LA BELGIQUE PRIX DES ABONNEMENTS ADMINISTRATION ET RÉDACTiON Petite» annonces. • , ■ , . . la ligne, fr. 0.50 31, Montaffne-aux-Herbes-F'otaffères, 13FiZT2CELLES R»clume avant les annonces . . — 1.25 1 mois (février), fr. 2.55 — 2 mots (février-mars), fr. 5.10. BUREAUX: DE 9 à 17 heures Corps an journal _ 5.00 1ES DEMANDES D'ASSXNEMjSNT SONT REÇUES I U5d KLXILAMATIONS CONCEKN'-UiT UB ABOI*- DIRECTION BT ADMINISTRATION : Do tO t S d £8 1/8 et da 1B 11S A 17 laurM. PRIX DES ANNONCES l aits divers — 3.73 EXCLUSIVEMENT PAR LES HÎEMEVTS DOIVENT ETRE ADRESSEES * Nécrologie ......... — 2.50 BUREAUX ET LLa FACTEURS CES POSTES. I EXCLlàlVEJIENT AUX BUREAUX DE POSTE. JOS. MORESSÉE, DIRECTEUR Coin des Eleveurs 1.00 " LA GUERRE 901® jcur do guorro ' La situation reste inchangée en Molda^ Jaua ses grandes ligues. Les AiLsiro-Ai.eoiatuiJs so sont assuré 1 peut avantage enLe kjs vais do Putuaet Bufthitea, Laneas que les Kusst» sont pi vendus, aspirés urne attaque impétueuse, B&ocouiper Vadoati, au £ucî-ouest de Gâtai Il ii1 est rien siarveuiu d'important sur l auitres fronts, niais ou remarque que 1 ari ka-iQ demeure aojve dans l'Ouost, ejue ** action s'exerce avec persistance dapi: quelque 5 jours coutre les positions aut aiueuUios du Karst, et enfin q<ue le d»i cPtsrtiilibiio commence à reprendre viguQ dtuus i'os& do 1 Luropa sur le front Yolhynie. NOTE DES ALLIES AUX NEUTRE Taris, 18 janvier : De 1 Agence lia,vas : M. Br*and, prcSxUint du Conseil dès n: nisires, a transmis aujourd'hui aux mini fax» de SuiUso, de buède, eie Danemark die Norvège, la réponse de* gouvememen des Al:ii s à la note que leur onit a*IpefcS la tVL-isse 2û g.iJkss p^ys scKuutmavds 1-3 'JJ d Qembne pour laûr notifier leur ackhesion l'imtervea'tion de M. YV tison en faveur 1 la paix. Cette réponse «e borne à rappel que, dans la nota e*o réponse des ALÎjs de La 'Belgique à M. Wilsou ea date c 11 janvier, so» .t Oxjposëes les raisons po. lesquelles les Alliés estiment qu il ne lei est pas poswiljtle de faire droit aux dést qui loua* ont exprimés. Yoici le texte de la réponse des Alliés la Suisse : — Les gouvernements des Alliée ont r<3 la note «lu 22 dJeembre 1916 dan© laquei le gouvernement féeiérai, h© réiéran* à noie adressée iQ l£ c!u même mois par Présidant Wilson aux puissances bellig jantes, exgjrimait le dljsir d'appuyer auijr de ces puisamoes l'initiative ûu Préside, de» Etats.Unis ot 6e déclarait dlisposé, € Yuç3 de r.m<ner la jiûffx, a travaillerai*, rapprochement et à fonder les bases d'tw aoilaboratioo fiructuouse des nations. 1 monde entier connaît les e^'orts gpfoéreiu déployé par la Suist-e dans le bu* d'att muer les maux de» interné, des grands liie a's ot d»s i-'f.iiuii e auuaquels elle a conaici san« relâche les soins le> plus dévou a aussi (es g'^iivernenie its des Alliés rôJpRn ils bouunQ'ge aux sentiments et aux iiwcf tions dont témoigne la note du gouiverm ment fédéral. Leur attitudte a tô" olaicemei exposée flarv* la réponse cpi'îls ont ndr<ss<' au Président Wi'san. lie goujvernement t d ral s"<Hanft réfôp5 à la pi*ono«iti "!• am^r cadne. L^s g-ouvernerae its des Alli<« or l'hooneiiT de lui communiquer oi-anne;ft texte de leuir réponse- l>ans oe d<io umen auquel est jointe la note du gouvememei bol'^o, il trouvera l'opposé dos raisons jv> lcsqin Ue« los giouvemémen'e des Alli^ c^t méat qu'il ne loua- est p^ oos^ihle^e fait droit au d?sir amcruel la Suisse a adhéré. DANS LES BALKANS EN GRECE Londres, 18 lanvier : I.e c-i »mîs tondant de guene Waa^ixil monde de Salonique : — Les troupes grecques, qui, suivant 1 prennes e d'u gou-vernemeniti dJ Athènes, d-Valent être transfères dans le Pélopon»-S( ont pris une direction opjinséel; elles or viol*- la zone neutre et il semble que 1( hopt'î't 6 euitre l'Entente et la Gr^ce soien iminiiufitcS. Les troupes grecques sont cor centrées immédiatement A l'arrière de ! zone qu'occupent les Alliés en The*sali< En somme, au cours de ces dernières s< mnincfl, le giouvemement greto n'a chcrch qu'à gagner du temps. Paris, 19 janvier : L'Agence lia vas apprend d'Athènes qi le ,,Journal Officiel"' grec publie un <#cr rdjnl ordonnant la mise en liberté des v< nizeliatcs faits prisonniers. EN ROUMANIE • Paris, 18 janvier : Les journaux apprenaient de Jassy qi la rei ie <te Roumanie s'est rendue à Pétri giml avec ses enfants. ! DÉPÊCHES DIVERSES / — j Paris, 18 janvier : i A la Chambre, M. Goade, di6|*uté de •Rrfes ,'a dliîp'j^ô une motion demandant la const Cut^on immédikifie d'un- ckSpitartewîent déj n ,dn grand état-major général. Ce départi .meut organiserait une guerre de aous-mi rins offensive et défensive et utiliserait le /Chantiers navals pour la construction c fnavires de patremilles et de sons-marine e fle cas échéant, ce navires marchantls. 1^ /opérations navales ayant démontré que le ^vaisseaux de ligne n'ont plus aucune vi le.ir au point de vue milita:1e, M. Gouc (propose que le matériel de guerre qui f ^troujve à bord soit débarqué et serve a front, ainsi qu'aux navires marchands, au navires do patrouille et contre-toripi leurs. » * • Paris, 18 janvier : Les journaux annoncent que les grou{H de l'Action nationale, qui viennent de s constituer à la Chambre et au Sénat, ot adopté à l'unanimité un ordre du jour d< clarant que le gouvernement s'est soustra à la responsabilité qui lui incombe an su> des opi'rnti^ns militaires en Macédoine, e décidant, le 2 décembre 1915, qu'elles sf raient dirigées par le haut cennmaudeniei db l'armée française, alors que celui-ci éta.. cependant adversaire ck* l'ercp^dition. Dan ocs condi. i ins, les reuforts oti hommes < bn matériel n'ont été envoyés que tardive tnent on de mauvaise grâce. Plus tare M. Briand a reconnu son erreur devant 1 Chambre, mais s'est refusé à la répares &fmaC4'< nîir mio criiR^ ttiSti iRt^ri /Vfï Seulement le 23 déceml>re 1^16 qu'il a mis lin à- cet état» de chose» en d« ci^utut que le corps expéditionnaire de Salonique dô^ea-da*ait directement du ministère de la guerre-D'autre part, la diplomatij de M. iBriaud vis-à-vis de la Grèce n'a été faite que de demi-mesures qui ont mené aux tristes événements de décembre. La situation de l'ar-mée d Orient en Grèce comutando au Sénat et à 1a Chambre de demander au gouver-lu uernent compte de son attitudej il faut, eu ^e oiwxe, qu'il tasse connaitre ses intentions ,f" pour l'avenir. ^ Les mêmes groupes demandent aussi la 2j- constitution d'un bnix^au ipifexnfMi j<ual de e-s l'aviation, dans le but de mettre fin aux *1- défauts nombreux existant dans les services >11 aériens. Vs Le député Ferry interpellera sans doute l~ le gonvemoaient} au sujet des événements qui se sont passés en Grèce-xr « le • • Paris, 18 janvier : I-e groupe rad icat-sociali»(e dô La Charn-biO propose la candidature «le M. Caiilaux C comme membre de la commission Ixui^ô-^ aire. * * * Paris, 18 janvier : Après avoir déLiibéré avec le syndicat »>u-^ mer et les, patrons, M. Thomas a fixé des " Kirèmes de s.ilaires pour le^ ouvriei*» det. ® iteliers travaillant pour la d fense nationale 1=' Paris et dans les environs. Les barème-, e insi que le» conditions du travail sont ;-f-v ich'es dï'i.s les ate!ie.rs. } Le „Jonrnal Off.ciU" a publié le lS un ® Kcret instauiant un conseil d'arbitrage. ^ '>ans le cas où la décis on du con-eldar-^ litrage no serait j»as aecopt'o p^ir l^s j a-' rons ou par los ouvriers, lo gou ernem j .t ir ^rendra un arrêt*' eu vertu diuqrel les ata-'iers ou usines seront réquisitionna en aoimo lampe que le personnel ouvrier- à • * • Paris," 18 janvier r ,u< D'ajprèB le „Jo.irual des Débats", les ou-^ vriànes c!o> usines Jiillant, qui fabriquent la '-103 grenades, viennent de se met're en gr ive 10 t leur tour pour obienir une augmentation: ^ Je salaire. 8 Le ,,Bonnet Rouge" annonce que, coid-,1 raiiene.it à toutes les in for m trions, Le tra-T1 vail n'a encore éti repris d;i,ns aucune fa-r ri pie ele munition-s 1 s tarifs de - salaires lib .jéfe pdr M. Thomas, ministre des ,0 i!ions, n'étant pas tiouvé» satis.aiseu: s. x '-es grovis'es ont d'claré qu'ils n'accepta nient pas ces tarifs et ne s'y soumettraient j. ue contraints et forcés. On ne saurait en- 5 core prévoir quand La grève prendra fois. • •k • b- Paris, 18 janvier : i- La fondation d'une fVîération nationale >- les cheminots de Fiance, des colonies et it les protectorat^ qui a pour but de fairo e voLoi'r leurs ehi^encos communes vîsÂV«\is d'e l'Etat, prouve que 1 ** ouvriers du trans-i- port et les ouvrera dr$ chemins de foi it sont décidés à f.iire cause commune. Des e ouvriers apipeirtenant à t>n grand nombre t» do professions se «son^î affili's à la nouvelle it fédération, qui tiendra son premier cou-v gfès extraordinaire vers la tin de c« moi». l- . •. 0 Paris, 18 janvier : Il résuitî d'une statistique! dressée par M. Honorât, député, que les naissances dans » les 76 départements français non occup» a > ont diminué d'un tiers, pendant l'année 1915. m * m Paris, 17 janvier : Depuis qufiiranteh|iiit heur0'*, die vioVm-0 bs tempes de nci.e sévissent dans tout le sud de la France. Dans l-s Alpes ma-a ritimes, la pluijiart des lœalités sont cou- pées de toute communication. « > • * ^ Rf.osg'.'-PalaiseBai', 17 janvier : Un accident de chemin de fer s'est pro-,j duiit à la gare de M;issiy-Palciis«iu. Il a coûté la vie à dix soldats anglais qui par-~ taient en congé; une treniaine d'an'res ont été blessés. '• • 5_ » • ô Lugano, 18 Janvier : 1^3 gouvernement s'e«t engla4?,é h livret fi toutes les usines h gaz municipal.-s du charbon provenant des stocks dCvS chemins e fer de l'Erfat, au prix de .165 lire la t tonne, en-vue de prévenir l'arrêt de leur etx-i- ploitation. • * A Rome, 17 jarvier : Les ,,emplies ' dtes tramways elfe Borne se sont*, mi-ks en grève. I>e „?ec IV' Oroit o que la ville sera obligée de remplacer l«s t- grévistes par dos hommes, dont on, demandera la libération du ser\ice militaire. • * * Londres, 18 janvier : Le correspondit du ,,Mormn^ Pe>sb" à . Washington annonce lyio M. Zimmermann, , sccretadre d'Etat des affaires étrangères en AJeniagne, a d'eiaré au c> • reSjX'-iidant Ixt-b linois oe l'„As» icia-ted Pro s" que la r> |jon-jo de 1 Entente rend imjvïssibîe amc - Puissances centrales toute nouvelle déniar-5- che en faveur de La paix. -s I>erlin, 18 janvier : e D'après le „LoJtal Air/d^er' , le prince- "n héritier de Bavière a d< claré que, si lo s combat recommence sur la Sommen les An- l? glais s'apercevront que les Allemands sont. •- en état1 de leur opposer une r'îsistinee plus o énergique encore que pivicéeteniment. 0 -1 'Berlin, 18 janvier : x M. Zimmerman, secrHair? d'Etat aux af-faires étrangles1, se rendrai demain à Vienne et sera ptrésenté à l'Empereur. * * * Berlin, 17 janvier : s Le? présidents des Chambres des pays e coalisés, invités par M. Kaempf, président it du Reichaag, ai riveront vendredi à Berlin. - . * * 11 Mancliestgr, 17 janvier : •t T.et ,, Manchester Guni-d'an" pnlVie le n rapport de la commission du droit électoral s- de la Cham-lire des Communes. Elle jwo-t pose de Cpnférar to dt* it de vote auix sol-it flats et marins en service ac'if, mAme s'il-: s ne sont plus eîans los condition^ exigées au >t point do .vue dtu domicile; do limiter à une seule journée la durée des élections; do i, supprimer le voi'o plural en faisant toute-a fois octte réserve qu'un jelecti^ur atvianb transi ré son dhmicile d'u i district dans fl Twwrr.1i rrtJiiï" noric 1c- • d adïgmenter le nombre des délégués des •ituivor*>iug; enfin, o© ne pas; accorvlfi^ le -roit de vote aux femmes. , , j • * * 1> IjondiCS, 18 janvier : Le gouvernement anglais continue à ré-luisitionner les nombreux grands édifices où il doit hébeijger les iiunombrables rouages» adpimistratifs de *ia formidîible macliiài^ de ^uene. Le ,,-Daily Mail" annonce que hI&-lu'à présent les hôtels londoniens suivants ont été ré«iuisL.iocmé8 : Grand Hôtel, Métro-!*>Ie, Vicioria, Dq Keyser, Siut-Ermius, Cecil, Great Central, ainsi que lefl vas.es hnmeubie* du National Libéral Club et <iu Con>.iitulTjnnal Oiub, En outie, le gouvernement am i us envisage hi prise on possce-"Pn dlu Charing Crossi Iiotel et d'une série d' autres grauds hô.els du WesuEnd. • • « Londres, 18 janvier : Le ,,Times" apprend eTo Delhi qu'il est probfiNo qu'il y aura un Ilindj >u pal-mi les représentants des Indes angl lises» à la conférence impériile do la guerre, quii dkiit S3 tenir à l^ondrcw. On s'attend en outiie à ! 'introduction dans c^s cotOnieS de la for. mation mi'i:niie obligatoire et du service militnire pour les Européens et l^cs lli \-kiiis qui sont au service du gouvernement anglais aux Inefcs. • • * Londres, 19 janx'ier : L'IntLan Office publie la. déc'.araitiion suivante : — Depuis le début de la guerre, -le gouvernement indien a discuté, à diff rentes1 reprises, aveo le 6ecr< t-ore d'Etat pour les (nues, la question de savoir s il étaiD opportun dYinotUe un emprunt 'nd'en di; guerre spécial. Il vient d'ètio décida d émettre un pareil emprunt pour 11)17 et. 1918. les motifs de cette décision seront) a<po-s s de façon précise élans le futur bui^et des Indes. Les opndituons d'émiss on do l'emprunt ne seront publiées qu'après 1 exposé budgétaire. m • m Amsterdam, 18 janvier ? Les milieux militaires estiment que le ministre do la guerre demnera procdiainp-mo.it sa d missinn; le général Pop, cite de i'étitj major, lui sucoederai®. • m » Copenhague, 19 janvier : ÏAi min stre du Danemark à Washington télégraphie : — L'échange des eleicuments relatifs à la ratification de la convention du 4 août 191G concernant la cession d«s lueie» Occidentales danoises aux Et 'ts-Unis a en lieu le 17 van-*i"r à Washington, entre lo ministre du Danemark et le secrétaire d'Etat des Etats-Unis.• * • Christiania, ]8 jan\inr : Au exmrs du banquet offert au Storthing, lo Roi a déclaré : — Il n'y a pas d'exagération à dire que nous ne sommes qu'au seuil de la. périolfe la plus critique de la guerre, liion q«e le* rKmvoirs responsables s'efforcent lovaiemont d'observer une stricte neutralité, les exi-^•enceS <ju'on leur impose vont oha^jue jour croissant. Toutefois, le pava aura conscience de sa responsabilité et j'espère qui2 ce»n-tinuera à être préservé des horreurs» do la guerre." * * Copenhague, 19 janvier : La ^Beriingsohe TieLendie,, apprend do Bergen : — il y a en oe moment, en Ntorvègis, grande pénurie de fer-blanc, étant donné que les arrivages d'*Angleterre ont cessé et que ceux d'Allemagne sont p«'u importints. Les prix ont haussé de 400 à 500 p. c. I. est question de constituer une Union d'importation qui, espère-t-on, rendrait plu/S aisée l'importation de fer-blanc. SUR MER Besrlin, 18 janvier : Les navires signalés hier par l'Amirauté anglaise comme ayaut été coul s par Ha Al emands représentent une fierté considérable i»our la marine marchand^ britui-niquo. Leur I mnoge représente *an total de 55,395 tonnes et le plus im|>ort:int dos bâti monts Cv>alcs étiit le „Georg<c", de la White Star Line, qui jaugetut ICyXX) tonnes. Le vapeur „Maud Temple" déplaçai t s,790 tonnes et appartenait à la Compagnie du Canaelian Pacific. Le vapeur „Voltaire" jaugeait 8,4t)6 tonnes; le „NettSr by liaLL", 4,461 tonnes; le ,,Kàdmorshire' , 4,302 tonnes, et ie vapeur „Minich" •— i^mis hietr par suite d'une erreur ele transmission — dôjiUiçait 2,S«J0 tomies. Christiania, 18 janvier : Le navire en acier ,.Brabant", do Christiania, a touché une mine et. a cexulé lundi apr'js-midi, au large do Flamborhoughhcad. L'équipage a été 6auvé; tL-ois femmes ewit p'ri- Amsterdam, l8 janvier : Dans les milieux marin,nés, on déclaro que lo nouveau „MiVwc" al'eaiaud a coul) . jusqu'à présent pour 70,000 à 75^000 tonnes d) navires, donc les 'cargaisons valaient 80 millions. Londres, 18 janvier : Le .vapdar anglais ,,AucliGncra.g", jauu geant 3,016 tonnes : le vapeur danois ,Omsk'\ .augeant l/>74 t mues, et le 'voilier armais .,Kinpnney',, jaugeant 1,944 tonnes, ont éti coul's- Londres, 18 janvier : Lloyds annonce que lo vapeur norvégien ,,Cit$r of Tnimpico" a été coulé. D'autre part, il se confirme que lo vapeur* ,,Han.si", de Bergen, a été coulé lo 7 janvier; l'équi-I page a etî sauvé. Londres, 18 janvier : Lloyds annonce que le vapeur anglais ,.Mos(or'' a coulé h la suite d'une col'i-sion. Quatre personn e emt péri. Londres, 19 janvier : Llovds annonce que los vapeurs anglais ^Manchestei^^, ,,Inventor" (4,147) t »nnes) et ,,Wragby" (3,641 'tonnes), ont'coulé. Londres, 18 janvier : Llovds annonce que le vapeur anglais Aa..f.^ia ' /«* ftQfi t.V.inr.c\ o . . L.Q POILU Fragment emprunté au carnet de route d'un capitaine français. Qu'est-ce que le po»»u 1 Le poilu, o'e^t l'homme dont tout le monde parle, o'est l'homme dos bois, l'homme des cavernes, l'homme redevenu sauvage. C'est l'homme que tout le monde regarde avec plus elle oa-riosi;é que de pitié. Le poilu, o'est l'homme <iui souffre, qui meurt, qui sent sa fin prochaine ex qui ne se plaint ni de ses souffrances, ni de la courte efoirie de son existence. I.e poilu, o'edX l'homme qui, penAmt pUnMeur® jour% el^meiure enterre eLuis un fossé profond, étroit, à demi rempli elTeain, de boue et parfois de sang; aans un fossé eù le« parapet» bornent 1 horizon à 5o oen-timè^i-cs en avant, on la pluie tombe. Plus dur e^t lo froid1, plus vif qu"autour des cdienets remplis do biaise, dans un fossé em la nuit vient tôt et le jour vient tard, sans qu'on puisse l'allonger pur la moindre clarté. Lo poilu, c'est l'homme qui n'ost jamais propre;, qui ne peut jamais être papro, c est l'homme qui se Couche sans trop savoir sur quoi, tantôt sur de 1a paille hur inido et prête à se transformer en fumier, où sautent des mini iers de [»oux, tantôt sur l'a terie ferme et glaise, tantôt dans la boue, tantôt dians l'eau. Le poilu, c'est l'homme qui enteneî, voit, d-'V ine la mort accourir vers lui, ia moit affreuse, la mort sans beîiuté, la mort sau-gui no lente et douloureuse, la moit au fond d'un trou; c'est 1 homme qui pendant uaie demi-journée, deux jouiriues, deutx journées cc#mptant ch.!cuno vingt-quatre heures, ele-oieare immobile, accroupi dans un'boyau en l/utto do l'artillerie et des fumes qui viennent ie bouleverser, l'asphyixiev, le ren-tfae fou, le décapiter. C*'est 1 homme qui vot ex:t!e œu vre eà.royalAe s accomplir autour de lui et qui attend tous les jours, à voûtes les secondes, depuis vingt-huit mois, quê son tour arrive d ôtro déchiqui.tJ; c'est f homme autour de qui des camarades crient ou pleurent ou tombent, et sent tout d un eouip jaillir son sang pendant qu il étmche le sing da l'ami. C'est 1 homme ejui écoute tiavaillar sous lui dans le» entrailles de la terri et qui, dès lors, s'attend tous les joui s toutes les nuits, à être précipité en du'j ris dans un entonnoir après avoir sauté à 20 m^res dans les airs. 1» poilu, c est ocîui <)uis dvOix ou trois jours duraint, reste d .as la tranchée sans, manger autre chose que du biscuit et du pain, &aus boire autre chose que do l'eaui iniisn^e à ses iwedls ou la gnote (fui vous tord los boyaux et endort le cerveau. Le poilu, c'est celui qui sans uésse tient à Li main une pioche, uue piLe ou un fusil, qui sans cesse manio l'un e>u t autre et qui souvent tombe de fatigue, sans l icher la cre>sse de l un ou le manche de l'autre. Ixî po lu, c'est l'homme qui a perdu "la notion do la civilisation, de l hygiène, de la patrie, ele la maison, diu confortable, de l amour. La joie la plus grande lui vient du spec. table ele la mort ou de la douleur de «on fieïversaire. Bien d humain ne lui reste que le senti aient d'amitié pour ses camarades Je combat. Pour ejuelques-uns seuiemonti, pour ceux qui vivent chaque jour prôs de Lui. Les autres, quoique Iran.ais comme lui, le poilu ne afen préoccupe guère et n© s'y intéresse pas. Il les voit texmber sans i'éuxHtvoir; il les voit mourir d'un ail ^ec, presque dur. Pourquoi s'attendra, puis-jue le mdme sort est réaca-vé à tous ? Lje poilu, c'est l'houiuie qui n'a pas do elréo-rîMiiewi, mais qui en réalité chaque jour en mérite au motus une, et c'est sans doute [,;ree qu'il eu faudrait trop pour ks re. îouijMJnses de chacun de ses exploits qu'on ie lai en donne aucune. Le poilu, oo n'est pas un secrétaire d'"état-major ou un employé d'intendance, ou un automobiliste, nais c'esit lui que tous les automobilistes, les Sécrétaire« d'enat-major et de l'inten-Jauce îe^trdesnt avec ekxkiin, avec morguej, ivcc insolence, presque avec mépris. (JVj n'est {las cftiui qui se couche dans un it, reoire su.s bottes trois fois par jour, qui prépare des coueerts, mais celai à qui des ynbasqués repi-ochent d'être boueux, d avoir jo& {>auMlons taciiés, une empote sans (illi-»ib*e), du.* (illisible) déchirés. C'est lui qui, dans les cantonnements, arrivant toujours le dernier, lors-juc les au-ns sont installée bien en place, est ob'igé lo ©e oascr dans les locaux infects, étroits, >uverts à tous les vents, à toutes les pluies, >bl»gé ele kaisser aux autres le lieu epuo ^es [tulles ne risquent jamais d'atteindre, les «innés cuisines, les bonnes grange» alion-'■■ mment pourvûtes. Le poilu e-t celui que eut le monde admire, mais dont on s'écarte pianefi on le voit monter élans un train, jutrer élans un café, élans un restaurant, lias uii magasin, eàe peur que ses brodte-ptinS n'écrasent les bottines, que ses effets ie m iculeai les vestons à la dernière coiwA jue wc.3 gest s n'efileurent les robes chio, p.io ses paroles ne sentent trop cru. C'est aclui qauo les oficiers d'administration font saluer, c'est celui à qui l'on impose les iiscipimes eiont les embusqués sont exempts. Lo poilu, c'est celui dont personne à l'arriéra no connaît la vie véritable, pas nwne lo journaliste qui l'exalte, pas m-'me les députés qui voyagent dans les qujairttars ^ V- 'iaux. Le poilu est celui qui va en permission epiand le? autres y sont ailés; ;'est celui qui ne parle pas, lorsqu'il revoit polir huit joui*s sa famiLle, son pays. C'est Colui qui no, profite point elo la £u< ive. C'est celui qui ne parle pas, écoute Unit, qui juge, qui dira beaucoup de choses *prè=5 la guerre. I/c poilu, c'est le faiM «sSin qui va dans les tranchées. Que soulfrc-til, que nsiue-t-il ^ Beaucoup plus qu'on ne le croit ! C^ue fait-on vour eutx ^ Je sais qu'on en i u'e: on les vante, on les admire de loin. Les illustrés tâchent; de les passer à Li po t'ritS par le crayon de leurs artiste», par le- clichés do leurs appareils. L®4 femmes malades tententj. de fliutcr iivec eux par lettre... Mais lorsqu'ils vont eiu repos, ai'.-.vont-ils à so reposer ^ Outils eu. leur journée, pan- let- populations, fourme l'ont eu le 75, la drapeau lelg.\ ■je. 1 A-t-ou vu expliquer par la presse lue 1>4 poilu, c'est- encore le seul espoir du pays lo seul qui earde ou prend les tran-?hé«.s, mil^i- - l'arfeilieries et les mitrailleurs, miIriv froid, malgré la faim et le ... •> COMMUNIQUÉS OFFICIELS Communiquer des Puissances Centrales. Paris, 18 janvier. Officiel do il heures : Duels d artillerie assez serioux dans les Beilin, 19 janvier. — Officiel de oa midii: VosS^» en Lorraine et dans la région de Soissons. Calme sur lo res.e du iront. Théâtre de la guerre à 1 Ouest. m Nos patrouilles ont effectué avec sucoès _ • * des opératiems sui] plusiears endroits du Rome, 1S janvier. —1 Officiel du graud front. , quartier générai1 : Théâtre de la guerre à l'Est. Dans lis régions montagneuses duj front, Front diu feldimaréchat prince Léopold de '<iS enu'es ele neige et les tempêtes ont eui- Bavk re : Core entravé hier 1 activité de nos troupes. t '». . . . bar lo Karst, le tir de l'arâLerie eune- Los opération», avaoœt pris une plus mi ^ avion M lu8 jours, on» ^ b^lcrics ^ -uor. oe nouveau durnnue dmteus.lé. giberne.» rojomju et ont touché deus Front du généial-colonel aichidac Joseph: avions t 1 un est tombé brusquement près Au nord do la vallée d'e Susita, dans la jireatovjzza et 1 autre est tombé en < a- régian dia Marasti, des attaques dirigées potanr. r.ans la elirecfcion ele Castagnavizza. contre nos positions établies sur les haju- l-11 Albanie, le 16 janvier, un de nos teurs, ont échoué avec de très Sortes pertes détachements ele esavaleria a occupé les lo- pour l'ennemi. calités, do Salesi et elj'Arrai, au nord-est de » , . e ,, . , Brmeni, paès de .la route Lyaskoviko-lio- Armées du feldmaréc.ia^ von Mackensem1 : rjtz,v x La si tua. ion est inchangée. % • m Front macediai.ien : Pétrogjraéf, 18 j'anrvier. r— Ofûcî 1 du 1^"attaque dirigée par unfl wmpagnde an- grand quartier général ; giiise contre fccres a été facilement ro- A d&\erses reprises l'ennemi a tenté <3a poussée. nous attaquer ait sad do 1 Oitos; ses tenta. m . ti\ es ont échoué sous notre feu. Berlin, 19 janvier. — Ofriciel d'hier soir: les Roumains ont repoaissé les Allemands Aucune action piirtiejulieire au coui'S eie Li ai1 Sllt^ Monastrca; il ont, en outre, journée, ni Suir le front de l'Ouest ni à cerfié une hauteur qui s'élève an sod-eruest I de Praiea et fait de nombreciix prisonniers. • l'rès du viliago eîo Sanovice, au sud de Berlin, 19 janvier*. - Officiel: Sm.wgOo, w felairours ont pénétré U 31 1016, l> vap.va- anglais les trMCh.W «msmics et, au oaurs d au -v,, , ... . r... ' \ • cor s à con>s, ont tuè vingt Allepiands a ', 4 . , oa. ru ) / ' [a baïonnette. Simultané,mext, nos îninouas pr^, dans le l««t da ,ivvla. ^ ^ is , • ^ ^ nuii<;8. ri SiiLTliS T A l'ouest Al villapre do Somerôica, uoti-e i i' i * ' CJr lx,.s ? ' K . 1 canonaïado a détruit des abris ennemis.iyeis- Z,f primera, à savoir : ks , j a faiw^ent râp»du à notre équr^es d un navire norv^en et de Sept f (i,s 'a s ,îo canoJ isol/s tirM i avirc» anglais, tous captures dites 1 Oowa» Sur \a rolllo Kisi0lia.pienaw. Atlantide par un de nos croxseurswmsu- plèg du viilago de Kriteja> ^ u ^ d}và ' - , . „ . , tritaa, un post*j eîo campagsïe russo a élis- TTT1 1 P«rs4 un d.k-'ichemeut de .Sonnais^nCe ea, porte surtjut du matèrul de guerre expédié |^:ni e; , t ^ d'ai-mcs et de pièces d Aim'ti (Lie à nos eoi;eniis, aius^ <luo des (jYW, ement produiis alimentai.es, jm-nii lo».,uels 6,|J00 ifi" fon-,3 Carpathea, a'Wfl fr°manl; 2'™° tanne8. '■« f-'r,,la av,Jr tiré dens cents cou,:, ù canon, IVn- et l,^ chevaux. Le vapeur oaptui-é „\ai- ncJnl a n„,,|U<5 u„.e hau10;;r sitll/.e à di, lowd.le avaii à bord 11' camions auto- vera, au| 8UI| ^ motitagiie Prcwi; îl molles, une automobile pw vengeurs, a 6té ^ ^ fou.f b,300 caisses de caifixiche^, H0,000 rouleiux de fil de fer bai bêlé, S,;500 tom.es d acier ^"f—Tn.-»TT«7rr,.^■ i« i ou lingots et, en pi:?re, fniiitiuômeut do D^nêches Diverse* Jilomb, de lard et ce saucissons. ^«.pef.iies mveraea Au, nombre des vapeurs coulas, trois navi- . . . res anglus etiiient anués. Parmi lej équi- , ct-rogracT, le janvier : pager des navires capturés se trouvent au . d^lmissnin élu pi-ince Wolkenski, an- total lo3 sujets d Etats neutres, qui ont eto C1<il ymo-presi'.cnit de la Douma, adjoint tout comme 'es sujets eles Etats ennemis, aa ministre de F intérieur, a éto accej.t e. amenés comme prisonniers de guerre pour • a autant qu'ils aient e't£ engagés sur les va- Pétrogracl, 18 janvier : peurs ennemis armés. On annonce que le général Schuwajew* Le chef de l'équipage de prise était l'of- minisire do la guerre, a donné sa eiérais- ficier faisant fonctions Badowitz. La cap- si on ; il sera remplacé par le général Be- turo et. 1 envoi au port de la prise du „\ar- lajeff. i*o\vdUle" ont été tonus secrets jusqu'à pré- 0 * m cent pour des motifs d'ordre militaire. Ces t «<, is motifs n'existent plus deimis «rue La eléelur- lC:i •!'„ ' , .. ^"17^ ri . j- _ i» lors de la réception du Nouvel An a I sars. U est d^e de remarque que 1 Amimutt k jé M le n^nislre de rintérieur, Sl. l'ro- anglaise ne .est dundée àfaurj coupure off '. aK>ro0jlé du présidât de 1» an publ'o la-itMDWiue ee« perte», ^ u. Aâdôanko, fl lui a o'fert la f „qual'lu8 que lorsque eel.-8 Cl ' . de «. ^oone.lier avec on* év- Manne» ,»r -e" ne .très après l en- , D j iDLianko repçndtit trè-s sfr- trée ^ notre pruse japonase - le ,,Hud- , amis de M. l'ro- Son Maioie — élans un port brésilien. , f,. . , % A , n i, , . lrt 1 topo port Cixoent qn un duel est ineviti- le • * entre les deux hommes, quoique M. liod- "Vlienne, 19 janvier. — Officiel d'Lier midi: zianko n'ait pa^ encore re u eic provocation. Front eie l'Est Le bureau du parti des ociobristcs exclura Front A» armées du fidmaréa'ial général eKl,rCKSSI'majt PitotopopofT. von siaokensen : . * Tulaoa et Isaeeea, en Dobroudseha, ou* j de <te jour ooate^t été bombaiffées pnr 1 artillerie rus*. (fe. ®1^0r9„ Xtifs à to'poUdme iutfr- Front <les armées da oolonel-général arefai- rie aie russe et oommentamt particulièrement duo Joseph : la nomination d'un certain nombre ele réac- Bn:hre le» vallée® eT# la Puitna eb de La tionnair^s en qualité ele membres du Conu Susita, une jictite eutieprise nous a pleine, seil de l'Empire et l'annulation des élec- iiie .t réussi. Nous en ave>as ramené ua of- tionS locales dans les villes. licier et 230 soldats ennemis ainsi qu'une a * • mitraille! se. Berlin, 19 janvier : Au sud d3 la route de l OHoz, les "Russe? 0ll mande do Constantinople an „BerîiiWœ ont vigoureuseme :t attaxpié, mais leurs ef- u>kal . forts se sont éoronlés sons le feu de notre — L'ann<N>ce ep'un très grand nombre de art llerie ot de nos mitrailleuses. Pe sons — on parle de 200,(XX) hommes — Front ck» armées dit feMmarfohal général se sont réunis pour combattre aux côtés prince Léopold de Bavière : des Turcs dans le but de* rejeter les Busses En Volhynie, rocrudescence d'activité do bors du territoire persan, a provoqué l en- l'artillerie ennemie. thousnasme do tous les Persans résid;uit en . Turquie. Parmi ces derniers, tous ceux qui Front italien ^ont aptes au service militaire se sont en- Sur le plateau da. Karst et dans la val- dans l'aimée turque. Le ministre lée du Wi' tpaoh, hinr encore, la esanonnado fhre do la giuerro a décicté d'envoyer au a été relativement forte. front en Perse tous le» volontaires per- Front du Sud-Est. sans âgés de 13 à 25 ans. La situation n'a pas changé. * 0 * * Pltiogied, 19 janvier : Sofia, 1S janvier* —" Officiel du grand ••Kusskoïe Wolja" apprend de To- état-ma cr cénéral • k,° ^ue le gouvernement a décidé de dis- em-t ma^cr générai . goiiebe le Parlement si la majorité de la Front macédonien. Chambre fait de l'opposition au gouver- iFaible exinonnad'e sur tout le front. ncjue-nt. is Au sud de Sores, une compagnie ennemie Toute la presse japonaise comment» la a tont^ d'avancer, mais elle a éto mise eci défaite di idiomatique essuyée par le Ja]>on fuite [kor le feu de ne* ro artillerie. au cours eles pourparlers sino- japonais reiar Dans la vallée du Varelar et sur liv tifs à l'incident de Tsien-Tctiatin. Strounia, activité dk» aviateur® ennemis. m • r Front roumain. Tendres, 18 jinvier : L'artiVerie ennemie a bomlmrdé les villes (>j, mande do New^York au „Time»K qtie J'isiecea. et eîo Tulcea; la nAire lui a ré- ]>rimes d'a^stuancee maritimes pour les pondu. A Tulceai. cinq femmes, un vieil- v.y/ages (To l'Amérique dit Sud aux Lndœ l irJ et q-uatre enfants ont été tn^'s. oceid?nlales ont haussé de 2 1/2 à 10 p. o. **• Constantinople, 18 janvier. — Officiel du New-York, 18 janvier : grand quartier général : ... La, fin», Morgan ot C* annonce VémiSsiort l'as d'événements importants à s\?!naler anglais de 250 millions, da sur les divers fronte. doi'jars, sous forme d'obligations converti,- Mes 5 p. c., pirtant la dite d» l»r fé- „ . ... i allîioc vrior 1917. 100 millions de œt ttapront communiques -—3 arm e - - seront remboursables à l'échéance d'une an^ u(;0; ic reste, à l'échéance de deux année». Paris, 18 janvier.— Off'ciel do 3 heures : * Nuit calme sur tout le front. . - * * Dans 1*. soir<o d'iûer, sur les liants do Milan, 18 janvier . Moine, après trois heures de bombardement D après l'Agenff» Amçricana fc Mil», întenso, l'ennemi a lance, dans le bots des les troupes de 1 Union qui se trouvent mi Chevaliers une série d)o reconnaissances Moa-piC, ont re.711 ordre d'évacuer ce pnys. qui' ont été repoussées aveo des pertes par Lo président Carrants ^ * les feux de nus mitrailleuses et (le notre tranquillis'j an sujet des intentions defe Etat»- ait lloria- Unis, a envoyé 10,000 hommes^thr■ trHiiwy ^ 9 gouvernementales contre Diaz- V. | Samedi 20 Janvier 1317 P—a—m Mi—' «J**.<' ' JOTJEIÎ'AIi QTJGTIDISN — JLe IJumêTO : ÎO Centimes 4* Année. — N° 78^

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