale, ;i l'on peut dire. C'était la partie du sub-nersiblo qui nous intéressait le plus. Do a salla des1 machines, | tn couloir très étroit, 10 quoi livrer passage à un homme, con-luit à la proue. A droite et à gauche do e couloir, tout l'espace disponible est ré-ervo à la cargaison. Un regard jkîté à m vers une .petite porte nous permet do lou-s assurer que la cale est remplie do grandes et de petites caisses, soigneusement irrimées. Derrière cette première cale s'en rouve une seconde, remplie de mêtme. Nous passons maintenant aux „,salons" lu navire. Tout d'abord voici la cuisine do >ord, uno petite chambre très confortable de leux mètres carrés environ, où trône un /atel en tablier et toquo blanche, tout pa- 011 à ceux qu'on voit à bord d'un Iran s-Atlantique dernier cri,. La cabine du ca.pi-aine, pour n'être pas trop spacieuse,, est irnée avec beaucoup de goût. Le „Deul'schland", qui a une longueur otale de cent mètres environ, comporta un onnage effectif d'environ 700 tonnes1, soib onc lo chai'goment de 70 wagons de 10,0100 ilogrammes." Disons un mot (ïe la baie dG CliCvsapeake, ur laquelle lo monde entier a les yeux ixés en ce moment et où, d'après les der-Li^res nouvelles, des croiseurs anglais at^ endont la sortie du ,, Deutschlandi"' pour attaquer aussitôt qu'il aura quitté les eaux erritoriajc ' américaines. La kiie de •Chesa->eake est très dangereuse pour les grands 'aisseaux a cause des courants violents u'y provoquent les grands fleuves quii y ont 3:u' embouchure. La rivière Patapsco sur îquelle, à 16 kilomètres environ à l'intérieur, se trouve Baltimore, y débouche, puis: ncoro sur la côte occidentale do la baie, ui a de 15 à 5o kilomètres do largeur, la ivière Patuxenb, la Pot, sur laquelle se •ou\e Washington, l'York-Paver et la ames-lliver. Sur la côte orientale, ],e Cliop-mk, le Nanti<x)ko et le Potomoke. La sor-o de la baie est délimité© par le cap [enry et lo cap Charles, que sépare uno isuiuce d'environ 23 kilomètres'. Jusqu'à rès do 17 kilomètres du cap Charles, La r r a très peu de profondeur. Cette pro- < ) 11(10111' n'atteint pas toujours vingt mètres ; ) comme c'est à cet endroit que lo pilote i i.'Li.to le navire, il flaudra bien que le < Doutschland ' apparaisse à la surface. On lit finef des contre-fûorpilleurs américains ci-oi- \ infc à l'ont lée do La bxaio afin d'empêcher t violation des droits de souveraineté des tats-U nisj Disions, en terminant,qiue dans la baie de : hesapoako se ti-ouvent encore internés en .« î_ moment les- croiseurs auxiliaires ,,Kron- ] çîn'z FriodricJi Wilhe'm" et „Pri:iz Eitel i'iedrich", ainsi que le steamier „Appam" c ipturé et amené ea Amérique par le i Mowe". t ' dépêches diverses Paris, 20 juillet : Les critiques milita ires des journaulx parisiens insistent sur l'intensité toujours croissante du fejj do l'artillerie allemaoïde à Verdun, dans la région de} la hauteur 304. Les lignes de défense et les ouvrages de campagne français sont tenus, depuis quarante-huit heures, sous ui« feu d'ajçtillcJ- rio des plus violent. j * Paris, 20» juillet- : Dans les combats livrés dans la r^ion do la Somme, lo capi:aine do cbasscnirs à. piuU duc de Rohan,- député du Morbihan, a été tué. On; a compté sur son quinze blessures. Le duc do Rohan était âgé do "37 ans. Il avait C-b'i blessé déjà à doux reprises : la première fois à Ciiarleroi eb plus! tard à Douaumont. * * * rttris, 20 juillet : On écrit do Clermont-Ferrand' au) ,,Matin" : — Nous no sommes pas loin du pays de la bête de Gévaudan, dont le souvenir terrible est res'.é vivace dans nos régions d'Auvergne. Voilà maintenant que l'on s'i* gnalo lo passage, aux abords du lac de Guéry, de carnassiers qui ont dévoré plusieurs troupeaux. Trente moutons ont été saignés et mis en pièces par des bêtes étranges dont on no parle plus qu'avec terreur. . D'après les renseignements que nous avons recueillis, il s'agirait de loups do fotrte taille qui se trouveraient dans les bois do la Malvialle et de Perpeza-t. De3 battues viennent d'être organisées pour es, sayer de débarrasser lo pays de ces liô'.es indésirables. - * » j\Jilanv 20 juillet On mandle de Rome au ,,Corricre d ula que, sur la proposition c'u ministre du Trésor c;accord avec les ministres des affaires étrangères, des colonies et dui commerce, on vient d'élaborer un projet éî&uu i dant à tous les autres Etats ennemi1] et aux alliés des Etats ennemis les stipulations dirigées con Lie l'Autriche par les décrets du 24 juillet 1915 et du 1G avril 1916. * * * Milan, 20 juillet : >:f D'après la ,-,Stampa", le d,'j ùt de poudres de B orgof ranco d'Ivre:i.dns ! • Pi ''mon t. a sauté par suite de T oxy Io ion d'une bombe. Treize personnes ont é o tuées et vingt-quatre si grièvement blessées qu'on désespère de les sauver. Une enquête a été ordonnée pour reohercher les causes: de l'ac-eidrnt.* * * Paris, 20 juillet : L'agencé Havas appiend de Madrid1 que lo 20 Juillet tous les grévistes ont reprit le travail; le trafic par chénian d!o fer est redevenu normal. La famille royale est parb:o pour Saint-Sébastien.*** Madrid, 19 juillet : A Valence, d'importants magasins de profliudts aliimentaires appartenant à des firm-s allemandes onc été détruits par un incendie dont on ne connart pas los canses. Les dégâts dépassent l million do pesetas. « * Londres, 23 juillet : i Récemment, plusiourej membres da l'Union contre le service général avaient été con- ' damnés à d-'importantes amendes eb m'me à des peines d'emprisonnement de plusieurs : mois en raison de leur proipagande contre l'introduction de la nouvelle loi. Cinq ' des condamnés, parmi lesquels' l'éditeur dn ,,Labour Reader", ont décidé, en> guise de protestation, de refnser d'acquitter leur^ 1 amendes et ont préféré subir une peine 1 d'emprisonnement. Ils se -sont présentés1 le 19 courant à îa prison de Londres, devant laquelle de grandes manifestations so sont produites, suivies d'altercations aveo la police. D'importantes forces de polica ont été concentrées- el la foule a pu être dis- 1 persée. • ■ Londres; 20 juillet : A la Chambre des commune?1, le chance-lier do l'Echiquier a demandé que la troi sièmo lecture du projet financier ait lieu Lj 1 lendemain die la clôture de la discussion au sein de la commission. Sir Frédéric 13am- ; bury a fait valoir contre cette demanda qu'un jour de plus ou de moins ne pouvait avoir_ aucune importanco. Le chanceilicr de l'Echiquier a répondu que la situation mi- 1 litaire exigeait l'accélération. Il ajoute que les frais de guerre journaliers ont dépassé, depuis quelque temps, G millions de «£ et que les pouvoirs donnés au gouvernement en vue de contracter des emprunte s'ont épuisés. ♦ * » i Londiros, 20 juillet : A la Chambre des Communes, M. Cro;v- : wa'U a domaudé quelles o^lonin? allemandes, . eu dehors de eelies administrées iin,v le mi- , nistïre deis colonies et par losi gvjufv^rnt . monts des Dominions, avaient été entière- , mont occupées par les Alliés eb quelles s puissaucas étaient, dans chaque cas ]>arucu- r lier, responsables de leur administration. Lord Eobért Cecil a répondu : ï — J.cs iles Carolines et les iles Mai- i liall, à l'exception de l'jle de Narrai, ainsi £ lue les distrio.s ('o Kiaxitchéou, sont - j aistrés par le Japon. r Pétrogradi, 20 juillet : 1 On mande de Londres' à la ,.Novo'c Vre- l uiev" qu.3 l'Amirauté anglaise a établi uai 1 service de surveillance dans les ilea lia- r liania. Des croiseurs sont chargés d'essayer I le m due 'fin au trafics commercial par q ;0!'.s-mai«ii,s entre les Elate-Unis et l Aile- cl nagiiO. Un service ré.alier 4, patrouill a a .r t'' établi près des côtes d'Haïti cl do la, d Floride, ou l'on soupçonne que d>r> sia- v ions pour souS-marins ont été établies. s * Londres. 2Ci juillet : f A la demande du gouvernement, les j, syndicats ouvriers anglais ont accent» <h n ;u)>primcr tous les jours de congé pendant d a durée de la guerre. < A leur tour, les industriels viennent de n e réunir, et après un discours du nou- d 'eau ministre des munitions, ont pris la e ncme décision. - é Lomiie^ 20 juillet : Mercredi, M. Asqudtih a re>ui une (léLgta*-tion ouvrière qui lui a demandé d'imposer davantage la forkuie privée. M. Acquit a donné des détails sur les» impôts qui atteignent les re. enus dépassant 500 X, impôts qui.,; dans! certains cas, atteignit 60 p. c. Le premier mintetro a ajouta qu'aucun pays n'a aussi fortement mis i contribution les classes aisées que l'Angleterre l'a fait dejpuis le diéhuc de la guerre. , , i * * * Ijondros, 20 juillet : j prenant congé de ses élecfôuirs, loref c Grey lcur a écrit : [ — Lorsque, l'année dernière, la -Faculté i m'a déclaré que l'éuit des me» yeux: empirait t et pourrait s'aggraver encore, j'ai pris < la résolution de no pas poser ma candid'o- c tui'e-, J'avais l'inteatiDn de faire connaître cetîe résolution à l'approche /les élections < pour donraer à mes élooteuis le temps da ( choisir un autre candidat. Mais les circon- ; sbanqes commandent autrement pendant la 1 guerre que pendant la paix : mes couve- I nances p^rsonuclléS et des raisons politique^ j Etendait désirabla et même nécessaire qu il j soit pourvu à mon remplacement dès au- jourdi' hui et sans attendre les prochaines « élections. *** Londres', 21 juillet : M. Redmond publie le mémoire qu'il a J envoyé mardi à MM. As'quith et Lloyd , George. Il df«lare notamment que le retard apporté au dépôt do la loi sur le Homo , Rule, ainsi que le récent discours da lord ( Jjansdowne à la Chambre des lords, ont ( créâ uua situation très tenûue en Irlande. M. Rodmond ajoute que toute proposition] , qui s'écarterait ilu compromis intervenir for-- ( ceràit le parti irlandais à considérer celui- ( ci comme nul cl non-avenu. . * * * Londres, 20 juillet : Le général Maxwell, commandai.t en! chef * dos troupes en Irlandie, signera très pro- ' chainement une ordonnance prohibanii la ' port des armes dans toute l'Irlande. ' On pense, d'auiîiro part, qiiie les umio- 1 nistes opnjiosejrontunt? vive iMisistanCe au Ilomo R-ule, étant donné qu'il s'est fon?ié un n.ouu l veau groupe nommé ,,Association "unio-ni.st3", qui se compose de membres des deux assemblées législatives et ,qni se dlon'ne 1 pour mandat do surveiller les négociations l entre le gouvernement et le parti irlandais r nationaliste, jusqu'à présent, 76 membres ë de la Chambre dos lords et 98 de la Chambre de? communes ont donné leur adhésion ^ à- la noaivello ligue. La nouvelle associa- s tion estime qu'il serait dangereux d'in'troi- ? du ira lo Ilome Rule pendant la guerre comme une conséquence directe d'o la révolution. l: vLa Ila.ye, 20 juillet : c L'administration d'es postes hollandaises r a fait savoir aux abonnés de certains jour- n naux périodiques anglais qrue gouverixC-aient britannique a interdit l'exportation de :es fejuiÙes.. Il s'agit exclusivement de j. journaux de l'opposition qui prêchent la paix. , d ♦ # fl Paris, 20 juillet : L'.édition parisienne du „ New-York Ile- E annonce que mercredi l'accord1 in;ter-i'enu entre las États-Unis et lo Mejxique au ^ sujet de l'institution d'une Couir d'arbitrage i été ratifié par le ministro du Mexique r ■<, Washington et par un représentant d'il ^ lé.pa r t em-ant d1' Etat. D'après de récentes nouvé'^es, lia g$né- c :al Villa aurait annoncé qu'il) attaquerait e] [es troupes américaines. Son armée s'es'b îonsMérablement' accrue par l'afflux de îombreux déserteurs de l'armée du géné- d1 ?al Carranza. I^o général Trevina, de son :ôté, a envoyé à .Villa, do forts .d^tache-neuts.* * * ri Paris, 20 juillet : j L* agence lia vas apprend de Tokio qui'à ^ .'occasion de la conclusion de l'accord r; 'usso-ja.[>onais, des fêtes populaires ont eu ? ieu dans tout le Japon. 0: Londres, 2-0 ;iui'let : Le ,,Daily- Mail" apprend! do Melbourne p (Australie.) que des représentants du comi inerco japonais négocient pour s^emparelles marchés qui étaient alimentas a.ujpar-ivant par des puissances ennemies de l'Angleterre. Ils ont l'intention d'impoaler en Australie des articles quii ne sont pas far piqués dans oe pays, et comptent <\!;ale-nent établir une nouvello ligne de naviga- • ion japonaise. jl DANS LES BALKANS " V Sofia, 2o juillet : ^ L'Agence • tjlégraphiquo bulgare iferit ce n iui suit : ) ^ — Après une s'rie de séances: consacrées i la discussion da l'avant-projet budgétaire c< iour l'exercice 1916, séances au cours d:s-uelLus un orateur de l'opposition) a criti-né la politique intérieure dui gouverne-lent, M. Radoslawow, président dui Con- cil des ministres, a fait aujourd'hui à la . obranié la déclaration suivante : ^ — Le gouvernement so ral ie à la propo- é .îtion de M. ,Todorow, chef du parti po-ulai.ra, do na voter qu'un 'bivlget pr-ovi- a oiro de trois mois, tout en prenant l'eu- a agemelit .formel do soumettre un avant- J -rojet ordanairè à la session d'automne. ^ An surplus et immé<liatcmejnb après la e ecture du bi^dget provisoire 6era mis à ^ ordre du jour un projet qui réorganisera ^ i loi sur la prévoyance sociale et le com- i ;rce des produits- alimentaires dans le * ays et qui réglera cli m'ime temps la ueslion dias exportations'. Ce projet a été ^ éposé par le gouvernement dans le cou>- ^ ant de la semaine dh.niéro. Le président u Conseil a promis, en outnr, d'ouvrir Q5 ne enquête parlementaiie sur divers abus le ignalés à la Sobranié. ta Cette déclaration! du gouverniamenl: met U in au malaise eb à l'incertitude qu'avait ce rovoques l'atti uide des amis de M- Gher de atliew, qui s'étaient^ depuis le début li e cette session extraordinaire de la nt obranié, séparés de La majorité gouverne- pi lentale et avaient constitué un groupe in- es '"•pendant. T1 feemMe donc qu'un accord m itro le gouvernement et l'op/posiiion soir, le; éfinitivemeat établi. " a' COMMUNIQUÉS OFFICIELS Communiqués des Puissances Centrales. •Berlin, 21 juillet. Officiel dfc ca mili : Théâtre do la guerre à l'Est. Il s'est révélé que l'attaque anglaise p/ix>-ionc^e lo 1^ juillet dans la région1 de Fromt_,':kvi et signalée hier a été exécutée »ar dieux fortes divisions. Cet'.e attaque e-t heurtée à un secteur, du front dcfend'ii; »ar la vaillante division bavaroise; celle-ci ^ compté plus do 2,0W cadavres enn-emis iisant devant ses lijgneï et a livré, jus-[u'à présent, -4SI prisonniers, parmi les-uels 10 ol' iciers, ainsi que 16 mitrailleuses, i-jur le5 deux rives de la h'omme, ainsi aie nous nous y attendions, nos ennemis uit entrepris une attaque capitale. Elle a choué. Après une énergique préparation, es attaques ont été engagées par de nom-ireuses vagues successives sur un front d:o irôs de 10 kilomètres1, s'étendant depuis e sud dia Pozi res jusqu'à l'oue»?b de Ver-mandovir.ers. Plus de • dix-sept divisions, îomprenant plus de 200,000 hommes, y ont ïiis part- Nos adversaires n'ont obtenu que le mai-;-ra résultati de refouler, au sud de Ilardc->ourr, la première ligne d'une division atle-nande sur une largeur de 3 kilomètres en-/ironi, de ses premières tranchées sur les rancluLS établies à 800 moires à l'arrière de permettre à deis détachements ennemis le pénétrer dans le petit bois formant sa-il-ant au nerdr-ouest de .Vermandiovilleis. Sur lout le reste d'à front, les assauts furieux le rennemi se sont brisés, aveo des pertes extraordinaires, contre la- résistance héi'oi-[ue de nos troupes fidèles jusqu'à la mort. L'entrée en ligne — surprenante dans la guerre de tranchées — do la cavalerie anglaise montée n'a naturellement pu modifier n rien la situation. Jusqu'à présent, nous Lvons fait prisonniers 17 officiers eb 1,200 tommes1. Sur le reste du front à l'ouest, il u'y a as d'événements d'une importance spéciale • signaler. L'activité de l'artillerie et des lanca-mi-les est devenue plus grandie par intermit-enices au sud du canal de La Baissée et au ord-ouesb do Lens, ainsi que dans l'Ar-onne eb sur les deux rives de la Meuse. Au nord de Vendresse, dans la région de 'Aisne, après avoir fait sauteur sans ré-ultab une mine, de petits détachements fran-ais ont passé à l'attaque et ont été repous-és. Nous avons occupé l'entonnoir creusé ar l'explosion. Un avion ennemi, descendu au cours d'un ; ombat aérien, git brisé au suj de Poziè- j 2s ) un autre est tombé entre nos mains au i ord-csb do Bapaume. Théâtre dé la guerre à l'Est. Armées du feld-maréchal von Hinden-urg : Au sud'-est do Riga, 1;ennemi! ne s'est écidé. à exécuter qu'une faible tentative 'attaque, qui a été étouffée avant d'avoir u se développer. Des tentatives faites par les Russes pour asser la Dwina des deux côtés de Frie-richstadt out échoué. Au nord de Dw^eeten, uni petit détaclie-îent ennemi est arrivé sur la rive occiden-ile.Au nord-est de Smorgon, des postes de impogne avancés ont évité des attaques momies faites avec des forces supérieures. Armées du feld-maréchal prince Léopold s Bavière : La situation est inchangée. Armées dn général von Linsingen : Lor.squ'entre Werben et Korsow des attaies russes furent arrêtées, Farc de nos gnes faisant saillie vers le nord a été imené en arrière pour éviter les attaques îveloppantes auxquelles nous nousf attentons.Armée du général comto von Botlnner : A l'exception de petits combats d,'avant-)stes, pas d'événements à signaler. Théâtre do la gueiTO dans les Balkans. Rien de nouveau à signaler. * * * Berlin', 21 juillet1. —• Officiel ; Pendant la nuit du 17 au 18 juillet, les 'rançais ont prononcé uno nouvelle a-tta-ne aérienne contre une ville ouverte alle-lande : la petite localité de Kandem dans > Forêt Noire, où une femme a été tuée eec ses quatre enfants. D'après des nou-elles compl^ientaii-es remues hier, deux îtres localités de la Forêt Noire, Holzen I Mjappaeh, oait ét>X ég(i(lâm|i)nt alitaqujéesi, ais elles n'ont subi que des dégâts" peu aportants. Les trois localités susdites sont situées, >mmo toutes celles que nos adversaires ont rises pour objectif, au delà du Rhin-, en iliors cfe la région des opérations et m'ont icune importance militaire. Nos attaques tiennes, au contraire, n'ont été dirigées squ'à présent, que contre dtes forteresses t contre des établissements installe® dans ïs localités qui, à l'intérieur de la zone opérations, sont en connexion immédiate rec les opérations, comme pnr exemple des nctions de chemin de fer, des camps ou s* gares. Toutes les localités indiquées par radiotélégramme français du 28 juin yrès-midi : (Bétlmne, Amieni-i, Hazebrouk, ar-le-Duc, Epernayj, 'Fismes1, Saint-Dié, éraixlmer, Tninérville, Baccarat et Raon Etape répondent à ces condition^. La nouvelle atto/quo des" Français contre s petites localités précitées de la Fturêt oire, dépourvues do toute importance mi-ia.ire, prouvant, de môinë que leurs att'a-ics contre Fii bourg et Karlsruhe que lifè intention n'est pas do diriger des at-ques aériennes contre des installations mi-aires ou contre_ des troupesi, mais bien ntre la population pr.ci-'ieue sans défense : rhinterlanrl;. La -prétention de la dlrec- , >n de 1-'armée française de justifier ces Laques en les faisant passer pour des! re-esa.i,les, no tient pas debout. Nous-mêmes, , revanche, serons obligés d'utilister, par îSuivî do îvprésailles, nos fortes eecadiil-ï de combats, que jusqu'à provient nous avons pas encore chargées d'attaquer à coups de bombes. Nombre d'o villes fram. raises, situées en dethoi^ de la zone des opérations, so trouvent devant nos ligmes à portée de nos escadrilles de dirigeables. Communiqués deç. armées aîîiées Paris, 20 juillet. — Officiel de 3 heures : • 'De part et d autre de la jSomme, nolio infanterie a attaqué ce matin les positions ennemies et réalisé des avantages marqués. Au nord de la Somme, nous avons enlevé les tranchées ennemies depuis lo mamelon d'IIardecourt jusqu'à la -rivière et porté notre ligne à 1 e^t d'IIarducouit, sensible-meut Je long du chemin de fer à voie ('troite qui va de Combles à Cléry. Sur c-ot.e partie du champ de bataille, nous avons fait jusqu'à présent 4X30 prisonniers. Au sud de la Somme, entre (Barleuix et r'oyecouit, toute la première ligne do tranchées ennemies est tombée en notre x>ouvoir. En Champagne, nous avons pénétré dans une tranchée ennemie au nord-est d'Aube-rive et ramené des prisonniers. En Argonne, l'ennemi a tenté hier, vers 7 heures du soir, un coup de main sur nos petits pos'.es du saillanb de Bolante. Api\.s-un vif combat à la grenade, il a été repoussé.Sur la rive droite do la Meuse, nous avons progressé, au cours d'e la nuit, à l'ouest do l'ouvrage de Thiaumont. Au sud de Fioury-, un ouvrage fortifié, puissamment tenu par l'ennemi, a été enlevtf par nous. Plusieurs officiers et 150 hommes ont été capturés pendant cet- assaut.. Sur la rive gauche de la Meuse, .bombardement continu dans la région d1' Avocourfe et de Chattancourt ; lutte à coups da gre» nades sur la pento nord-est de La côte 304. Aviation. — Dans la région do la Somme, un appareil ennemi a été abattu hier, dans l'après-midi, par un de nos pilotes, à l'est do Péronne. Un autre avion ennemi, attaqué pur un do nos avions, s;esti écrasé sur le sol près do Grerniily (région de Verdun). » * * Paris, 20 juillet.—Officiel de 11 heures:-Au nord do la Somme, nous consolidons les positions conquises par not.s ce matin. • Au sud de la Somme, nous avoua élargj notre front d'attaque au cours de Vaprès>-midi et enlevé entièrement la première position depuis Estrées jusqu'à la hauteur do Vermandovillers. Au cours des combats de la journée, lions ayons capturé, de part et d'autre, do la rivière, environ 2,900 prisonniers, dont 80 officiers.Trois canons, une trentaine do mitrailleuses et un important matériel sont également restés entre nos mains. Sur la rive droite de la Meuse, nous avons continué à progresser à la grenade à 1 ouest de l'ouvrage de Thiaumont. Le chiffre total des prisonniers fait par nous ce matin est do 300, dont 6 oi'ficiers. Aviation. — Nos aviateurs de bombarde, ment ont effectué de nombreuses opérations dans la nuit du 19 au 20 j iil'et. Les gares de Thionville, de Montmédy, de Brieuiles eb des bivouacs près d'Azennes (région do Verdun) ont ro;n de nombreux projectile^. Un autre de nos avions a également lancé huit obus de gros calibre sur des établissements militaires de l'ennemi. « * Lonxlros, !£• juillet. — Officiel du quartier général britannique : Hier après-midi, à 5 h. 30, des masses allemandes compactes ont commencé à attaquer très violemment nos positions à l'est de Baizentin ; le combat ainsi engagé a continué pondant toute la nuit. Après avoir subi do très fortes pertes, les troupes ennemies, renforcées* considérablement, ont néussi à reconquérir le bois do Delvillo et» à prendre piei dans les dernières maisons de Longuoval. Sur ce pc*nti, le combat reste 'toujours violent. .Pour le resta, les attaques ennemies, y compris trois assauts dirigés spécialement contre la ferme do Waterlot, so sont complètement écroulées sous notre feu. ❖ ♦ ♦ % Péirograd, 10 juillet. —• Officiel : Hier matin, quatre avions ennemis ont lancé treize bombes sur la ville de Revaî. Sur lo front de Riga-, le duel d'artillerie continue. Sur le lac de Miadziol, notre infanterie et une flottille commandée par le lieutenant Oleschewsky ont nuitamment attaqué à) l'improvisto les Allemands et provoque ulxi panique dans leurs rangs. Les avions ennemis ont été très actifs sur le front qui s'étend depuis le sud de la Dwir.a jusqu'aux marais de Pinsk. Sur lo Sloehod, canonnades sur de nombreux points. Par notre feu;, nous avonr. repoussé une tentative faite par l'ennenif pour passer à l'offensive au delà/ des ma^ rais d"' Obzire. Les fortes pluies ont fait monter lo niveau des eaux du< Dniester de près de 2 1/2 mètres. Le fleuve charrie des masse* de débris provenant de ponts ;et de radeaux autrichiens. Sur l'aile gauche do la région que traversent les rivières Czeremosz noir et Czc-remosz blanc, au sud-ouest de Kuty, notre infanterie s'est avancée contre des v^l^j, situées dans les montagnes. SUR MER Aberd«en, 21 juillet : L'agence Eeutcr annonce que les ehalu-tiers „Onward Era" et „Nelly Nutte»", armés pour 1e service do patrouilles, ont été coulés par des sous-marins allemands. Ouzo survivants ont étû sauvés. Copenhague, S) juillet : Le vapeur danois jJIernia", capturé lans le Oeresuncl méridional, a été libéré, iprès avoir été visité à Swinnemmide. Plesslnguo, 20 juillet : Hier soir, le paquebot ,,Koningln Wiî-lielmina" a amer.é d'Angleterre quarante prisonniers civils, parmi Ics^ucLs <iutl".u^ Auitricliiens.

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Dit item is een uitgave in de reeks La Belgique: journal publié pendant l'occupation sous la censure ennemie behorende tot de categorie Gecensureerde pers. Uitgegeven in Bruxelles van 1914 tot 1918.

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